Donne leur l'eden, ils t'en font un enfer @Joe Beckford Sujet qui fâche, encore une fois, il fait l’amalgame entre le fait de rêver, de croire à ces choses douces et féerique et le fait que ce puisse être uniquement sorti de la tête d'une femme. De toute évidence, elle qui lutte pour l'égalité des sexes, plus encore que tout autre chose, ne va certainement pas le louper. Même si elle sait qu'il s'en fout pas mal. « Ah ouais ? Rêver c'est un truc de ''gonzesse'' uniquement ? Tu ferais bien de rêver un peu toi aussi. Espèce d'homme des cavernes » et il sait très bien qu'il est tout à fait un homme des cavernes. Ne serait-ce que par sa façon de penser. « Quand t'auras décidé de brancher ton cerveau, je pourrais te faire un cours sur l'égalité des sexes » il n'en faut que très peu pour énerver Viktoria. Rien que le fait de supposer qu'un acte puisse être uniquement féminin ou masculin titille sa guerrière intérieure.
Elle s'intéresse néanmoins à lui, assise sur ce canapé à ses côtés. Elle ne sait pas si c'est la détresse qu'il dégage ou la mélancolie qu'ils partagent, ce mode de vie nul qui les rapproche, mais le fait est qu'elle est une personne fidèle et une amie inquiète pour lui, malgré tout. Compte tenu du fait qu'il est allé en prison pour autrui, là encore, de quoi bien nourrir sa haine. À ce sujet, elle ne plaisante d'ailleurs jamais et ne le met même pas sur le tapis. Lui aussi semble être fidèle, quitte à aller en prison à la place d'un autre. « T'as qu'à coucher avec des femmes de ménage. Si tu les satisfais assez, elles passeront la serpillière avant de partir » à ces paroles, elle ne peut s'empêcher de rigoler un peu. Elle n'a même pas besoin d'attendre sa réaction pour savoir qu'il va lever ses prunelles au ciel. Après tout, l'emmerde, le piquer, c'est sa passion numéro une.
Elle s'en donne d'ailleurs à cœur joie ce soir, quand elle semble insinuer qu'il est plutôt nul au lit, elle n'en sait rien à vrai dire et elle ne doute pas qu'il doit bien s'en sortir. En tout cas, elle l'espère pour les femmes qui ont eu l'occasion de transpirer entre ses draps. Il ne tarde pas à tout de suite réagir d'ailleurs. Et ce soir, Viktoria est d'humeur joueuse, elle veut bien le tester, le titille un peu plus. Sa curiosité la perdra certainement un jour. Bref ricanement à ces mots doux. « Là, cette fois, ta masculinité en prend un coup » et il ne pourra pas prétendre le contraire, même s'il y a de fortes chances qu'il commence a vraiment s'énerver, mais elle sait l'apaiser très vite. « C'est une occasion manquée alors » qu'elle sous-entend. Elle ne sait pas trop si elle se joue simplement de lui ou si réellement elle veut bien tester ses performances au lit. En tout cas, il faut croire que l'alcool lui est déjà monté à la tête pour insinuer pareilles choses. Mais, elle est taquine, elle ne changera pas, pas même sous influence. « Quelles couilles Jojo ? » l'air de réellement s'interroger s'ils possèdent ses précieuses sur ce corps entièrement tatoué. Enragé même. Évidemment, elle ne manque pas une occasion de les lui casser à commencer par l'appeler Jojo, plus ridicule, tu meurs. Où elle, si elle continue. Il la tuera.
Sous l'influence du joint qu'il roule et qu'elle attrape, sans questionnement, comme si elle pouvait lui faire totalement confiance au sujet de ce qu'il peut bien mettre dans son joint. Après tout, ils sont venus pour s'amuser ou du moins oublier un peu. Pourtant, aux premiers fragments de fumé qui emplissent ses poumons, elle les recrache, manquant de s'étouffer, lui tendant le joint pour qu'il le récupère. « Putain, t'as mis du shit pur là-dedans ou quoi ? » elle boit un peu de sa boisson pour faire passer le supplice. Il n'y a que très peu de tabac dans ce petit bout de papier roulé et s'il ne servait pas à pouvoir consumer la feuille, pour sûr qu'il n'en aurait pas mis un seul gramme. Elle le regarde, un sourcil relevé. « Ta rage doit être dingue si tu dois fumer ça pour oublier » parce qu’il est quand même bien chargé et il fait presque déjà tourner la tête de Viktoria qui de base n'était pas venue ici pour se transformer en légume. Lui ceci dit, aucune chance qu'il se transforme en légume, même en fumant ça. « J'vais me contenter de ce que j'ai » elle met son petit sachet dans sa poche. « Tu viens me tenir compagnie ou tu veux rester là et continuer à rêver des meufs que tu ne pourras jamais te taper ? » même si la drogue de ce type est quelque chose de très courant en soirée, elle reste paradoxalement, difficile à prendre à la vue de tous. Comme un petit secret de polichinelle que tous les consommateurs ont. Direction une autre pièce close, haut lieu de prise de substance bien connu des soirées du genre. On y entre clean et on y ressort avec la fureur de vaincre le monde entier et l'esprit brumeux. CRIMSON DAY
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Joe Beckford
Dim 29 Aoû - 21:10
TW : liés aux personnages (drogue, vulgarité et autres).
Elle a envie de te titiller et de t'énerver ce soir, apparemment. Non pas que ça fonctionne tout à fait. Parce que c'est surtout elle qui va finir en boule vu tes réponses. Tu sais que ça la fout en rogne quand t'agis comme tu le fais là. Quand tes mots veulent à tout prix faire une différence entre hommes et femmes. Sous entendant bien souvent que les hommes sont supérieurs aux femmes. Dans les faits, ce n'est pas tout à fait ce que tu penses. A moins que, insciemment, ça ne soit le cas en réalité. Tu ne sais pas. Tu crois que j'en ai quelque chose à branler ? Non. Bien sûr que non elle ne se fait pas le moindre espoir là dedans. Qu'elle te connaît bien assez pour savoir que tu t'en fous pas mal et que ça ne te fait tout à fait ni chaud ni froid. C'est tellement facile de t'énerver. Et ça a presque l'air de t'amuser en plus. Petit con que tu sais si bien être. Tu ne supportes simplement pas quand on te rend la pareille. Or, c'est bien là ce qu'elle passe son temps à faire. Parce qu'à elle tu ne lui fais pas du tout peur pour le coup.
Tu déconnes ? Tu connais une femme de ménage qui soit bonne ? Parce que tu as beau ne pas être difficile et apprécier tous types de femmes entre les cuisses desquelles tu pourras t'enfoncer, tu as quand même quelques limites. Et bon sang ce que ça te fout en rogne quand Viktoria joue encore à te provoquer avec ses conneries. Sous entendant que tu n'assures sans doute pas sur le plan sexuel. Et forcément ça, ça a surtout le don de te faire râler. Et oui, ça te heurte dans ta masculinité et elle le voit / le sait. T'as vraiment envie de m'faire chier c'soir. Que tu fais finalement le constat. Pas bien loin de craquer et d'aller voir ailleurs si t'y es. Un instant tu te demandes pourquoi tu la considères comme une amie celle ci. Et l'instant d'après, t'es à te rappeler qu'elle est sans doute la seule personne qui t'est fidèle depuis toutes ces années. La seule qui doit assez aimer souffrir pour y revenir alors que t'es juste un gros con. Parce que tu es quand même assez honnête avec toi même pour savoir ça.
Tu ne ricanes même pas quand elle s'étouffe à moitié avec le joint qu'elle est venue te chiper. Tu le récupères plutôt sans te faire prier et tires une profonde latte. P'tite joueuse. Effectivement, il n'y a pas beaucoup de tabac là dedans. Il faut au moins ça pour t'apaiser et te maintenir calme sur la durée. T'as pas dû m'voir cogner des gens bien souvent toi. Pour se contenter d'émettre l'idée selon laquelle ta rage est dingue. C'est un euphémisme. Tu hésites quand elle te propose de faire un choix ensuit. C'est la seconde partie qui, une fois de plus, te fout en rogne. Vas-y dégage toute seule, tu m'saoules. Quant à toi tu vas plutôt rester tranquillement dans ce canapé en attendant de trouver ta proie. Celle avec laquelle tu repartiras. Puisqu'avec une Viktoria aussi casse couilles, il y a peu de chance pour que tu lui tiennes plus longtemps compagnie. Ou qu'elle, elle ne te tienne davantage compagnie. Tu préfères encore t'intéresser à une minette qui n'ouvrira sa bouche que pour la refermer autour de ta queue.
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Lun 30 Aoû - 21:13
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Donne leur l'eden, ils t'en font un enfer @Joe Beckford Ses prunelles qu'elle lève au ciel et qu'elle fait rouler longuement. Il est évident qu'il n'en a strictement rien à secouer de savoir que la femme existe et a bien des pouvoirs dans ce petit monde, plus qu'à l'époque et moins que demain. « J'ai l'impression d’instruire un ours sur les mouvements de notre siècle. Tu devrais essayer le féminisme, c'est sexy chez un homme » pas qu'il manque de sexisme, mais elle est certaine qu'à part s'attirer des petites pouffiasses en chaleur, un jour il pourra vraiment trouver quelqu'un de bien. Pas certaine ceci dit que c'est réellement ce qu'il recherche. Gorge qu'elle racle et rire mesquin quand il insinue qu'il n'est pas difficile de la foutre en rogne. Évidemment que ce n'est pas difficile. « Lequel des deux s'énerve le plus facilement ? » son verre qu'elle porte à ses lèvres « Je ne parierai pas là-dessus » tête qui basule en sa direction.
Et puisqu'il semble se jouer de tout ça, elle aussi, c'est évident. La manière dont elle a de mettre en doute tout et n'importe quoi chez lui, alors qu'il manque probablement d'un peu de confiance en lui pour être aussi mal luné la plupart du temps. Pourtant, il sait parfois avoir un peu d'humour et ça fait partie des rares points positifs qui composent son être. « Stigmatisation de la femme de ménage » encore une fois, ça va rentrer par une oreille et sortir par l'autre, mais elle ne peut pas rester muette trop longtemps. C'est son devoir que de devoir le remettre en place parfois, même si elle sait qu'elle use sa salive inutilement avec lui. Du coup, il ne récolte que ce qu'il mérite. « J'adore te faire chier, c'est jouissif » et c'est peut dire, voir son visage en rogne et se décomposer à mesure qu'elle lui adresse la parole, ça à réellement quelque chose de plaisant. « Tu vois, ce que tu ressens. C'est ce que les femmes ressentent la plupart du temps avec toi » être traitée comme de la merde et malmenée. Pourtant, il y en a une ou deux si on compte Viktoria, qui ne sont pas tout à fait mal traitée par lui. Il semble l’apprécier, alors qu'elle passe souvent son temps à le chercher. Comme le frère qu'elle n'a jamais eu. Le vrai pour le coup.
Elle lui rend donc son joint, manquant de s'étouffer. C'est en effet une petite joueuse concernant cette drogue ou en tout cas tout ce qu'il a pu y mettre à l'intérieur de ces feuilles fines bientôt jaunies par le produit. Fumée à l'odeur délicate qui lui suffirait presque pour planer. « Je vois surtout que tu continues à te battre » elle ne sait pas si réellement il est très bien pour lui de continuer à mal se comporter de la sorte. Elle peut voir sur ses mains des traces encore fraîches de baston et quelques petits bleus dissimulés sous les tatouages. « Tu devrais faire de la box. Je suis sérieuse » certaine que ça pourrait lui faire oublier un peu sa peine et frapper dans des sacs en s'imaginant ses ennemies ou Anna, pourquoi pas. « Moi j'dessine et j'écris des trucs pour oublier, ça aide » comme si elle avait besoin de justifier le fait que trouver une activité pour extérioriser sa peine était bonne. Elle ne reste pas trop douce longtemps, le narguant lorsqu'elle se lève pour qu'il l'accompagne un peu plus loin. Ne serait-ce que pour ne pas y aller seule. Elle se lève néanmoins et se positionnant face à lui, elle prend sa main libre et la tire vers elle. « Depuis quand t'es susceptible ? » certainement qu'il l'est avec les gens qu'il apprécie, c'est possible. « Si je t'arrange le truc avec une meuf pour que tu tires ton coup, tu me pardonnes de te casser les couilles ? » elle continue à tirer son bras en sa direction. Elle et sa jupe certainement bien assez courte pour attirer son attention d'homme des cavernes. CRIMSON DAY
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Joe Beckford
Jeu 2 Sep - 21:21
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Elle te fait quand même bien rire quand elle te fait remarquer que le féminisme chez un homme, c'est sexy. Tu ris d'ailleurs, ouvertement. Parce que ce n'est pas demain la veille que tu vas te battre pour les droits des femmes ou autres conneries du genre. Tu ne t'inquiètes pas de la montée en puissance de ce mouvement. Mais tu ne te sens pas du tout concerné. Et que tu n'es pas de ceux qui se battent pour des causes qui ne les concernent en rien. Et aucun doute qu'elle te connaît maintenant assez pour savoir au moins ça sur toi, la jolie gamine. Parce que t'en connais beaucoup des mecs qui sont féministes ? Que tu te moques, toujours sur ta lancée. Parce que pour toi il est certain qu'ils ne sont pas nombreux, voire qu'ils n'existent pas, les hommes qui luttent pour les femmes de cette façon. Tu serais curieux de voir pourquoi ils s'engagent dans ce genre de voie d'ailleurs. S'ils ne le font pas uniquement parce que ça rend sexy, justement. D'autant plus que c'est dit de la bouche d'une féministe en puissance. C'est que ça doit bel et bien fonctionner tiens ...
Forcément, elle ne te rate jamais Viktoria. Ainsi quand tu fais remarquer comme c'est simple de l'énerver, elle réagit tout de suite en te renvoyant la balle. Parce que vous savez très bien tous les deux, que tu es tout à fait le même genre de personne. Au moins sur l'impulsivité en tout cas. Ce qui t'amuse assez finalement. Tu m'as rarement vu énervé pourtant ... Et c'est mieux pour elle. Surtout si le risque est que tu t'énerves tout à fait contre elle. Parce que tu ne fais pas dans la demi mesure. Et que tu vas forcément trop loin, à tous les coups, quand tu es tout à fait en rogne. Or, il ne faudrait quand même pas que tu la cognes. Ce qui pourrait carrément arriver si elle venait à te faire sortir de tes gonds. C'est d'ailleurs à se demander comment ça se fait que ce n'est encore jamais arrivé avec elle qui te tient si facilement tête. Elle le fait là alors qu'elle rebondit sur tes mots et l'image que tu sembles te faire des femmes de ménage. Au fond c'est certainement idiot. Mais tu le fais et le dis surtout pour la faire chier. Et ça marche, tu n'en doutes pas. Tu hausses les épaules à ses mots. Mais elle enchaîne et trouve le moyen de te titiller.
Ah ouais ? Tu crois qu'les femmes ont les mêmes problèmes de colère que moi aussi ? Parce que tu ne vas pas te contenter de rager et ruminer dans ton coin. Si tu ne cognes pas quelqu'un, tu finiras par te briser le poing dans un mur juste pour apaiser et faire retomber la rage qui sait si bien et si vite se réveiller en toi. Toi tu consommes de l'herbe pour te calmer. Elle, elle émet plutôt l'idée que tu te tournes vers la boxe. Ou sans doute d'autres sports. Ca risque surtout de me faire tout à fait vriller et m'donner envie d'buter les gens devant moi. Quelle drôle d'idée quand même ! Tu peux si rapidement devenir incontrôlable, que ça ne peut être une bonne idée ça ... Et puis elle peut même voir avec quelle vitesse tu te fermes. L'obligeant à se lever, à attraper l'un de tes bras et à tirer pour t'inciter à te lever. Pourtant, tu ne bronches et ne bouges pas d'un poil. Tu ne réponds pas à sa question et te contentes de lui offrir un regard peu amène. Ouais à voir. Mais m'fait pas un sale coup en m'trouvant une gonzesse pas jolie. Que tu râles en daignant te lever. Vas y c'est bon, arrête. Que tu continues, tout naturellement, de râler.
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Ven 3 Sep - 22:03
TW : Vulgarité, drogue, alcool
Donne leur l'eden, ils t'en font un enfer @Joe Beckford Elle sait très bien que la question que pose Joe n'est absolument pas intéressée. Elle est là juste pour lui prouver à quel point, les hommes féministes sont peu nombreux voir carrément inexistants parfois. C'est dingue de voir dans un monde comme le nôtre, les hommes aussi réfractaires à cette cause qui est pourtant noble et surtout nécessaire. Comme si leurs bijoux de famille pouvaient se faire découper à la seconde où la femme pouvait prendre le total contrôle de ce qui les entour. Ce qu'elles sont en train de faire après tout et plus le temps avance, plus l'air semble changer et les hommes se sentent peu en sécurité. Ceux qui se rallient a cette cause sont là soit par dépit, soit avec de réels intérêts. « Non, c'est bien dommage d'ailleurs. Les hommes féministes, c'est ce qui me branche le plus » épaules qu'elle relève. Pourtant, dans son entourage, lorsqu'elle sort avec un mec, c'est souvent de la mauvaise graine et même parfois des mecs comme Joe qui ne respectent pas les femmes.
Et si finalement, sortir avec ce genre de mecs, se les taper. Ce ne serait pas rendre justice à la cause qu'elle défend corps et âme ? Les laisser avec le souvenir d'une Viktoria aussi désirable que bonne. Avec le souvenir d'une femme qu'ils ne peuvent pas toucher. Ce petit jeu semble bien tourner dans sa tête tout d'un coup. Et si elle jouait avec Joe ce soir ? Elle sait pourtant bien qu'il peut être très colérique et -heureusement pour elle- il ne l'a encore jamais violenté. Ce qu'il semble d'autant plus confirmer. « Tu pourrais me frapper si je venais à trop t'énerver ? » aucun doute là-dessus. Elle veut juste voir à quel point il peut être dingue. Elle le connaît son ami, elle sait bien que si elle venait à pousser le bouchon trop loin d'un seul centimètre, il pourrait rentrer dans une rage folle et depuis le début de la soirée, elle le pique. Elle le cherche et ça semble fonctionner.
Quant à son doute concernant le fait qu'une femme puisse avoir autant de colère que lui, elle vient vite balayer cette idée de son cerveau. « Tu ne m'as jamais vu énervée » pour reprendre ses paroles. Peut-être que sa colère ne sera jamais à la hauteur de Joe, mais elle peut très vite, elle aussi s'emporter. Sourire mesquin au bout des lèvres « Si on s'énerve toi et moi, on pourra créer assez d'étincelles pour brûler la pièce » parce qu’elle est aussi romancière après tout et qu'elle voit la chose d'une manière plus poétique. Un poème où ces deux âmes en peines semblent vouloir se tirer aussi bas que s'aider à remonter la pente. C'est en tout cas ce qu'elle a fait durant ses années de prison. Amie fidèle sur qui on peut compter. Le fait que la boxe puisse le faire vriller, elle n'en doute pas. Hochement de tête. Elle se lève enfin face à lui pour le tirer de sa torpeur dans ce canapé. Pour essayer d'effacer un peu de son désarroi, l’amener vers d'autres horizons et surtout, car elle sait que si elle le quitte deux minutes, elle risque de ne pas le retrouver à son retour. C'est pourtant sur lui qu'elle semble avoir jeté son dévolu. Un dévolu d'humeur piquante et enivrante à a fois. « J'ai bon goût, t'inquiète. Mais elles ne seront jamais aussi bonnes que moi » et c'est certainement avec ces belles paroles qu'il se contentera de la contredire, évidemment. Elle s'en fout pas mal après tout. Elle le tire donc dans une pièce à l'abri des regards indiscrets, au coin de la pièce où nul se trouve. Où la musique se fait un peu moins forte.
Ses bras qu'elle hisse sur le comptoir pour y poser son fessier. Jambes croisées et matériel de sortie pour se faire une belle petite trace de poudre blanche dont elle emplit ses petites narines. Picotement dans le nez, au fond de la gorge et drôle de goût amer qui vient la faire se racler un peu la gorge. Ses prunelles humides après cette prise. « Approche, Joe » qu'elle semble tout à fait lui ordonner délicieusement. En reniflant au passage. Son corps qui semble, quelques minutes plus tard, déjà augmenter en température à la prise de cette drogue et un Joe en face d'elle qui semble la regarder. CRIMSON DAY
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Joe Beckford
Sam 4 Sep - 18:58
TW : liés aux personnages (drogue, vulgarité et autres).
Tu n'es même pas surpris d'apprendre que ce sont les hommes féministes qui ont sa préférence d'ordinaire. Mais qu'elle n'a malheureusement d'autre choix que de se contenter de ce qui lui passe sous la main. Tu ne connais vraiment pas tout de sa vie amoureuse, voire vraiment peu de choses. Mais tu ne doutes pas qu'elle n'a pas la chance d'en connaître beaucoup des gars qui ont ce penchant pour le féminisme et même qui s'y intéressent de façon sincère et sérieuse. Pour autre chose que pour sauter les gonzesses qui se font avoir. Et j'suis sûr qu'il y a un tas d'gars dans mon genre qui arrivent à te titiller et à te faire pencher de leur côté. Ce qui a quand même quelque chose d'amusant. Tu es certain qu'elle est comme toutes les filles : attirée par les bad boys, que ça lui plaise ou non. Peut-être que de façon inconsciente elle se fait surtout avoir parce que celui qu'elle aime s'est barré y'a un paquet d'années maintenant. Lui, il était tout sauf un bad boy de ce qu'elle a pu te dire et de ce que tu peux te rappeler. Tu ne sais pas si c'était un féministe. Mais il a tout l'air de lui avoir esquinté le coeur pour de bon. Un peu à l'image de ce que t'a fait Anna finalement.
A la question qu'elle te pose, tu laisses entendre un rire léger et tout à fait ironique. Si c'est mérité, bien sûr que je pourrais t'cogner. J'fais pas de différence entre les hommes et les femme. Tu d'vrais t'en réjouir d'ailleurs, non ? Oui, tu te fous un peu d'elle au passage. Parce que c'est tout toi ça. Et parce qu'il te semble qu'elle te donne quand même de bonnes raisons de le faire. Tu apprends dans la foulée qu'elle sait également s'énerver fort. Tu n'es pas bien certain que ce soit à la hauteur de ta colère pourtant. Parce que tu as déjà buté des mecs à mains nues toi. Et que tu doutes que ce soit son cas. Voilà un programme fort intéressant. Ce n'est pas réellement un programme. Vous n'êtes pas en train de décider que vous allez faire un truc pareil. Elle prend seulement plaisir à imager la chose. Déformation professionnelle sans doute. Ou un truc du genre en tout cas. Parce que ce n'est pas tout le monde qui s'amuse à mettre de telles images sur des choses pareilles. Le sujet étant presque sensible dans le fond.
Même si elle a déjà frôlé le moment où elle allait te mettre vraiment en rogne, tu finis par accepter de la suivre en direction de la cuisine. Où elle a l'intention de se faire quelques rails. Tu ronchonnes mais tu la suis quand même. Tu n'as pas envie de te prendre inlassablement la tête avec elle. D'autant plus qu'elle vient de te promettre qu'elle te trouverait une nana pour la nuit. C'pas suffisant d'être bonne. Faut aussi être un bon coup. Et pour toi être un bon coup, c'est une nana prête à tout faire et tout encaisser. Une nana qui n'a pas froid aux yeux. Or, ce n'est pas parce qu'elle a un style affirmé et ultra sexy, qu'elle est dans cette catégorie là en terme de sexe, Viktoria. Toi t'en es bien conscient et tu ne te fais pas si facilement avoir. Bras croisés sur le torse, tu la regarde s'envoyer une jolie ligne de poudre dans le nez. T'es jaloux quand même, il faut bien le dire. Toi t'es rendu stone par l'herbe que tu n'as de cesse de fumer. Mais elle, elle va vivre quelque chose de beaucoup plus fort. Elle est en train de s'envoyer tout droit dans les étoiles. Qu'est-ce que tu m'veux, Viktoria ? Que tu lui demandes en ne t'approchant que d'un pas. Regard provocateur. Mais dans l'attente d'une vraie réponse de sa part.
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Lun 6 Sep - 20:54
TW : Vulgarité, drogue, alcool
Donne leur l'eden, ils t'en font un enfer @Joe Beckford Elle ne peut s'empêcher de le regarder avec les sourcils froncés. Quand il veut, il peut être fin analyste, perspicace même. Il est vrai que les hommes que Viktoria invite chez elle la nuit tombée font partie des mauvais, de la crasse, du bas peuple. Des gars dans le genre de Joe, en effet. Elle souffle un peu longuement. Forcée devant l'évidence de ses propos à dire la vérité. « C'est ça, des connards misogynes, sans valeurs, qui ne savent même pas trouver le clitoris. Ils me titillent, ouais, mais ça s'arrête là » elle ne saurait saisir la raison pour laquelle elle est attirée par ceux-ci d'ailleurs. Peut-être, car ils sont tout le contraire de Nate et que c'est le meilleur moyen qu'elle ait trouvé pour faire le deuil. Pourtant, quand elle couche avec ces hommes, c'est toujours à Nate qu'elle pense et elle ne jouit que trop peu, pour ne pas dire jamais. « Souvent, ils ont des tatouages un peu partout sur le corps, pour se donner un genre » serait-elle en train d'insinuer que Joe fait partie de ces mecs justement ? Totalement. Elle le regarde même en relevant un sourcil. Consciente qu'il a certainement saisit le message.
Elle ne peut s'empêcher de lever un peu les yeux au ciel quand il insinue qu'il pourrait la cogner sans vergogne si elle venait à trop l'emmerder. Faisant même l'amalgame avec l'égalité des femmes dans ce monde, cause pour laquelle elle se bat. « Mouais … C'est pas tout à fait l'idée de l'égalité homme-femme, t'as encore du travail à faire sur ce concept » au moins elle rigole un peu avec lui, il sait être drôle, même si c'est un connard la plupart du temps. « Parfois, j'ai envie de te cogner. Juste pour le plaisir » autant dire qu'elle ne s'est jamais trop battue Viktoria. Elle qui reste toujours loin des problèmes. Même si avec son tempérament de feu, elle est pas mal persuadée qu'elle pourrait mettre K.O n'importe quel adversaire. Mais adversaire à sa taille, pas un Joe qui pèse vingt ou trente kilos de plus et qui est musclé comme une armoire à glace. Elle se ferait éjecter au sol en deux temps, trois mouvements.
Pourtant, elle aime sa compagnie, elle aime l'avoir près d'elle et c'est certainement, car avec lui, elle peut parler de tout et de rien, et qu'ils font souvent des conneries ensemble. Si tant est que prendre des drogues ou boire à outrance ensemble sont des conneries. Souvent, c'est ça qui apaise leur relation, les petites tensions de chien et chat qu'ils créent eux-mêmes. Ce soir pourtant, pendant que l'un se défonce la tête, l'autre cherche à toucher les étoiles. Direction la cuisine, tout en parlant du potentiel ''bonnasse'' de Viktoria. « Qu'est-ce qu'un bon coup pour le grand Joe ? Une meuf soumise ? » elle se doute bien qu'il ne doit pas être du genre à se laisser dicter ses faits et gestes au lit. Pourtant, l'idée la titille un peu. La drogue qu'elle prend ensuite ne fait rien d'autre que lui nourrir cette idée relativement mauvaise. N'importe qui saurait que jouer avec Joe est une mauvaise idée. Mais pas une Viktoria qui plane bientôt avec les anges. Ses pupilles dilatées, chaleur folle qui vient réchauffer son corps tout entier. Elle sent ses cheveux pousser. « T'as peur que j'te bouffe ? Approche, encore un peu » un pas ne suffit pas. Elle ne sait pas réellement ce qu'elle lui veut elle-même. Le chercher, le titiller un peu et jouer avec sa patience, bien certainement. Jouer avec ses émotions aussi, tant qu'à faire. Son regard se veut tout aussi provoquant. Ainsi que le rire mesquin qu'elle émet. Profitant au passage de délier ses jambes auparavant croisées, assise sur cette table. CRIMSON DAY
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Mer 8 Sep - 21:00
TW : liés aux personnages (drogue, vulgarité et autres).
Tu devines à sa façon de te regarder, que tu vises juste. Ses sourcils sont froncés et elle prend un petit temps de réflexion. Et ses mots confirment que tu ne t'es pas du tout tromper sur le fil de ses pensées. Alors tu affiches aussitôt un petit sourire en coin qui en dit long sur ce que tu penses de ça. De la fierté qui est la tienne alors que tu as pleine confirmation du fait qu'elle est attirée par les mauvais garçons. Ceux de la pire espèce selon elle, sans aucun doute. Ceux qui n'ont que très peu de respect pour les femmes elles mêmes. Et qui aiment à les maltraiter quelque peu. Je savais que t'aimais bien t'faire s'couer un peu. Que tu commentes avec ironie. Préférant, ceci dit, ne pas rebondir sur le commentaire concernant le clitoris. Toi tu sais le trouver. Et tu sais sacrément bien le titiller d'ailleurs. Mais tu ne ressens pas le besoin et tu ne vois pas non plus l'utilité, de te vanter à ce propos. Alors tu n'en fais rien et te contentes d'avoir l'air fier de ta conclusion. Sa dernière remarque te fait froncer les sourcils. Se donner un genre ? De mauvais garçons ? Parce que tu n'entres pas dans cette case. Tu ne te contentes pas de faire mine d'être un mauvais garçon. Tu en es un en pleine puissance. Une brute épaisse sans douceur aucune.
Et haussement d'épaules quand tu provoques concernant l'histoire de la violence que tu offres tout autant aux femmes qu'aux hommes. Tu ne fais pas de différence et tu fais mine de marquer justement l'égalité. Sa réponse ne te surprend évidemment pas du tout. Mais tu fais et dis bien ce que tu veux après tout. Alors aucun supplément de ta part. Pas besoin de rebondir sur ça. C'est plutôt les mots qui suivent qui te font réagir. Bref éclat de rire pour accueillir cette phrase tout ce qu'il y a de plus spontanée. Arrête, ça pourrait m'exciter. Que tu appuies, presque tout à fait sérieux. C'est que ça peut te foutre en rogne comme ça peut t'exciter au plus haut point. Tout dépend l'humeur dans laquelle tu te trouves à ce moment là. Mais si c'est une gonzesse à ton goût, il y a quand même le "risque" que ça t'excite un peu, en effet. Même si tu doutes fortement que ce soit l'idée première derrière tout ça. Surtout de la part de Viktoria qui a réellement l'air d'être agacée par ta personnalité et ta façon de faire et d'être. T'es qu'une brute.
Vous finissez par rejoindre ensemble la cuisine, pour n'être que tous les deux. Et qu'elle trouve son petit coin rien qu'à elle, pour toucher à cette drogue qui la tente depuis un petit moment. Quand il est question d'être un bon coup pour une meuf, elle pense tout de suite que tu les préfères soumises. Forcément, de la part d'un dominant on ne s'attend pas à autre chose. Détrompe toi. J'aime quand ça mord et qu'ça cogne. Que tu réponds le plus naturellement et simplement du monde. A quoi bon prétendre le contraire ? Tu te nourris de violence depuis que t'es gamin. C'est ce qui te fait avancer. Elle a tout d'une araignée qui tente d'attraper un insecte trop gros dans sa toile, quand elle te demande d'approcher. Mais tu finis quand même par le faire, t'arrêtant devant elle. Juste assez proche pour la frôler. J'ai peur d'avoir envie d'm'occuper de ton p'tit cul plutôt. Que tu réponds sans détour, provocateur.
CODAGE PAR AMIANTE
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Jeu 9 Sep - 17:12
TW : Vulgarité, drogue, alcool
Donne leur l'eden, ils t'en font un enfer @Joe Beckford Elle se mordille les lèvres, face au constat du tatoué. L'air tout à fait défaitiste, comme si elle ne voulait pas qu'il lise en elle si facilement. Pourtant, il n'est pas difficile de deviner, que ce n'est pas le genre de gentils garçons qui la font basculer dans la folie. Mais plus le genre de pauvres types sans âmes. « Un peu ? J'aime beaucoup me faire secouer » l'ambiance semble changer un peu plus chaque seconde et les sous-entendus deviennent de plus en plus évidents à comprendre. Elle l'entend donc ricaner un peu après ça et lui demander si c'est le genre de mauvais garçon dont elle parle. « Un genre de mauvais garçons, ouais. Un peu comme toi » contrairement aux autres, lui, c'est vraiment un mauvais garçon pour le coup.
L'égalité homme-femme d'ailleurs n'est que très peu ou pas du tout comprise par Joe. Qui prend un malin plaisir à déformer les propos de l'artiste pour les tourner à la dérision. De quoi la faire tiquer un peu, la faire vriller, finalement, c'est peut-être ce qu'il cherche. En tout cas, ce qu'elle cherche, elle, c'est visiblement le contact physique avec lui. L'envie de le violenter un peu, ne serait-ce que pour voir de quoi il est capable. Ses paroles la font sourire, elle ne s'attendait pas tout à fait a de tels propos, mais saura rebondir. « C'est ce que je disais … Pour le plaisir » qu'elle confirme donc. Comme si finalement ils pouvaient, tous deux, retirer du plaisir à se violenter de la sorte. Ceci dit, ça donne des idées folles à Viktoria. « Moi ce qui m'excite, c'est l'idée de te violenter un peu » sourire espiègle et regard enivrant. Après tout, s'il veut jouer à ce petit jeu, il ne sait pas exactement de quoi elle, est capable.
Amis, amants. Qu'importe, Viktoria ne fait pas réellement de différence dans ce genre de contact social. Si l'envie et l'opportunité se présentent, elle peut très vite basculer d'un côté comme de l'autre des étiquettes sociales qui leur sont imposés sur le front. Les deux amis qui aiment se chercher et se titiller donc. Ils sont forts à ce jeu. Encore plus lorsque dans leurs veines ne coulent pas que du sang. Un peu de poudre magique et d'herbe féerique pour les mener vers d'autres cieux. L'alcool pour agrémenter le tout. De quoi leur faire perdre un peu les pédales, à l’effigie de Viktoria qui se monte joueuse et explicitement bavarde. « Violent, même au lit. Intriguant ... » qu'elle semble donc prendre conscience. Sourire mutin aux bouts des lèvres quand elle lui demande s'il a peur de s'approcher. Ses pupilles sont déjà dilatées, en découle la drogue qui fait déjà pleinement effet. Peut-être que les paroles provocantes de Joe n'aident en rien à canaliser cette folie. « T'as peur ou t'en meurs d'envie ? » qu'elle lui demande, d'une voix tout à fait calme et enchanteresse. Il s'approche et la frôle donc. De ses jambes écartées sous sa jupe, assise sur cette table de la cuisine, elle l’agrippe. Ses jambes de part et d'autre de ses hanches et elle le pousse violemment vers elle. L'obligeant à se coller à elle. Elle avance son visage vers son oreille. Tandis que ses mains se posent sur ses épaules. « T'arrives encore à bander avec tout ce que t'as fumé ? » petit ricanement tout à fait provocateur, pour lécher la flamme de l’excitation qui sommeille en lui. CRIMSON DAY
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 12 Sep - 21:13
TW : liés aux personnages (drogue, vulgarité et autres).
Sa réponse a au moins le mérite d'être claire. Et elle te fait sourire, de toutes tes dents. Un peu de satisfaction d'avoir visé juste à ce point. Et de satisfaction d'apprendre la chose aussi. Ca a quelque chose d'excitant d'imaginer la parfaite petite féministe qui aime se faire sacrément / salement secouer par des hommes dans ton genres. Des brutes sans sentiments qui prennent juste ce qu'ils sont venus prendre. On sait très bien tous les deux que j'suis pas juste "un genre de". Que tu ne manques pas de lui faire remarquer. Parce qu'il est évident que tu ne peux pas être classé au même niveau que ceux qui se donnent simplement un genre. Tu es vraiment un mauvais garçon. Tu es parmi les pires. Et tu assumes totalement a, puisque ça fait partie intégrante de ta personnalité. Et que tu n'y peux, pour ainsi dire, rien du tout. A vrai dire, tu n'as jamais trop essayé d'être un autre.
Et tu ne sais pas bien à quoi elle joue Viktoria, quand elle insiste sur son envie de te violenter et qu'elle confirme que ça l'exciterait bien de te frapper. Enfin si, tu penses comprendre. Simplement, ça t'étonne par rapport à votre relation. Vous êtes deux bons amis. Et jamais il n'a été question d'autre chose. Jamais vous n'avez été tentés de foutre en l'air cette amitié pour une histoire de cul. Puisque c'est de ça dont il serait question. Elle a son Nate dans la peau et toi, même si ça t'emmerde de le reconnaître, tu as Anna dans la tienne. T'es en train de m'provoquer Viktoria ... Et en toute logique, elle s'en est évidemment rendue compte. Elle le fait forcément de façon volontaire. Elle ne reculera certainement pas devant l'annonce qui suit. A savoir le fait que tu aimes quand c'est violent, jusque dans les étreintes. Ce n'est effectivement pas si surprenant que ça quand on te connaît un minimum.
Pour autant, ça n'a pas du tout l'air de l'effrayer, Viktoria. Qui est déjà à t'emprisonner de ses cuisses fermes et à t'attirer férocement à elle. Pour le coup, tu te laisses faire sans te faire plus prier que ça. Sourire de petit con au coin des lèvres et regard qui dérive plutôt du côté de sa jolie bouche. Tu as peur ou tu en meurs d'envie ? Tu crains juste d'y aller trop fort à son goût. Tu crains seulement qu'elle ne soit pas du tout prête à encaisser ça. Elle qui pose ses mains sur tes épaules. Toi tu poses les tiennes sur ses cuisses dévoilées par sa jupe relativement courte. Mains qui grimpent lentement, plus haut, un peu plus haut. J'pourrai te baiser ici et maintenant. Que tu réponds quand elle se fout de toi en émettant l'idée que tu pourrais bien ne pas pouvoir bander. Qu'elle ne s'inquiète pas, tu n'as ni assez fumé ni assez bu pour que ça représente un problème à ce niveau là. Tu n'aurais donc aucun mal à la retourner et à relever sa jupe au dessus de ses fesses pour la baiser durement. C'est ce que tu veux ?
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