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what a dangerous night - Alec
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Ven 7 Aoû - 18:55


dangerous night
Alec & Amy

« We burn and we played, we try to forget but the memories left are still haunting. The walls that we built from bottles and pills, we swallow until we're not talking
I, I am a man on fire. You, a violent desire. What a dangerous night to fall in love. Don't know why we still hide what we've become. »

Le soleil est déjà caché par les immeubles alentour quand je quitte le travail. Les clients sont partis depuis longtemps mais le temps de finir le ménage et de ranger l'institut, l'église la plus proche sonne déjà vingt heures trente. Je n'ai rien contre être de corvée fermeture, je peux directement m'arrêter boire un verre si je ne suis pas trop fatiguée ou alors je rentre directement chez moi. Ce soir, j'ai choisi la seconde option. Mes talons me font mal aux pieds et je rêve d'une bonne douche pour virer le fin film de sueur qui s'est déposé sur ma peau quand je suis sortie du magasin climatisé. C'est dingue comme il fait lourd à Chicago !
Je m'arrêterais bien manger une glace avant de rentrer, mais vu l'heure, ce ne serait même plus une gourmandise appréciable. Non, la douche semble être la seule option possible. J'ai trois pâtés de maison à traverser avant d'arriver chez moi, après avoir pris le métro. Sous terre aussi, c'est horrible de respirer. Les effluves d'humidité et de fortes chaleurs n'arrangent rien. J'ai accroché mes cheveux en un chignon rapide pour dégager ma nuque et permettre à un éventuel courant d'air de faire baisser ma température corporelle.
J'arrive finalement dans ma rue un peu après vingt et une heures. Les éclairages publics ne sont pas encore allumés mais le crépuscule s'intensifie et bientôt, la nuit sera tombée. J'ai encore cette étrange sensation d'être suivie. C'est déjà la troisième fois cette semaine. Sauf qu'à chaque fois que je me retourne, il n'y a rien de suspect. Des passants qui poursuivent leur chemin, une circulation plus ou moins fluide, des coups de klaxons mélangés aux sirènes des policiers qui poursuivent un chauffard...
"Alec ?" je reconnais la silhouette mais je ne suis pas sûre de moi. Son visage est caché sous un capuchon à peine éclairé par la clope qu'il a au bec. Je m'approche, fronçant les sourcils. "T'habites dans le coin ?" Je ne me suis pas encore fait mon opinion sur lui. Il m'a offert un verre un soir et le courant est bien passé. Il est sexy mais je me méfie. C'est le genre de mecs qui aiment collectionner les filles et oublier leur nom dès la partie de jambes en l'air terminé. Si ce n'est avant. Pourtant, y a bien un truc qui m'intrigue chez lui. J'ignore si c'est son regard que je trouve doux ou le mystère qu'il a forgé autour de son physique peu commun. Une fois suffisamment proche, je suis certaine que c'est lui. Même vêtu simplement et presque passe partout, il reste impressionnant. Est-ce que c'est lui, l'impression étrange que j'ai depuis quelque temps ? Non, ce serait trop gros. Je l'aurais bien remarqué s'il me suivait, non ?

TENUE
(c) DΛNDELION
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Ven 7 Aoû - 21:22


what a dangerous night
Alec & Amy

« Le véritable amour n'est qu'un joujou de femme; elle n'ont jamais connu la douleur d'un amant. »
Le jour commence à décliner. Pourtant, il fait encore très chaud en ce début de soirée. Toute la journée, il a fait une chaleur étouffante. Ça ne t'as pas empêché de te rendre à la salle de sport comme tous les autres jours. Une fois que tu commence le sport, tu ne peux plus t'en passer. Ça devient comme une drogue. Ton sport préféré, et ce depuis des années, c'est la boxe. Frapper dans un sac de sable de plusieurs tonnes. Ça change que de frapper un garçon au hasard. Après deux bonnes heures de sport, tu viens de rentrer chez toi. Tu vis dans un grand appartement au centre ville de Chicago, c'est même plutôt un duplex à ce niveau-là. Tu viens retirer tes vêtements un à un depuis le salon jusqu'à ta salle de bain. L'eau froide coule le long de ton corps rempli de tatouages en tout genre. Certains trouvent cela vulgaire, pas toi. Tu les aimes ces tatouages. Ils ont tous une signification bien particulière, il racontent ton histoire, ton passé. Douche prise, serviette autour de la taille tu te rends à la cuisine afin d'y boire un grand verre d'eau fraiche. Ton regard se perd à travers la fenêtre. Tu ne parviens pas à retirer la demoiselle de ta tête. Tu as beau essayer de toutes tes forces, tu n'y arrive pas. Même lorsque tu baise avec d'autres femmes, le visage de la brune te revient immédiatement en mémoire. Amy. C'est comme cela qu'elle s'appelle. Tu meurs d'envie de la prendre contre toi, la serrer dans tes bras musclés et tatoués, puis de venir poser tes lèvres contre les siennes avant de venir la baiser si fort qu'elle t'en redemandera encore. Plusieurs fois, jusqu'à finir par devenir accro à vos parties de jambes en l'air. Il fait jour encore dehors, la chaleur commence à tomber. Tu viens enfiler un jean usé par le temps, un tee-shirt moulant à la perfection tes pectoraux. Tu marche à travers les rues de Chicago. Tes pas t'ont conduis jusqu'à la devanture de sa boutique d'esthétique. Vingt heures, elle ne va pas tarder à fermer. Une clope à la bouche, tu la laisse se consumer tandis que ton regard observe attentivement l'entrée de la boutique. Soudainement, Amy en sort. Sa tenue est parfaite, elle lui va à ravir. Tes pensées la concernant ne sont pas des plus catholiques. Tu te demande bien quel genre de sous-vêtements peut-elle bien porter sous ce pantalon et ce haut si sexy. Tes pas se mettent à la suivre, gardant bonne distance entre vous. Ça fait des semaines que tu la suis, comme ça, jusqu'à son domicile. C'est toujours la même chose. Le soir venu, tu viens te poster non loin de sa boutique et, si c'est elle qui ferme tu la suis jusqu'à chez elle. Histoire de t'assurer qu'elle est rentrée saine et sauve. T'entends soudainement ton prénom. Tu te fige, la capuche bien fixé sur ta tête. Tu ne bouge plus. Tu n'ose même plus la regarder. "pas très loin ouais !" Viens-tu dire en relevant doucement la tête vers la sienne. Bordel ce qu'elle est belle. Tu la désire. T'aimerais commettre l'irréparable avec elle, la baiser et recommencer encore et encore, sans jamais t'arrêter. Chicago n'est pas une ville très sûre, surtout la nuit. "Tu veux que je te raccompagne ? J'voudrais pas qu'un ivrogne s'en prenne à toi !" Tu l'as dans la peau cette fille. T'as beau essayer de l'enlever de ton esprit, en vain.
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Ven 7 Aoû - 22:49


dangerous night
Alec & Amy

« We burn and we played, we try to forget but the memories left are still haunting. The walls that we built from bottles and pills, we swallow until we're not talking
I, I am a man on fire. You, a violent desire. What a dangerous night to fall in love. Don't know why we still hide what we've become. »

C'est un peu le dernier mec que je pensais croiser ici. Ce n'est pas un quartier très populaire et la pauvreté se fait ressentir par la dégradation des bâtiments et le nombre de sans abris qui déambulent dans les rues. Je ne relève pas quand il assure habiter dans le coin, quelle raison aurait-il de mentir ? Mais sa proposition de me raccompagner me fait un peu plus tiquer. "Tu m'as pas suivie quand même ?" Je demande sur le ton de la plaisanterie, histoire qu'il ne le prenne pas mal ou qu'il ne me catalogue pas comme folle. C'est juste que la coïncidence est sacrément grosse.
"Si tu veux, mais je sais me défendre, tu sais ?" Aujourd'hui plus encore. Je me suis faite agressée il y a deux semaines de ça et j'en garde encore quelques traces psychologiques. Je n'en ai pas parlé à ma famille, je n'ai même pas porté plainte. Qu'est-ce que je dirais ? Qu'un homme m'a agressée en pleine rue puis qu'il m'a raccompagnée chez moi sans rien me voler ni me violer ? Ça n'a aucun sens. C'est bien pour ça que j'ai du mal à tourner la page. Si encore je savais ce qui s'était passé ce soir là.. mais c'est le trou noir. Je me suis évanouie ou plutôt mon ravisseur m'a frappée et j'ai perdu connaissance. Les maigres souvenirs que je garde de cette nuit là sont flous. Je n'ai qu'une vague idée de la taille de mon agresseur. Grand. Il était grand. Et sans doute baraqué aussi parce que lorsque je me suis défendue, j'ai senti ses abdo sous ses fringues et ses biceps tendus quand il m'a agrippée par l'arrière.
"T'en as une pour moi ?" Je désigne la cigarette de l'index. Je ne fume pas, je n'ai pas le budget pour me permettre une quelconque addiction. En revanche, j'accepte volontiers de tirer l'une ou l'autre taffe quand c'est possible. Je reprends la marche, Alec sur les talons. J'ai l'impression d'être à côté d'un géant et pourtant, je ne suis pas petite. "T'es sûr que ça te dérange pas ? J'ai pas envie de monopoliser ton temps pour rien.." Je ne dis rien de plus puisque je ne sais même pas ce qu'il fait dans la vie. En fait je ne sais pas grand chose sur lui. Quand il m'a abordée au bar, on a parlé de choses futiles et pourtant la conversation était fluide et agréable. Le temps est passé à une vitesse fulgurante. On était même à deux doigts de faire la fermeture. Je lui ai ensuite donné mon numéro et je suis rentrée seule. Il ne m'a jamais appelée depuis. "Tu as perdu mon numéro ou t'attendais juste de tomber sur moi par hasard ?" Je suis loin de me douter de ce qui se passe dans sa tête. En fait, j'ai presque l'air naïve alors que je suis la personne la plus terre à terre qui existe. C'est assez contradictoire je le conçois. Je ne l'explique pas moi même. Y a juste un petit truc chez lui qui me met en confiance. Et comme en plus de ça, il n'est pas du tout désagréable à regarder.. et bien je profite le temps que ça dure.

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Sam 8 Aoû - 16:02


what a dangerous night
Alec & Amy

« Le véritable amour n'est qu'un joujou de femme; elle n'ont jamais connu la douleur d'un amant. »
Ton apparence ne plait pas à tout le monde. Les gens ont peur de toi, il faut dire que tu ne fais pas grand chose pour paraitre amicale aux yeux des autres habitants de Chicago. Tu te moque de plaire ou non. Tu te fiche d'avoir des amis ou de, au contraire, être seul. T'avance sans jamais te soucier des autres. T'avance sans jamais te retourner. Il est rare de te voir t'attarder sur qui que ce soit. Et pourtant, depuis maintenant deux semaines, depuis que tu es venu kidnapper la jolie Amy, elle ne cesse de te hanter. T'aurais sans doute ou profiter de la situation pour abuser d'elle, pour la baiser. Mais non, tu n'as pas voulu. Ce n'est pas l'envie qui t'en manquais. Amy est certainement l'une des plus jolies demoiselle que tu es pu croiser jusqu'à aujourd'hui. Tu n'arrive pas à te la retirer de la tête. T'essaie pourtant, t'essaie de toutes tes forces mais en vain. Ce soir, comme tous les autres soirs, tu rejoins la jeune femme à la fermeture de sa boutique. Tu ne t'es jamais fait prendre sauf aujourd'hui. Tu te fige. Tu ne sais pas comment réagir. Finalement, tu viens lui faire face. Ton regard l'observe minutieusement. Bordel, ce qu'elle est belle ! Tu rêve de lui retirer ses fringues et de découvrir ce qui se cache en dessous. Tu crève d'envie de sentir son corps qui se pressent contre le sien, de venir la pénétrer avec violence et de l'entendre crier sous tes coups de reins violents. "Moi ? Non pas du tout. C'est le pur hasard !" L'une de tes plus grandes capacités c'est ton aisance à mentir à tes différents interlocuteurs. D'ordinaire, personne n'arrive à voir quand tu mens. Et cette fois ? Face à !Amy, tu perds l'intégralité de tes moyens. Tu ne doute pas un seul instant que la jeune femme sache se défendre. Tu n'es pas rassuré de la laisser rentrer seul. Les fois précédentes, t'étais bien caché dans l'ombre mais pas ce soir. Tu la raccompagne donc chez elle, marchant à bonne distance d'elle. Un peu en retrait, juste assez pour pouvoir poser ton regard sur ses fesses. Il te faut beaucoup de concentration pour ne pas venir la plaquer entre le mur de l'un des bâtiments se trouvant autour de vous et ta petite -grande plutôt- personne. Tu grimace lorsque la demoiselle vient te réclamer une cigarette. Tu ne l'as encore jamais vu fumer, toutefois tu accepte de lui en offrir une. "Les désirs de mademoiselle sont des ordres !" Tu dis, plongeant ton regard dans le sien. Tu es bien plus grand qu'elle, malgré ses talons. Vous reprenez tous les deux la marche. De temps en temps, ta main vient effleurer celle de la jeune femme. Une décharge électrique s'empare de ton corps. "Ne t'en fais pas pour moi. J'aime être au service des demoiselles en détresse !" Tu dis, un sourire coquin sur les lèvres. Ton corps se rapproche dangereusement de celui de la demoiselle, jusqu'à venir oser passer ton bras par-dessus son épaule. Comme si tu marquais ton territoire. C'est un peu le cas en vérité. "C'est juste au cas où on croiserait des mecs mal attentionné !" Tu dis pour te défendre de cette initiative. Soudain, Amy vient te parler de votre rencontre au bar. Celle où elle t'as donné son numéro de téléphone, tu ne l'as jamais rappelé. "Ce n'est pas moi qui rappelle les femmes en général. C'est elle qui le font !" Encore aurait-il fallu que cette dernière ait eu le tien. "Je savais que l'on allait se revoir !" Tu viens lui murmurer à l'oreille. Tu es si proche d'elle que tu arrive à sentir la douce et délicieuse odeur de son parfum. Ta main glisse le long de ses dos, jusqu'à atteindre ses fesses. "Et toi ? Tu espérais me revoir ?" Tu demande, curieux de connaitre la réponse.
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Sam 15 Aoû - 13:57


dangerous night
Alec & Amy

« We burn and we played, we try to forget but the memories left are still haunting. The walls that we built from bottles and pills, we swallow until we're not talking
I, I am a man on fire. You, a violent desire. What a dangerous night to fall in love. Don't know why we still hide what we've become. »

Je ne l'accuse pas vraiment de me suivre, je ne le considère pas comme un danger pour moi. Pas dans ce sens là en tout cas. Son allure de bad boy n'est qu'une façade, de ce que j'ai pu en découvrir. Il a de la discussion et de la répartie, tout ce que j'aime chez un homme. En revanche c'est vrai, il y a cette petite voix dans ma tête qui me dit de rester vigilante tout de même. Elle me répète ces mots inlassablement depuis la première fois que j'ai eu un crush pour un mec, bien des années auparavant. Contrairement à ma petite soeur Mia, je ne suis ni fleur bleue, ni naïve. Le prince charmant n'existe que dans les contes de fées et encore, je le trouve ennuyeux à mourir. Je préfère d'avantage les intrigues plus sombres où le prince est d'avantage un démon sans foi ni loi plutôt qu'un preux chevalier en armure clinquante. C'est bien là tout le problème. Regardez mon attirance loufoque pour Raylan. Il est le profil même de ce que je déteste dans la vie réelle mais sur lequel je fantasme dans mes livres. Et la limite entre les deux est mince. Trop mince.
"J'ai l'air d'une demoiselle en détresse pour toi ?" Je le dévisage, faussement vexée par sa déduction, bien que je déteste être considérée comme faible. Je tire une bouffée de la cigarette puis je recrache la fumée droit sur son visage. "Qui te dit que je ne suis pas une dangereuse criminelle recherchée par la police ?" J'entre dans le jeu, je le titille pour tester sa répartie et jusqu'où il est prêt à aller pour me prouver ses bonnes intentions. Le bras qu'il finit de poser sur mes épaules me provoque deux émotions contradictoires. D'abord, je me fige par la surprise et par son cran. Puis je ressens un élan de désir dans mon bas ventre qui indique que sa soudaine possessivité me plaît. Sauf que, comme je l'ai dit, je ne suis pas une fille facile et encore moins naïve. C'est donc d'un geste rapide que je libère mon épaule sans pour autant lâcher sa main qui se retrouve contre la mienne. "T'emballes pas joli coeur. Je ne vais pas m'échapper." Ce n'est pas qu'il prenne des initiatives qui me pose problème, c'est plutôt ce que cela implique. Quand un homme pose son bras autour d'une femme, c'est un signal assez clair et je ne pense pas être arrivée à ce stade avec Alec. Qu'il soit foutrement sexy et attirant ne suffit pas à me soumettre totalement. C'est ce qui fait mon charme, paraît-il. "Et je pense que ta dégaine à elle seule va faire fuir les potentiels assaillants. Dégaine qui me plaît beaucoup d'ailleurs." Je glisse ce compliment pour éviter qu'il se méprenne. J'ai tendance à parler sans réfléchir et du coup, parfois mes mots sortent bruts,  sans le moindre filtre.
"Oh vraiment ?" Est-ce une excuse bidon pour éviter de m'avouer qu'il a jeté mon numéro ? Parce que effectivement, si j'avais eu le sien, je l'aurais certainement recontacté avant qu'on se croise ce soir par hasard. "Je ne donne pas mon numéro à n'importe qui, donc oui. Bien sûr que j'attendais de tes nouvelles. Te revoir, c'est même encore mieux." On arrive finalement aux pieds de mon immeuble et je m'arrête pour lui indiquer que nous sommes arrivés. J'indique le bâtiment d'un signe de tête. "J'habite ici." Je me retrouve face à lui, ma main toujours dans la sienne. L'autre a jeté le mégot de la clope usagé quelques pas plus loin. Je lève la tête pour croiser son regard sombre. "Si je t'invite à monter, tu vas me prendre pour une fille facile Alec ?" Sa réponse pourra bien être un mensonge, ça ne changera rien à mon envie de prolonger ce moment. J'ignore ce qu'il va se passer, si le courant va continuer à envoyer des décharges électriques dans nos corps à chaque fois qu'on se touche. Mais j'ai bien envie de voir ce que ça donne quand même. Je sais c'est contradictoire. J'ai refusé qu'il me prenne par l'épaule mais je l'invite à entrer dans mon appartement. J'ai jamais dit que j'étais très rationnelle. Surtout pas avec un mec comme lui.


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Dim 23 Aoû - 14:59


what a dangerous night
Alec & Amy

« Le véritable amour n'est qu'un joujou de femme; elle n'ont jamais connu la douleur d'un amant. »
Il y a quelque chose de différent chez la demoiselle présente aux côtés de Alec. Quelque chose que tu saurais expliquer. D'ordinaire, tu ne cherche pas à connaitre la femme qui croise ta route mais tout a changé à partir de l'instant où ton chemin a croisé celui de Amy. Un petit bout de femme pas très grande par la taille mais grande par le caractère. Et puis, pour ne rien lui retirer, Amy est tout à fait charmante. Elle te plait énormément et, pour la première fois depuis longtemps, ou pour la première fois depuis toujours, tu te vois bien avoir plus qu'une relation charnelle avec la demoiselle. Petit problème, et pas des moindres, tu ne sais pas si tu es capable de lui donner autre chose que du sexe. Tu n'as jamais été amoureux. Tu n'as même jamais éprouvé un quelconque sentiment d'attachement auprès d'une demoiselle. C'est nouveau pour toi, tu ne sais pas comment réagir. Dois-tu avancer vers elle ? Ou bien, au contraire, dois-tu la fuir ? Plus t'essaie de te tenir loin de Amy et plus c'est un échec. Il t'es impossible de cesser de la voir. Au fond de toi, tu le sent, tu l'a dans la peau. Oui, tu la suit. Oui, tous les soirs, t'es là, devant sa boutique. T'attend qu'elle en sorte tous les soirs. D'habitude, tu ne te fait pas prendre sauf cette fois, tu n'a pas suffisamment été sur tes gardes et voilà, Amy t'a vu. Elle t'a grillée et marcher à ses côtés, un bras posé sur son épaule, ça te rend heureux. C'est bête à dire mais c'est vrai. "Toutes les demoiselles sont des jeunes femmes en détresse !" Tu dis, sourire sur tes lèvres, un regard qui plonge dans les iris de la brune. Tu ne rêve que d'une chose, la prendre là, comme ça. La plaquer contre la vitre de cette boutique de lingerie que vous êtes en train de longer, soulever la demoiselle et de venir la pénétrer avec violence. Tu as envie de l'entendre gémir, jouir, hurler sous tes coups de reins que tu pourrais lui donner. Tu veux qu'elle te supplie de continuer, d'abréger ses souffrances en lui donnant un orgasme que jamais elle ne pourra oublier. Tu ne fais rien, tu te contente de marcher à ses côtés en la tenant par les épaules. "T'as pas le profil d'une criminelle mais.." Tu descends ta main sur les fesses de la brune comme pour montrer à quiconque qu'elle t'appartient "ça me plait ce que tu me dis !" Tu souris avec malice et viens caresser son postérieur. Tu aime à l'imaginer en parfaite criminelle, ainsi vous pourrez braver tous les interdits ensemble et, une fois vos méfaits faits, vous vous offrirez l'un à l'autre. C'est beau de rêver, encore faut-il réussir à la séduire. T'es rassuré quand elle dit qu'elle ne va pas s'envoler. Les filles ne s'attachent pas à toi en général, elles ne le font que parce qu'elle veulent que tu les baise. Après, elles s'en vont très loin de toi. Elles refont leurs petites vies aux côtés de leurs maris et ne manquent jamais de te revoir quand elles veulent prendre leurs pieds. Et toi, tu les accepte à chaque fois. Le chemin jusqu'à chez Amy, tu le connais. Toutefois, tu fais mine de rien et la laisse te mener chez elle. "Ah ouais ? J'te plais ?" C'est un très bon point pour toi ça, Alec. La demoiselle sera certainement d'accord pour que tu accepte de venir la baiser. Bien sûr que tu comptais la revoir, néanmoins tu ne rappelles jamais les demoiselles. Ce sont toujours elle qui le font. Toi, t'arrive simplement chez elle et tu viens te glisser entre leurs cuisses, essayant de leur donner le plaisir qu'elles attendent de toi. Vous arrivez devant l'immeuble de la demoiselle et sa requête te fait sourire. "Et si j'accepte, tu me prends pour un mec qui profite de la situation ?" Tu dis simplement, attrapant lentement sa main et nouant tes doigts aux siens. Tu viens la tirer contre toi, plaquant son corps contre ton torse. Ton regard se plonge dans les iris de la brune, tu te mordille la lèvre inférieure. Ton pouce passe sur les lèvres de la jeune femme. Tout ton corps est parcouru de spasmes. Tu la sens la tension sexuelle entre vos deux corps, ils ne demandent qu'à se découvrir, s'apprivoiser. "J'accepte de monter chez toi. On verra bien ce qu'il se passe une fois là-haut !" Tu dis, tes mains une nouvelle fois sur ses fesses. Tu viens les lui claquer gentiment avant de lui ouvrir la lourde porte de l'immeuble. "Après toi !" Tu n'es pas un gentleman, tu veux simplement pouvoir admirer ses fesses qui grimpent les marches jusqu'à son appartement.
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Jeu 27 Aoû - 12:14


dangerous night
Alec & Amy

« We burn and we played, we try to forget but the memories left are still haunting. The walls that we built from bottles and pills, we swallow until we're not talking
I, I am a man on fire. You, a violent desire. What a dangerous night to fall in love. Don't know why we still hide what we've become. »

L'amour, je n'y crois pas une seconde. Je trouve qu'on attend trop de ce sentiment, on se met la pression dès qu'une relation devient un peu sérieuse et souvent, c'est ce qui entraîne sa fin. A quoi bon ? Vous en connaissez beaucoup vous des couples qui durent et qui sont vraiment heureux ensemble ? Moi non. Mes parents sont toujours ensemble mais leur vie n'a jamais été rose, je ne les ai jamais envié. Pas comme ma soeur Mia et ses rêves de princesse naïve. Elle pense avoir trouvé le prince charmant avec Robin, moi je ne vois qu'un riche manipulateur qui finira par se lasser de son innocence. J'ai peur pour elle, je n'ai aucune envie qu'elle souffre. Mais peut-être c'est ce dont elle a besoin pour se rendre compte que ses convictions sont ridicules.
Pour moi, ce n'est qu'une question d'attirance physique. Regardez Rylan et moi. Purement et simplement incompatibles en terme de personnalité. Pourtant on s'attire physiquement. Et maintenant Alec. Je n'ai pas encore pu le cerner complètement mais de ce que je sais sur lui, il est très mystérieux et difficile à oublier. La preuve, j'ai vraiment voulu qu'il m'appelle après cette soirée au bar. J'avoue, j'ai été déçue qu'il ne le fasse pas. Qu'on se croise comme ça par hasard est sans doute une seconde chance pour tenter quelque chose.
"Ah oui ? Parce qu'il faut avoir un profil maintenant ?" Sourire en coin, j'entame un jeu de regard, mêlant provocation et séduction. De nous deux, c'est lui qui a le plus l'air d'un criminel, on est d'accord. Mais il faut se méfier de l'eau qui dort, pas vrai ? Les apparences peuvent parfois être trompeuses. Alec profite de ce nouveau rapprochement pour me peloter les fesses, je le laisse faire puisque je n'ai pas pour habitude d'allumer un mec sans raison. Passer la soirée avec un mec ne faisait pas partie de mon programme mais finalement, je suis ravie de revoir mes plans pour un mec comme lui. Je souris de plus belle quand il demande une confirmation de mon attirance pour lui. Je me poste devant lui et pose une main sur son torse tout en levant les yeux pour plonger dans les siens. "J'ai pas été assez claire la dernière fois ?" J'enchaîne en l'invitant carrément chez moi. C'est impulsif et sans doute un peu prématuré mais je m'en manque. La vie est courte. Il y a encore quelques jours, je pensais mourir dans une ruelle sombre. Alors honnêtement, j'ai revu mes états d'âme à la baisse depuis. Et je ne sais pas, je lui fais confiance. C'est étrange pas vrai ? Moi qui suis d'habitude si méfiante, j'ai l'impression que je suis en sécurité avec lui. Sa grande taille baraquée doit jouer aussi. C'est comme si on se connaissait depuis longtemps.. je suis incapable de m'expliquer cette sensation. Je hausse donc les épaules avec un petit sourire à sa question suivante, juste avant qu'il ne m'attire contre lui. L'espace d'un instant, j'ai cru qu'il allait m'embrasser là, en pleine rue. A la place, il me caresse les lèvres du pouce et me fait louper quelques battements de coeur dans le processus. J'ai le souffle qui devient court. Puis quand il me claque les fesses pour rompre le moment, je fais une moue boudeuse avant de le devancer pour nous mener jusqu'à mon appartement.
En montant l'escalier, je sens son regard sur moi et ça me rend un peu plus audacieuse. "La vue te plaît ?" Je roule volontairement des hanches en franchissant les dernières marches puis en faisant les quelques mètres qui nous séparent de ma porte. Je récupère mes clés dans mon sac et déverrouille ma porte. "C'est petit, j'espère que tu n'es pas claustrophobe." Je dépose mon sac sur le petit meuble qui me sert à la fois de penderie et de rangement pour mes chaussures. Puis j'avance jusqu'à la kitchenette pour ouvrir le frigo. "Une bière ?" Il a de la chance, j'ai pensé à en acheter quelques unes, au cas où. La plupart du temps, je me contente de l'eau du robinet, pour faire des économies. J'en sors deux cannettes que je pose sur le plan de travail, n'ayant pas de table. Entre un canapé et une table, j'ai dû faire un choix. Légèrement nerveuse d'un coup, je n'ajoute rien de plus, me contentant de désigner le dit sofa pour qu'on puisse s'y poser.

(c) DΛNDELION
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Ven 28 Aoû - 22:22


what a dangerous night
Alec & Amy

« Le véritable amour n'est qu'un joujou de femme; elle n'ont jamais connu la douleur d'un amant. »
L'amour, tu ne l'as jamais connu. Tu t'es toujours interdit toute forme d'attachement. L'amour, tu n'y crois pas. Pour toi, ça ne restera qu'un vaste rêve. Une pure utopie ! Trop de pression pour pas grande chose. Au moins, avec le plaisir de la chair, les choses sont simples. Tu n'as jamais été attiré par aucune femme. Jamais ? Jusqu'à ce que ton chemin croise celui de Amy. Tu n'arrive pas à savoir ce qui t'arrive mais, généralement, tu ne t'accroche pas si facilement. Là, avec elle, chaque soir tu te mets à la suivre jusqu'à son appartement. Tu te débrouille toujours pour te retrouver au même endroit qu'elle, sans que jamais elle ne puisse te voir. Ce soir est une exception. Tu n'as pas été suffisamment prudent vis à vis d'elle, tu la laissé te voir et t'approcher. Pour ton plus grand plaisir, te voici sur la route de son appartement. Peut-être aurais-tu pu l'appeler après avoir passé une très bonne, voire excellente, soirée au bar. Tu avoue avoir été déçu, t'aurais bien aimé la raccompagner chez elle et te glisser dans ses draps froissés. T'aurais voulu lui faire l'amour jusqu'au petit matin, jusqu'à ce qu'elle te supplie d'arrêter, jusqu'à être à bout de force. Au lieu de cela, tu n'as rien fait. Tu l'as suivie, jour après jour. Ce soir, tu promets de faire les choses différemment et de ne pas te dégonfler. Tes doigts passent derrière elle, effleurant très lentement sa colonne vertébrale. Ta bouche se retrouve à seulement quelques centimètres de son oreille. "Tu n'es peut-être pas une criminelle mais tu es tout de même dangereuse !" Dangereuse pour toi surtout, t'as peur de baisser ta garde face à elle. Elle te provoque, elle te séduit. Tu tente de résister, de ne pas venir la prendre violemment dans l'une des ruelles devant lesquelles vous passez. En tout cas, Amy est très réceptive à chacun de tes contacts. Tu profite d'être très proche d'elle pour lui peloter les fesses, elle se laisse entièrement faire. Vas-y Alec ! Encore un petit effort et elle est à toi. Elle va te laisser entrer chez elle, découvrir son appartement, son jardin secret. Elle va te faire entrer dans ses draps et t'auras gagné. Hurle la petite voix dans ta tête. Tu l'écoute, tu la suis jusqu'à atteindre son immeuble et la laisse passer devant. Tu ne manque jamais une bonne occasion d'admirer ses fesses. "La vue est parfaite !" T'as bien du mal à te retenir mais tu tiens bon, encore un petit effort et une fois que vous serez chez elle, t'auras juste à venir la cueillir. Le lit, le canapé, même le sol. Ça ne te dérange pas de le faire n'importe où. C'est elle qui choisira l'endroit et la position aussi. Amy s'amuse avec toi, elle roule des hanches faisant balancer élégamment ses fesses. Tu te mords la lèvre inférieur. Elle ne perd rien pour attendre. Ton sexe commence déjà à durcir dans ton caleçon, dommage qu'elle ne puisse pas le voir ! Elle vient ouvrir la porte. Son appartement est petit mais mignon. Tu souris, laissant ta main effleurer son bras en passant près d'elle. "Il est parfait, comme toi !" Tu viens te mettre à l'aise chez elle, retirant ta veste et tes chaussures. Amy te tend une bière, tu l'accepte volontiers. "Je ne refuse jamais une bière même si je préfère le whisky !" Viens-tu lui révéler sur toi. Tu prends place sur le canapé, observant avec minutie le studio de la brune. Amy est tout proche de toi, tu pose la bière sur le sol, tire légèrement le bras de la demoiselle. Son corps se plaque contre le tien. Ton visage s'approche du sien, tu viens l'embrasser à pleine bouche. Ta langue se mêlant dangereusement à la sienne. "Et si on terminait ce qu'on a commencé la dernière fois ?" Sans attendre sa réponse, tu la prends sur tes genoux et commence à la déshabiller. Son haut vient voler à l'autre bout de la pièce. Tes lèvres embrassent la poitrine de la brune. Impossible de t'arrêter, tu as envie de consumer l'acte charnel avec la brune.
(c) DΛNDELION
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