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[+18] (Flash-Back) La bête et la prisonnière ft Sarah
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Sam 27 Juin - 11:58

(Flash-Back) La bête et la prisonnière
Soirée difficile. Plusieurs problèmes dans les planques. Une soufflante passé par Robin. Autant dire la merde absolue. Son corps était tendu. Casser quelques gueules n’avait pas réussi à le détendre. Son corps était encore sous l’influence de l’adrénaline. Il savait exactement ce dont, il avait besoin pour apaiser son corps. Pour faire diminuer la pression. Le corps chaud d’une femme. Sentir ce corps sensuel sous ses caresses. Ses cuisses venir s’accrocher à ses hanches alors qu’il s’enfoncerait dans son jardin secret. Encore mieux une jolie bouche autour de son membre. Voilà ce qu’il avait besoin. Une femme consentante qui laisserait la bête qui se trouvait en lui-même s’échapper. Rare étaient les femmes qui allaient pouvoir le satisfaire. Un rapide coup d’oeil à son téléphone et un nom s’afficha. Sarah. Exactement ce dont, il avait besoin. Elle ne dirait jamais non. Un pincement au coeur le prit. Parfois, il s’en voulait. Il appréciait beaucoup cette petite tête brune. Avec son côté innocent. Sa gentillesse. C’était sans compter qu’il aimait son corps. Et soyons honnête, il aimait baiser son corps de déesse. Elle était obligée de se donner à lui. Enfin, elle le croyait… Ce chantage n’aurait jamais dû avoir lieu… D’une blague, il en avait fait quelque chose d’horrible… Mais, il ne pouvait s’empêcher de la rappeler… Et elle venait. Est-ce qu’elle détestait leur ébat ? Hum… Non. Elle était peut-être sa prisonnière mais une chose était sûre, elle aimait beaucoup lorsque son tortionnaire l’appelait. Quelques coups de fils et il savait où la trouvait. La prendre par surprise. Une bonne idée. Bon le problème, elle était en rendez-vous. Mot poétique pour dire qu’elle était avec un client. Un enfoiré qui prenait son pied. Assez hypocrite venant de lui, mais je n’ai jamais dit qu’il était parfait. Clé du 4X4 en main, il prit la route jusqu’à l’hôtel où se trouvait la jolie brune. Son corps tendu à l’extrême. Entre l’adrénaline de la journée. L’endorphine causée par les images sexy qu’il se faisait de sa soirée. Sa prisonnière à genoux. Sa bouche sexy s’approchant doucement de son membre. Sa main se glissant dans ses cheveux pour la guider. Bordel, il fallait qu’il arrête sinon, il risquait de se faire une petite en solitaire avant de retrouver Sarah. Il se gara directement devant l’entrée de l’hôtel. Il était ainsi impossible de la rater. Il sortit et s’installa contre la portière. Sa tenue tout de noir, faisant de lui un dangereux personnage. Il n’eut pas à attendre longtemps. Un quart d’heure plus tard les portes de l’hôtel luxueux s’ouvrir sur la jeune femme. Elle ne l’avait pas encore vu. Lorsqu’elle passa devant lui, il attrapa son bras pour l’attirer contre son corps musclé. « Je crois que ta soirée n’est pas encore terminée. » dit-il alors que sa main se posa sur sa hanche pour la maintenir contre lui. Prisonnière de son corps.
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Lun 29 Juin - 22:02



La bête et la prisonnière ft. @Rylan Skylar

Une soirée comme les autres dans la vie d’une poupée. Sarah ne connaissait que trop bien cette routine nocturne. Se préparer, se faire belle, sourire et satisfaire ses clients. Elle était douée pour cela, elle le savait. Beaucoup étaient des habitués qui la demandaient elle exclusivement, aimant sa douceur et son côté pure. Aimant aussi l’idée de pouvoir la salir également. La brune ne jugeait pas, elle ne se considérait pas comme en mesure de le faire. Chacun avait ses préférences sexuelles et ses fantasmes et elle n’était personne pour se permettre d’émettre le moindre avis la dessus. Par chance il était rare qu’elle ne tombe sur de vrais pervers ou tarés aux pratiques un peu trop extrêmes. Dans son métier, elle se considérait comme sacrément chanceuse.

La fin de soirée était tout de même synonyme de soulagement pour elle car après sa dernière passe, elle avait senti la fatigue lui tomber dessus brusquement et ne se serait pas sentie de continuer encore bien longtemps comme ça. Tout ce dont elle rêvait à présent c’était un bon bain chaud moussant et une petite heure à se détente dans le silence le plus extrême. D’un petit geste de la main accompagné d’un grand sourire, elle saluait alors Ethan, son garde du corps et son autre collègue avant de se diriger vers l’extérieur du bâtiment, bien heureuse de pouvoir respirer l’air frais après cette soirée enfermée dans cet hôtel. Elle se mettait à marcher, bien décider à rentrer au plus vite chez elle quand une poigne puissante vint l’attraper pour la coller contre un corps dont, malgré les vêtements, elle put sentir la musculature parfaite. La brune eut un léger mouvement de sursaut à ce geste avant qu’un parfum bien familier ne lui vienne lui caresser les narines. Elle pourrait le reconnaître parmi des centaines, sans doute parce qu’elle avait eut un peu trop l’habitude d’être si proche que lui. « Rylan… » Murmura t-elle avec un léger sourire sur ses lèvres, presque rassurée que ce soit lui et pas un inconnu. Pourtant la visite de ce dernier n’était pas synonyme d’une soirée calme entre vieux amis, bien au contraire. Il n’y avait qu’une seule raison pour laquelle il venait la voir et l’exception n’était jamais permise. La poupée était parfaitement consciente qu’elle était sa prisonnière depuis le jour il y avait sorti son frère d’un mauvais pas, profitant de ce fait pour l’avoir quand il désirait. Une blague qu’elle n’avait jamais compris  et qui, étant prise un peu trop au sérieux était devenu un jeu pervers auquel elle participait. Pourtant elle ne pouvait s’empêcher de continuer à sourire alors que sa main allait se poser sur le torse de Rylan, pour se tenir. Elle laissait cependant son regard courir vers l’arrière pour vérifier qu’Ethan ne risquait pas de sortir de l’hôtel. C’était stupide mais elle n’aurait pas voulu qu’il la voit dans cette position. Rylan était son secret. Il était son vice favoris même si ce petit jeu malsain entre eux allait contre toutes ses croyances. Il était le seul avait qui elle ne se vendait pas. Du moins, pas pour de l’argent. Bizarrement, même si tout en lui laissait présager qu’il était un homme dangereux, elle ne se sentait pas le moins du monde en danger près de lui. Etrange quand on savait le genre de relation qu’ils pouvaient avoir ensemble. Elle était certes sa prisonnière mais avec le temps, elle en venait presque à apprécier ça. Tout comme elle l’appréciait lui quand elle parvenait à entrevoir le bon qu’il pouvait avoir en lui. « Tu as l’air d’avoir passé une mauvaise journée.. » Souffla t-elle en glissant sa main de son torse à son visage sans oser pourtant vraiment le toucher. Elle se contentait de dessiner les traits tirés à distance de quelques millimètres. Observatrice, il ne lui fallait généralement que quelques secondes pour comprendre dans quel état d’esprit se trouvait la personne en face d’elle.  La brune savait aussi très bien ce qu’il devait avoir en tête pour se détendre après une journée si dure. La main de Rylan sur sa hanche était également un bon indice quant à l’idée qu’il avait en tête pour oublier sa journée de travail. 

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Mar 30 Juin - 16:12

(Flash-Back) La bête et la prisonnière
Quelle journée pourrie ! Le genre qu’on aimerait bien oublier. Et il avait trouvé comment oublier cette journée. Se perdre dans le corps d’une femme. Laisser son côté mâle dominant. Cette bête brutale. Ce dont il avait besoin, c’est d’une femme pure et innocente. Une qu’il aimerait voir se soumettre à tous ses caprices. Du plus simple baiser, à la soumission ultime. Et il savait exactement, qui pourrait le satisfaire à la perfection. Qui accepterait sans se plaindre chacun de ses coups de butoirs. La jolie et douce Sarah. Pourquoi elle ? Il aurait pu payer une poupée. Il l’avait déjà fait. Même plusieurs fois. Ils auraient pu les avoir gratuites… Beaucoup d’entre elles, avaient un petit faible pour lui. Elles écarteraient les jambes sans qu’il ait à demander. Cependant, ce soir, son corps réclamait la jolie brune. Son visage d’ange. Son insouciance. Cette façon qu’elle avait satisfaire toutes ses envies. Et avec plaisir en plus. Bordel, rien que d’imaginer le corps de la jeune femme nue. Ses tétons pointant de désir. Ses jambes écartées, découvrant son mont vénus trempée d’excitation. Il en devenait tendu. Serré. Heureusement, que la jeune femme ne tarda pas à arriver. Dans l’obscurité de la nuit, il l’avait attiré contre lui. Son corps si fin. Si doux. Sous la lumière de la lune, il voyait briller les yeux de la jeune femme. Son odeur emplissant ses narines. Elle devrait s’éloigner. Elle devrait avoir peur. Le repousser. Le détester. Pourtant, lorsqu’elle le reconnut, elle s’approcha encore un peu plus. Sa main vint caresser son torse, se posant pile sur son coeur. Comme si elle l’avait fait exprès. Alors que quelques minutes plus tôt, il était sur les nerfs, à bout, le simple corps de la jeune, la promesse d’une nuit de débauche, l’avait un peu détendu. La main de la jeune femme vint se placer le long de son visage, sans vraiment le toucher. Attendant, presque une autorisation… Alors, il déposa son visage dans sa main, alors que sa propre main l’attirait un peu plus contre lui. Il sentait la poitrine de la jeune femme se coller contre son torse. Il lui fallut toute la bonne volonté de la terre pour ne pas lui retirer ses vêtements, là maintenant. Rien à foutre d’être dans la rue. Pour être honnête, ils avaient fait bien pire. Rappelez-vous, elle avait promis de le satisfaire. Quand il veut. Où il veut. Autant dire, qu’il ne s’était pas gêné pour lui faire découvrir les joies du sexe dans des lieux publics. Alors que sa main descendait un peu plus bas, agrippant un peu fort l’une des fesses de la jeune femme, son autre main vint se placer sur sa nuque. Doucement, il approcha de sa bouche, et vint déposer un simple baiser sur ses lèvres. « Elle est bien meilleure depuis quelques secondes… Et elle le sera encore plus lorsque je t’aurais retiré chacun de tes vêtements pour baiser ton jolie petit cul... » Depuis le temps que ce petit chantage avait commencé, la jolie brune avait l’habitude de tes paroles sans gênes de Rylan. Il aimait provoquer. Souffler des mots cochons pour faire monter le désir. « Tu sais ce que c’est… Il y a des journées avec et des journées sans mais si tu veux pas que je prenne ce qui m’appartiens là maintenant, sur ce parking, on ferait bien de rentrer chez moi. » Il déposa un autre léger baiser. Tout simple. Promesse d’autres bien plus sensuelles, une fois seuls. Il la lâcha avant de lui ouvrir la portière pour la laisser entrer dans la voiture. Il fit rapidement le tour, s’installa et démarra la voiture. Un énorme 4x4 aussi luxueux que le sien ne pouvait être qu’une boite auto. Pas besoin de ses deux mains. Alors, sa main libre vient se poser sur la jambe nue de la jeune femme. Caressant sa peau. Faisant naître des frissons. Alors que doucement, il faisait remonter le tissu de sa robe, toujours un peu plus haut. Caressant sa peau de plus en plus haut. S’approchant doucement de son jardin secret. « Et toi ma belle… Comment s’est passé ta journée ? Je suis sûr que tu avais hâte que je t’appelle pour te satisfaire vraiment... » dit-il avec un léger sourire. Il était toujours comme ça. Entre imbu de sa personne et rigolo. Il n’arrivait plus à savoir à quel moment, ils étaient passé de chantage sexuel, à chantage avec une amie.
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Mar 30 Juin - 22:44



La bête et la prisonnière ft. @Rylan Skylar

Sans doute devait-elle chercher à le fuir, à partir le plus loin possible de lui et pourtant, cela lui semblait totalement impossible. Si rien ne le montrait à première vue, la brune était pourtant reliée à lui par un contrat moral que rien ne pourrait lui faire rompre. Parce qu’elle était bien trop droite pour oser rompre un arrangement, aussi malsain pouvait-il être. Elle se devait d’être sienne et acceptait son sort sans broncher. Elle était ainsi. Dressée à obéir à ce qui représentait à ses yeux une forme d’autorité, et quand cette dernière se retrouvait être reliée à la survie de sa famille, il n’était pas question pour elle de tenter quoique ce soit. Peut-être que si elle avait pris deux secondes de plus pour réfléchir, elle aurait pu comprendre que la proposition indécente du brun n’avait été qu’une vulgaire blague mais maintenant, il était bien trop tard.

Comme à chaque fois pourtant elle cherchait à trouver le meilleur en chaque situation. Aussi terribles pouvaient-elles être. En l’occurence, elle aurait pu se retrouver avec une personne complètement détraquée et sadique par exemple, or, malgré le fait qu’il préférait la prendre avec violence qu’avec douceur, Sarah avait quand même été chanceuse de tomber sur quelqu’un comme Rylan. Elle voyait sa violence comme un moyen d’expier ses démons en lui. Une manière de lâcher prise pour ne pas devenir fou et elle l’acceptait. Elle acceptait beaucoup de lui. Peut-être un peu trop parfois , parce qu’elle savait que c’était ce dont il avait besoin pour se sentir bien. Parce qu’étrangement, le faire se sentir bien était important pour elle. Sous ses airs brusques et mauvais, elle voyait en lui le coeur battant qu’il tentait de dissimuler tant bien que mal. Et c’était bien pour ça que malgré tout, elle se montrait particulièrement douce avec lui. Rien avoir avec cette douceur feinte qu’elle utilisait avec ses clients, quand c’était pour lui elle était sincère. Elle dessinait à distance les traits tirés du visage du brun, jusqu’à ce que ce dernier ne force le contact entre eux, la brune se refusant pourtant à écarter sa main de son visage. Au contraire elle continuait davantage à en dessiner les traits avec douceur, un fin sourire sur les lèvres alors que Rylan déposait un baiser papillon sur ses lèvres. « Toujours aussi romantique… » Soufflait-elle presque comme un reproche alors qu’un sourire amusé commençait à se dessiner sur ses lèvres. Avec le temps, elle avait appris à comprendre la manière de faire du brun. Il ne serait jamais du style à faire de jolis compliments, il était beaucoup plus cru que ça et elle avait appris  à traduire ses mots. D’une certaine manière assez tordue, elle sentait bien qu’il tenait à elle. Il lui était presque fidèle, à revenir si souvent vers elle.

Et peu importe les mots qu’il utilisait pour lui faire comprendre, elle était heureuse quand elle savait qu’elle devenait en quelques sortes, le remède à ses dures journées. Une relation complètement tordue commençait à se développer entre eux alors qu’un simple chantage devenait presque une nécessité. « Je me sens presque honorée d’être invitée chez toi. » Elle se faisait gentiment moqueuse. Parce que nombreuses avaient été les fois où il n’avait pas eut cette patience. Encore une fois, si ce n’était pas pour lui, elle ne se serait jamais donnée en spectacle de la sorte mais il avait ce pouvoir de lui faire oublier, l’espace d’un instant, qui elle était. Un deuxième baiser châste et la brune se retrouvait dans la luxueuse voiture du brun, direction la luxure. Elle savait parfaitement qu’elle ne pouvait pas lui dire non et à dire vrai, elle n’en avait pas envie. Parce qu’elle savait que d’une façon tordue, ils se faisaient mutuellement du bien. A la main de ce dernier sur sa cuisse elle laissait sa tête reposer contre l’appui tête, ses dents venant mordre légèrement sa lèvre inférieure. C’était encore une fois, bien loin de sa bonne éducation ce genre de manières mais elle savait qu’elle ne pourrait refaire l’éducation de Rylan. De toute manière, ce n’était pas elle qui choisissait.

 Elle frémissait déjà, la main puissante du mâle à ses côtés lui faisant venir la chaire de poule. « Pour tout te dire … Tel le prince charmant sur son cheval blanc, tu viens illuminer ma soirée ! » Elle plaisantait tout autant que lui. Si elle ressemblait à une petite princesse en détresse, il n’avait rien du prince et pourtant elle lui offrait ce rôle. Parce que la vérité était qu’il lui avait déjà une fois sauvé indirectement la peau. Et aussi sans doute parce que ce soir, il serait sans doute le seul à lui apporter un réel plaisir. Et c'était en pensant cela qu'elle laissait glisser sa propre main innocente le long de la cuisse du conducteur, la faisant remonter avec une lenteur voulue, sachant parfaitement qu'il serait capable de rester concentré sur la route malgré ses attouchements.  

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Sam 4 Juil - 10:01

(Flash-Back) La bête et la prisonnière
Avec la jolie brune, il sentait déjà ses muscles se détendre. Il avait encore dû mal à comprendre à quel moment, ils étaient passé de maître chanteur à ami. Cela était loin de lui déplaire, mais parfois, il se sentait coupable de ce petit jeu. Dire qu’au début, cela n’avait été qu’une petite blague. Il l’avait aidé. Avait sauvé son frère d’un mauvais pas. Mais en même temps, elle était une poupée du gang. Elle était sous sa responsabilité. Il se devait de l’aider mais tout avait dérapé. La jolie poupée était venue dans son bureau pour le remercier. Et là, elle avait posé la question. Qu’est-ce qu’elle pouvait faire pour lui ? Tellement de choses. Beaucoup de choses. Sans réfléchir, il avait répondu « Toi, nue quand je veux… où je veux… comment je veux... » C’était une petite blague. Une parmi tant d’autres qu’il avait déjà fait. Cependant, elle l’avait pris au mot. Avec son innocence. Sa fragilité, elle s’était mise à genoux devant lui. Avant qu’il puisse l’en empêcher, elle avait déjà défait son pantalon et poser ses lèvres sur son membre dur. Oui. Il aurait pu arrêter ça. Oui. Il aurait pu avoir plus de respect pour elle. Mais franchement, une jolie fille se met à genoux pour vous sucer… Vous dites pas non. Mais, il avait essayé d’annuler ça. Il s’en voulait. Alors deux-trois jours après, il avait été la retrouver dans son appartement pour retirer ce qu’il avait dit. Pour repartir de zéro. Mais, elle lui avait ouvert dans un simple tee-shirt et une petite culotte. Surprise de le voir. En moins d’une seconde toutes ses bonnes résolutions s’étaient envolées. Il l’avait baisé là. Dans le couloir à la vue de tous. Contre ce mur bien trop froid. Il n’avait pas pu s’empêcher de la toucher. De la goûter. A chaque fois, il avait essayé de lui dire que c’était qu’une blague mais à chaque fois, il finissait par se la faire. Pour leurs plus grands plaisirs. Et voilà, comment ce soir, il se retrouvait à aller la chercher pour une nouvelle partie de jambes en l’air. Bizarrement, elle était l’une des seuls avec qui il pouvait vraiment être lui même. En dehors de ce chantage, elle avait su voir derrière le masque d’homme dur. Elle avait compris que s’il était aussi violent dans ses ébats. Si exigeant, c’était pour expier ses pêchés. La mort de son oncle. Cette balle entre les deux yeux qui hantaient encore ses rêves et ses pensées. Elle était bien trop gentille. Bien trop pur. Bien trop tout pour lui. Pourtant, elle était montée avec plaisir dans cette voiture. Elle bavardait avec lui, comme si de rien était.Même lorsqu’il posa sa main sur sa peau nue, elle ne dit rien. Elle acceptait bien plus que lui, ce lien tordu entre eux. Cette attirance inexplicable entre eux. Ce lien qui les ramenait l’un vers l’autre. « Tu sais, dans ton conte, je serais plutôt la bête… Le méchant de l’histoire… Mais bien essayé, ma belle... » dit-il sans quitter la route. Sa main remontant toujours plus haut. Frôlant maintenant le bout de dentelle de sa culotte. Mais, malgré son innocence, elle était devenue bien plus affirmée. Elle glissa à son tour sa main sur son pantalon. Elle n’y allait pas par quatre-chemins, et posa directement sa main sur son membre dur. Sur la bosse de son pantalon. Appliquant des caresses presque timides. Pas assez pour lui. Sa main toujours le volant, il retira son autre main de sa cuisse. Puis, il défit la ceinture de son pantalon et défit sa braguette. Libérant juste en petit la pression sur son membre. Attrapant la main de la jeune femme, il la fit glisser dans son pantalon. Le contact de sa peau si froide si sur son membre était un vrai supplice. Il avait toujours été comme ça. Trop dominant. Trop salaud. Il aimait le sexe. Il aimait la brutalité. Il aimait oublier toute la noirceur dans les caresses d’une femme. Il y avait bien longtemps qu’elle ne rougissait plus de tout ce qu’il lui faisait faire. Alors, que guidait par sa propre main, elle agrippa son sexe, il poussa un grognement sourd. Presque bestial. C’était ça dont il avait besoin. « Tu n’as pas répondu à ma question. Comment s’est passé ta journée ? Tu veux éviter le sujet ? S’il y a eu un problème, tu peux me le dire ? » continua-t-il comme si de rien était. Ce n’était pas comme si elle lui faisait une petite gâterie alors qu’il continuait de fixer la route comme si de rien était. Alors que sa main était toujours posé sur celle de la jeune femme pour la guider dans les caresses qu’il voulait, il la retira pour venir la poser de nouveau sur le haut de sa cuisse. Directement à côté de fin tissu qui disparaîtrait bien vite. Mais, il ne passait pas en dessous. Il aimait torturer ses partenaires. Faire monter le plaisir doucement. Il frôla son mont de Vénus. Bien cacher sous le fin tissu. En appuyant doucement, il sentit son petit bourgeon de plaisir. Qui serait bientôt gonflé de plaisir. « Tu sais, mon coeur balance. D’un côté, j’ai envie de discuter avec toi. Continuer ce petit jeu jusqu’à mon appartement… De l’autre, j’ai envie de m’arrêter là sur le bord de la route pour te faire jouir avec ma bouche avant de retourner chez moi…. » dit-t-il alors qu’un autre grognement s’échappa de ses lèvres. Sous les caresses dans son pantalon.
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Dim 5 Juil - 15:54



La bête et la prisonnière ft. @Rylan Skylar

Rylan était le secret qu’elle avait le mieux gardé. La poupée n’aurait sans doute jamais pu en parler à qui que ce soit de toute manière. Comment expliquer qu’elle avait été une victime presque consentante d’un chantage où elle prenait du plaisir ? Impossible. Elle aurait été sans doute traitée de folle. Si au début elle avait été vaguement choquée de cette proposition, elle l’avait pourtant acceptée. Ce n’était pas la satisfaction d’un homme de plus qui allait vraiment la traumatiser même si cette fois-ci, elle ne serait pas payée. C’était presque elle au fond qui le rémunérait pour ce qu’il avait fais pour son frère. Sans doute aurait-elle dû se rebeller au bout d’un moment et lui dire qu’elle avait assez donné mais étrangement, à chaque fois que Rylan débarquait dans son quotidien, elle se retrouvait incapable de le faire. Elle ne savait qu’écarter les cuisses quand il le voulait et se donnait à lui autant de fois qu’il le souhaitait. Honnêtement, elle ne pouvait pas se plaindre. Il avait été celui qui lui avait fais faire les choses les plus dingues dans les endroits les plus incongrus. Même parfois dans des lieux où elle n’aurait jamais pensé pouvoir le faire et pourtant quand il était là, il avait cette capacité à lui faire surpasser ses limites. « Tu sais très bien que ce n’est pas ce que je vois en toi. » Le plus bizarre dans tout cela était qu’au milieu de cette relation malsaine s’étaient crées de réels sentiments d’amitié. Sarah était parfaitement consciente de la part d’ombre importante qu’il avait en lui mais elle parvenait aisément aussi à voir le côté bon qu’il possédait. Elle savait parfaitement qu’elle n’était seule à s’imaginer qu’entre eux il y avait de l’amitié, même si le sujet n’était jamais évoqué à voix haute.  La brune tentait toujours de décortiquer le visage de son maître chanteur pour savoir comment il allait car la réponse lui importait réellement. Et vice-versa, comme il faisait maintenant en insistant pour avoir une réponse à sa question alors qu’en même temps, il la torturait lentement de sa main. Douce torture qu’elle tentait également de lui rendre maintenant que sa main avait un peu plus de place pour jouer avec le membre durcit. Elle laissait sa main l’emprisonner avec force, montant et descendant à un rythme qu’elle n’accélérait que lorsqu’il le fallait. Juste assez pour le torturer mais pas trop pour éviter de le faire venir trop vite. Exactement comme la main du brun la guidait.

« Ne t’en fais pas tout va très bien. Tout s’est bien passé ce soir et je suis parfaitement en sécurité. » Ethan s’en assurait. Ethan auquel elle ne préférait pas penser maintenant. Ce n’était pas du tout le bon moment alors que Rylan venait de poser sa main sur son intimité déjà bien humidifiée de désir. Un léger gémissement s’échappait de sa bouche alors qu’il venait frôler avec douceur son bouton de plaisir. Une douceur calculée pour lui faire lentement perdre la tête avec le désir. La poupée se mouvait légèrement sur le siège de la voiture, sa main se crispant légèrement sur sa cuisse. Aux mots de Rylan, elle se retournait aussitôt vers ce dernier, les yeux pétillants d’une lueur vive. Si à une époque elle aurait sans aucun doute rougit violemment elle était habituée aux mots crus du brun et désormais, c’était la promesse d’un premier orgasme violent qui résonnait dans sa tête et lui faisait se mordre la lèvre d’envie. « On peut aussi discuter après s’être arrêtés, en reprenant la route jusqu’à chez toi… » Parce que la soirée ne serait pas terminée de sitôt, elle le savait. Il n’était pas homme à se contenter de si peu et lorsqu’il voulait prendre, il prenait absolument tout d’elle. Elle laissait échapper l’idée ainsi dans un soupir, comme une proposition indécente qu’elle n’aurait sans doute jamais osé faire à quelqu’un d’autre que lui. Parce qu’avec lui elle osait tout. Sans peur. Sans jugement. Même les choses les plus bestiales et inavouables. C'était lui qui lui avait appris ce qu'était le sexe pur et dur. Parfois même presque violent. Et si elle n'osait pas se l'avouer, une part d'elle appréciait énormément cette nouvelle expérience. Elle lui laissait cependant les commandes la soirée, ne proposant qu'une petite idée en sachant parfaitement que de toute manière, il serait celui qui aurait le dernier mot.

 

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Dim 5 Juil - 23:29

(Flash-Back) La bête et la prisonnière
La nuit était assez fraîche mais la température avait monté d’un cran. Il avait même envie de monter la clim. La jolie brune avait cet effet sur lui. Elle l’apaisait, autant qu’elle l’excitait. Est-ce qu’il pouvait dire qu’elle était autant son amie que sa prisonnière ? C’était un peu étrange, non ? Pourtant, c’était ça qu’il ressentait. Plusieurs fois après des ébats plus que torrides, voir violents, ils s’étaient tout simplement installé avec une tasse de café pour papoter. Avant de remettre le couvert sur la table du salon. Mélange d’amitié. De désir. De frustration.Il suffisait de voir comment la situation prenait une tournure étrange. La main de la jeune femme occupée à lui faire une petite gâterie. La sienne jouant avec le feu. Faisant naître doucement le désir. Mais la conversation était normale. Comme deux amis qui prenaient la voiture ensemble. Ils parlaient de leurs sentiments. De leur journée. Elle avait toujours vu le meilleur en lui. Même lorsqu’il la prenait si violemment qu’elle en gardait un bleu pendant quelques jours. Mais lorsqu’il l’obligeait à lui faire une petite gâterie sous la table d’un bar. Sarah avait vu quelque chose qu’il ne voyait pas. Ou peut-être qu’il ne voyait plus. Il n’avait jamais été un mauvais garçon. Un mec drôle et sympa. Peut-être qu’elle voyait à travers le masque. En tout cas, lui, il faisait comme si de rien était. Profitant de ce que ce petit arrangement lui apportait. Si elle savait ce qu’il faisait encore pour son frère… Elle arrêterait immédiatement. Mais qu’est-ce qui lui manquerait le plus ? La baise ou l’amitié ? « Je sais que tu es en sécurité… Bien plus qu’avec moi... » dit-il avec un petit sourire espiègle. Elle était sous la protection d’Ethan. Son ami. Mais sans trop savoir pourquoi, il avait besoin de savoir qu’elle allait bien. Toujours cette frontière qu’il n’arrivait pas à délimiter. Peut-être qu’il fallait qu’il arrête de se poser des questions. Qu’il profite de la situation. Des caresses de la jeune femme sur son membre. De sa main sur le fin tissu. De cette moiteur qu’il sentait à travers le tissu. C’était ça le plus important. Elle et lui. Lui et elle. Un corps-à-corps sensuel, dangereux et torride. Il l’avait perverti, il le savait. Elle était toujours innocente mais pas avec lui. Elle osait s’affirmer. Dire ce dont elle avait envie. Peut-être que ce chantage avait eu du bon. Comme là, alors qu’elle affirmait avec le plus grand plaisir, vouloir plus. Vouloir une petite baise rapide sur le bord de la route. Bon, il faisait nuit. Il avait aussi des vitres teintées. C’était semi-excitant. Il n’était plus qu’à deux rues de chez lui. Deux rues de pouvoir l’attacher à son lit pour profiter de son corps. Mais, c’était bien trop loin. D’un coup de volant, il se rangea sur le bas-côté. Ce 4X4 n’était pas l’idéal, mais il avait besoin de la goûter. De sentir le goût de sa peau. Il défit sa ceinture avant de faire descendre le haut de son siège. « Allonge-toi » Ordonna-t-il d’une voix bien trop rauque. Doucement il fit descendre sa culotte jusqu’à ses genoux. Ses doigts ne tardèrent pas à venir découvrir ses lèvres intimes. Sentir la moiteur. Bordel, elle était trempée. Prête à le recevoir. Putain de merde, pourquoi il ne l’avait pas baisé lorsqu’ils étaient encore dans la ruelle. Trop tard. Il avait seulement le temps pour une petite gâterie. La baise devrait attendre. Jouant toujours avec sa patience, il vint caresser doucement sa zone sensible. Sans jamais toucher son petit bourgeon de plaisir. Ses doigts étaient partout sauf là où elle voulait. En elle. Sur son clitoris. Il faisait monter doucement la pression. Doucement, il se pencha et vint capturer entre ses lèvres l’un de ses tétons toujours cachés sous ses couches de vêtements. « Tu es tellement trempée… Qu’il suffirait que je te touche là... » dit-il en posant son pouce sur son clitoris. « Ou que je fasse ça... » dit-il en laissant un de ses doigts découvrir son intimité. Il avait toujours eu tendance à parler trop. Personne ne s’en était jamais pleins. Il faisait durer le plaisir un peu trop parfois. Laissant glisser un deuxième doigt en elle, il arrêta toute caresse. « J’ai envie de t’entendre me supplier... » dit-il en jouant de nouveau avec ses seins cachés sous le fin tissu.
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Lun 6 Juil - 0:18



La bête et la prisonnière ft. @Rylan Skylar

Au final, Sarah était heureuse d’avoir Rylan dans sa vie. C’était sans doute difficile à concevoir et elle avait mis du temps à le comprendre mais c’était le cas. Parce qu’au fil du temps, elle parvenait parfois à percer cette carapace qu’il avait autour de lui. Elle y voyait parfaitement cet homme qui s’inquiétait de son bien être, qui voulait être certain que tout allait bien dans sa vie. Qui serait sans doute capable de frapper quiconque oserait lui faire du tord si un jour, elle venait à se plaindre. Et sans doute que si une fois, il la voyait pleurer, il serait capable de s’en prendre sérieusement à la personne qui était la cause de ses larmes. Ils n’avaient pas besoin de parler pour savoir comment se définissait leur relation un peu étrange. Ils la vivaient comme elle était et point barre. Ne prenant sans doute que le meilleur pour le moment. La mélangeant à une attirance sexuelle incroyable. En faisant une histoire un peu trop complexe pour qu’une autre personne qu’eux ne puisse la comprendre et ça leur allait très bien ainsi.

Discuter tout en se chauffant était devenu une chose tellement naturelle pour eux que la brune n’en rougissait plus. Elle ne s’offusquait plus depuis longtemps des mots et de sa manière de lui parler parfois. Pourtant avec un autre, elle aurait sans doute piqué le fard de sa vie. Mais Rylan, c’était le petit démon sur son épaule qui la guidait dans le monde où tout était permis. Gouverné par le plaisir et les orgasmes incessants. Un monde où il lui faisait parfois du bien de se perdre, loin de ses rêveries enfantines dans lequel elle pouvait parfois se plonger. Et malgré les mots du brun, la poupée se sentait parfaitement en sécurité avec lui, malgré tout ce qu’il pouvait avoir entre eux. Elle se permettait même de lever les yeux au ciel en l’entendant dire qu’elle était plus en sécurité quand elle était avec ses clients qu’avec lui. Au final, les situations étaient assez similaires, sauf que le plaisir était feint lorsqu’il s’agissait du travail. Avec Rylan, c’était tout le contraire. Pas de masque, pas de faux-semblant, simplement du pur plaisir. A bien y réfléchir, il était même le seul homme avec qui elle couchait en dehors de son travail elle qui, étrangement, n’aimait pas les coups d’un soir. Bien qu’avec Rylan, c’était encore un peu plus compliqué que ça.

Elle avait eut la bonne idée de lui soumettre son envie qu’il arrête le 4X4 maintenant. Encore une chose qu’avec personne d’autre elle n’oserait faire. La brune lui susurrait l’idée à l’oreille de la faire jouir là, maintenant. Et peu importait le risque de se faire voir. Ou qu’un conducteur ne s’arrête en pensant qu’ils avaient un problème. C’était l’appel du désir, l’appel de leurs deux corps qui avaient du mal à se contenir. Rylan baissait le siège un peu brusquement, comme à son habitude. Surprise, elle laissait cependant son corps suivre le mouvement et son dos s’étaler de tout son long contre le siège. Le manque de confort lui importait peu en cet instant, elle ne pensait déjà que trop au plaisir qu’il allait lui offrir. En tremblait presque déjà d’avance. Elle était parfaitement excitée, il s’en rendrait bien vite compte à peine ses doigts se mettraient à effleurer son intimité humide. « A tes ordres… » Souffla t-elle avec un petit sourire amusé. Jouant les soumises dociles, s’amusant parfaitement de cette situation. Elle n’allait cependant pas rire bien longtemps car le brun avait plus d’une idée en tête pour la torturer avant de lui autoriser le moindre plaisir. A commencer par effleurer toutes les parties de sa zone sensible sauf celles dont elle mourrait d’envie qu’il s’occupe. La tête allongée contre l’appui-tête, sa bouche s’ouvrait à chaque fois qu’il s’approchait sans jamais toucher les parties les plus sensibles de son intimité. Elle laissait échapper des gémissements plaintifs, cherchait même à mouvoir son bassin pour le forcer à la toucher là où elle le souhaitait.  Nouveau gémissement alors qu’il s’attaquait à son téton durcit sous l’effet du plaisir. Les deux pointes dures se voyant parfaitement sous sa petite robe qu’elle avait mise sans soutient-gorge. « Rylan… » gémit-elle les dent serrés par la frustration juste avant que son doigt ne vienne effleurer enfin son bouton de plaisir, lui arrachant un soubresaut de plaisir. Enfin. Elle allait enfin pouvoir le sentir en elle. Cette fois-ci ce fut sa poitrine qui se souleva brusquement en le sentant enfin insérer un doigt en elle. Elle était plus que prête à le sentir le mouvoir en lui, en rajouter d’autres mêmes jusqu’à la rendre dingue. Mais il s’était arrêté, lui arrachant cette fois-ci un grognement de frustration. Il la torturait à souhait, voulait l’entendre le supplier. Et dans son état, c’était bien la seule chose qu’elle pouvait faire. Ça et glisser sa propre main sur celle de Rylan qui était occupée à lui faire du bien, pour l’inciter à continuer ce qu’il faisait, ses doigts se crispant légèrement autour du poignet de son bourreau de plaisir. « Rylan s’il te plaît… » murmura t-elle alors en redressant la tête dans sa direction, son regard brillant du désir violent qui s’était emparé d’elle.  

 

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Lun 6 Juil - 18:14

(Flash-Back) La bête et la prisonnière
Est-ce qu’il avait toujours été comme ça ? Aussi passionné ? Aussi violent ? Autant excité par l’interdit ? Non pas vraiment. Oh, il avait été précoce. 13 ans pour sa première fois. Avec sa petite amie de l’époque. Son tableau de chasse avait toujours été fourni, mais il n’avait jamais été autant dans ce jeu de domination. Ce besoin de violence et de brutalité. Encore moins, ce besoin d’être vu, ou d’être pris sur le fait. Toute cette noirceur autour du sexe était née à la mort de son oncle. Tuer une personne vous change. Mais tues un membre de sa famille, c’est encore pire. En même, cela aurait pu être pire. Il aurait pu devenir violent. Toujours à se battre. Sombrer dans la drogue et faire une overdose. Une addiction au sexe sportif était plutôt agréable. Il suffisait de voir comment, il avait perverti la jolie petite brune. Petite poupée qui avait eu peur lorsqu’elle s’était mis à genoux la première fois, était devenue une femme assumée. Capable de lui demander de s’arrêter sur le bas-côté. Qui sait qui aurait pu les voir ? N’importe qui. Ils auraient fait un magnifique spectacle. Elle allongée sur le siège passagé, sa robe relevée dévoilant son sexe luisant de plaisir. Lui penché au-dessus d’elle, ses doigts glissés en elle. Ses gémissements emplissant l’habitacle. Elle était un magnifique tableau. La luxure absolue. Sa bouche s’ouvrant à chacun de ses gémissements. Depuis, le temps que ce petit jeu avait commencé, il avait appris à connaître son corps par coeur. Il savait quel parti de son corps était sensible. Quel geste la faisait jouir à coup sûr. Il savait quoi dire. Quoi faire. Par exemple, là, il savait ce qu’elle voulait. Qu’il bouge ses doigts en elle. Qu’elle sente doucement le plaisir monter dans le bas de son ventre. Puis qu’elle explose dans un cri de plaisir. Mais, c’était lui qui avait le contrôle. Si elle voulait qu’il fasse quelque chose, il fallait qu’elle le supplie. Elle savait qui contrôlait. Elle savait qu’il avait besoin de ce pouvoir dans sa vie. Peut-être que c’était de cette manière qu’elle avait réussi à voir dans son coeur. Alors, que ses lèvres jouaient avec son téton à travers le fin tissu, elle le supplia. Sa voix presque un murmure. Ses yeux le suppliant bien plus. Alors, il fit descendre de sa main libre l’une des bretelles pour dévoiler son sein. Pas de soutif. Bordel, elle savait exactement l’exciter. Cette fois, il s’attaqua à son téton déjà bien dur. Alternant douceur et brutalité. Parfois un coup de langue. Parfois une morsure. La rendant folle. Pourtant sa main n’avait pas bougé. Alors elle posa sa main sur son poignet, pour qu’il bouge. De ce simple mouvement, elle lui montrait à quel point elle était à lui. A quel point, elle le désirait. Alors doucement, il enfonça ses doigts bien plus profond en elle. Sentant sa cavité si étroite se resserrer parfaitement autour de ses doigts. Ses mouvements étaient lents. Bien loin de ses habitudes. En fait, il avait une petite idée derrière la tête. Plus, il prenait son temps. Plus ils risquaient d’être pris. Le goût du risque. Ses doigts s’enfonçaient en elle toujours plus loin, avant de ressortir avec la même lenteur. Il contrôlait son plaisir. Son pouce ayant pris le même rythme que ses compères… Un mouvement circulaire. Si lent. Si excitant. « J’aime quand t’es aussi trempée… Prête à me recevoir… Parfaite... » Malgré que la position soit plus que difficile, il se pencha vers son mont de Vénus. Sa bouche si proche. Son souffle saccadé faisant frémir son petit bourgeon de plaisir. Avant que sa bouche ne prenne la relève de son pouce. Aspirant si brutalement son clitoris avant de le dévorer. Comme une bête assoiffée. Finis la douceur. Il était partout sur son sexe, alors que ses doigts prenaient un rythme infernal. Le goût de son sexe explosait dans sa bouche. Un miel appétissant dont il lécha chaque goutte. Oubliant presque sa position inconfortable. Oubliant que la voiture était au milieu d’une rue.
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Lun 6 Juil - 21:09



La bête et la prisonnière ft. @Rylan Skylar

Elle n’était déjà plus vraiment maîtresse d’elle-même la pauvre poupée. Elle s’était faite de chiffon au moment même où Rylan avait commencé ses caresses les plus intimes. Il n’y avait qu’à lui qu’elle pouvait se donner de la sorte. Exprimer de cette manière le besoin viscéral de se faire prendre dans les lieux parfois les plus dégradants aux yeux d’une femme. Pourtant si elle était avec lui elle se sentait belle. Il pouvait la prendre dans les toilettes les plus miteuses du monde qu’elle se sentirait femme. Désirée. Attirante. Il savait transformer à sa manière le laid en quelque chose de sublime. Et elle se laissait facilement entraîner la petite poupée. Elle le suivait dans tous ses coups, encore et encore. Une confiance presque aveugle en lui était née au fil du temps. Une autre aurait fuit, n’aurait pas pris le temps de le connaître comme elle l’avait fais. Tant pis. Elle était au final bien heureuse de se trouver là où elle était actuellement. Près de lui, dans tous les sens du termes. Elle avait sa place au sein de son coeur, de son esprit et de son corps. La brune savait comment lui plaire, comment se comporter et à quel moment elle se devait de changer d’attitude. A ses côtés, elle savait oublier son innocence naturelle pour être une prédatrice féroce lorsqu’il le désirait tout comme elle savait de montrer docile lorsqu’il avait besoin de tout contrôler. Comme ce soir. Il voulait être maître et bourreau. Dominer pour se sentir mieux. Pour se sentir exister.

L’innocente se faisait de chiffon, son corps se mouvant au rythme de son propre désir, se sentant presque s’exténuer à quémander des caresses qu’il lui refusait pour le moment. Jusqu’à ce qu’elle ne le supplie. Moment qu’il attendait pour lui donner enfin ce qu’elle désirait plus que tout. Humide à souhait, elle imaginait parfaitement les doigts de son bourreau de glisser en elle avec une facilité déconcertante. Brisant brusquement les chaînes de la frustration pour laisser en elle se déverser le flot du plaisir. Un plaisir fort mais encore bien soutenu car ce n’était que le début. Et quel début. C’était déjà explosif pour elle, une mise en bouche qui ne laissait prévoir que le meilleur pour la suite. Son corps était plus que réactif. Il se cambrait brusquement à chaque caresses. Elle ressemblait presque à une pucelle qui n’avait jamais connu la main de l’homme. Et pourtant. Un énième soupir tandis qu’il s’attaquait cette fois-ci à son téton nu. Elle savait que le fait qu’elle ne portait rien en dessous de sa petite robe allait lui plaire. Parce qu’elle savait ce qu’il aimait chez une femme. La sensualité. Son choix vestimentaire subtil de ce soir avait été un atout. Trop court, cela ne lui aurait pas plu. Cela aurait été vulgaire et chez elle, il n'aurait pas aimé ça. Il l’aimait sensuelle mais pas trop provoquante. Mi-ange mi-démon. Toujours avec ce petit côté de vierge effarouchée sans pour autant être choquée de tout et n’importe quoi.

Il était maître de la situation et de son plaisir. Elle n'était même pas capable de lui répondre quand il lui adressait la parole. Chaque geste de sa part lui arrachant un nouveau gémissement de bien être. Que c’était bon. Même quand il se montrait beaucoup moins doux qu’au début. C’était même encore meilleur. Dans un rythme parfait avec la montée de son propre plaisir. Elle prenait un pied incroyable alors qu’il venait à peine de commencer. Elle avait failli parler mais avait été assaillie par une nouvelle vague de plaisir quand son pouce était venu jouer avec son bouton de plaisir. Elle n’allait pas tenir très longtemps, il suffisait de voir la façon qu’avaient ses cuisses de se contracter pour voir qu’elle prenait un pied infernal. Elle ignorait tout autour d’elle. Se foutait pas mal que quelqu’un soit en train de toquer à la porte du véhicule en s’inquiétant de les voir arrêtés de la sorte sur le bas côté. Sans doute même voudrait-elle jouir avant même de tenter de rassurer la personne et tant pis si cette dernière était traumatisée à vie. Un tel moment ne pouvait être stoppé de la sorte. Et tandis que les doigts du brun prenaient un rythme endiablée, elle se cambrait un peu plus, laissant échapper un cri plus puissant que les autres. Le souffle des lèvres de Rylan près de son intimité la rendait dingue. Laissaient présager un moment divin Le moment qui sans doute, la ferait craquer définitivement. Lui ferait perdre la tête. Elle haletait, son souffle complètement désordonné maintenant qu’il s’attaquait à elle avec sa bouche. Ultime torture qui allait l’achever d’ici peu. Sa poitrine se gonflait et se dégonflait avec rapidité alors qu’elle ne parvenait même plus à avaler la quantité d’air nécessaire pour respirer convenablement. Elle n’était plus que folie et plaisir. Décadence grandissante dans ce foutu 4X4. Un nouveau cri alors que la langue de Rylan la rendait dingue, lui faisait même oublier où elle se trouvait. Elle avait l’impression que son dos pouvait se briser en deux tant ce dernier se cambrait de plaisir. Un hurlement cette fois-ci, le prénom du brun s’échappant de ses lèvres avec force tandis que son orgasme la giflait de plein fouet, la faisant se déverser entre ses lèvres expertes. Le souffle haletant, les lèvres gonflées et rouges tant elle les avait mordues pour tenter de se contenir un minimum. Mais elle n’était qu’une poupée et il était celui qui tirait les ficelles de son plaisir.

 

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