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(+18) destruction (ft. billily)
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Mar 2 Juin - 18:43


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Si tu étais dans un meilleur état tu lui aurais sûrement balancé une réplique cinglante, bien sûr qu’il n’a pas que ça à faire, mais il n’a pas que ça à faire non plus de venir te secourir dans une ruelle, à côté d’un bar dégueulasse et t’emmener chez lui pour t’offrir un toit pour la nuit. Ça ne te fais pas plus plaisir qu’à lui d’être là ce soir. En fait tu espérais ne jamais le revoir. Tu voulais laisser tout ça derrière toi, oublier ce qui s’était passé entre vous, ce que tu lui as fait, ce que tu as fait à sa famille. Mais il semblerait que le destin en ait décidé autrement. C’est quand même un sacré hasard qu’il se soit retrouvé dans cette ruelle ce soir. Tu t’en fais la réflexion que maintenant. Et encore t’es bien trop fatiguée pour lui poser vraiment la question. Tu te contentes de le laisser t’accompagner dans la chambre et t’offrir une chemise à lui pour que tu puisses dormir. En temps normal, dormir nue ne te dérange absolument pas, mais là tu es frigorifiée, la faute à l’eau du bien qui était glacée mais aussi certainement à cette drogue qu’on t’a fait prendre contre ton gré. Une fois que tu l’as enfilée tu attends qu’il quitte la chambre. Tu te sens un peu soulagée. T’aimes pas ça quand on s’occupe trop de toi, faut dire que ça ne t’est pas arrivé très souvent dans ta vie. Et les fois où on t’a accordé trop d’attention, c’était pour au final, te faire du mal. Tu ne penses pas que Billy t’en feras. Tu as eu des doutes quand il t’a balancée dans sa voiture. Mais il semble plus vouloir t’aider qu’autre chose. Même si tu ne comprends vraiment toujours pas pourquoi…

Couchée dans le lit, roulée en boule. Tu lutte quelques minutes mais t’es bien obligée de te laisser aspirer par le sommeil. Et bien sûr, comme chaque nuit, tu sombres dans des cauchemars horribles. Ces cauchemars dans lesquels tu revis encore et encore ce qui t’est arrivé quand tu étais gamine. Et le pire c’est que tu as conscience d’être dans un cauchemar, tu sais que ce n’est pas réel, mais tu n’arrives pas à en sortir. Alors après avoir hurlé plusieurs fois « non », tu commences à gémir en remuant dans tous les sens. Tu balances le drap et la couverture. Tu donnes des coups de pieds dans le vide et tu te tournes de chaque côté toujours en poussant des petites plaintes. Et même quand Billy te parle, tu ne l’entends pas, enfin tu l’entends un peu, mais sa voix semble très lointaine, comme s’il était dans un autre monde. Tu ne reconnais même pas sa voix en fait. Tu entends juste quelqu’un t’appeler et toi tu penses que c’est ton père qui vient t’aider, qui vient de te sortir de ce calvaire. Parce que si ton père n’avait pas été en prison à cette période de ta vie, il n’aurait jamais laissé qui que ce soit te faire le moindre mal. Puis tu sens un contact sur ton épaule, tu te mets à hurler en te débattant encore plus vivement, parce que tu penses que c’est le monstre qui va finir par t’attraper, qu’il va te faire du mal, encore, comme à chaque fois. Alors tu tentes de te dégager de ce contact en remuant toujours. « Non ! Arrête ! » Tu te mets à pleurer, à le supplier.  « Me fais pas de mal ! »

Puis le contact, cette main chaude quitte ton épaule pour venir trouver ton visage. Tu finis par ouvrir les yeux, avec beaucoup de difficulté. Et tu prends une grande inspiration comme si tu étais en apnée depuis très longtemps. Tu sens qu’il y a quelqu’un près de toi, assis à côté de toi. Tu ne sais pas qui c’est au début. Tu ne réalises pas que c’est Billy. Alors tu te jettes sur lui, tu t’agrippes désespérément à lui. Tu passes tes bras autour de sa taille et tu enfouis ton visage contre son ventre. Tu te retrouves à moitié allongée sur ses genoux mais tu le serres fermement. Il est ta seule chance de ne pas sombrer, il est la seule personne qui puisse te sauver des griffes du monstre de tes cauchemars. Tu éclates en sanglots, ton corps est secoué, tu trembles de la tête au pied alors que tu t’agrippes toujours un peu plus à lui. Tu n’es plus vraiment endormie, mais tu n’es pas encore totalement réveillée. Tu ne sais plus ce qui est vrai ou faux. Tu penses que le monstre est toujours là, qu’il attend toujours dans un coin de la pièce. Et que si Billy te laisse à nouveau seule, il va venir s’en prendre à toi. Il va venir te faire du mal comme il le fait à chaque fois. Alors tu pousses une petite plainte en tirant sur sa chemise, en t’agrippant à ses vêtements, à lui. « Fais-le partir s’il te plait. Empêche le de me faire du mal. Billy s’il te plait ! » Tu le supplies avec désespoir alors que tes larmes inondent le tissu de sa chemise, tu refuses de le laisser partir, tu ne veux pas rester seule, pas avec ce monstre qui t’observe toujours de son regard affamé. Parce que tu le sens, il est encore là, il attend juste le bon moment pour te faire du mal. «  Me laisse pas s’il te plait… S’il te plait… » Que tu répètes encore et encore d’un ton implorant.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Mar 2 Juin - 20:48


Destruction
ft @Lily Mayfair


Avec un peu de chance, Lily ne s'interrogera même pas sur la raison de ta présence dans le même bar qu'elle, le même soir. Et quand bien même elle le ferait, que tu lui répondrais qu'une fois de plus tu ne cherchais rien d'autre qu'à te bourrer la gueule. Ce qui est tout sauf surprenant de ta part. Et en même temps, tu songes que la vérité n'est pas si dingue que ça non plus.  Et pas si étrange, surtout. Après tout ce qu'elle a fait ou tenté de te faire, rien de trop surprenant dans le fait que tu veuilles surveiller et t'assurer qu'elle ne te fera jamais plus rien de ce genre. Elle a fait pire que te filer, elle même, après tout. Mais tu tiens tant à prouver que tu n'as rien à voir avec elle, que tu n'assumes déjà qu'à moitié la façon avec laquelle tu as pu tomber sur elle dans cet état, en pleine ruelle. Mais surtout, rien ne te dit qu'elle va vraiment te poser la moindre question. Peut-être qu'elle s'en fichera royalement. Sans doute même qu'elle ne prendra pas du tout le temps de s'attarder quand le jour sera levé. Un fois réveillée, elle prendra certainement même la poudre d'escampette. Et cette fois, tu ne feras rien pour la retenir. La seule chose qui t'importe, c'est qu'elle ne prenne pas de risque inconsidéré en s'en allant dès à présent. Alors qu'elle n'est pas du tout en état de se retrouver seule chez elle. Si ça te saute aux yeux à toi, sa fierté à elle l'empêche de l'accepter tout de suite. Il te faut un peu batailler pour qu'elle accepte de se coucher dans le lit de la chambre d'amis. Mais c'est finalement chose faite et tu peux tout à fait te détendre toi même. En t'installant devant la télé. Aussi longtemps que possible. Assez longtemps, surtout, pour rencontrer enfin la fatigue. Elle se fait toujours prier celle ci. Alors tu n'es pas mécontent quand elle arrive enfin.

Malheureusement, ce n'est pas pour tout de suite le moment où vas pouvoir te coucher et dormir tout ton soûl. La voix féminine que tu entends en traversant le couloir, te fait réagir. Tu comprends ce qui est en train d'arriver et après quelques minutes d'hésitation, tu te décides à entrer dans la chambre pour l'aider. Tu sais à peu près ce qui fonctionne et ce qui rend réellement service dans ce genre de moment. Alors tu ne te fais pas prier pour aller au bout de ces gestes. Du bout des doigts tu secoues doucement. Avec tout autant de douceur, tu caresses son visage. Surtout, tu souffles et répètes encore et encore son prénom.  Parce qu'il faut à tout prix que tu la sortes de son cauchemar. Mais que pour ça, encore faut-il qu'elle t'entente tout à fait. Que ta voix parvienne jusqu'à son subconscient et qu'il comprenne que tu ne lui veux aucun mal. Ce n'est pas encore gagné, alors qu'elle se secoue en tout sens et tente de lutter contre ta présence. Aucun doute qu'elle te prend pour le monstre de ses cauchemars. Alors tu répètes son prénom tout en douceur. Alors tes doigts restent caresse sur sa joue et dans ses cheveux humides. Il ne faudrait pas qu'elle te prenne pour celui qui lui a fait tant de mal par le passé. Mais il n'y a rien d'autre que tu puisses faire non plus. Tu ne vas certainement pas la secouer fort ou la réveiller avec un verre d'eau, pour la tirer tout à fait du sommeil. Le but n'est pas d'agir en brute, quand bien même tu sais tout aussi bien faire ça. Et tu as déjà eus l'occasion de le lui prouver d'ailleurs. Simplement, il était question de sexe. Ce qui n'est définitivement pas le cas ce soir. Et il ne fait aucun doute pour toi, qu'il ne sera jamais plus question de ça entre vous non plus.

Quand enfin elle ouvre les yeux, elle réagit au quart de tour. Elle te bondit littéralement dessus, pour refermer ses bras fins autour de toi. Et elle serre fort alors qu'elle perd son visage contre ton ventre. Et elle serre plus fort encore, alors qu'elle tremble et est vivement secouée par les sanglots longs et profonds. Et pour le coup, tu ne sais pas bien ce que tu dois faire. Tu ne l'as évidemment jamais vu dans cet état. Et tu ne veux pas qu'elle pense demain, que tu as profité de son moment de faiblesse. Alors d'abord tu hésites et poses juste une main sur le haut de son dos. Mais elle supplie Lily. Elle veut que tu la sauves. Elle tient à ce que tu ne partes pas. Surtout pas. Que tu restes là et que tu la débarrasses de celui qui l'effraie tant. Je ne pars pas. Que tu promets doucement. Il n'y a que nous Lily ... Que tu précises dans la foulée. Elle n'entendra peut-être pas raison avec ces simples mots. Ce simple constat. Mais tu tentes quand même ta chance. Je suis là. Et tu le répètes. Une fois. Deux fois. Trois fois. Tu n'es sans doute pas le mieux placé pour veiller sur elle et la rassurer. Mais tu restes quand même. D'une certaine façon, tu essaies de jouer quand même ce rôle pour elle. Parce qu'il n'y a personne d'autre alentours. Et parce que tu doutes qu'elle ait qui que ce soit pour faire ça pour elle. Qu'elle ait qui que ce soit, tout court. On va changer de position, d'accord ? Parce que celle ci n'est pas du tout confortable. Alors c'est sans trop l'éloigner de toi, que tu remues. Tu te rassois sur le lit. Cette fois, dos contre la pile d'oreillers et contre le mur. Et  de ton bras qui se trouve de son côté, tu l'attires à toi. Pour lui permettre de se blottir de nouveau contre ton corps. C'est bon comme ça ? Que tu l'interroges tout de suite derrière.
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Mar 2 Juin - 22:47


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu attends impatiemment d’être seule pour pourvoir te coucher, parce que tu sais très bien ce qui t’attend. Mais au fond, tu n’as pas envie d’être seule. Si tu n’étais pas aussi fière et si ta relation avec Billy n’était pas aussi conflictuelle, tu aurais peut-être même pu lui demander de rester près de toi. Parce que tu as peur, tu es morte de trouille quand tu te glisses dans les draps. Tu trembles de froid mais aussi de peur. Tu sais ce qui t’attend une fois que tu seras seule, dans le noir. Quand tu seras prisonnière de ton subconscient. Et Billy il avait raison peut-être quand il t’a dit que ta punition c’était sûrement de devoir vivre. Parce que c’est ça ta punition. Chaque nuit tu y as le droit. Chaque nuit tu dois accepter ta sentence. Il revient chaque fois que tu t’endors pour te faire du mal, de détruire encore un peu plus. Parce que chaque fois que tu te réveilles, tu te sens encore plus mal, encore plus salie, abîmée par cet être horrible, écœurant. Parce que quand tu te réveilles, tu n’as pas l’impression que ça n’a été qu’un cauchemar, tu as l’impression que ça s’est réellement passé. C’est pour cette raison que tu mets de longues minutes à t’en remettre, que tu pleures encore et encore et que tu te sentes obligée de prendre une douche. Parce que tu as encore la sensation de ses sales pattes sur toi. Tu as l’impression qu’il était vraiment là et qu’il t’a vraiment refait vivre tout ce qu’il t’a fait quand tu étais gamine.

Alors quand la porte se referme derrière Billy, tu déglutis. Tu as peur. Mais tu ne peux pas lutter. Tu te retrouves vite propulsée dans ce monde horrible que sont tes cauchemars. Tu ne comprends pas au début quand tu entends une voix et que tu sens une présence, qu’il s’agit de Billy. Tu penses que c’est le monstre toi. Tu penses qu’il est encore là. Tu penses que c’est lui qui te touche l’épaule, le visage, les cheveux. Et tu te débats en hurlant, en suppliant qu’il te laisse tranquille. Tu le supplies de tes cris déchirants. Mais très vite tu te calmes un peu. Parce que tu sens que ce n’est pas lui. Les caresses sur ton visage, sur tes cheveux sont beaucoup trop douces pour que ça soit les siennes. Et tu écoutes la voix qui te parle, elle est douce, elle est calme. Tu la suis, tu l’écoutes et elle te mène jusqu’à la sortie de ce cauchemar. T’ouvres les yeux et la première chose que tu vois ce sont les beaux yeux bleus de Billy. Tu sais immédiatement que c’est lui. Parce que tu n’as jamais croisé un tel regard dans toute ta vie. Alors tu sens que Billy peut t’aider, qu’il peut te sortir de là, te protéger. Tu oublies votre petite guerre, tu oublies vos différends, tu espères qu’il ne te jettera pas en pâture à ce monstre pour se débarrasser une bonne fois pour toute de toi. Tu t’agrippes à lui, avec désespoir. Tu tires fort sur ses vêtements et tu enfonces ton visage contre son ventre parce que tu ne veux pas voir le monstre. Tu veux te cacher et par la même occasion te protéger de lui.

Et parce que tu commences à te sentir ne serait-ce qu’un peu en sécurité contre lui, tu le supplies de ne pas te laisser. Tu pleures, et tu ne cherches pas à cacher tes larmes là. Parce que tu es dans un tel état que tu ne peux pas réfléchir, que tu ne peux pas te dire que tu dois être forte et que tu ne dois pas pleurer devant, ni devant qui que ce soit. Tu fermes les yeux à chaque fois que tu sens sa main sur ton visage ou dans tes cheveux. Toute cette douceur, tous ces gestes te font tellement de bien. Tu n’y es pas habituée toi, personne n’a jamais eu ce genre de gestes envers toi. Quand il commence à remuer tu paniques un peu, tu as peur qu’il ne s’en aille et qu’il ne te laisse seule avec le monstre. Parce qu’il est toujours là lui, il n’est pas parti. Tu te calmes un peu quand il te rassure qu’il ne change que de position mais qu’il reste près de toi. Et quand il est bien installé, tu te redresses un peu à ton tour et tu viens t’installer sur ses cuisses, tes jambes allongées perpendiculairement aux siennes. Tu passes tes bras autour de son cou et tu enfouis ton visage contre son torse. Tu trembles encore. T’es tétanisée par la peur. Tu continues de le supplier, de marmonner d’une petite voix fragile. «  Ne m’abandonne pas s’il te plait. Ne m’abandonne pas toi aussi… » Parce que la seule personne que tu as vraiment aimée un jour t’a abandonnée, ton père t’a abandonnée en allant en prison et en se faisant exécuter. Et même si tu tentes de lui trouver des excuses, il savait qu’il finirait par se faire arrêter et qu’il t’abandonnerait. Il le savait. Tu remues un peu contre Billy. Tu remontes ton visage dans son cou. Ton nez effleure sa peau et tu sens alors son odeur. Une odeur qui te plait beaucoup et qui t’enivre presque. Une de tes mains quitte son cou pour se poser sur sa joue alors que ton visage suit la ligne de sa mâchoire carrée. T’as besoin de douceur, encore plus, t’as besoin de tendresse pour une fois. Alors tu viens la chercher en posant délicatement tes lèvres sur les siennes. Un baiser chaste, une caresse plutôt, parce que tu ne fais qu’effleurer sa bouche. Et tu gardes ton visage près du sien, parce que tu hésites, tu ne sais pas ce que tu fais, tu ne sais pas si c’est bien. Non, tu sais que ce n’est pas bien du tout, et pourtant t’en as vraiment très envie.

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Nicholas Crain
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Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
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Nicholas Crain
Mer 3 Juin - 18:37


Destruction
ft @Lily Mayfair


Tu n'as pas de difficulté à comprendre précisément ce qui est en train d'arriver. Parce que tu passes tes nuits à endurer ce genre d'épisode, toi même. Et parce qu'elle t'en a un peu parlé, également. Tu sais donc qu'elle est en train de se perdre dans un cauchemar et qu'elle ne parvient pas du tout à en sortir. Tu as bon espoir de pouvoir l'aider, quand tu la rejoins et prends place au bord du lit. Tu espères pouvoir la sortir de là sans trop de difficulté surtout. Parce que tu ne la connais pas assez pour être certain de ce qui fonctionne ou non. Et que tu doutes fort qu'elle ait envie de ta présence et de ton aide. En pleine conscience, elle te repoussait très clairement. Alors tu hésites beaucoup mais tu vas au bout. Qu'elle soit prête à le reconnaître ou non, tu penses qu'au fond elle a bel et bien besoin d'un petit coup de main. Ce que tu es prêt à lui offrir. Même s'il te faut, pour ça, insister un peu. Tu restes là à caresser son visage avec autant de douceur que possible. Tu n'es pas expert en la matière mais tu fais comme s'il s'agissait de ton fils. Tu dois parfois l'apaiser pour lui permettre de trouver le sommeil. Il n'a pas la malchance de connaître de nombreux cauchemars. Mais il est parfois nerveux à l'idée d'aller se coucher. Pas forcément à l'aise avec l'obscurité. Et craintif des potentiels monstres qu'il pourrait croiser sous son lit ou dans son placard.

Contre toute attente, Lily se jette sur toi. A la recherche d'autant de contact rassurant que possible. Et même si tu hésites un peu dans un premier temps, ensuite tu acceptes de te montrer tendre de nouveau. Tu caresses ses cheveux et le haut de son dos, avec une certaine douceur. Au fond de toi, tu continues de penser qu'elle ne mérite pas tant de ta part. Mais dans le même temps, tu ne te vois pas la repousser. Tu ne veux pas la laisser se débrouiller seule avec ses cauchemars en tous genres. Et le monstre qui semble s'être installé dans son esprit depuis bien longtemps. Et qui refuse de la quitter et de la laisser tranquille surtout. Alors tu fais abstraction de tout ça malgré la rancœur que tu peux encore ressentir pour elle. Et tu tentes surtout de changer de position pour pouvoir t'installer aussi confortablement que possible. Histoire de rester un peu plus longtemps ici. Le but étant de rester pour l'aider à se remettre en revenant tout à fait sur terre et réaliser qu'il ne s'agissait vraiment que d'un cauchemar. Que tout va bien. Soit, elle est chez toi qui n'es pas forcément son ami ou quoi que ce soit du genre. Mais il n'y a vraiment que vous et elle ne risque absolument rien. En tout cas, une fois de plus, tu veux qu'elle sache qu'elle ne risque rien chez toi. En ta compagnie.

Dans le fond, Lily est juste la gamine perdue et blessée par la vie que tu pensais qu'elle était dès votre rencontre. Tu ne t'es pas tout à fait trompé en fin de compte. Elle a joué la comédie mais elle est vraiment cette gamine esquintée par la vie. La nuit dévoile la vérité. Brutale et toute nue. C'est la vraie elle là. Qui, le reste du temps, ne fait finalement rien d'autre que se protéger en se planquant derrière un masque de froideur et de méchanceté. Mais cette fois ci elle est elle. Et toi tu acceptes de l'aider. Ta main caresse encore avec autant de douceur que possible. Et quand elle remue, tu la laisses faire sans te décaler ni chercher à fuir. Dans le fond, tu ne doutes pourtant pas du fait qu'elle regrettera de s'être ainsi laissée aller quand reviendra le jour. Elle regrettera d'avoir craqué devant toi. Et sans doute qu'elle se vengera en se montrant aussi monstrueuse et glaciale que possible pour te punir et se punir elle même. Malgré tout, elle ne fera rien d'aussi horrible que ce qu'elle a tenté de faire auparavant. Ne serait-ce que parce que, mine de rien, elle aura une dette envers toi. Toi, tu t'en fous pas mal. La seule chose que tu risques de lui demander en retour, c'est qu'elle vous laisse tranquilles, ta famille et toi. Qu'elle cesse vraiment pour de bon, de vous tourner autour comme elle a pu le faire dans un premier temps.

Je suis là. que tu te contentes de lui répondre avec beaucoup de douceur là encore. Tu ne sais pas ce qu'elle entend par là, en réalité. Mais tu ne doutes pas qu'elle parle de ce soir. De cette nuit, tout au plus. Vous ne vous reverrez certainement pas après ça. Parce que tu ne la fileras plus. Et que de son côté, elle ne fera rien pour te revoir non plus. Ne serait-ce que par fierté. Pour l'heure, tu lui offres cette étreinte qui se veut réconfortante. Et elle finit d'ailleurs par remuer contre toi. Elle redresse le visage et tu sens son nez qui frôle ta peau.  Tu sens surtout sa main qui se faufile et qui glisse. Pour échouer sur la peau de ton visage. Sur ta joue creusée par la vie et la fatigue qu'elle t'apporte. Moralement et physiquement. Vos regards se croisent. Et t'as le coeur qui s'emballe dans la foulée. Tu tentes de te faire croire que tu crains la suite. Que tu n'as pas envie qu'elle dépose ses lèvres sur les tiennes. Pourtant, quand sa bouche échoue finalement sur la tienne, tu te laisses faire sans te faire prier. Tu gardes les yeux ouverts et rivés sur son visage. Et tes lèvres s’entrouvrent quelque peu. Pour laisser échapper un soupir. Et, même si tu ne le dis pas avec des mots, quémander un autre baiser tendre et chaste de ce genre. Tu sais que tu ne devrais pas permettre ça. Pourtant, tu poses une main douce sur sa joue en retour et lui offres quelques autres baisers légers comme les ailes d'un papillon. Lily ? Mine de rien, tu tentes de l'interpeller. De t'assurer qu'elle n'est pas encore à moitié endormie et qu'elle ne te prend pas pour quelqu'un d'autre.
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Mer 3 Juin - 19:15


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

D’habitude tu dois vivre ça toute seule. Tu dois affronter seule tes cauchemars, plus particulièrement le monstre qui les hante. Et même une fois sortie de ton cauchemar, tu n’es jamais tranquille, parce que tu sais que ce n’est qu’une question d’heures. Tu sais que tu as beau retarder chaque jour le moment où tu te plongeras dans un sommeil profond, qu’il te retrouvera et qu’il te fera du mal. Et parce que toute ta vie tu as souffert, blessée par les personnes qui étaient censées prendre soin de toi : ta mère que tu n’as jamais connue, ton père qui a préféré écouter ses pulsions meurtrières plutôt que penser à sa propre fille, ta famille d’accueil qui a permis qu’un sale pervers te brise, les psys qui ne te prenaient jamais vraiment au sérieux et qui n’ont jamais cherché à t’aider… Personne ne s’est jamais soucié de toi en fait. Absolument personne. Et c’est pour cette raison que tu es comme ça aujourd’hui, que tu es agressive, sur la défensive, parfois méchante, mauvaise, froide. C’est juste pour te protéger. Parce que tu sais qu’il n’y a rien de bon qui t’attend sur cette terre. Tu ne veux t’attacher à personne, parce qui que ce serait, cette personne finirait par t’abandonner, te lâcher, te laisser tomber et te faire souffrir. Et tu as assez souffert comme ça. De plus, tu sais aussi que tu n’es pas capable d’apporter du bonheur dans la vie de quelqu’un. Partout où tu passes les gens souffrent, les gens meurent, les gens deviennent fous. Même le salopard qui t’a fait du mal quand t’étais gosse, soi-disant, selon sa femme, il n’avait jamais fait de mal à qui que ce soit, il n’y a qu’à toi qu’il s’en est pris. Alors toi, tu t’es convaincue que c’était de ta faute, c’est toi qui apporte le mal, qui fait ressortir ce qu’il y a de pire chez les gens. Pas étonnant qu’il ne t’arrive que des emmerdes.

Et pourtant, tu n’es pas seule là. Tu n’as pas été seule ce soir. Quelqu’un est venu t’aider, te sortir de cette merde dans laquelle tu t’étais fourrée toute seule. Pourtant tu ne l’as pas mérité. Tu lui as fait tellement de mal à Billy, et surtout à son fils, le pauvre gamin qui a dû voir son père en panique à cause de tes petites manigances. A présent tu le regrettes, parce que tu as beau crier haut et fort que tu ne t’en prendrais jamais à un enfant, c’est bien ce que tu as fait ce soir-là. Même si tu ne l’as pas blessé directement, tu lui as fait du mal. Et tu ne comprends toujours pas pourquoi Billy t’aide ni comment il arrive à mettre de côté sa rancœur, sa rage pour toi. Parce que tu le sais qu’il te déteste, tu le vois quand il te regarde. Et c’est tout à fait normal. Et c’est bien mieux ainsi. C’est bien mieux que les autres te voient comme une cinglée monstrueuse. Ca les pousse à s’éloigner de toi, en général… Là, malgré ça, Billy est là. Et c’est encore lui qui vient t’aider à sortir de ton cauchemar. C’est lui qui vient te protéger du monstre. Alors après la méfiance, la crainte qu’il ne soit de mèche avec lui, tu te laisses aller contre lui. Tu le supplies même de ne pas te laisser, de ne pas t’abandonner. Tu pourrais même le supplier de faire ça tous les soirs, à chaque fois que tu fais des cauchemars. Parce que tu aimerais tellement que quelqu’un soit là pour toi, pour te protéger. Qu’enfin quelqu’un ne te laisse pas entre les pattes de ce monstre. Mais si tu espères ça, c’est parce que t’es apeurée, t’es dans un état de peur tel que tu ne penses pas que tout cela est impossible, inconcevable. Parce que demain, aux premiers rayons du soleil, tu partiras, comme la dernière fois. Mais cette fois, tu disparaitras de sa vie pour de bon. Parce qu’il ne mérite pas que tu viennes y foutre le bordel comme tu sais si bien le faire.

Seulement, tu ne te contrôles plus. Tu es bien trop à l’abri dans ses bras. Tu es tellement bien contre lui. Et tu aimes tellement ses caresses et ses mots rassurants. Sa voix douce semble te caresser le corps entier, t’en frémis alors qu’il prononce ton prénom. Tu ne sais pas ce qui t’arrive. Tu n’as jamais ressenti ça. En même temps, jamais personne ne s’est comporté comme ça avec toi. Mais t’as envie de plus. T’as envie de le toucher. T’as envie qu’il continue de te toucher, qu’il te touche partout. Tu veux sentir ses bras autour de toi, te sentir pour une fois à l’abri. Te laisser pour une fois être la fille fragile que tu es en réalité. Et pour une fois réclamer que quelqu’un prenne soin de toi. Alors tes lèvres glissent sur peau, elle est douce, elle sent bon et elle est chaude. Ta main aussi se pose sur son visage, un visage parfait quand on y réfléchit. Tu t’étais déjà dit que Billy était bel homme, mais tu étais tellement aveuglée par ta rage et ta soif de vengeance que tu n’avais pas réalisé à quel point il pouvait l’être. Et ce regard qui te transperce. Tu ne réfléchis plus, tu écoutes juste ce que ton corps te réclames. Et il a très envie de l’embrasser à ce moment précis. Tu peux lire l’étonnement, presque la panique dans son regard. Mais tu l’ignores et tu viens juste caresser ses lèvres des tiennes. Tu ne veux pas trop t’emballer, tu ne veux pas l’embrasser franchement alors que tu crains qu’il va te rejeter. Il va penser que c’est encore un de tes petits jeux pervers. Alors que tu n’as jamais été aussi « vraie » de toute ta vie. Tu fermes les yeux quand tu sens sa main sur ta joue, t’en fronces les sourcils tellement tu te sens soulagée. Tu avais tellement peur qu’il te rejette. Pourtant tu l’aurais compris. Mais tu l’aurais tellement mal pris. Et quand c’est lui qui vient capturer tes lèvres tu laisses à ton tour s’échapper un long soupir. Ta main posée sur sa joue glisse contre sa nuque, tes doigts fins se glissent dans ses cheveux alors que tu réponds à chacun de ses baisers, avec la plus grande tendresse du monde. Tu ne savais même pas que tu étais capable de faire ça. Quand il prononce ton prénom tu ouvres les yeux, il te sort un peu de ta transe. Mais tu n’as aucune envie que ça s’arrête. C’est trop bon. T’en veux plus. Alors cette fois tu viens poser tes deux mains sur son visage. «  Embrasse-moi encore Billy. Embrasse-moi, touche-moi… » Que tu souffles d’une petite voix douce, réellement douce cette fois, pas comme ces fois où tu as essayé de l’embobiner lui ou sa femme. Tu remues à nouveau pour t’installer mieux sur lui, à califourchon, la chemise qu’il t’a prêtée remonte en haut de tes cuisses quand tu les installes de chaque côté de son corps. Mais tu fais tout ça sans jamais t’écarter de ses lèvres. Tu prends ses mains, toujours avec douceur et tu les poses sur tes cuisses nues. Le cœur battant, tu le supplies presque, tes lèvres contre les siennes. «  Caresse-moi Billy. »

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Mer 3 Juin - 20:57


Destruction
ft @Lily Mayfair


Au fond de toi, tu es conscient que tu ne devrais pas même te trouver actuellement sous le même toit que cette fille là. Au fond de toi surtout, t'es conscient du fait que vous ne devriez pas même avoir le moindre contact. Alors c'est à se demander pourquoi elle est là, pourquoi tu as fait tout ça, pourquoi tu lui offres tant de tendresse, tant de douceur. Tu ne devrais pas mais tu dois bien reconnaître que tu aimes la sensation d'être là pour quelqu'un. Parce que cette fois tu n'es pas le seul à être totalement esquinté par la vie. Quand il s'agit de tes patients, c'est différents. Parce qu'ils ne sont pas si givrés que ça. Parce que la plupart du temps, il s'agit surtout de personnes avec au moins un pied dans la dépression. Lily, c'est une toute autre histoire. Elle a de nombreuses plaies au coeur et à l'âme elle. Elle est dans un piteux état. Et elle vient de te le prouver avec les violents cauchemars qui ont eut raison de sa froideur et de sa fierté qui étaient là pour te tenir autant à distance que possible. Ce n'est que maintenant que tu t'en rends tout à fait compte. Est-ce que ça fait de toi un piètre psychiatre ? Tu as envie de croire que non. De penser que ce n'est pas de ta faute après tout, si elle a si bien su t'embobiner. Parce qu'elle l'a fait, c'est évident. Et depuis le début finalement, t'es paumé. Tantôt tu crois qu'elle te désire, tantôt tu penses plutôt qu'elle joue à un jeu pour te faire autant de mal que possible. Et surtout, elle est prête à tout pour ça. Quitte à faire du mal à d'autres personnes au passage, comme ça a bien faillit être le cas avec ton fils.

Tu ne sais donc vraiment pas si tu fais bien de la laisser entrer comme ça chez toi et, d'une façon ou d'une autre, dans ta vie. Non, en vérité, tu sais que tu ne devrais pas faire ça. Que tu vas rapidement le regretter. D'autant plus qu'elle est en train de se réveiller et de chercher un peu plus de contact avec toi. Tu es tout bonnement incapable de la repousser alors même que c'est effectivement ce qu'il te faudrait faire. Tu ne devrais vraiment pas être en train de craquer de la sorte. En répondant plus que favorablement à ses caresses délicates et à ce rapprochement soudain entre vos corps. Elle qui s'est blottie tout contre toi et qui as perdu son visage au creux de ton cou. Elle qui s'est assise sur tes cuisses surtout. Pour maintenant s'installer à califourchon parce que tu n'as pu faire autrement que de lui rendre son baiser. Lui en offrir quelques autres avec énormément de tendresse, plus précisément. Tu craques complètement et lui rends baiser sur baiser. Caresse sur caresse. Et t'as le palpitant qui menace de s'enfuir tant il bat rapidement. Sans parler de ton souffle qui se fait bien irrégulier tout à coup. Ton corps te trahit alors que ton esprit tente de t'alerter. Tu ne dois pas craquer ainsi. C'est une grosse erreur. Et pourtant ta main est toujours sur elle. Pourtant, ton corps accueille le sien avec un certain bonheur quand elle bouge pour s'installer à califourchon. Tu passes soudainement outre le fait que la position est bien intime dans le genre. Parce que l'effet qu'elle te fait te frappe de plein fouet et s'impose pleinement à toi. T'es juste un homme comme un autre. Qui ne peut rester froid face à un corps comme le sien, qui se frotte ainsi au tien. Qui s'y moule à la perfection.

Et elle se fait presque suppliante Lily. Quand elle demande encore et encore, à ce que tu continues de l'embrasser. T'es presque inconscient du fait que tu sois bel et bien en train de l'embrasser encore. Quant à sa seconde requête, tu n'y réponds pas encore. Elle veut que tu la caresses. Mais toi, tu veux aussi et surtout te faire croire que tu peux lutter contre ce genre d'envie. Résister à la tentation qu'elle semble soudainement représenter pour toi. Tu ne sais pas si c'est réel ou si c'est l'effet de sa peur panique que tu viens de calmer. Ta seule certitude, c'est qu'elle se presse plus encore contre toi et quémande davantage de caresses et autres échanges physiques. Tu devrais arrêter les choses alors que tu penses être le plus conscient de la situation, d'entre vous deux. Mais t'en es bien incapable. Elle te fait énormément d'effet, c'est un fait contre lequel tu ne sembles pas pouvoir grand chose. C'est finalement elle qui attrape tes mains pour te faire les poser directement sur ses cuisses nues. Tu hésites encore. Un peu. Et finalement, tu craques de nouveau surtout. Apparemment, tu es vraiment incapable de lui résister. Alors tu les fais remonter. Lentement. De tes paumes, tu caresses sa peau découverte et tellement douce. Tu t'attardes longuement sur ses cuisses de la sorte. Tu passes sur leur dessus et sur leur extérieur. Toi même tu ne te pensais pas capable d'autant de douceur. Pourtant t'es bien là en train de faire ça. Et surtout, de le faire avec un réel et sincère plaisir. Tu aimes bien ça finalement. Tu ne t'en pensais pas capable et pourtant ... Tes doigts disparaissent finalement sous le tissu de ta chemise qu'elle porte. Et se faufilent pour aller se perdre du côté de ses fesses. Sa croupe parfaite contre laquelle tu as échoué si fort et cogné avec une telle frénésie, au cours de votre seule et unique nuit passée ensemble. La tension électrique est clairement en train de grimper entre vous. T'es vraiment sûre ? Que tu te renseignes quand même, avant toute chose. Alors même que tu attrapes franchement ses fesses. Mi-fermeté mi-tendresse. Dans le fond, tu espères que oui, elle est sûre de vouloir tes baisers sur ses lèvres et tes mains sur son corps. Parce que toi aussi tu apprécies tout ça. Mais dans le même temps, tu penses à la suite. Tu crains que ça ne parte trop durement en vrilles.
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Jeu 4 Juin - 11:30


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu perds complètement la maitrise de toi. Tu sais que c’est une très mauvaise idée au fond de toi. Tu sais que tu ne devrais pas faire ça. Tu sais que tu devrais t’écarter de Billy, te contenter de le remercier pour t’avoir réveillée et t’avoir rassurée. Tu sais que tu devrais lui dire d’aller se coucher et toi tenter de redormir. Tu sais que tu devrais attendre le lever du soleil pour pouvoir t’éclipser et disparaitre une bonne fois pour toute de sa vie. Mais tu n’en as pas envie. Tu veux le sentir contre toi, tu veux qu’il continue de te toucher comme il l’a fait là, avec douceur et tendresse. T’as besoin d’avoir ce genre de gestes de sa part. Et tu as autant envie de le toucher de cette manière. Même si tu sais que son truc à lui c’est la violence, ce sont les ébats brutaux et sauvages. Et toi aussi c’est ton truc en temps normal. Parce que tu as adoré l’unique et seule fois qu’il t’a baisée sauvagement. C’était intense, c’était brutal, c’était violent. C’était parfait. Et tu n’as jamais connu quelque chose de comparable. Pourtant, vos chemins vont devoir se séparer pour de bon, demain matin, il faudra bien que tu t’éclipses comme la dernière fois, que tu partes sans un mot, sans un au revoir ou un adieu. Il est temps que tu le laisses tranquille, que tu ne lui fasses plus de mal. Parce que, il ne mérite pas ça Billy. Il a juste fait son boulot avec ton père. T’en as conscience maintenant. C’est trop tard pour réparer les torts que tu lui as causés, mais la meilleure chose que tu puisses faire, c’est disparaitre. Disparaitre de sa vie et ne plus jamais revenir. Alors tu as envie que ses adieux soient remarquables. Tu veux pouvoir profiter de lui encore une fois, juste une seule. Et puis surtout tu as besoin qu’il s’occupe de toi encore un peu. Tu as besoin de cette tendresse qui est inédite pour toi. Tu n’es pas certaine qu’il accepte d’entrer dans ton jeu. Tu crains même qu’il ne te repousse, dégoûté. Mais tu tentes quand même ta chance, parce que t’en as sacrément envie. Et même si c’est une grosse erreur, t’es prête à prendre le risque, tu n’y réfléchis même pas à vrai dire.

Tes mains se font caresses là où la dernière fois elles se faisaient plus violentes. Tu caresses sa peau, la même que tu as auparavant griffée, mordue. Tu ne t’es jamais montrée aussi douce avec personne. Et il te le rend bien Billy, avec ses baisers doux et chastes. Vous vous contentez de quelques baisers du bout des lèvres et ça te fait frémir. Tu en redemandes encore plus. Et même quand tu changes de position, tu ne t’écartes jamais de ses lèvres. Tes mains se referment sur son visage, toujours avec beaucoup de douceur, comme s’il était très fragile et qu’il te fallait le manipuler avec beaucoup de douceur. Et tu veux qu’il te rende cette douceur, qu’il te touche à son tour. Tu le supplies presque en guidant ses mains sur tes cuisses nues. Ton corps commence à réagir, l’excitation s’installe de plus en plus. Petite contraction dans le bas-ventre alors que tu appuies ton bassin contre le sien. Soupir qui s’échappe de tes lèvres pour s’échouer sur les siennes. Tu continues de caresser son visage alors que tes baisers sont à présent un peu plus appuyés, mais toujours pleins de douceur. Tu laisses s’échapper un petit soupir quand tu sens ses mains se poser sur tes fesses et dans un réflexe tu appuies plus ton bassin contre le sien. Tu t’écartes un instant quand il te pose à nouveau la question. Il craint que tu ne sois pas en état de réfléchir, et c’est vrai. Parce que si c’était le cas, tu lui aurais dit de partir, ou alors tu lui aurais proposé une partie de baise sauvage comme la dernière fois. Et encore, tu ne penses pas que tu l’aurais fait, parce que tu sais que tu aimes beaucoup trop ça et que tu risques d’en redemander, alors que tu dois disparaitre au petit matin. Tu ne l’oublies pas ça. Mais tu ne veux pas y penser pour l’instant. Tu plonges ton regard dans le sien. Et rien que de voir ses grands yeux bleus te donne des frissons et te donne encore plus envie de l’embrasser. Si tu avais eu le moindre doute, ce regard aurait fini par te faire craquer, c’est sûr. Alors tu hoches la tête doucement. Et tu reviens capturer ses lèvres. « Oui, j’ai envie de toi… » Que tu souffles d’une voix brûlante.

Ton baiser se fait plus chaud, plus passionné. Ta langue franchit finalement la barrière de ses lèvres pour venir chercher la sienne. Cette fois tu ne te montres pas sauvage, tu ne le mords pas, tu te contentes de l’embrasser fougueusement mais tendrement aussi. Du bout des doigts tu caresses ses joues, tu suis l’arête de sa mâchoire. Et quand tu te redresses pour récupérer un peu ton souffle, ton regard est un peu plus sombre, transformé par le désir qui t’envahit de plus en plus. Sous son regard, tu déboutonnes un à un les boutons de la chemise qu’il t’a prêtée. Tu prends ton temps cette fois. Tu ne le lâches pas du regard alors que tu découvres petit à petit ta poitrine et ton ventre. Quand les boutons sont tous détachés, tu écartes les pans de la chemise mais tu ne la retires pas. Tu l’embrasses une fois de plus fougueusement mais très brièvement avant de t’attaquer à sa chemise à lui. Avec la même lenteur, tu défais chaque bouton. Tu dévoiles son torse sur lequel tu avais laissé quelques traces la dernière fois. Traces qui ont disparu aujourd’hui. Tu n’en vois pas d’autres. Tu te dis un instant qu’il n’a pas eu d’autres partenaires depuis toi, et bizarrement, ça te fait plaisir. Tu te penches sur son torse pour y déposer de doux baisers. Tu t’attardes sur son épaule, celle-là même que tu as mordue très fort la dernière fois. Tu caresses ses flancs, du bout des doigts, tu cherches à le sentir frissonner, frémir sous tes caresses. Tu ne sais toujours pas s’il apprécie ta douceur ou s’il s’attend à ce que tu te montres plus sauvage comme la dernière fois. Alors tu fais remonter ta bouche jusqu’à son cou, tu le mordilles avec douceur et tu l’embrasses, encore et encore. Ton palpitant s’emballe de plus en plus. A nouveau tu te redresses, tu recroises son regard pour essayer de savoir s’il est dans le même état que toi. « Est-ce que t’es capable de me baiser sans vouloir me faire mal Billy ? » Que tu demandes presque sur un ton de défi, alors que tes mains glissent le long de son ventre pour défaire la fermeture de son pantalon.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Jeu 4 Juin - 18:46


Destruction
ft @Lily Mayfair


T'es bien conscient du fait que tout ça n'est pas supposé se passer. Que vous ne devriez pas être en train de vous offrir ces quelques caresses de plus en plus chaudes. Parce qu'il est évident que vous êtes surtout bien partis pour aller beaucoup plus loin. La position en dit long sur la montée en puissance du désir. Tu devrais être en train de la repousser du coup. Au lieu de ça, tu te contentes de prendre la parole. De souffler son prénom. De lui demander si elle est vraiment sûre de ce qu'elle fait. De ce qu'elle souhaite et attend de vos échanges de baisers. Pour l'heure ils sont tendres. Ils sont presque chastes surtout. Mais l'envie gonfle. L'envie s'installe, s'étire, s'allonge. Tu ne tardes pas à vibrer d'envie tout contre elle. Encore. T'en veux encore. T'en veux plus. Pourtant t'es toujours aussi sage. Tu te contentes d'empoigner et caresser ses fesses bien rondes. Et de lui rendre ses baisers. Les uns après les autres. Toujours tout en tendresse. Parce que tu aimes vraiment ça et qu'elle ne t'inspire que ça pour l'heure. D'ordinaire, tu n'es avide que de brutalité et de violence. Mais ce soir Lily est encore tremblante de peur. Et surtout, elle a besoin de cette tendresse dont tu as fait preuve avec elle en arrivant et en entreprenant de la réveiller avec toute cette douceur que tu as en stock. Tu ignorais que tu en avais tant. Mais tu la lui offres quoi qu'il en soit.

Tu l'interroges doucement, entre deux baisers. Et elle ne se fait pas prier pour te répondre avec une sincérité évidente. Elle en a envie. Alors tu cesses de lutter plus longtemps contre le désir qui t'assaille maintenant de toutes parts. Au contraire même. Toi qui lui rends son baiser de plus en plus passionné, sans te faire prier. Vos langues se font maintenant l'amour et la guerre tout à la fois. Mais d'une façon qui mélange tendresse et passion. C'est langoureux. C'est suave. C'est chaud. Ça coule comme du miel. Comme les gestes toujours aussi doux. Elle semble s'emballer un peu plus et toi tu laisses faire. Toi, tu frissonnes quand elle caresse tes mâchoires du bout des doigts. Et quand elle se dresse au dessus de toi, pour faire courir ses doigts sur les boutons de la chemise qu'elle porte. Ton regard suit ses mouvements. Tu n'hésites pas à la regarder faire. Elle qui fait sauter les boutons un à un. Qui dévoile surtout son corps parfait. Sa peau légèrement hâlée. Sa poitrine bien ronde. Son ventre plat. Ses hanches arrondies. Et quand elle en a terminé des boutons de la chemise, elle décale les pans pour se dévoiler plus encore. Sans pour autant retirer le vêtement qui te semble pourtant encore de trop à toi. Forcément que, maintenant que tu capitules et réponds favorablement à tes envies, tu la préférerais tout à fait nue. Elle qui est si jolie et si bien faite.

Mais d'abord elle s'en prend à la chemise que toi tu portes. Elle fait sauter les boutons un à un, de nouveau. Elle dévoile ta peau sans que tu ne fasses rien pour l'arrêter. Tout au contraire. Tu continues de te laisser faire, sans te faire prier. Tu frissonnes aussitôt qu'elle permet à ses lèvres de glisser sur ta peau nouvellement découverte. Et tu fermes les yeux pour profiter plus encore et apprécier à sa juste valeur cette tendresse qu'elle t'offre. Tu redécouvres le plaisir qui peut venir de ces petits gestes simples. La dernière fois que tu as connu une étreinte de ce genre, c'était avec Mandy elle même. Et ça semble remonter à une éternité pour toi. Vous étiez encore ensemble et amoureux. Or, votre bonheur n'est plus depuis longtemps. Et vos sentiments se sont éteints il y a une éternité. C'est en tout cas bien l'impression que tu as. Et au delà de ça, tu ne ressentais aucun mal de cette tendresse que tu prends pourtant beaucoup de plaisir à obtenir ce soir/cette nuit. C'est bon la façon qu'elle a de déposer une pluie de baiser sur ta peau. Et tu ressens évidemment l'envie de lui rendre la pareille. A sa question, tu viens loger ton index en travers de sa bouche. Pour la faire taire, avec douceur. Sans la brusquer. Sans avoir aucun geste violent d'une quelconque façon que ce soit. Tu la fais taire pour mieux l'embrasser dans la foulée. Conscient de ses doigts qui s'en prennent à la fermeture de ton pantalon.

Cette fois c'est ta langue qui se faufile dans sa bouche. Qui va à la recherche de la sienne pour un baiser profond et brûlant. Et tes mains qui se logent sur ses épaules pour déplacer le tissu qui s'y trouve encore. Et pour ainsi faire tomber la chemise que tu balances plus loin dans le le lit. Tu l'embrasses toujours sans t'arrêter quand tu te redresses pour ôter ta propre chemise. Aussitôt ce nouveau morceau de tissu balancé plus loin, tu la fais basculer sur le lit. Ton corps repose avec douceur sur le sien. Ton bassin contre le sien, ton torse sur sa poitrine et vos bouches qui ne semblent plus pouvoir s'éloigner l'une de l'autre. Jusqu'au moment où, finalement, tu la quittes pour filer plus bas et partir à la conquête de son corps. A ton tour de déposer une pluie de baisers sur elle. Tu embrasses et lèches sa peau, ici et là. Tu t'attardes quelques longues secondes sur ses seins que tu taquines l'une après l'autre. Avant de descendre de nouveau. Son ventre et ses flancs que tu caresses du plat de tes mains et de ta bouche. Et un court instant aussi, tu t'attardes entre ses cuisses. Tu embrasses tendrement. Tu lèches du plat de ta langue. Tu taquines en suçotant. Juste le temps de la faire frissonner fort. De lui donner envie de plus. Et de nouveau tu es au dessus d'elle à l'embrasser à pleine bouche.
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Jeu 4 Juin - 20:34


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Il ne semble pas vouloir te repousser, il ne semble pas avoir envie de mettre fin à tes caresses et tes baisers. Au contraire. Billy y répond, il t’embrasse avec la même douceur dont tu fais preuve. Et tu aimes beaucoup trop la sensation que ça t’inflige. Tu soupires quand ses lèvres retrouvent les tiennes, quand vos langues se retrouvent pour se lancer dans une danse langoureuse, une danse brûlante. Brûlante tu l’es aussi. Si au départ tu ne cherchais qu’une étreinte rassurante de sa part pour te réconforter, pour te calmer, maintenant tu as envie de plus. Sans vouloir te défaire de cette douceur qui bien nouvelle pour toi. Parce que tu n’as jamais eu envie de te montrer aussi douce avec quelqu’un, tu n’as jamais senti autant de douceur de la part de quelqu’un d’autre non plus. Alors tu te laisses aller, tu plaques ton bassin contre le sien parce que tu veux le sentir contre toi, tu commences même à avoir envie de le sentir en toi. Mais tu ne veux pas précipiter les choses. Pour une fois tu veux prendre ton temps. Tu veux prendre le temps de savourer chacune des caresses que vous pouvez vous offrir. Tu lui fais part de ton désir de lui tout entier. L’excitation se fait de plus en plus grandissante, de plus en plus pressante. Pourtant tes gestes sont lents, délicats, quand tu commences à déboutonner la chemise que tu portes. Tu ne détaches pas ton regard de son visage alors que lui semble te dévorer du regard. Un petit sourire étire tes lèvres. Tu aimes ça voir le désir dans le regard d’un homme, et c’est bien ce que tu peux lire dans le regard de Billy. Et quel regard ! Tu n’arriveras jamais à te faire à ces grands yeux bleus, ces grands yeux bleus dans lesquels tu pourrais te perdre totalement. Et il y a ses lèvres aussi maintenant dont tu as du mal à te passer, maintenant que tu as goûté à leur douceur, à leur goût, à leur chaleur. Tu as encore envie de te perdre dans un baiser fougueux et passionné mais avant ça tu veux que lui aussi se retrouve dénudé, tu veux le toucher, le sentir contre ta peau.

Et quand tu l’entends soupirer, quand tu le sens frissonner, ça ne fait que t’exciter davantage. Sa peau est douce, elle est chaude. Tu te contentes pour le moment de l’embrasser, ta langue reste sagement dans ta bouche mais ce n’est pas l’envie qui manque… Tu restes encore sage même si tu sais que ça ne va pas durer longtemps. Sagesse qui s’envole totalement quand tu lui souffles quelques mots brûlants, tandis que tes doigts s’affairent pour ouvrir son pantalon. Tu souris quand il pose son doigt sur ta bouche. Tu te tais alors, t’es à deux doigts de protester un peu mais il revient s’emparer de tes lèvres et tu ne peux laisser s’échapper qu’un soupir d’aise et de plaisir. A nouveau tu appuies ton bassin contre le sien alors que vos langues se cherchent, se taquinent, se caressent. Tu mets les bras en arrière quand tu sens qu’il fait glisser la chemise de tes épaules pour te mettre totalement nue. Et le simple contact de ses doigts qui te déshabillent te suffit à frémir et à frissonner. Vos lèvres semblent scellées pour de bon, ni toi ni lui n’interrompt le baiser alors qu’il se charge lui-même de retirer sa chemise. Toi t’en profites pour venir caresser son torse, ses épaules, ses bras. Puis tu passes tes bras autour de son cou pour venir plaquer ton corps contre le sien. Tes doigts se perdent dans ses mèches brunes et tu ne te rends même pas compte qu’il remue tant tu es collée à lui. Tu t’en rends seulement compte quand ton dos échoue sur le matelas. Une de tes mains glisse dans son dos que tu caresses du bout des doigts. Tu rouvres les yeux, les sourcils légèrement froncés alors qu’il met fin à votre baiser, tu pousses un soupir, un peu déçue qu’il interrompe déjà le contact. Mais tu relaisses tomber ta tête contre le matelas en poussant un nouveau soupir, de plaisir cette fois quand tu sens ses lèvres qui glissent déjà sur ta peau. Ta main n’a pas quitté ses cheveux que tu caresses avec tendresse alors qu’il descend jusqu’à ta poitrine.

Tu gémis quand il s’attarde sur tes pointes durcies par l’excitation. Tu te passes la langue sur les lèvres, paupières closes. Tu profites du contact chaud et humide de sa langue et par réflexe tu bouges même un peu le bassin. C’est que l’excitation devient vraiment trop pressante. Tu meurs d’envie de le sentir contre toi, en toi. L’attente devient presque un supplice. Surtout quand ses lèvres continuent de descendre sur ton ventre. Tu finis par relever la tête pour le regarder, voir ce qu’il s’apprête à faire. Et tu frémis une fois de plus. T’en es presque à le supplier de continuer, de ne pas s’arrêter quand il commence à te taquiner de sa langue et de ses lèvres. Tu écartes les jambes un peu plus, tu te cambres légèrement. Tu laisses même s’échapper son prénom dans un soupir. T’as terriblement envie de lui. Terriblement. Et alors que t’es de plus en plus excitée, que tu t’agrippes légèrement aux draps, il remonte jusqu’à tes lèvres pour venir les capturer une fois de plus. Cette fois tu l’accueilles avec plus de fougue. Tu es toujours douce, mais ta langue est plus sensuelle, plus fougueuse. C’est toi qui interromps le baiser cette fois, tu te mordilles la lèvre inférieure alors que tu plonges ton regard dans le sien et tu finis par le pousser doucement. Rien à voir avec votre dernière étreinte. Tu le pousses jusqu’à ce qu’il se retrouve lui-même allongé sur le lit. Et toujours avec des gestes lents et doux, tu fais glisser son pantalon pour l’en débarrasser, et tu te charges de son boxer également. Tu prends ses deux mains dans les tiennes tu l’attires doucement pour qu’il se retrouve assis au bord du lit. Tu viens t’emparer une nouvelle fois de ses lèvres avant de te laisser tomber sur le sol, à genoux devant lui, entre ses jambes. Tu fais glisser tes lèvres sur toute sa longueur, douce caresse à laquelle vient s’ajouter ta langue qui se montre joueuse et surtout gourmande. Tu relèves les yeux pour croiser son regard alors que tu le prends entre tes lèvres. Lèvres que tu fais glisser sur toute sa longueur dans des gestes lents et langoureux. Tu le dévores mais avec douceur.


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Nicholas Crain
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Nicholas Crain
Jeu 4 Juin - 21:35


Destruction
ft @Lily Mayfair


Tu cesses peu à peu de te poser trop de questions. Parce que quoi que tu fasses et penses, l'envie d'elle est bel et bien réelle. Et tu serais bien idiot de vouloir la faire taire alors que Lily semble être bien sûre d'elle et de sa propre envie. Elle a l'air vraiment désireuse de se donner à toi une fois de plus. D'une toute autre façon en revanche. Et ça non plus, ça ne te pose pas tant de problème que ça. Parce que la douceur peut être bonne si elle est offerte de la bonne façon. Et toi aussi, en  tant qu'être humain parmi tant d'autres, tu as envie d'en avoir. A petite dose, parce que la violence semble te faire plus d'effet. Mais tu en as besoin quand même et tu ne te fais donc pas prier pour en offrir à la jolie brune, en attendant qu'elle en fasse de même avec toi en retour. Et elle même ne se fait pas franchement prier. Elle ne t'inspire et ne t'offre que ça. De la douceur. De la tendresse. Des échanges tous plus délicats les uns que les autres. Tu te fais gentiment taquin quand tu la fais taire en posant un doigt sur  sa jolie bouche. Tu la fais taire pour mieux l'embrasser. Pour mieux lui retirer la chemise qu'elle porte, aussi. Tu la fais taire pour lui répondre plutôt avec tes gestes. La façon tendre que tu as de faire danser ta bouche sur la sienne.

Et en retour, elle même se frotte de façon sensuelle à toi. Elle roule des hanches pour taquiner ton érection grandissante. A coups de frottements des plus érotiques. Qui t'arrachent quelques soupirs d'extase. D'envie. Et finalement tu la fais doucement basculer sur le lit pour l'allonger dessus et te placer au dessus d'elle. Pensant presque de tout ton poids sur son corps fin. Ses mains sont très douces sur ta peau et dans tes cheveux. Elle qui était pourtant tellement féline au cours de votre précédente et unique nuit. Plutôt du genre à planter ses ongles dans ta peau qu'à la caresser de la sorte. Et elle soupire quand tu quittes finalement sa bouche de la tienne. Tu penses pouvoir interpréter ça comme étant une pointe de frustration. Elle a envie d'autres baisers Lily. Fort heureusement, tu n'as pas l'intention de la priver de ça, trop longtemps. Toi qui entreprends, pour l'heure, de parcourir son corps des plus parfaits. Que tu n'as pas eus l'occasion de contempler ainsi la première fois. Tu le fais cette fois. Tu lui arraches quelques gémissements quand tu t'attardes sur sa poitrine. Pourtant, là encore, tu n'y restes pas une éternité. Malgré l'effet que tu sais être en train de lui faire et malgré la présence tendre de ses doigts dans tes cheveux. Finalement, tu reprends ta lente descente. Et tu sens qu'elle se tend de plus en plus à mesure que tu descends de la sorte. Elle frissonne davantage. Elle remue surtout le bassin aussi. Avide de toujours plus, tu n'as aucun doute là dessus. Elle adore tout ce que tu es en train de faire, c'est évident.

Alors tu ne te fais pas prier pour te perdre entre ses cuisses. Elle réagit au quart de tour. En écartant en grand les jambes pour t'offrir un pleine accès à son intimité. Sur laquelle tu ne t'attardes qu'avec plus de plaisir encore. Ta langue fouette gentiment sa totalité. Tu la goûtes avec une gourmandise évidente. Tu prends grand soin de ses lèvres intimes et de son bouton de plaisir que tu taquines finalement de la pointe de ta langue. Tu lui offres ça, quand tes lèvres n'aspirent pas ses chairs moites pour provoquer et attiser plus encore le plaisir et le désir. Tu poursuis ainsi encore un moment. Assez pour la sentir perdre de plus en plus les pédales. Ce n'est que lorsqu'elle est vraiment très excitée, que tu remontes le long de son corps. Même parcours. Même baisers tendres et joueurs. Tu soupirs d'aise contre ses lèvres quand elle t'offre un baiser des plus fougueux encore. Plus encore que les précédents, même. Tu le lui rends sans te faire prier. T'apprécies ce mélange détonnant. Elle est aussi tendre que passionnée. Tu ne te fais donc pas prier pour te frotter tout contre son corps parfait et lui rendre baiser sur baiser. Tu la ressens de plus en plus maintenant, la hâte d'unir enfin vos corps. La hâte de te perdre tout à fait entre ses cuisses.

T'es à bout de souffle quand elle met fin au baiser. Tu plonges un regard voilé par l'envie, dans le sien. Elle qui se mord la lèvre inférieure d'une bien adorable façon. Tu ne t'attends pas vraiment à ce qu'elle remue. C'est pourtant ce qu'elle fait. Elle te fait rouler dans le lit pour que tu t'allonges sur le dos. Elle te retire pantalon et boxer dans la foulée. Avec une hâte certaine, mine de rien. Tu ne te fais pas prier pour t'installer au bord du lit, quand ça semble être réellement ce qu'elle attend de ta part. De la même façon, tu lui rends son baiser. Et la regardes ensuite descendre d'un étage. Tu te tends aussitôt que tu réalises ce qu'elle est sur le point de te faire. Mais surtout, tu ne fais rien pour la repousser ou l'arrêter. Bien au contraire. C'est avec plaisir que tu la regardes s'installer à genoux devant toi. Position terriblement excitante. Tout comme la suite. Avec tendresse elle fait glisser ses lèvres sur ton sexe. Tu soupires déjà une première fois. Ensuite sa langue s'ajoute à la partie. Cette fois tu serres les dents en refermes tes doigts sur les draps. Tu les empoignes fort et tires un peu dessus. Mais c'est quand elle referme ses lèvres autour de toi et plonge son regard dans le tien, que tu laisses entendre un premier gémissement. Et que tu perds ta main dans ses cheveux surtout. Non pas pour appuyer mais pour la guider. Et pour l'inciter à poursuivre, mine de rien. Quand elle entreprend de glisser sur toute ta longueur.  Sa bouche chaude est diablement accueillante et terriblement excitante. Pourtant tu résistes encore à l'envie d'appuyer à l'arrière de son crâne pour l'inciter à te prendre tout entier ou à y aller plus vite encore. Tu prends ton mal en patience. Tu apprécies la vision de son joli visage déformé par la présence de ta longueur entre ses lèvres gourmandes. Tu apprécies surtout la sensation de l'étau de sa bouche autour de toi et de sa langue chaude qui te flatte dans le même temps.
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