Quick storm coming @Morgan Fletcher Elle se rend bien compte que l'avis qu'elle peut porter à ce cher psychologue semble tout à fait lui tenir à cœur. Comme si finalement, il semblait important pour lui de comprendre pourquoi il peut plaire à une femme comme Cloé. Comme si, il voulait aussi lui plaire finalement. Elle sourit donc et n'en dit pas plus. Pas pour l'instant, elle précise bien plus tard que son charme ennuyant lui plait donc. Il devra se faire à cette simple réponse à ce simple ''compliment'' de la belle. Elle ne peut pas offrir plus, au risque de faire un malaise en étant beaucoup trop sympathique avec lui. Elle donne déjà beaucoup de sa personne avec Morgan. Elle se laisse aller à plus de douceur et montre un visage que peu, très peu de gens ont eu la chance d’apercevoir.
Elle apprend néanmoins qu'il est romantique et elle se demande bien de quel genre de romantisme il peut faire preuve. Son sourire semble en dire bien assez et les paroles qui s'y accompagnent confirmes donc bien, qu'il est le genre de romantique formé sur le tas et non pas dans l'âme. Le contraire l'aurait tout de même étonnée. « Le genre de romantique qu'on ne voit que dans les films. Qui prend plus de plaisir à faire plaisir qu'à ressentir du plaisir, donc » c'est une bonne conclusion à la chose. Inconsciemment, elle espère qu'elle pourra y goûter un jour, ne serait-ce que pour ne pas mourir bête et ne pas mourir en n'ayant jamais connu ce sentiment si souvent relié à l'amour qu'est le romantisme. Généralement il se produit entre deux personnes amoureuses ou du moins assez intéressées. Aussi intéressé qu'il semble l'être avec les fleurs dont il semble connaître un rayon. « Pas vraiment. C'est uniquement, car ce sont des fleurs très difficiles à trouver et donc à offrir » ce qui prouverait bien à Cloé que la personne voulant lui offrir ces fleurs tient vraiment à elle. « En plus d'être magnifiques » couleur violette qui transperce l'âme. Elle se retourne vers lui, l'air interrogée. « Je serais heureuse d'en connaître la signification, après tout ... » elle ne savait même pas que les fleurs pouvaient avoir des significations. Elle qui n'accorde que peu d'importance à ces choses futiles.
Ce à quoi elle accorde de l’importance ceci dit, c'est à Morgan. Étonnement, elle semble de plus en plus envieuse d'apprendre à le connaître et c'est réciproque. Il arrive même à en être drôle, lorsqu'il précise qu'il ne faut surtout pas qu'elle oublie de préciser son romantisme. « Je n’oublierai pas. Je crois qu'elle sera surtout curieuse de goûter au romantisme, au moins une fois dans sa vie » et ce petit jeu, parler d'elle à a troisième personne. C'est ce qui lui permet donc de lui avouer qu'elle n'a jamais connu le romantisme. Ce qui lui permet de délier sa langue et plus tard son corps sur cette piste. Elle ne peut pas se contenter de simples corps qui se frôlent et qui se provoquent. Elle l'attire vers elle et ses bras qui entourent son cou pour lui demander si elle est ennuyeuse ou non. Sourire sur ses lèvres à sa réponse. « Vous savez que ''perturbez'' » qu'elle montre en faisant signer les guillemets avec ses doigts. « Et perturbez, finirons toujours par signifier la même chose » elle se doute bien que ce n'est peut-être pas le mot qu'il voulait utiliser, mais elle l'apprécie. Plus encore de le perturber comme il semble le dire avec attention, parcimonie. Ce qu'elle cherchait, finalement. Elle prend donc les bras de Morgan, sans savoir s'il le veut ou non et vient les enrouler autour de sa propre taille. Lui faisant toujours face. Elle lui place ses mains sur sa chute de reins et se colle un peu plus à lui. « Est-ce que je vous perturbe, là ? » sourire espiègle et regard emprunt à la malice. Continuant de danser ainsi. CRIMSON DAY
Tu ne sais vraiment pas ce qu'elle pense de toi quand tu te montres aussi honnête que tu le frais là. Mais tu vois bien qu'elle est attentive et qu'elle montre un certain intérêt. Tu te demandes juste ce qu'elle conclut à chaque nouvelle chose apprise sur ton compte. Si c'est fait pour lui plaire ou pas du tout. Si ça prouve des choses ou pas dans son esprit, en ce qui te concerne. Il te semble en tout cas qu'elle n'a pas l'air tout à fait rebutée non plus par tout ce qu'elle apprend. Tu ne dois pas encore trop la choquer par rapport à l'image qu'elle se faisait de toi. Et ce n'est pas si mal en soit. C'est assez bien résumer la chose, en effet. Même s'il y a une intention un peu plus tordue derrière, c'est effectivement ça. C'est faire plaisir assez souvent et assez fort pour que la personne en face s'y habitue, s'y accroche et ne puisse plus du tout s'en passer. Ton intention étant bien, toujours, que l'on ne puisse se passer de sa personne. Que l'on te voit un peu comme le messie, d'une certaine façon. La personne qui souffle les choses à l'oreille, même si ça n'a pas l'air.
Quand elle te demande si tu devines la raison pour laquelle l'anémone violette est sa fleur préférée, tu t'imagines tout de suite que c'est lié à la signification de la fleur en elle même. Mais très vite elle te détrompe et sa raison te faire rire. Vous êtes tellement terre à terre ... Que tu commentes dans un rire léger. Point de moquerie de ta part. C'est davantage de l'amusement. Parce qu'elle arrive réellement à t'amuser aussi facilement. Malgré le côté terre à terre, donc, elle s'interroge et s'intéresse à la signification de ses fleurs préférées. Pas sûr qu'elles lui plaisent encore autant ensuite, mais puisqu'elle t'interroge tu ne vois pas de raison de ne pas lui répondre. Dans la mythologie grecque on dit que l'anémone est née des larmes d'Aphrodite et du sang de son amant, Adonis. Que tu lui expliques brièvement. Sans la quitter des yeux. Aucun doute qu'elle arrivera plus ou moins à replacer Aphrodite et Adonis dans tout ça. Qu'elle saura plus ou moins de qui il s'agit dans la mythologie. C'est pour ça que les fleurs sont à ce point romantiques ... Pour leur signification, en plus de leur beauté.
Sa confession, quand elle fait entendre qu'elle n'a jamais connu le romantisme, ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. En temps normal tu serais déjà en train de penser de façon sérieuse à la suite et à tout ce que tu pourrais faire pour que l'addiction s'installe et que la suite continue de rouler en ce sens. Mais tu ne vas rien faire de tel. C'est différent avec elle, pour d'autres raisons. Des raisons que tu n'es pas encore bien certain de pouvoir expliquer. Il y a bien le fait qu'elle te "perturbe. Elle te fait d'ailleurs une petite remarque à ce sujet. De quoi te faire lever les yeux au ciel. C'est que je n'assume qu'à moitié ... Que tu lui avoues sans détour. Faisant ainsi référence au fait que tu n'assumes que peu d'être à ce point troublé par quelqu'un. Qui que ce soit. En attendant, tu te laisses faire quand e le t'attire plus encore à elle pour t'inciter à enrouler tes bras autour d'elle. Et tu le fais sans te faire plus prier. Mains sur sa chute de reins. Là vous me perturbez pour d'autres raisons. Que tu avoues sans détour. La flamme dans ton regard est assez allumée pour qu'elle la voit et la comprenne. Et tes mains qui épousent parfaitement la forme de sa chute de reins et qui pressent plus souder plus encore vos bassins l'un avec l'autre, sont claires également.
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Jeu 9 Sep - 17:11
Quick storm coming @Morgan Fletcher Toutes les informations qu'elle récupère de Morgan, elle les enregistre donc soigneusement dans un petit coin de sa tête. Il est évident que le fait qu'il soit romantique la perturbe un peu. Elle ne pouvait pas s'imaginer qu'un homme aussi fougueux au lit, puisse aussi être un amant tout à fait délicat et prêt à des attentions douces et des intentions bonnes. Du moins, c'est ce qui en résulte lorsqu'on pense à un homme romantique. Sourire aux lèvres. « Je ne vous pensais pas romantique pour tout vous dire. Comme quoi, la première impression n'est pas toujours la bonne » comme le fait qu'elle, ne soit pas un monstre. Il l'aura certainement remarqué.
Au fil de leurs échanges, ils s'ouvrent un peu plus l'un à l'autre, ils sont plus prospères et se livrent à des confidences. Se découvrent et semblent aimer se découvrir qui plus est. Elle qui n'est pas habituée à ce genre de comportement, encore moins habituée à vouloir à tout prix en savoir plus sur un homme. Il attise sa curiosité et elle va même jusqu'à lui donner des idées, qui sait. Anémones violettes et leur signification qui lui était inconnue. « Toujours » qu'elle précise dans la foulée. Évidemment qu'elle est terre-à-terre, elle n'est pas du genre à se laisser rêvasser. « Née donc d'une déesse et d'un simple humain » elle se rappelle de ses cours d'histoire et replace donc sans difficulté ces deux protagonistes. « Pas certaine que ce soit encore mes fleurs préférées si elles proviennent d'un amour comme le leur » elle qui répudie l'amour bien souvent, qui ne veut pas réellement en entendre parler, qui plus elle. Elle rigole un peu à sa dernière phrase qui se veut ironique et hoche la tête quant au romantisme des fleurs, c'est un fait. « Quelle fleure pourrait me correspondre alors ? Vous qui semblez être un pro en la matière » certainement une fleur aussi difficile à cueillir qu'à comprendre ou à faire pousser, nul doute. Interrogation qu'elle lui fait, tout à fait sérieusement, sourire aux lèvres.
Attablés dans ce restaurant-bar, mais pas pour bien longtemps. Ils se lèvent et se dirige sur la piste de danse. Cloé ne laisse pas la distance physique les séparer trop longtemps et parce qu'elle adore le perturber, comme il le confirme si bien. Autant dire, que ces paroles, lui font un effet tel, qu'elle voudrait continuer à le perturber longtemps. « Juste pour cet aveu, j'ai bien fait de vous tirer hors de votre bureau » qu'elle dit d'une voix douce, son regard dans le sien. Ses mains qui viennent enfin se coller à ses hanches et d'un geste assuré il l'attire vers elle. Elle se laisse bien évidemment faire. « Vous me perturbez tout autant » Basculant son bassin contre le sien. La flamme dans son regard qu'elle perçoit et qui vient à son tour faire brûler le sien. Elle approche sa bouche de son oreille. « J'ai très envie de continuer à vous perturber, pour voir jusqu'où je peux arriver » le son chaud de sa voix vient chatouiller son oreille et enfin, son visage à nouveau face au sien. Iris contre iris, elle passe délicatement ses mains autour de sa nuque, le caressant presque. Souriante. Dansant toujours contre lui de la sorte. CRIMSON DAY
Tu te contentes d'un sourire bref et léger quand elle te fait remarquer qu'elle ne t'imaginait pas être romantique. Elle ne pense donc pas au fait que tu puisses l'être uniquement parce que ça t'arrange globalement. Tu ne l'es que quand il est question d'amadouer une jeune femme. Quand il faut vraiment mettre le grappin dessus. Quand il faut totalement endormir sa méfiance. Mais tout ça, bien sûr, tu ne peux pas totalement le lui dire. Tu ne peux pas te permettre d'être trop ouvert à ce sujet. Le but n'étant pas de la faire fuir. Et en même temps, tu ne sais vraiment pas quel est ton but vis à vis de Cloé elle même. Mais le fait est qu'elle t'intéresse vraiment. Vous m'avez mal analysé. Que tu lui fais remarquer, non sans un petit sourire en coin. Vous passez votre temps à jouer de la sorte tous les deux. Peut-être même que c'est un peu risqué de jouer ainsi. Mais tant que vous y prenez plaisir ...
Ainsi tu n'es pas surpris quand tu vois sa réaction à l'explication réelle qui vient avec sa fleur préférée. De quoi t'arracher un bref rire, même. J'en étais certain ... Que tu souffles, non sans afficher encore un petit sourire. Pourtant, le fait que ça vienne en partie d'une déesse ... Tu ne termines pas ta phrase mais le sens est évident. Le fait qu'il soit question d'une déesse aurait pu la convaincre que cette fleur lui correspondait tout à fait. L'hortensia pour la beauté froide, sans doute. Parce que ça lui correspond bien ça. Elle est magnifique. Mais aussi, magnifiquement froide. Cette beauté sans égale qui est maintenant à t'attirer du côté de la piste de danse. Tu te laisses faire sans l'obliger à insister pour ça. Et ainsi vos corps ne tardent pas à se mouvoir ensemble au rythme de la musique diffusée.
Et là encore, tu dévoiles un peu le fond de tes pensées. Surtout le fait que tu sois tout à fait perturbé par elle. Confession faite sans détour qui, sans surprise aucune, lui fait plaisir. Les corps se rapprochent et les mains s'accrochent. Sourire sur tes lèvres quand elle te confirme que tu la perturbes tout autant. Fort heureusement. Le contraire aurait quand même été assez dérangeant dans le genre. Mais la question ne se pose donc pas. Puisque vous êtes tout les deux perturbés par l'autre et que c'est tout sauf désagréable. Ses mains sur ta nuque se font caressantes. Vos regards ne se quittent jamais bien longtemps. Autant dire que la tension est en train de grimper dans les corps et se faire tout à fait hors de contrôle. Tu croises tes mains sur sa chute de reins. Et comment comptez-vous vous y prendre ? Que tu l'interroges avec chaleur. Tu es curieux de voir jusqu'où elle peut effectivement aller. Alors qu'elle est déjà bien en train de jouer et que tu trouves ça tout à fait agréable.
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Mar 14 Sep - 17:20
Quick storm coming @Morgan Fletcher Elle ne peut s'empêcher de grommeler un peu dans sa barbe lorsqu'elle entend Morgan lui indiquer qu'elle l'a mal analysé. De toute évidence, c'est en effet le cas. Elle qui le pensait tout à fait incapable de romantisme, du moins, elle n'imaginait pas que ce soit possible qu'il en parle tout à fait ouvertement. Lui qui reste souvent bien discret sur sa personne. Il faut pourtant croire que ce troisième rendez-vous semble être le bon, même s'ils ont tout fait dans le désordre ces deux-là. Elle s'amuse quand même un peu à ses paroles, car il dit ça sur un ton ironique et finalement, elle en rigole aussi. « L'élève ne dépassera donc pas le maître … En tout cas, pour ce soir » elle ne peut quand même pas le laisser croire, qu'un jour, elle ne le dépassera pas. Ce n'est pas son but, mais s'avouer vaincue, n'est pas dans son vocabulaire.
Ce qui n'est pas dans son vocabulaire, c'est aussi le langage des fleurs et tout ce qui peut les entourer. Elle n'est pas sortie de chez elle pour rien en soit, elle en apprend davantage avec lui que sur internet. Elle qui ne s'imaginait pas que chacune des pétales colorés que composent une plante puisse avoir une histoire, se trouve un peu transporté par ce qu'il raconte. Évidement, la mention de l'amour dans tout ça lui retourne un peu l'estomac. Ce qu'il semble avoir deviné. « Les fleurs sont le langage de l'amour parait-il. J'en déduis donc que l'amour ne vous débecte pas ? » simple curiosité. Il est évident qu'il n'y a pas d'amour entre eux, pour l'instant. Elle s’interroge juste pour cet attrait pour les fleurs qu'il semble avoir. Quant au fait qu'elle soit une déesse, elle ne peut s'empêcher de sourire. « Il est bien là, le problème. Je ne peux pas me satisfaire d'une plante qui a pour histoire une déesse et un simple humain. Il faudrait que ce soit un dieu. Ne serait-ce que pour être à la hauteur » qu'elle plaisante un peu. Elle comprend tout à fait le sous-entendu et le gentil petit commentaire qu'il veut lui faire passer en la comparant à une éventuelle déesse. C'est donc sa soirée à la belle qui en rougirait presque si son teint halé ne cachait pas le rose sur ses joues. Il lui en faut cependant un peu plus pour vraiment la faire rougir. « Je ne sais même pas à quoi ressemblent des Hortensias » une recherche rapide sur Google saura satisfaire sa curiosité.
Ceci dit, ce à quoi ressemble un homme avide de pouvoir la posséder, elle le sait. Elle sait bien lire ça dans les prunelles de ces messieurs, même les plus coriaces, comme l'est Morgan. Il est difficile de cacher ses sentiments, le regard ne ment jamais, vraiment jamais. Pas même si ses sentiments se veulent enfouis, ils finissent toujours par ressortir sur les iris et se lisent avec aisance. Comme c'est le cas dans le regard émeraude de la belle. Perturbés l'un par l'autre et envieux de continuer ce petit jeu dangereux. C'est à celui qui abdiquera visiblement le premier. Le brun ne se montre pas pour autant déstabilisé lorsqu'il vient croiser ses mains sur sa chute de reins. Ce qui la fait encore plus se coller à lui. Ainsi scellés l'un à l'autre. Un vent chaud qui vient les happer. À sa question, elle ne répond pas et lui offre un simple sourire et une autre caresse sur la nuque. Elle ne sait pas exactement quel sera son prochain geste. Le moment est cependant agréable, mais il peut très vite se transformer en quelque chose de plus fort si l'un ou l'autre vacille. Elle se décide quand même à continuer cette danse fort agréable et se retourne, collant son dos à son torse, ses hanches aux siennes. Guidant les mains du psychologue autour de sa taille, une main qui vient se perdre sur sa nuque pour qu'il baisse un peu sa tête vers elle afin qu'elle puisse lui parler dans le creux de l'oreille. « Est-ce que vous mangez souvent le dessert avec le plat principal, Fletcher ? » La chaleur de son souffle qui caresse son visage. Sourire espiègle à cette question pleine de sous-entendus. La musique se veut toujours aussi enivrante et les emporte dans leur danse effrénée ou leur lutte, on ne sait pas trop. CRIMSON DAY
Elle n'a vraiment pas l'air ravie d'apprendre et de constater par elle même qu'elle t'a effectivement assez mal analysé. Pas sur tous les plans bien sûr, tu ne peux pas prétendre le contraire. Mais sur quelques sujets, elle s'est bel et bien trompée. A commencer par le romantisme dont tu sais faire preuve alors qu'elle s'attendait à tout autre chose de toi. J'ai hâte de voir le jour où vous y arriverez ... Tu n'es quand même pas bien certain que ce soit prêt d'arriver ça. Pour la simple et bonne raison que tu as fait de la psychologie ton métier et que ça fait donc un paquet d'années que tu nages dans cet univers. Autant dire que tu as eus l'occasion d'analyser des centaines et des centaines de personnes depuis des études. Même si tu ne doutes pas qu'elle aussi, elle a eut l'occasion d'analyser ses clients. Sans doute d'une toute autre façon et sans forcément chercher à tout savoir et tout connaître de ces personnes, pour des raisons tout à fait évidentes. Parce qu'elle n'a sans doute pas besoin de les cerner à la perfection pour pouvoir faire son boulot à leurs côtés, tout simplement.
Au cours de cette ébauche de rencard, vous continuez de discuter et d'en apprendre un peu plus l'un sur l'autre. Ainsi, elle sera sans doute également surprise d'apprendre que l'amour ne te fait pas peur et ne te dérange pas du tout. Non, l'amour ne me débecte pas du tout. Pourquoi, c'est votre cas ? L'amour vous dégoûte au plus haut point ? En effet ça ne t'étonnerait pas plus que ça. Elle ne doit pas être le genre de personne qui apprécie beaucoup le fait d'être amenée à dépendre d'une autre personne qu'elle même. Beaucoup trop indépendante pour accepter une telle chose. Ce que tu ne peux et ne vas évidemment pas juger. Chacun son truc. Ton truc à toi, c'est de rentre dépendantes des femmes qui tombent amoureuses de toi. C'est d'user de cet amour pour faire du mal. Plus de mal que de bien, plus précisément. Tu ris de bon cœur quand elle continue d'afficher un air tout à fait catastrophé, par l'histoire de la fleur qui était sa préférée jusque là. Tout ça parce qu'il est question d'un humain. Qui ne peut donc être à la hauteur de la déesse qu'elle est elle même. Vous êtes incroyable. Et tu ne sais pas si ça sonne tout à fait comme un compliment. Contrairement au rapprochement que tu fais entre elle et la fleur d'hortensia. Je suis certain que vous aimerez. Une jolie fleur qu'est l'hortensia.
Même si elle a le pouvoir de piquer, la délicieuse Cloé. Fougueuse et passionnée. Dévorante et passionnante. Elle qui ne sait que trop bien jouer à attiser plus encore le désir. Ce qu'elle est si justement en train de faire, dos à toi et son corps se moulant à la perfection contre le tien. Vous dansez ensemble, de la façon la plus chaude et sensuelle qui soit. Vous bougez au même rythme langoureux. Jouant tout naturellement avec les nerfs de l'autre. Et à ce jeu là elle est particulièrement doué, il te faut lui reconnaître ça. Alors qu'elle se colle à toi, attire ton visage non loin du sien et chuchote d'une voix chaude. Vous seriez surprise ... Que tu te contentes de répondre, jouant toujours bien volontiers la carte du mystère. Avant de te redresser, de décoller ton corps du sien et de la faire pivoter pour planter ton regard dans le sien. Il est d'ailleurs temps de regagner notre table. Puisque vos tapas viennent de se joindre à vos verres qui vous attendent toujours.
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Jeu 16 Sep - 18:43
Quick storm coming @Morgan Fletcher Évidemment, il ne cesse d'avoir ce petit sourire satisfait au coin de sa belle bouche. Petit sourire qui en dit long sur ses intentions et surtout sur l'émotion qu'il porte au fait de la voir un jour dépasser le maître. En ce qui concerne l'analyse de personne, elle n'est évidemment pas au même niveau que Morgan. « On sait très bien tous les deux que ça n'arrivera jamais » autant être tout à fait honnête. Chacun son domaine, chacun sa spécialité. « Comme vous. Vous ne pourrez jamais faire sortir un dangereux psychopathe de prison et mener votre vie comme si de rien n'était » quoi que … Elle est loin d'imaginer qu'il pourrait en effet, être tout à fait capable de vivre avec des remords ou s'imaginer qu'il ne fait aucun mal quand il touche à l'intégrité de certaines de ses victimes. Mais ça, elle l'ignore, de toute évidence. Ce qu'elle n'ignore pas ceci dit, en disant ça, c'est cette fameuse cassette perdue qui revient embrumer son esprit quelques instants. Regard perplexe lorsqu'elle semble se demander où elle a bien pu la ranger.
Questionnement incessant sur sa propre personne, comme si être en compagnie de Morgan lui faisait sortir le meilleur et le pire d'elle-même. L'amour ? Elle ne sait pas réellement si ça la dégoute, elle n'a juste jamais expérimenté la chose. Ceci dit, elle s'étonne, encore une fois, d'apprendre que le cher praticien présent à ses côtés n'a pas de mal à faire fonctionner son cœur pour autre chose que pomper le sang. « En même temps, vous ne pouvez pas être romantique et avoir peur de l'amour » lapsus révélateur, elle en a plus peur que ça ne la dégoûte. Elle se reprend vite néanmoins. « Je n'ai pas eu l'occasion d'expérimenter ce sentiment en dehors de ma famille ou mes amis. J'imagine simplement que ce qui me dégoûte c'est … Je n'en sais rien à vrai dire » elle a passé la plupart de son temps à renier ce sentiment. L'éviter en tout point, comme avec son ami d'enfance ou les autres hommes ''intéressants'' de sa vie. Ceux qui ont partagé plus que ses draps. Ceux qui ont compté ou ceux qui l'ont intrigué, comme semble l'être Morgan. Intriguant pour la belle avocate. Le sujet des fleurs semble un peu plus passionnant malgré tout. Elle ne peut s'empêcher de lui sourire, encore une fois lorsqu'il lui dit qu'elle est incroyable. Vrai ou faux compliment ? Qu'importe. « Je suis juste … Humaine » pour rester dans le thème. Elle sait bien qu'elle peut être incroyablement fatigante, comme incroyable tout court parfois. « J'irai alors m'en offrir dès demain » ne serait-ce que pour voir si, réellement, elles sont aussi belles qu'il le prétend. À défaut de s'en faire offrir.
Ce qui s'offre ceci-dit à eux ce soir, c'est une danse endiablée de leurs corps, collés l'un à l'autre. La musique les emporte et Cloé se veut joueuse, elle sait bien comment jouer avec les hommes, comment leur faire perdre patience, sans pour autant leur offrir ce qu'ils souhaitent. Ne serait-ce que pour lire un peu de déception dans leur regard. Elle aime mener la danse et elle aime encore plus décider. Décider si oui ou non, ils auront ce qu'ils veulent. Morgan est aussi très fort à ce jeu et sa réponse ne la laisse pas indifférente. « Ça tombe bien, j'aime les surprises » qu'elle souffle avant de pivoter face à lui. Leurs corps qui se détachent et leurs doigts qui se quittent pour rejoindre la table. Gentleman qu'il est, il la laisse s'avancer la première pour pouvoir la suivre. Une fois installés, les tapas sont là. Une gorgée de son cocktail pour se désaltérer. « Vous êtes plutôt bon danseur » un compliment balancé avant de manger un morceau de toast présenté sous ses yeux. CRIMSON DAY
Tu ne peux évidemment pas lui donner tort quand elle te fait remarquer que de ton côté tu ne pourrais vivre avec les remords qu'elle même se traine. Tu ne peux lui dire la vérité, bien sûr. Mais le fait est que ça ne te ferait ni chaud ni froid en réalité. Parce que tu n'as pas tellement d'empathie dans le fond et que les mots culpabilité et remords ne font pas tout à fait partie de ton vocabulaire non plus. Elle n'a aucun besoin de savoir tout ça. C'est cette partie là que vous pensez la plus compliquée ? Il y a aussi le boulot en lui même. Convaincre les jurés de l'innocence du client ... Ce qui est d'autant plus compliqué quand l'avocat est conscient de la culpabilité de son client. Autant dire qu'il y a donc plusieurs raisons pour lesquelles tu ne pourrais pas faire son boulot. Plusieurs officielles tout du moins. Parce que dans les faits, tu retires sans mal l'une des raisons. Celle qui semble pourtant être la plus compliqué à gérer pour elle. Parce qu'elle n'est qu'un être humain dans le fond. Avec des sentiments et une certaine dose d'empathie. Même si elle veut certainement se faire croire le contraire.
Vous continuez de discuter de vous et ainsi d'apprendre à vous connaître l'un et l'autre. C'est d'ailleurs pour ça que tu lui expliques que tu crois en l'amour. En tout cas, tu n'as rien contre et tu as déjà été en couple à plusieurs reprises et pour des relations plus ou moins longues et sérieuses. Tu ne précises évidemment pas qu'en général quand tu te lances dans une vie de couple, tu as un autre genre de pensées en tête et que tu fais ce que tu peux pour aller au bout de tes projets pour le moins machiavéliques. Encore des choses que tu dois tout naturellement taire. Et ainsi tu te contentes de confirmer que tu n'as rien contre l'amour. Contrairement à elle apparemment. Qui ne sait pas trop comment l'expliquer. Ce qui te fait rire. C'est de prendre le risque d'être déçue, ou blessée ou de carrément devenir dépendante de quelqu'un ? Tu poses la question mais dans le fond, tu ne penses pas viser trop loin. Elle est trop forte et trop indépendante pour seulement envisager une vie de couple la jolie brune. Ou plutôt, c'est l'image qu'elle renvoie. Tu ne sais pas s'il n'y a pas quelques failles qui sont apparues ces derniers temps.
Vous jouez encore un petit moment à vous provoquer l'un et l'autre, en plus d'apprendre à vous connaître. A danser l'un contre l'autre d'une façon tout à fait joueuse et sensuelle à la fois. Il te faut pourtant mettre un stop pour pouvoir te concentrer sur les tapas qui vous attendent. Et surtout, pour pouvoir redescendre un tant soit peu en tension ! C'est pourquoi vous éloignez vos corps l'un de l'autre pour rejoindre la table que vous avez quitté quelques minutes plus tôt. Table à laquelle vous vous installez pour vous désaltérer et commencer à piocher dans les tartines et bouchées. Au constat qu'elle émet à voix haute, tu ne peux que rire en douceur. Parce qu'elle a l'air relativement surprise et que tu n'es pas bien sûr de savoir quoi en penser de cette surprise émise ouvertement. Vous avez l'air surprise. A moins que tu ne t'imagines la chose. Ce qui est une possibilité également. Vous ne vous en sortez pas si mal non plus. Que tu ajoutes dans la foulée. C'est à ton tour d'être plus ou moins avare en compliments. Comment aviez-vous imaginé cette soirée ? Puisque, de toute évidence, vous saviez que vous n'alliez pas vraiment aimer le vernissage ...
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Sam 18 Sep - 19:17
Quick storm coming @Morgan Fletcher Pour elle, c'est devenu tellement logique et banal de passer son temps à essayer de convaincre les jurés de la culpabilité de ses clients. Qu'elle semble découvrir aux paroles de Morgan, qu'en effet, ce n'est pas ce qu'il y a de plus simple finalement. Qu'il faut savoir faire ses preuves et se montrer convaincante. « ... Apprendre le code civil par cœur » qu'elle ajoute, comme si c'était aussi difficile que ça. Elle souffle cependant un peu longuement. « Mais oui, c'est ce qu'il y a de plus compliqué. Surtout lorsqu'on connaît la vérité. C'est un peu se trahir soi-même que d'être avocat » et ce n'est pas comme si elle ne le savait pas. Elle a grandi dans ce milieu, elle savait dans quoi elle s'aventurait donc dès le début. « J'imagine que dans le vôtre de métier, ce qui est difficile, c'est d'essayer de faire comprendre à un malade, qu'il est malade ? » qu'elle s’interroge sérieusement.
Ils continuent cependant à apprendre à se connaître, se découvrir et autant dire, que c'est la première fois qu'elle offre plus que quelques phrases à un interlocuteur et pas n'importe lequel. Visiblement un homme qu'elle trouve tout à fait intéressant, cultivé et elle doit se l'avouer, vraiment très beau et charmant à la fois. Tout ce qu'il faut pour faire le mélange du gendre idéal en fin de compte. Ou alors, est-ce une simple image ? Elle finira bien par le découvrir de toute évidence. Elle découvre toujours tout. « Est-ce que j'ai l'air de vouloir, pouvoir ou devoir dépendre de qui que ce soit ? » son sourcil qui se lève en direction de Morgan. Elle ne lui laisse pas même le temps de répondre tant la réponse résonne dans leurs oreilles sans qu'elle ne prononce un mot. Elle en rigole quand même un peu. « Je dirais juste que c'est le risque de laisser à l'autre le pouvoir de détruire. C'est un peu ça l'amour, haine et passion » un mélange tout à fait intéressant. Duquel il faut savoir tirer les bénéfices entre les choses un peu moins positives. Mais ça, elle n'est pas prête à le concevoir.
Ce qu'elle est prête à concevoir cela dit, c'est de laisser à Morgan le libre arbitre de la soirée. Continuer à danser jusqu'à ce que ça devienne un peu trop pénible physiquement parlant et mentalement parlant pour l'un, comme pour l'autre. Laisser leurs désirs les consumer ou reprendre place à leur table pour manger un morceau et discuter comme deux adultes responsables en découverte de l'autre. L'option choisie lui semble aussi être la bonne. « Vous êtes en effet pleins de surprises » bon danseur et romantique par-dessus le marché. Elle en serait presque à chavirer pour le laisser le plein pouvoir de la soirée. Un sourire presque timide sur son visage quand il dit qu'elle est aussi bonne danseuse, hochement de tête pour le remercier. Entre deux bouchées, elle se laisse le temps de la réflexion à sa question. Les yeux en l'air pour y réfléchir et trouver la réponse. « C'est bien la première fois où je ne planifie pas une soirée du début à la fin et je dois avouer que j'aime la spontanéité que j'y découvre » elle se découvre donc capable de vivre sans organiser sa vie entière au centimètre près de ses mouvements. « Et puis … Je l'ai imaginée avec vous, ce qui est déjà pas mal pour un début, non ? » elle a fait le premier pas, elle le laissera faire le suivant. « Et vous ? Comment imaginez-vous notre prochain rendez-vous ? » comme si elle ne lui laissait pas le choix. De toute évidence, il y aura un prochain rendez-vous et cette fois, ce ne sera pas elle qui va l'inviter. Elle l'a déjà fait une fois. Une deuxième fois, serait comme toucher à son égo. CRIMSON DAY
Tu ne peux que hocher positivement la tête quand elle ajoute un fait concernant les difficultés que représente son boulot. Le fait d'avoir à apprendre par cœur le code civil. Effectivement, cela fait quand même beaucoup de choses à connaître et à retenir à tout prix. Ce qui signifie donc que parmi tous les talents qu'il faut avoir, il faut avoir une sacré mémoire. Autant dire que ce n'est pas donné à tout le monde. Et dans le fond, elle en est forcément bien consciente. Non ... En règle générale, les personnes qui viennent me voir se doutent déjà ou s'imaginent déjà quelque chose. Bien souvent, les personnes en pleine dépression en sont parfaitement conscientes. Rien de trop surprenant pour elles et eux donc. C'est quand il est question d'autres troubles, que c'est une autre histoire dans le fond. Mais c'est une trop longue histoire pour la raconter ce soir. Vous n'êtes pas là pour échanger de façon aussi sérieuse et approfondie concernant vos boulots respectifs. Aussi intéressants puissent-ils être. En revanche, tu n'as rien contre l'idée d'apprendre à toujours mieux la connaître, elle. En tant que personne. Au delà de son métier prenant et intéressant d'avocate.
Tu penses deviner les raisons pour lesquelles elle ne peut et ne veut pas tomber amoureuse de qui que ce soit. Qu'elle fuit même, à n'en pas douter, l'amour en lui même. Et tu les lui cites les raisons, à voix haute. Non sans un petit sourire au coin des lèvres. Qui s'accentue quand elle te renvoie la balle. Non, comme tu viens de le citer, ce n'est effectivement pas son genre. Tu n'as donc pas besoin de lui répondre. Et de toute façon, elle ne t'en laisse pas tout à fait le temps. Elle reprend presque aussi vite la parole. Toutes les relations amoureuses ne sont pas faites d'amour et de haine mélangées. Que tu crois bon de lui préciser. Certaines sont beaucoup plus saines que ça et se font dans la douceur et la simplicité. Mais ton but n'est pas de la convaincre de quoi que ce soit alors tu n'insistes pas plus et choisis plutôt de t'arrêter là. Il te semble que c'est mieux pour tout le monde. Vous n'êtes pas là ce soir pour marquer vos désaccords sur les histoires d'amour, non plus. Même s'il est vrai que ça reste une façon comme une autre d'apprendre à se connaître dans le fond. Petit à petit, vous en saurez vraiment plus l'un sur l'autre.
C'est d'ailleurs en te découvrant et en apprenant à te connaître, qu'elle constate que tu es plein de surprises. Elle en est la première surprise et ça t'amuse. Ravi d'avoir le pouvoir de vous surprendre alors. Parce que tu l'imagines ne pas être facilement impressionnable. Ne pas être habituée à ce qu'un homme la prenne de court comme tu sembles le faire toi même depuis un petit moment. Si cela doit être ton rôle alors ainsi soit-il. Quant à toi, tu lui demandes si elle a pensé au reste de la soirée. Mais elle a l'air tout aussi dubitative que toi sur la question. Ce n'est pas dans ses habitudes que de perdre ainsi le contrôle des choses. Ce qui ne te surprend pas outre mesure, bien entendu. Eh bien c'est une bonne chose si vous aimez ça. Pas dit, malgré tout, qu'elle ait envie de reproduire ce genre d'expérience si souvent que ça. A sa question, tu hoches positivement la tête avec le sourire sur les lèvres. C'est déjà bien, en effet. Sourire plus grand à la question suivante. Hm ... Peut-être que pour le prochain, je devrais vous faire découvrir le romantisme ... Et si tel est le cas, tu ne lui en diras pas plus ce soir. La surprise semblant être importante dans ce qui vous lie.
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