Nos yeux se parlaient des heures en silence @Elijah HartwoodElle ne sait pas trop d'où lui vient cette envie de lui ce soir, certainement un mélange de souvenirs et tout simplement des envies sexuelles à combler. Cloé est une femme qui a un appétit relativement vorace de ce côté-là et elle ne peut que succomber face à un homme comme lui, son corps bien travaillé lui donne envie d'en voir plus. Il ne la déçoit pas, il lui donne même beaucoup de plaisir, peut-être même trop et c'est bien ça qui tiraille l'esprit de la belle entre en profiter pleinement et se poser des questions. Elle choisit donc d'arrêter de trop penser et de profiter de ce qui se passe entre eux.
Baisers brûlants, sueurs de leurs corps qui se mélangent, salives aussi. Ils sont tous les deux dans le feu de l'action, ils profitent de cet instant qui leur avait visiblement manqué au vu de leur excitation commune. Gémissements à tour de rôle l'un et l'autre lorsque la jouissance les attrape. Elle ne s'en cache pas Cloé, elle laisse libre court à ses envies et sa voix qui se libère pour souffler, presque crier le plaisir qu'elle a ressenti. Elle se laisse mourir dans les draps en reprenant un peu sa respiration, ce qu'il semble faire lui aussi. Il se rapproche d'elle, l'embrasse avec délicatesse et elle le regarde, souriante, elle rigole même un peu, un rire qui se veut adorable. « J'imagine que c'est à ce moment qu'on est censé dire à quel point c'était génial etc. » un peu brute de décoffrage Cloé, en règle général après avoir fait l'amour avec ses amants, elle les laisse partir aussi vite qu'ils sont venus, une fois son pied pris, elle ne veut plus vraiment les avoir dans son champ de vision. Mais avec lui c'est un peu différent tout de même, ce n'est pas n'importe qui, c'est un garçon avec qui elle a eu une histoire et elle ne voudrait jamais le briser lui, contrairement à tous les autres. Elle le choie secrètement. Sa nature dominante reprend le dessus malgré tout, elle se rapproche de lui, le pousse pour qu'il retombe sur le dos, sa tête contre le matelas. Elle se colle un peu à lui et lui fait face, le surplombant. « Parce que c'était le cas » il ne faudrait pas qu'elle pervertisse totalement la personne qu'elle est pour lui, elle est franche et directe l'avocate, n'en déplaise. Elle ne peut cependant pas s'empêcher de lui déposer un baiser. « C'est quoi la suite ? Je t'avoue que je ne laisse jamais les hommes rester dans mon lit trop longtemps, sauf toi visiblement » Iris fixées dans les siennes, compliment caché qu'elle lui fait là, car au final il a bien l'honneur de pouvoir y rester dans ce lit. CRIMSON DAY
Intimité inattendue. Douce et délicieuse. Il n'avait pas du tout prévu que les choses se dérouleraient ainsi le bel Elijah. En vérité, il pensait seulement partager quelques souvenirs, laisser la nostalgie le gagner un peu et repartir chez lui sans plus de cérémonie. A la place, elle s'est offerte à lui pour une étreinte qui restera avec un goût d'infini. Il ne sait pas trop comment se comporter quand les choses se finissent. C'est toujours un moment délicat pour le policier. De ceux où il n'a pas les clés pour réagir de façon rationnelle. La finesse de ces émotions mal maitrisés. Il s'approche de la belle pour déposé un baiser rapide sur ses lippes et elle prend la parole à sa place. C'est une bonne chose puisqu'il est incapable de prendre les choses en main lui. Un sourire qui le gagne quand elle annonce que c'était bien entre eux. Lui qui n'a pas l'arrogance de penser qu'il est doué en la matière. De toutes façons, ce moment de partage est unique en fonction du duo, il n'y a pas de bon ou mauvais partenaires, simplement des alchimies qui se percutent ou non. Lui qui a connu des fiasco -pas plus loin que la semaine dernière d'ailleurs-.
Elle est maintenant au dessus de lui, la maitrise de la situation qui semble lui plaire. Dominatrice sur les bords, ce ne serait sans doutes pas pour lui déplaire même si c'est plutôt la tendresse qui fait parti de ses habitudes. Elle demande pour la suite, il fronce les sourcils, pas certain de bien comprendre le message qu'elle souhaite lui faire passer. oh. Alors tu veux que je parte ? qu'il demande en se redressant légèrement, son visage à quelques centimètres du sien. Il n'a pas tout à fait envie de partir. ou que je reste ? Son sous entendu trop flou pour être percutant. Il s'éclipsera sans broncher si elle le demande mais ils n'ont pas terminé de se remémorer les bons souvenirs non ? Il aimerait bien rester un peu lui, même s'il n'est pas certain que ce soit l'idée la plus lumineuse qu'il aura ce soir.
Code - Brenda
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Lun 28 Juin - 16:45
Nos yeux se parlaient des heures en silence @Elijah HartwoodIls sont quand même très différents ces deux-là et pourtant au lit ça semble matcher, peut-être même un peu trop bien si on demande l'avis de Cloé. Qu'elle lui avoue que c'était bien est déjà un grand pas en avant de sa part envers lui, car au final il mérite bien le peu de tendresse qu'elle peut lui offrir, mais de là à lui dire qu'il est même un des meilleurs coups qu'elle ait eu, peu de chance, il risque de ne jamais s'en remettre. Il faut quand même qu'elle se rendre à l'évidence que faire l'amour avec des sentiments plus doux que ceux qu'elle a l'habitude d'avoir avec ses amants est différent et ne lui déplaît pas.
Elijah, comme à son habitude, ne comprend jamais les sous-entendus. Elle veut bien lui accorder un pardon pour ça, ça n'a jamais été sa tasse de thé et Cloé adore laisser les esprits des gens qu'elle côtoie dans le flou le plus total. « J'aimerais bien que tu t'en ailles, oui » qu'elle lui dit, leurs visages qui sont à peine séparés et lui qui se redresse un peu, l'air de se questionner. Elle adore le voir un peu perturbé comme ça, il en serait presque adorable. Mais elle se reprend bien vite, sans quoi il prendrait ses paroles au pied de la lettre. « Et que tu reviennes en habit de policier » après tout, tout le monde a des fantasmes, celui-ci pourrait bien faire partie des fantasmes que la belle garde précisément dans son esprit. Elle rigole tout de même et se relève en prenant appui sur ses deux bras, le regardant. « Est-ce que tu as faim ? » ils peuvent bien manger autre chose que leur corps ce soir. Surtout que physiquement, sa creuse. « Pizza ? » pas prête à se lancer dans un repas élaboré la belle. CRIMSON DAY
Plutôt satisfait d'entendre que les choses se sont bien passés entre eux. Il n'a jamais eu de retour négatif de ce côté là Elijah. C'est un amant tendre qui manque surement d'espièglerie mais qui met un point d'honneur à partager le plaisir et serait prêt à beaucoup pour combler sa partenaire. Et quand elle demande à ce qu'il s'en aille, son regard change pour devenir interrogateur. Lui qui ne sait pas si elle dit vrai ou si elle sème un doute dans son esprit trop enclin à prendre la mouche. Lui qui n'sait pas si habillement qu'elle jouer avec le second degré. Sourire qui éclipse ce malaise quand elle ajoute qu'elle souhaite le voir revenir en policier. C'est amusant, elle n'est pas la première à lui faire cette réflexion. Ce qu'elles n'ont pas en tête, c'est que lui est habillé en civil, en dehors de son insigne qu'il traine comme un trophée. Il n'a donc pas d'uniforme qui pourrait donner des idées et envies à la jolie brune. tu sais que je ne porte pas d'uniforme quand je bosse ? qu'il répond dans un rire doux. Enfin, si cette histoire perdure, il pourrait en retrouver un...
Elle se redresse légèrement et propose de manger quelque chose. Ils vont finalement peut être arriver à discuter de cette adolescence partagée devant un repas. Après tout, ils n'ont pas du tout élaboré jusque là, les sens en ébullition qui se sont réveillés trop vivement. Je veux bien. Parce que l'idée de partager quelques heures de plus à ses côtés n'a rien de déplaisant. Au contraire. Il aurait cependant accéder à sa requête si elle avait voulu le voir partir. Je connais pas trop ce quartier ceci dit. Tu sais où commander ? qu'il demande. Il ne roule pas sur l'or et traine rarement dans ce coin là de son côté, préférant généralement rester pas loin du commissariat. Juste au cas où. Le travail qui a sa priorité. Il passe le plus clair de son temps là bas lui, comme si c'était la seule chose qui comptait.
Code - Brenda
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Mer 30 Juin - 19:42
Nos yeux se parlaient des heures en silence @Elijah HartwoodElle ne peut pas s'empêcher de lever les yeux au ciel quand il dit qu'il n'a pas d'uniforme, sourire aux lèvres. Elle en avait presque oublié qu'il était bien trop sincère et surtout qu'il ne savait pas rentrer dans son jeu ou dans n'importe quel jeu de type sexuel avec une femme. Pourtant il s'en sort plutôt bien, ce qui est un paradoxe qu'elle a de la peine à saisir. Visiblement ça n'a pas changé, il faut plutôt être direct avec lui pour qu'il comprenne les choses. Les sous-entendus très peu pour lui. « Dommage » c'est en effet terriblement dommage, car il perd un peu du fantasme qu'il pourrait représenter à ses yeux, mais la belle ne peut pas s'empêcher d'ajouter un commentaire pour le moins équivoque. « Tu as au moins des menottes ... Mmmh, ça peut être intéressant » message qu'il saura saisir ou non, elle aime bien lui faire remuer ses méninges un peu.
Il semble d'accord pour les pizzas et elle va se charger de trouver les meilleures, même si lui ne connaît pas bien le coin, elle oui. « Je m'en occupe » Elle est tout de même obligée de traverser un peu par-dessus lui du haut de son corps pour attraper son portable qui est de son côté de la table de nuit et passer la commande, sans même lui demande ce qu'il veut, car c'est le seul type sur terre qui mange des Margherita, pizza trop simple pour Cloé, à son image à lui quoi, mais elle fera cet effort pour la partager avec lui malgré tout. « Je t'ai commandé ta préf', si ma mémoire est bonne » Enfin, elle espère que c'est toujours sa pizza préférée. « C'est quoi ce tatouage sur ton biceps ? » qu'elle désigne du bout des doigts, elle n'a pas pu le louper durant le temps de leur étreinte. CRIMSON DAY
Plutôt terre à terre le garçon, il faut que les sous entendus soient tacites quand il en est la cible parce qu'il est très premier degré. Pourtant, elle ne s'est jamais trop gêné pour emprunter ce chemin houleux avant Cloé, comme si ça la faisait marrer de voir sa tronche ahurie. Parce que lui ne sait jamais si elle dit la vérité où si elle est en train de se foutre de lui. L'uniforme qu'elle mentionne alors qu'il casse rapidement son trip le couillon, elle qui insinue pourtant de façon terriblement sensuelle qu'elle serait prête à réitérer l'expérience avec lui dans un tout autre état. Alors quand elle utilise le mot menotte, il semble enfin comprendre ce qu'elle veut dire et plante ses iris dans les siens, sourire à l'appuie. ça j'en ai oui. Même s'il n'a jamais trop été adepte des jeux de rôles. Enfin, il n'a jamais essayé à dire vrai donc il ne saurait pas dire si c'est un truc qui pourrait lui convenir. Faut dire qu'avec la jolie Cloé, il serait prêt à jouer le jeu et même trouver un uniforme.
Elle se décale pour se charger des pizzas afin de la commander, elle qui se souvient bien de ses goûts d'adolescents. Encore fois, c'est la simplicité qui le caractérise le mieux. c'est gentil, depuis quand tu ne choisis pas la pizza ? j'arrive pas à croire que tu t'souviennes quelle pizza est ma préférée. parce qu'elle n'est pas du genre à céder la place aux envies des autres, et lui se contentait largement de suivre ce qu'elle voulait. Parce qu'il est comme ça Elijah, enclin à faire plaisir. Pourtant, il remarque sa petite attention et le fait surtout, qu'elle se rappelle de ses goûts de l'époque, lui qui n'aime pas les choses qui bougent de trop, ça le déstabilise. Il te plait ? qu'il ajoute quand elle admire la création de sa sœur. Je l'ai fait après la mort de papa. Les yeux qui brillent. Le cœur qui s'arrête pendant une seconde. Indicible peine qui reste. Un hommage qu'il considère important alors que d'autres dans cette famille ont préférés salir sa mémoire. Enfin, d'après lui... Tous ne s'accorderont pas sur le sujet.
Code - Brenda
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Ven 2 Juil - 18:50
Nos yeux se parlaient des heures en silence @Elijah HartwoodElle le voit cette fois qu'il a enfin saisi ce qu'elle voulait dire, lui qui est un peu lent à la compréhension. En même temps, elle ne fait que l'embrouiller avec ses sous-entendus, le pauvre. Elle ne peut donc pas lui en vouloir. Elle aussi qui plante ses iris dans les siennes, elle ne saurait d'ailleurs pas mieux faire que ça. « Au moins ça ... » c'est bien le minimum qu'il peut avoir en tant que policier. Il a quand même détruit un mythe en l'espace de quelques secondes. Elle qui s'imaginait que les policiers étaient tous accoutrés de la sorte. Ce serait comme penser que les avocats portent tous des toges noirs avec leur cravate blanche.
Elle ne peut s'empêcher d'avoir un sourire en coin tout de même lorsqu'il demande si réellement elle le laisse choisir la pizza. Enfin, elle ne le laisse pas réellement choisir, car elle le devine. Elle et sa mémoire qui s'encombre de pas mal d'informations inutiles, comme la pizza préférée de son premier petit copain. « Tu voudrais que je change d'avis ? Estime-toi heureux que je fasse preuve d'un peu de ... Gentillesse envers toi » elle n'a jamais été trop méchante avec lui, mais il comprend bien par là, qu'en sa présence, elle est d'accord de lâcher un peu du leste et arrêter d'être cette femme trop décisionnaire. « Je suis sûre que toi par contre, t'en as aucune idée » juste histoire de le tester un peu, elle est persuadée qu'il n'en sait rien. Ce n'est pas le genre de chose, sans importance, que les hommes retiennent. Elle regarde donc ce tatouage sur son biceps bien formé « C'est très joli oui » elle le trouve relativement adorable lorsque ses yeux glissent cette fois un peu plus haut sur son visage. Lorsqu'il parle de son père il a toujours les yeux bien brillants et pourtant l'âme meurtrie. Elijah, cette sensible petite chose qu'il est. Elle se lève du lit et se dirige vers la salle de bain afin de se faire une petite toilette pour en ressortir fraîche comme le jour et surtout vêtue uniquement d'une petite culotte. Se pavanant de la sorte devant Elijah. « Un problème ? » elle s'avance du lit et ramasse son t-shit à lui et le lui balance, tout en rigolant un peu. CRIMSON DAY
Il accepte volontiers de perdre du temps avec les autres Elijah, prêt à se mettre à nu, lui qui ne réfléchi par vraiment à ces mots, à ces gestes. Prendre son temps, il considère que c'est important dans ce monde qui file trop vite, trop fort. Il semblerait qu'il ne soit pas comme les autres, c'est souvent ce qu'on lui dit, comme une critique, comme si figer le temps et être un homme "bon" était un défaut. Ses prouesses intransigeantes qui n'ont jusque là pas suffit à convaincre une femme. En même temps, il n'a pas vraiment laissé la place, dans le fond, parce qu'elle est déjà prise depuis longtemps. Célibataire mais le cœur épris d'un amour interdit. ça me va que tu sois gentille. qu'il précise dans un sourire, ces mots qui n'avaient rien d'une critique. Il est même plutôt satisfait de voir qu'il a vraiment compté pour elle. Lui qui a l'époque n'a pas vraiment compris pourquoi elle avait rompu, parce qu'elle n'a pas tellement offert d'explications. Il s'était fait rapidement une raison ceci dit, l'amour qui ne les avaient pas encore étreint, seule la tendresse persistait. Aie, non, il n'a effectivement pas de souvenirs sur la pizza qu'elle affectionne le plus, le genre de détails qui n'ont pour lui, pas tant d'importance. Il pourrait par contre lui parler de chaque grain de beauté sur son corps et des nuances de gris et marrons que l'on aperçoit dans son regard, lui qui s'y ai perdu tellement de fois. avec beaucoup de sauce piquante ? plaisante t-il en référence à sa personnalité.
Sensibilité à fleur de peau quand il évoque son père. Ce sujet est celui qui le laisse en proie à ses émotions. La maitrise de ce deuil mal fait. Encombrant. Il l'observe quand elle file jusqu'à la salle de bain, son corps qu'il admire, juste parce qu'elle est belle. Bien sur, son assurance parfait ce corps divin. Elle qui sait l'effet incroyable qu'elle peut avoir sur un homme. j'aime bien te regarder c'est tout. Lui dont la tendresse pourrait facilement devenir étouffante. Ce couple qu'ils ont formés dans le passé n'aurait pu fonctionner. Eux qui sont trop différents pour ça. Les attentes qui divergent largement. Il récupère le tee shirt qu'elle lance et l'enfile. Il se redresse et remet le restant de ses vêtements avant de la suivre jusqu'au salon. Pourquoi tu m'as larguer quand on était gosses ? qu'elle ne panique pas, il n'a pas vraiment l'intention de reprendre là où ils s'étaient arrêtés. Le temps à filer et en dehors de ce partage de chair et ce passé, ils n'ont finalement plus grand chose en commun. Il est seulement curieux.
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