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[+18] Orgueil & Préjugés... & Sexe ft Amy
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Sam 4 Juil - 11:26

Orgueil & Préjugés... & Sexe
Déjà que son corps n’était que frustration depuis qu’il l’avait vu de l’autre côté du bar. Déjà qu’il était sûr les nerfs que son corps la veuille encore une fois. Déjà qu’il était en colère de son comportement. Il fallait qu’en plus, elle joue les jalouses. Qu’elle joue les garces. Un moment, elle l’envoyait chier. L’autre, elle le testait. Un coup oui. Un coup non. Il aimait jouer. Il aimait se brûler les ailes. Ce qu’il n’aimait pas, c’est qu’elle le prenne pour un con. Elle lui avait dit ne pas vouloir de lui. Elle aurait pu simplement draguer un autre homme. Ou tout simplement s’en aller. Là, il aurait eu le dessus. L’aurait sorti des griffes d’un pauvre con incapable de la satisfaire. Il l’aurait suivi jusqu’à sa voiture, prétextant voir la savoir en sécurité. Mais là, il ne comprenait plus rien. Le problème, c’est qu’il avait des difficultés avec la colère. Incapable de la contrôler. Il suffisait de voir ce qu’il avait fait subir à son oncle, lorsqu’il avait appris pour le meurtre de son père. Une balle entre les deux yeux. Un autre exemple, il avait tendance à être violent dans ses rapports sexuels, c’était une façon pour lui d’extériorisé ses démons. La noirceur dans son coeur. Alors, il valait mieux pas le mettre en colère. Oh non, il ne ferait jamais de mal à une femme, mais il y avait beaucoup de façon d’extérioriser sa noirceur. Alors, il l’avait kidnappé. Devant tout le monde. Rien à foutre. Il n’était plus à un problème prêt. Elle tentait de se débattre, mais il était comme sur pilote automatique. Ses mots n’étaient qu’un brouhaha qui tentait de se frayait un passage dans sa torpeur. Qu’est-ce qu’il allait faire ? Il n’en savait rien. La baiser ? Sans doute mais jamais sans son autorisation. Se prendre la tête. C’était sûr à 100 %. Il l’avait déposé. Enfin plutôt emprisonné dans la ruelle sombre. Son corps faisant barrage à toutes tentatives de fuite. Sans le vouloir, elle se rapproche de lui. Sans doute pour se libérer du mur, mais la voilà maintenant si proche de lui. Il sentit la pointe de ses tétons contre son tee-shirt. Cette petite zone sombre qu’il prendrait entre ses dents. Pour l’entendre gémir. Encore une fois. Elle joua avec ses nerfs. A la plus maligne. Elle s’approcha même de lui pour lécher le lobe de son oreille. Faisant naître un élan de désir encore plus intense dans son corps. Elle se frotta contre lui. Elle jouait les putes. Mais, ça c’était loin de l’attirer. Il avait beau détesté son côté sûr d’elle. Imbu de sa personne. Sophistiquée. C’était justement ce que son corps voulait. Cette fille trop propre sur elle. Loin des autres filles qu’il pêchait dans les bars. Au lieu de l’excitée, cela le mit encore plus en colère. Complètement contradictoire. D’un coup de bassin, il la recolla contre le mur. Son torse collé contre ses seins si généreux. « Arrête ça tout de suite. Si je voulais une pute, je payerais pour ça. Et on sait très bien que c’est pas toi de jouer les allumeuses... » Sa voix claquant comme un coup-de-poing. Non, ce qu’il voulait c’était elle. La fille hautaine, qui lui résistait mais avec classe. Celle qui encore trois jours avant il n’en aurait pas voulu. Même pour tout l’or du monde. Et maintenant, il en était presque à supplier. Il allait falloir qu’il fasse une thérapie. Il devenait complètement fou. Comment on pouvait être aussi attiré par une femme aussi détestable. Pourtant, s’il était honnête, ces trois derniers jours, il n’avait pensé qu’à leur nuit ensemble. « Contrairement à toi, j’assume aimer jouer ce petit jeu mais seulement quand je comprends les règles. Ouai j’aime que tu me résistes. Comme j’ai aimé te baiser et que j’aimerais te baiser. Ouai, tu m’insupportes et j’aimerais pouvoir ignorer mon corps et continuer à te détester. Sauf que j’ai trop envie de te baiser. Toi. Pas la petite allumeuse. » Après des années de sport, il pourrait la briser là. Personne n’entendrait rien. Personne ne saurait rien. Mais, ce n’était pas lui. Alors, sans qu’elle puisse résister. Sans qu’elle puisse se défendre, il l’obligea à se retourner. Face contre le mur. Il se colla contre elle. Son imposante érection venant se loger contre son parfait derrière. Putain pourquoi elle portait encore cette fichue robe. Elle était sa prisonnière mais il n’était pas un bourreau. Elle avait encore une carte de sortie. « Je suis loin d’être patient, Murphy. Et tu sais à quel point je gère mal la colère, donc si tu veux que je te baise, dis le. Sans m’allumer, sans aller plus loin. Juste parce que tu en meurs d’envie. » Sa main venant caresser sa peau nue. Montant dangereusement vers le haut de sa cuisse. Sa bouche chuchotant maintenant dans son oreille. « Baise-moi Rylan. » Alors qu’il vient lécher doucement le lobe de son oreille comme, elle venait de le faire.
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Jeu 9 Juil - 12:46

orgueil, préjugés et sexe
Rylan & Amy


Toute notre relation est une contradiction. La première fois que j'ai posé les yeux sur lui, j'ai su qu'il était un nid à emmerdes. Son petit sourire arrogant, son regard qui scanne un corps féminin comme s'il reluquait un morceau de viande, son haussement d'épaules quand il a fait une connerie et que les conséquences lui importent peu. Son impertinence quand il s'exprime, comme si tout était simple et tout lui était dû. La façon qu'il assure que je le désire alors que je fais tout pour montrer le contraire. L'amusement que je lis sur son visage quand je lui tiens tête au lieu de faire tout ce qu'il meurt d'envie de m'infliger. Ce mec est énervant, agaçant même. A force de détourner le regard, il a fini par me repérer. Le ton est vite monté. Le clash était inévitable.
Je me renfrogne quand il se montre froid et blessant dans ses mots. Je fronce même les sourcils, surprise qu'il n'ait pas été réceptif à mon petit tour de charme. J'en viens même à me demander si j'ai mal fait quelque chose. Tout y était pourtant. La petite voix sensuelle, le regard lubrique, le chuchotement contre l'oreille, le corps frôlant le sien. "Tu ne me connais pas." C'est tout ce que je trouve à dire en réponse. Je suis tellement perturbée que rien de très élaboré ne me vient. En même temps, je pensais vraiment pas qu'il allait me remballer comme ça.
Quand il reprend la parole, je lève les yeux vers lui et je crois que mon coeur loupe un battement quand il répète encore une fois qu'il veut me baiser. Ça devrait me révolter, me faire voir rouge. Je devrais même déjà être en train de le repousser en l'engueulant pour sa façon de parler à une femme. A la place, je déglutis et je prends conscience que tout ce qu'il dit, tout ce qu'il avoue de son côté, et bien tout est vrai pour moi aussi. Je le hais autant que je le désire. Et bordel, c'est trop perturbant comme sentiment ! Je devrais être au cent millième dessous depuis notre nuit d'égarement. Au lieu de ça, mon esprit est déjà en train de se faire son propre film dans la tête avec des images plus qu'obscènes.
Rylan profite de mon absence de réaction pour me faire tourner dos à lui. Mes paumes se posent automatiquement sur le mur face à moi pour éviter que je ne me fasse mal. Tête sur le côté, légèrement penchée pour que seul mon front ne touche la dalle froide, je pousse un soupir en sentant la grosseur qui se frotte à mon fessier. Je ne vois pas mais je n'ai pas besoin d'un dessin pour savoir de quoi il s'agit. Les battements de mon coeur s'emballent soudain. "Tu m'rends folle putain !" Je grogne en frappant le mur d'une paume. "Et tu parles trop." Et plus il le fait, plus il arrive à me convaincre cet enfoiré. Je sens son souffle chaud contre ma joue, son érection puissant contre mon cul et son corps entier qui me maintient prisonnière. Putain j'y crois pas, je vais vraiment faire ça.. "Ok t'as gagné." Ma main gauche lâche le mur et descend le long de mon corps pour finir contre le flan de Rylan, au niveau de sa hanche pour le pousser un peu plus contre moi. Un gémissement échappe mes lèvres quand la friction de nos deux corps se fait plus intense. Je tourne la tête autant que ma nuque le permet et je cède. "Baise moi Rylan." Je vais regretter d'avoir dit ça, je le sais d'avance. Mais là tout de suite, ce sont les pulsions qui me guident. Un nouveau soupir et je tente de croiser le regard du tatoué. Dans la pénombre, c'est compliqué, je sens pourtant ses yeux sur moi. Je n'arrive juste pas à déterminer ce qu'ils renvoient comme émotion. Est-il encore en colère ? Déçu que j'ai cédé si vite ? Ou plutôt soulagé ? Aucune putain d'idée et s'il ne réagit pas vite, je vais finir par croire qu'il s'est endormi.

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Jeu 9 Juil - 23:34

Orgueil & Préjugés... & Sexe
Parfois, la vie vous faisait des drôles de blagues. Parfois, le destin vous fait rencontrer une femme à l’opposée de vous. Orgueilleuse. Qui se prend pour mieux que vous parce qu’elle ne faire rien d’illégale. Une femme qui vous casse les burnes pour un oui ou pour un non. Une femme prise de tête. Et pourtant, il suffit d’un verre de trop. D’un baiser. D’un corps-à-corps torride et brutal. Et voilà, comment, il se retrouva dans une ruelle sombre. Le corps de la seule femme avec qui il ne s’imaginait pas coucher. Alors, encore moins avoir une conversation aussi déplacée. Pourtant, c’était comme si son corps était parfaitement à sa place. Collé contre celui de la jeune femme. Qui aurait pu penser qu’ils s’emboîtaient parfaitement. Comme les deux pièces d’un puzzle. L’odeur de la jeune femme venant stimuler chacune de ses terminaisons nerveuses. Électrisant chacune de ses cellules. Bordel. Comment, une simple odeur pouvait l’exciter autant. Sa main glissa sur la peau nue de sa cuisse. Montant dangereusement vers l’ourlet de sa robe. Un petit plus et il verra ce qu’elle portait en dessous. Juste un peu plus, et ses doigts rencontreraient l’objet de son obsession. Les souvenirs de son goût sur sa langue le firent se rapprocher encore un peu plus d’elle. Par pitié, qu’elle ne dise pas non. Qu’elle ne recule pas. Qu’elle arrête de jouer les saintes. Elle n’avait que trois mots à dire. Trois simples petits mots. Et rien avoir avec ceux qu’on disait par amour. Heureusement, elle finit par ouvrir la bouche. Comme résignée. Enfin. Ils allaient arrêter de jouer. Ils allaient enfin être des adultes qui avancent au lieu de reculer. Et puis les trois mots sonnèrent comme un gong. La main de la jeune femme venant se coller contre sa hanche pour l’attirer encore plus contre elle. Putain, il est censé dire quelque chose. Faire quelque chose. N’importe quoi. Pourtant, c’était comme si son cerveau venait de court-circuiter son cerveau. D’un côté son désir destructeur pour la jolie brune. De l’autre cette colère dont il n’arrivait pas à comprendre l’origine. Et cette jalousie. Ouai tout ce bordel, parce qu’il avait été jaloux de la voir discuter avec d’autres hommes. Et maintenant, il était incapable de dire quoique ce soit. Ou même de faire quoique ce soit. Le destin était un vrai salopard. Pourtant, lorsque la main de la jeune femme commença à descendre, le long de sa jambe se fut comme un électrochoc. Pourquoi, il se prenait la tête. Elle n’était qu’une nana de plus qu’il allait baiser. Il prendrait son pied et passerait à autre chose. Alors, comme si de rien était, il murmura à son oreille. « Tes désirs sont des ordres... » dit-il alors qu’il s’écarta légèrement. D’un geste, il remonta le bas de sa robe. Dévoilant son cul magnifique. Rebondit. Parfait. Pas déçu de voir un fin tissu en dentelle, il le fit vit tomber à ses pieds. Doucement, bien loin de ses habitudes, il caressa les lobes rebondis de son derrière. Comme un trésor qu’il fallait chérir. En réalité, chaque caresse était calculée. Il voulait la torturer. Exactement comme, elle l’avait fait avec cette putain de robe. Comme elle l’avait fait en lui tenant tête. Il continua de dessiner chaque contour. S’approchant parfois un peu trop de son centre. Pourtant, il ne s'y aventura pas. Sa main glissant bien plus bas. Vers son antre. Son mont de Vénus. Il l’effleura à peine lorsqu’il sentit sa moiteur. « Va falloir que t’apprennes à mentir. T’es tellement trempée que je pourrais te prendre sans préliminaire… Fort… Brutalement... » Elle lui avait reproché de trop parler… Mais, il aimait ça. Prendre son temps. Exciter par de simples paroles. Comme là. Alors que ses doigts caressaient doucement son intimité. A peine un effleurement. A peine une caresse. Oh il avait envie d’enfoncer ses doigts si profondément en elle, mais, elle l’avait trop déstabilisé… Elle lui avait tenu tête un peu trop longtemps… Il fallait qu’elle en paie les conséquences. Alors doucement, il glissa derrière. Se mettant à genoux derrière elle. Écartant les jambes de la jeune femme, un peu trop serrée à son goût. Oubliant complètement, qu’ils étaient en pleine rue. Non… Là, il n’y avait plus qu’eux. La jolie brune se retenant au mur. Lui, écartant les replis de son intimité avec les doigts, avant d’en goûter le suc du bout de la langue. Le meilleur des aphrodisiaques. Dévorant son sexe de sa bouche. Des grognements s’échappant de sa bouche.
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Ven 10 Juil - 18:50

orgueil, préjugés et sexe
Rylan & Amy


Ce qui se passe là ne me ressemble pas. Je ne suis pas une femme qui se donne facilement, encore moins en pleine ruelle. Sous les yeux de n'importe quel passant qui marcherait par là. J'oublie que je suis à découvert, que n'importe qui peu me voir et m'entendre. J'oublie que Rylan m'insupporte au possible. Tout ce que je veux, c'est ressentir à nouveau ce plaisir fou. Vibrer jusqu'au plus profond de mon être. Ne pas me prendre la tête. Juste laisser mes sensations prendre le relais pour une fois. Les quelques secondes qui suivent mon aveu presque forcé, j'ai l'impression qu'il n'est plus là. Je le sens toujours contre moi mais il ne réagit pas tout de suite, comme s'il était perdu dans ses propres pensées. Des scrupules Skylar ? J'en doute. C'est lui qui a initié tout ça. Il ne va surement pas tout stoppé à la meilleure partie. Enfin, il se remet à parler et ses mots me rassurent. Mes fesses se trouvent à l'air libre. L'air frais me passe entre les cuisses que je serre par réflexe. Ma peau se couvre de chair de poule. Je n'ai pas froid. Pas vraiment. C'est plus du plaisir anticipé qui me fait réagir de la sorte. Il découvre le string que je porte en dessous, un mélange de dentelles finis et d'élastique et il ne perd pas de temps pour me le retirer. Je sens le tissu me frôler la jambe jusqu'à atterrir à mes pieds. Le souffle court, je réagis immédiatement à ses caresses. Ses mains se font délicates, c'est presque étonnant de sa part. Il explore mon derrière sans pour autant être intrusif. Si je ne le connaissais pas, je pourrais presque croire qu'il le vénère. Impossible venant d'un homme comme lui. Il est du genre consommateur. Il utilise puis il jette. Et ainsi de suite.
"Arrête de.. aah !" J'étais à deux doigts de l'engueuler d'être aussi doux. Ce n'est pas ça que je veux. Pas ici. Pas avec lui. Puis il pose ses doigts sur mon intimité qu'il constate trempée. Difficile de cacher ce genre de choses. "Qu'est-ce que t'attends alors ?" Me voilà directive. Impatiente. J'en grogne presque tellement j'ai envie qu'il agisse au lieu de me faire la morale. Oui j'ai menti, j'en ai bien conscience. Je n'ai pas envie que mon corps dicte mes moindres faits et gestes. Sinon je pourrais aussi bien sauter tout ce qui bouge comme lui. Sauf que ce n'est pas moi et ça ne le sera jamais. Encore une fois, il est trop doux dans ses gestes. Il me caresse à peine, juste de quoi le sentir mais sans me provoquer la décharge de plaisir tant attendu. Alors mon bassin part à sa rencontre, tentant d'accentuer le toucher. Sauf qu'il stoppe totalement ses mouvements et je tourne la tête pour voir ce qu'il trafique. Je ne le trouve plus derrière moi, je dois baisser la tête pour constater qu'il s'est agenouillé derrière moi, le visage en face de mon derrière. De ses mains tatouées, il m'écarte plus les jambes. Spontanément, je cambre le dos, lui offrant ma croupe en offrande, le souffle encore un peu plus court. Je sens à nouveau ses doigts à l'oeuvre, ils m'écartent les lèvres. La légère brise qui passe par là me provoque une plainte de plaisir. Et enfin, sa langue se fraye un passage et me lèche. J'en sursaute presque de surprise. "Oh putain !" Il n'y va pas comme un bourrin, il reste relativement tendre dans sa manière de faire et justement, c'est ce qui m'inquiète. Pourquoi il fait ça ? Je n'ai pas envie de garder un bon souvenir de notre baise. Je veux juste qu'il me fasse jouir et basta, on tourne la page. Pourquoi s'évertue-t-il à compliquer les choses ?  Ma main passe derrière mon dos et agrippe ses cheveux avec vigueur. "Bordel Rylan ! Joue pas avec moi et baise moi !" Je devrais être ravie qu'il me consacre sa pleine et entière attention. Mais comme je l'ai dit, ce n'est pas ce que je cherche. S'il veut me baiser, qu'il le fasse. Pas de préliminaires. Pas de regards tendres échangés. Pas de mots doux à l'oreille. Du sale. Du violent. De l'éphémère. Rien que ça.

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Mar 14 Juil - 21:18

Orgueil & Préjugés... & Sexe
Trois mots. Rylan, Baise-moi. Il lui en fallut pas plus pour se pencher derrière elle. Son cul parfait à la vue de tous. Mais surtout à sa vue. Bordel, il était rare qu’il aime rentrer la voiture par l’arrière. Ce n’était pas le plus propre. Mais franchement, ce cul était un appel à la luxure. A la baise brutale. Violente. Sans sentiment. Juste un corps-à-corps. Pourtant, c’était tout le contraire qu’il faisait. Peut-être qu’il voulait profiter de ce spectacle. Il savait que c’était la dernière fois qu’ils couchaient ensemble. Franchement, une fois d’accord. Deux fois, c’était étrange.Mais trois fois ? Non. Jamais. Pas avec elle. Alors autant profiter de chaque caresse. De chaque frisson. De son goût sur sa langue qui explose comme un feu d’artifice. Est-ce qu’on pouvait tomber amoureux d’un goût? D’une odeur? Si c’était le cas, alors, il n’aurait pas été contre lui procurer tous les jours du plaisir. Bordel de merde. Il devenait complètement cinglé. Il n’y avait aucune autre solution. Là, il aurait dû la dévorer. Jouer avec ce petit bouton de plaisir. Faire glisser doucement sa langue en elle. La faire jouir en deux trois coups de langue. Et pourtant, il prenait son temps. Découvrant chaque centimètre de son intimité. Chaque zone sensible. Jouant avec son clitoris qu’il gonflait rapidement. Pourtant, le dominant en lui le poussait à la dévorer. À imposer sa marque. Heureusement, pour lui, il y avait une personne d’encore censée ici. Amy. D’un geste, un peu brutal, elle lui tira les cheveux. L’obligeant à accélérer le rythme. Pas de moment tendre. Juste de la baise. Comme un électrochoc, il mordit doucement son clitoris. Provoquant une multitude de plaisir à la jeune femme. « C’est ça que tu veux... » dit-il alors que ses mains s’agrippèrent à ses fesses. Sa langue devint plus dangereuse. Plus pressante. Il torturait son clitoris entre coups de langue, petite morsure, aspiration entre ses lèvres. Il était partout sur son sexe. La dévorant comme un homme qui n’avait pas bu depuis des mois. Il la sentait venir. Il la sentait tellement au bout du gouffre. Lorsqu’une voix se fit entendre. « Rylan. » Et merde. Le vigile. Qu’est-ce qu’il foutait là ? Dans un autre moment. Avec une autre femme, il n’aurait pas été gêné de se trouver dans ses positions. A genoux, donnant le plus pur des plaisirs à une femme. Mais, il eut un instant de jalousie. Le même inexplicable qui l’avait Poussé à venir parler à la jolie brune. Il se releva d’un bond et l’attira vers le fond de la ruelle. « Laisse-là, on s’en tape… Je t’en rachèterais une. » dit-il en désignant la culotte qui gisait maintenant au sol. Seul souvenir de leur passage. Malgré les talons, il l’aida à courir, jusqu’au parking des employés qui donnaient derrière la boite. Il l’attira directement vers son 4x4. La plaquant directement contre le métal froid. Ses lèvres venant capturer celle de la jeune femme. D’une manière bien trop possessive. Sa langue obligeant les lèvres de la jeune femme à s’ouvrir. Pour l’entraîner dans une danse sensuelle, torride, brutale. Ses mains soulevant de nouveau la robe de la jeune femme, pour y glisser deux doigts. Plus le temps pour apprendre à se connaître. Plus de temps pour la délicatesse. « T’as raison, une baise brutale… J’aurais bien le temps plus tard de te baiser doucement… Dans mon lit... » dit-il en commençant à bouger ses doigts en elle. Les enfonçant si profondément, avant de les ressortir aussi vite. Des assauts rapides. Violents. Aussi brutaux que ses lèvres sur les siennes. De sa main libre, il commença à défaire son pantalon. Il la voulait là maintenant. L’adrénaline ou bien la jalousie ayant fait naître un désir dangereux.
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Mer 15 Juil - 12:52

orgueil, préjugés et sexe
Rylan & Amy


L'effet est immédiat. Dès que ses lèvres et sa langue me touchent, je m'embrase. Toute la colère exprimée un peu plus tôt se transforme en désir pur et brûlant. J'en perds le souffle. Je gémis sans la moindre retenue à mesure qu'il m'explore. Ce n'est pas suffisant cependant. Je ne comprends pas son besoin de rendre les choses compliquées. Il voulait me baiser ? Alors pourquoi perd-t-il son temps à me faire mouiller, sachant que je le suis déjà depuis longtemps ? Un homme comme lui prend ce qu'il souhaite sans penser aux conséquences pourtant. Sa démonstration de ses talents en cunnilingus ne m'impressionne pas, elle m'exaspère. Comme si j'avais besoin de savoir qu'il est doué dans ce domaine là aussi ! Je tire sur sa crinière pour qu'il se ressaisisse et qu'il me donne enfin ce que je veux. Pensant qu'il allait se redresser et me prendre dans cette position, je sursaute en sentant ses dents contre mon petit bouton. "Aah ! Bon sang !" En fait, il n'a fait qu'intensifier ses caresses, les rendant encore plus difficiles à encaisser. Putain ce mec sait manier sa langue et vu les grognements que j'entends, il a même l'air d'apprécier ce qu'il fait. Il est fou ou quoi ? Quelle mouche l'a piquée ?!
"Putain de..." Le plaisir monte. Il grimpe si vite que je pourrais me laisser aller là, dans cette ruelle sombre sans la moindre gêne. Je halète contre le mur froid, je sens la chaleur m'envahir et traverser l'ensemble de mon corps. Un frisson me fait gémir plus fort encore alors que l'orgasme approche à grand pas. Puis Rylan s'arrête soudain, me privant de la délivrance. Un couinement de frustration m'échappe. Je ne comprends qu'ensuite que la voix grave qui a résonné dans la ruelle n'est pas celle du tatoué. Je me fige et me redresse tel un piquet en tentant de couvrir mon cul à la vue du videur. Mon coeur bat la chamade pour une tout autre raison cette fois. Jamais encore je ne me suis retrouvée dans une situation si gênante. C'est Rylan qui réagit en premier en me tirant par la main et me forçant à presser le pas. Je trottine plus que je ne cours à cause de mes talons. Mais vu que je suis grande, j'arrive à le suivre sans me fouler une cheville sur le chemin. Cette fois, ce n'est pas contre un mur qu'il me plaque mais contre le métal froid d'une grosse voiture. De nouveaux frissons de fraîcheur me provoquent la chair de poule. Pas le temps de râler à cause de ma petite culotte restée sur les lieux du crime ou de sa façon constante de me plaquer contre des trucs froids. Il m'embrasse à pleine bouche et me laisse sentir ma propre odeur sur sa langue. La mienne n'a pas besoin de plus de stimulation pour se faire sa place et jouer avec sa jumelle dans une danse à la fois sensuelle et vorace. A croire que je n'attendais que ça .. c'est peut-être un peu vrai. A mon tour de perdre la tête. Comment peut-on détester un homme à ce point et avoir envie de l'embrasser à en crever ?
Je me crispe une nouvelle fois contre la voiture mais pour une autre raison. Ses doigts ont pris le relais de sa langue et leurs assauts ne sont pas tendres mais exigeants. Il ne m'en faut pas beaucoup pour soupirer de plaisir contre ses lèvres. "T'as une capote au moins ?" Baise brutale et rapide ou pas, je ne compte pas oublier l'essentiel. Rylan est un salaud, il baise tout ce qui bouge et je n'ai aucune envie de chopper une saleté qu'il a cueilli ailleurs. Ou pire encore, tomber enceinte de cet enfoiré sans limite. Je ne relève pas sa promesse de réitérer l'expérience plus tard dans son lit. J'ai dépassé le stade de la confrontation à ce sujet. J'ai juste envie qu'il me prenne. Je l'aide même à faire glisser son pantalon sur ses cuisses. Ma paume se pose sur sa protubérance et le malaxe à travers le boxer. Elle réagit immédiatement à mon toucher et m'arrache un sourire entre deux baisers. "T'attends pas à me voir à genoux en plein milieu de ce parking pour te sucer. J'ai assez perdu de temps comme ça." Moi aussi je peux être une garce égoïste et je le prouve en clamant haut et fort ce que je souhaite. Sa queue dans ma chatte. Rien de plus, rien de moins.
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Ven 17 Juil - 22:34

Orgueil & Préjugés... & Sexe
Tout allait bien trop vite. Et c’était lui qui disait ça. Le mec sans attache. Une bonne baise dans son coin et on en parle plus. Mais là, c’était étrange. Il y a trois jours, ils étaient deux personnes incapables de supporter. Bien trop fiers pour se parler normalement. Elle, prétentieuse et pleins de préjugés. Elle le voyait comme un pauvre type mafieux qui profitait des femmes et du système sans en payer les conséquences. Lui, orgueilleux et têtu. Il refusait de se faire insulter. Même si au fond, il y avait une part de vrai dans tout ça. Et puis, un peu d’alcool… Un peu beaucoup… Et ils passèrent la cinquième. Rien entre. De la haine au désir. Un putain de désir dangereux. Il suffisait de voir comment, il avait été jaloux de voir les hommes tourner autour d’elle. D’accord, il était jaloux de nature. Ce qui était à lui, était à lui. Mais avec la jolie brune. Avec Amy Murphy. Celle avec qui il avait passé plus de temps à se disputer qu’à communiquer vraiment. Merde, si on ne les avait pas interrompues, il l’aurait fait jouir avec sa bouche. Il dévorait son sexe comme un drogué en manque. Incapable de s’arrêter. Et maintenant, il causait le même traitement à ses lèvres. Le goût de son sexe se mêlant à son souffle. Une association parfaite. Un aphrodisiaque suprême. Sans le vouloir, elle avait maintenant un pouvoir sur lui. D’un seul mot, elle pouvait le mettre à genoux. Réduire ses espoirs et ses désirs à néant. Pourtant, il n’avait aucun doute sur le fait qu’elle irait jusqu’au bout. Ses doigts en elle, en étaient la preuve. Elle était tellement trempée. Son désir se rependant sur ses doigts. Elle était tellement serrée, que la chair de son intimité se refermait parfaitement autour de ses doigts. Comme un signe qui les poussait encore l’un vers l’autre. Il la voulait là maintenant. C’était aussi primaire que boire ou respirer. Alors de sa main libre, il commença à défaire sa ceinture. Très vite aidé par les mains de la jeune femme, qui agrippèrent son sexe à travers le tissu de son slip. Il était déjà si dur, comment pouvait-il l’être encore plus d’une simple caresse ? Elle le rendait fou. Il suffisait d’entendre le grognement involontaire qui venait de s’échapper de sa gorge. « Dommage Murphy… J’aurais tellement voulu voir ta bouche autour de ma queue…. Mais t’inquiète pas la nuit est encore longue... » dit-il en sortant une capote de son jean. Avant de la montrer devant le visage de la jeune femme. Elle le prenait pour qui ? Il savait déjà qui mourrait d’une balle entre les deux yeux…. Une MST ne faisait pas parti des causes de décès. Libérant enfin le sexe de la jeune femme de ses doigts, il descendit son pantalon, avant d’enfiler le plastique. Il se retourna de nouveau vers la jeune femme. Capturant ses lèvres. Les dévorant de nouveau alors que de ses bras, il la souleva pour qu’elle vienne s’enrouler autour de lui. En parfait équilibre. C’était surprenant de voir à quel point leurs corps s’imbriquaient parfaitement l’un à l’autre. Son sexe venant se loger parfaitement contre le sexe de la jeune femme. Il mourrait d’envie de s’enfoncer en elle. D’un geste sec et brutal. Pourtant, il jouait encore avec elle. Bougeant légèrement sa verge contre son clitoris gonflé. Faisant encore monter un peu plus le désir. Comme s’ils avaient besoin de ça. Alors qu’il sentit la jeune femme s’impatienter, il s’enfonça d’un seul coup en elle. Brutalement. Rapidement. Un grognement bestial s’échappant de ses lèvres liées à celle de la jeune femme. Bordel. Elle était si étroite. Si parfaite autour de lui. Pourtant, il n’était pas encore complètement en elle. Il ressortit doucement, jusqu’à ne laissait que le bout en elle. Puis, il plongea de nouveau fort, en elle. S’enfonçant si profondément elle. Il alterna mouvement lent, avant un brutal assaut. Se retenant de la baiser si fort. En réalité, il aimait l’entendre lui donner des ordres. Comme lorsqu’elle l’avait obligé dans la ruelle. Il voulait l’entendre l’engueuler parce qu’il n’était pas assez brutal. Peut-être qu’au fond, il aimait un peu trop leur dispute. Et ça depuis bien longtemps.
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Mer 22 Juil - 16:57

orgueil, préjugés et sexe
Rylan & Amy


J'ai du mal à croire que tout ça soit réel. Fricoter avec un mec, ok pourquoi pas. Se bécoter comme des adolescents, ça n'a rien d'immoral. Mais carrément se donner en spectacle en pleine rue comme si on ne pouvait pas attendre d'être à l'abri des regards ? C'est une première pour moi. Dans une voiture, ça passe encore parce qu'on peut choisir un lieu un peu sombre et caché. Mais dehors, dans une ruelle à peine d'un bar fréquenté ? Faut être taré ! Je n'arrive plus à me contrôler avec Rylan et ça me fait carrément flipper. Je deviens une autre personne en sa présence. Une garce bourrée de préjugés, prête à déverser son venin dès qu'il ose poser les yeux sur moi. Une peste qui adore le faire enrager et le pousser à bout aussi. Je ne l'avouerai jamais mais j'aime sa façon de m'incendier du regard et son besoin quasi constant d'avoir le dernier mot. Ce combat perpétuel entre nos deux personnalités est vivifiant et c'est sans doute ça qui m'excite le plus chez lui.
Enfin ça, et son corps. Même sans enlever l'intégralité de ses fringues, il me fait un effet de dingue. J'aimerais pouvoir être plus forte et résister mais mes réactions me trahissent. Le cunni qu'il m'a offert en pleine rue n'a pas abouti mais il restera dans les annales. Comptez sur lui pour me rappeler à quel point j'ai aimé ça.. Il me fout sa capote devant le nez pour me rassurer sur son attitude responsable. Je lève les yeux au ciel et lui prend le petit emballage des mains pour l'ouvrir avec les dents avant de lui tendre le préservatif en latex afin qu'il se le mette. "Et si tu terminais déjà ce que tu commençais avant de faire des plans sur le long terme ?" Je suis toujours frustrée d'avoir été privée d'orgasme un peu plus tôt. Entre l'excitation du risque d'être découverts et l'être réellement, il y a un monde. Entendre la voix du videur m'a immédiatement calmée sur mes ardeurs. Rylan quant à lui a tout rallumé quand il m'a plaqué contre cette caisse. Il finit par enfiler la capote et me soulève pour que nos bassins se trouvent à la même hauteur. Je l'entoure de mes jambes et passe mes bras autour de ses épaules pour m'agripper plus fermement. Les préliminaires sont terminés. Sa queue s'enfonce finalement en moi et je pousse un gémissement en sentant mes parois s'étirer pour l’accueillir. Putain. De. Merde. C'est bon. Pourquoi c'est si bon ?! Nos lèvres se retrouvent, on échange un baiser passionné qui nous coupe le souffle. Ses vas et viens ne sont pas réguliers, comme s'il cherche encore à trouver le bon rythme. Quand il me pénètre brutalement, mon corps cogne contre la carrosserie de la voiture et je pousse un soupire de plaisir. Mais quand il y va doucement, je peux apprécier chaque centimètre de sa longueur m'explorer et la sensation est divine. "Merde Rylan, t'as rien à prouver. Fais moi jouir c'est tout !" La voilà de retour. L'impatience. L'envie qu'il accélère et qu'il me baise violemment. La position va vite devenir inconfortable pour lui comme pour moi alors il ferait mieux d'obéir. Nos bassins se percutent et semblent faire écho dans le silence du parking. Je sonde son regard et plonge à nouveau contre sa bouche. Je la dévore comme une affamée. Je n'ai pas énormément de champ d'action alors je peux au moins faire ça. Ma main se place dans ses cheveux courts et je les attrape fermement pour le rapprocher un peu plus de moi. Mon souffle se mêle au sien et ma langue tente de dominer la sienne. C'est brutal mais passionné. En parfaite harmonie avec notre relation.

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Mer 22 Juil - 22:34

Orgueil & Préjugés... & Sexe
S’envoyer en l’air en public était loin d’être une nouveauté pour lui. Il était même plutôt adepte. Il n’avait aucune gêne en ce qui concernait sa sexualité. Il s’assumait pleinement. Il aimait la baise brutale. La baise sans lendemain. Il aimait contrôler. Le plus important, il ne se prenait jamais la tête. C’était même sa règle la plus importante. Ne jamais se lancer dans une relation trop prise de tête. Pourtant, c’était exactement ce qu’il était en train de faire avec Amy Murphy. Elle était un nid à emmerde. D’abord, parce qu’elle était la sœur de Mia. Autant dire que si Robin apprenait qu’il lui avait fait quelque chose, il lui tomberait dessus. De plus, elle était au antipode de ce qu’il attendait chez une conquête. Aussi prétentieuse que prise de tête. Aussi orgueilleuse que emmerdante. Il suffisait de voir comment, elle cherchait toutes les occasions pour lui prendre la tête. D’abord, c’était sa sœur. D’accord, elle ne voulait pas l’union du patron mais qu’est-ce qu’il en avait à foutre…. Et puis surtout, ça ne le concernait pas. Ensuite, c’était sa façon de traiter les femmes. Beaucoup de préjugés pour pas grand-chose. Ouai, les femmes courraient après lui. Oui, il n’était loin du prince charmant. Mais il n’était pas du genre à prendre sans donner. Non, jamais. Se n’était pas seulement de la baise. C’était surtout un moment de plaisir entre deux personnes. Et son corps se rappelait un peu trop comment, c’était de coucher avec elle. Un plaisir absolu. Un corps-à-corps parfait. Comme s’ils avaient fait l’un pour l’autre. Le corps de la jeune femme se calait parfaitement au sien. Comme deux pièces d’un puzzle qui s’emboîtaient à la perfection. Son corps réclamait la jeune femme depuis trois jours et il allait en profiter. Il n’était pas assez idiot pour savoir qu’ils remettraient le couvert pour un troisième round. C’était déjà une connerie d’être venue la voir au bar… Mais c’était plus fort que lui. Cette jalousie qu’il ressentait le pousser dans les extrêmes. Il la voulait elle. Tout à lui. Et à personne d’autre. Et il prenait plaisir à lui montrer. Comme là entre les deux voitures. Cachés de tous. Il la prenait doucement avant de s’enfoncer en elle. Il voulait connaître chaque centimètre de son être et en même temps la marquer de sa brutalité. De toute façon, entre eux tous étaient contradictoire. Ils venaient deux de monde différent et pourtant, un lien les attirait l’un vers l’autre. Même si pour l’instant, ils interprétaient ce lien par des engueulades. Enfin jusqu’à ce soir… Là, la jeune mafieux voulait savoir ce que ce lien étrange leur apporterait. Du plaisir. Des emmerdes. Mais à quoi servait la vie, si ce n’était pas pour prendre des risques. Ses lèvres scellées à celle de la jeune femme, il continuait à la provoquer. Allant doucement. Puis brutalement. Des mouvements presque romantiques. Pourtant, il attendait juste qu’elle lui ordonne d’aller plus vite. Est-ce qu’il perdait la tête ? Rylan Skylar qui voulait recevoir des ordres ? Il allait devoir consulter… peut-être qu’il avait de la fièvre. Oui c’était ça, une fièvre qui avait comme nom Amy Murphy. Enfin elle prononça les mots qu’il attendait. « Tes désirs sont des ordres, mon coeur... » WTF. Il donnait des surnoms. Ma belle. Princesse. Bébé. Mais mon coeur ? WTF. Pourtant, il n’eut pas le temps de se poser la question, elle l’embrassa sauvagement. S’accrochant à lui comme à une bouée alors que sa langue envahissait sa bouche, il aurait dû reprendre le contrôle mais il la laissa faire. Préférant, s’occuper du bas de leurs corps. Accélérant le mouvement, il lui donnait des coups de butoirs brutaux. Son sexe prenant une trajectoire différente, c’était une façon de découvrir chaque millimètre carré de son intimité. Autour deux, résonnaient leur corps-à-corps endiablées. Il n’y avait pas meilleur son que son bassin claquant contre les cuisses de la jeune femme à chaque mouvement. Il accéléra même le mouvement pour entendre ce bruit plus souvent. Il manquait de souffle mais pour rien au monde, il n’aurait détaché ses lèvres. Pour rien au monde, il n’aurait ralenti le tempo. Il sentait le plaisir monter en lui bien trop rapidement. Mais pas sans elle. Ils allaient jouir ensemble… Plus tard peut-être, il serait égoïste mais quelque chose lui disait que s’il jouissait sans elle, elle s’enfuirait. Disparaîtrait dans la nuit. Le haïrait encore plus. Cela aurait été plus simple. Fini la tourmente. Fini cette jalousie mal placé. Pourtant, doucement, il glissa sa main entre eux. Son pouce venant trouver son bourgeon de plaisir dont il commença à le caresser à rythme aussi infernal. Une boule de plaisir prenant de plus en plus de place dans son bas-ventre. Détachant un instant ses lèvres, il murmura d’un voix suppliant, loin de la sienne. Pourtant, sans trop savoir pourquoi il n’en eut pas honte. « Promets-moi que si je te laisse jouir, tu ne t'enfuiras pas… Je te promets que je te ferais passer la pire nuit de ta vie pour que tu es une raison de plus de me haïr. » Ajouta-il pour alléger son moment de faiblesse. Un léger sourire aux lèvres avant de prendre cette fois possession de sa bouche. S’entend les premiers signes de jouissance venir.
code by bat'phanie
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Ven 24 Juil - 17:08

orgueil, préjugés et sexe
Rylan & Amy


Mon corps est en feu. Je désire ce mec tellement fort que ça en devient grotesque. A quel moment j'ai perdu le contrôle à ce point sur mes désirs ? Et le pire, c'est qu'il ne fait rien pour me pousser à faire machine arrière. Au contraire, il est juste parfait ! Ses gestes, ses caresses, ses coups de reins, tout. Je le déteste encore plus pour ça. Qu'il soit capable de cerner mes besoins si vite me rend dingue et me donne envie de le fuir plus vite encore. Pourtant je suis là, collée à lui, repoussant mes limites et prenant un pied d'enfer. Même son surnom qui devrait me rebuter me fait fondre. Mais merde, qu'es-ce qui m'arrive ? Pourquoi l'entendre m'appeler "mon coeur" m'envoie une décharge de plaisir dans la colonne puis directement plus bas ? Je devrais trouver ça abjecte qu'il utilise un truc aussi mignon pour qualifier une femme avec qui il couche. D'ordinaire, les mecs comme lui les appellent "bébé" parce qu'ils ne se souviennent pas de leur prénom, non ? Je sais, c'est encore un putain de préjugés, je les enchaîne avec lui. Et je vais finir par en devenir un moi même si je ne me ressaisis pas très vite. Difficile de réfléchir avec l'afflux de plaisir qui me prend carrément par surprise.
Je ne vais plus tenir très longtemps, il lui suffit d'appuyer juste là où c'est le plus sensible pour me faire perdre entièrement la tête. Il ajoute même sa main entre nous pour me stimuler le clitoris en même temps. J'ai du mal à contrôler mon souffle et il stoppe notre baiser juste au bon moment pour me permettre de respirer. Son ton me prend bien plus par surprise que les mots qu'il emploie. Sourcils légèrement froncés, je croise son regard et reste silencieuse en tentant de sonder ses pensées. Est-ce que c'est encore une ruse de sa part pour me rendre folle ? J'ai vraiment du mal à le suivre, je n'ai même pas l'occasion de répondre qu'il me vole un autre baiser. Sauf que cette fois je le romps rapidement, soupirant de plus en plus fort à mesure que l'orgasme arrive. "Je te le promets." J'ai du mal à m'exprimer mais j'ose espérer qu'il a compris ce que j'essayais de dire. Ma tête balance en arrière lorsque je me laisse aller à la jouissance. Elle est si forte que je suis obligée de fermer les yeux tandis que mon corps est pris de spasmes violentes. J'enserre un peu plus ses hanches de mes cuisses, mes muscles internes retiennent son membre prisonnier et mes couinements de plaisir fendent la nuit comme des coups de fouet. Je finis par plonger mon visage dans sa nuque pour étouffer mes cris et dans la passion du moment, je lui mords le cou, goutant son odeur mêlée à sa sueur. C'est si bon putain, j'en reviens pas. Comment un coup rapide, à la sauvette, peut-il être si bon ?!
Je le sens qui jouit à son tour, il n'est plus capable de se contenir après que je me sois donnée en spectacle. Je n'ai rien simulé pour autant, j'en aurais été incapable. Il peut sentir son entrejambe être trempé de mes fluides et ce, malgré la capote de protection. Et moi, j'avoue que j'aime l'entendre grogner et m'agripper les fesses si fermement que la trace de ses ongles va y rester quelques heures. "Putain..." C'est tout ce que je trouve à dire alors que je reprends doucement mes esprits et mon souffle. J'ai les membres engourdis à cause de la position et le coeur qui bat la chamade dans ma poitrine. Je n'ose pas me redresser pour croiser son regard. Je n'ai pas envie de voir son sourire victorieux sur sa belle gueule. Il sait qu'il a fait un exploit avec moi et je n'ai aucune envie de l'encourager dans son orgueil déjà si démesuré.


(c) DΛNDELION
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