@Mila Hartwood

Journée ordinaire dans le monde chaotique de Rylan Skylar. Toujours la même journée. Toujours les mêmes problèmes. Et c’était sans compter sur ses nuits. Bien occupées. Toujours différentes. Lorsqu’on était un membre des Bloody Boys, il n’y a jamais de vacances. Encore moins lorsqu’on est un membre important. Le matin, il s’était réveillé dans les draps d’une créature inconnue. Un rapide coup d’œil à ses salons. Une énième réunion téléphonique avec Robin. Et pour une fois aucun problème. Aucun flic pour fouiller là où il ne devrait pas. Aucun petit con incapable de faire son taf. Il avait même temps pour une petite virée en ville. Depuis le temps, où il voulait s’acheter une nouvelle veste en cuir. Symbole de sa personnalité. Il en avait vu une sur internet. Autant se faire plaisir. Ce n’était pas comme s’il allait manquer d’argent. Il pourrait même en acheter une cargaison, qu’il serait loin d’être dans le besoin. Pourtant, avant d’arriver devant le magasin, son regard fut attiré par un magasin féminin. De magnifiques dessous en dentelle. Des nuisettes transparentes. Pourtant, ce n’étaient pas les sous-vêtements qu’il imaginait très bien retirer sur n’importe quelle femme, qu’il regardait. Mais une blonde. Un magnifique sourire. Un corps magnifique rempli de tatouage. Surtout la femme seule interdit à Chicago… Enfin l’une des deux femmes interdites à Chicago. Mila Hartwood. Il faut dire que si la jolie demoiselle a déjà vu une bonne partie du corps de Rylan lors des séances de tatouages, lui avait souvent rêvé de ses courbes. De ses jambes s’enroulant autour de ses hanches alors qu’il s’enfoncerait brutalement en elle. De ses lèvres généreuses autour… Stop. Cette fille était une tentation à elle toute seule. Des années à jouer au jeu du chat et de la souris. Sans jamais aller plus loin. Il la séduisait sans jamais aller plus loin. Elle l’emmerdait, jusqu’à ce qu’il capitule. Une relation bizarre et sans issue. Mais oh combien distrayant. Oubliant totalement ce pourquoi, il était venu, il prit la direction du magasin de sous-vêtements. Sans doute pas la meilleure idée. Un homme venant dans un magasin pour femme, seul, étant la définition qu’on pouvait mettre à coté de pervers dans le dictionnaire. Tant pis. Tourmenter la jolie blonde. L’emmerder un peu. Cela valait tous les sacrifices de la terre. Devant, les portes s’ouvrirent comme par magie. Un léger bip lorsqu’il passa devant les portes. Ses pas le menant directement vers sa proie. Elle regardait un ensemble sexy. Le genre parfait sur elle. Se glissant derrière elle. Sa bouche à quelques millimètres de son oreille. « Tu sais princesse, tu n’as pas besoin de dépenser autant pour des dessous qui disparaîtront rapidement. Quoique d’imaginer t’arracher ce string, me fait bander... » Avec les femmes, il savait être doux, sensible pour avoir ce qu’il voulait. Avec Mila, il cherchait toujours à être le pire des connards. La déstabiliser. « En fait, je rectifie… Cet ensemble-là me plaît beaucoup… Attachée au lit… Ton cul rougi par mes coups... » dit-il en désignant un ensemble en cuir face à elle. Bien trop érotique pour son esprit pervers.

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Entre eux, il y avait une alchimie. Il fallait être aveugle pour ne pas la voir. Le problème c’était leur lien respectif avec Robin. La sœur. Le lieutenant. Autant dire, que c’était comme Roméo et Juliette. Sans le côté romantique. Plutôt Roméo et Juliette version Adultes consentants qui voulaient se jeter l’un sur l’autre pour s’arracher les vêtements. Dans un corps-à-corps violent et brutal. Et il ne fallait pas être un génie pour voir que chacun d’entre eux avait déjà imaginé mille et une façon de se faire mutuellement du bien. Sauf que s’imaginer, c’était bien, mais pratiquer, c’était mieux. Seule façon de compenser ce trop plein d’endorphine se chercher mutuellement. Se tester. Attiser le désir. Cette relation fonctionnait plutôt bien pour l’instant. Pour un joueur comme lui, Mila était la parfaite concurrente. Aussi sexy que piquante.Il suffisait de voir son sourire lorsqu’elle comprit à qui elle avait affaire. Répondant à chacune de ses piques tel un punching-ball. Attisant son désir. L’envoyant balader tout en lui laissant une porte ouverte. Bordel. Maintenant, il l’imaginait parfaitement ne portant que ce petit string, alors qu’il tirait dessus pour l’arracher. Dévoilant son cul rebondit. Merde. Maintenant, il était aussi dur que la pierre. Et aucun moyen de se soulager. Enfin, il aurait mieux fait d’éviter de laisser son esprit pervers vagabonder. Qu’est-ce qu’il foutait assis dans showroom. Bon, les fauteuils étaient moelleux. Assez agréable. Mais, est-ce qu’elle allait vraiment se changer pour lui proposer des tenues. Elle n’oserait pas. Elle était joueuse. Depuis le temps, qu’ils se cherchaient, ils s’étaient balancés beaucoup de choses… Très très loin d’être catholiques. Cependant, c’était toujours resté verbal. Quelques caresses pour attiser le truc mais là, elle allait se foutre à poil pour le prendre à son propre jeu. Rien qu’à l’idée de la voir dans l’ensemble en cuir, il eut l’impression d’exploser dans son pantalon. Voir son ombre derrière le rideau sans savoir ce qu’elle faisait, était la pire torture. Bien pire que de l’imaginer avec l’ensemble en cuir. Pourtant malheureusement ou heureusement, elle sortit avec un ensemble plutôt… Euh simple… Enfin avec un corps comme le sien, elle ferait d’un sac poubelle une robe haute couture. Tous ses tatouages étaient un appel à la luxure. Elle voulait le torturer mais elle oubliait à qui elle avait affaire. Il se leva et tel un prédateur, il s’approcha d’elle. La regardant de prêt. Sous toutes les coutures. « Hum… Non… Je trouve que ça te grossit. Il te faudrait moins de tissus. » Approchant sa main de ses seins. Les frôlant sans les toucher. Jouant au même jeu qu’elle. « Tes seins semblent comprimés...Étouffés... » Doucement, il se pencha contre elle. Son corps à quelques millimètres du sien. « Bébé, t’oublies avec qui tu joues… Tu pourras essayer tous les ensembles sexy que tu veux… je craquerais pas… Mais, je serais toi, j’éviterais de trop me chercher… Ça fait longtemps que je rêve de te baiser... » Voilà ça c’était eux. Des mots pervers. Des un pas en avant trois pas en arrière. Ils jouaient un peu trop avec le feu. Se reculant, il lui fit un clin d’oeil avant de s’installer de nouveau sur le siège. « Aller chérie, le suivant… Oublie pas que c’est pour la lune de miel... » dit-il assez fort pour la vendeuse qui passait à côté de lui. Une jolie petite chose qui ferait très bien l’affaire pour compenser la jeune femme qu’il ne pourrait avoir.

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Mila était la femme parfaite. Franchement, il aurait pu l’épouser. Et oui, même lui, le célibataire le plus endurci de la ville pouvait avoir envie de se marier. Soyons honnête. Elle était sexy. Elle était tatouée. Elle avait un caractère bien trempé. Elle était capable de rivaliser avec sa folie. Franchement, que demander de plus. Bon peut-être que si elle n’avait pas un panneau noté interdit sur le front, elle serait moins attirante pour lui. Une fille parmi tant d’autres. Une fille qu’il aurait baisée avant d’oublier le nom. Enfin peut-être pas, car un corps comme celui de Mila, il y en avait peu. Aussi sensuel, qu’attirant. Aussi délicieux que dangereux. Et puis les tatouages. Sans doute l’un des seuls hommes qui rêvaient d’avoir une femme avec plus de tatouages que lui. Parfaite. Regardez-là, alors qu’elle sortait avec ce petit ensemble devant un homme qui n’était même pas son petit ami. Et cette répartie qui lui laissa échapper un sourire. Elle le provoquait. Peut-être un peu trop. Mais, elle oubliait qui il était. Peut-être que Robin était une barrière, mais il y avait des millions de façons de contourner ce problème. Le premier le dire à Robin, il n’était pas con, et il avait bien vu le petit jeu des deux concernés. La faire chanter pour qu’elle ne dise rien. Bizarrement, il était devenu même plutôt pro à ce petit jeu… Alors il valait mieux qu’elle n’oublie pas qui il était. Alors, lorsqu’il la renvoyait dans la cabine, il laissa échapper une dernière réplique doucement pour elle toute seule. « Bébé, j’ai bien l’intention de craquer… Quand tu t’y attendras le moins… Histoire de te prendre par surprise… Comme dans une cabine d’essayage par exemple... » dit-il avec un sourire avant de s’asseoir dans le fauteuil pour le défiler. Lui qui n’était pas très shopping, il allait vraiment finir par aimer ça. C’était plutôt sympa, distrayant et sexy. Alors que le rideau se ferma devant lui, l’empêchant de profiter d’une meilleure vue, son regard se porta sur la petite vendeuse. Assez jolie. Banale. Mais bon, après la tension qui se jouait en lui en ce moment, il lui en faudrait peu. Et puis, vue, la façon dont elle le regardait. Ce regard envieux qu’elle avait toute… Enfin beaucoup… Une seule parole et elle dirait oui. Il lui adressa un clin d’œil, qui la fit rougir. Cependant, elle ne se laissa pas démonter et s’approcha de lui. Malheureusement pour elle, se fut ce moment-là qu’il entendit un bruit derrière le rideau. Son attention bien plus attiré par ce qu’il se jouait derrière. Sans réfléchir, il se leva et passa la tête. « Bordel, il t’en…. » Ses mots se perdirent dans le néant. Bordel de merde. Pourquoi il était parti regarder. Cette petite maligne avait passé l’ensemble en cuir. Peu de tissus. Un string. Un soutif qui cachait à peine ses tétons. Il déglutit difficilement. Sa pomme d’Adam trahissant son désir. Il entra dans la petite cabine. Refermant le rideau derrière eux. Mettant une distance de sécurité entre eux, il essaya de trouver les mots. Bordel, Rylan Skylar sans mot. C’était à marquer d’une pierre blanche. « Rappelle-moi, pourquoi je te saute pas. Là. Maintenant. » Nouveauté, le Rylan perdu était vulgaire. Mais, franchement qui ne serait pas perdu devant ce spectacle. Alors qu’il observait la jeune à travers le miroir, il imaginait la baiser là. Elle se regardant. Voyant à quel point, elle aimait ça. Merde. Pourtant, la journée avait bien commencé. « Je te propose une nouvelle règle du jeu. Celui qui craque en premier à tous les pouvoirs... » Oublier Robin. Oublier les problèmes. Il l’attira brutalement contre son torse avant de venir l'embrasser un bout de chair sensible dans son cou. Enfin embrasser… Sucer… Mordre… Tout ce qui comptait, c’étaient ses mains qui se baladaient enfin sur ce corps.

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Il en avait perdu le sens de la parole. Le petit jeu venait de se refermer sur lui. Comme un piège de souris. Ils avaient trop joué. Ils s’étaient approché trop prêt du feu. Bordel, mais qui pouvait acheter ça. C’était un appel à la luxure, à la folie… Les mots de la jeune femme était un brouhaha dans sa tête. La lune de miel… Mon amour… Euh… Ah oui. Le petit alibi. Les mots avaient du mal à faire sens dans sa tête. Ses yeux étaient hypnotisés par ce corps à damner un saint. Ses tatouages parfaitement mis en avant par l’ensemble. Il n’y avait rien à dire. Les tatouages chez une femme, c’était pour lui le Saint Graal. La luxure absolue. Trop tard. Il n’aurait jamais dû passer la tête dans la cabine. Encore moins dans la boutique. Il était trop tard, il avait déjà perdu. Et même s’il n’avait pas été d’accord, elle n’aurait pu refuser. Leur petit secret. La question est après avoir joué avec le feu, arriveront-ils à jouer les innocents sans avoir envie de se jeter l’un sur l’autre de nouveau. Il n’avait pas le temps de se poser ce genre de question pour l’instant. Là, c’étaient ses lèvres dans son coup. Ses mains sur ses hanches. La chaleur qui augmentait bien trop vite. Voilà tout ce qui comptait. « Tu en meurs d’envie... » chuchota-t-elle alors qu’elle fit semblant de résister. Très vite, elle glissa ses mains dans ses cheveux. Les empoignant un peu fort. L’excitant encore plus. Elle se retourna pour venir capturer ses lèvres. Pas le temps pour jouer les vierges. Très vite, ses lèvres s’ouvrirent pour laisser sa langue partir à la rencontre de sa bouche. De sa langue. La possédant complètement. Une danse sensuelle et érotique. Bordel, ils n’avaient jamais été jusque-là. Ils avaient joué avec le feu. Quelques caresses. Beaucoup de paroles. Mais, là, c’était l’extase. Leurs langues se découvraient pour la première fois. Incapable de se détacher l’une de l’autre. Alors que les mains de la jeune femme se glissèrent sous son tee-shirt, venant caresser son torse du bout de doigts. Faisant naître des frissons de plaisir sur son membre déjà bien dur, lui, il laissa glisser ses mains sur ses fesses. Les serrant un peu force pour l’obliger à se coller encore plus à lui. Si c’était possible. En même temps, il y avait peu d’espace ici. Il fallait faire des économies. D’un seul coup, il la souleva en l’obligeant à venir passer ses jambes autour de sa taille, alors qu’il la plaquait contre le miroir derrière elle. Leur corps s’emboîtant parfaitement l’un à l’autre. Leurs bouches toujours scellées l’une à l’autre. Il manquait d’air mais pour rien au monde, il ne se serait arrêté. Il la voulait depuis bien trop longtemps. Il quitta ses lèvres que pour retirer son propre tee-shirt pour lui offrir un meilleur accès à sa peau. Pour sentir ses oncles griffés son torse. Puis, il retourna bien vite posséder ses lèvres. Mordillant doucement sa lèvre inférieure. Apposant une petite marque. Il était dans l’euphorie du moment, mais il n’oubliait qu’il était celui qui commandait, même si la jeune femme était bien trop dominante et indépendante pour se laisser faire. « Tu peux encore reculer… Un seul mot... »dit-il entre deux baisers. C’était sûr lui ne s’arrêterait pas. Tant pis pour Robin. Il avait déjà signé son arrêt de mort lorsqu’il était rentré dans le gang. Il risquait sa vie tous les jours, et là, c’était le meilleur des risques. « Une fois que je t’aurais retiré ce putain d’ensemble, il sera trop tard... » dit-alors qu’il quitta enfin ses lèvres pour venir déposer des baisers sur son corps. D’abord, dans son cou. Puis sur sa poitrine. Enfin bien plus bas… Aspirant un téton dur à travers le fin tissu.

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Des années qu’il était au service de Robin. Des années qu’ils jouaient ce petit jeu. Quelques minutes pour franchir la limite. En même temps, il avait poussé le jeu. Quelle idée de lui demander de mettre cet ensemble indécent. Bordel. Personne ne pouvait résister à ça. C’était exactement ce que les clients pervers pouvaient demander aux prostituées de porter. Le genre de truc qui vous fait bander en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. C’était inévitable. Pourtant, depuis le temps qu’ils jouaient à ce petit jeu, il avait eu le temps de s’imaginer leur première fois. Dans un lit. Dans les toilettes du bar des BB. Dans son bureau. Toutes les fois étaient bestiales et débridées, mais il était loin d’avoir imaginé dans une si petite cabine d’essayage. Si proche des vendeuses et des autres clients. Si excitant. Si torride. Pourtant, il ne pourrait pas être brutal. Ils ne pourraient être bruyants. Il y avait peut-être des cloisons entre chaque cabine mais c’était un simple rideau qui les cachait du monde. Quoiqu’il n’était pas contre faire rougir les joues des vendeuses. Leur faire entendre ce qu’elles allaient rater. Plus tordu que lui, il était difficile de trouver. Ou peut-être qu’il aimait juste être vu. Ou entendu. Alors lorsque la jolie blonde laisse échapper les premiers mots, tout scrupule le quitta. Rien à foutre. Il ne mettrait plus jamais les pieds ici. Qui sait s’il pourra de nouveau profiter de ce corps sensuel et tatoué. Alors, il laisse ses lèvres couvrir son visage. Sa nuque. Laissant une traînée de baiser. Jusqu’au fin tissu de son haut. Aspirant son téton déjà dur de désir entre ses lèvres. Bordel, qu’il aurait aimé déjà lui avoir enlevé ce foutu ensemble. Pourtant, Mila avait en décidé autrement, elle voulait prendre son temps. Le repoussant doucement, elle commença à son tour à découvrir son corps de ses baisers. D’abord son cou, sa langue laissant des traces indélébiles. Des frissons parcourant son corps. Elle jouait avec lui. Elle n’était pas le genre qui se soumettait. Loin des petites soumises qu’il dominait. Mais le challenge n’en était que meilleur. Pourtant, même s’il aurait rêvé prendre son temps. Découvrir chaque parti de son corps qu’il avait tant désiré. Ce n’était pas comme s’ils étaient dans une cabine d’essayage. Ils avaient seulement le temps pour un corps-à-corps torride, rapide et brutal. Faire monter la tension. S’amuser avec des préliminaires. Pourtant, lorsqu’il sentit les lèvres de la jeune femme descendre sur son torse, il en oublia tout. En peut-être pas tout. C’était lui qui commandait. D’un mouvement, il lui attrapa les mains et il l’obligea à reculer. Rencontrant ses yeux chargés de désirs. « Princesse, je crois que t’oublies deux choses. La première, je mène la danse. La deuxième, même si j’aime sentir tes lèvres sur mon corps et que je ne serais pas contre les sentir bien plus bas, je suis pas sûr qu’on est le temps pour jouer pendant des heures. » D’un seul coup, il l’obligea à se retourner face au miroir. Son corps somptueux se reflétant dans une glace. Une vision érotique. Ses lèvres gonflées. Ses yeux ivres de désir. Cet ensemble qui allait bientôt disparaître. « Ou peut-être qu’on a juste le temps pour que je m’amuse un peu avec ton corps avant que je te ramène chez moi pour te baiser enfin… Là, je te laisserais découvrir mon corps… Ou peut-être que je te laisserais attacher pendant que moi je te découvre... » Pendant que sa voix rauque faisait monter la température, sa main avait défait son haut dévoilant deux seins parfaitement ronds. Des tétons sombres et déjà tendus. Alors que l’une de ses mains jouait avec la pointe sensible de son sein, l’autre fit descendre le bas. La laissant complètement nue face au miroir. Elle allait pouvoir observer comment son corps réagissait à chacune de ses caresses. Du bout des doigts, il écarta ses lèvres intimes pour dévoiler un sexe luisant. Un petit bourgeon pas encore assez gonflé à son goût. « Je vais te regarder en train de jouir et ensuite, on se casse… Car j’ai juste envie de te prendre à quatre pattes sur mon lit... » dit-il alors qu’il pinça doucement son clitoris, avant de laisser glisser deux doigts en elle.