BIENVENUE (futur·e) CTTien·ne
On se retrouve sur Discord on se fait une bouffe ?

Le forum fête son second anniversaire. Merci à tou·te·s
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

 :: Détente :: trash can. :: Rps (terminés et abandonnés) Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
(+18) Dreams are a dangerous thing
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 8 Nov - 15:03
PRÉNOM
&
PRÉNOM
She ain't no angel
Who lives on the hills
Her deal with the devil
Is paying her bills

Tu t’es éloignée du territoire des Bloody Boys, tu l’as pas fait depuis longtemps. T’es devenue un peu plus méfiante, un peu moins inconsciente, t’as eu de quoi avoir peur, sauf que là, c’est un peu différent. Tu le connais lui, c’est pas la première fois qu’il vient te voir. Tu connais son prénom, vous échangez quelques messages. Et puis… il te plait un peu trop, tu lui as fait quelques ristournes, tu sais bien pourtant que tu devrais pas, mettre une distance, les types comme lui il profite des filles comme toi, tu le sais, plus qu’à ton tour tu le sais. Mais tu peux pas t’en empêcher. Alors t’as accepté de le voir ailleurs que sur le territoire des bloody boys, pour pas qu’il y ait de chronomètre, personne pour vérifier la tarification, t’as pris un airbnb, pas très cher, tu l’ajouteras au prix du reste. Dans la petite salle de bain du petit appartement, plutôt un studio étudiant en réalité, tu prends une douche et te change, t’abandonnes tes frusques de ville pour une tenue plus suggestive, tu as mis du temps à la choisir, en te trouvant tout un tas d’excuse pour justifier que ce n’était pas seulement parce que c’était lui que tu faisais ça. T’as envie de lui plaire, t’as envie qu’il revienne encore et encore.

Dans le miroir, tu t’observes, rectifies, tu passes un pinceau contre ta joue pour en souligner le contour puis pousse un soupire qui se mue en un léger sourire. Tu aimes bien ce moment un peu incertain ou tu ne sais pas encore si tu risques de tomber amoureuse ou pas, t’aimes bien l’attente, ce moment ou tu sais qu’il va pas tarder. T’aimes bien ceux qui rappellent, ils sont pas toujours très beaux, ni très doux mais tu te dis que parmi eux peut-être qu’il y’en aura un qui voudra plus que ça. Alors tu rajoutes un peu de rouge à lèvre, réajuste tes cheveux et le balconnet avantageux de ton soutien-gorge. Puis t'abandonnes ton foutoir, dans la petite pièce principale, la lumière déclinante donne un éclairage rougeoyant, accentué par les rideaux rosés, il y a des livres qui trainent sur un bureau foutraque, t'as pas vu qui vivait là, t'as juste récupéré la clé sous le paillasson, sans doute une petit étudiante qui se fait un peu d'argent comme ça.

Elle sait pas à qui elle a loué, elle sait pas que tu vas souiller son petit sanctuaire, elle sait pas, que t'attends avec une boule d'excitation un échange tarifé, un type un peu sauvage que tu laisses trop faire. Tu lui as confirmé l’adresse, le code en bas, t’as un peu l’impression de quelque chose de vrai, comme si c’était un rendez-vous un peu classique. T’es pas dans les hôtels des bloody boys, alors c’est quand même un peu différent. Comme ça l’est tout le temps. T’essaies vraiment de te préserver, d’être raisonnable mais t’aimes pas l’être, t’as pas envie de l’être. La vie est moins intéressante quand on se mesure, quand on se restreint. Alors tu oublies les dernières séquelles de tes amourettes idiotes, attendant seulement la prochaine pour mettre un peu plus de sens dans ta vie, comme si tu ne pouvais vivre qu’à travers tes relations. Ne surtout pas regarder en face le reste de ton existence. Tu pourrais être tellement d’autres choses, mais t’as choisi d’être ça.

En attendant qu’il arrive tu consultes tes réseaux, prends quelques photos suggestives pour ceux qui paient. Tu maîtrises, l’équilibre du téléphone pour le bon angle, rentrer, arquer, bomber ton corps pour le faire paraître, plus fin, plus pleins, pour le faire paraître toujours désirable, quelques messages encore et puis tu entends des bruits de pas, ça pourrait être un voisin mais tu te lèves quand même. Dans ta mini combinaison fluide, largement ouverte sur ton soutiens gorge, tu trompes personne sur tes intentions, tu joues pas vraiment les fausses prudes, tu sais pourquoi on t’approche en premier lieu, donner ce qu’ils veulent et peut être, avoir un petit peu. T’entrouvres la porte, sourire mutin quand tu l’aperçois. « J’peux t’aider étranger ? » demandes-tu faussement nonchalante, à demi appuyée contre le chambranle. Il est beau lui, plus que la plupart de ceux qui paient pour toi, il est vraiment séduisant, t’aurais aimé le rencontrer autrement, dans un bar, par hasard, avoir un truc normal, mais votre rencontre était tarifée alors tu peux seulement imaginer que ça se soit passé autrement.
CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 8 Nov - 15:53
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355
DREAMS ARE A DANGEROUS THING
Encore une fois, tu l'as contactée. Encore une fois, t'as sous-entendu que tu n'avais pas les moyens de lui payer tout l'argent que tu lui dois déjà. Tu t'attends encore à ce qu'elle cesse de se faire avoir et qu'elle décide de te balancer à son mac. Ou, dans le meilleur des cas, qu'elle se contente de t'annoncer que c'est terminé. Que jamais plus elle ne t'ouvrira ses cuisses comme elle le fait si bien depuis plusieurs mois maintenant. Pourtant, ce n'est toujours pas arrivé. Au contraire, elle t'a même donné rendez-vous dans un endroit que tu sais être bien loin des coins où elle a l'habitude de se prostituer.  Vous savez très bien, tous les deux, que vous jouez avec le feu. Qu'arrivera un jour où vous vous ferez avoir si vous n'y prenez pas garde. Et tu penses qu'elle court même plus de risques que toi. Dans le pire des cas, on te passera à tabac et on attendra de toi que tu règles tes dettes. Mais elle, elle aura beaucoup plus à rembourser. La trahison en tête de liste.

Pourtant tu continues très largement d'en profiter. Parce que c'est trop tentant. Parce que, depuis que t'es sorti de prison, tu ne veux que t'amuser. Et si possible, à moindre frais. T'as pas de boulot stable. T'es vraiment en manque de thunes. Alors tu pourrais te contenter des jolies filles rencontrées dans les bars.  Mais Jolene est une jolie femme enfant qui te fait de l'effet. Et le fait qu'elle te soit relativement interdite, ne fait qu'ajouter plus de piquant encore.

Alors ce soir encore, tu te pointes sur le lieu du rendez-vous qu'elle a fixé elle même. T'entres le code qui ouvre la porte d'entrée de l'immeuble, comme elle te l'a indiqué. Et tu files du côté de l'étage qu'elle t'a également indiqué. Les mains dans les poches de ta veste en jean, tu prends le temps d'étudier les numéros des appartements, pour ne pas te planter.  Mais Jolene te double en ouvrant la porte derrière laquelle elle se planque. Tu souris à la vision de sa charmante tête blonde. Salut poupée. Que tu souffles en t'approchant d'elle. Arrivé à sa hauteur, tu loges une main sur le chambranle de la porte, contre lequel elle se tient elle même. Je suis venu pour la charmante petite blonde qui m'a donné rendez-vous ici. Que tu susurres finalement, en plantant ton regard franc dans le sien. Regard qui, bien vite, lorgne sur la poitrine mise en valeur. Tu peux difficilement passer outre la tenue affriolante qu'elle a enfilé pour te recevoir.

Il n'y a rien d'étonnant dans le fait que tu passes ton temps à y revenir. Le fait qu'elle te fasse des fleurs en ne te faisant payer pas grand chose, et parfois rien du tout, n'y est finalement pas pour rien. T'aimes bien la simplicité de vos échanges, en plus de tous les trucs qu'elle sait faire pour rendre accro n'importe quel homme. Tu te penches un peu plus vers elle, pour venir chuchoter à son oreille. Tu me laisses entrer ou on se donne en spectacle sur le pas de la porte ?

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 8 Nov - 16:48
PRÉNOM
&
PRÉNOM
She ain't no angel
Who lives on the hills
Her deal with the devil
Is paying her bills

Tête un peu penchée quand il s’approche, sourire qui gagne tes lèvres. Charmante petite blonde. De seulement le voir t’as abandonné tes résolutions, de seulement le voir, tu sens une chaleur au creux du ventre. Tu passes une main sur sa veste en jean alors que son regard à lui se perd dans ton décolleté. « Elle est bien imprudente cette charmante petite blonde » Tu recroises son regard avant qu’il se penche un peu plus vers toi, ta main s’agrippe à la veste. Son souffle contre ton oreille, tu fermes un instant les yeux, frisson qui remonte le long de ta colonne alors que tu l’attires à l’intérieur non sans une certaine impatience. T’as envie de l’embrasser, t’as envie de le sentir déjà. La porte claque et tu presses contre lui, noues lâchement tes bras derrière sa nuque, tu poses tes lèvres sur les siennes, une première fois, puis une seconde et puis tu sens son souffle à nouveau et sa langue contre le tienne, intrusive, caressante, soupirs appuyés, t’es sur la pointe des pieds, une de tes mains contre son crâne, qui descend contre son cou, l’autre verrouille maladroitement la porte, le cliquetis de la chaine accompagne le froissement de vos vêtements. Empressée tu repousses la lourde veste en jean. T’aurais dû lui demander l’argent quand il était sur le pas de la porte, t’aurais dû le faire languir un peu plus, mais t’y peux rien avec lui, quand tu sens son souffle, quand t’entends sa voix grave quand il use d’insinuation vicieuses… t’y peux rien, certainement pas lutter.

Et puis il y a aussi, que les mecs ont tendance à lâcher leur fric plus facilement quand ils sont un peu chauds, tu le sais d’expérience. Si tu ramènes un peu d’argent ce soir, t’auras moins de question, parce que tes ristournes elles commencent à se voir. Lèvres contre les siennes, parfois dérivant contre son cou, dents qui dérapent et souffle un peu plus court, geignement un peu impatient, un peu calculé. Tu sens sa barbe contre ta joue, t’aimes bien sa barbe, un peu trop comme tout le reste. Une de tes mains longe le torse avant de venir se poser contre le renflement de son pantalon, doigts caressants, soupesant, tu recules ton visage « Tu as de l’argent ? » demandes-tu sans trop y croire, reculant une nouvelle fois ton visage mais sans cesser de caresser, demi-sourire de celle qui connait la réponse. Un peu lassée, un peu amusée. Tu sais même plus combien il te doit, ça fait longtemps que ça dure cette histoire, des mois, plus que ton dernier ex. Plus que tous tes ex. Tu le regardes droit dans les yeux, tu minaudes un peu « laisse-moi deviner : la prochaine fois, c’est promis… » Tu devrais refuser, le laisser là avec sa demi érection, le foutre à la porte, tu devrais dire à ton mac de l’attendre mais tu feras rien de tout ça parce que t’aimes trop la chaleur de ses mains, sa fermeté, son corps musclé, sa nonchalance et la brutalité à peine dissimulée qui vibre sous son épiderme.

C’est beaucoup de risque tous les deux, juste pour du sexe, t’es pas idiote au point d’espérer qu’il voit que toi et puis toi…. Il y en a pas mal qui paient pour venir se glisser entre tes jambes et te servir des promesses vides. Eux tu les encaisses sans état d’âmes. Dehors, un bruit de klaxon perfore la tranquillité, crissement de pneus puis invectives virulentes, le quartier craint, un peu moins que ceux ou tu tapinais avant, un peu plus que ceux que tu fréquentes aujourd'hui. Tu pourrais l'inviter chez toi, mais tu veux pas faire payer chez toi. Tu voudrais bien lui proposer autre chose, arrêter de faire comme s’il devait payer, t’as pas à te forcer avec lui, mais tu sais comment ça se passe quand tu fais ça, ils disparaissent, ils disparaissent toujours en emportant tes petits espoirs. Alors tu continues à prétendre parce que tu soupçonnes que c’est ce qui l’excite le plus, la petite négociation, le fait de savoir que c’est un peu interdit. Alors tu continues a caresser, à sentir durcir contre le tissu, contre ta paume, la queue qu’il finira par te fourrer ou il le veut, comme il le veut parce que t’es incapable de dire non, de lui dire non.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 8 Nov - 17:11
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355
DREAMS ARE A DANGEROUS THING
Tu sais que tu joues avec le feu, depuis que tu couches avec une prostitué sans la payer autant que tu le devrais. Sans la payer à tous les coups, surtout. Pourtant tu ne peux t'en empêcher. Parce que t'es accro au danger, que t'aimes jouer avec le feu justement et parce qu'elle fait ça tellement bien Jolene, que t'en redemandes. Tu ne sais pas pourquoi elle fait ça en retour toutefois. Tu te demandes si elle est juste accro à vos parties de jambes en l'air autant que tu l'es toi même. Ou s'il y a autre chose. S'il y a une forme d'attachement derrière qui s'est installée au fil des rencontres, au fil des étreintes. Tu pourrais lui poser la question mais tu crains de ne foutre en l'air ce que vous avez actuellement. T'aimes bien ces rencontres clandestines. Et tu sais que si t'apprends qu'elle tient trop à toi, tu prendras la fuite une bonne fois pour toutes. Parce que t'es pas fait pour ça. Parce qu'on t'a esquinté le coeur une fois et que c'était une fois de trop. Une fois de trop et pourtant, tu remettrais bien ça avec la personne concernée si elle décidait de te revenir, tu le sais.

Imprudente mais tellement sexy. Que tu lui réponds avec un petit sourire joueur au coin des lèvres. Déjà, elle s'accroche à ta veste en jean. Déjà, elle te fait basculer de l'autre côté de la porte pour la refermer derrière toi. Et tu te laisses faire, bien sûr. Et tout s'enchaîne. Vous venez de faire sauter le bouchon de champagne. Vos corps se percutent et elle enroule ses bras autour de toi. Vos bouches se taquinent. Vos langues finissent par se faire ouvertement l'amour. Tu grondes par réflexe. T'enroules surtout tes bras autour de sa taille pour l'attirer fermement à toi. Te pressant plus encore contre son corps à peine vêtu.

Grognement encore, quand sa bouche échoue au creux de ton cou tatoué et que ses dents provoquent la peau fine. Uppercut virtuel quand, finalement, sa main vient empoigner. Caresser et malaxer le début d'érection. Parce qu'elle te fait clairement de l'effet la petite blonde qui joue plus encore avec le feu que toi. Tes mains épousent finalement la forme de son postérieur. Paumes chaudes qui recouvrent les fesses parfaites contre lesquelles tu n'as déjà que trop souvent échoué. Tu te mordilles la lèvre, mi-amusé mi-désolé et un peu penaud aussi, quand elle te parle argent. Elle se doute déjà de la réponse. D'ailleurs, elle t'imite faussement en devinant la réponse que tu vas lui sortir. T'sais bien que je suis plus doué pour t'payer en orgasmes ... Que tu tentes en lui offrant un coup d'oeil qui se veut charmeur. Parce que t'es au moins certain du fait qu'elle ne sait résister à ton charme et à tes petites provocations.

J'veux bien t'donner le peu que j'ai sur moi. Mais ce serait t'insulter que d'te donner que ça. Que tu souffles, mine de rien. Tout en permettant à tes mains de trouver le tissu fluide de sa combinaison. Tu ne lui laisses pas vraiment le temps de trop réfléchir. De peser le pour et le contre et d'envisager de te foutre à la porte. Tu sais que pour la faire capituler, il faut lui donner envie de toi. Alors à coups de gestes impatients, tu lui ôtes la petite combinaison qu'elle a pris le temps d'enfiler. Et tu glisses tout naturellement ta main entre ses cuisses. Doigts qui se perdent avec précision dans les plus intimes, pour s'assurer de son désir. Comme toi même tu ne peux prétendre n'avoir pas envie d'elle, alors que tu durcis toujours contre sa paume chaude.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 8 Nov - 18:29
PRÉNOM
&
PRÉNOM
She ain't no angel
Who lives on the hills
Her deal with the devil
Is paying her bills

T’aimes bien l’entendre grogner, sentir les vibrations raisonner dans sa cage thoracique. Sentir ton corps être attiré contre le sien, tes seins pressés contre son torse, ses mains contre tes fesses, attirés l’un vers l’autre, tu te plais à le croire en tout cas. Petit sourire, petite moue, te payer en orgasme, oui il le peut, un de ceux qui s’en soucient et sa petite phrase fait mouche, malgré son air un peu pataud. Bien sûr qu’il est fauché, bien sûr que tu vas l’accepter quand même, il est déjà en train d’écarter la petite combinaison, déjà entrain de glisser une main entre tes cuisses. T’es humide déjà et tu mords ta lèvre, ta seconde main vient rejoindre la première pour mieux défaire les attaches du pantalon, empressée mais habituée. Soupirs lascifs alors que t’essaies toutefois de ne pas complétement perdre le fil et parvient à dire, malgré tes yeux qui roulent un instant, ta poitrine qui se soulève alors qu’un gémissement trahit son habitude de ton corps et ton désir profond « Je ne suis pas contre quelques insultes si cela me permet de rendre quelques comptes. » Puis tu t’écartes, vive, tu t’abaisses à peine pour attraper la veste échouée dont le poids indique la présence d’un portefeuille. Te recules encore pour qu’il ne t’attrape pas de suite, sourire aux lèvres alors que tu plonges ta main dans une poche intérieure et en sortir victorieuse le maigre rectangle de cuir.

Tu t’écartes encore une fois, un jeu certes, un jeu plaisant, insouciant malgré tout ce qu’il implique. L’argent c’est aussi ce qu’il reste quand il part, un moyen de te rappeler que malgré les sourires, l’entente et le plaisir, c’est tarifé tout ça. Tu l’ouvres, t’enfuies encore, le studio est trop petit pour une véritable poursuite, alors tu grimpes sur le lit, tes pieds s’enfoncent dans le matelas, tu sautes une fois ou deux, manque de basculer de ton perchoir précaire alors que tu ouvres ton bien pour récupérer quelques billets. A peine une moitié de passe, une passe classique, mieux que rien, tu sautes du lit tout froissé et tu renverses quelques livres qui tombent dans un bruit mat. Tant pis pour le bordel, tant pis pour les voisins aussi. Petite inconsciente, petite insouciante, tu relâches le portefeuille, glisses les billets dans ton soutien-gorge, rangement éphémère étant donné son très probable prochain sort. T’es un peu plus essoufflée, tu cherches plus vraiment à lui échapper mais t’aimes bien ce petit jeu, alors tu continues un peu pour la forme.

Tu sais bien de toute façon, que tu pourras pas fuir longtemps, t’en as aucune envie et plus se retarde le moment ou il t’attrape, plus t’as envie qu’il le fasse. A jouer comme deux idiots, comme ça, comme si c’était tout autre chose, vous ressemblez pas à ce que vous êtes et c’est mieux. Ca te fait du bien un peu, de pas juste être sa pute. Dès qu’il t’attrapes, tu viens rechercher ses lèvres, plus impatiente, plus fiévreuse, t’agrippes les bords de son tee-shirt pour commencer à le lui retirer puis le laisser se débrouiller pour s’en démêler alors que tes mains viennent se perdre contre son torse tatoué, musclé, puis tes ongles glissent sur ses côtes, tu relèves le regard vers lui, il est un rien plus échevelé et ça t’arraches un sourire moqueur, tes mains s’accrochent au rebord du jean qui tient à peine sur ses hanches. « Par quoi souhaite commencer monsieur le client, maintenant qu’il m’a généreusement payé » Malicieuse, alors que la pointe de ta langue glisse aux abords de tes lèvres, un peu vulgaire, un peu gamine, tu t’échines à conserver cette barrière monétaire quand tu ferais tout pour rien, quand tu ferais plus, quand tu ferais trop, juste pour lui plaire un peu plus.


CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 8 Nov - 18:58
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355
DREAMS ARE A DANGEROUS THING
Quand elle parle argent, tu ne sais pas si elle le pense vraiment. Tu ne sais plus. Tu sais seulement qu'elle le fait parce qu'elle est obligée de le faire. Parce qu'elle n'oublie pas qu'elle est payée pour se donner ainsi. Quand bien même, toi tu reviens constamment. Quand bien même elle semble prendre autant de plaisir que toi à ces rencontres brûlantes. Dans le fond, elle n'interroge probablement que pour la forme. Que parce qu'elle y est obligée. Que parce que c'est aussi une façon pour vous rappeler, à tous les deux, les places que vous êtes chacun supposé occuper. Mais t'y peux rien toi, si elle est faible face à toi. T'y peux rien si elle est déjà moite d'envie, quand tu perds tes doigts entre ses cuisses pour le constater.

Malgré tout, elle t'échappe la jolie blonde. Parce que t'as mentionné que t'avais bien quelques billets en ta possession. Rien de bien dingue, tu n'iras pas loin avec ça. Et elle non plus. T'es trop surpris pour réagir, quand elle se recule avec ta veste en jean entre les doigts. Elle en fouille déjà les poches et n'a aucun mal à trouver ton porte feuille. Elle joue un peu quand elle te fuit plus sérieusement. Qu'elle traverse le petit studio au pas de course, pour avoir le temps de récupérer la petite somme d'argent que tu possèdes. Tu t'approches à pas lents. Sans réellement chercher à l'attraper. L'espace est réduit. Elle ne t'échappera pas vraiment. Et tu ricanes quand tu la vois sauter sur le lit. Femme enfant. Tu les trouves vraiment bien planqués là ? Que t'ironises quand tu la vois glisser les quelques billets, dans son soutien gorge. Elle sait que tu vas rapidement le lui retirer.

Finalement tu mets fin au premier supplice qu'elle vient elle même de programmer. Tu te rapproches, tu te colles, tu l'attrapes. Les doigts tatoués qui se veulent assurés sur elle dont le corps menu réagit au quart de tour. Les lèvres se retrouvent. Les bouches s'embrassent et s'embrasent. Tu achèves d'ôter ton tee shirt après qu'elle ait commencé à faire remonter le tissu le long de ton torse. Tu frissonnes au passage de ses ongles sur ta peau. Tu souris à ses baisers enflammés. Tu grondes à la vision de sa petite langue qui coquine avec sa lèvre inférieure. A c'prix là j'suppose que j'ai tout juste droit à un handjob. Que tu constates, un petit sourire amusé au coin des lèvres. Parce que vous savez tous les deux que ça ne s'arrêtera pas là. Qu'elle n'a pas envie de s'arrêter à ça, elle même.

De combien d'temps on dispose ? J'aviserai ensuite ... Au prix que tu la payes, tu n'as pas l'intention de la garder toute la nuit. Quand bien même ce serait tentant parfois. Quand bien même tu sauras la combler tout ce temps et un peu plus encore. T'es quand même assez malin pour ne pas pousser le vice jusqu'à la garder plus longtemps. Même si c'est tentant. T'as un minimum de respect pour elle, c'est évident. Et tu ne tiens pas à ce qu'elle fasse buter par un mac un peu trop dangereux, par ta faute. Alors si tu n'as droit qu'à une heure ou moins, tu te contenteras d'une étreinte. Rapide et un brin brutale, comme vous savez si bien le faire. Si elle a droit à un peu plus de temps que ça, vous vous offrirez le reste. La panoplie complète. Les jeux séducteurs et séduisants. Les caresses et provocations qui font gonfler plus encore le désir. Même si vous ne semblez pas avoir tellement besoin de ça. Toi qui viens de la faire reculer suffisamment pour la plaquer contre un mur. Qui attrapes ses hanches pour la soulever de terre et ramener son bassin contre le tien. Qui te places entre ses cuisses pour cogner son intimité, de la bosse de plus en plus ample et dure qui se dissimule sous son pantalon. Toi qui l'embrasses de nouveau à pleine bouche et qui ronronnes ton désir.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 8 Nov - 20:57
Joe
&
Lynn
She ain't no angel
Who lives on the hills
Her deal with the devil
Is paying her bills

Tu hausses les épaules, non bien sûr qu’ils ne sont pas bien planqués, mais peu importe, c’est pas important. Y’a rien qui est vraiment important à part ses mains sur ton corps et ses lèvres sur les tiennes. Tu replaces tes bras contre ses épaules et acquiesce d’un faux air docte quand il demande à quoi il a le droit. Il connait les tarifs, il n’y a que les premières fois qu’il a payé pleinement, alors il sait et tu réponds à son sourire. T’as envie de bien plus, tu lèves les yeux vers la petite horloge, tu calcules rapidement le temps qu’il te faut pour retourner sur place, prendre un autre habitué bien connu des bloody lui, t’as pas intérêt à être en retard. « deux heures » souffles-tu alors qu’il vient t’acculer contre le mur, tu prends son visage entre tes mains alors qu’il te soulève du sol sans difficulté. Vos baisers sont un peu plus sauvage, alors que tu sens contre ton dessous de dentelle la proéminence de son érection, tu gémis doucement, te presses un peu plus, pour que la bosse, le relief du jean, n’étreigne et n’excite un peu plus l’aspérité entre tes cuisses. Indécente, tu te frottes contre lui, tu bascules ton front contre le sien, le temps de soupirs appuyés, un peu impatiente. Ce que tu joues pour faire cracher plus d’argent à tes clients ne t’as pas besoin de te forcer avec lui.

Pas de fausse excitation, pas de faux empressement pour faire raquer plus en un minimum de temps, tes soupirs sont bien d’envie, tu te fais du bien contre lui, tu caresses ses bras, tes doigts redessines les formes harmonieuses de ses muscles, et puis tu reviens l’embrasser encore. « Avise plus vite » souffles-tu dans un sourire contre ses lèvres, échangeant un regard avec lui. Tu caresses, tu tires sur son jean, tu voudrais le dégager mais ta position, te laisses peu de manœuvre. Il glisse un peu son foutu jean, tu sens le tissu plus fin du boxer « J’ai envie de toi, Joe » impatiente, t’appuies le haut de ton corps contre le mur froid, tu passes tes mains dans ton dos pour détacher les agrafes de ton soutien-gorge, ta poitrine s’affaisse un peu, ferme mais lourde, les billets glissent et t’abandonnes ton soutif, tu presses l’air de rien tes bras contre en venant replacer tes mains derrières sa nuque.

T’as jamais eu à te forcer avec lui. La première fois qu’il a croisé ta route, c’est toi qui es venue le voir, tout juste sorti de prison, ça ne te faisait pas peur et puis c’était ton type. T’as reçu la frustration, t’as accueilli ça avec bonheur, l’impression d’une vraie étreinte, d’un truc moins factice, moins froid que d’habitude. Alors t’as pris son fric mais t’as pris ton pied aussi. Dès la seconde fois, t’avais hâte de le retrouver, t’es facile, t’as commencé à faire des remises, à accepter des excuses assez vite et quand tu rechignais il savait te convaincre et t’aimais un peu trop ses méthodes. C’est pour ça qu’il revient, c’est facile avec toi, tu dis pas non, t’es déjà d’accord. T’aimes trop ça le sexe, les étreintes rapides, brutales ou les plus longues, plus douces, t’as le corps fait pour ça. Est-ce qu’il réalise que t’espère un peu plus de tout ça ? Peut-être, probablement. Il profite. Il répondra pas à tes attentes, c’est inscrit en lui, il vient juste s’amuser. Ils viennent tous s’amuser, t’es là pour ça.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 8 Nov - 21:21
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355
DREAMS ARE A DANGEROUS THING
Tu te souviens très bien de la première fois que vous avez couché ensemble. Tu sortais à peine de prison. Et t'avais bien l'intention de t'offrir une cuite et une nuit de sexe, pur et dur. De retrouver pleinement tout ce qui avait eut le temps de te manquer durant ces deux foutues années passées à l'ombre. T'avais que quelques billets en poche. Le peu d'argent que tu t'es fait en prison en accepter les petits boulots à la con qui permettent de s'offrir des extra dans le petit magasin de la prison. Tu venais déjà de t'enfiler plusieurs bières, quand t'es tombé nez à nez avec la blondinette. Aucune femme au sein du bar n'avait attiré ton attention. T'étais carrément en manque mais pas tout à fait désespéré au point de sauter la première venue. Clope au bec, tu l'as regardé s'approcher de toi. Elle t'a fait de la gringue sans te cacher qu'elle était une pute. Qu'elle attendait d'être payée. Si t'en avais trouvé une autre ce soir là, gratuite, aucun doute que tu n'aurais pas suivis la petite blonde. Mais elle était la plus jolie opportunité de t'envoyer en l'air alors t'as daigné la payer pour quelques heures. Et elle a encaissé, avec un plaisir que tu espérais non feint. Tu t'es pourtant déchaîné sur elle. Le fait qu'elle ait du métier a sans douté aidé. Elle n'a pas eut l'air effrayée. Ni franchement traumatisée quand elle a disparu, la peau encore rougit par tes assauts répétés.

Elle a été si peu traumatisée, qu'elle a accepté de te recevoir une autre fois. Puis une autre. Et encore une autre. Parfois tout à fait gratuitement. Peut-être même sur son temps libre, tu n'en sais rien. Tu ne sais pas parce que vous ne parlez pas de ces trucs là. Parfois elle te demande si t'as de quoi la payer, comme ce soir. A d'autres moments, il suffit que tu lui offres un regard de chien battu, pour qu'elle comprenne que tu n'as aucun billet à lui filer. Et à tous les coups, pourtant, elle t'ouvre ses bras, ses cuisses, ses lèvres.

Et ce soir, comme tous les soirs, t'es impatient de la posséder de nouveau. Elle n'est pas la seule que tu sautes, depuis ces six derniers mois. Mais sur elle, contre elle, en elle, déferle la rage qui t'habite depuis toujours. A défaut de te foutre dans les histoires en cognant dans les tronches de ceux qui ne te plaisent pas et te foutent en rogne, tu la retrouves elle et tu la prends comme un fou furieux. Tu ne sais pas si elle aime vraiment ça. Tu sais juste qu'elle ne te repousse jamais et qu'elle accepte d'être mal payée. Arrête de m'exciter, j'arriverais un peu mieux à réfléchir. Que tu grognes contre sa bouche que tu dévores encore de la tienne. Ses lèvres que tu fais gonfler à les embrasser et à les mordre trop fort.

Et finalement y'a ses mots qui font pencher la balance. Parce qu'elle a envie de toi, tu vas mettre fin au supplice. Au moins une fois. Tu souris un peu quand elle se débarrasse de son soutien gorge. Que sa jolie poitrine cesse de lutter contre la gravité terrestre. Tout de suite, tu refermes une main autour d'un sein. Tu te fous des billets qui disparaissent en même temps que le sous vêtement. T'as juste une furieuse envie de profiter de son corps tout entier. Alors d'abord t'empoignes fort. Tu malaxes et prends plaisir à ça. Ensuite tu retires tes mains pour achever de faire sauter le bouton et la fermeture de ton pantalon. Le boxer et lui glissent. Alors tes doigts déplacent l'étroite bande de dentelle qui recouvre encore le corps féminin. Ton regard s'approche au sien quand tu la pénètres. Tu veux lire le mélange d'émotions sur son visage quand, comme souvent, tu cesses de tourner autour du pot. Et que tu ne prends, surtout, pas la peine d'y aller en douceur. Elle a droit à quelques gestes plus tendres de ta part, parfois. Mais certainement pas à la première étreinte. Quand tu déboules devant elle et que t'es bien trop excité pour prendre des pincettes. Et déjà, t'es en train de cogner son corps du tien. Tu vas et vient entre ses cuisses moites, comme un fou furieux. Les chairs claquent. La poitrine rebondit. Le dos cogne contre le mur et tes doigts se plantent fort dans la chair ferme de ses cuisses pour la maintenir en place. Pour qu'il n'échappe surtout pas au tien.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Invité
Invité
Dim 8 Nov - 22:08
Joe
&
Lynn
She ain't no angel
Who lives on the hills
Her deal with the devil
Is paying her bills

Tu souris quand il grogne, tu t’accroches un peu plus à lui, quand il mord, y’a vos dents qui cognent, animaux sauvages. Sa main tatouée qui se renferme durement contre un de tes seins te fait t’arquer, tu poses une main contre son bras, que tu caresses tandis qu’il malmène, l’autre main glisse dans sa barbe, tu sens la tension qui l’habite, la même que d’habitude, celle qui te laisse des rougeurs et tes bleus entre les jambes mais que tu refuses jamais. T’as le souffle court, tu l’aides à dégager le jean, empressé tous les deux, puis tu t’accroches à ses épaules, tu sens distraitement ses doigts écarter le tissu, t’as le regard plongé dans le sien, il te fixe toujours intensément à ce moment là, t’as l’impression qu’il veut tout lire, qu’il peut tout lire. Qu’il lit l’envie, le désir, aussi bien que la légère appréhension, la douleur, le plaisir, le besoin que t’as de lui parce que tu l’attends, tu t’ennuies après lui. Et puis c’est à sa façon de te baiser que tu penses que t’arrives pas à mouiller pour les autres… Il s’enfonce d’un coup, ça te coupe le souffle un court instant, comme à chaque fois. Faut dire, t’as mis du tiens pour l’exciter, pour lui faire patience, t’es douée à ça, alors t’as quand même un demi sourire, malgré les coups de reins brutaux, et puis il part, ta bouche s’ouvre en un cri, gémissement qui se bousculent, alors qu’il secoue, qu’il cogne durement dans ton corps. Tes ongles s’enfoncent un peu dans son dos, il te maintient si fort, trop fort, tant pis, ton dos cogne, tes reins surtout.

Tu sens ses doigts s’enfoncer dans la chair tendre de tes cuisses, il sert, il presse, il cogne, le claquement obscène de vos peaux résonne dans la pièce entre ses grognements et tes geignements. Tu portes des doigts à ta bouche, un coup de langue dessus et tu viens les glisser entre vous, tu viens caresser, frotter ton intimité. Tu sais que ça dure jamais longtemps quand il est dans cet état, tu sais que ça reprend vite aussi quand il est dans cet état. Parfois tu fermes les yeux, fermés à en fendre tes paupières sous le coup du plaisir, quand tu les réouvres un peu hagarde tu cherches toujours son regard et puis t’encaisses encore, t’as les chairs qui se contractent, une main accrochée à sa nuque fermement, le corps plaqué, tu sens les os de son bassin s’incruster dans tes cuisses. Ca te plait de savoir que tu peux l’exciter à ce point. Oh tu sais bien que la première fois ça aurait été toi une autre, ça aurait été pareil, mais maintenant, il vient parce que c’est toi, parce que tu le reçois toujours quelque soit son humeur, quelque soit ses finances.

Ta tête bascule alors que tu te tends, que tu t’arques contre le mur, le mouvement de ta main se fait plus frénétique entre tes cuisses, tu veux jouir avec lui, tu veux qu’il sache le bien qu’il te fait, même quand il te fait mal, tu veux pas qu’il doute un instant que t’aimes ça, tout ce qu’il te fait, tout ce qui est lui, tu halètes, tu viens chercher ses lèvres, baiser désordonné, t’as les lèvres un peu plus gonflés, un peu de rouge à lèvres qui s’est étalé Tu sais pas comment il fait pour emmagasiner tellement de rage, mais elle te fait du bien sa rage, t’en manques toi, alors tu la prends avec plaisir, tes ongles dérapent dans sa nuque puis viennent s’agripper à son épaule, puis descendre sur un pectoraux, tu presses ta paume sans même t’en rendre compte, juste pour te maintenir, pour te caler, tu repousses sans le faire bouger, puis tu l’accueilles tout contre toi, tu le serres et son prénom dérape plusieurs fois sur tes lèvres.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 8 Nov - 22:32
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355
DREAMS ARE A DANGEROUS THING
Elle te fait un effet plus que certain Jolene et elle le sait bien. Elle est certainement habituée à rendre dingue tous les mâles qui se présentent à elle. Elle sait y faire. T'as eus l'occasion de t'en rendre compte quand elle t'a accosté devant ce bar. T'étais bien parti pour refuser. Mais elle a usé de ses charmes. Ta capacité à résister était déjà bien mise à mal par le fait que tu sortais à peine d'une peine de prison de deux ans. Il n'a pas fallut grand chose de sa part pour que tu bascules tout à fait. Mais qu'importe. Le fait est que t'as été bien faible face à elle. Ainsi que toutes les fois qui ont suivis. Et elle te le rend bien. Elle est incapable de te dire non alors que tu ne paies pas comme tu le devrais. Incapable de ne pas t'ouvrir ses cuisses quand tu émets ton envie d'elle. De ne pas encaisser toute la rage qui sommeille en toi et que tu déverses sur son corps menu.

Elle ne retient pas les plaintes de plaisir Jolene. Au contraire. Elle les laisse déferler, tomber, s'éparpiller dans la pièce. Les cris et gémissements semblent rebondir sur les murs. Et toi tu la baises encore plus fort. Et elle plante ses ongles dans ta peau. Elle s'accroche à toi de la même façon que tu t'accroches à son corps. Pour le maintenir en place. L'obliger à encaisser chaque coup que tu infliges. Tu ne manques rien du spectacle qu'elle a à t'offrir tandis que tu continues d'aller et venir comme un fou furieux. Tu la prends comme si tu sortais tout juste de tôle. Comme si tu n'avais pas touché à la moindre femme, depuis deux longues années. Et tu prends beaucoup de plaisir à la voir glisser sa main entre vous, pour accentuer son plaisir. Elle est de plus en plus mouillée autour de toi. Et surtout, elle se contracte. De brefs spasmes qui t'arrachent des grognements. D'autres. De nouveaux. Des jurons aussi, quand tu ne serres pas trop fort les mâchoires pour les retenir.

Elle t'embrasse à en perdre haleine. Te coupant tout à fait le souffle tant sa bouche veut posséder la tienne. Tu le lui rends sans te faire prier. Quitte à oublier de respirer. Tu sortiras de cette nouvelle étreinte, comme après toutes les autres. Essoufflé, en sueur et un peu hagard. Comme si tu perdais tout le contrôle de toi même pendant ces quelques minutes de brutalité pure et dure. Et que tu ne revenais tout à fait à toi, qu'après coup. Mais ça ne t'empêche pas de remuer de nouveau. Tes mains toujours sur ses cuisses, tu la décolles du mur. Malgré la frustration que ça engendre, tu délies vos corps. Juste le temps de la faire pivoter. Ta main déplace la lourde chevelure pour libérer une épaule. L'autre te permet de t'enfoncer de nouveau en elle. Grognement, encore, quand tu cognes contre ses fesses. Ta main récupère son visage. Lui faisant tourner la tête pour que vos bouches se retrouvent. Tes doigts libres se posent sur son intimité pour prendre le relais des siens. La caresser avec une tendre frénésie. Mouvements circulaires alors que, contre ses fesses, tu reprends le tempo frénétique. Et tu grognes une flopée d'autres jurons. Tu prends plaisir à tout ça. A la mélodie qui s'échappe de ce corps à corps violent. A la sensation de ses fesses fermes contre lesquelles tu rebondis à chaque vive pénétration. A la douceur de ses lèvres que tu esquintes encore plus des siennes. Tu prends plaisir à tout ça alors tu ne retiens pas l'orgasme qui, comme souvent avec elle, arrive vite. Trop vite. Et tes doigts continuent leur ballet sensuel sur son bouton de plaisir, pour qu'elle te suive. Toi qui entend la détonation jusque dans tes tympans. Toi qui te déverse en elle alors que l'orgasme se distille dans l'ensemble de ton organisme. Sous la peau, c'est brûlant. Au creux des reins, c'est léger. Derrière les paupières, c'est lumineux. Comme l'éclair qui frappe. Avant d'être rejoint par le tonnerre qui se présente sous la forme d'un ultime grognement de ta part.

CODAGE PAR AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
Sauter vers: