"Sérieux ? Y'a jamais personne qui est venu ici ?" Oui, elle est étonnée de cette révélation. Elle pensait que, au moins les membres du groupe y auraient mis les pieds. Ou peut-être une nana de temps à autre, comme ça, pour passer le temps. Elle se doute que sa famille est déjà venue, ils ne sont pas loin. "Du coup je suis une privilégiée alors ?" Et oui, forcément, elle se la pète un peu. Tout le monde n'a pas le droit de franchir la porte de la maison perso du chanteur de Fakir. Elle, oui. Donc elle a tout à fait le droit de se la péter.
Elle se moque en disant qu'ils peuvent rester là tout un mois. Elle sait très bien que ce ne sera pas le cas. Le reste de leur séjour en Suède suffira. "Parfait ! J'adore cet endroit !" Et comme elle est sur sa lancée... "Tu penses que tu accepterai de me laisser revenir, un jour, toute seule ?" Autrement dit, elle passerait des vacances ici. Elle pourrait s'y faire. Aisément même ! Et puis en plus Katalin n'est pas loin si besoin.
Mais c'est sûrement encore tôt pour qu'il puisse répondre à cette question. Ils s'apprécient pour le moment et passent beaucoup de temps ensemble mais ce ne sera peut-être plus le cas d'ici quelques mois... trop d'incertitudes. Et Elsa en prend conscience à peine ces mots prononcés. C'est pourquoi si jamais Vice venait à refuser, elle le comprendrait parfaitement.

En tout cas, une chose est sûre : pendant le reste de leur séjour, il va y avoir du sexe. D'ailleurs, vaut mieux ne pas trop perdre de temps. Ils en ont assez perdus comme ça. Même si pendant la fin de leur séjour chez les parents de Vice, ils avaient de plus en plus de mal à se cacher aux yeux des autres.
Là, c'est carte libre. Ils peuvent tout ce qu'ils veulent et ils s'en donnent à coeur joie.
Les fringues sont rapidement enlevées et Vice se plante également rapidement en elle.
Tout ça est trop bon. Bien trop bon.
Des jours qu'elle attend ce moment, qu'il la prenne avec brutalité et sauvagerie.
Et bien entendu, elle se laisse faire Elsa. Elle encaisse les coups de reins forts, rapides et violents tout en criant à s'en époumoner. Ca aussi, ça la frustrait de ne pouvoir le faire comme elle en avait l'habitude.
Elle se cambre Elsa. Elle le laisse reprendre son rôle de dominant et gémit sous les coups de reins qu'il lui prodigue.
Elle en est déjà toute retournée alors qu'il raffermit sa prise sur elle et qu'il enfonce ses doigts dans la chair de ses fesses. Elle tremble déjà, légèrement.

Il la fait basculer ensuite plus en avant encore et elle obéit, comme toujours. Ses doigts agrippent et s'enfoncent dans le tissu de l'accoudoir et elle gémit/crie son plaisir qui arrive à grands pas. "HAaaaaaan... Putaiiiinn... Vice..." Oui, là, c'est Vice qui a pris le dessus. Pas Arnbjörn. Elle l'entend jurer en suédois et comme à chaque fois, ça la met dans tous ses états.
C'est ce qu'il lui manquait pour jouir à son tour parce qu'elle sent que pour lui c'est en train de se faire. Il se crispe contre elle et ses coups de reins se font moins forts.
C'est elle qui s'empale deux ou trois fois tout en se touchant le clitoris pour pouvoir hurler son plaisir.
Et puis, tout doucement, tous ses muscles se relâchent. Elle reste pourtant dans la même position. Elle ne bouge pas d'un cil. Seul un large sourire arpente son visage alors que son souffle est encore fort et rapide. Nul doute qu'ils ont auront à peine récupérés qu'ils remettront ça !

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Elsa & Vice

Il ricane quand Elsa réagit à sa soudaine confession. Il s'y attendait un peu à celle là. Alors ça ne l'étonne pas plus que ça. Mais ça a tout de même le don de l'amuser et il ne le cache pas. Ma famille et la personne qui vient faire le ménage, quand même. Autant dire pas grand monde en effet. Mais c'est parce que les quelques personnes desquelles il est proche, savent parfaitement que lorsqu'il est ici c'est justement par besoin et envie de se retirer un peu du reste du monde. Surtout maintenant que le groupe commence à vraiment bien se faire connaître et qu'il peine à se promener sans être reconnu. Principalement dans son pays natal, bien entendu. Et dans certains pays d'Europe. Disons que t'es une chanceuse. Privilégiée étant un mot qui semble sonner étrange à son oreille à lui. Même si c'est un peu le cas, en effet. Quelque chose du genre en tout cas. Elsa n'est pas comme les autres pour lui. Même s'il a énormément de mal à l'admettre, même pour lui même. Bien sûr, du moment que tu prends en compte les quelques règles de base comme le fait de ne pas faire venir n'importe qui. Et il hausse les épaules parce qu'il ne voit pas de raison de lui refuser ça.

Encore une fois, c'est bien parce qu'elle est différente pour lui. Même s'il a toujours autant de mal à admettre la chose. Ce qu'il reconnait plutôt facilement en revanche, c'est la tension sexuelle qui perdure entre eux. Et qui ne s'éteint toujours pas, malgré le temps qui passe et les folles étreintes qui s'enchaînent les unes après les autres. Encore et encore. Pour leur plus grand plaisir à tous les deux d'ailleurs, c'est un fait. Ils s'en donnent donc très vite de nouveau à coeur joie. Maintenant qu'ils sont là tous les deux chez lui, ils peuvent se lâcher complètement. Et ils le font. Entre les cris de plaisir de la jolie blonde et le son très clair du claquement des chairs qui se percutent encore et encore, ils sont carrément bruyants. Et c'est d'autant plus bon ! Il est si concentré sur elle, qu'il peut parfaitement sentir les tremblements désordonnés de son corps. Ce qui a, comme toujours, vraiment le don de l'exciter lui même un peu plus encore. Et plus ça va, plus l'animal prend le dessus. Maltraitant davantage les courbes féminines et se faisant plus implacable que jamais quand il la colle plus durement contre les coussins du canapé.

Finalement arrive l'orgasme. Pour lui dont les coups de reins s'espacent tout naturellement dans le temps. C'est compliqué de se concentrer sur les deux choses à la fois. Malgré tout, Elsa le rejoint assez vite. Il peut le sentir à sa façon de se serrer plus fort encore autour de lui et le deviner à ses plaintes de plaisir. Parce qu'il sait qu'elle ne simule pas. Normalement. Il cesse finalement de bouger et pose ses mains sur l'accoudoir, de part et d'autre de son corps. Le temps de retrouver son souffle et de calmer les battements de son coeur fou. Après quoi, seulement, il l'incite à se redresser pour refermer ses bras autour de sa taille, l'air de rien. Tu m'as appelé Vice. Qu'il fait innocemment remarquer. Le fait est qu'il s'est habitué à l'entendre l'appeler par son prénom. Et que ça lui plaît même davantage désormais. On visite avant ou après avoir baisé encore une fois ? Qu'il demande assez vite, presque comme s'il souhaitait changer de sujet pour ne pas avouer trop de choses.

"Quand même !" dit-elle en écho avant de rire légèrement. Elle se contente de sourire en coin ensuite quand il la rectifie en disant "chanceuse" plutôt que "privilégiée". Pour elle, c'est du pareil au même. Et ça regonfle un peu son égo à la blonde. Elle fait partie des rares personnes qui ont eu la chance de passer la porte de cette demeure. Et ouais, mine de rien, ça la touche. Ca la conforte un peu plus dans l'idée qu'elle est un peu plus qu'un plan cul ou une "pote". Ce qu'elle ne dira pas, bien évidemment.
Et comme elle se sent pousser un peu des ailes, elle lui demande si elle pourrait revenir seule ici. Quand l'envie lui prendrait. Pour passer des vacances. A sa réponse, elle arque un sourcil et lève les yeux au ciel. "Bah évidemment ! Et puis de toute façon, la seule personne que je pourrai ramener ici c'est toi câlinours !" Et là, elle ne peut s'empêcher d'éclater de rire. Parce qu'elle vient de ressortir ce surnom un peu idiot mais qu'elle aime bien. Juste de quoi détendre un peu l'ambiance même s'il n'y a aucune tension.

Ou alors, juste une tension sexuelle qui est quasi constante chez eux. D'ailleurs, ils ne perdent pas de temps pour se laisser aller et reprendre leurs bonnes vieilles habitudes. S'envoyer en l'air durement. Baiser à s'en faire mal ou à avoir des courbatures. Crier à ne plus avoir de voix.
C'est si bon de se retrouver de cette façon. Même si Elsa adore les moments plus tendres qu'ils ont pu partager ces derniers jours. Ils ne peuvent s'empêcher d'y aller plus fort là. Parce que c'est eux. Parce que c'est bon.
Elle ne fait qu'encaisser avec plaisir les coups de reins de plus en plus violents qu'il lui donne. Il se fait dur avec elle mais elle ne s'en rend même pas compte tant le plaisir l'habite.
D'ailleurs, l'orgasme ne tarde pas à arriver. Enorme orgasme. Et elle crie Elsa. Elle crie fort et se contracte autour de lui, de sa queue. Elle tremble de tout son être signe que l'orgasme a été fort et bon. Et Vice doit bien le savoir maintenant. Il doit commencer à la connaitre par coeur de ce côté-là.

Le temps de reprendre un peu leur souffle et elle se laisse redresser, fermant les yeux après avoir dégagé ses cheveux sur le côté pour sentir le souffle de Vice contre sa peau. Elle pose son bras sur le sien et prend le temps de revenir sur terre. Doucement mais sûrement.
"Et ça t'embête ?" Elle l'a appelé Vice parce que c'est avec Vice qu'elle a baisé là. Pas avec Arnbjörn. Et en même temps, elle n'a pas vraiment fait attention. "Faut pas que je m'habitue trop à t'appeler par ton vrai prénom. Même si j'adore le faire..." Non, il ne faut pas. Peu de personnes le connaissent et Elsa est plutôt du genre gaffeuse. Alors, autant éviter les bourdes le plus possible.
Mais il est déjà parti sur un autre sujet de conversation. Ce qui ne choque pas Elsa. "Et si on faisait les deux en même temps ...?" Elle se dégage alors lentement de son étreinte pour se retourner et lui faire face. Là, elle entoure le cou du tatoué de ses bras et vient l'embrasser délicatement. "Si on faisait la visite sexuelle de toutes les pièces..." Ils ne feront peut-être pas toutes les pièces aujourd'hui mais l'idée est plutôt tentante non ?

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Elsa & Vice

Il a bien du mal à ne pas sourire, comme un idiot, quand elle même exprime une certaine joie. C'est plus fort que lui. Elle continue de lui faire ce genre d'effet. Et plus ça va, pire c'est. Ou plutôt "plus intense" c'est. Ils sont de plus en plus proches tous les deux, c'est un fait. A tel point, que Elsa ne peut s'empêcher de l'appeler encore une fois "Câlinours". Ce qui le font encore une fois ronchonner et lever les yeux au ciel. Encore ce surnom ... Qu'il ne peut que marmonner, sur un ton qui se veut presque boudeur. Dans les faits, ça ne le dérange pas plus que ça. Encore une fois ou deux et il finira même par l'aimer ce surnom pourtant très con dans le genre. Parce que ça vient d'elle, parce qu'ils sont justement de plus en plus proches l'un de l'autre et parce qu'elle n'est pas assez idiote pour l'appeler de la sorte devant qui que ce soit. Normalement ... Mais même si ça ne le dérange pas tant que ça, il ne peut évidemment pas le dire aussi simplement. Il ne peut pas juste l'admettre. Finalement, les surnoms tendres sont vite oubliés quand ils laissent plutôt parler leur désir commun. Désir l'un de l'autre. Faim des corps. Besoin de s'appartenir.

Etreinte rapide, brutale et soudaine. Orgasmes dévastateurs qui laissent deux corps pantelants. A moitié amorphes l'un contre l'autre. Même lorsqu'il l'incite à se redresser pour enrouler vaguement ses bras autour d'elle. Surtout, histoire de coller son corps au sien pour reprendre tout à fait ses esprits. Aussi innocemment que possible, il lui fait remarquer comment elle l'a appelé. Ce n'est qu'à sa question, qu'il comprend réellement que oui, ça l'a embêté. Ca ne devrait pourtant pas être le cas. Il devrait être satisfait qu'elle ne soit pas trop habituée à l'appeler par son vrai prénom. Mais c'est plus fort que lui. Maintenant qu'ils sont plus intimes que jamais tous les deux, il ressent presque le besoin qu'elle le voit comme lui, le vrai lui, et non plus comme le chanteur. Le musicien. La bête de scène. Pourtant je préfère quand tu m'appelles par mon prénom. Qu'il ne peut s'empêcher de lui confier, finalement. Alors qu'elle a tout l'air d'être prête à revenir à son pseudo de chanteur. Il craint trop qu'elle revienne à ça pour de bon. Alors autant lui avouer tout de suite qu'il préfère quand elle l'appelle Arnbjörn.

Elsa pivote pour enrouler ses bras autour de son cou. En retour, il enroule les siens autour de sa taille et la serre juste assez fort pour que sa poitrine vienne s'écraser contre son torse et son bassin contre le sien. Il affiche un petit sourire. Tout ce qu'il y a de plus ravi à l'idée qu'elle émet à voix haute. Voilà qui est très tentant. Il souffle tout bas. Avant de lui voler un baiser tout ce qu'il y a de plus tendre et de plus doux. Du bout des lèvres. Il aime tout ça. Beaucoup trop. C'est plus fort que lui. Et pour l'instant, il ne parvient tout simplement pas à mettre ça de côté. L'air de rien, il referme ses mains autour de sa taille et la soulève brusquement de terre pour qu'elle enroule ses jambes autour de ses hanches. Histoire de la porter de la sorte jusqu'à la prochaine pièce. Celle qui sera témoin de leur nouvelle étreinte. Bibliothèque ? Salle de sport ? Autant choisir une pièce dans laquelle on ne sera pas souvent tous les deux ... La salle de cinéma, ils pourraient bien s'y installer ensemble un de ces quatre. Alors autant la garder pour cette occasion. Il y a peu de chance pour qu'ils parviennent à baiser autant de fois qu'il y a de pièces dans la baraque, en une seule fois.

"Ouais... Mais je l'aime bien moi ce surnom..." se permet-elle d'ajouter de façon toujours aussi taquine. Effectivement, elle trouve qu'il lui va bien ce surnom. Et même, il lui va de mieux en mieux. Son côté ours grognon et son côté nounours tout doux empli de romantisme et de tendresse. Il est vraiment parfait. Le surnom autant que celui qui le porte d'ailleurs.
Surnom qu'elle ne se permettra pas de lui donner devant tout le monde ceci dit. Donc autant en profiter quand ils sont tous les deux. Et surtout pendant qu'il le lui permet. Encore une fois, rien ne dit que tout restera pareil une fois qu'ils seront de retour sur Budapest.
Ils n'en sont pas encore là, certes, mais l'échéance arrive. Bientôt. Trop vite même.
Mais en attendant le moment fatidique, ils profitent toujours autant l'un de l'autre. Ils profitent même encore plus maintenant qu'ils sont vraiment que tous les deux. Rien que tous les deux.
Baiser ensemble comme ils le faisaient avant d'arriver ici en Suède. Se donner à l'autre entièrement, crier, gémir et jouir. Fort. Très fort. A en percer les tympans de l'autre.

Et l'orgasme est une nouvelle fois incroyable et dévastateur. Il les laisse pantelants et haletants. Même quand Vice la fait se redresser, Elsa a encore du mal à respirer correctement. Ca revient, doucement, lentement... La remarque qu'il lui dit la fait sourire. Elle ne s'en est pas vraiment rendu compte en fait. Lui si, apparemment. Et ça semble l'embêter. "T'appeler par ton vrai prénom ne m'embête pas mais... j'ai le droit de le dire devant tout le monde ?" Question qui peut paraitre bête mais qu'elle préfère poser quand même. Après tout, s'il a choisi un pseudo c'était pour pas que tout le monde connaisse son vrai prénom.
Ce qu'elle ne dira pas, c'est qu'elle est ravie qu'il lui dise cela. Ca prouve une nouvelle fois qu'il s'est attaché à elle. Ca la conforte dans l'idée qu'elle ne se fait pas des films toute seule non plus. Il l'a laissé entrer dans sa vie intime et il n'a pas forcément envie qu'elle en sorte comme ça. D'un autre côté, s'ils ne sont plus amenés à se voir par la suite, il ne prend pas trop de risque non plus en l'autorisant à l'appeler Arnbjörn.

Elsa pivote ensuite pour enrouler ses bras autour du cou du tatoué. Sentir la chaleur de son corps, c'est bien et bon mais sentir ses lèvres contre les siennes, c'est mieux. C'est un petit plus qu'elle aime avoir.
Et s'il demande ce qu'elle préfère entre baiser et visiter les lieux, Elsa a fait son choix. Ce sera les deux ! Et en même temps ! Autant joindre l'utile à l'agréable...
Il lui donne ensuite un baiser incroyablement doux. Elle aime ce genre de moments entre eux Elsa. De plus en plus. Elle en devient accroc. Et le sourire qu'elle affiche la trahit forcément.
Quand il la soulève, elle enroule automatiquement ses jambes autour de sa taille et revient l'embrasser avec douceur en souriant. "La salle de sport... Et après la bibliothèque..." Elle ne connait pas toutes les pièces que peut contenir la maison mais elle lui fait confiance sur la suite. "Mais tu sais, je viendrai peut-être te mater pendant que tu fais ton sport." Ce qui veut dire qu'ils se retrouveront dans la même pièce. Mais peu importe les détails. Surtout qu'il est probable que Vice ne fasse pas de sport pendant les prochains jours... Ou pas autant qu'il le souhaiterait en tout cas.

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Elsa & Vice

Il ne peut s'empêcher d'afficher une petite moue quand Elsa affirme aimer ce petit surnom qu'elle se permet encore d'utiliser pour l'appeler.  Mais contre toute attente, il hausse les épaules. Tant que tu n't'amuses pas à l'utiliser devant tout le monde ... Qu'il conclut finalement à ce sujet là. Il n'a rien contre, dans les faits. Même s'il n'est pas du tout habitué à ce qu'une nana se permette de lui donner d'adorables petits surnoms. Et quand une se permet de le faire, il a vite fait de son côté de la remettre à sa place. Mais Elsa a de plus en plus de droits, il ne peut le nier. Tout simplement parce que, le temps passant, il s'attache vraiment à elle. Il l'apprécie de plus en plus et leur relation prend une tournure qu'il ne saurait empêcher. Qu'il n'a même pas envie d'essayer de retenir. Parce que c'est bon. Parce que ça fait énormément de bien. Même à un loup solitaire comme lui. Un loup solitaire qui continue de s'ouvrir à elle, d'une certaine façon. Et qui lui offre également de plus en plus de permissions. Lui faisant même comprendre qu'il préfère qu'elle l'appelle par son vrai prénom.

Ca dépend de la situation. Sur scène ou au cours d'une soirée d'après concert, c'est Vice. Dans les coulisses ou dans la vie de tous les jours, c'est Arnbjörn. Pas pour tout le monde non plus, pour autant. Les femmes avec lesquelles ils couchent, l'appellent toutes par son pseudo. Pour la simple et bonne raison qu'elles ne sont que de passage et qu'il n'y a aucune raison pour laquelle elles auraient le droit de connaître son vrai prénom. Soit, peu de gens ont le droit de l'appeler ainsi. Sa famille et les membres de son groupe. Ce qui est déjà pas mal selon lui.  Rien que les gens de qui il se sent véritablement proche. Et clairement à ce niveau là, il n'y a pas grand monde. Et tant pis si Elsa réalise peu à peu l'importance qu'elle a pris pour lui. Ils pensent déjà de nouveau à baiser tous les deux. Et Vice ne tarde pas à l'attraper par les hanches pour la soulever de terre et la ramener contre lui. Tout naturellement, elle enroule ses jambes autour de sa taille et il finit par loger ses mains sur ses fesses. Parce qu'il adore les lui empoigner, c'est une évidence parmi tant d'autres.

C'est même étonnant que tu ne m'ais jamais vu pendant mon sport. Parce qu'il en fait pas mal. C'est sans doute qu'elle même n'est pas vraiment fan de sport, qu'elle ne s'est jamais retrouvée en sa compagnie quand il en faisait. Et que par conséquent, elle n'a jamais eut l'occasion de le mater dans cette situation là. Alors même qu'elle ne se prive pas du tout quand il en revient, brillant de sueur. Quelque chose me dit que t'auras pas la patience d'attendre que j'ai terminé ... Pour lui sauter dessus, bien entendu. Puisque c'est ce qu'ils adorent le plus faire, très clairement. Ils arrivent justement dans la fameuse salle de sport. Parfaitement équipée, cela va s'en dire. Avec des baies vitrées d'un côté et d'immenses miroirs de l'autre. De quoi rendre la pièce hyper lumineuse. C'est au milieu de ladite pièce qu'il la repose à terre. Un baiser volé et il la fait pivoter pour coller son dos à son torse. Tandis qu'ils font maintenant face aux miroirs. Les larges mains tatouées filent à la conquête de ses courbes. Caressant ses hanches, son ventre plat et échouent finalement sur ses seins. Le tout, sans quitter du regard le reflet qu'ils renvoient. Je pensais pas que ces miroirs pourraient un jour servir de cette façon...

"Bah évidemment !" dit-elle en haussant les épaules. Pour elle, ça semble logique de ne pas le faire en public. Seulement quand ils seront tous les deux, le temps que ça durera. Et elle va en profiter la blonde vu que ce surnom ne semble pas le gêner plus que ça apparemment.
Ce qui semble le déranger, par contre, c'est qu'elle recommence à l'appeler "Vice". Et ça, elle ne s'en serait jamais douté. Elle aurait même plutôt misé sur le contraire. Elle aurait été prête à parier tout et n'importe quoi sur le fait qu'il aurait préféré qu'elle l'appelle Vice et non Arnbjörn. Comme quoi... Encore une fois, il la surprend. Et ce n'est pas en mal.
Il lui dit préférer son vrai prénom mais elle préfère avoir confirmation, quand même. Elle se doute bien qu'elle ne pourra le prononcer devant tout le monde, en toutes circonstances. Et effectivement, il lui confirme les doutes qu'elle avait à ce sujet. En public, c'est Vice. En privé, c'est Arnbjörn. "Ok. Pas de soucis." Voilà qui est réglé. Pas besoin de s'éterniser sur ce sujet même si ça fait prendre conscience à Elsa qu'elle a une place un peu plus importante dans la vie du tatoué, chaque jour qui passe.

Bien vite, l'envie de l'autre revient. Ca semble normal. Comme ils en ont eu toujours l'habitude. Il la porte, elle enroule ses jambes autour de lui, il plaque ses mains sur ses fesses. Pour l'instant, c'est encore sage. Très sage. Ils parlent, s'embrassent délicatement pendant que Vice les emmène vers la salle de sport vu que c'est le choix d'Elsa. "C'est vrai que j'aurai pu aller te voir les fois où tu en as fais." Mais ça ne s'est jamais fait. Et c'est peut-être mieux en fait. D'ailleurs, il met le doigt dessus. "C'est exactement ça. Donc finalement c'est peut-être mieux que je vienne pas te regarder..." S'il souhaite réellement faire du sport. Ceci dit, rien n'empêche la blonde d'arriver en fin de séance. De quoi se mettre l'eau à la bouche. Un Vice tout luisant. En plein effort. Oh my god... Rien que d'y penser, ça a le don de lui réchauffer le bas du ventre.
Et ça tombe bien, vu ce qu'ils sont sur le point de faire. Baiser. Encore une fois. Changement de lieu. Pièce atypique par rapport à celles qu'ils ont connu ensemble mais ça n'en reste pas moins excitant.

D'ailleurs, quand il la pose au sol et la fait se retourner, elle ne peut s'empêcher de sourire tout en regardant leurs deux reflets dans les immenses miroirs face à eux. D'habitude, elle ne sent que ses mains la caresser. Là, elle peut aussi voir en temps réel ce qu'il lui fait. Les réactions de son visage. Son corps magnifique bien que caché partiellement par celui de la blonde. Elle frissonne déjà d'excitation la blonde. Ses tétons pointent sous les caresses légères qu'il lui fait et elle remonte son bras derrière la nuque du tatoué. Elle sourit à sa pensée. "C'est très excitant je trouve..." Se voir, le voir, les voir ensemble.
Elle ne quitte pas des yeux leurs reflets, dandinant légèrement son corps de gauche à droite et guidant la main du tatoué vers son intimité. Les premières caresses lui font mordre sa lèvre inférieure et ça l'excite encore plus de se voir dans le miroir. Vice est excitant ainsi. Le regard sombre qu'il pose sur elle à travers le miroir signe de la grande excitation qui l'habite progressivement. Et Elsa qui en joue, toujours. Elsa qui danse contre lui. Elsa qui gémit faiblement déjà. Elsa qui l'incite à poursuivre encore et encore. A se montrer doux et brutal en même temps. A les faire voyager encore une fois vers le chemin de l'orgasme dévastateur.

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Elsa & Vice

Il a presque envie de rire devant la réponse qu'elle lui offre. Ou plutôt le ton avec lequel elle la lui donne. Pour elle, c'est effectivement une évidence. Pour d'autres, ç'aurait pu être source de questionnements et d'hésitations. Mais ce n'est apparemment pas le cas du tout alors inutile d'en parler plus longtemps. Il pourrait vraiment lui en vouloir si elle le laissait échapper devant qui que ce soit. Parce qu'il n'assumerait que très moyennement un tel surnom devant autrui. Un peu sur le même sujet, il avoue préférer quand elle l'appelle par son vrai prénom, plutôt que par son nom de scène. Pour la simple et bonne raison qu'ils se sont grandement rapprochés l'un de l'autre depuis le temps et que, du coup, étant plus intimes il préfère qu'elle le voit comme Arnbjörn plutôt que comme Vice. Même s'ils sont une seule et même personne et qu'il ne souffre pas encore d'un dédoublement de la personnalité. Ça n'empêche pas que le lien qu'ils ont fait qu'il préfère un prénom plutôt qu'un pseudo, de sa bouche.  Ce qu'elle a tout l'air d'accepter. Sans poser la moindre question qui aurait certainement eut le don de le foutre mal à l'aise. Sans s'éterniser non plus. Elle est d'accord, un point c'est tout.

Ils cessent peu à peu de parler pour se concentrer plutôt sur l'envie de l'autre qui est en train de leur revenir en pleine tronche. Ou plutôt, au creux des reins d'un côté comme de l'autre. Envie brûlante et dévorante. Corps qui menacent de se consumer à tout moment. Raison pour laquelle Vice a vite fait d'attraper et coincer son corps contre le sien pour pouvoir la porter jusqu'à la pièce suivante. Un peu de visite, beaucoup de sexe. Dans la salle de sport dans un premier temps. Hm. Ce serait dommage que je ne puisse plus faire de sport à cause de toi. Il perdrait carrément en sex appeal si, faute de sport, il perdait du muscle et prenait de la graisse. Même s'il y a encore pas mal de marge avant qu'une telle chose n'arrive. Normalement, ça ne devrait certainement pas se faire en  un mois seulement ça. Essaie plutôt de venir quand je serai sur le point de terminer. Avec un peu de chance, j'aurais même pas la force de te baiser moi même ... Sous entendu : elle pourra s'en donner à coeur joie de son côté. Lui qui la laisse très peu souvent aux commandes de leurs étreintes.

Enfin, il la repose à terre et la fait pivoter pour qu'elle puisse se voir et le voir lui dans son dos, dans le miroir en face d'eux. Le corps plus haut, plus large et plus encré, qui se trouve derrière elle. Les mains qui se perdent sur son corps pour des caresses encore légères. Il sourit un peu quand il peut constater le plaisir qu'elle prend à se découvrir de cette façon. Sous cet angle là. Et il la laisse guider sa main tout droit du côté de son intimité. Ses doigts qui échouent tout de suite sur la chatte chaude et moite. Tandis qu'Elsa, fait sa Elsa. A se frotter tout contre lui de la façon la plus sensuelle qui soit. A gémir également, histoire de bien titiller les nerfs du tatoué qui finit par répondre par un bref grognement. Il la pousse un peu en direction du miroir pour qu'elle prenne appuie de ses mains dessus et tende davantage le cul vers lui. Les doigts filent maintenant d'une fente à l'autre pour préparer l'anus qu'il n'a pas possédé depuis bien trop longtemps à son goût. L'air de rien, il lui offre un regard plus sombre que jamais, via le miroir, quand son gland prend le relais en venant titiller la petite étoile plissée qui ne tarde pas à s'ouvrir sur son passage. Ou plutôt, qu'il ouvre "de force" en s'y enfonçant tranquillement. Toujours sans la quitter des yeux.

Ne jamais se prendre la tête pour des futilités. Certes, ça lui arrive à la blonde, faut pas déconner mais depuis qu'elle traine un peu plus avec Vice, elle arrive à ne plus se prendre la tête pour des choses inutiles. La plupart du temps. Et là, il est évident que c'est une chose presque futile et aussi logique. Ne pas dire ce surnom devant tout le monde. Evidemment...!!! Ca tombe sous le sens. Surtout quand on connait Vice. Déjà qu'il l'autorise à l'appeler comme ça dans l'intimité, faudrait voir à pas trop pousser quand même.
Quant à son vrai prénom, c'est presque pareil avec une légère pointe de nuances quand même. Ils sont relativement maintenant assez proches pour qu'il veuille qu'elle l'appelle Arnbjörn. Et mine de rien, ça lui fait un petit truc à Elsa. Ca la touche, oui. Elle qui est déjà trop accroc à ce rockeur solitaire au coeur de pierre. Bien que le coeur de pierre devienne un peu plus guimauve avec elle ces derniers temps. Mais elle ne va clairement pas s'en plaindre puisqu'il en va de même pour elle.

"Oh mais tu en fera du sport... Je te laisserai faire..." Parce qu'elle sait que son physique à son importance. Pour lui. Pour ses fans. Et pour elle, aussi, un peu. "Mais tu sais... même si tu étais moins musclé, j'aimerai toujours autant coucher avec toi..." Aveu fait sans aucune gêne. Aveu sorti comme ça. Parce qu'il est sincère. Faudrait pas non plus qu'il aille dans l'excès niveau poids mais elle sait que ça n'arrivera pas. De toute façon, comme elle vient de le lui dire, ça ne la gênerait pas. Certainement parce qu'elle est arrivée à un stade d'intimité avec lui que peu importe ce qu'il devient physiquement, elle aimera toujours autant passer du temps avec lui. Que ce soit pour le sexe. Ou pour un peu plus. Comme les jours qu'ils viennent de passer ensemble et qui resteront certainement gravés à jamais dans sa mémoire.
Ce qu'il lui dit juste après la fait éclater de rire. "Intéressant ! Ca veut dire que j'pourrai faire ce que je veux de ton corps alors..." Raison de plus pour venir juste à la fin. Le voir en pleine action et en sueur et après se faire plaisir à le chevaucher. C'est certain, elle viendra à sa prochaine séance de sport !

Se voir dans les miroirs qui leur font face à quelque chose d'excitant. Elle n'a jamais fait ça mais il n'est jamais trop tard pour tester de nouvelles choses. Vice est beau, musclé, et la surplombe légèrement de par sa musculature. Elle voit ses mains parcourir son corps fin et nu. Elle voit et sent son corps réagir déjà à ce qu'il lui fait.
Elle guide sa main vers son intimité déjà humide et elle se mord la lèvre tout en se tortillant contre lui. Déjà, sa queue gonfle. Lentement mais sûrement. Elle gémit Elsa. Elle gémit et se tortille, frotte son cul contre sa queue.
L'animal grogne et la pousse en avant, pour qu'elle prenne appui sur les miroirs. Elle le regarde, scrute chacun de ses gestes et de ses expressions. Elle aime le regarde. Il est beau. En toutes circonstances. Et encore plus quand il lui fait l'amour. (ou la baise plutôt).
Aussitôt, Elsa se cambre et bien sûr, elle réagit vivement aux caresses qu'il lui prodigue. Doigts qui vont de sa chatte à son anus. Elle comprend par le regard qu'il lui renvoie ce qu'il veut et ça l'excite un peu plus la blonde. "Hmmm... Ca fait longtemps..." souffle-t-elle en tendant encore plus son cul vers lui. Le passage est un peu difficile. Ca fait longtemps, comme elle vient de le dire.
Mais ils savent tous les deux le plaisir immense qu'ils vont en retirer. D'ailleurs, à peine est-il entré qu'elle frissonne déjà de tout son corps. Ca promet d'être intense, encore une fois.

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Elsa & Vice

Il ne sait plus trop comment ils en sont arrivés à parler sport, mais ils sont bel et bien en train de le faire tous les deux. A mentionner les prochaines fois où Vice se perdra dans sa salle de sport et où Elsa le rejoindra. Sur la fin de sa séance, histoire de ne pas l'arrêter en plein vol. L'arrêter trop tôt pour que son corps soit satisfait. Son physique est trop important pour qu'il mette de côté ce genre de séances, pendant un mois complet. Et de toute façon, il fait tout ça également pour sa santé. Lui qui n'a pas toujours le meilleur train de vie qui soit. Qui ne mange pas sainement à tous les coups, qui boit un peu trop d'alcool, qui fume trop également et qui touche de temps en temps à certaines drogues. Le sport est sa façon à lui d'équilibrer les choses. Et il ne fait aucun doute que c'est grâce au corps qu'il obtient derrière, qu'il a autant de succès auprès des femmes. Dont Elsa qui profite largement. Hm j'ai aucune envie de perdre du muscle pour prendre du gras. Rien que l'idée le fait un peu grimacer.  Il n'a rien contre ceux qui sont dans ce cas de figure. Simplement, il ne veut pas de ça pour lui.

Il ne réagit même pas au fait qu'elle le désirerait toujours autant même si son corps venait à changer. Une confession qui veut dire bien des choses. Et qui, s'il prenait le temps de creuser un peu plus à ce sujet, le pousserait à réaliser que ça fait largement échos à la confession faite en plein coeur de la nuit. Mais il a déjà mit de côté ces quelques petits mots. Et ne peut nier que de son côté, il est de plus en plus perdu dans toutes les petites choses très agréables qu'il ressent pour et par elle. Il a un petit sourire quand elle réagit à la confession qu'il fait ensuite. Joueur, il vient ensuite poser son index sur sa bouche pour la faire taire. Chut. Faut pas que ça se sache. Qu'il ironise, taquin. Comme tout ce qu'ils partagent de plus en plus tous les deux d'ailleurs. Le fait qu'il soit si bien en sa compagnie et lui permette, tout naturellement, de plus en plus de choses.  Mais ils n'ont déjà que trop parler. Il est plus que temps d'en revenir aux choses sérieuses. Et c'est face aux grands miroirs qu'ils se retrouvent tous les deux. Vice dans le dos de la blonde.

Qui peut difficilement se planquer d'ailleurs. Il est plus haut et plus large. Et il aime bien la façon dont la peau légèrement hâlée de la jeune femme, contraste sur la sienne recouverte d'encre. Un jeu de provocations commence à s'installer de nouveau entre eux. Tout ça est terriblement naturel. Mais ça fonctionne toujours autant. De caresse en caresse, il finit par s'enfoncer entre ses fesses. De quoi faire réagir Elsa, bien sûr.  C'est que t'es vachement bruyante quand je m'occupe de ton petit cul ... Qu'il lui fait remarquer, toujours taquin. Il n'aurait pu prendre le risque de la sodomiser dans la chambre qu'ils occupaient chez ses parents, pour cette raison. Sa main est de nouveau sur sa chatte. Les doigts humides qui remontent sur son clitoris pour le caresser avec beaucoup de douceur, alors qu'il commence à aller et venir dans l'étroit orifice qui se crispe autour de lui. Il se redresse dans son dos pour pouvoir contempler de nouveau son corps parfait dans le miroir. Et ses doigts qui flirtent toujours avec son bouton de plaisir. Il aime cette vision. Comme il aime les sensations qu'il redécouvre, encore et encore, avec elle.