Know the rules @Zachary Thompson Autant dire que depuis qu'elle est sortie du bar de Zachary, elle n'est plus vraiment la même Giada. Elle n'a de cesse de penser à ce qui va l'attendre et contre toute attente à ce jeune homme tout à fait impertinent. Il a réussi là où les autres échoues bien facilement face à son gros caractère. Il a réussi à faire en sorte de l'énerver des jours durant. Peut-être, parce que comme elle, il n'aime pas réellement avoir tort et il a une force de caractère qui lui permet de dicter ses règles. Elle sait bien qu'elle n'est pas et surtout, n'a pas été, en mesure de pouvoir dicter ses propres règles. Ce n'est pas faute d'avoir pourtant bel et bien essayé. Néant total.
Ce n'est pas le manque d'assurance qui a fait d'elle son pantin, mais bel et bien le manque de jugeote de son aîné, qui la pousse aujourd'hui à devoir, non seulement se rendre dans ce foutu bar pour faire un travail qui la débecte au plus haut point. Mais aussi, reporter sa dernière heure de cours. Treize heures avait-il dit, sans lui laisser le choix de quoi que ce soit, alors qu'elle a pourtant bel et bien émit l’impossibilité de se rendre à cette heure ci dans son bar. Autant dire, qu'il a été plus fort en affaires qu'elle. Et si elle veut pouvoir voir ses petits enfants grandir un jour, autant dire qu'il va falloir se plier à ses règles, même si ça lui brûle bien volontiers les tympans, rien qu'à l'idée d'entendre la voix du jeune italien tatoué venir se frayer un chemin dans son esprit pour dicter les règles de la soirée.
Lorsqu'elle approche alors à treize heures moins dix tapantes devant le bar, c'est un grand colosse de deux mètres qui semble l'attendre et lui barre bien volontiers le chemin. Elle finit quand même pas rentrer quand elle dit avoir rendez-vous avec ''le patron''. À croire que l'énonciation même de ce terme fait trembler n’importe qui. Visiblement il cache bien son jeu et est peut-être encore plus violent qu'elle ne le pense. Lorsqu'elle pénètre dans le bar, il y a quelques habitués qui étaient déjà là la dernière fois et une jeune femme qui s'approche de Giada lui demandant si elle est la nouvelle ''MILF'' de la bande. Ce à quoi son regard se lève vers le ciel pour finalement hocher positivement de la tête et se faire accompagner au bureau du fameux patron des lieux. Bureau qu'elle connait pour y avoir laissé une trace il y a peu de temps. Zachary étant occupé au téléphone, elle reste alors muette et comprend qu'il s'agit encore de dettes impayées dont il est question, vraisemblablement. Lorsqu'il raccroche enfin et qu'il daigne se retourner vers elle. Elle racle un peu sa gorge. « C'est en tant que MILF que tu me présentes à tes … Filles ? » parce qu’elle ne sait pas exactement ce que ces jeunes femmes à la plastique irréprochables sont pour lui. L'air tout de même relativement agacée la belle italienne. Regardant sa montre pour voir, que comme à son habitude, elle a un peu d'avance. CRIMSON DAY
Aussitôt hors de ton bureau, la charmante quinqua était déjà planquée dans un coin de ta tête, assez lointain. Parce que tu n'as évidemment pas de temps à perdre avec elle de toute façon. Tu verras bien en temps et en heure, quand elle sera présente, comment se passeront les choses. Tu espères juste qu'elle ne va pas se défiler et / ou se foutre ouvertement de ta gueule. Même si tu en doutes quand même. Elle n'a pas envie de voir la tête de son fils se décrocher de son corps. Non pas que tu sois un meurtrier … Mais tu en connais des bons dans ce domaine là et tu n'hésiteras pas à faire appel à eux si vraiment tu estimes que cette foutue famille dépasse les bornes. Tu étais déjà pas mal tendu quand elle a tourné les talons, sans clairement te confirmer qu'elle serait présente à l'heure dite. Si ce n'est pas le cas, ça va vraiment te foutre en rogne. Alors elle ferait mieux de ne pas s'y essayer. Et tu veux croire qu'elle va faire preuve de bon sens.
Contre toute attente, elle arrive bel et bien à l'heure. Avec même quelques minutes d'avance. Alors tu ne l'accueilles pas vraiment dans ton bureau dans lequel elle entre. Ton regards scanne brièvement sa tenue vestimentaire et tu te détournes d'elle pour terminer ta communication. Quand de nouveau tu te concentres sur elle, tu as les sourcils froncés et les lèvres pincées. Ah bah c'est sûr que là, on n'est plus sur la petite mémère qui passe sa journée dans la cuisine et sur le canap', que sur la MILF ... Que tu répondes, la voix pleine de jugement. Pour ne pas dire même une once de dégoût jusque dans le regard toujours rivé sur elle. Je pensais pourtant avoir été clair là dessus. Et si ce n'était pas suffisant alors tu lui offriras une double dose. Parce que tu n'as aucune envie qu'elle bosse dans une tenue pareille. Elle ne va pas servir à grand-chose, qu'on se le dise.
Tu vas aller te changer. Et ce n'est pas une demande ou une requête. C'est davantage un ordre, même s'il n'est pas dur en apparence. Tu as bien compris qu'il fallait un certain tact pour lui demander des choses ou lui adresser la parole. Qu'il ne sert à rien de l'agresser verbalement dans l'espoir de soutirer quelque chose d'elle. Parce que ce n'est pas comme ça qu'elle fonctionne. Et même si tu as tendance à aboyer des ordres dans certaines situations, tu as pigé que ça ne fonctionnerait pas ainsi avec elle. Bouge pas, j'vais demander à ce qu'on t'apporte autre chose. Quelle taille ? Que tu l'interroges ensuite, l'agacement qui se sent dans ta voix alors que tu attrapes ton téléphone et composes un numéro. Prêt à appuyer sur le bouton vert. Uniquement dans l'attente d'avoir l'information quant à sa taille pour aller au bout.
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Ven 29 Oct - 9:32
Know the rules @Zachary Thompson C'est avec une envie totalement dissimulée, puisque inexistante, qu'elle se rend donc dans l'antre du monstre. Depuis leur dernier entretient, autant dire que c'est ainsi qu'elle le perçoit. Elle ne voudrait jamais avoir à faire avec lui au-delà de ce qu'il lui impose et pour ce faire, il va falloir qu'elle donne un peu de sa personne. Elle prend donc la direction de ce foutu bar où une jeune femme l'accueil. Elle ne semble pas être mal traitée, parce que c'est l'image que ce fait Giada de ces jeunes femmes. Mal traitées par des hommes pour Zachary pour l'argent, mais elle à plutôt l'air en pleine forme.
Une fois dans ce bureau, à peine ses talons franchissant le sol, elle fait une réflexion tout à fait intéressante. MILF ? Autant dire qu'elle est en effet, loin de l'être comme semble le préciser Zachary, qui à l'air agacé pour le coup. Il se permet un jugement totalement déplacé, mais finalement, elle sait pour quelle raison elle est là. « Je t'avais dit, quatorze heures si tu voulais me voir arriver comme convenu » elle n'a pas pu se rendre chez elle après les cours afin d'enfiler une tenue un peu plus … Provocante. Mais autant dire qu'elle n'avait pas l'intention d'aller en cours habillée de manière aguichante. Ce qui explique cette tenue de 'ville' simple et cosy. Peut-être un peu vieux jeu pour le jeune homme d'affaire.
Elle soupire alors longuement à ses remarques. Le ton est donné. Pas d'amitié, mais pas d'animosité non plus. Ils se contentent tous les deux de simplement négocier pour l'instant. Un ordre qui ensuite arrive à l'oreille de Giada. « S'il vous plaît » oh, elle sait très bien qu'il n'en aura rien à foutre. Mais il paraît que son éducation est tout à fait médiocre, alors tant qu'à faire, autant le lui rappeler subtilement. Elle s'approche alors de son bureau, où elle pose ses fesses après avoir retiré son manteau, jambes croisés. La voix posée, mais teintée d'agacement. « La taille qui recouvre le plus mes formes » pour ne pas dire son cul et ses seins qui métreraient pourtant bien d'être mis en valeur. Son corps a cinquante ans passés, mais fait encore tourner des têtes. « Saches que je dois repartir en fin de journée récupérer ma fille » autant être honnête dès le début, elle n'a pas l'intention de passer sa soirée et encore moins sa nuit ici. CRIMSON DAY
Tu lui offres un regard noir quand elle te répond. Tu auras moins de patience aujourd'hui. Parce que tu es pleinement dans la peau de celui que tu dois être quand il y a des combats qui se déroulent dans l'arrière cours de ton bar. Tu ne peux pas te permettre de laisser passer quoi que ce soit et il est préférable qu'elle l'apprenne dès à présent. Même si ce sera évidemment fait pour lui déplaire. On ne va certainement pas commencer à fixer nos horaires en fonction des tiens. Que tu lui rappelles dans un grognement tout à fait mécontent. Elle pourra bien dire ce qu'elle voudra à propos de tout ça, ça n'y changera rien. Ce n'est évidemment pas à toi ni à ta petite organisation, de se plier à ses exigences, besoins et envies en tous genres. Qu'elle n'oublie pas qu'elle fait tout ça pour protéger son idiot de fils qui a tenté de la faire à l'envers aux mauvaises personnes. Ce n'est pas pour son petit plaisir ni quoi que ce soit du genre.
Le regard noir est de retour quand elle pense utile de te reprendre parce que tu as fait l'impasse sur la formule de politesse. Elle doit pourtant bien se douter du fait que tu t'en fous pas mal de son avis sur ton éducation. Ou manque d'éducation en l'occurrence. Tu n'as que faire de ses remarques à ce niveau là et à d'autres niveaux d'ailleurs. Elle finit par se débarrasser de sa veste pour venir s'asseoir sur le bord de ton bureau. Aucun doute que tu pourrais un peu plus te rincer l'œil, si seulement elle ne portait pas une robe aussi hideuse. Qui recouvre beaucoup trop ses formes pour le coup. Même si tu as bien saisis qu'elle espérait ne pas trop les dévoiler quand il lui faudra se changer. Pourtant, elle fera avec ce que tu lui fileras. C'est bon, détend-toi. Y'en n'a pas pour toute l'après-midi. Que tu te contentes de l'informer, en te levant pour rejoindre la porte.
Tu l'entrouvres et interpelles l'une des jeunes femmes présentes, pour lui demander de trouver une robe à la nouvelle recrue. Elle lance un coup d'oeil à l'intérieur du bureau pour scanner du regard la quinqua. Sans doute pour tenter d'elle même de trouver la taille qu'elle peut bien faire. Après quoi, elle fait un rapide aller retour pour tendre une robe en cuir rouge, tout à fait sexy, à l'adresse de la brune. T'as qu'à te changer ici. On va pas prendre plus de retard pour tes beaux yeux. Que tu lui indiques en lançant un coup d'oeil à ta montre. Avant de daigner quitter le bureau dont tu fermes la porte pour qu'elle ait droit à un minimum d'intimité. Tu ne doutes pas qu'elle t'aurait fait un caprice sinon. Alors autant ne pas tenter le diable. Et l'attendre, bras croisés sur le torse, devant la porte. Si elle ne se dépêche pas, tu es tout à fait capable d'entrer de nouveau.
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Mer 3 Nov - 18:56
Know the rules @Zachary Thompson Elle le sent un peu plus différent ce soir. Elle s’imagine bien qu'il doit avoir troqué la casquette du parfait petit con pour le vrai chef d'entreprise qu'il semble être ou du moins vouloir être. Il a son bureau, certes. Elle commence d'ailleurs à le connaître par cœur Et parce qu'elle doit justifier son accoutrement pour le coup, il lui semble bon de préciser les raisons pour lesquelles elle n'a pas pu venir habillée comme il le voulait. Elle n'est pas bête au point de ne pas savoir comment il aurait voulu qu'elle arrive. Certainement comme les filles qui vont et viennent dans l'arrière-court. Elle remarque bien qu'il y a pas mal de passage là-bas et que c'est certainement son lieu de travail aussi pour l'après-midi. « Tu devrais si tu ne veux pas me voir arriver en retard dans ce cas ou habillée comme ça » simple conseil d'ennemie.
Parce que pour l'heure, ils sont tous sauf amis. Ils ne peuvent pas se blairer et ça se sent dans l'ambiance qui électrise toute la pièce. Allant même jusqu'à rendre le regard habituellement moqueur de Zac relativement noir et dénué de sentiments positifs. Elle soupire un peu. Et un autre soupire un peu plus rassuré quand il précise donc qu'ils n’en auront pas pour toute l'après-midi. Elle doit récupérer son enfant d'ici là, alors, forcément, elle n'a nullement envie d'y passer la soirée. Ainsi assise sur le bord du bureau, elle se permet même d'être impertinente, comme lui. Donnant une réponse relativement vague quant à la taille de ses vêtements. Avant que la jeune fille sorte de la pièce pour aller chercher de quoi se vêtir.
Finalement, quand elle revient, c'est avec une espèce de tissu en cuir rouge et rien que la couleur annonce déjà le type d'habit qu'il finit par lui tendre. Elle n'a pas plus le temps d'y réfléchir à deux fois, il quitte la pièce et c'est donc dans cette pièce, qu'elle se change. Contre son gré, dans des grognements qu'elle étouffe entre chaque membre qui passent dans la robe. Un miroir dans le fond qui lui permet de voir à quel point elle est sexy et aguichante et à quel point elle n'aime pas du tout se voir ainsi mise en valeur pour l’activité qu'elle va faire. Une fois prête. Elle prend une grande inspiration et va ouvrir la porte. Tombant nez à nez avec Zac. Un millimètre de plus et leurs lèvres se touchaient et leurs visage s’entrechoquaient. « T'avais l'intention de renter ou je rêve ? » autant dire que c'est le cas. Elle a été longue, c'est un fait. Enfiler du cuir, n'est pas aisé. Elle finit par se repousser un peu. Inconsciemment lui laissant l'opportunité de la voir dans cette robe. « Quelle est la suite de tes conneries ? » conneries, c'est ainsi qu'elle résume le travail qu'elle va devoir faire pour lui. CRIMSON DAY
Ton regard reste relativement sombre au cours de vos échanges. Que tu n'apprécies que très peu d'ailleurs. Parce qu'elle a toujours trop de répondant à ton goût la charmante quinqua. Et que ça va bien finir par te foutre en rogne si elle continue ainsi. Mais pas maintenant. Il te faut rester calme et aussi patient que possible. Parce que vous avez à faire. Et que tu as donc plutôt tout intérêt à rester concentré sur la suite des évènements. Ou alors il va falloir qu'on t'accueille ici avec des tenues appropriées. Que tu conclus plutôt, à bien y réfléchir. Parce que ça te semble effectivement être la meilleure façon de ne pas perdre plus de temps. Mais sans pour autant lui laisser la possibilité de faire sa loi et de prendre ses propres décisions. C'est hors de question ça. Et il vaut mieux pour elle qu'elle en soit consciente, avant de trop essayer de jouer.
Quoi qu'il en soit, vous finissez bien par vous mettre d'accord. Ou plutôt, tu lui imposes la suite sans lui laisser la possibilité d'y réfléchir à deux fois. Parce que vous n'êtes pas non plus là pour parlementer tous les deux. Et tu oses espérer qu'elle en est bien consciente. Et qu'elle va donc cesser de te titiller comme elle a tout l'air d'être encore en train de le faire. Cette femme de caractère que tu laisses quand même seule dans ton bureau. Le temps pour elle de changer de robe. Au profit d'une faite de cuir rouge qui sera tout à fait tape à l'oeil. Tu n'as aucune idée du rendu final qu'elle va offrir là dedans. Et tu ne t'en soucies pas plus que ça alors que tu t'apprêtes à entrer de nouveau dans le bureau parce qu'elle met beaucoup trop de temps à ton goût. Mais -fort heureusement pour elle sans doute-, elle ouvre la porte à ce moment là. Vos visages ne sont qu'à quelques centimètres l'un de l'autre avant que vous n'ayez tous les deux un mouvement de recul.
Bien sûr que oui. Ca t'a pris un temps fou. Que tu réponds, un brin agacé. Tu l'es tout autant par la suite de ses mots. Parce que tu n'es pas tout à fait d'humeur à jouer et à lui rendre ses remarques acerbes. Sauf que ton regard descend enfin d'un étage et rencontre la poitrine opulente qui a l'air très à l'étroit dans ce cuir rouge. Eh bien ... Qui aurait pu imaginer qu'il y avait ça sous cette robe ? Tu as bien remarqué qu'elle avait un corps tout à fait attirant le soir de votre rencontre. Mais tu ne pouvais pas savoir que c'était à ce point. Au point de faire naître ce petit sourire appréciateur sur tes lèvres. Quand bien même tu finis par te détourner pour l'entraîner côté arrière cours du bar. Tiens. Tu présenteras les combattants et tu feras le tour des spectateurs pour les inciter à parier plus. Sofia se chargera de noter les noms et les montants de chacun. Tu lui tends un bout de papier sur lequel sont notés les noms des combattants.
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Ven 12 Nov - 18:41
Know the rules @Zachary Thompson Elle n'a pas vraiment l'intention de se faire accueillir une nouvelle fois ici. Elle pense, certainement bêtement, que cette soirée seule sera assez prolifique pour pouvoir éponger les dettes de son fils. S'il faut jouer de ses charmes pour que les hommes qui se trouvent dans ce bar dépensent leur argent. Elle fera le nécessaire, elle fera surtout de son mieux. « Il n'y aura pas de prochaine fois » enfin ça, elle l'espère. Elle ne se rend pas réellement compte des sommes que les gens ici présents peuvent dépenser ou non.
Il faut dire que son fils a été assez bête pour se faire avoir et au vu des filles qui traînent dans ce club, elle comprend bien pourquoi. Elles sont bonnes à crever, alors forcément, elle imagine bien Lorenzo se laisser charmer par une de ces démones pour lui soutirer tout son argent. Chose qu'elle-même va faire ce soir. Après avoir joué avec les nerfs de Zac, elle finit par accepter de se changer dans la pièce. Une robe rouge en cuir qui lui galbe ses formes et qui met ses attributs en valeurs. Elle se glisse non sans difficulté tant elle est près du corps. Raison pour laquelle elle prend un peu son temps.
Quand elle ressort, c'est pour se trouver nez à nez avec son bourreau. « J'imagine que le respect de l'intimité ça doit te passer au-dessus » et le respect tout court. Il aurait pu la voir à poil à tout moment. Fort heureusement, ce n'est pas le cas. Ceci dit le regard qu'il lui porte suivi de sa remarque la fait rougir un peu. En accord avec sa tenue. « Regardes ailleurs » parce qu'elle n'a vraiment pas envie qu'il pose ses yeux sur elle. Elle finit donc par prendre les papiers qu'il lui tend et c'est résignée qu'elle se dirige vers la cour arrière. « Bien … Chef » soupirant et levant les yeux au ciel. À sa grande surprise, tout est bien organisée et la lumière assez tamisée pour cacher son visage. Il faut dire qu'ils n'ont d'yeux que pour sa poitrine opulente qui est de sortie. Elle se laisse guider par Sofia qui lui apprend les rouages de ce nouveau métier. Un regard vers son patron d'un soir après avoir déjà noté quelques noms et des montants sur le papier après quelques heures de prestation. « Si je continue ainsi, la dette sera effacée plus vite que prévue » il faut dire que les parieurs sont présents et ne lésinent pas. Bientôt les dix mille dollars atteint. CRIMSON DAY
Elle a l'air vraiment très sûre d'elle quand elle t'affirme qu'il n'y aura pas de prochaine fois. C'est tellement absurde pourtant, que ça t'arrache un semblant de rire. De ceux qui s'échappent par le nez malgré la bouche bien fermée et les dents serrées. Tu ne peux pas tout à fait lui en vouloir pour cette naïveté qui est probablement dû au fait qu'elle ait cet espoir un peu dingue là au fond d'elle. L'espoir que ça ne dure pas trop longtemps. Elle se rendra vite compte qu'elle est loin d'être débarrassée de toi et de tout ça. Tout simplement parce que la dette est énorme et parce que l'argent dans le rôle qui sera le sien, ne se fait pas si vite que ça. Pour en gagner beaucoup et vite, elle ferait mieux d'ouvrir les cuisses. Mais tu ne fais pas dans le proxénétisme alors ce sera à elle d'en décider ainsi si c'est cette tournure que doivent prendre les choses.Quelle naïveté.
Arrive enfin le moment où la quinqua sort du bureau, changée et tout à fait sexy comme espéré. L'intiquoi ? Tu continues de jouer au con pour la provoquer, parce que ça t'amuse. Parce que tu aimes jouer et parce que tu adores tout autant le fait de la voir réagir comme ça. Tendue et semblant tout le temps à deux doigts de t'envoyer chier bien comme il faut. Habitue toi aux regards. Parce que c'est bien le but. Attiser l'envie et faire perdre la tête au point que les parieurs ne regarderont vraiment pas à la dépense.
Et attend toi aux mains sur ce décolleté et ce charmant petit cul. Que tu surenchéris, non sans ironie. Arrive enfin le moment où tout le monde termine dans l'arrière cours. Une véritable arène aux délimitations humaines. Les combats commencent. Les poings volent. Le sang et la sueur giclent de partout. Faisant se reculer quelques personnes, dégoûtées mais excitées à la fois par toute cette violence. Quand un combattant veut reculer, il est remit au centre du cercle pour reprendre. Et ça va jusqu'aux KO ou abandons. Les heures défilent et tu finis par retrouver la quinqua naïve. Nouveau rire du nez. Je vais te renommer. Naïve. Que tu commentes, en reportant ton regard sur le dernier combat de la soirée, encore en cours. Les filles touchent 15%. Certes, ç'aurait été sympa de le lui préciser avant. Pour tes beaux yeux, j'accepte de monter à 20%.
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Dim 16 Jan - 2:19
Know the rules @Zachary Thompson Évidemment qu'elle est naïve, après tout, elle n'a jamais fait dans ce milieu et elle espère pouvoir éponger sa dette en une soirée ou deux, grand maximum. Elle ne se rend pas bien compte du temps que cela prendra. À sa remarque alors, elle ne dit rien, elle laisse faire et le laisse dire. Après tout, elle a comprit qu'il était le boss ici et qu'il pouvait bien dire ce qu'il voulait et quand bien même elle voudrait essayer de le contredire, elle ne pourrait pas. Elle le regarde alors simplement s'en aller de la pièce et elle s'y change.
Quelques secondes de plus là-dedans et il aurait fini par la voir entièrement nue. Elle, essayant de se changer tant bien que mal. Une fois dehors, nez à nez avec ce qui semble être son bourreau, elle lui fait part de son mécontentement quant à l'intimité offerte. Sa réponse la fait simplement lever les yeux au ciel. « Je peux m'habituer aux regards, mais pas à ton attitude » elle sait bien qu'il n'en aura que très peu à faire de ses paroles. Après tout il est le genre d'homme à qui on ne refuse rien. Un air de pourri gâté sans en être réellement un. Après tout, elle ne le connaît pas et quand bien même elle peut remarquer à quel point il est méprisant, il ne semble pas être si mauvais que ça au fond de lui. Il arrive même à faire une espèce de compliment sur son cul, qu'elle ne prend évidemment pas. Levant uniquement les yeux au ciel.
Pour l'heure, il est surtout question de pouvoir récupérer un peu d'argent et faire jouer les hommes ici présents à voir d'autres pauvres homme se battre au fond de la cour. Elle sait jouer de ses charmes pour amasser les billets et les paris, mais ce qu'elle ne sait pas, c'est le pourcentage qu'elle va pouvoir en tirer. Encore une fois, il la trouve bien trop naïve, après tout, ce n'est pas son domaine. Pourtant, elle renchérit. « Et moi je vais te renommer radin » après tout, vingt pourcents ce n'est rien pour elle. Le calcul est vite fait dans sa tête et à ce rythme, elle risque de passer des semaines entière ici à voir les hommes se battre et jouer de ses charmes. « Et pour mon beau cul 25% et ma poitrine 35%, tu en dis quoi ? » après tout, si ses yeux peuvent faire monter les enchères, pourquoi pas le reste de son corps. Elle arrive même à trouver la chose marrante et rentrer dans son jeu. « D'après Sofia j'ai le droit à une pause en ce moment, tu m'invites ? » elle a bien compris qu'il ne servait à rien de lui rentrer dedans et qu'elle ne risquait rien à être sympa avec lui après tout. Peut-être qu'il fera réellement monter les enchères à 35% quand il se rendra compte que finalement, elle est plutôt sympa en plus d'être magnifiquement belle et bien foutue pour son âge. CRIMSON DAY
Tu te rends assez rapidement compte du fait qu'elle pourrait bel et bien te rapporter pas mal d'argent la MILF aux courbes affolantes. Pourtant, tu ne t'imagines pas un seul instant lui offrir un pourcentage trop élevé de cet argent sur lequel elle arrivera à mettre la main. En partie parce que tu sais qu'une fois qu'elle aura terminé d'éponger la dette de son fils, elle s'en ira. Autant essayer de faire durer un peu plus la chose donc. Non pas parce que tu découvres déjà que tu apprécies sa compagnie. Mais bel et bien pour l'argent qu'elle pourrait sacrément te rapporter sur du plus long terme. Elle n'est malheureusement pas de celles et ceux qui aiment à trop traîner dans ce genre d'environnement. Tu l'as bien saisis, qu'elle était plutôt du genre sérieuse. Beaucoup trop pour des gars comme toi. Et même beaucoup trop pour que vous puissiez vous entendre, de toute façon.
Et quoi qu'il arrive, tu prends surtout beaucoup trop de plaisir à la provoquer et à l'emmerder bien comme il faut. Tout ça pour voir un petit air courroucé s'installer sur son visage. Et ce, à chaque fois que tu l'envois balader pour une raison ou pour une autre. C'est plus fort que toi. Tu prends toujours tellement de plaisir à provoquer des réactions de ce genre chez les gens. Mais plus encore quand la personne en question se veut à ce point sérieuse le reste du temps ... Au point d'en être même tout à fait coincée. C'en est une sacré, tu n'en doutes pas. Et elle tente encore les négociations, tant qu'à faire. Pourtant, tu te contentes de rire et de lui offrir un regard ironique qui répond bien assez pour toi. Il est évident que tu n'as pas la moindre intention de lui offrir plus encore. Tu fais déjà un geste en daignant lui proposer plus que la plupart des autres filles qui font ce boulot là.
J'en dis qu'Naïveté est un prénom qui t'va bien. Tu hausses les épaules et t'apprêtes à t'éloigner d'elle quand elle mentionne sa pause. Ce qui t'arrache un bref soupire. Elle parle trop celle là. Que t'es déjà à râler, en cherchant du regard ladite Sofia. Que tu aperçois en train de se griller une clope un peu à l'écart. Le regard ravi posé sur la foule. C'est quoi ta demande ? Que mon bar t'offre un verre ou que je t'accompagne ? C'est un regard suspicieux que tu poses sur elle. Tu n'es pas sûr de saisir. Mais tu es à peu près certain qu'elle n'est pas du tout en train de quémander ta compagnie. A moins qu'elle n'ait l'intention d'essayer encore de se faire payer plus.
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