"Je peux comprendre..." se permet-elle de dire en lorgnant sur le corps en question. Ce serait quand même dommage, c'est vrai. Un tel corps laissé à l'abandon. Non mais franchement ! Ceci étant, cela n'empêche en rien que ce qu'elle vient de lui dire reste vrai. Qu'il prenne du gras ou pas, elle appréciera toujours coucher avec lui. C'est une certitude. Parce qu'il est bon dans cette catégorie sportive. Aucun doute là-dessus. Il est, à ce jour, le meilleur amant qu'elle ait eu. Et vu qu'il lui convient sur tous les points, elle ne voit pas l'intérêt d'aller voir ailleurs. Pour le moment. Mais elle sait bien qu'ils se lasseront un jour ou l'autre. Peut-être pas tout de suite. Mais dans quelques semaines. Cela dure entre eux depuis presque trop longtemps maintenant. C'est aussi étrange que ça en est plaisant d'ailleurs. Leur retour à Budapest aura certainement raison d'eux.
Mais ils n'y pensent pas alors qu'ils viennent tout juste de coucher ensemble et sont sur le point de recommencer.

Ils parlent sport, de la prochaine séance de Vice. Lui qui se donnera à fond et Elsa qui arrivera en fin de séance pour le mater/se faire plaisir aux yeux. Faire ce qu'elle veut de lui... Voilà bien une chose qui la ravie d'avance et elle ne se fait pas prier pour le lui dire. Et lui en réponse, se montre taquin. C'est vraiment agréable cette entente entre eux. Il n'y a plus que le sexe. Il y a autre chose, entre deux et c'est vraiment très agréable. Cette complicité qui nait doucement. Elle sourit alors qu'il pose son index sur les lèvres de la blonde. Et elle ne le quitte pas des yeux.
Qu'il se rassure... Non, elle ne le dira pas. Elle ne dira pas qu'elle a eu l'ascendant sur lui pendant quelques séances de baise improvisée. Elle ne dira pas non plus qu'il a aimé ça. Ca restera entre eux. Comme d'autres petites choses.
Comme le fait qu'il préfère qu'elle l'appelle Arnbjörn désormais. Ou qu'il aime autant qu'elle les câlins d'après coït. Qu'il ne peut plus s'endormir sans elle à ses côtés, à humer le parfum de ses cheveux ou à l'enserrer par la taille. Qu'il apprécie un peu trop sa compagnie et de pouvoir l'embrasser comme bon lui semble. Mais ça, ce sont soit des suppositions soit des vérités qu'Elsa n'a pas réellement remarqué encore. Mais ça viendra. En son temps. S'il le lui permet.

En attendant, ils sont face aux miroirs de la salle de sport du tatoué. Se frottant l'un contre l'autre, s'excitant comme ils savent si bien le faire tous les deux.
Et enfin, il s'enfonce en elle. Position qu'ils adorent tous les deux mais qu'ils n'ont pas fait depuis un moment maintenant. Et oui, elle aime ça. Autant que lui certainement. Et il le sait.
Il sait qu'elle jouit plus fort quand il la sodomise. Que ça la met en transe. Qu'elle crie de façon incontrôlée. Raison pour laquelle, certainement, ils ne l'ont pas fait depuis trop longtemps.
Elle en a déjà le souffle coupé alors qu'il s'enfonce en elle. Mais c'est pire encore quand il vient taquiner son clitoris. Elle le regarde alors qu'il se redresse et sourit avant d'accompagner les mouvements de bassin qui s'intensifie crescendo. Lentement mais sûrement. "Putaiiin... Arnbjööööörn...hummmmm..." C'est bon. Trop bon. Et ça lui a manqué cette sensation.
Le voir dans le miroir l'excite encore plus la blonde et elle s'empale maintenant d'elle-même, un peu plus fort sur cette queue qui s'enfonce dans son cul sans ménagement maintenant. Elle gémit. De plus en plus fort. Elle commence déjà à trembler. Faiblement mais quand même ! La sodomie a cet effet dingue sur elle... A moins que ce ne soit Vice. Ou peut-être les deux combinés...

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Elsa & Vice

Il affiche un petit sourire le Vice, à la réponse de Elsa. Elle "peut comprendre" qu'il n'ait aucune envie de changer de corps. Pas même un peu.  Surtout pas lui qui fait tout ce qu'il peut pour garder cette apparence presque trop soignée. Avant de plaire aux autres, il veut commencer par se plaire à lui même. Il estime que c'est la base. Et le plus important de tout. C'est sans doute pour ce genre de raison qu'il trouve Elsa tellement sexy sans qu'elle n'ait à en faire des caisses. Parce qu'elle le dégage et que ça la rend d'autant plus séduisante dans son genre. A vrai dire, il y a de plus en plus de trucs qu'il trouve très attirant chez elle. Jusqu'à son odeur. Sans parler parfum ou gel douche. Simplement l'odeur de sa peau.  Et le mélange de tout ça. Un tout qui la forme elle. Un tout qui lui plait vraiment. Comme bien d'autres choses. Il aime sacrément le son de sa voix. Surtout quand elle prend son pied lors de leurs étreintes. Ses cris et couinements de plaisir sont toujours de sacrés coups de fouet qui accélèrent la montée en puissance de son plaisir à lui.

Et toutes ces sensations sont plus dingues encore quand il se perd entre ses fesses rondes. Ils sont tous les deux sur la même longueur d'ondes lorsqu'il s'agit de sodomie. Ils se sont bien trouvés à ce niveau là et ne peuvent donc que se donner toujours plus fort l'un à l'autre. Elsa tremble dès les premières pénétrations. De quoi l'inciter à poursuivre sans la moindre hésitation. Même s'il ajoute la caresse de ses doigts sur son clitoris, pour amplifier le plaisir.  Les pénétrations sont de moins en moins compliquées à mesure que son cul s'ouvre à son passage répété. Il peut donc sensiblement accélérer la cadence et ne s'en prive vraiment pas. Il n'en faut d'ailleurs pas plus pour arracher de vives plaintes de plaisir à la jeune femme. Qui n'a plus aucune raison de se retenir à présent. Et qui, du coup, s'en donne à coeur joie. Et par dessus le marché, elle ne tarde pas à joindre ses mouvements aux siens. Toujours les mains en appuie sur le miroir et le cul relevé, elle le remue vivement pour s'empaler d'elle même sur la queue bien en place en elle. Bien enfoncée entre ses fesses qui rebondissent et claquent de plus en plus fort contre le corps du mâle.

La main du tatoué qui n'est pas sur son bas ventre pour caresser son clitoris, vient se poser sur l'une des épaules de la jeune femme. Histoire d'avoir une prise ferme et dure sur son corps. Lui, le mâle dominant qui prend son pied à la défoncer aussi fermement et aussi fort que ça. Qui la sodomise sans la moindre douceur. Pour leur plus grand plaisir à tous les deux, c'est assez évident. Et qui continue encore et encore sur cette belle lancée. Incapable de s'arrêter tant qu'ils n'auront pas jouit tous les deux de toute façon. De nouveau, le corps féminin est pris de tremblement. Et cette fois ci, c'est loin de laisser froid le tatoué. Qui ne tarde pas à jurer. Tantôt à travers ses dents serrées, tantôt bien plus fort. Il exprime la montée en puissance du plaisir. Ca grimpe vite et fort et il ne fait rien pour retenir l'orgasme qui finit par pointer le bout de son nez. Au contraire, ça ne le pousse qu'à s'acharner plus encore sur le cul qui encaisse chaque coup de reins rageur. Qu'il peut malgré tout sentir se resserrer autour de lui alors que pour Elsa aussi, l'orgasme est en train de pointer le bout de son nez. C'est donc sans chercher à se retenir une seule seconde, que Vice se laisse porter par la jouissance libératrice. En se répandant en elle dans un ultime râle de plaisir et à grands renforts de coups de reins plus rares mais plus secs. Qui le font heurter un peu plus violemment le corps féminin qu'il maintient en place de ses larges mains.

Il est vrai qu'à le regarder comme ça, on ne pourrait croire qu'il met un point tout particulier à entretenir son corps. Et pourtant, c'est bel et bien le cas. Vice le tatoué, chanteur et leader du groupe Fakir qui passe son temps à enchainer les conquêtes d'un soir, à boire et à fumer... Typiquement le genre de mec dont on pense qu'il se moque pas mal de son corps, de l'entretenir par le biais du sport ou de la muscu. Et non. Tout le contraire. Elsa est bien loin de s'en plaindre ceci dit puisqu'elle en profite largement de ce corps qu'elle adore. Elsa a la chance de ne pas prendre un gramme, peu importe ce qu'elle fait ou ce qu'elle mange. Mais il faut avouer qu'un peu de sport ne pourrait pas lui faire de mal. Hm. Le sexe, c'est du sport non ? On va dire oui. Parce que ça l'arrange la blonde. Parce qu'elle n'a jamais été super sportive non plus. Et tant qu'elle plait à Vice, ça lui va. Oui, à lui et rien qu'à lui. Pour le moment en tout cas. Pour le temps que ça dure. Elle aime tellement coucher avec lui. Sentir son odeur, la chaleur de sa peau, la force qu'il met dans leurs étreintes quand ce n'est pas un peu de douceur. Elle aime tout chez lui. De plus en plus. Et s'en passer va s'annoncer très compliqué, c'est une évidence.

Raison pour laquelle ils s'en donnent une nouvelle fois à coeur joie dans cette étreinte bestiale. Sodomie qui s'est faite rare ces derniers temps. Pourtant, c'est une position qu'ils affectionnent particulièrement. Elsa adore. Elle prend son pied comme jamais quand il immisce sa queue entre ses fesses.
Mais là, comme ça fait un moment, le passage est un peu plus délicat. Et elle le remercie silencieusement de laisser le temps à sa petite étoile de s'habituer de nouveau à sa queue. Progressivement, ça devient bon. Et c'est même encore meilleur quand il ajoute ses doigts qui se posent sur le clitoris de la blonde. Déjà, elle réagit plus vivement. Et Vice accélère déjà la cadence. Sa queue entre et sort plus fort, plus rapidement. Et Elsa gémit plus fort aussi, accompagnant les mouvements du tatoué et s'empalant d'elle-même. Mains en appui sur le miroir, elle regarde le reflet de Vice et se mord la lèvre inférieure entre deux plaintes de plaisir. C'est si bon de le sentir ainsi. Si bon...
De son côté, Vice poursuit les caresses sur le clitoris d'Elsa. Il la tue... de plaisir. Il ne doit pas se rendre compte à quel point il la rend dingue. Par chacun de ses gestes, de ses mots, de ses grognements ou même dans son attitude ou son regard.

Position du dominant pour lui, de la soumise pour elle. Mais clairement, c'est ce qu'ils préfèrent. Même si elle aime avoir la position de force de temps en temps. Elle adore quand il la domine de cette façon. Et Vice s'en donne à coeur joie. Encore et encore. Fort. Rapidement. Sèchement. Brutalement.
Et Elsa gémit, crie et s'empale de plus en plus fort. Les tremblements reviennent, légère crispation aussi. Signe qu'elle ne va pas tarder à jouir et Vice le sait. Il la connait maintenant depuis le temps.
Il accélère encore. Y va plus fort. Et Elsa sait qu'il la rejoint sur le chemin du plaisir ultime. Et bientôt, ils jouissent ensemble. Vice, les dents serrées et quelques jurons qui s'échappent. Elsa qui crie à ne plus en avoir de voix et tremble de tout son être.
Quelques va-et-vient bien plus lents sont ensuite donnés, le temps qu'ils reprennent chacun leur souffle. Elsa qui se redresse et vient coller son dos au torse du tatoué avant de le regarder en souriant à travers le miroir. Dieu ce qu'il est beau ce mec... Et elle sait qu'elle ne pourra plus jamais se passer de lui. En tout cas, s'ils venaient à se "séparer", ce ne serait pas du fait de la blonde, c'est une évidence.

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Elsa & Vice

Vice préfère ne même plus se demander pourquoi et comment ils en sont arrivés là tous les deux. Le fait est qu'ils prennent encore et toujours leur pied ensemble et que c'est à peu près tout ce qui importe. Ils n'ont aucune raison de se retenir. Ce serait même idiot de ne pas en profiter aussi longtemps que le désir entre eux tiendra la route de la sorte. Ils continuent donc de s'en donner à coeur joie tous les deux. Toujours plus vite, toujours plus fort. Et là qu'ils vont passer encore quelques jours, quelques semaines, rien que tous les deux dans sa maison, ils vont faire sauter un peu plus de limites encore. Les oublier toutes les unes après les autres même, pour ne répondre constamment qu'à l'envie de l'autre. Celle qui semble ne jamais s'éteindre. Elle se met même très difficilement en veille et même là, ça ne dure pas bien longtemps. Maintenant qu'ils ne sont plus dans la famille de Vice, ils peuvent d'autant plus s'en donner à coeur joie qu'ils ne sont vraiment que tous les deux. Et donc, parfaitement libres de se donner l'un à l'autre absolument n'importe où dans le "chalet" et faire autant de bruit qu'ils le souhaiteront. Plus la moindre retenue de ce côté là. Elsa peut de nouveau hurler à s'en briser les cordes vocales. Comme elle sait si bien le faire.

Surtout quand Vice se perd dans son cul et le lime avec une certaine rage. L'animal qui se déchaîne de nouveau très vite en elle et contre elle. Pour leur plus grand plaisir à tous les deux, c'est évident. Une fois son anus suffisamment dilaté pour le recevoir avec sa rage habituelle.  Les corps s'enflamment en un rien de temps. Se percutent de façon frénétique et violente. D'un côté comme de l'autre, vu la façon qu'a Elsa de remuer également de son côté. Elle qui s'empale furieusement sur la queue qui la pénètre à la perfection. Emboîtement parfait, encore et encore. A chaque va et vient. Et à chacun d'eux, c'est le plaisir qui grimpe d'un cran. L'orgasme qui pointe le bout de son nez et qui ne saurait tarder à imploser. Dans les deux corps. Eux qui jouissent toujours à l'unisson. Exactement ensemble ou avec à peine quelques secondes de différence. Cette fois ci, c'est un "perfect". Chacun avec leur façon d'exprimer leur orgasme, ils jouissent.  Cris, halètements, grognements, jurons. Les corps se tendent, collés l'un à l'autre, enfoncés l'un dans l'autre. Avant de se relâcher. Vice remue encore un peu. Bien plus lentement, bien sûr. Le temps que le tout redescende tranquillement.

Quand il cesse totalement de bouger, il ne peut que revenir se coller tout à fait à elle. En réponse à son mouvement pour en faire de même. Son dos contre le torse tatoué. Et les bras de celui ci qui se referment nonchalamment autour de sa taille. Les regards se croisent dans le reflet que leur renvoie le miroir et il ne peut s'empêcher d'avoir un semblant de sourire en coin le Vice. En réponse, sans doute, au sourire qu'elle même affiche. Les regards ne se décrochent pas vraiment quand il se penche pour venir mordiller sa mâchoire, non loin de l'oreille. Etincelle de provocation dans ses prunelles claires. On a encore beaucoup de pièces à visiter. Qu'il lui fait remarquer d'une voix chaude. Même s'il ne fait encore rien pour le moment, pour l'inciter à se décoller de lui pour rejoindre une autre pièce. Tout simplement parce qu'il n'a pas encore le courage de se détacher d'elle. Il est bien contre sa croupe et contre son dos, de la sorte. Il semble même avoir de plus en plus de mal, au fil du temps qui passe et des étreintes qui s'enchaînent, à s'éloigner d'elle.

Pourquoi c'est si bon ? Pourquoi elle en redemande encore et encore ? Pourquoi elle ne se lasse pas de lui alors qu'avec les autres, c'était le cas pourtant ? Pourquoi lui ? Pourquoi l'apprécier de plus en plus ? Tout un tas de questions qu'elle ne préfère même pas se poser en fait. Elle se laisse aller Elsa. Elle se laisse aller à ce plaisir. CES plaisirs simples et si bons. Chaque fois.
Peu importe où ils sont. Peu importe les positions choisies ou les moments. Tout est toujours parfait.
Elle s'attache à lui. Bien trop peut-être. Et la chute n'en sera que plus douloureuse. Elle en a conscience, un peu, ceci dit. Mais dès qu'elle y pense, elle préfère balayer ces pensées d'un revers de main. Chaque chose en son temps. L'important, pour le moment, est de profiter de lui. De chacun des moments passés ensemble.
Comme ce moment qu'ils partagent une nouvelle fois. Seuls. Première fois depuis plusieurs jours et ils rattrapent le temps perdu. Largement ! Ils enchainent les baises, les lieux, les positions. Et jamais le plaisir n'est feint. Jamais l'envie de l'autre ne se fait moins forte. C'est même tout le contraire. Et c'est ça qui est bon.

Ensemble, ils jouissent via la position qu'ils préfèrent certainement faire tous les deux. Jurons, tensions, grognements et gémissements se font entendre à l'unisson. Divin... Encore une fois.
Ils restent encore collés l'un à l'autre malgré l'orgasme passé. Les corps restent soudés, collés. Elle aime tant ces moments partagés d'après coïts. Et là, elle adore voir leurs reflets dans le miroir qui leur fait face.
Elle frissonne et ferme les yeux un court instant quand il vient mordre sa mâchoire. Eh oui ! Le désir de ce tatoué est toujours présent. Malgré l'orgasme qui coule encore dans ses veines. "On va dans laquelle maintenant alors ?" lui répond-elle en souriant sans le lâcher des yeux.
Elle aimerait que ce qu'ils vivent là, en Suède, ne s'arrête jamais. Elle aimerait rester ici encore plusieurs mois. Oh bien sûr, elle sait que ce ne sera pas possible. Mais elle peut toujours le rêver non ?
Eux deux, à l'écart du reste du monde, profitant encore et encore d'étreintes bestiales et torrides. Dans chaque pièce de la maison. Plusieurs fois par jour. Voire même toute la journée. Ne se contentant que de baiser. Et de manger aussi un peu pour reprendre des forces entre deux.

A contre-coeur, elle se détache de l'étreinte qu'il a sur elle et pivote pour lui faire face.
Tendrement, elle l'embrasse et finit en lui mordillant la lèvre inférieure tout en ayant un oeil rieur. Puis, lentement, elle recule en prenant ses mains pour les diriger vers la sortie. La salle de sport, c'est fait ! Next ! Et ce fut cela toute la journée et une bonne partie de la nuit. Le clou ayant été quand elle a enfilé le perfecto offert par Vice sans rien en-dessous, bien évidemment.
A aucun moment, le désir ne s'est fait la malle. Bien au contraire. C'était presque chaque fois plus bestial. Chaque fois plus intense. Surtout avec le perfecto sur le dos.
Et bientôt, le jour du départ arriva...
Et Elsa ne savait que trop bien ce que cela pouvait signifier. Des adieux à cette famille géniale avant que ce ne soit avec lui. SON tatoué. SON Arnbjörn.
Le retour sur Budapest la laissait beaucoup songeuse. Déjà, parce qu'elle allait certainement recroiser l'autre taré et ça lui faisait peur. Et ensuite, parce qu'elle savait que Vice devait partir en tournée avec Fakir dès leur retour. La séparation est donc inévitable. Elle se force à croire que c'est mieux ainsi. Qu'au fond, il n'est qu'un plan cul. Le meilleur de sa vie mais un plan cul quand même. Elle se force à le croire alors que ce n'est pourtant pas le cas. Il est bien plus que ça, elle le sait.