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Ciel étoilé, cœurs détraqués (Robia)
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Mer 25 Aoû - 20:39
Ciel étoilé, cœurs détraqués
@Robin Hartwood

L'humour de Robin qu'elle découvre un peu plus chaque jour et le sourire qui se lit sur son visage. Elle ne peut quand même pas s'empêcher de lui taper assez fort sur l'épaule lorsqu'il ose insinuer que son frère est un sado-maso, elle en rigole quand-même. « S'en prendre à mon frère, c'est comme s'en prendre à moi. Attention à tes fesses, Hartwood » l'air faussement menaçante, grimace dessinée sur son faciès. Elle sait bien qu'elle n'aurait pas une seule chance face à lui. Ceci dit, ce qu'elle dit est bien vrai, si on ose toucher à Blake, elle montre les crocs, il est sa moité après tout. « Il est juste toujours très curieux d'apprendre de nouvelles choses » assez curieux pour savoir comment faire des nœuds et les défaire par la même occasion. Il est un peu comme Mia, c'est la curiosité qui les gagnent les deux. Heureusement pour lui, le gène de la maladresse ne l'a pas encore gagné.

En ce qui concerne ses années de scoutisme, elle s'en amuse et lui aussi visiblement ou en tout cas, il souhaite en savoir plus et s’interroge même, d'un air tout à fait mesquin, mais qui ne semble pas lui déplaire, pour quelle raison, elle s'est perdue la veille au soir. C'est une nouvelle tape sur l'épaule qu'il reçoit, car il ne mérite rien d'autre que des tapes aussi inoffensives que porteuses d'un sentiment tendre envers lui. Le fait qu'il la châtie un peu de cette manière semble même lui plaire. Ses sourcils qu'elle fronce. « C'est en forêt que je sais m'orienter ! J'te rappelle qu'à douze ans je n'avais pas encore le permis » qu'elle semble lui préciser, alors qu'elle est tout à fait consciente qu'il le sait et qu'il ne lui posait la question que pour la taquiner. Elle ne peut s'empêcher de lui sortir sa langue tout de même, avant de reprendre. « C'est d'ailleurs très simple, si tu te perds en forêt, il suffit de suivre la position du soleil ou de la lune et de trouver la rivière la plus proche et la longer » pour autant qu'il y en ait une, évidemment. Elle semble donner ses informations avec beaucoup d'enthousiasme, comme si ça pouvait réellement l'intéresser.

En tout cas, ce qui semble l'intéresser, c'est le fait de savoir si oui ou non elle sait jouer aux échecs. « J'ai appris à y jouer, oui. Quand on rentre à la maison, je te propose qu'on fasse une partie. Mais … Prépares toi à perdre » elle est certaine de ses capacités à jouer aux échecs. Même si elle doute tout de même de gagner face à un homme comme Robin, qui plus est membre, jadis, d'un club. L'espoir fait vivre, malgré tout. C'est un bruit un peu plus loin dans l'espace boisé de cet endroit qui vient les interrompre dans leur discussion. Une Mia effrayée et qui bouscule presque Robin au sol alors qu'elle prend tout simplement peur. C'est lorsqu'elle retrouve ses esprits et qu'elle retire sa main, gênée, qu'elle le trouve encore plus adorable. « T'essaies de mentir à une scoute qui a passé sa jeunesse dans les forêts ? » sourire au coin des lèvres. Il prouve une nouvelle fois à quel point il aime prendre soin d'elle et la protéger, même si c'est pour lui mentir un peu. Elle qui sait très bien ce qui peut se trouver dans les alentours. « J'ai d'ailleurs un animal dangereux et sauvage en face de moi, mais … Je n'ai pas trop peur de celui-ci » elle le désigne, lui-même, avec son menton, avant qu'il ne vienne enrouler un bras autour de ses épaules, pour la rassurer. Ce qui fonctionne tout à fait. C'est tout à fait ce qu'elle attendait à vrai dire. Elle profite de cet instant, blottie contre lui de la sorte, sans un bruit, si ce n'est le crépitement du bois. « Je crois que le feu commence à s'éteindre. Ce qui signifie que … La tente nous attend » sa main qu'elle enroule autour de la sienne sur son épaule. Ne serait-ce que pour qu'il ne s'échappe pas à l'idée de devoir dormir ici.
© CRIMSON DAY
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Robin Hartwood
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Mer 25 Aoû - 21:42
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii
(Juillet 2020)
Même si elle te cogne durement dans l'épaule pour ta petite plaisanterie, elle rit. Ce qui signifie que malgré tout, la blague plus que moyenne l'amuse. Mais je ne m'en prends pas à ton frère. Y'a plein de gens qu'on ne soupçonne pas mais qui sont sado-maso. Souvent des hauts-placés. Tu fais mine de balancer ça juste comme ça au hasard. Mais dans les faits, tu as bel et bien quelques info croustillantes du genre. Si tu t'es si bien installé dans toute la ville de Chicago, c'est parce que certains politiciens s'offrent pas mal de tes filles. Et effectivement, Mia serait surprise de voir le nombre de gars bon sous tous rapports, qui aiment se faire fouetter ou qui, au contraire, aiment à prendre le rôle du super dominant. Mais ça, c'est le genre d'info que tu gardes sous le coude pour le cas où l'un ou l'une d'entre eux voudraient te la faire à l'envers. Tu ne surenchéris pas quand elle précise que son frère apprécie juste d'apprendre de nouvelles choses. Grand bien lui fasse. Tu n'es pas sûr que ces info soient importantes. Pourtant, elles sont maintenant ancrées dans un coin de ta tête, comme beaucoup d'autres plus ou moins importantes.

Pour le coup, tu arrives à recevoir une autre tape sur l'épaule. Tout ça parce que tu lui rappelles qu'elle s'est perdue la veille, malgré sa médaille gagnée pour son sens de l'orientation. Hm. Ca n'enlève rien au fait que tu ne m'as pas semblé avoir un très bon sens de l'orientation hier. Que tu insistes alors qu'elle te tire la langue. Adorable gamine. Adorable femme enfant. Tu ne sais même pas pourquoi tu adores autant ce genre de comportement de sa part. Mais ça te plaît bel et bien et tu ne peux rien faire contre ça. Comme la joie qu'elle affiche à t'expliquer comment éviter de te perdre en forêt. Ou plutôt, comment faire pour te retrouver. Tu me dis ça parce que tu as l'intention de prendre la fuite dans la nuit mais que tu ne veux pas non plus que je meurs tout seul comme un con ? Que tu t'amuses plus qu'autre chose. Quant à l'idée selon laquelle elle pourrait gagner face à toi, au jeu des échecs, ça te fait seulement lever les yeux au ciel. Parce que selon toi il y a peu de chances pour qu'elle gagne. Tout au plus, elle sera une partenaire intéressante.

Pour ce soir, elle est surtout encore l'adorable gamine qui prend peur au moindre bruit. Et de toute évidence, ta tentative pour la rassurer échoue lamentablement. C'est mieux que de te rappeler qu'il y a probablement des ours dans les parages, non ? Tu préférerais vraiment ça ? En tout cas maintenant c'est fait. Même si tu lui offres un regard qui se veut toujours aussi innocent, histoire d'éviter un drame si elle venait à paniquer de nouveau. Justement. Puisque je suis un animal sauvage et dangereux, je devrais pouvoir te défendre face aux bêbêtes qui rôdent dans les parages. Ou pas en vérité. Tu ne t'imagines pas faire face à un ours enragé. Mais soit. Ca ne devrait quand même pas arriver. Enfin tu l'espères. Elle sait mieux que toi normalement. Elle est plus à l'aise que toi en forêt normalement. Même si c'est toi qui as allumé le feu qui est en train de s'éteindre petit à petit. Semblant sonner l'heure d'aller dormir. Dans cette foutue tente que tu regardes d'un mauvais oeil. Quand faut y aller, faut y aller ... Que tu soupires, faussement fataliste. Tu finis par récupérer vos sacs avec lesquels tu entres dans la tente après elle. Histoire de ne rien laisser dehors. Et juste au cas où il faudrait se lever en panique pour une raison ou pour une autre, tu ne prends pas la peine de te dévêtir. Tu te contentes de glisser ta veste sous ton crâne en guise d'oreiller. Tu vas réussir à dormir malgré les bruits ? Toi c'est plutôt le manque de confort qui va te poser souci, sans surprise.

CODAGE PAR AMIANTE
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Jeu 26 Aoû - 12:54
Ciel étoilé, cœurs détraqués
@Robin Hartwood

Les confidences de Robin font doucement sourire la belle étudiante. Elle n'y connaît pas grand-chose en pratique sexuelle du genre et n'a pas assez de recul, voire pas du tout, pour pouvoir commenter la chose ou émettre quelconque avis à ce propos. Mais, elle aime bien embêter Robin et forcément, il lui tend une belle perche. « Donc j'en déduis que toi, qui est quand-même un haut-placé. Tu aimes ça aussi ? » qu'elle s’interroge très sérieusement et s'il venait à l'avouer, elle ne sait pas réellement comment elle prendrait la chose. Pour le moment, c'est un sourire niais qui se dessine sur son petit minois.

Il arrive quand même à bien la vexer un peu quand il insiste sur le fait qu'elle se soit perdue. C'est vrai, elle n'a même pas su lire la carte, mais savoir se repérer sans carte, dans une forêt totalement perdue, ça, elle sait faire. Se promener dans les endroits boisés de lieux qu'elle n'a jamais visité, ne l'effraie pas plus que ça. « Arrête Robin, tu vas me vexer » après lui avoir tiré la langue, elle lui précise quand même que s'il continue, elle va se vexer et forcément bouder. Elle n'aime pas vraiment qu'on puisse douter de ses capacités. Certes, il a n'a pas tort, mais tout de même, ce serait dommage de se retrouver face à une Mia boudeuse, même si elle est tout à fait adorable et qu'il semble être le seul à savoir comment lui redonner le sourire. Alors, forcément, quand il émet une idée tout à fait intéressante, elle ne peut que rebondir. Avec un enthousiasme presque démesuré. « Je n'avais pas envisagé ça, mais maintenant que tu le dis, c'est une idée qui me plaît. T'abandonner et partir loin de toi, pour te laisser mourir, seul » si cette idée aurait pu être tout à fait réellement envisageable il y a encore quelque mois, ce n'est plus réellement le cas. Elle serait même triste qu'il ne soit plus dans sa vie à vrai dire. « De toute façon, tu trouverais un moyen de t'en sortir. Parce que tu ne peux plus vivre sans moi » elle n'est pas bien certaine de ce qu'elle avance. Mais en ce qui la concerne, elle ne peut plus imaginer de ne pas avoir Robin dans sa vie. Elle prend donc la température, même si elle sait qu'elle risque d'être confrontée à un mur. Robin et les aveux, ça fait deux.

La tentative du blond pour la rassurer échoue tristement, mais le fait est que Mia le trouve tout à fait mignon et rassurant, essayant de lui mentir pour son bien. Elle ne peut que le regarder avec une petite once d'adoration. « Je préfère toujours la vérité. Mais j'avoue que tu fais bien d'essayer de me rassurer » le mensonge, c'est bien quelque chose qu'elle ne tolère pas et qu'elle lui fait subtilement comprendre. Même si son petit ''mensonge'' n'en est absolument pas un. Il relève plus de la protection qu'autre chose. Évidemment, elle ne le rate pas non plus quand il s'agit de le taquiner. « Tu me défends déjà tout le temps, je ne doute pas que face à un ours, c'est lui qui prendra peur » dans les faits, il risque pourtant de mourir si l'ours en question venait s'en prendre à lui et à cette idée elle rigole un peu.

Son animal sauvage d'ailleurs semble ne pas apprécier le moment tant redouté. Sacs dans les mains et démarche nonchalante vers leur toit pour la nuit. Elle se sépare donc de ses bras pour retrouver la tente la première, prenant soins de retirer leurs chaussures avant d'y entrer. Robin ne prend pas la peine de se dévêtir, sa veste pour oreiller de fortune uniquement. « Tu sais que dans une tente, il fait assez chaud durant la nuit ? » et elle ne parle pas de l'éventualité qu'il puisse se passer quelque chose entre eux, mais juste du fait que leur corps finiront pas réchauffer le petit espace et que la condensation perlera au petit matin. Elle de son côté, retire son pull, en débardeur donc et l’élastique de ses cheveux qu'elle retire. Ses mêmes cheveux qu'elle frotte pour les remettre en place. À sa question, c'est assez timidement qu'elle vient tout à fait se blottir dans ses bras, sa tête au ceux de son épaule. « Oui, je suis en sécurité avec toi » et elle le pense vraiment, plus encore collée à lui de la sorte. Son visage qu'elle tourne en sa direction, le regardant, lui et son visage parfait. « Mais je crois qu'un seul baiser, comme celui d'hier soir, pourrait m'aider à dormir plus sereinement. Pas toi ? » elle ne sait pas réellement dans quoi elle s'avance en lui demandant ça. Mais elle aurait bien l'envie qu'il l'embrasse, comme il l'a fait sur cette couchette. Son cœur commence déjà à palpiter un peu plus fort à cette demande, elle d'ordinaire si peu demandeuse et limite fuyante lorsqu'il lui offre ds gestes tendre, semble les quémander ce soir.
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Robin Hartwood
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Robin Hartwood
Jeu 26 Aoû - 20:55
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(Juillet 2020)
Tu aurais sans doute dû t'attendre à une telle question. Au fond tu penses qu'elle se contente de te taquiner mais qu'elle se doute déjà de la réponse. Du moins tu espères. Même si dans les faits, tu es bel et bien du genre dominant. Sans pour autant aller jusqu'aux pratiques sadomasochistes. Mais c'est comme pour tous les autres aspects de ta vie dans le fond. Tu es un dominant dans l'âme, dans le cœur et dans le corps. C'est ta personnalité même qui veut ça. Et elle ne sera sans doute pas plus surprise que ça de le découvrir Mia. Non je parle plutôt de ceux qui ont l'air lisses, propres et bon sous tous rapports ... Quant à toi ce que tu es en train de découvrir sur elle, c'est qu'elle est relativement susceptible. Et donc, en mesure de bouder quelque peu. Elle te le dit même de façon tout à fait clair. Et parce qu'elle t'appelle par ton prénom au passage, tu la prends au sérieux. C'est bon j'arrête. Ne boude pas. Parce que tu préfères quand même quand elle fait semblant de bouder. Et non pas quand c'est vraiment ce qu'elle fait de façon sérieuse. Tu n'as pas tellement envie qu'elle te tourne le dos et t'ignore pour le reste de la soirée. Voire, pour les prochains jours. Tu ne sais pas jusqu'à quel point elle peut être boudeuse. Tu espères seulement que ce n'est pas non plus si excessif que ça.

En revanche, elle ne se fait pas prier pour te donner raison quand tu émets l'idée d'un plan machiavélique de sa part. Elle en fait même temps, que tu ne peux que lever les yeux au ciel. Et moi je peux me vexer ? Parce que ça fait quand même quelques fois déjà que tu me confirmes des horreurs du genre. Plutôt que de te vexer et de bouder, tu risques surtout de vraiment te poser des questions et te demander si, dans le fond et dans les faits, elle ne te déteste pas tout à fait. Et si, du coup, elle ne pense pas un peu ce qu'elle dit. Quant à l'idée selon laquelle tu ne peux plus vivre sans elle, ça t'arrache surtout et uniquement un bref grognement. Tu n'admets pas. Mais tu ne prends pas non plus le risque de mentir en affirmant tout le contraire. Pas même pour l'emmerder. Parce que dans le fond, il est possible que tu ne te sois déjà que trop habitué à l'avoir tous les jours à tes côtés. Même quand il ne s'agit que de la croiser quelques minutes de ci et de là. C'est quand même suffisant pour que tu saches et n'oublies pas qu'elle vit sous le même toit que toi. Qu'elle est là avec sa douceur légendaire et sa bonne humeur.

Tu finis par lui mentir pour essayer de la rassurer quant aux dangers que vous courez dans cette forêt. Mais c'est évidemment peine perdue puisqu'elle connaît relativement bien les forêts et les animaux qui y traînent. Comme elle te le rappelle si bien. Alors ça ne fonctionne pas, tu n'es pas rassurée ? Que tu lui demandes, bien conscient que ce n'est sans doute pas le cas non. Mais se réfugier dans la tente devrait au moins lui donner un tout petit sentiment de sécurité. Alors vous allez finalement vous coucher. A sa remarque, tu poses les yeux sur elle pour constater qu'elle ne se déshabille quand même pas beaucoup plus que toi. T'es tout autant vêtue que moi pourtant ... Comme si tu doutais soudainement de la véracité de ses propos. Justement parce qu'elle te les offre comme ça. Tu es satisfait quand elle vient se blottir tout contre toi. Mais plus encore quand elle te demande un baiser. Tu peines à ne pas afficher un petit sourire alors que tu te redresses pour approcher ton visage du sien. D'abord, ton nez frotte contre le sien. Rien qu'un court instant, avant que tu n'effaces tout à fait les centimètres qui vous séparent encore. Tes lèvres épousent la forme des siennes. Dansent tout contre, avec beaucoup de douceur et de langueur. Tu ne te contentes pas d'un bref et rapide baiser. Tu le fais durer un peu plus. Tu apprécies la  douceur de ses lèvres, la chaleur de sa bouche et son souffle chaud qui percute le tien. Avant de conclure par un dernier bref baiser, pour te rallonger. Bonne nuit. Que tu souffles, les yeux pourtant toujours résolument ouverts.

CODAGE PAR AMIANTE
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Ven 27 Aoû - 10:42
Ciel étoilé, cœurs détraqués
@Robin Hartwood

Au moins, il a le mérite d'être tout à fait honnête avec Mia quand il parle de ces hommes qui ont l'air d'être propre et lisse sous tout rapport. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de penser que lui aussi fait partie de ceux. Lui aussi est comme eux, même si visiblement -et heureusement pour elle- il n'est pas un adepte de cette pratique tout à fait intrigante. Elle ne doute cependant pas qu'il doit être de ceux qui dominent, ceux qui aiment le pouvoir. Au lit comme en affaire, sa personnalité doit certainement être la même. Elle aura l'occasion de le savoir un jour, évidemment. « Ouais, un peu comme toi. T'as l'air propre, lisse et bon sous tous rapports » et elle ne va certainement pas lui préciser qu'il ne l'est pas. Il est assez grand pour le savoir seul. Elle ne sait d'ailleurs pas grand-chose ou même rien du tout concernant cette espèce de double vie qu'il semble mener. Elle n'est pas non plus certaine de vouloir tout savoir à ce stade de leur relation. Mais viendra le jour où elle l'interrogera.

En attendant, il est question de bouder ou non et il semble avoir saisi qu'elle pourrait réellement se vexer s'il continuait à mettre en doute son aptitude à s'orienter. Elle est terriblement susceptible ou alors, le fait que ce soit lui qui lui dise ça, la rendre un peu plus à fleur de peau. Allant jusqu'à émettre l'hypothèse de le laisser seul ici. À sa question, elle soupire un peu. « Surtout pas ! Toi, quand tu te vexes, c'est pire que de parler à un mur. Tu prends la fuite et ne m'adresse plus la parole. Je dirais même que tu me méprises à cet instant » et pour cause, la dernière fois qu'elle l'a vexé, elle s'est retrouvé nue à courir à travers leur maison, manquant de s'éclater au sol. Tout ça pour lui balancer des excuses qui semblaient entrer dans une oreille pour ressortir de l'autre. Heureusement, son petit pouvoir magique qui consister à le toucher tendrement et lui caresser la main ou le visage, fonctionne à merveille pour qu'il en oublie même la dispute. « De toute manière, je n'aurais pas envie de te laisser là. Je me suis habituée à ta présence et on a un fils à la maison qui attend que ses deux parents rentrent en vie » son grognement qu'elle ne peut pas lire, elle ne sait pas réellement s'il peut vivre sans elle maintenant. En tout cas, contrairement à lui, elle, n'a pas de peine à lui dire qu'elle ne peut plus vraiment se séparer de sa présence. Albus non plus, tiens.

Elle hausse un peu des épaules quand il lui demande si elle est rassurée ou non. « Pas vraiment. Mais c'est bien tenté » au moins, elle peut le féliciter pour ça, pour avoir tenté de la rassurer. Ce qu'il ne saisit ceci dit pas et qu'elle ne lui dit pas non plus clairement, c'est qu'elle est rassurée uniquement de sa présence. Raison pour laquelle elle s'est totalement balancée sur lui de peur et ses bras autour de ses épaules ont eu l'effet escompté. C'est une fois dans cette tente, qu'elle se sent vraiment en sécurité. Son pull qu'elle retire, laissant tout de même ses leggings. « Tu veux que je me mette à poil, peut-être ? » qu'elle demande avec un petit rire qui vient terminer sa phrase, tout en secouant sa tête de gauche à droite. De toute manière, il aura bien l'occasion de s'en rendre compte durant la nuit. Et c'est enfin, blottie contre lui, qu'elle a le droit à un beau baiser qui la transporte tout à fait. Son nez avant ça qui frotte le sien, tendrement. C'est un sourire de satisfaction qui se dessine sur son visage, avant de lui souhaiter aussi bonne nuit. Elle reste néanmoins quelques minutes blottie contre lui, avant de tourner le dos, dans une autre position. Les minutes paraissent durer une éternité et elle ne sait pas si c'est la présence du blond, dans un espace si restreint qui l'empêche de dormir, mais elle se tourne et se retourne dans cette tente. Tandis qu'il ne semble pas bouger. Elle se retourne encore vers lui et sa tête trouve refuge contre sa main tandis que son coude maintient un peu tout ça. Visage tourné vers Robin. « On n'est pas censé dormir après un ''bonne nuit'' ? » petit sourire aux lèvres. Tandis qu'elle fait glisser ses doigts dans les mèches blondes de celui-ci.
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Robin Hartwood
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Robin Hartwood
Dim 29 Aoû - 15:28
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(Juillet 2020)
Tu ne peux t'empêcher d'avoir un petit sourire quand elle fait remarquer que toi aussi, au premier abord tu as l'air tout à fait lisse et bon sous tous rapports. Tu sais que c'est parfaitement vrai ça. Que c'est l'image que tu renvois parce que tu t'y appliques. Mais ce n'est qu'une image que tu renvois. Parce que tu n'es évidemment rien de tel dans les faits. Bien loin de là. En vérité, tu es même tout le contraire et c'est là que se trouve le vrai toi. Aucun risque, donc, que tu ais besoin de passer par de quelconques étreintes purement SM pour te faire plaisir. Quand bien même tu adores dominer. Tu ne passes jamais par des jeux quelconques. Et ? Tu m'imagines adepte de ce genre de choses là ? Que tu l'interroges, toujours relativement amusé. Tu oses penser qu'elle ne t'imagine pas du tout intéressé par ça, non. Mais plutôt, qu'elle se doute que tu n'as aucunement envie et besoin de ça. Ce dont tu te fiches dans le fond. Ce n'est pas comme si vous aviez tous les deux une vie sexuelle active pour l'heure ... Vous êtes surtout plus / trop occupés à vous provoquer et à jouer avec les nerfs de l'autre. Quitte à prendre un peu le risque de se vexer et de se donner de bonnes raisons de bouder. Ou plutôt, à lutter pour ne pas atteindre un tel pallier. Vous n'avez pas envie de tout gâcher de cette façon. Ni elle ni toi.

Et comme elle te le rappelle si bien, quand tu es vexé toi, c'est un vrai enfer. Je ne me vexe pas facilement. Mais toi tu as le don ... D'appuyer précisément là où ça fait mal. Et elle doit bien le savoir. Le pire c'est quand elle tape sur des points qui concernent les efforts que tu tentes pourtant de faire pour le bien de votre relation et de votre futur. Mais tu penses qu'elle en est consciente. Puisqu'elle y fait maintenant attention, sauf erreur de ta part. Elle t'arrache quand même un petit rire quand elle mentionne "votre fils". Même si tu ne rebondis pas là dessus en lui faisant remarquer que ce chez vous ne sera plus son chez elle si elle rentre seule. Vous n'êtes pas mariés et impossible pour qui que ce soit de prouver que tout ça doit lui revenir si tu venais à crever. C'est d'ailleurs pour ça que tu te dis qu'il te faudra l'épouser rapidement pour qu'elle ne perde pas tout quand tu y passeras. Ce n'est pas comme si tu avais une vie tout à fait rassurante et sans risque au cours de laquelle tu ne risquais pas d'y passer à tous les instants ou presque. Or, tu n'as vraiment pas envie qu'elle perde tout de cette vie, sous prétexte que tu n'es plus là. Tu l'as emprisonnée dans tout ça, ce n'est pas pour qu'elle fasse trois pas en arrière si tu disparais.

Concernant son réflexe de te sauter dessus quand un bruit dans la forêt lui fait peur, tu ne l'interprètes pas le moins du monde. A aucun moment tu n'envisages le fait qu'elle puisse chercher refuge et réconfort dans tes bras. S'il y avait besoin de la moindre preuve que tu n'es pas doué en relations humaines ... De toute façon la chose est oubliée aussi vite que vous entrez dans cette tente. Où, effectivement, ni l'un ni l'autre ne se sépare de ses fringues. Et pourquoi pas ? Que tu rétorques sans tourner autour du pot. Oui, pourquoi ne se dévêtirait-elle pas entièrement ? Tu as déjà eus l'occasion de lui prouver qu'elle ne risquait rien. Malgré tout, tu ne serais pas contre te rincer un peu l'oeil ... Mais ce n'est pas pour ce soir et tu le sais bien. Tout au plus, vous allez vous partager ce baiser des plus tendres et langoureux, que tu ne te prives pas pour lui offrir et lui rendre tout à la fois. Sensation de bien être véritable qui te prend au cœur et aux tripes. Le temps que ça dure. Parce qu'après ça, il faut tenter de dormir. Et ça, c'est une autre histoire. Et apparemment tu n'es pas le seul à avoir du mal. Si toi tu es immobile et silencieux, elle elle remue beaucoup plus. Jusqu'à finalement se tourner pour te regarder de nouveau. T'arrachant bien vite un frisson de bien être quand elle perd ses doigts dans tes mèches claires. Je te retourne la question. Tu n'as pas l'air de dormir beaucoup plus que moi. Que tu lui fais remarquer en tournant à demi la tête pour la regarder. Tu as peur de ce qui nous entoure potentiellement ? C'est la seule idée qui te vient en tête pour expliquer qu'elle non plus ne trouve pas le sommeil.

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