Tu comprends tout à fait ce qu'elle entend par là quand elle explique n'avoir pas besoin de se poser un million de questions, quand elle est avec sa famille. Parce que c'est précisément ton problème à toi. T'es obligé de t'en penser des milliers de millions. Obligé de peser longuement les pour et les contre avant d'agir dans un sens ou dans l'autre. Avant, même, de choisir telle ou telle tenue. Aucun doute que ce sont des détails auxquels elle n'a effectivement pas besoin de penser elle. Et tu la trouves fort chanceuse pour le coup. Quand bien même avec ça elle n'a pas la chance de rouler sur l'or. Parfois tu te poses vraiment la question de savoir ce qui est préférable. La fortune ou une famille unie et aimante. T'as quand même bien l'impression que le plus heureux de vous deux, c'est elle. Je comprends ce que tu veux dire. Que tu lui indiques quand même avec douceur. Et justement, il lui offre à son tour un petit aperçu de son noël. Qui lui permettra de bien comprendre la raison pour laquelle tu es fiancé à une femme de laquelle tu n'es plus amoureux. Que tu n'as sans doute pas profondément aimé non plus à vrai dire. Tout n'était qu'une histoire d'apparences, une fois de plus. Mais ça c'est toute l'histoire de ta vie. Tout n'est toujours qu'une histoire d'apparences et de faux semblants.
Quand tu retrouves le silence et que tu reviens à l'instant présent, tu constates que Ekaterina a les larmes aux yeux. De quoi te faire hésiter. Tu fronces les sourcils et plantes un regard interrogateur dans le sien. Parce que t'es pas bien certain de comprendre ce qui ne va pas. Et t'es même relativement gêné d'avoir causé ça. Faut que t'arrêtes d'être désolée pour des choses sur lesquelles tu n'as aucun pouvoir. Que tu lui fais remarquer, attendri et amusé à la fois. Tu la trouves adorable à réagir de la sorte, bien entendu. Mais à la fois, tu ne tiens vraiment pas à ce qu'elle en vienne à se rendre malade pour ça. C'est ta vie. Certes, tu n'as pas tout choisis la concernant. Mais t'es quand même pas le type le plus malheureux sur terre non plus. Mais elle trouve quand même le bon moyen de te faire oublier un peu tout ça, quand elle s'approche pour caresser son visage avec tendresse. Surtout, qu'elle descend de son tabouret pour se rapprocher plus encore et t'embrasser avec tendresse. C'est le moyen parfait pour me faire penser à autre chose ça. Que tu souris contre ses lèvres. Tes mains venant prendre son visage en coupe pour l'inciter à rester au plus près de toi. A t'offrir encore ces baisers aussi tendres que brûlants. Tu sais, j'ai un canapé vraiment très confortable pas loin.
Ekaterina, elle n'est vraiment faite pour ce monde. Il est trop brutal et cruel et elle est trop fragile, elle n'a pas vraiment les armes pour se battre contre ça. Enfin, il ne lui a jamais vraiment été donné d'essayer. Elle a eu la vie facile en dehors de soucis purement économiques. De belles rencontres ont jalonnés sont existences et ces soucis n'ont été que financiers. Alors c'est peut être pour cette raison qu'elle a tendance à voir le verre plein plutôt que vide. D'ailleurs, la suite de ces études risque de promettre, si elle supporte difficilement qu'son amant ai passé un noël -une enfance ?- de merde, comment elle fera pour annoncer à quelqu'un qu'il a un cancer. Surtout quand on sait qu'elle aimerait se tourner vers la pédiatrie. Après Ekaterina n'est rien sauf adaptable donc elle risque d'en souffrir mais elle s'y fera. Il est même possible que son caractère soit un plus pour ses patients. Il y en a trop aujourd'hui qui voient leurs patients comme des sujets à traiter. j'peux pas. Elle est trop empathique la jolie étudiante. Faut pas que ça l'empêche de se confier par contre, parce qu'elle est contente d'en apprendre un peu plus sur lui, de percer quelques peu le mystère ambiant autour de sa personne. Et dans un sens, elle le comprend désormais mieux. Elle qui ne trouve rien de mieux que de venir poser sa chair plus proche de la sienne pour réconforter. Ca marche. Ses yeux bleu malicieux qu'elle retrouve quand il annonce qu'il a un canapé plutôt confortable. Ses deux mains viennent attraper les siennes dans un large sourire. alors il va falloir l'essayer. Elle l'entraine avec elle. Ils ont de la marge avant d'avoir "essayé" tous les endroits confortables de la maison. Elle a l'air tellement grande qu'ils en auront jusqu'à Pâques. Une fois arrivée devant le canapé, elle s'installer pour lui faire face. Sa bouche qui recouvre celle de son amant. Sa langue s'insinue entre ses lèvres, s'enroulant rapidement autour de la sienne. Avec délicatesse, sa main trouve refuge sous son tee shirt. Elle qui sent déjà la chaleur de leurs corps se répandre entre ces cuisses. Rapidement, ces doigts viennent se glisser dans l'échancrure de son pantalon pour toucher ses fesse parfaites. Son regard est chargé de désir, presque défiant. Ses doigts presque frustrés de ne pouvoir aller plus loin à cause de ce pantalon trop envahissant, elle délie le bouton pour le faire glisser au sol. Elle se sépare de lui une seconde à peine pour le pousser contre le canapé juste derrière eux. Elle ne sait pas d'où lui cette audace mais c'est lui qui l'inspire en tout cas. Une fois son amant installé, elle vient écarter les jambes pour se caler tout contre lui, ses baisers qui reprennent de plus belle. Besoin impérieux de le sentir contre elle.
Code - Brenda
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
Tu n'en doutes pas, qu'elle ne peut pas s'arrêter de s'excuser. Si elle le fait, c'est bien que c'est tout à fait hors de son contrôle. Elle est simplement trop douce, trop empathique, trop bienveillante pour son propre bien. Tu te demandes un peu comment elle fera quand elle se lancera dans la vie active ou fera ses stages, elle qui s'est lancée dans la médecine. C'est l'une des seules informations la concernant, auxquelles t'as eus droit au cours de l'année que vous venez de passer à travailler ensemble. T'es beaucoup trop douce pour ce monde ... Que tu fais le constat avec tendresse. Toi, elle ne t'inspire que ça. Beaucoup de tendresse. Beaucoup de douceur. Aucun doute que tu feras tout ton possible pour ne jamais ô grand jamais la blesser. Tu ne sais pas encore comment tu vas t'y prendre, parce qu'il est quand même vrai que t'as un caractère particulier et que comme tout le monde, t'es parfois maladroit. Avec supplément vie assez compliquée pour toi puisqu'elle n'a rien à voir avec la sienne et que tu demandes un peu comment vous allez bien pouvoir vous y prendre pour les rendre compatibles. Parce qu'il va bien arriver ce moment où il faudra se poser la question. Tu n'as pas du tout l'intention de te contenter d'une journée, aussi agréable soit-elle, avec elle. T'as envie de croire que vous n'êtes qu'au démarrage de votre histoire.
Un démarrage en grande pompe en tout cas. Pour vous qui êtes sur le point de vous offrir une troisième étreinte. Tu mentionnes ton canapé, elle t'attrape tout de suite par les mains pour t'entraîner elle même en direction de ton salon. Tu échappes un gémissement quand elle retrouve ta bouche de la sienne et que sa langue se faufile. T'aimes bien trop la sentir si entreprenante désormais. Tu ne te fais pas prier pour lui rendre tout ça alors que vos corps se rapprochent, se frôlent, se touchent tout à fait. T'as le palpitant qui s'emballe pour de bon quand ses doigts se faufilent sous ton tee shirt pour de caresser. Sourire quand elle les faufile même directement dans ton pantalon. C'est elle qui impose ses envies là qu'elle retire ton vêtement pour ensuite te faire t'asseoir sur le canapé. Le regard que tu lui lances est assombrit par le désir. Par un besoin presque animal de la posséder au plus vite. Et elle ne te torture pas trop. Elle te rejoint déjà pour retrouver ta bouche de la sienne. Tu ne la quittes que pour ôter ton propre tee shirt avant de retirer celui qu'elle porte. Tu me fais tellement d'effet ... Que tu souffles, presque surpris. Tes mains empoignent ses fesses avec fermeté pour la ramener au plus près de toi. Que vos sexes puissent se presser l'un contre l'autre, seulement séparés par ton boxer. Que vos chaleurs se communiquent. Tes mains l'incitant à danser sur toi avec sensualité. A frotter vos désirs l'un contre l'autre encore et encore.
C'est marrant qu'il dise ça, il n'est pas le premier, sa mère était très inquiète de la laisser filer pour aller seule dans la ville de Chicago. Elle lui avait fait une remarque du genre, en ajoutant qu'elle devrait faire très attention à elle. Le truc, c'est qu'Ekaterina n'a jusque là en tout cas, rencontré que des personnes bienveillantes envers elle. Elle qui adhère difficilement au concept de méchanceté. Elle qui croit dur comme fer que si on sourit au monde, ce dernier vous le rendra. Mais c'est sans doutes vrai qu'il y a un fossé entre eux, entre leurs modes de vies. Un million de détail qui pourrait mener cette histoire a mourir avant même d'avoir commencé. Personne qui n'est vraiment capable de dire s'ils parviendront à se sortir de toutes ses différences mais ils ne peuvent pas en rester là. Pas après cette matinée. Pas après ces confessions. Pas avec tout ce désir inassouvi. Cette passion nouvelle, c'besoin presque vital de le sentir contre lui, elle n'est pas prête à y renoncer Ekaterina. Elle qui n'ose même pas poser un ultimatum à cet homme : c'est elle ou moi. Simplement parce que l'idée de l'infidélité lui déplait mais qu'elle ne veut pas lui donner une raison d'lui demander de partir. Esclave de ce qu'elle ressent pour lui. C'est trop fort et trop vite. Faut dire qu'après un an à garder dans ça enfoui dans un coin. Un an à fantasmer. Un an à s'taire. Son audace n'est que la preuve de la passion flamboyante qu'elle nourrit pour cet homme. Elle qui ne se fait pas prier quand il parle de ce canapé et prend largement les devants. Elle guide. La flamme qui brûle en elle. Presque douloureusement. Il se saisit de son tee shirt puis de celui de Kat pour les envoyer valser avant de prononcer ces quelques mots. Elle, elle lui fait de l'effet ? Putain mais il se rend compte que lui c'est pire que ça. Kat, c'était une fille plutôt sage avant de le rencontrer et à cet instant précis elle ne s'imagine plus vivre sans ces moments d'intimité. Sans lui. Les corps se rejoignent dans une danse sulfureuse, à tel point qu'ils ne font plus qu'un, ou presque. Il s'accroche à ses fesses comme un lion sur sa proie. Ses mouvements de hanche qu'elle suit, guidée fermement par les mains de son amant. Elle qui ne le quitte pas des yeux, souffle de plaisir qui s'entrechoquent. Aie aie aie. Le florilège de sensation qui la traverse à cet instant va vraiment la rendre folle. Gémissement sournois qui s'échappe de ces lèvres et qui confirme qu'il pourrait la mener à faire absolument ce qu'il désire. Même des choses qu'elle s'était jusque là interdite. Elle est belle, assise sur lui, à se mouvoir gracieusement contre son sexe. Elle joue de cette attente indicible avant le moment où il va finalement entrer en elle. Elle qui laisse pour le moment ce caleçon entre eux, profitant de ces préliminaires délicieux.
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Nicholas Crain
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Il suffit que sa bouche demeure sur la tienne plus de quelques secondes, pour que tu t'enflammes. Il suffit que ses doigts chauds se faufilent sur ta peau, pour que tu t'enflammes. Il suffit qu'elle te regarde avec insistance, pour que tu t'enflammes. En vérité, il existe beaucoup trop de façons différentes pour qu'elle gagne un certain pouvoir sur toi. Pour qu'elle te chamboule tout entier et te fasse chavirer. Et tu dois bien admettre que toi tu te laisses quand même faire sans franchement te faire prier. Parce qu'elle est sexy à souhait bon sang. Et c'est dingue, quand même, qu'elle t'en fasse plus que n'importe quelle autre femme t'en a jamais fait. Certes, t'as été tout sauf un moine au cours des années. Tu t'es bien volontiers laissé tenter par toutes ces femmes très belles qui sont passées dans ton studio photo. Mais avec Ekatinera c'est bel et bien une toute autre histoire. Elle te fait ressentir des choses que jamais aucune autre n'a pu te faire ressentir. Et t'échoues toujours plus chaudement contre ses courbes. Quand ce n'est pas elle qui vient te retrouver avec chaleur. Comme c'est le cas quand elle t'entraîne dans ton salon et qu'après le retrait de ton pantalon, elle te fait t'asseoir sur le canapé. Il te semble être plus captivé que jamais par celle qui prend soudainement les commandes. T'as un sourire relativement abrutis sur les lèvres et un regard aussi assombrit par le désir que brillant de fascination, posé sur elle.
Vos langues se caressent et se font l'amour avec une sensualité presque déconcertante. Tout comme elle ne se fait pas prier pour faire danser son bassin sur le tien. Pour frotter sa chaleur contre l'érection qui pointe de plus en plus sérieusement. Elle s'est prise au jeu. Elle se frotte avec plus d'assurance et plus d'insistance. Elle danse. Fait rouler ses hanches joliment arrondies. Et toi, quand vos lèvres ne sont pas soudées, tu prends plaisir à la dévorer du regard. Jusqu'au moment où l'attente se fait beaucoup trop insupportable. Où tout ton corps vibre du besoin de la posséder. T'es tenté de la faire basculer sur les coussins du canapé pour reprendre pleinement le dessus. Mais l'audace dont elle a fait preuve te donne surtout l'envie d'en profiter encore un peu. Alors tu te contentes de la faire se redresser un peu au dessus de toi. Assez pour faire disparaître ton caleçon qui atterrit à son tour à même le sol. La seconde d'après, tes mains retrouvent ses hanches mais pour la ramener à toi cette fois. L'une d'elle se faufilant entre vos corps pour te guider en elle. Ton regard planté dans le sien, tu la fais doucement redescendre pour qu'elle te prenne en elle. Centimètre après centimètre. T'as les paupières qui faiblissent et qui menacent de se fermer tant la sensation est délicieuse. Tu t'efforces pourtant de la regarder encore. De la dévorer des yeux et de lui montrer, surtout, tout le plaisir que tu prends à être ainsi en elle.
L'intensité de ses caresses la fait perdre pieds et plus leurs corps de rapprochent, plus son coeur s'emballe. Jamais avant de le rencontrer elle n'avait eu un tel désir pour quelqu'un. Elle se demande même si elle a eu vraiment envie de retrouver son petit ami de l'époque sous les draps. Elle ne peut qu'espérer pour lui qu'il a aussi trouvé quelqu'un qui lui fait ressentir ça. Rien ne procure plus de plaisir à Ekaterina que l'idée d'exploser de l'intérieur. Elle aime aussi grandement le fait d'avoir ce pouvoir sur lui, d'être capable de contrôler l'espace de quelques minutes son plaisir, le responsabilité de cet état de tension qu'elle sent entre ses jambes, c'est jubilatoire. Même si dans le fond, il serait plus résistant qu'elle si cette relation devenait un jeu de pouvoir. Il presse son sexe en elle et elle ne se fait pas prier pour se redresser. C'est avec une douceur presque cruel qu'elle le laisse s'enterrer en profondeur. Le regard sensuel qu'il porte sur elle pourrait suffire à l'entraîner au nirvana. Elle aime lire son plaisir sur ses traits tandis que ces lèvres s'entrouvent pour laisser sortir un gémissement. Son audace l'a mène vers un chemin différent, consciente que ce sont ces gestes lent et délicat de va et viens qui le font frémir. Même si dans le fond, on va pas se cacher, elle préfère le voir aux commandes. Enfin ça n'a pas tant d'importance de savoir qui domine dans l'affaire. Seul ce plaisir qui s'installe en a. Seule la jouissance qui vient titiller son entrejambe est importante. Elle plante ses ongles dans son torse tandis que les choses deviennent plus bestiales, elle qui accélère doucement, sentant sa verge se planter profondément en elle. Lui qu'elle accroche plus sauvagement avant de venir retrouver ses lèvres. La passion de cet échange la laisse tremblante. Plaisir qui atteint son apogée, climax affreusement délicieux. Elle hurle son plaisir à son oreille, elle qui sent son corps tout entier vibrer, cette sensation dont elle ne pourrait plus se passer. Merde, la voilà esclave.
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Tu as bien assez d'expérience en matière de sexe, pour savoir précisément quoi faire pour faire frémir ta partenaire. Tu n'as donc aucun mal à faire vibrer de désir la belle blonde qui se presse actuellement contre toi. Même s'il est question, entre vous, de beaucoup plus que de sexe. Tu le sais que ce n'est pas du tout son genre à elle, de se donner sans sentiment aucun et sans avoir l'intention de plus par la suite. Et toi tu rêvais de l'avoir depuis trop longtemps, pour t'être également arrêté à l'idée d'une seule étreinte. Tu veux plus. Tu veux tout. Tu la veux elle. Et à cet instant précis, tu veux que cette étreinte ne s'arrête plus. Que ses lèvres continuent de répondre aux tiennes et que son corps poursuive cette danse lascive sur le tien. Parce qu'elle fait ça bien. Parce qu'elle est diablement belle. Parce qu'elle te retourne tout à fait le cerveau. Toi qui contemples sans cacher tout le plaisir que tu prends à tout ça. Et toi qui souris quand elle se tend une ultime fois au dessus de toi. Qu'elle se crispe autour de toi dans une dernière plainte d'extase que tu viens cueillir de tes lèvres. Parce que t'as besoin de l'embrasser, encore et encore.
Tu pourrais laisser aller ton plaisir toi aussi. Ne pas tenter de le retenir comme t'es en train de le faire. Mais tu le fais. Pas mécontent d'en être capable cette fois. Et avec beaucoup de précaution, tu la fais basculer sur le canapé pour reprendre le dessus. La sachant sans doute incapable de poursuivre la danse de ses reins. Tu reprends le contrôle, une main en appuie sur le coussin du canapé et l'autre qui caresse. Tantôt son visage, tantôt un sein, tantôt la taille creuse et tantôt une fesse que t'empoignes plus ou moins tendrement alors que tes coups de reins reprennent déjà. Ils sont vifs. Ils sont puissants. Tu ne te la joues pas tout à fait brute. Mais t'as complètement mis de côté ta crainte véritable de lui faire mal comme c'était le cas pour votre première étreinte. Tu la sens toujours plus réceptive et désireuse de ces échanges un peu plus passionnés. Eux qui ne t'empêchent pas du tout de lui communiquer tout le plaisir que tu prends à tout ça, de ton regard planté dans le sien. Tu lui communiques bien volontiers tout le plaisir que tu prends à la posséder encore et encore. Aucun doute que tu n'es pas près de t'en lasser ...
Elle aime son corps c'est un fait, n'importe quelle femme le trouverait séduisant mais c'est un lien plus puissant qui l'uni à cet homme. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle se lance corps et âme dans une relation où rien n'a été établi. Qui sait, peut être que ce soir, Nicholas lui dira : super merci, c'était chouette et à plus. Merde, si c'est le cas, elle sera mortifiée malgré le bon moment passé. Elle qui gémit contre son corps, orgasme qui la prend et l'empêche de continuer alors que lui même n'a pas terminé. Une chance qu'il prenne les rennes, ne la laissant pas reprendre ses esprits, son clitoris encore meurtri par le plaisir. Elle n'a aucune envie de lutter et se laisse tomber sur le canapé, ces cheveux qui s'installe docilement derrière elle. Elle l'observe une seconde, elle ne s'en lassera jamais de le regarder. Il entre en elle sans crier gare et ça fait du bien. Harmonie qui pourrait rapidement atteindre la perfection, puisque l'alchimie entre eux est puissante, elle l'était déjà avant qu'ils ne posent une main l'un sur l'autre. Ses coups de reins sont si vifs qu'ils pourraient être douloureux si son corps tout entier ne brûlait pas pour lui. Emportée dans son excitation, elle vient agripper ses fesses fermement. Il est définitivement déterminé à la foutre dans tous ces états. Elle dont les gémissements perdurent dans le temps. Son souffle devient presque incontrôlable, elle qui expire et inspire plusieurs fois à la seconde. Son visage est rouge de passion, ses cheveux dans tous les sens. La pression qui ne redescend pas dans son bassin. C'est si puissant qu'elle attend presque la libération quand elle pousse un cri assez aigu en fermant les yeux. Ok, donc on peut ressentir cette explosion plusieurs fois en si peu de temps. qu'elle se dit en vibrant sous ses mains habiles et ses gestes vifs. Le dernier coup de rein est plus vif que les autres et l'oblige à accrocher une main au canapé par peur de sombrer. Waoh, waoh, waoh. Y'a pas d'autres mots en vrai. Elle reste là, difficile pour elle d'effectuer le moindre mouvement, elle qui désire profiter encore pleinement de la chaleur de son corps quelques minutes. [...] Le reste de la journée est sans grande surprise entre mots échangés et baisers partagés. Ca passe à une vitesse folle. Alors quand son regard se porte sur l'horloge du salon, elle se redresse vivement. Mince, faut que je rentre. Il est pas loin de 21h et son voisin de 82ans risque d'aller se coucher bientôt, alors si elle veut pouvoir récupérer ses clés, elle ferait mieux de filer et vite. Elle dépose un baiser sur ses lèvres et file jusqu'à la chambre pour récupérer ses vêtements. Elle ferait bien de ne pas sortir dans la tenue qu'elle a actuellement si elle ne veut pas attraper une pneumonie. Il ne lui restera plus qu'à appeler un uber et le tour est joué. Elle qui s'dit qu'elle va filer comme ça, sans vraiment avoir de discussion sur la suite parce qu'elle n'est pas prête à entendre que c'est fini alors que ça vient d'commencer.
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Tu n'iras pas jusqu'à dire que tu viens de passer la plus belle journée de ta vie ... Mais elle est quand même très haute placée dans ton classement. C'est incroyable les sensations qu'elle t'a apporté, ta belle et douce Ekaterina. Tu t'es sentis en phase avec quelqu'un comme jamais ça ne t'était arrivé. Vous avez peu parlé dans l'ensemble. Et avez davantage passés du temps à vous embrasser et à vous câliner, quand les corps n'étaient pas encore prêts à se perdre dans des étreintes chaudes. Vous avez pris le temps d'apprécier ces doux moments partagés. Vous avez pris le temps de vous découvrir comme jamais vous n'aviez eus l'occasion de le faire tous les deux. Et le moins que tu puisses en dire, c'est que ça a quand même été particulièrement bon, beau, intense. Et que tu as hâte de recommencer. Parce que pour toi ça ne fait aucun doute que vous ne faites que démarrer là. Que vous n'êtes qu'au commencement d'une relation. Parce qu'il est hors de question que tu la brises en plein vol. Que ce soit elle ou cette relation, justement. Sans doute que vous auriez dû profiter de ces beaux moments rien qu'à deux, pour en parler de cette relation. Peut-être. Mais vous ne le faites pas. Trop occupés à partager ces moments suspendus.
Jusqu'à ce qu'elle ne décrète, subitement, qu'elle doit s'en aller. T'es déçu, bien sûr. Mais tu le savais qu'il lui faudrait partir à un moment ou à un autre. Alors toi aussi tu te remets sur pieds. Et toi aussi tu rejoins l'étage des chambres. Filant de ton côté pour attraper des fringues propres que t'enfiles. Attend, je te ramène. Plus pratique que d'attendre un Uber ou un Taxi. Et surtout, ce que tu ne mentionnes pas, c'est que ça va te permettre de gratter quelques minutes supplémentaires en sa compagnie. Il faut seulement qu'elle patiente les cinq petites minutes qu'il te faut pour récupérer ton apparence de tous les jours. Hors de question que tu sortes avec les cheveux dans tous les sens. T'es habitué à vivre avec l'idée que l'on peut te surprendre et te prendre en photo absolument n'importe où, n'importe quand et n'importe comment, depuis l'enfance. Raison supplémentaire de toujours être extrêmement vigilant, donc. Alors t'es de nouveau parfaitement le gars qu'elle a l'habitude de voir au studio, quand tu la rejoins dans l'entrée. Ce sera plus rapide, plus économique et surtout, la compagnie sera plus agréable. Que tu fais mine de te vanter, sourire angélique sur les lèvres.
C'était une belle journée, une de celles dont on se souvient en vieillissant. Une de celles qui marque une existence. La sienne en tout cas est marquée à jamais, tout comme sa peau. Elle qui rompt cet instant presque trop facilement en se redressant, elle qui sait qu'elle ne doit pas se languir de sa présence trop longtemps où elle ne partira jamais. Elle file jusqu'à la chambre et s'habille avec sa tenue de ce matin, celle qu'elle devra foutre à la machine en rentrant, ça pu la cigarette. Probablement du au temps passé à cette soirée qui lui semble pourtant déjà loin. Et il propose de la ramener. Enfin propose... Impose. Mais l'idée n'est pas du tout pour lui déplaire alors elle le laisse faire sans rechigner. oh. ok. Il ne lui faudra qu'une minute à peine pour arriver près de l'entrée et l'attendre patiemment, son sac à la main. Il revient pomponné comme s'il était attendu pour un gala et ça lui arrache un sourire à Ekaterina. Il est divinement beau tout apprêté mais elle ne mentait pas en disant qu'elle le trouvait déjà fascinant dans son état "normal". c'est gentil. Et c'est sur qu'elle préfère le voir lui à ses côtés pour la ramener jusqu'à chez elle plutôt qu'un chauffeur un peu lourdingue qui demande vingt fois comment ça va alors qu'elle n'a aucune envie d'engager la conversation avec un inconnu. L'idée de passer ces quelques minutes en plus avec lui la réjouisse à dire vrai même si son comportement ne le prouve pas forcément. Elle indique la route durant un trajet plutôt silencieux, des millions de questions sur la suite qui se chevauchent dans sa tête. Aucune qu'elle n'osera poser. Alors quand il se gare, elle fixe son sac une seconde avant de redresser le regard vers lui dans un sourire. merci.Et à bientôt ? Elle se penche pour déposer un baiser presque timide sur ses lèvres, comme si la Ekaterina timide et renfermée prenait le dessus quand ils ne sont plus dans cette bulle presque magique. Elle laisse passer une seconde et pose sa main sur la poignée, prête à descendre du véhicule avec toutes ses foutues questions dans la tête. Si ça devait s'arrêter là, elle le comprendre Ekaterina, ce n'est pas ce qu'elle souhaite de son côté, mais elle comprendrait. Après tout, c'est elle qui l'a appelé, elle qui s'est littéralement jeté sur lui alors elle ne peut pas se plaindre de ce qui s'est passé si ça doit s'arrêter là. Au dernier moment, elle se ravise et se tourne vers lui. à bientôt. ça sonne plus comme une question qu'une affirmation dans sa bouche.
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