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Blinding Lights.
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Dim 25 Juil - 16:57
Blinding Lights.
Elle te fait rire quand elle confirme que la description que tu fais d'elle, adolescente, semble lui convenir. Comme si tu avais réellement besoin de son accord pour te faire une certaine image d'elle et de son apparence tiens. C'est plus la suite qui t'inquiète et le fait qu'elle se soucie beaucoup trop tard d'une potentielle réaction allergique à ces feutres. Tu hésites entre rire et te plaindre. Selon elle, mieux vaut tard que jamais. Selon toi, s'il est trop tard il l'est vraiment.  Mais tu ne t'inquièteras tout à fait que si ça commence à te démanger. Ce n'est pas du tout le cas pour l'instant alors tu t'imagines bien que ce n'est rien de grave. Mouais ... Si j'commence à faire des grosses plaques ou à gonfler ... On en reparlera hein. Mais tu doutes avoir ce type d'allergie. Toi qui passes quand même beaucoup de temps à utiliser et manier des stylos, des feutres et autres joyeusetés du genre, tu penses que tu t'en serais déjà rendu compte si c'était le cas.

Tu te tends un peu quand au fil de votre conversation, elle a des mots relativement durs. Avouant qu'elle en est réellement arrivée à te détester au fil des années et des horreurs que tu as pu lui faire vivre et lui balancer au visage. T'as pas à être désolée. Je pense que je l'ai bien mérité. Tu étais tout à fait inconscient des limites et tu es allé trop loin. Beaucoup trop loin. Au point de la faire te détester de toute évidence. Et ça, tu ne peux pas le rattraper. Tu peux seulement lui donner de bonnes raisons de changer d'avis aujourd'hui. Même si tu risques quand même de ne pas être très doué pour ça. Tu n'es pas soudainement devenu doué en la matière. Tu n'es pas devenu l'homme parfait. Tu ne sais pas si ça te rassurer réellement de savoir qu'avant tout ça, elle t'adorait vraiment. Mais tu prends quand même. C'est mieux que rien.

Quant à la conversation au sujet du mariage, des enfants et tout ça, tu parviens à y mettre un terme sans trop de dégâts. Ta crainte étant de trop en révéler en fin de compte. Ce que tu veux évidemment éviter à tout prix, pour des raisons tout à fait logiques. Tu n'as pas du tout l'intention qu'elle apprenne un jour que tu es malade. Si tu prends directement une photo ce sera plus simple, non ? Que tu émets l'idée en t'avançant un peu sur le canapé pour qu'elle ait plus de place et de marge. Et tu récupères ton téléphone dans la poche de ton jean, en déverrouilles l'accès, ouvres l'appareil photo et le lui tends. Ce n'est pas comme si tu risquais grand chose à abandonner ainsi ton portable entre ses doigts. Tu es de ceux qui sont seuls en étant très entourés. Alors les flopées de messages et groupes de conversations restent relativement superficiels. A ne parler que des prochaines soirées qui, il faut bien l'admettre, sont nombreuses. On verra mieux si je m'éloigne un peu ?

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Lun 26 Juil - 10:58


Ho punaise… Si Stan se mettait à faire une réaction du genre pour de vrai ils auraient l’air malin hein ! Mais si ça devait être le cas, il aurait déjà commencé à marquer non ? Hors même en regardant de manière minutieuse au niveau des lignes noires de son dessin, Lola ne voyait rien.

« Tout à l’air sous contrôle... »

Pourvu que ça dur, tout simplement! Quant à ce que Stan ajoute, la dédouanant de ses mesquineries, s’ôtant à lui-même le rôle de victime de ses paroles en affirmant plutôt les mériter… Lola ne sait pas vraiment quoi dire. Une partie d’elle-même trouvait qu’il avait raison, que c’était une question de justice, quelque chose comme ça. Et puis une autre trouvait que c’était un peu trop facile de se déculpabiliser de cette façon.

Il y a encore un moment de silence et Stan en profite pour avoir une idée probablement un peu plus brillante que celle du miroir. Lola récupère le cellulaire qu’il lui donne et tout en venant viser le dessin avec l’obturateur, elle constate de manière un peu hésitante :

« Tu arrêtes pas d’approuver le fait que je sois frustrée après toi, de dire que tu le mérites et tout ça... »

Il y a le petit son caractéristique d’une photo prise mais elle prévient rapidement :

« Je vais en prendre une autre au cas où. Je peux me les envoyer par sms ? »

Et pour en revenir à cette phrase qu’elle avait commencé une seconde plus tôt :

« Mais tu dis jamais que t’es désolé. Est-ce que c’est parce que tu l’es pas ? Ou parce que tu t’excuses jamais de rien ? »

C’était important pour elle de le savoir. Peut-être que Stan voyait ça comme des stupidités de gamins sans conséquence. Qu’il savait qu’il avait abusé mais que bon, ça méritait pas non plus d’en faire des caisses aujourd’hui ou de s’excuser parce que « c’était y a longtemps ». Pour Lola ça fonctionnait pas comme ça dans sa tête. Elle était sans doute un peu trop rancunière. Mais elle trouvait qu’elle avait des raisons de l’être aussi.

Ouvrant l’application de messagerie de Stan, Lola vient en ouvrir un nouveau. Elle y met les deux photos qu’elle vient de prendre sans commentaire puisque de toute façon c’était pour elle-même et dans la zone prévue pour ça elle tape rapidement son numéro de téléphone avant d’envoyer le mms. Elle rend alors l’appareil à son propriétaire pour qu’il puisse jeter un œil aux photos lui aussi.

« Tiens voilà. Tu me dis si tu veux que j’en prenne une autre, si tu vois mal. »

Lola quitte l’endroit où elle s’était posé pendant les dernières vingt-cinq minutes ou quelque chose comme ça et puis elle vient un instant se poser devant le ventilateur pour profiter un peu de l’air, même s’il était chaud. Ses cheveux étaient déjà secs, c’était dire la chaleur ambiante. Lola les ramène d’ailleurs au dessus de sa tête, attrapant une pince à cheveux qui traînait sur la table basse du salon pour garder sa nuque dégagée. Elle passe ses doigts sur la petite croix tatouée là, juste pour vérifier qu’elle n’a laissé aucune petite mèche avant d’en revenir à Stan.

« Tu devrais aller faire coucou à Miguel. Il va être déçu s’il apprend que tu es passé sans l’avoir salué. Surtout que c'est pour lui que tu venais, non ? »

Elle accroche quand même le regard sombre de Stan à sa question. Il avait promis pour les dessins de Miguel et il s'y était tenu. C'était ça ? Juste ça ? Ca aurait un petit quelque chose de décevant pour elle-même, elle ne pouvait pas le nier.

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Lun 26 Juil - 21:26
Blinding Lights.
Tu ricanes un peu quand elle croit bon de préciser que tout à l'air sous contrôle. Tu penses qu'entre le début du dessin et maintenant, tu aurais eus le temps de le sentir si ta peau commençait à chauffer ou quoi que ce soit du genre. Alors tu ne t'en fais pas plus que ça pour le coup. Même si vous en parlez encore un petit moment comme ça. En parallèle du dessin, vous avez une longue conversation qui va un peu dans tous les sens mais dont la finalité reste assez évidente. Sans le dire, tu tentes de lui faire comprendre que tu regrettes le comportement de petit con que tu as eus à son égare quand vous étiez jeunes. Tu ne sais pas bien où elle veut en venir quand elle poursuit à ce sujet. Oui oui bien sûr, vas-y. Que tu l'autorises évidemment à s'envoyer les photos par sms. Peut-être pour en garder une trace elle aussi, de ce dessin que tu imagines être parfaitement réussit. Un hoquet de surprise qui tient presque plus de la plainte de lamentation, t'échappe quand elle te pose une question pour le moins frontale. Est-ce que tu n'es pas désolé pour tout le mal que tu lui as fait ? Ou est-ce que tu ne sais simplement pas t'excuser parce que ce n'est pas quelque chose que tu sais faire ? Je le suis ... Que tu finis quand même par lui souffler. Je suis désolé. C'est juste que j'sais pas si ça peut suffire que je le dise.

Et parce que tu ne peux pas lui avouer les raisons de ton sale comportement. Tu es persuadé qu'il est beaucoup trop tard pour ça. Et surtout, persuadé que tu n'es pas fait pour elle. Elle est trop bien pour toi Lola. Tu risquerais de la rendre malheureuse. Et de rendre malheureux son fils au passage, si tu venais à disparaître pour x raison. Tu n'es pas suffisamment stable pour espérer pouvoir un jour construire quelque chose avec quelqu'un. Pour ça, encore faudrait-il que tu trouves le courage d'être honnête en parlant de ta maladie. Or, ce n'est vraiment pas une chose aisée pour toi. Tout au contraire même. Parce que j'sais que j'ai parfois été vraiment trop loin. Même si sur le moment je m'en rendais pas compte. Le but n'était même pas de te blesser. Je ... Je faisais juste mon malin. Pour attirer son attention, certes. Mais tu peux encore faire mine d'avoir seulement souhaité faire ton intéressant devant tout le monde. Même quand son frère tentait de te réprimander pour ça. Il n'était jamais assez sévère Juan. Il se "contentait" de râler parce que vous ne vous entendiez pas tous les deux. Ou que vous ne vous entendiez "plus", plutôt.

Tu prends le temps d'étudier les photos une fois qu'elle t'a rendu ton téléphone. Et tu affiches un petit sourire, en zoomant davantage pour bien voir tous les détails. C'est drôlement chouette. Mais tu n'es quand même pas plus surpris que ça, il faut bien le dire. Parce que tu connais son talent indéniable et que tu adores tout ce qu'elle fait depuis toujours. Tu te rappelles encore des heures que vous passiez tous les trois, durant lesquelles elle trouvait toujours le moyen de s'occuper les mains su des dessins tout à fait charmants. Et au fil des années, elle n'a fait que confirmer son talent. Arrive aussi le moment où elle se lève pour s'éloigner de toi. Même si tu serais bien resté comme ça un peu plus toi. T'es conscient qu'elle a probablement chaud. Et que ce n'était pas si confortable. Sans parler du fait que vous ne pouvez tout simplement pas demeurer dans cette position, éternellement. Alors tu te lèves à ton tour pour récupérer et enfiler ton tee shirt. T'es sûre que je vais pas le déranger ? Que tu demandes en hochant positivement la tête à sa dernière question. Mais quand ton regard croise le sien, tu hésites un peu à être tout à fait honnête. T'as parfois l'impression qu'elle attend quelque chose de toi Lola. Ce qui est sans doute tout à fait con ... Pour lui. Et pour voir si avait vraiment fait la paix toi et moi. Que tu tentes, plus ou moins maladroitement.

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Mer 28 Juil - 13:51


Lola attrape son portable lorsque la petite alarme sonore la prévient de l’arrivée d’un sms : celui qu’elle venait de s’envoyer elle-même. Elle vérifie qu’elle a bien tout et puis le petit appareil retrouve sa place, un peu en même temps que Stan lui annonce finalement être désolé, non sans avoir affiché ce petit air pas paniqué mais en tout cas pris au piège après sa question. C’est vrai que ça avait été direct mais ça aurait été faire durer la langue de bois que de ne pas la poser tout en laissant les choses s’empoisonner par elles-mêmes.

« En tout cas c’est un bon début. »

Lola ne faisait pas partit de ces gens qui pensent que les excuses sont dispensables. Parce que ça comptait de reconnaître ses erreurs dans son monde. D’ailleurs, même si y songer était encore un peu douloureux, Lola ajoute :

« Ce n’est que mon avis, mais moi je pense que rien ne peut se rebâtir sainement sans ça. »

Une façon comme une autre, peut-être, de lui faire aussi comprendre qu’elle était prête à rebâtir. Peut-être que leur relation ne redeviendrait jamais celle qu’elle avait été mais elle pouvait faire des efforts si Stanley en faisait aussi.

Stan verbalise et Lola l’écoute attentivement parce que jusque là, c’était surtout elle qui avait parlé de cette époque et elle n’avait pas non plus épiloguer dessus. Stan avait fait « son malin » mais il était très investi dans cet état de fait hein… Parfois il avait semblé sans limite même si Lola savait bien qu’il avait bien dû en heurter quelques unes.

« Je sais pas ce que tu cherchais à provoquer… Mais j’espère que tu réalises que tu n’as pas besoin de faire ton malin comme tu dis, aujourd’hui. »

Parce qu’il allait ressortir de sa vie plus vite que jamais s’il essayait. De celle de Miguel aussi. Lola pouvait accepter qu’il la déçoive elle… Mais Stan allait réaliser que sa relative fureur jusqu’ici n’était rien en comparaison de ce qu’elle serait si Stan blessait Miguel.

Elle esquisse un sourire à propos du tatouage et hoche la tête pour remercier.

« Quoi que tu fasses à l’avenir, il faudra me montrer. »

Et puis de manière générale :

« Et me montrer les autres aussi, que je puisse regarder ça. Peut-être que tu me raconteras leur histoire. »

Et qu’elle « apprendrait à le connaître » puisqu’il avait mis le doigt sur le fait que ce n’était pas le cas. Ou plus le cas. Quant à Miguel, Lola a un petit mouvement d’épaules.

« Il fait ses devoirs. Mais c’est sa première année avec des devoirs alors il n’en a pas non plus trois millions. De toute façon comme à chaque fois il les finira dans la cuisine pendant que je prépare le dîner. »

Miguel était un enfant sociable et puis pour les exercices de lecture, c’était mieux si elle pouvait le faire avec lui de toute façon.

Usant d’une diplomatie que Lola ne faisait que lui découvrir ces derniers jours, Stan lui confirme en tout cas qu’il était venu pour Miguel… Mais pas que. Ca amène un nouveau petit sourire sur ses lèvres d’ailleurs.

« Tu sais ça nous arrivera encore de nous fâcher. »

Parce qu’ils avaient deux caractères très entiers.

« Mais on est adultes. On peut se donner des limites. Ou nous excuser si vraiment on abuse. »

De fait, s’il avait besoin de l’entendre :

« Je crois qu’on peut dire qu’on a fait la paix. »

Même si ce n’était sans doute que le début de tout un chemin pour eux, dépendamment de ce que leur relation pourrait être amené à donner dans les prochains temps. Et puis histoire que Stan le sache, même si elle ne l'imaginait pas du tout se lancer là dedans :

« La seule chose que je ne pourrais jamais te pardonner, c'est le mal que tu ferais à Miguel. Mais je te fais assez confiance, malgré notre historique, pour que ça n'arrive pas. »

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Jeu 29 Juil - 22:15
Blinding Lights.
Elle a au moins le mérite d'être cash et d'oser poser les questions qui semblent la travailler. Comme le fait que tu ne te sois jamais excusé pour ton sale comportement de l'époque, par exemple. Bien sûr qu'elle se demande si ça signifie que tu n'es pas désolé du tout. En l'occurrence, ce n'est pas ça la bonne réponse. Le fait est que votre relation était encore trop tendue pour que tu trouves le courage de lui dire que tu l'es vraiment, désolé. Et finalement elle t'explique que c'est important pour elle. Que sans excuses sincères, impossible de (re)bâtir quelque chose de saint. C'est dit. C'est entendu. Et tu hoches même la tête pour lui signifier que tu entends vraiment. Que tu prends en compte ses mots. D'accord ... Que tu ajoutes pour la bonne forme. Pour appuyer réellement sur le fait que tu comprends tout à fait. En revanche, ce que tu ne sais pas, c'est si ça s'applique réellement à vous. Si elle a réellement envie de rebâtir quelque chose. Un semblant d'amitié, au moins. Ou si ce n'est pas le cas du tout. Tu ne sais pas mais tu n'as pas le courage le lui demander. Ce qui est peut-être idiot. Ou pas du tout. Tu n'es pas bien certain de savoir où vous en êtes tous les deux. Et c'est aussi pour prendre la température de votre "relation" que tu es passé chez elle aujourd'hui. Les dessins de son fils n'étaient finalement qu'une excuse comme une autre.

Je ferai toujours mon malin. Je ne le fais juste plus aux dépends des autres. Surtout, tu faisais ton malin pour qu'elle te remarque elle. Depuis ... Ce n'est pas que ça t'es tout à fait passé. C'est juste que tu as réalisé que c'était idiot comme méthode pour se rapprocher de quelqu'un et/ou se faire remarquer de sa personne. Alors tu t'es calmé au moins à ce niveau là. D'autant plus que ça te fait sacrément mal quand elle te rabroue. Alors autant éviter autant que possible de lui donner de bonnes raisons de t'envoyer chier. Autant rester aussi sage que possible quand il est question d'elle. D'autant plus que vous allez peut-être être de nouveau amenés à vous voir tous les deux. Si les choses commencent vraiment à rentrer dans l'ordre. Tu sais que ça ne va pas être un changement radical, grandiose et soudain. Mais il y a déjà du mieux que tu peux constater aujourd'hui. Les tatouages étant évidemment un sujet de conversation susceptible de vous rapprocher un tant soit peu l'un de l'autre. C'est déjà un peu le cas. Elle s'intéresse tout à fait à ceux que tu as déjà et émet l'idée qu'un jour tu puisses les lui montrer. Ce qui te fait un peu plus hésiter, c'est l'idée de lui raconter leur histoire. T'es sûre de vouloir en connaître les histoires ? C'est pas si dingue. Que tu tentes avec un semblant de sourire pour dissimuler ta crainte qu'elle ne réalise tout à fait qui tu es.

Et peut-être qu'elle finira par apprendre à (trop) te connaître si vous faites vraiment la paix. Parce que ça semble être bien parti pour ça. Elle ne manque pas de te rappeler que vous pourriez être amenés à vous disputer de nouveau tous les deux. Avant de te confirmer que vous avez fait la paix. Et ça te fait sourire ça. De simples mots pour faire apparaître un grand sourire de gamin sur ta tronche qui oscille trop souvent entre l'enfant et l'adulte torturé. Ce second demeurant dissimulé quand tu es en compagnie d'autres personnes, bien entendu. Mais ton sourire il prend déjà un petit coup quand elle mentionne Miguel et l'éventualité selon laquelle tu lui ferais du mal. Comment on peut faire du mal à ce gamin ? Que tu te contentes de répondre dans un haussement d'épaules. Avant de tourner les talons pour justement aller lui rendre une petite visite. Et comme à chaque fois, tu es relativement surpris par l'accueil extrêmement chaleureux qu'il t'offre. Tu ne comprends pas bien pourquoi il t'apprécie autant Miguel. Mais tu ne t'en plains pas. Au contraire, ça te fait plutôt beaucoup de bien. Alors tu n'as d'autre choix que de t'installer un peu avec lui qui veut à tout prix te raconter ses derniers jours.

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