"Je m'en doutais un peu. Mais c'est pas grave." dit-elle en haussant les épaules. Elle voit bien qu'l se moque un peu d'elle mais elle s'en fout. Parce qu'elle a assez d'auto-dérision pour ça, qu'elle ne se prend pas la tête inutilement et qu'elle ne se vexe pas facilement non plus. Elle est plutôt spontanée et impulsive Elsa. Pas susceptible.
Elle ne dit plus rien sur les remarques que Vice peut faire. Certainement qu'elle s'y habitue. Très probablement même. Elle s'habitue à lui, à ses remarques, à son humour (oui il lui arrive d'en avoir !), à sa présence quasi constante. C'était loin d'être gagné tout ça, à leurs débuts. Mais comme quoi, les choses évoluent.
Aujourd'hui, ils ont une "complicité" telle que le fait de prendre deux suites dans un hôtel ne leur effleure même pas l'esprit. Parce qu'à chaque fois qu'ils ont été ensemble quelque part, ils ont fini dans le même lit. Et Elsa se permet de l'ajouter d'ailleurs. Ce serait quand même jeter l'argent par les fenêtres que de prendre deux chambres.
Vice fait le faux étonné et ça fait ricaner la blonde qui secoue la tête avant de partir s'allumer une clope.

Elle contemple le paysage enneigé qui s'offre à ses yeux lorsque Vice lui propose quelque chose d'un peu plus intéressant. Il ne finit pas sa phrase mais elle a très bien comprit. D'ailleurs, elle finit rapidement sa clope avant de se diriger vers la salle de bain. Ses vêtements s'éparpillent au sol, au fur et à mesure de ses pas qui les mènent vers le chanteur. Parce qu'elle veut arriver entièrement nue dans la salle de bain. Pas de temps à perdre.
Lorsqu'elle entre, de la buée s'est déjà formée sur les miroirs et la vapeur s'échappe de la douche sous laquelle se trouve déjà Vice. Elle s'approche et le regarde un instant. Face au mur devant lui, laissant l'eau recouvrir sa peau tatouée, ne bougeant presque pas.
Elle l'observe, scrute la moindre parcelle de son corps. Ses larges épaules, son dos, ses fesses musclées qu'elle prend plaisir à serrer entre ses mains. Elle reste ainsi quelques secondes, à l'observer, et sourit à l'idée que Vice se dise qu'elle ne viendra peut-être pas le rejoindre finalement.
Mais qu'il se rassure le tatoué. La voilà qui franchit enfin le pas de la douche.

Aussitôt entrée, elle se colle à son dos mouillé et chaud. Lentement, elle fait glisser ses mains de ses mains à lui jusqu'à ses larges épaules. Elle embrasse délicatement son torse aussi, juste avant qu'elle ne colle sa poitrine à lui. Ses mains redescendent légèrement et viennent se glisser sous ses bras pour arriver sur son torse. Et toujours aussi lentement, elle caresse. Toujours aussi lentement, elle descend puis elle remonte. Elle resserre un instant l'étreinte, collant les deux corps un peu plus avant de reprendre sa descente.
Cette fois, elle va jusqu'au bout. Sa main droite se saisit de la queue de Vice qu'elle commence à masturber tout aussi lentement que les caresses qu'elle lui fait depuis maintenant quelques minutes. Sa main gauche, elle, caresse les bourses avec délicatesse.
La queue grossit déjà entre ses doigts fins et elle aime ça Elsa. Elle aime l'effet qu'elle lui fait. L'effet quasi instantané.
Alors elle poursuit. Un peu plus rapidement. Légèrement plus rapidement. Elle le branle un peu plus vite et sa main gauche qui lui caressait les boules remonte sur le torse qu'elle prend plaisir à griffer légèrement alors qu'elle mordille sa peau du dos.
L'eau chaude recouvre peu à peu son corps à elle aussi. L'eau qui coule est aussi brûlante qu'Elsa. Brûlante d'envie pour son tatoué préféré.

Only us.

Elsa & Vice

Sans être encore complètement au top de sa forme, Vice est en train de retrouver son état normal. Les deux heures de sommeil dans l'avion, lui ont fait le plus grand bien. Et il ne fait aucun doute qu'une "petite" douche achèvera de le remettre bien d'aplomb. En tout cas assez pour qu'ils puissent ensuite profiter d'une soirée en ville. C'est pourquoi il ne tarde pas à abandonner Elsa du côté de la pièce principale de la suite, pour rejoindre la salle de bain. Il ne fait pas de réel doute dans son esprit, qu'elle le rejoindra bien assez vite. Il ne pense pas être le seul à ressentir encore et encore ce désir entre eux. Qui semble même ne faire que grandir toujours plus au fil des jours et des semaines qui passent. Certainement parce qu'ils s'entendent à merveille sur ce plan là et que, par dessus le marché, ils continuent d'apprendre à se connaître également. Ce qui rend les étreintes toujours plus parfaites. Perdu dans ses pensées et sous les jets d'eau chaude qui lui tombent dessus en cascade, Vice n'entend pas que Elsa est justement en train de le rejoindre. C'est finalement son contact contre son dos, qui lui apprend sa présence. Loin d'être désagréable, bien entendu.

La douceur de ses seins contre son dos, peut difficilement le laisser froid. Il a toujours la tête légèrement basculée en arrière, du côté de Elsa. De nouveau, le contact de ses pointes tendues qui se frottent à sa peau, lui fait un certain effet et fait naître également un semblant de sourire sur ses lèvres tandis qu'il veille surtout à rester statique. Immobile, pour la laisser un peu jouer sur son corps. Lui qui apprécie chaque caresse déposée par ses mains délicates sur sa peau trempée. C'est quand même la suite qui l'intéresse le plus. A savoir, sa main qui se referme autour de sa queue pour commencer à le branler. De quoi lui arracher un bref grognement immédiat et accentuer son semblant de sourire qui se fait plus vrai encore. Il se laisse vraiment faire sans rechigner, maintenant qu'elle le branle vraiment et que sa seconde main caresse ses bourses dans le même temps. Et ce, jusqu'à ce qu'elle fasse remonter sa main pour aller griffer son torse. Ce qui est, encore une fois, loin d'être désagréable. Il ne saurait expliquer pour quelle raison il apprécie autant la chose. Mais c'est un fait, il aime cette petite pointe de douleur qu'elle lui offre en même temps.

S'il se laisse faire durant quelques minutes, ce n'est que le temps pour lui de bander pour de bon. Avant de reprendre les choses en main. Assez sèchement pour le coup. Brusquerie à mettre, en partie, sur le dos de l'attente qui a semblé interminable. Ils n'ont pas baisé ensemble depuis trop longtemps à son goût. Alors il repousse ses mains pour pivoter, crochète sa nuque de l'une des siennes pour l'attirer à lui et loge l'autre sur sa chute de reins pour la serrer plus fort contre son corps. Les bassins qui se percutent avec brusquerie tandis que les langues entreprennent une bataille frénétique. Baiser brûlant et sans fin. Passionné. Violent. Comme la façon qu'a Vice de plaquer la blonde contre le carrelage froid. Impatient l'animal. Sa bouche quitte la sienne pour aller se perdre au creux de son cou. Embrasser et mordre sa peau délicate pendant que ses mains se perdent sur le reste de son corps. Sur ses courbes alléchantes. Et finalement sur ses hanches pour la soulever, la plaquer plus durement, la coincer de son corps et la pénétrer jusqu'à la garde sans perdre plus de temps. Il l'incite à enrouler ses jambes autour de ses hanches dans la foulée, pour pouvoir la baiser tout de suite vite et fort. Se déchaîner, littéralement, entre ses cuisses.

Constamment envie de lui. Evidemment. L'attraction ne fait que se renforcer toujours plus à mesure qu'ils sont de plus en plus ensemble. Incroyable mais vrai. Vice est son pêché mignon. Et si elle n'a rien fait pour l'exciter depuis leur départ, c'est uniquement parce qu'elle le savait fatigué. Attirer ses foudres était la dernière de ses envies.
Mais là, c'est différent. C'est lui qui initie un nouveau coït. Lui qui l'invite à le suivre sous la douche chaude. Ce dont elle ne se fait pas prier, évidemment ! Le voir ainsi nu, la tête légèrement en arrière pour accueillir l'eau chaude qui coule le long de son corps... Pour un peu, elle en baverait.
Mais plutôt que de se contenter de mater, elle le rejoint. Bien vite. Ou pas assez.
Elle se colle à lui et laisse ses mains voyager. Le temps qu'il s'acclimate de nouveau à elle, à son contact, à la chaleur de sa peau. Ses mains qui se font baladeuses, coquines, et qui s'empressent d'aller caresser délicatement son membre qui durcit de plus en plus. Le grognement de plaisir qu'elle entend et qui la fait sourire ne fait que la pousser à poursuivre. Délicatement, lentement. Elle veut faire monter le désir tranquillement bien qu'elle boue déjà à l'intérieur.
Et elle lui fait comprendre en venant griffer son torse. Même si ça reste léger.

Il bande fort et dur entre ses doigts fins qui ne cessent de le branler. Elle accélère un peu. Son souffle devient déjà un peu plus irrégulier parce que ça l'excite de le sentir bander de cette façon. Pour elle. Grâce à elle, surtout.
Et Vice reprend rapidement le contrôle de cet ébat qui s'annonce une nouvelle fois bestialement féroce.
Elle pousse un cri de surprise qui se retrouve très vite étouffé par les lèvres du tatoué qui viennent s'écraser sur les siennes. Elle lui rend avec la même fougue ce baiser, liant leurs langues une nouvelle fois et frissonnant de ce rapprochement soudain. A son tour, elle aussi, elle met une main derrière la nuque du tatoué tandis que l'autre vient griffer son dos avec bien plus de force.
L'envie devient bien trop forte tout à coup. La tension sexuelle est à son apogée et le suédois n'attend pas plus longtemps pour plaquer la blonde contre le carrelage frais.
Elle pousse un long soupir en fermant les yeux lorsqu'il dérive jusqu'à son cou pour l'embrasser mais surtout, la mordre.
Et c'est tout naturellement qu'elle se laisse soulever. Parce qu'elle n'attendait que ça. Elle pousse un très long gémissement de plaisir quand il la pénètre jusqu'à la garde. Elle enroule ses jambes autour de lui, serrant le plus possible pour le sentir toujours plus. Plus fort, plus loin, entièrement, furieusement.
Il est toujours logé dans son cou et elle resserre également l'étreinte par là pendant quelques secondes avant de tirer sur ses cheveux pour qu'il redresse la tête. Elle ne lui laisse pas le temps de réagir et vient aussitôt violer sa bouche. Lèvres scellées, langues qui se cherchent et pause, front contre front alors qu'elle halète déjà.

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Elsa & Vice

Le manque de sexe commence vraiment à se faire ressentir maintenant. Ca leur tombe dessus de la façon la plus brute qui soit. Tout à coup, ils prennent conscience de l'absence de sexe entre eux depuis déjà trop longtemps. Ils ne sont pas habitués à ça. Surtout lorsqu'ils sont en compagnie l'un de l'autre. Ils ne savent vraiment pas résister à la tentation. Ils n'essaient pas vraiment, en fait. A quoi bon ? Surtout là, ce voyage en Suède, c'est vraiment l'occasion de profiter de cette folle attraction qui ne veut pas s'éteindre. C'est le moment ou jamais de baiser comme rarement ils l'ont fait. Quitte à se dégoûter une bonne fois pour toutes, peut-être ? Il peuvent toujours rêver en tout cas ...  Même si ce n'est pas le réel but de tout ça. Le but est uniquement de profiter comme jamais. A commencer par ce soir et cette nuit à venir. Ils sont dans la même chambre d'hôtel alors autant commencer à jouer dès à présent. Dans la cabine de douche, dans un premier temps. Douche brûlante dans tous les sens du terme.

Elsa sait jouer de ses doigts sur la queue du mâle. En un rien de temps, il bande fort grâce à elle. De quoi l'exciter au plus haut point, le tatoué. Qui reprend déjà le contrôle des choses pour la plaquer contre le carrelage frais et faire d'elle sa captive. Sa proie. Il gronde encore, en réponse à son bref cri de surprise. Ce qui ne l'arrête évidemment pas. Il l'embrasse avec fougue. Et c'est avec la juste dose de brutalité, qu'il s'enfonce enfin en elle, de toute sa longueur. La sensation de ses parois intimes qui  se referment et palpitent autour de lui, est toujours aussi délicieuse.  Et font un peu perdre la raison au tatoué qui s'en donne déjà à coeur joie. A aller et venir vivement en elle. Coups de reins déjà vifs. Morsures insistantes au creux de son cou. Jusqu'à ce qu'elle le force à redresser la tête pour que leurs bouches se retrouvent. Dans un baiser pour le moins passionné, encore.

Les coups de reins sont toujours aussi violents alors que les langues se livrent une bataille sans merci. Ils se dévorent, littéralement. Les dents de Vice jouent un peu également. A vouloir abîmer la langue et les lèvres de la blonde sans prendre le temps de retrouver son souffle. Alors même qu'il commence sérieusement à en manquer avec la frénésie de ses coups de boutoir. Jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, il l'embrasse de la sorte. Finalement, ses doigts attrapent les cheveux de la blonde pour lui faire basculer la tête en arrière et attaquer de nouveau sa gorge et son cou de ses dents. Pour pouvoir respirer de nouveau, surtout. Le suédois jure déjà dans sa langue natale alors que sa queue n'a de cesse de perforer la chatte humide. De s'imposer de toute sa longueur et de toute sa largeur. Ne pas faiblir. Ne pas ralentir. Si ce n'est pour pouvoir l'embrasser de nouveau entre deux salves de coups de reins frénétiques. De ceux qui font sautiller le corps féminin contre le sien et heurter le carrelage.

Effectivement, ils ne résistent jamais à l'appel au sexe. Sincèrement, ça sert à rien en plus. Surtout qu'ils savent que c'est toujours super bons entre eux alors pourquoi s'en priver ? Et là qu'ils sont certains d'être seuls, de ne pas être dérangés par quelqu'un qu'ils connaissent... raison de plus pour se faire plaisir. Une première fois dans cette suite d'hôtel qui ne sera pas la dernière, assurément. Ils ne savent que trop bien à quel point ils ont constamment envie de l'autre pour se dire que ce sera la seule et unique fois qu'ils coucheront ensemble d'ici à demain matin.
Et puis, même si elle n'ose se l'avouer, Elsa ressent ce besoin de plus en plus fort de l'avoir le plus souvent possible près d'elle, contre elle, en elle. Ce n'est plus que simplement du sexe. C'est autre chose. Un petit truc en plus. Elle ne sait pas encore quoi mais elle sent que ce n'est plus comme au début, qu'elle le voit différemment. Mais pour se rassurer (les rares fois où elle y pense), elle met sur le dos de son stress et du fait qu'il l'ai sauvé. Ca ne peut être que ça à ses yeux.

En tout cas, elle n'y pense pas là. Pas alors qu'elle commence à le branler et à l'exciter. Mais la masturbation est bien vite arrêtée car déjà Vice se retourne et la plaque dos au mur avant de l'embrasser fougueusement. Elle aussi ressent ce besoin de l'embrasser, tout le temps. Bien plus qu'avant, c'est certain. Maintenant qu'elle a goûté à ses lèvres douces de cette façon, elle ne compte pas s'en priver. Plus jamais.
Tout comme de ses coups de reins violents qui la font grimper si vite au nirvana.
C'est tellement bestial, animal... et intense, presque doux. Difficile à expliquer mais même si les coups de reins sont brutaux, il y a une nette dose d'intensité qui rend le tout presque doux voire romantique. C'est l'union des corps qui s'attirent irrémédiablement dans un ballet sensuel et provoquant.
Ce sont les lèvres qui se collent l'une à l'autre, les langues qui s'emmêlent et les corps qui se percutent tout en soupirant un plaisir évident.
On a l'impression qu'ils se redécouvrent à chaque fois et pourtant il n'en est rien. Ils tentent de nouvelles choses, ou des choses déjà faites mais trop "éloignées" dans leur tête. La douleur légère fait partie intégrante de leurs ébats maintenant. Ca les excite toujours plus, l'un et l'autre, cette pointe de douleur qui les percute et les fait crier/grogner d'un bienfait incroyable. C'est un coup de fouet qui les électrise entièrement. Comme lorsque Vice vient mordre son cou ou comme lorsqu'elle tire en arrière sur ses cheveux pour l'embrasser avec une passion dévorante. Celle qui vous déchire les entrailles tant vous avez envie et besoin de l'autre.

L'intensité de cet ébat fait de l'ombre à toutes leurs autres fois. Impossible de dire pourquoi. Sûrement parce qu'ils sont ensemble depuis bien trop d'heures sans s'être sautés dessus. Oui, ça ne peut être que ça. L'envie n'a fait que grandir au fur et à mesure que les heures passaient et maintenant, ils n'en peuvent plus d'avoir attendu si longtemps.
Il n'y a que ça pour expliquer leur façon de se dévorer. Car il n'y a pas d'autre mot. Ils se dévorent, littéralement. Que ce soit de leurs lèvres, de leurs dents, de leurs sexes l'un dans l'autre, de leurs corps si collés.
C'est à peine s'ils arrivent à respirer tant ils ne veulent quitter les lèvres de l'autre. Et ne parlons même pas des coups de butoirs toujours aussi vifs/forts, qui ne font que gémir toujours plus la blonde. Gémissements remplacés par une respiration coupée et un cri bref lorsqu'à son tour, il tire sur sa chevelure blonde pour s'attaquer de nouveau à son cou et sa gorge.
Elsa ne peut qu'être expressive, très expressive même, suite à ce qu'il lui fait. Elle reste délicate avec ses doigts dans les cheveux du tatoué mais ses autres doigts, eux, par contre, ne font que s'enfoncer plus encore dans la chair tendre du suédois qui jure dans sa langue natale. Ce qui la rend encore plus dingue. Elle adore l'entendre parler ainsi.
Son corps est balloté, malmené, mais c'est divin. Comme toujours. Voire même mieux que d'habitude.
Quand il revient pour l'embrasser, elle lui rend avec un plaisir non feint ce baiser ardent avant de lui mordre la lèvre à sang et de planter son regard dans le sien.
Elle sautille sur lui, sur sa queue mais ne lâche pas ce regard dans lequel elle se noierait volontiers.
Elle reste en contemplation comme ça pendant quelques secondes, la bouche légèrement entrouverte et poussant des gémissements de plus en plus fréquents et forts. Et finalement, elle replonge sur ses lèvres qu'elle dévore une nouvelle fois, collant plus que jamais son corps à celui de Vice.
Le sentir toujours plus loin, toujours plus fort...

Only us.

Elsa & Vice

Il n'y a vraiment rien de surprenant dans le fait que Vice ait proposé à Elsa de le rejoindre dans la douche. Ni dans le fait qu'elle l'ait effectivement rejoint. Le désir entre eux est vraiment constant et renaît de lui même de ses cendres après chaque étreinte. Et le fait qu'ils n'aient pas couché ensemble depuis presque un jour entier, fait que le tatoué ne tourne vraiment pas autour du pot une fois qu'il est assez dur pour s'enfoncer en elle. Il n'a pas la patience d'attendre plus longtemps. Et ce n'est de toute façon pas tellement son genre de patienter. A quoi bon se torturer, franchement ? Il est mieux à s'enfoncer dans sa chatte trempée qui n'attend que ça. Il est même déjà en train d'aller et venir furieusement en elle. Pour son plus grand plaisir, à elle aussi. Vu les incessantes plaintes de plaisir qu'elle laisse s'échapper de sa si jolie bouche. Tous les sons qui se font entendre dans la salle de bain, forment une mélodie des plus érotiques. Le genre qui a le don d'exciter toujours plus le tatoué et lui coller la furieuse envie de la baiser plus fort encore. Plus vite aussi. De lui arracher davantage de cris et de malmener son corps fin.

Il sait très bien que de son côté, elle ne résiste pas aux jurons qu'il peut laisser échapper en suédois.  Même si ce n'est pas vraiment pour elle, qu'il grogne ces mots là. C'est simplement parce qu'ils s'échappent, eux aussi. Et c'est dire l'état d'excitation dingue dans lequel il se trouve. Elle n'est pas la seule à subir de façon violente ce désir. Bien que "subir" soit sans doute un mot un peu trop fort à tendance négative. Alors qu'il n'y a rien de négatif dans tout ce qu'ils partagent en cet instant et à chaque fois qu'ils se sautent dessus comme ils savent si bien le faire. C'est d'ailleurs bien pour cette raison qu'ils continuent de partager tout ça tous les deux. Si ça posait le moindre problème, ils n'en seraient clairement pas encore là à l'heure actuelle. A retrouver cette bestialité qui leur va si bien à tous les deux. Après des étreintes un peu plus douces suite aux mésaventures marquantes de la jolie musicienne. Qui semblent être en train de s'effacer de son esprit. Au moins de façon temporaire. Sans doute le temps qu'ils passeront loin de la Hongrie tous les deux.

Ils n'ont de cesse d'échanger des baisers passionnés, brûlants, violents. Les langues bataillent sévèrement l'une avec l'autre alors que les corps se percutent toujours plus vivement et que les sexes s'emboîtent tout aussi violemment.  Ils se possèdent avec toujours la même rage.  La même hargne.  Dans cette position, il peut plonger toujours plus profondément en elle. Rien ne l'arrête ni ne le ralentis. Et de son côté, elle ne fait rien non plus pour ça. Elle l'incite plutôt à poursuivre comme il le fait si bien. Regards plantés l'un dans l'autre quand leurs lèvres ne sont pas occupées à s'abîmer les unes les autres, Vice ne cherche pas à se dérober. Au contraire. Il affronte son regard sans la moindre trace de gêne sans ralentir la cadence de ses coups de reins non plus. Et laisse errer une main entre leurs corps pour s'en prendre à sa poitrine. Qu'il empoigne assez vivement. Là non plus, toujours pas la moindre trace de douceur. Au contraire. A croire qu'il cherche à lui faire mal. Comme elle, elle le fait quand elle mord sa lèvre jusqu'au sang d'ailleurs ... Elle n'y va vraiment pas de main morte. Tout au contraire. Elle le fait râler franchement et ne l'incite que plus encore à la prendre avec cette rage aux reins qui le caractérise si bien.

La patience entre eux n’est pas leur point fort. A quoi bon patienter davantage de toute façon ? Plusieurs heures, l’un à côté de l’autre, sans se toucher ou tenter d’exciter l’autre, c’est suffisant. Et c’est pour ça qu’ils ne font pas dans la demi-mesure. Maintenant qu’ils sont (enfin) seuls, ils peuvent se laisser aller à loisirs à leur pêché mignon, à savoir coucher ensemble. Encore et encore…
Lui, comme elle, ne semble avoir attendu que ce moment depuis qu’ils ont franchi la porte de la chambre. Il est déjà à aller et venir en elle furieusement, rageusement, comme si sa vie en dépendait. Comme si c’était la dernière fois qu’ils pouvaient coucher ensemble. C’est intense, vraiment. Et Elsa ne peut que gémir, soupirer et crier son plaisir alors qu’il la lime de la sorte.
Les jurons qu’il sort dans sa langue natale ont toujours eu un effet incroyable sur elle. Elsa sait maintenant que lorsqu’il jure de la sorte, c’est qu’il prend un pied extraordinaire. Et donc, de ce fait, ça ne fait que l’exciter toujours plus la blonde. Ca la rend dingue, vraiment, et elle ne peut s’empêcher de le mordre ou de le griffer. Marquer son territoire en quelque sorte.

Les baisers qu’ils échangent sont passionnés et ils ont du mal à détacher leurs lèvres. Tant de mal qu’ils en ont le souffle court très rapidement. Jamais ils ne sont autant embrassés. Ca aussi c’est une nouveauté. Tout semble changer entre eux. Doucement. Mais ça ne gêne ni l’un ni l’autre. Pas pour l’instant. Ils sont pareils. Ils ne réfléchissent pas aux conséquences ou aux pourquoi. Ils se laissent aller. Ils laissent leur désir les consumer. Et c’est pour ça que ça fonctionne entre eux. Pour le moment du moins.
Les regards se croisent entre deux baisers intenses et les yeux bleus de Vice la font une nouvelle fois succomber. Ce n’est pas qu’un simple regard. Elle a l’impression qu’il y a bien plus dans sa façon de la regarder en cet instant mais elle ne prend pas le temps d’y réfléchir et recommence à l’embrasser avec fougue alors qu’il glisse une main entre leurs deux corps pour se saisir de sa poitrine. Elle grogne, de satisfaction et de plaisir. Elle aime cette force qu’il met dans leurs ébats, chaque fois.
En retour, elle lui mord la lèvre à sang. Il râle. Et du coup, elle sait qu’elle y est allée certainement trop fort. « Désolée… » Aussitôt, pour s’excuser, elle lèche sa lèvre et vient déposer un baiser plus doux avant de coller son front au sien. Haletante sous les coups de reins qui ne faiblissent pas, elle pose sa main sur la joue de Vice et son pouce sur sa lèvre. « Tu m’excites trop… » Et encore, le mot est faible.

Elle n’a plus la force de l’embrasser. Plus le souffle, surtout.
Mais l’excitation, le désir sont toujours bien présents, eux. Alors, elle prend appui du mieux qu’elle peut pour accompagner Vice dans ses coups de reins. Elle halète toujours plus contre ses lèvres qu’elle se contente simplement d’effleurer. Un halètement mêlé de gémissements plus fréquents également. Elle griffe légèrement le haut de son dos, s’empalant avec force et rapidité sur ce pieu qui lui défonce les chairs intimes. Elle resserre ses jambes autour de lui, commence à se crisper mais se retient de jouir, déjà. Parce qu’elle veut qu’ils jouissent en même temps. Elle n’attend que son feu vert pour pouvoir se laisser aller à la jouissance ultime, à celle qui va une nouvelle fois se répandre dans son corps et la laisser toute pantelante ensuite. A celle qui va tellement la ravager et la faire crier qu’elle ne pensera qu’à la prochaine fois qu’ils coucheront ensemble.

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Elsa & Vice

Les deux amants s'entendent de mieux en mieux au fil du temps qui passe, c'est indéniable. Et aucun des deux n'aura le culot de nier cette évidence là. Vice se fait un peu moins hésitant quand il s'agit de croiser le regard de la jeune femme et de l'affronter. Ils ne cherchent rien de plus que le "peu" qu'ils ont déjà. A savoir, cette entente parfaite lorsqu'il s'agit de sexe. Ils semblent vraiment être faits pour partager ça, tous les deux. C'est assez nouveau pour le tatoué qui n'a jamais prit la peine de partager plus qu'une étreinte ou qu'une nuit avec une gonzesse. Jamais beaucoup plus, parce que ce n'est pas son genre et parce qu'il ne voit pas pourquoi il devrait se limiter à une femme quand il peut les cumuler en passant de l'une à l'autre à une autre encore et ainsi de suite. Mais il doit bien admettre qu'il y a du bon dans le fait de revenir sans cesse à la même. Sans doute parce qu'ils sont sur la même longueur d'ondes quand il s'agit de coucher ensemble. Ils sont d'accord et apprécient globalement les mêmes choses. Ce qui est particulièrement bon du coup. Et qui donne sans cesse envie de recommencer.

Avec cette fougue qui est la leur, arrive quand même qu'ils aillent un peu trop loin dans leurs gestes. Comme lorsqu'elle Elsa mord trop fort dans la lèvre inférieure de son partenaire. Morsure qui excite mais qui fait effectivement mal et fait saigner. Goût du sang qui se mêle à leurs baisers passionnés. T'es vraiment une sauvage ! Qu'il gronde d'une voix rauque. En réalité, ça l'excite plus fort encore. Et elle le connait maintenant assez bien pour le savoir. Il sourit à peine quand elle loge une main sur la joue, un pouce sur la bouche et qu'elle souffle combien il l'excite. Il ne répond rien non plus. Si ce n'est en allant fourrer une main dans les cheveux trempés de la jeune femme et tirer quelque peu dessus. Rien que parce qu'il adore ça. Il aime avoir une prise de ce genre sur elle. Et il ne voit aucune raison de s'en priver. Ils aiment se faire mal. Ca fait partie intégrante de leurs étreintes toutes plus bestiales les unes que les autres. Elsa remue également, pour s'empaler d'elle même toujours plus frénétiquement sur la queue profondément fichée en elle. Quelques rares baisers sont encore échangés. Mais la plupart du temps, les lèvres se contentent de se frôler et les souffles, de se percuter.

Il se redresse pour pouvoir donner plus de vigueur encore à ses coups de reins, si tant est que cela soit possible. Une main qui se referme de nouveau sur un sein et l'autre qui se crispe autour d'une cuisse. Le plaisir est de nouveau en train d'atteindre des sommets et menace d'exploser à tout moment pour se faire orgasme des plus violents. Mais ils n'ont maintenant plus aucune raison de se retenir. A part le désir de jouir ensemble. Et Vice commence à suffisamment bien connaître Elsa et son corps, pour savoir quand elle se retient de se laisser aller à l'orgasme. C'est donc certain qu'elle le suivra, qu'il se laisse lui même aller au raz de marée qui le submerge tout entier. Qui le fait se déverser en elle dans un grognement animal, qui le fait jurer un peu dans sa barbe mais surtout, qui le fait se tendre et se crisper de la tête aux pieds. Tous les muscles de son corps tendus à l'extrême alors que la boule de tension du creux des reins explose en milliers de morceaux pour étaler les étincelles de plaisir dans l'ensemble de son corps.

Jamais ils n'ont faiblit dans leurs ébats sexuels. Que ce soit en intensité ou en quantité. La seule chose qui a certainement changé, c'est la petite dose d'intimité supplémentaire qui s'est immiscée. Comme les baisers, bien plus fréquents et bien plus intenses au fil du temps qui passe ou les regards croisés sans lâcher. Bien plus intimes. Oui. Et ça ne fait que s'accentuer. Toujours un peu plus.
Ni l'un ni l'autre n'ont pour habitude de coucher aussi longtemps avec la même personne et pourtant, ensemble, ils ne semblent pas vouloir arrêter. Bien au contraire. L'attraction est toujours aussi forte voire même plus. L'entente toujours aussi parfaite. En véritable osmose.
Des partenaires, elle en a eu Elsa. Mais jamais très longtemps. Vice est l'exception. Par bien des points. Et plus les jours passent en sa compagnie, plus elle apprécie être avec lui et plus elle a envie de rester à ses côtés. Assez étrange quand on la connait. Quand on LES connait.

Et c'est tellement... trop, entre eux, qu'ils ne peuvent s'empêcher d'y mettre un peu de violence. Certainement un peu trop parfois. Comme lorsqu'Elsa vient mordre la lèvre de Vice un peu beaucoup trop fort. Elle s'en veut aussitôt. Bien trop excitée, oui, certes. Mais coupable malgré tout de lui avoir fait du mal. Ce n'était clairement pas sa volonté. Même s'ils trouvent dans ces gestes une dose d'excitation supplémentaire. Il grogne mais ne semble pas lui en vouloir plus que ça. Elle sourit au qualificatif qu'il lui donne. Sauvage... Mot qui résume parfaitement le sexe entre eux.
Mais Elsa met finalement un peu de douceur et pose une main sur la joue du tatoué, caressant sa lèvre meurtrie de son pouce tout en lui avouant à quel point il l'excite. Ce qui est vrai. Mais il le sait.
En réponse, il tire sur ses cheveux et elle sourit. Elle aime ça, oui. Cette dose de sauvagerie, de bestialité.
Les coups de reins s'intensifient, elle s'empale de plus en plus furieusement sur sa queue. Les lèvres se frôlent quand elles ne se touchent pas mais l'étreinte des deux corps est toujours aussi forte. Impossible de se séparer pour le moment.

L'orgasme menace d'arriver d'ici peu. Elsa sent dans chaque pore de sa peau qu'il monte. Dangereusement. Mais elle se retient la blonde. Parce qu'elle ne veut pas jouir avant lui. Elle veut qu'ils le fassent ensemble. Dans des grognements animaux et une respiration saccadée, dans des cris qui se mêlent et qui meurt sous le bruit de l'eau qui les recouvre.
Elle halète, elle se crispe. Vice le sent, c'est certain.
D'ailleurs, il accélère un peu plus. Prenant un appui différent, il va et vient en elle d'une façon différente avant de se lâcher. Et là, Elsa lâche tout à son tour.
Elle se crispe encore plus, crie son plaisir en rejetant légèrement la tête en arrière et serre Vice tout contre elle pendant qu'il se déverse.
Crispé l'un contre l'autre le temps de l'orgasme saisissant, elle fait ensuite de légers et lents va-et-vient pour clôturer cette baise incroyable, une nouvelle fois.
Elle vient cueillir un doux baiser, mêlant ses doigts dans les cheveux bouclés avant de poser son front contre celui de Vice et de se mordre la lèvre.
Le temps de récupérer, un peu encore, et elle se détache lentement de lui afin qu'il la repose au sol. Et puis, sans rien dire, elle l'enserre de ses bras au niveau de la taille et vient poser sa tête contre son torse. Un dernier câlin. Tendre. Qui sera certainement rapide parce que, soyons honnêtes, la tendresse ce n'est pas réellement leur fort non plus.

Only us.

Elsa & Vice

Les étreintes entre eux se suivent et se ressemblent sans jamais être tout à fait les mêmes. Dans tous les cas, elles sont toujours très torrides et tout simplement parfaites dans le genre. A coup sûr, ils prennent leur pied tous les deux. Si ce n'était pas le cas, ils ne passeraient pas leur temps à recommencer comme ils le font déjà si bien d'ailleurs. Mais ils recommencent. Encore et encore. Et ils prennent toujours autant de plaisir à tout ça. Si ce n'est de plus en plus. Parce qu'ils apprennent les faiblesses de l'autre et n'hésitent pas à en jouer pour des orgasmes toujours plus rapides et plus violents. D'un côté comme de l'autre, bien sûr. Cette fois ci, dans une cabine de douche de grande taille. Avec l'eau brûlante qui leur coule dessus et fait sacrément rougir les peaux. Presque autant que les claquements des corps qui se percutent sans douceur. Encore et encore. Plaisir grandissant, plaintes de plaisir qui se répètent et se répercutent sur le carrelage. Qui résonnent pour échouer de façon toujours plus sexy au creux des oreilles des deux amants qui ne se donnent que plus encore. Ils ne se lassent pas. Tout au contraire.

Malgré l'orgasme, Vice reste des plus conscients de la jeune femme qui jouit en même temps que lui. Et ne manque donc rien des mouvements lascifs et frénétiques de son corps, des cris de plaisir qu'elle laisse échapper, de la façon qu'elle a de basculer la tête en arrière également. Petit geste qui est tellement elle, que ça ne l'étonne plus le Vice mais que ça a plutôt tendance à le fasciner. Il réalise encore une fois que plus le temps passe, plus il prend ses petites mimiques. Et que, loin de l'effrayer, ça a plutôt encore et toujours le don de l'exciter. Tout ce qui la concerne, semble avoir ce pouvoir là sur lui d'ailleurs. Ils reviennent doucement à eux, ensemble. Vice a cessé de bouger et laisse la jeune femme prendre le relais. Quelques mouvements sensuels de son bassin contre et au dessus du sien, qui arrachent un soupir d'aise au tatoué. Il se laisse faire bien volontiers quand elle vient embrasser ses lèvres et perdre ses doigts dans ses cheveux bouclés. Plus rien ne semble le déranger maintenant. Il la libère en douceur pour qu'elle puisse reposer ses pieds à terre. Et même s'il a le réflexe de se crisper lorsqu'elle enroule ses bras autour de lui, il ne fait quand même rien pour la repousser. Tout au contraire même.

Ses mains tatouées se posent dans son dos, volent quelques caresses délicates à sa peau, puis se retirent. Les corps se détachent l'un de l'autre sans brutalité, sans froid entre eux, sans gêne non plus. Enfin, il se concentre sur le but premier d'une douche. Sur le fait de se laver corps et cheveux, maintenant qu'il est bien réchauffé. Et pas uniquement grâce à la chaleur de l'eau ! Après quoi, il quitte la cabine pour aller récupérer une serviette ample et chaude qu'il enroule autour de son corps. C'est sans surprise qu'il constate la buée qui recouvre l'immense miroir au dessus des lavabos. J'espère que t'as prévu des fringues vraiment chaudes pour sortir. Surtout en pleine soirée. Il va faire sacrément froid et il n'a pas tellement envie de la ramener ensuite à l'hôtel, complètement gelée. Ni de devoir carrément écourter la soirée parce qu'elle sera pas assez chaudement vêtue !