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(+18) destruction (ft. billily)
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Ven 5 Juin - 10:40


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Ce que tu fais est totalement dingue. C’est peut-être même la chose la plus dingue que tu n’aies jamais faite. Pourtant t’en as fait un paquet de trucs dingues. Toi-même tu es un peu dingue sur les bords. Mais cette folie elle vaut le coup que tu te laisses aller ainsi, que tu t’emballes totalement. Elle vaut le coup que tu ne réfléchisses plus, que tu ne penses plus à ce qui va suivre. Parce que ce qui compte actuellement c’est juste vous deux, vos deux corps qui semblent être irrémédiablement attirés l’un par l’autre, vos deux bouches qui se cherchent, qui se caressent. En temps normal tu n’es pas une adepte de longues embrassades de ce genre, tu évites même tout baiser avec tes partenaires parce que tu trouves ça trop personnel, trop intime. Mais là tu pourrais passer des heures à embrasser de Billy, tu pourrais l’embrasser encore et encore jusqu’à ce que tu n’aies plus le moindre souffle. Et il te le rend tellement bien Billy. Il t’embrasse avec passion et douceur, c’est tout nouveau pour toi ça, tu n’as jamais eu envie d’embrasser quelqu’un de cette façon avant. Tu ne comprends pas trop ce qui t’arrive. Est-ce parce que Billy t’a sauvée de tes cauchemars et du monstre qui y vit que tu as cette folle envie de tendresse ? Peut-être. Parce que tu te sens vulnérable, tu te sens fragile et pour une fois tu as laissé quelqu’un te voir dans cet état, tu as laissé quelqu’un te voir telle que tu es vraiment. Même si plus tard tu renieras totalement que c’est le cas. Tu te cacheras à nouveau derrière ton masque de femme froide et mauvaise, vicieuse et sadique. Et tu n’auras jamais à justifier ce qui t’a poussé à agir comme tu le fais maintenant, parce que ce sera l’unique et dernière fois que tu laisseras Billy te voir sous ton vrai visage. Au moins, en agissant ainsi, tu te forces à rompre tout contact avec lui par la suite.

Pour le moment, le contact tu le cherches encore et encore. Tu ne te passes plus de ses lèvres contre les tiennes, de sa langue qui vient caresser la tienne. C’est sensuel, c’est passionné, c’est fougueux et doux à la fois. Tu n’as vraiment jamais ressenti une sensation semblable. Alors tu t’agrippes presque désespérément à ses lèvres comme si ta vie en dépendait. Comme si ces baisers insufflaient la vie en toi. Et parce que Billy semble demandeur également, il te débarrasse totalement de ton unique vêtement. Tu ne prends pas encore le temps de le regarder, de regarder son corps dévêtu quand il se débarrasse de sa propre chemise. Parce que tu es bien trop occupée à l’embrasser encore et toujours. Et parce qu’après tu te retrouves allongée sous son corps, tu ne peux toujours pas en profiter. Pas avec les yeux en tout cas. Tes mains, quant à elles, se font un véritable plaisir de découvrir chaque millimètre de sa peau, tu parcours son dos du bout de tes doigts, alors que son torse se plaque contre tes seins. Tu aimes également cette sensation. Il t’apporte beaucoup de chaleur Billy. Lui, qui te paraissait si froid. Tu te rends compte que tout comme toi, il est capable de faire preuve d’autant de froideur que de douceur et de tendresse. Tu soupires contre ses lèvres quand tu sens son bassin se coller au tien. T’as terriblement envie de lui, c’est la première fois que tu désires autant quelqu’un en fait. Et ça te perturberait un peu si tu prenais le temps d’y penser et de te poser des questions. Mais tu es totalement aveuglée par ton propre désir, et ton plaisir. Et finalement, vos lèvres se séparent provoquant ainsi un sentiment de frustration. Mais si tes lèvres doivent se passer des siennes, c’est ton corps qui en profite pleinement.

Tu pousses un long soupir à chaque fois que ses lèvres rencontrent une zone sensible. Et autant dire que tu es sensible de partout actuellement. La moindre caresse, le moindre baiser sur ta peau te fait frémir toujours un peu plus. Et quand finalement il échoue entre tes cuisses, c’est un gémissement que tu pousses. Une de tes mains agrippe les draps sur lesquels tu tires fortement alors que l’autre vient se glisser à l’arrière de sa tête. Tu perds tes doigts dans ses cheveux, tu le décoiffes totalement alors que tu te cambres et que tu remues le bassin pour appuyer un peu plus ton intimité contre ses lèvres. La fois précédente tu n’as pas eu l’occasion de sentir ses lèvres aussi intimement. Et là c’est pour ton grand plaisir que tu en fais la découverte. A chaque fois que sa langue glisse sur tes lèvres, sur ton bouton de plaisir, tu gémis, tu te mords la lèvre tellement c’est bon. Tu te retiens de tirer sur ses cheveux, parce que c’est un peu un réflexe pour toi de te montrer un brin sauvage. Mais là, tu veux que ça reste doux, que ça reste tendre. Et quand il cesse de jouer avec ton intimité, quand il sent que tu n’en peux plus, tu relèves légèrement la tête pour le fixer de ton regard voilé d’excitation. Tu l’accueilles très chaleureusement quand il revient sur toi, contre toi. Tu refermes un peu tes cuisses autour de sa taille et tu passes tes bras autour de son cou pour l’embrasser à pleine bouche. Tu reviens chercher sa langue, tu la caresses de la tienne avec encore plus de fougue. Et cette fois c’est toi qui remues pour changer de position. Tu n’as pas eu l’opportunité de découvrir totalement son corps la dernière fois. Vous étiez trop excités pour vous lancer dans des préliminaires. Alors tu en profites maintenant. Et quand tu le mets entièrement nu, tu restes quelques secondes à l’admirer, tu ne t’étais pas rendue compte qu’il était aussi sexy. Tu t’en mords même la lèvre alors que tu te le fais s’asseoir pour t’installer à genoux devant lui.

Tu le goûtes avec gourmandise. Tu fais durer le plaisir un peu, tu joues avec lui, avec ses nerfs. Tu tardes un peu le moment où tu le prends tout à fait dans ta bouche. Tu emprisonnes toute sa longueur de tes lèvres charnues et gourmandes. Et quand tu l’entends gémir, ça ne fait que t’exciter davantage et te donner encore plus envie de le déguster. Tu aspires son sexe, tu le fais disparaitre totalement dans ta bouche, jusqu’à ce qu’il vienne cogner dans le fond de ta gorge. Tu gardes cette position une petite poignée de secondes et tu remontes tout le long de son membre durci. Tu le libères de tes lèvres, juste le temps de reprendre un peu ton souffle. Et souvent tu relèves les yeux vers lui pour croiser son regard, pour guetter ses réactions. Quand tu croises ses beaux yeux bleus dans lequel tu peux y lire le plaisir que tu lui procures, un petit sourire lubrique étire tes lèvres. Coquine, joueuse, tu viens lécher son sexe, tu t’attardes un peu sur son gland pour le faire gonfler encore un peu plus. Et tu le reprends une fois de plus en bouche, encore une fois tu l’aspires en entier. Tes va et vient sont très lents, langoureux. Mais tu accélères un peu, encore un peu plus, jusqu’à avoir une cadence assez rapide. Mais tu ne la gardes pas longtemps, parce que tu finis par le libérer enfin. Tu le libères quand tu sens qu’il n’en peut plus. Tu ne veux pas qu’il jouisse maintenant parce que tu espères bien qu’il te fasse l’amour, de la plus langoureuse des façons. Alors tu restes à genoux devant lui et tu te passes la langue sur les lèvres en le regardant, toujours avec ce petit sourire. Tu te redresses avec grâce, avec sensualité. Tu t’installes sur lui, sur ses genoux. Tu passes tes bras autour de son cou et tu reviens capturer ses lèvres. Au même rythme que ta langue qui vient caresser la sienne, ton bassin frotte contre le sien, ce qui t’arrache quelques soupirs, même un gémissement de plaisir. T’es prête à l’accueillir, t’as jamais été aussi prête, mais tu veux que ça soit lui qui te prenne.


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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Sam 6 Juin - 22:40


Destruction
ft @Lily Mayfair


Tu es désormais tout bonnement incapable de te raisonner et de t'arrêter en si bon chemin. Le fait est que tu as vraiment envie d'elle et qu'il est maintenant hors de question de t'arrêter. Parce qu'elle a envie de toi elle aussi. Elle vibre tout contre toi. Elle tremble même tout à fait. De plus en plus fort. Vous êtes de nouveau sur la même longueur d'ondes. Mais d'une toute autre façon que la première fois. Rien à voir avec la brutalité que vous mettiez dans chacun de vos gestes la première fois. C'est nettement plus doux, tendre et patient. Tu ne sais pas si elle a l'habitude de ce genre d'étreinte ou si c'est plus ou moins une première pour elle. Tu as l'impression que ça fait une éternité que tu n'as pas connu ça toi même. Et tu dois bien admettre que ça fait beaucoup de bien. Au corps comme au moral. C'est chaud. C'est délicat. Tu lui montres de cette façon que oui, tu es capable de tout ça. Sans doute qu'elle ne s'y attendait pas vraiment à ce que tu saches faire. Pas pour rien qu'elle t'a carrément posé la question en même temps. C'est qu'elle s'interrogeait vraiment. Et qu'elle peut maintenant constater que oui, tu sais faire. Et même, que tu y prends un plaisir certain. Alors que tu vibres tout contre elle et sembles chercher toujours plus de contact tendre entre vos peaux qui s'enflamment à vue d'oeil. T'es même tout bonnement incapable d'arrêter les choses pour le coup. Vous laissez tomber les masques pour l'occasion. Vous abandonnez votre froideur légendaire au profit d'une chaleur qui se répand dans l'ensemble de vos corps et âmes. Chaleur que vous échangez à coups de baisers enflammés eux aussi. Alors que vous étiez d'accord sur l'idée de ne pas avoir ce genre de geste l'un pour l'autre, la première fois. C'est bien la preuve que vous pouvez être sur la même longueur d'ondes ...

Plus les secondes et minutes défilent, plus votre baiser semble gagner en intensité. Vous ne vous éloignez vraiment plus l'un de l'autre et n'avez de cesse que de vous embrasser avec fougue. A vous accrocher ainsi l'un à l'autre, tellement fort. Et pourtant, sans user de vos dents pour écorcher la bouche de l'autre. Vous pouvez apparemment vous en passer sans trop de mal. Même si c'est tout aussi bon et intense. Tu peux même la sentir qui soupir son aise quand vos bassins se frottent l'un contre l'autre. Ça aussi c'est agréable. A vrai dire, comme tout le reste depuis que vous vous êtes ainsi perdus l'un contre l'autre. Ces dernières minutes sont les plus chaudes que tu as connu depuis des lustres. Tout en restant toujours aussi tendre. La tension monte avec lenteur. Vous permettant ainsi de parfaitement la sentir et l'apprécier à sa juste valeur. Comme le plaisir qui ne prend que trop aux tripes. Mais ce n'est encore rien en comparaison de ce qui l'attend. Ce que tu lui offres quand tu descends le long de son corps pour aller te perdre entre ses cuisses. Forcément que tu as envie de lui arracher quelques autres plaintes de plaisir. Parce que tu en prends à lui faire subir ce genre d'attouchement des plus chauds et torrides. Tu prends un plaisir fou à la faire gémir de plus en plus fort à chaque nouveau coup de langue que tu faufiles entre ses lèvres intimes. A chaque fois que sa pointe s'attarde sérieusement sur son bouton de plaisir surtout. Impossible pour toi de passer à côté du fait qu'elle aime vraiment ça. Avec sa main qui se perd dans tes cheveux et qui tire doucement dessus.

Sans parler de son bassin qui danse au rythme tantôt lent, tantôt effréné de ta langue taquine et gourmande. Elle roule des hanches pour se frotter de plus en plus fort contre ta bouche. Elle cherche toujours plus de contact. Et tu ne te fais évidemment pas prier pour lui offrir tout ça et plus encore. Tu n'as aucune envie de t'arrêter en si bon chemin. Tu veux la pousser à bout ou presque. Lui arracher de plus en plus de plaintes de plaisir. Et en même temps, tu as la ferme intention de te redresser pour retrouver sa bouche de la tienne avant de la faire jouir. Le besoin de te perdre en elle avant toute chose. Elle ne se fait pas prier pour te recevoir tout contre elle quand tu reviens à sa hauteur. Elle enroule bras et jambes autour de toi et t'offre un baiser des plus profonds et des plus passionnés encore. Rien que des échanges tous plus chauds et délicieux les uns que les autres. Le genre dont tu ne parviens vraiment pas à te défaire pour le coup. Parce que c'est vraiment bon et parce que ça permet à la tension de gonfler de plus en plus. De s'intensifier. Et ça dure un bon moment, avant qu'elle ne remue pour changer de position. Tu as soudainement bien l'impression d'être à son goût quand elle te retire tes derniers vêtements pour te mettre totalement à nu et prendre le temps de t'observer. Tu la vois réagir de façon très positive et ça t'arrache à toi un petit soupir discret. Qui se fait crispation des mâchoires quand tu comprends ce qu'elle a l'intention de faire. Parce que forcément, tu es plus que partant pour ça. Et soudainement bien vibrant à cette idée fort intéressante et fort alléchante.

Mais ce n'est encore rien en comparaison de l'état dans lequel elle te met bien vite. D'abord avec tendresse quand ce sont ses lèvres puis la pointe de sa langue qui viennent te découvrir sur toute ta longueur. Elle semble prendre le temps de t'apprendre par coeur, avant d'aller plus loin. Avant de refermer sa bouche autour de toi pour t'avaler tout entier. Tout de suite tu laisses entendre un bref gémissement. Tu aimerais basculer la tête en arrière pour éviter d'assister à la scène qui se joue là sous tes yeux. Mais t'en es tout bonnement incapable. Justement parce que la vision de sa bouche qui se déforme tout autour de ton sexe, est beaucoup trop sexy et trop érotique. Tu ne peux te détourner de ça. C'est magnifique. C'est sexy à souhait. Et elle en rajoute surtout une couche quand elle plante son regard dans le tien. Bien consciente, évidemment, de l'état dans lequel elle te met du coup. Tu ne peux pas même retenir un faible juron alors que tu n'es pas le genre de personne à jurer de la sorte. Un "oh putain" qui s'échappe quand elle y va plus franchement. Et pour le coup, elle sait vraiment ce qu'elle fait Lily. Quand elle joue avec ton gland autant que quand elle t'aspire fort. Et quand elle t'enfonce au plus profond de sa bouche. Te permettant de cogner fort contre le fond de sa gorge. Elle n'hésite pas. Plus tu gonfles et durcis entre ses lèvres, plus elle y va vite et fort. Et tu ne manques pas de te tendre de plus en plus. Excité au possible, t'es aussi soulagé que frustré quand elle te libère pour se redresser et te retrouver. Elle s'installe bien vite à califourchon sur toi et frotte son intimité à ton sexe trempé de sa salive tout en t'offrant un nouveau baiser des plus passionnés. T'es tout bonnement incapable de te retenir cette fois. Tu la fais basculer sur le lit pour t'allonger à demi sur elle. Et c'est dans le même mouvement, ou presque, que tu t'enfonces en elle. Sans violence. Sans brutalité. Simplement avec une hâte brûlante et sans la moindre difficulté tant elle est trempée et tant elle t'a toi même trempé de sa bouche gourmande. Tu te glisses tout entier en elle et laisse échouer un gémissement contre sa bouche que tu continues de dévorer avec une tendre passion. Tu perds maintenant tes mains dans ses longs cheveux bruns éparpillés sur le matelas. Caresses de tes pouces qui se logent sur ses tempes. Caresses de ton bassin qui va vient sensuellement contre le sien. Entre ses cuisses fermes et douces.
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Dim 7 Juin - 11:06


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu réagis au quart de tour. Tu te tends totalement quand il perd son visage entre tes cuisses. Quand il te déguste de sa langue experte. Tu gémis, bruyamment, tu ne cherches absolument pas à être discrète, tu ne réfléchis plus à rien. Tu te laisses guider par tes envies, ton désir et ton plaisir, mais aussi le sien. Tu tires fort sur les draps quelques instants avant de perdre tes doigts dans ses cheveux, sur le dessus de son crâne. Mais au lieu de t’y agripper, au lieu de t’acharner dessus comme tu l’aurais fait en temps normal, tu caresses sa tête, tu fais glisser ses mèches brunes entre tes doigts avec beaucoup de douceur et beaucoup de tendresse. Même quand tu te cambres pour appuyer un peu plus ton intimité contre sa bouche tu le fais avec douceur. Même tes gémissements sont doux, ta voix est douce, sonore mais douce. Et tu sens que lui est doux aussi, sa langue est douce, chaude, humide, elle épouse parfaitement tes lèvres intimes. Tu trembles contre cette langue. Tu as envie de te tortiller dans tous les sens, simple réflexe, mais au lieu de ça, tu te mordilles la lèvre, tu étouffes un gémissement. Tu n’arrives même pas à redresser la tête pour le regarder faire, tu es obligée de l’appuyer complètement contre le matelas, tu en fermes les yeux. Tu sais que s’il continue encore un moment il va te propulser vers l’extase, et tu fais tout pour repousser ce moment, parce que c’est trop tôt, tu ne veux pas atteindre l’orgasme avant qu’il ne te possède totalement. Et c’est une torture parce que ton corps réagit presque violemment. Et alors que tu sens que tu vas craquer, que tu n’en es pas loin, il s’arrête de lui-même. Légère frustration qui est vite oubliée quand il revient vers toi pour t’embrasser à nouveau. Tu passes tes bras autour de son cou pour t’agripper à lui comme si ta vie en dépendait et tu réponds à ce baiser avec fougue et tendresse, toujours. Mais même si ce baiser est délicieux, même si le contact de cette langue qui t’a poussée à bout est des plus agréables, tu te forces à y mettre fin pour l’exciter à ton tour.

Il réagit Billy, il gémit, il grogne de plaisir. Et tes lèvres déjà occupées s’étirent en un discret sourire quand tu l’entends jurer. C’est la première fois qu’il se laisser aller comme ça et tu te doutes bien qu’il adore le traitement que tu lui offres. Alors tu n’hésites pas à te donner à fond. Tu alternes, tu lèches, tu suçotes, tu aspires… Tu le sens gonfler entre tes lèvres et ça t’excite toi toujours plus. Ta main posée sur son ventre, tu le dévores tout entier, de toute sa longueur, jusqu’à ce qu’il occupe toute la place, qu’il remplisse ta bouche entière. Tu veux le rendre fou de désir pour toi. Tu veux le sentir excité au point qu’il n’en puisse plus, qu’il ne résiste plus à l’envie de te prendre, de te posséder. Tu veux un peu le tester aussi, tu te demandes toujours s’il sera capable de te faire l’amour et non de te baiser sauvagement –même si tu as adoré ça la dernière fois- tu le provoques, tu le titilles jusqu’à l’implosion. Par contre tu ne lui laisses pas l’occasion d’exploser, de jouir entre tes lèvres. Tu t’arrêtes avant, tu t’arrêtes quand tu sens qu’il est tendu au maximum. Quand tu fais glisser une dernière fois tes lèvres sur toute sa longueur, en aspirant bien, tu te passes la langue sur la lèvre inférieure d’un air gourmand. Tu reviens t’installer sur lui, gestes félins, sensuels et langoureux au possible. Quand ton intimité trempée d’excitation rencontre son sexe trempé de ta salive, tu pousses un long soupir. Soupir vite étouffé par vos lèvres qui se retrouvent à nouveau. Tu remues lascivement ton bassin pour te frotter contre lui, tu gémis dans sa bouche, les sourcils froncés et les bras autour de son cou. Tu sens que tu pourrais même atteindre l’orgasme juste en te frottant encore quelques secondes comme ça à lui. Parce que tu es super excitée, tu ne sais même pas si tu as déjà été autant excitée une fois dans ta vie.

Et comme s’il pouvait lire dans tes pensées, Billy te repousse pour t’allonger sur le matelas. Docile –pour une fois- tu te laisses faire. Tu te retrouves allongée sur le dos, tes cheveux éparpillés autour de ton visage. Tu gardes un instant tes mains posées de chaque côté de tes épaules. Le regard voilé par le désir, par l’excitation intense, extrême qui t’envahit, tu le fixes alors qu’il se glisse en toi. Tu finis par fermer les yeux et tu pousses un long gémissement. Parce que ce moment tu l’attendais avec tellement d’impatience. Parce que c’est divinement bon. C’est terriblement bon même. Quand tu sens ses mains dans tes cheveux, ses pouces qui caressent tes tempes, tu ouvres finalement les yeux, lentement. Ton regard croise le sien et ne le quitte plus. Tu es comme hypnotisée par ses billes bleues. Tu lèves une main fébrile jusqu’à son visage, tu caresses sa joue avec tendresse. Et du bout de tes doigts tu suis chaque trait de son visage. Un visage magnifique, un visage atypique, mais un visage remarquable. Ton pouce s’attarde sur la courbe de ses lèvres pleines, et ton regard se replonge dans le sien. Tu ne comprends pas ce qu’il se passe dans ton corps, dans ton esprit, mais quand tu recroises ce regard magnifique, ton cœur manque un battement. Ton palpitant déjà bien emballé s’arrête juste un coup, et ça te fait bizarre, vraiment bizarre. Tu sens comme un coup de chaud t’envahir, la chaleur te monte aux joues. Ne serais-tu pas en train de rougir Lily ? Si, et c’est bien la première fois depuis une éternité. Tu ne sais pas ce qui t’arrive, tu ne comprends pas. Et ça ne te met pas vraiment à l’aise. Tu sens que ce n’est pas très bon ce qui est en train de se passer là. Tu sens que tu risquerais de le regretter. Il faut que tu fuies son regard. Et le meilleur moyen pour ça c’est de passer tes bras autour de son cou, de rapprocher ton visage du sien. Tes lèvres effleurent les siennes, douce caresse qui te fait frémir. « Billy, embrasse-moi encore… » Tu supplies presque. Tu frottes son nez contre le sien, tu frottes tes lèvres contre les siennes. Alors que vos bassins remuent à l’unisson, que ses va et vient lents et doux te procurent le plus grand plaisir, tu caresses sa joue d’une main et sa nuque de l’autre. Tes lèvres presque scellées aux siennes, tu gémis son prénom. « Embrasse-moi… » Que tu susurres d’une voix à peine audible.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
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Nicholas Crain
Dim 7 Juin - 13:08


Destruction
ft @Lily Mayfair


Elle ne semble pas vouloir se cacher du plaisir qu'elle prend, dès l'instant où ta langue gourmande rencontre son intimité de plus en plus trempée. Elle s'exprime à grands renforts de gémissements sonores et autres plaintes qui ravissent l'oreille. C'est sexy cette façon qu'elle a de s'exprimer. Et ça ne te donne que plus encore l'envie de la taquiner de cette façon intime. Parce qu'elle réagit merveilleusement bien et que, tout naturellement, ça t'excite pas mal. Tu as envie de la dévorer toute entière. Et si ça ne tenait qu'à toi, tu pousserais le vice jusqu'à la faire jouir de cette façon. Ce que tu ne fais pourtant pas. Parce que tu la veux pleinement consciente quand tu te glisseras enfin en elle. Et pas encore à moitié sonnée par l'orgasme. Aussi sexy puisse-t-elle être dans un tel moment. Tu veux qu'elle soit secouée toute entière par la première pénétration et les vas et vient qui suivront. Parce que ce sera au moins aussi intense que vos échanges de baisers qui demeurent tellement passionnés et enflammés. Pour l'instant, elle reste aussi concentrée que toi sur l'instant présent. Sur ta bouche gourmande qui continue de lui arracher quelques plaintes de plaisir. En retour, elle caresse tes cheveux plus encore qu'elle ne tire dessus. Ses doigts s'enroulent autour de tes mèche brunes et vont et viennent en douceur. Une douceur dont tu ne la pensais pas tout à fait capable. Mais tu ne te fais pas prier pour les accepter ces petits gestes.

Ce n'est que lorsque tu la penses être au bord de l'extase, que tu interrompes cette très délicieuse torture. Tu te redresses pour retrouver sa bouche de la tienne et lui offrir un baiser brûlant et passionné. Encore. Tu ne t'en lasses vraiment pas de ces échanges qui continuent d'enflammer tous tes sens. Tu vibres contre elle et finalement, il lui faut mettre fin à tout ça pour s'occuper de toi en retour. Tu réagis au quart de tour. On ne peut plus ravi par l'idée, bien entendu. C'est pire encore quand elle commence. Parce que tu réalises qu'elle sait très bien ce qu'elle fait. Elle maîtrise l'art de la fellation et tu ne vas pas t'en plaindre alors qu'en plus, elle t'enfonce tout entier entre ses lèvres expertes. Et elle n'hésite pas à continuer de vifs vas et vient de la sorte. Elle t'aspire franchement, te lèche avec gourmandise et recommence. Te permettant de cogner au fond de sa gorge, encore et encore. Au point de t'arracher un juron. C'est dire à quel point elle te met dans tous tes états. T'es sans dessus dessous et elle n'hésite pas à reproduire les petites choses qui te font tant d'effet. Comme le fait de te faire disparaître tout entier dans sa bouche accueillante. Comme le fait de t'aspirer avec insistance. Tu enchaînes les soupirs pour tenter de te calmer, et les gémissements qui sont la preuve de ton plaisir grandissant. Alors t'es presque soulagé quand elle abandonne ton sexe pour venir s'installer à califourchon sur toi. Son magnifique corps se frottant ouvertement au tien.

Il ne te faut pas bien longtemps avant de la faire basculer sur le lit pour reprendre le dessus et enfin te perdre entre ses cuisses. En elle, plus précisément. Pénétration langoureuse et relativement lente qui vous arrache à tous les deux, une plainte de plaisir. T'es gonflé à l'extrême et elle palpite déjà tout autour de toi. Sensations amplifiées très vite par les lents vas et vient que tu entreprends. Tu es déjà pas mal secoué par les sensations qui te prennent et te secouent tout entier. Tu ne saurais mettre des mots là dessus ni expliquer ni pourquoi ni comment. Mais le fait est que tu prends déjà un pied d'enfer à tout ça. Et que tu ne souhaites rien d'autre que poursuivre. Ce que, évidemment, tu fais sans te faire prier. Avec le coeur qui cogne durement dans ta cage thoracique et le souffle qui te manque tant tu es secoué fort par tout ça. Et tu continues. Surtout tu continues. Bien incapable de t'arrêter en si bon chemin. C'est diablement bon. Tu prends beaucoup de plaisir et tu sais qu'elle aussi. Vos regards ne se quittent plus. Et tu ne sais pas si c'est ça qui la fait rougir, mais sur ses joues apparaissent bel et bien quelques rougeurs. Pour autant tu ne t'arrêtes pas. Et tu ne lui offres un baiser que lorsqu'elle t'en fait la demande, avec insistance.

Vos langues bataillent langoureusement ensemble de nouveau. Et toi tu gémis ton plaisir contre sa bouche. Jolies lèvres que trop tentantes qui continuent de te faire un effet dingue. Tu gémis quand elle souffle ton prénom, quand elle te caresse de ses doigts, quand elle fait danser son bassin tout contre le tien. Et surtout, surtout, tu ne t'arrêtes pas de remuer entre ses cuisses. Au contraire. Tu continues de prendre le temps pour que les frottements soient aussi intenses à l'intérieur qu'à l'extérieur. Et tu l'embrasses encore. En laissant échouer tes soupirs et gémissements contre ses lèvres. Quelques minutes de plus avant que tu ne te redresses. Mine de rien tu changes de position. Tu la fais bouger pour qu'elle s'allonge sur le flanc et tu viens te coller à son dos. Position tout aussi langoureuse qui te permettra de garder sous contrôle la vitesse de tes vas et vient. Et qui t'offre aussi le contact de sa jolie croupe contre ton bas ventre. Tu t'y colles déjà. L'une de tes mains lui fait relever une cuisse et tu plonges de nouveau en elle. Main qui remonte ensuite pour aller se refermer autour d'un sein alors que tes vas et vient reprennent. Tu gémis une fois de plus. Cette fois, à la sensation que procure ces frottements entre ton bas ventre et son cul parfait. Et à son sein parfait qui emplit la paume de ta main. Une position qui vous permettra encore de vous embrasser si l'envie vous prend.
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Dim 7 Juin - 18:21


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu te perds totalement dans cette étreinte langoureuse et diablement excitante. Billy te met dans un état de dingue. Jamais tu n’as désiré quelqu’un aussi fort. Jamais tu n’as ressenti autant de plaisir avec un homme. C’est comme si Billy avait un pouvoir au bout des doigts, sur sa langue et ses lèvres. A peine il te touche, ton cœur s’électrise tout entier. Quand sa langue se montre joueuse entre tes cuisses tu as l’impression de perdre la tête. Tu n’en peux tout simplement plus, c’est trop puissant, c’est trop violent, même si votre étreinte à vous est douce et tendre. Mais le plaisir, le désir lui est toujours aussi virulent. Il frappe ton corps, le fait réagir, tu n’es plus que frémissements, frissonnements et gémissements. Il te rend vraiment dingue Billy, tu ne sais pas pourquoi, tu ne comprends vraiment pas pourquoi lui plus que les autres hommes que tu as fréquentés –et il y en a eu pas mal- arrive à te mettre dans un état pareil. Tu ne sais pas si tu aimes ça ou si ça te fait un peu peur. Sûrement un peu des deux. Il est en train de se passer quelque chose dans ta tête, dans ton corps, mais tu ne sais pas encore quoi, tu ne comprends pas ce qui t’arrive. Mais c’est fort. C’est tout nouveau pour toi et c’est vraiment puissant. Et tu essayes de passer outre tout ça, de ne pas y penser, de ne pas te déconcentrer de ce que vous êtes en train de vivre tous les deux, ensemble. Mais ça te saute au visage, comme une évidence, à chaque fois que vos regards se croisent, à chaque fois que vos lèvres se retrouvent, à chaque fois qu’il te touche… Tu ne peux t’empêcher de te dire que tu n’as jamais, absolument jamais, ressenti ça avant. Et heureusement vous alternez, un coup c’est lui qui te titille de sa langue, un coup c’est toi qui le déguste de toute sa longueur. Ça te permet de ne pas avoir le temps de te poser trop de questions. Mais une chose est sûre, tu n’as jamais été aussi heureuse de procurer autant de plaisir à un homme. Et tu n’as jamais eu envie de faire autant plaisir à un homme. C’est pourquoi tu te montres particulièrement attentive quand tu l’as en bouche. Le moindre grognement, soupir, la moindre réaction de sa part, tu t’en sers pour lui faire le plus de bien possible.

Mais tu ne le laisses pas jouir, pas encore. Tu reviens vite capturer ses lèvres et c’est lui qui met fin à votre supplice à tous les deux. Parce que vous désirez la même chose : vous perdre l’un dans l’autre. Alors quand il se glisse en doigt avec douceur, avec délicatesse, tu pousses un long gémissement de soulagement. Depuis le temps que tu en avais envie. Tu as l’impression que ça fait des heures que vous vous cherchez, que vous vous tournez autour, tant tu es excitée. Et tu deviens de plus en plus friande de ses caresses, quand il te touche le visage tu en fermes les yeux, tu en soupires. Jamais personne n’a été aussi tendre avec toi. Tu ne pensais même pas un jour ressentir ça. Et parce que tu ne peux pas rester trop longtemps à le fixer sans que ça ne te fasse perdre un peu plus la tête, tu le supplies de t’embrasser. Tu veux que ça soit lui qui t’embrasse, tu veux sentir qu’il en a envie, autant que toi. Et quand tu te perds à nouveau contre ses lèvres, tandis que lui, se perd entre tes cuisses, tu prends son visage à deux mains. Tu le caresses avec tendresse, douceur. Tes gémissements échouent directement contre ou dans sa bouche alors que ta langue flirte langoureusement avec la sienne. Tu finis par te séparer de ses lèvres pour faire glisser les tiennes sur son visage, sur sa joue, le long de sa mâchoire. Douces caresses alors que tu effleures sa peau de ta bouche. Ton bassin lui roule langoureusement, au même rythme que ses coups de reins. C’est divin, c’est sensationnel. Une de tes mains finit par quitter ses cheveux pour descendre dans sa nuque puis dans son dos. Du bout de tes doigts tu suis la ligne de sa colonne vertébrale alors que tu gardes ton visage contre le sien, tu fais tout pour éviter son regard qui te perturbe de plus en plus.

Et la nouvelle position qu’il te fait adopter te facilite la tâche. Tu te laisses faire une fois de plus quand il te pousse à t’allonger sur le flanc et qu’il se glisse derrière toi. Ton cœur bat de plus en plus vite. Cette nouvelle position te permet de le sentir contre ton dos, contre ta chute de reins. Tu adores sentir sa peau douce et chaude contre la tienne. Et bien sûr tu relèves la cuisse comme il te le demande avec ses gestes. Tu ramènes ta jambe un peu en arrière pour qu’elle se pose sur lui, qu’elle se raccroche à ses jambes à lui. Tu te mets instantanément à remuer le bassin pour frotter tes fesses contre son bas-ventre. Tu ramènes une de tes mains derrière sa nuque alors que tu tournes un peu le haut de ton corps et que tu tournes ton visage vers lui pour parsemer sa mâchoire ainsi que son menton de doux baisers. Ta main libre vient recouvrir la sienne qui agrippe ton sein. L’autre se perd toujours derrière sa nuque que tu caresses du bout des doigts. Tu remues toujours ton bassin au même rythme que le sien, un rythme langoureux mais aussi puissant, assez puissant pour le sentir totalement en toi. Tu sens le plaisir qui grimpe de plus en plus, tu sens que tu ne vas plus tenir bien longtemps. Et quand tu sens que ce n’est plus qu’une question de secondes avant que tu ne sois propulsée totalement vers l’extase, tu relèves le visage pour venir chercher ses lèvres des tiennes. Tu ondules ton bassin un peu plus rapidement mais en gardant une cadence assez langoureuse. Ta langue vient à la rencontre la sienne alors que tu gémis tout contre sa bouche. Tu frémis, tu frissonnes, tu te tends, tous tes muscles se tendent. Tu trembles presque tellement c’est bon. Ton cœur s’emballe toujours plus. Et alors que tu atteins l’orgasme –le plus puissant que tu aies jamais connu- tu libères sa langue pour gémir son prénom tout contre ses lèvres.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Dim 7 Juin - 20:24


Destruction
ft @Lily Mayfair


Tu ne saisis toujours pas la raison pour laquelle elle a eut envie de cette étreinte. Mais pour le coup, tu es incapable de faire autrement que de lui offrir la chose. Parce qu'à toi aussi ça te fait beaucoup de bien. Parce qu'à toi aussi, ça te fait vibrer d'extase quand tu frottes ton corps contre le sien. Quand tu vas et vient en elle de façon si langoureuse et que tu veuilles à plonger toujours plus en profondeur en elle. Elle est diablement délicieuse Lily. Et aucun doute qu'elle en est bien consciente. Aucun doute qu'elle prend même beaucoup de plaisir à en jouer. Et ça ne te dérange évidemment pas alors que pour l'heure, c'est toi qui profites de tout ça. Tu ne te fais pas prier pour profiter de tout ce qu'elle veut bien t'offrir. Que ce soit son corps qu'elle offre à tes mains et à ta bouche des plus gourmandes. Ou sa bouche en retour qui se referme autour de toi et qui t'avale entièrement. Une série de vas et vient énergiques qui ne manquent pas de t'arracher quelques plaintes de plaisir. C'est beaucoup trop bon pour ton bien. Et en même temps, tu ne peux que vouloir de ça encore et toujours plus. Qu'elle continue de te faire vriller comme elle sait un peu trop bien le faire. Parce qu'elle maîtrise cet art à merveille et qu'elle n'hésite pas du tout à t'en faire profiter autant que possible. T'es à deux doigts de jouir quand finalement elle te libère de sa bouche.

Et très vite, c'est entre ses cuisses que tu t'enfonces. Tu peux difficilement faire autrement. Impossible pour toi de résister à la tentation. De résister à l'envie qu'elle ne sait que trop bien susciter en toi. Tu as presque l'impression que c'est plus fort encore que la toute première. Que cette fameuse nuit au cours de laquelle vous vous êtes faits autant de bien que de mal. Où vous vous êtes mordus jusqu'au sang et baisés avec hargne et violence. Comme deux animaux affamés.  Aujourd'hui, les deux prédateurs que vous êtes, semblent vouloir profiter de bien plus de tendresse et de douceur.  Vous vous en donnez donc à coeur joie dans un tout autre registre et ne vous arrêtez pas en si bon chemin. Vous vous donnez plutôt bien volontiers l'un à l'autre. C'est chaud et torride à souhait. C'est intense. C'est aussi porteur de choses que vous préférez forcément ignorer, l'un comme l'autre. Mais tu ne te fais quand même pas prier pour poursuivre. Vous échangez quelques baisers brûlants, sans pouvoir vous en empêcher. C'est bien trop bon et trop intense pour ça. Tu auras tout le temps plus tard pour ressentir quelques regrets et pour voir si vous devez vous éloigner aussi rapidement que possible l'un de l'autre. Histoire de passer à autre chose dans les plus brefs délais. Parce que vous n'allez certainement pas offrir davantage que cette nouvelle étreinte. Une étreinte bien trop tendre.

Tu continues d'aller et venir de la façon la plus lente et langoureuse qui soit, en elle, un petit moment encore. Tu prends tout ton temps parce que c'est bon et que tu vois bien qu'elle aime ça tout autant que toi. C'est vraiment bon et tu ne peux t'arrêter en si bon chemin. Pas tant que vous n'avez pas tous les deux jouis. Quitte à vous rejoindre dans une nouvelle torride extase.  Et en gardant vos bouches gourmandes l'une contre l'autre. Mais en attendant que ça arrive, tu prends encore le temps. Tu profites et apprécies grandement tout ce que cette étreinte te permet de ressentir. Parce que c'est incroyablement bon, bien sûr. Parce que tu ne t'es que très rarement sentis sur la même longueur d'ondes qu'une femme, de cette façon. Et ce, que ce soit dans une étreinte brutale ou une étreinte beaucoup plus douce. Tu prends donc forcément le temps d'apprécier celle ci à sa juste valeur. Parce que tu vibres tout entier et que tu peux sentir à quel point il en va de même pour elle. Vos bassins dansent au même rythme et vos langues se provoquent avec chaleur. Jusqu'à ce que tu ne fuis temporairement ce corps parfait. Mais ce n'est que le temps de lui permettre de changer de position. Toujours aussi décidé à profiter de tout son corps, tu te retrouves finalement dans son dos et tu t'enfonces une fois de plus en elle.

Tu vas et vient de façon toujours aussi langoureuse.  Tu profites surtout de cette position pour te frotter tout contre son postérieur des plus parfaits. Joliment arrondi. Peau extrêmement douce. Chair très ferme. Pas étonnant que tu prennes tant de plaisir à t'y frotter. Comment pourrais-tu faire autrement ? D'autant plus que la cadence accélère doucement mais sûrement. Et vos bassin dansent ensemble. Elle se frotte tout autant à toi. Tu gémis une fois de plus  et serres les dents. Tu vas et vient de plus en plus vite. Et ta main empoigne plus fermement encore son joli sein. Le tout gardant tout de même une empreinte tendre.  C'est la passion qui vous anime tous les deux. Vos bouches se retrouvent et se dévorent. Vos langues se font tout autant l'amour que vos corps de plus en plus bouillants.  Tu accélères encore alors que de son côté elle n'est déjà plus que plainte de plaisir sur plainte de plaisir. Elle frissonne. Elle tremble. Et elle souffle ton prénom encore une fois. Presque une fois de trop pour ton cors qui capitule à son tour. Forcément, l'effet est saisissant et incroyable. Tu gémis fort aussi quand tu ne peux te retenir plus longtemps. La boule de tension au creux de tes reins explose soudainement. Et l'extase se répand dans l'ensemble de son corps. Tu la sens qui glisse et fourmille dans l'ensemble ton corps. Et les ultimes spasmes de plaisir qui t'arrachent quelques autres soupirs et gémissements de plaisir. Pour l'heure, tu ne fuis pas. Tu échoues contre elle. Dans son dos.
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Dim 7 Juin - 21:53


destruction

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu n’en peux tout simplement plus. Vous vous êtes beaucoup cherchés, beaucoup trop allumés. Il t’a bien trop excitée avec ses baisers, ses caresses et sa langue experte qui s’est montrée baladeuse et exploratrice. Et tu t’es tout autant excitée en le dégustant et en le savourant de toute sa longueur. Alors le petit jeu a assez duré, tu en veux plus. Beaucoup plus. Tu sais que Billy est capable de te faire prendre un pied d’enfer lorsqu’il s’agit de te baiser brutalement. Et tu te demandes s’il en est autant capable dans une étreinte plus langoureuse, plus douce. Mais tu n’as pas beaucoup de doutes à ce sujet. Il t’a prouvé à plusieurs reprises qu’il sait se montrer doux et tendre sans que ça ne vienne entacher ses qualités de bon baiseur. Tu te demandes même si ça ne va pas être encore plus intense que l’unique nuit que vous avez passée l’un avec l’autre. La nuit qui aurait dû rester la seule. Parce que tu le sais que c’est une connerie monumentale. Tu le sais que tu vas le regretter. Mais t’en as beaucoup trop envie pour que tu t’en passes. Et déjà quand il est en toi, qu’il va et vient à un rythme lent, langoureux, tu gémis son prénom, tu prends ton pied. Et tu ne fais rien pour cacher le plaisir qu’il te procure. T’es expressive, c’est comme ça, et t’as besoin de t’exprimer pour ressentir pleinement le plaisir. Et en général les hommes apprécient ça, Billy ne semble pas déroger à la règle parce que ce sont des regards de plus en plus brûlants qu’il te lance. Et toi, tu fais tout pour les éviter ces regards. Parce qu’ils te font te sentir étrange. Ils te procurent un sentiment inconnu, un sentiment que tu n’arrives pas du tout à identifier. Mais ça ne te présage rien de bon. C’est pour cette raison –entre autres- que tu te jettes sur ses lèvres alors qu’il te fait l’amour de la manière la plus langoureuse et délicieuse qui soit. Et même quand vos langues se font l’amour, tu ressens quelque chose d’étrange, toi qui n’aimes pas tellement embrasser et être embrassée, te voilà à adore ça, à en raffoler même.

Et même lorsqu’il vous fait changer de positon, qu’il se met derrière toi, collé à ton dos, tu viens chercher ses lèvres. Tu sens que tu vas vite jouir. Il t’a beaucoup trop excitée pour que tu tiennes encore longtemps. Et il te fait beaucoup trop bien l’amour pour que tu puisses réprimer l’orgasme qui pointe le bout de son nez. Quand tu jouis, tu gémis son prénom, presque dans une plainte, un soupir qui vient mourir près de ses lèvres dont tu t’écartes à peine pour récupérer ton souffle. Et il te rejoint bien vite dans l’extase ultime. Ta main qui s’est calée dans sa nuque redescend jusqu’à son visage que tu caresses avec beaucoup de tendresse. Et tu finis par laisser ton bras retomber et à te rallonger complètement sur le flanc. Il reste dans ton dos Billy, il reste contre toi, blotti contre toi. Et tu aimes vraiment ça. Tu apprécies ce contact, alors que vous avez terminé de faire l’amour. Et ce n’est pas normal, tu le sais très bien. Et tu ne veux pas qu’il s’en aille. Tu ne veux pas qu’il aille rejoindre sa chambre. Tu as envie de dormir contre lui, dans ses bras. Tu as envie de sentir son corps contre le tien quand il va se détendre, quand il va s’endormir. Tu ne comprends vraiment pas ce qui t’arrive. Tu résistes à l’envie terrible de te tourner pour lui faire face et venir ainsi lui voler un autre baiser tendre. Tu résistes à l’envie de venir te blottir contre lui, de passer tes bras autour de lui et de lui réclamer encore quelques caresses et baisers tendres. Pourtant tu en meurs d’envie. Tu résistes à cette envie puissante de te perdre dans son beau regard et de caresser son doux visage avant de venir capturer ses lèvres pour l’embrasser encore et encore, pendant de longues minutes, jusqu’à ce que vous n’ayez plus de souffle, que vous soyez beaucoup trop épuisés.

C’est dur mais tu dois résister à tout ça. Parce que tu sais que ce n’est pas normal. Tu n’as jamais envie de tout ça avec un homme. En temps normal tu prends tes affaires et tu t’en vas sans rien dire. Une fois que tu as eu ce que tu voulais, tu ne veux plus rien avoir à faire avec l’homme qui vient de te baiser. Mais là, c’est différent. Billy ne t’a pas baisée, ce n’était pas que ça, il t’a prise, il t’a possédée, complètement. Et tu as bien peur qu’il ait pris plus que ton corps. Et ça te fait flipper. Parce que quand tu te dis qu’il faut que tu partes d’ici et que tu n’y remettras jamais plus les pieds, ton cœur s’emballe et tu te sens soudainement très triste. Ce n’est vraiment pas normal. Alors au lieu de faire tout ce dont tu as envie actuellement, tu fais ce que tu dois faire. Et ce que tu dois faire c’est t’écarter le plus vite possible, c’est t’éloigner le plus vite possible de lui. Prendre tes distances. Et pourtant ça te fait chier à un point ! C’est vraiment à contrecœur que tu t’extirpes de son étreinte et que tu te relèves. Tu remets un peu d’ordre dans tes cheveux avant de te pencher pour ramasser ta petite culotte que tu enfiles puis ta robe que tu remets. Tu fais tout pour éviter de le regarder parce que tu sais que tu pourrais craquer et que tu te précipiterais sur lui pour qu’il te serre fort dans ses bras. « Ça va mieux maintenant. Je vais rentrer chez moi. Merci encore… pour tout. » Ta voix est basse, tu essayes de la rendre la plus froide possible. Mais en fait à la fin elle se brise un peu. Parce que tu n’as pas envie de partir, mais il le faut. Tu n’as pas le choix. Tu sais que si tu restes ici tu vas sombrer totalement. Tu n’en es déjà pas loin. « T’inquiète, je vais prendre un taxi. » Que tu souffles, mais c’est totalement faux, t’as besoin de prendre l’air, t’as besoin de respirer parce que tu as l’impression d’étouffer. Et avant de passer la porte de la chambre tu as le malheur de te retourner et tu sens ton cœur qui se serre, très fort, trop fort. Et ça te fait un mal de chien. Alors faut que tu fuies, faut que tu disparaisses et que tu ne le revoies plus jamais.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Lun 8 Juin - 18:05


Destruction
ft @Lily Mayfair


Tu ne penses plus du tout aux potentielles conséquences qu'auront vos actes. Pour l'heure, la seule chose qui t'intéresse, c'est le plaisir que vous prenez tous les deux. Qu'il soit pleinement partagé ou plutôt divisé avec elle d'un côté et toi de l'autre. Le fait est que cette étreinte très douce et très tendre, s'avère également être torride à souhait. Parce que vos corps se frottent sensuellement l'un contre l'autre et que vos peaux s'échauffent parfaitement. Vous prenez beaucoup de plaisir à tout ça alors même que tu ne pensais pas pouvoir autant apprécier une étreinte de ce genre. Tu étais persuadé que tu étais maintenant fait pour les étreintes bien plus sauvages et brutales comme celles que vous avez pu partager tous les deux, au cours de cette fameuse nuit. Aujourd'hui, tu peux constater que tu t'es trompé sur toute la ligne. Non seulement tu peux encore apprécier la tendresse. Mais en plus, c'est avec elle que tu redécouvres la chose. Avec elle que tu partages toute cette tendresse que tu ne pensais pas un jour pouvoir ressentir pur elle. Tu étais persuadé qu'elle ne t'inspirerait toujours qu'une belle dose de haine. Parce que ça semble être le sentiment prédominant entre vous. Et que vous avez tout l'air d'être bien incapables de vous supporter. Aucun doute que ce sera de nouveau le cas lorsque le jour pointera de nouveau le bout de son nez. Aucun doute que vous n'allez pas pouvoir vous supporter bien longtemps tous les deux et qu'elle s'en ira vite.

Mais tu es bien incapable de penser à tout ça alors que tu n'es encore que trop occupé à apprécier franchement cette fameuse étreinte. Avec ton bas ventre qui frotte allègrement contre ses jolies fesses bien rondes. Et ta main que tu refermes plus ou moins fort autour de son sein bien rond lui aussi. Elle a un corps des plus parfaits la jolie Lily. A ton goût tout du moins. Tu sais bien qu'il ne peut être au goût de tout le monde. Beaucoup d'hommes préfèrent les femmes un peu plus rondes. Ou même carrément plates. Et cette diversité est magnifique au possible. Même pour un homme tel que toi qui est peu atteint et intéressé par les apparences. Ce ne sont que des apparences. Le fait que tu sois de ceux qui bossent avec le cerveau, y est pour beaucoup dans le fait que tu ne t'attardes pas sur une première impression. Tu t'intéresses toujours à ce qu'il y a derrière la façade. Qu'elle soit attirante ou non au premier abord ne change rien à la chose. Et justement, le fait est que Lily a beaucoup trop de choses en commun avec toi.E t qu'il ne s'agit pas des choses les plus positives. Elle a le même genre de démons que toi. L'obscurité au fond des yeux. Les ténèbres de la nuit qui n'ont de cesse que de l'engloutir chaque jour un peu plus. Tu as souvent eus l'occasion de rencontrer des personnes hantées de la sorte. Mais jamais aucune qui te ressemble tant.

Mais tu sais aussi et surtout que ça ne vous poussera jamais à entamer un autre genre de relation. Vous n'allez pas passer davantage de temps ensemble. Vous n'allez pas soudainement vous apprécier non plus. Surtout pas. Même si tu ne peux quand même pas nier que cette étreinte et ces échanges qui suivent, sont fort agréable. C'est avec un plaisir sincère que tu profites quelques minutes de plus de son corps contre le tien. De ses courbes moulées contre les tiennes et/ou perdues dans l'une de tes mains. Tu apprécies tout ça et c'est évidemment la raison pour laquelle tu ne t'éloignes pas d'elle. Loin de là. Tu restes encore un moment. Et c'est elle qui finit par s'extirper de tes bras. Tu crois deviner la suite. Tu t'attends à ce qu'elle rejoigne l'autre côté du lit et te demande, d'une façon ou d'une autre, de la laisser dormir. Tu t'attends à ce qu'elle te fasse comprendre qu'il est grand temps que vous alliez vous coucher, chacun de votre côté. Ce n'est pourtant pas tout à fait ça, non. Tu bascules sur le lit pour t'allonger sur le dos et poser une main sur tes yeux. Tu regrettes un peu de lui avoir offert une étreinte de ce genre, avec autant de facilité. Mais certainement pas au point de vouloir la fuir rapidement comme elle est en train de le faire avec toi. Parce qu'elle n'hésite pas elle.

Elle s'éloigne de toi à la vitesse de la lumière et enfile ses fringues sans chercher à gratter la moindre minute supplémentaire ici. Et toi tu ne peux évidemment rien faire pour la retenir. Il n'y a pas de raison pour que tu fasses quoi que ce soit du genre. Elle parle d'une voix basse et d'un ton relativement froid Lily. Tu n'interprètes pas la fin de phrase qui s'éteint. Tu préfères ne pas te mettre à analyser quoi que ce soit de son comportement et de ses réactions. Tu choisis de prendre les choses comme elles semblent être. Elle prend de vive distances avec toi et tu n'as d'autre choix que te faire avec, bien sûr. Elle ne veut pas rester ici, c'est un fait contre lequel tu ne peux rien surtout. Quant à ce que tu ressens à cet instant très précis, tu es un brin frustré et un brin déçu. Tu ne saurais expliquer pourquoi. Mais t'en es conscient. Tu le ressens au plus profond de toi. Tu sais que c'est là. Mais tu ne sais comment expliquer la chose. Alors tu ne cherches pas à le faire. Tu te contentes de te redresser en position assise. Ça marche. Que tu te contentes de répondre quand elle parle d'appeler un taxi. Elle veut se débrouiller toute seule pour s'en aller au plus vite et ne surtout rien te devoir. Tu tires un trait définitif sur elle. C'est le mieux à faire.
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