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Dance with me
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Ven 30 Juil - 11:35


Il paraît que pour se remettre d’un choc ou d’un traumatisme, une bonne méthode c’est de remonter en selle. Lola ne savait pas si c’était vrai mais voilà trois semaines que l’agression dans la ruelle était arrivée et le goût de sortir était revenue tout doucement, jusqu’à ce que ce soir elle confie Miguel à sa mère, ignorant ses petites piques pas bien méchante de maman disant qu’à son âge elle ne devrait pas laisser Miguel pour aller danser !

Sa mère ne pouvait pas comprendre mais Lola ne pouvait pas vivre uniquement dans son appartement, toute seule, à ne côtoyer qu’un enfant de 7 ans. Ca faisait partie de sa vie la majorité du temps et elle adorait ça… Mais elle avait besoin de déconnexion elle aussi. Alors ce soir c’était ça. Passer une bonne soirée avec une autre copine dans un des nombreux clubs de Chicago. Danser un peu, boire quelques verres sans s’autoriser d’avantage qu’une subtile ivresse parce qu’il était pas question d’avoir une gueule de bois de l’enfer le lendemain pour aller chercher son p’tit quoi !

Et puis cette fois, Lola avait prévu d’appeler directement un taxi en sortant pour rentrer chez elle, ça éviterait les mauvaises rencontres !

La musique était forte, il faisait chaud… Et quittant la piste de danse en riant, Lola vient se poser près du bar, attrapant une serviette en papier pour s’éponger légèrement, toute luisante d’une fine pellicule de sueur qu’elle était après avoir dansé dans cette fournaise. Elle se commande un verre, extrait sa carte de crédit d’une doublure de sa robe et paie tandis qu’un type s’était déjà posé près d’elle en lui proposant de lui payer le prochain !

Elle rit encore, parce qu’elle adorait ce genre d’ambiance et que ce n’était jamais très désagréable que de se faire proposer un verre. Mais ça n’irait pas beaucoup plus loin que quelques mots engagés, très éventuellement une danse. Enfin avec lui ça lui semblait compromis parce que le gars semblait avoir un peu trop abusé de la boisson. Ca en faisait un gros lourd et Lola ne discutait même pas avec les gros lourds. Elle tente de lui dire qu’elle est accompagné puis de l’ignorer… Il insiste et il manque même de lui faire renverser son verre, ça la contrarie, elle le pousse, l’insulte… Tout son beau caractère le plus volcanique y passe ! Putain… Fallait vraiment que ça tourne comme ça ?

Lola menace le type d’aller se plaindre à la sécurité des lieux et lorsqu’il l’insulte à son tour, elle fait demi-tour pour aller réellement chercher de l’aide. Et puis c’est un peu comme elle en cherche qu’elle tombe de manière très inopiné sur Stan ! D’ailleurs elle s’arrête dans son élan, toute surprise… Son regard à accroché celui couleur nuit et tandis qu’elle sent sur son bras nu les doigts du type commencer à se refermer elle joue les anguilles pour quasi courir vers Stan, venant enrouler ses bras autours de son corps et déposer ses lèvres à la base supérieure de son cou, juste sous la ligne de sa mâchoire. Elle a son parfum plein les narines, sa peau à ce petit goût salé d’avoir malgré tout chaud dans cette ambiance électrique… Et lorsqu’elle tourne la tête pour voir derrière elle… Le gros lourd a disparu, abandonnant visiblement contre un petit ami imaginaire !

La tatoueuse relâche donc immédiatement Stan en lui faisait un petit sourire légèrement embarrassé, sans trop !

« Désolée, j’avais un gros lourd qui me lâchait pas, tu as été la victime toute désignée pour jouer les faux petit ami. »

Elle parle fort, pour qu’ils s’entendent par dessus la musique. Lola fouille partout autours d’eux en se renseignant :

« Tu es venu avec Juan ? »

Lola finit par accrocher à nouveau le regard de Stan pour demander encore :

« J’espère que je viens pas de te casser ton coup ? »

Mais si c’était le cas, clairement, elle allait pas pleurer… Et si une nénette venait essayer de lui voler dans les plumes pour ce qu’elle venait de faire, Lola était toute disposée à l’envoyer mourir, elle aussi ! En tout cas, c'était une belle occasion de croiser Stan dans un registre très différent des dernières fois et puis pour le coup, ça faisait 10 jours au moins, peut-être même deux semaines, qu'ils n'avaient pas eu l'occasion de se revoir malgré ce qu'ils s'étaient dit.

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Sam 31 Juil - 22:31
Dance with me.
Tu l'as vu dès qu'elle est entrée. Comme si, même après toutes ces années, ton regard était encore tout naturellement happé par elle. Toute ton attention, attirée et embarquée par ses grands yeux bruns et ses boucles colorées. Comme si tu n'étais pas capable de penser à une autre quand elle est dans les parages. Ce n'est pourtant pas faute de t'être souvent montré en compagnie d'autres femmes, devant elle. Justement pour donner le change et espérer ne pas lui montrer du tout que tu étais encore et toujours fasciné et attiré par elle. Comme si elle avait un jour pu se rendre compte de ça. Toi qui t'es toujours comporté comme un vrai con avec elle. Aucun doute qu'elle ne s'est jamais imaginée que tu pouvais avoir de quelconques sentiments positifs pour elle. Ou alors plus depuis longtemps. Puisque vous avez été amis tous les deux. C'est une autre histoire aujourd'hui. Même si vous tentez de remédier à ça. Ce qui ne fait que réveiller les sentiments d'ado que tu as pu avoir pour elle et qui se sont contentés de se mettre en veille. Planqués dans un coin de ta tête. Ce soir ça te travaille. Alors qu'elle s'installe au bar après avoir dansé avec ses amies. T'es tenté d'aller l'accoster, mine de rien. De passer un bout de soirée en sa compagnie. D'autant plus que tu n'es pas avec son frère ce soir. Il n'en saura rien. Il n'a pas besoin de savoir ce que tu penses vraiment de sa petite sœur.

D'abord tu hésites à la rejoindre alors qu'elle se fait accoster par un homme. Ensuite tu te remues enfin quand tu réalises qu'il est en train de la harceler. En tout cas, il insiste. Et elle veut le repousser. Tu vois bien qu'elle est en train de perdre patience. Peut-être même qu'elle va finir par flanquer son poing dans la gueule de ce type si ça continue comme ça. Et tu ne sais pas si c'est une bonne idée de la rejoindre pour jouer le chevalier servant. Mais tu t'approches quand même, à pas tranquilles. Et tu n'es plus très loin quand elle déboule comme une folle furieuse, s'arrête net devant toi et te saute finalement au cou. Tu as alors le réflexe de poser tes mains sur sa taille. Alors que de son côté elle est carrément à déposer un baiser au creux de ton cou. Ce qui te fait fermer les yeux. T'as le cœur qui s'emballe un peu. Et tu adorerais que ça dure un peu plus longtemps encore. Mais, sans surprise, elle se décolle de toi aussi vite qu'elle le peut. Et tu comprends mieux la raison de son geste quand elle mentionne le fameux gros lourd que tu as vu coller à ses basques. C'est sûr que si tu avais choisis un autre type au hasard, tu te serais finalement coltinée un autre lourd. Que tu fais remarquer, avec une ébauche de sourire sur les lèvres. C'est la seule raison pour laquelle c'est tombé sur toi. Elle ne te voit pas -ou plus- entrer dans ce rôle d'emmerdeur fini.

Non pas ce soir. Que tu réponds à sa question, quand elle mentionne son frère. C'est peut-être un coup de malchance pour toi finalement, le fait qu'il ne soit pas là. Dans le cas contraire, elle aurait peut-être été tentée de rester quelques minutes en votre compagnie. En son absence, elle n'a pas de raison de traîner dans les parages. Et elle va plutôt très vite rejoindre la bande d'amies avec laquelle tu l'as vu entrer un peu plus tôt dans la soirée. Non non y'avait pas de coup en cours. Que tu réponds très vite, comme si tu ne voulais pas qu'elle s'imagine ça. Ah si je crois ... Que tu te rappelles tout aussi vite. Te redressant pour chercher du regard en direction du coin que tu viens de quitter. Mais tu n'es plus sûr de rien. Tu as probablement trop bu pour ça. J'suis parti pour commander des verres. Je sais même plus à quoi elle ressemble. C'est mauvais signe je crois ... Que tu avoues, un peu penaud. Un peu idiot surtout. Tu n'as aucune idée de l'image que tu renvoies à celle qui te connaissait si bien autrefois.

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Dim 1 Aoû - 12:15


Lola éclate d’un rire joyeux, aidé peut être par un cocktail qu’elle avait bu mais sans que l’ivresse ne s’en soit mêlée. Elle était juste de bonne humeur, elle s’amusait et si quelques semaines plus tôt la présence de Stan aurait gâché son plaisir, là tout de suite ce n’était pas le cas. En fait, même si elle ne pourrait pas l’expliquer et même si elle ne le réalisait pas vraiment : sa présence en rajoutait même à son plaisir immédiat. La soirée était comme devenue « encore meilleure ».

Sûr qu’elle aurait pu blaguer de manière grinçante en lui disant qu’il aurait pu tenir le rôle d’un gros lourd. Et là encore : y a quelques semaines elle l’aurait fait. Mais ce soir elle avait parfaitement conscience que ça aurait été elle, le gros lourd, si elle avait dit un truc moche de ce genre. D’ailleurs ça ne lui effleure finalement même pas l’esprit.

« Du coup tu es un peu mon Lancelot du Lac ce soir. »

Un beau chevalier, quoi ! Pas qu’elle se prendrait pour la reine Guenièvre mais y avait pire, comme version romantico-cliché de ce moment.

En tout cas Stanley n’était pas avec Juan. C’était presque surprenant pour elle et pourtant elle savait que les deux hommes ne vivaient pas l’un greffé sur l’autre hein ! Ils n’étaient plus des ados, ils avaient leurs vies… Et peu pouvaient se vanter d’avoir gardé une amitié comme la leur jusque dans leur vie d’adulte. Ca pouvait sembler puéril pour certain, beau pour d’autres. Lola faisait partit de la seconde catégorie. Enfin maintenant en tout cas !

Stan confirme n’être dans l’espoir de conclure avec personne et Lola a un petit sourire satisfait… Avant de froncer légèrement les sourcils alors que le bédéiste semble se rappeler de quelque chose ! Lola suit son regard… L’endroit est blindé de filles en tout genre… Mais son vis à vis ne semble même plus certain d’en avoir visé une en particulier ni même à quoi elle ressemblait et elle rit encore, un peu incrédule !

« Être elle je serais même carrément insultée tu veux dire ! »

Mais là, ça lui faisait plutôt plaisir. Pas de pitié pour la concurrence comme on dit. Ce qui était débile. Pourquoi voir une conquête de Stan comme une concurrente ? Surtout après leur dernière conversation : ils ne voulaient pas la même chose de la vie, n’est-ce pas ?

« Tant pis pour elle, tu sais ce qu’on dit ! Qui va à la chasse, perd sa place ! »

Nouveau rire un peu idiot et là clairement c’était plutôt le cocktail qui parlait pour elle parce que ce n’était pas si drôle ! Lola vient saisir la main de Stan en commençant à le tirer vers la piste de danse !

« Tu viens ? Allez ! Pour me faire plaisir ! »

Elle attrape sa seconde main pour mieux l’attirer sur la piste, demandant toujours entre deux rires :

« Juste une ! On va s’amuser ! »

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Dim 1 Aoû - 21:07
Dance with me.
Elle a probablement déjà bu un verre ou deux Lola. En tout cas, c'est ainsi que tu expliques le rire qu'elle échappe en un rien de temps et sans qu'il y ait forcément beaucoup de raisons pour ça. Mais ça ne  te déplait pas du tout, bien sûr. C'est même tout le contraire. Tu prends beaucoup de plaisir à la voir dans cet état là et tu n'es pas mécontent non plus de constater que ta présence n'a pas pour effet immédiat de faire cesser sa si belle humeur. Tu me compares vraiment à un chevalier ? Que tu t'amuses bien malgré toi. Même si tu n'iras pas non plus jusqu'à t'en plaindre. Même si ça sonne comme un compliment, tu peines à t'imaginer dans un tel rôle. Surtout auprès d'elle qui te paraît toujours aussi parfaite et hors d'atteinte pour un homme tel que toi. A tel point, que tu en oublierais presque le moment où elle a confirmé que fut un temps, elle ne t'aurait sans doute pas dit non si tu lui avais fait quelques avances ...

Quant à la femme avec laquelle tu étais en train de passer un bout de soirée, elle est déjà totalement oubliée elle aussi. Bah écoute, c'est pas d'ma faute si elle était pas si mémorable. C'est moyennement sympa de ta part. Mais c'est surtout la pure vérité. Si elle n'avait rien ou pas grand chose de mémorable, ce n'est pas surprenant que tu l'ais déjà oublié. Au profit d'une jeune femme qui fait toujours battre ton cœur plus vite qu'il ne faudrait. Et à ça tu y peux quoi toi ? Alors que tu ne contrôles pour ainsi dire, rien du tout ... Ouais sauf que c'est moi qui suis parti à la chasse. Que tu crois bon de corriger. Correction tout à fait inutile et poussée par l'alcool que tu as toi même avalé depuis que tu es là. C'est que tu es pas mal perturbé par la présence de la trop charmante Lola qui te trouble toujours autant, même après toutes ces années.

C'est presque malgré toi que tu continues de sourire de toutes tes dents alors que de son côté, elle n'a de cesse que d'échapper de nombreux rires. Elle est tout bonnement adorable quand elle rit de la sorte. Pas étonnant que tu ne te fasse pas plus prier que ça pour la rejoindre du côté de la piste de danse. Tu sais, t'as pas besoin d'insister autant ... Que tu ne manques pas de lui faire remarquer, non sans un sourire toujours aussi présent sur tes lèvres. Effectivement, tu ne te fais pas plus prier que ça pour l'entraîner ou te laisser entraîner dans une danse plus ou moins endiablée. Plus ou moins maîtrisée. Plus ou moins contrôlée. L'important étant de s'amuser. Et de faire taire la partie de toi qui profite un peu trop de ce rapprochement physique entre vous. Rien de bien dingue, évidemment. Mais son parfum qui emplit tes narines te trouble plus encore. Comme son corps trop près du tien. Comme elle qui rit à gorge déployée.

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Mar 3 Aoû - 11:18


« Pourquoi ? L’image te déplaît ? »

C’était plein de charme. Un brin tendancieux ? Pas vraiment, même s’il y avait peut-être bien quelques intentions derrière. C’était sans vrai ambiguïté disons. En tout cas, la fille que Stan avait essayé de lever prenait teeeeeeellement cher ! Ca aurait été difficile pour Lola de s’énerver après elle dans ces circonstances parce que franchement, même si elle allait pas pleurer sur son cas, elle était à deux doigts de la plaindre hein ! Du coup :

« Tant que tu disparais pas soudainement en allant baratiner une fille en lui disant le même genre de choses à mon sujet… ! »

Son orgueil s’en remettrait clairement jamais ! Et pourtant l’autre gugus qui lui avait pris la tête au bar devait en raconter des conneries à ses potes s’il était pas venu tout seul, pour sauver la face. Mais bon… Se faire juger et insulter par un inconnu c’était franchement pas pareil que par Stan hein.

Lola vient poser un index sur ses lèvres peintes, intimant silencieusement Stanley au silence alors qu’il parle d’être partit à la chasse. C’était sûrement pas voulu, mais imaginer le bédéiste en loup cherchant sa proie de la soirée -elle- ça avait amené un petit frisson sur sa peau brûlante et un petit éclat pétillant dans son regard.

Stan se fait moins prier qu’elle ne l’aurait cru et leurs pas les emmène donc sur la piste de danse, au milieu de tous ces autres corps qui s’ignoraient, s’entre-choquaient, s’emmêlaient… Ils ne restent jamais vraiment loin de l’autre et Lola étire régulièrement la main pour toucher un bras, une épaule, une hanche… N’importe quoi pour garder un petit lien entre eux par delà la musique, ne pas se retrouver séparer par une foule qui se fait dense.

Au final « juste une » se transforme en deux, puis trois et quatre… Lorsqu’elle s’arrête, revenant chercher la proximité de Stan pour se faire entendre sans hurler, son souffle est court, sa poitrine se soulève au rythme irrégulier de sa respiration rapide et de son rythme cardiaque augmenté. Stan est un peu dans le même état qu’elle, ça rend la situation un brin électrique. Juste pour elle ?

« Je vais fondre, si on reste là. »

Littéralement. Bien sûr la chaleur lui semblait plus vivable qu’à traîner sans rien faire chez elle… Mais quand même. Et taquine :

« Tu m’offres un rafraîchissement ? »

Et puis sortit de nulle part, voilà une nénette qui débarque sur un « c’est ici que tu te cachais ! » qui permet à Lola de parfaitement comprendre que si cette fille n’avait pas été mémorable pour Stan, lui avait bien marqué la mémoire de Blondie.

C’est peut-être un peu trop impulsif, mais Lola s’interpose, se posant dos contre Stan et prenant une main dans la sienne pour y emmêler ses doigts, en signe de propriété presque ! Quoi ? Elle chassait les poules qui venaient caqueter trop près de celui qui, ce soir, était « son » coq.

« Désolée, il est à moi ce soir. »

Et Lola de lever la tête en se tournant à demi, encourageant plutôt vivement Stan à confirmer !

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Mer 4 Aoû - 20:20
Dance with me.
Tu ne sais pas vraiment ce que tu penses de l'image en vérité. Tu n'as rien d'un héro, d'un preux chevalier ou une quelconque autre connerie de ce genre. Alors tu n'as pas tellement envie qu'elle aille s'imaginer ça elle même. Ce serait quand même dommage en sachant que tu es tout sauf ça. Tout sauf un type courageux. Mais ça, il est sans doute préférable qu'elle n'en sache rien en vérité. Bof. Que tu te contentes de lui répondre, le plus honnêtement du monde, avec haussement d'épaules à la clé. Quant à l'idée selon laquelle tu pourrais aller parler d'elle à une autre femme, de la même façon que tu es en train de parler de cette autre, c'est tout à fait absurde. Et tu ne manques pas de le lui faire comprendre par un beau levé de yeux au ciel, avant de daigner répondre vraiment. T'es quand même plus importante que les autres filles. Que tu marmonnes, un peu gauchement. C'est un simple état de fait. Elle est plus importante parce qu'elle fait partie de ta vie depuis bien longtemps. Même si les choses ont pris une sale tournure pendant un paquet d'années. Elle reste Lola.

Et Lola ce soir, elle n'a pas l'air contre l'idée de passer quelques heures en ta compagnie. Ce que, pour ta part, tu ne risques pas de regretter. Tout au contraire, t'en es le plus heureux. Et tu en es même soulagé alors que vous vous retrouvez au milieu de la piste de danse. Elle en a émit l'envie alors tu ne t'es pas fait plus prier que ça. Du moment que tu peux passer un bout de ta soirée avec elle... T'en as le palpitant qui s'affole et ça n'a rien à voir avec l'exercice de la danse. Les chansons s'enchaînent sans que vous ne donniez l'impression de vouloir vous éloigner l'un de l'autre. Tout au contraire, vous faites en sorte de vous retrouver encore et encore. Tu ris aux éclats comme tu sais si bien le faire. Dans l'excès, sans doute. Mais tu es vraiment heureux ce soir. Joie enfantine, presque. Parce que tu ne penses à rien de négatif pour l'heure. Parce que tu retrouves Lola, qui était ta meilleure amie au même titre que son frère ou presque, autrefois.

Arrive finalement le moment où elle capitule. A bout d'énergie. La bouche certainement sèche aussi. Besoin d'aller se désaltérer au bar. Bien sûr ! Aucune hésitation de ta part, bien entendu. Tout plutôt que de la laisser filer loin de toi en si bon chemin. Tout plutôt que de couper court à vos instants rien que tous les deux. Tu ne sais pas si elle se rappelle qu'elle était là avec une bande d'amies à la base. Mais ça t'importe peu. Aucune envie de le lui rappeler alors que vous êtes déjà en train de prendre la direction du bar. Et vous êtes bien partis pour l'atteindre, quand une jeune femme vous coupe dans votre élan. Tu ne la reconnais pas. Mais tu comprends de qui il s'agit, alors qu'elle s'adresse à toi. Lola réagit au quart de tour en refermant une main autour de la tienne. Sa réponse presque cinglante, te fait sourire de toutes tes dents. Tes doigts entremêlés avec les siens, tu passes vos bras liés par dessus sa tête pour les enrouler autour de sa taille et te caler contre son dos. Bah oui j'ai croisé Lola. Du coup j'reste avec elle. Comme si elle la connaissait. Comme si elle en avait quoi que ce soit à foutre. Quoi qu'il en soit, pour appuyer tes dires tu déposes carrément un baiser sur la joue de Lola avant de l'entraîner avec toi pour rejoindre enfin le bar. Vos mains toujours liées. Tu veux boire quoi ? Que tu demandes, faisant de nouveau mine de rien.

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Sam 7 Aoû - 8:01


Ce « bof » avait fait lever les yeux au ciel de Lola. C’était un compliment dans sa tête ! Et lui il jouait les artistes torturés que l’idée de jouer les chevaliers ne transfigurait pas du tout ! Mais peu importe, ça n’allait clairement pas gâcher son amusement et depuis combien de temps n’avaient-il pas partager autant de rires, de sourires et de moments d’amusement ? Lola commençait doucement mais sûrement à réaliser néanmoins que ça ne l’intéressait pas tellement de retrouver le Stan de leurs débuts… Celui qui était un ami et le meilleur de son frère. Cette relation là appartenait au passé et peut-être bien, finalement, qu’elle voulait quelque chose de différent cette fois. Saisir l’occasion de faire passer ce qui se passait entre eux de l’étape de la larve à celui du papillon sans être réellement sûr qu’il sortirait réellement un papillon du cocon qu’ils étaient en train de tisser.

Être « plus importante » que les autres filles c’était déjà une victoire en soit. Ou une récompense. Et puis même si Lola ne se dévalorisait pas, qu’elle se trouvait plutôt jolie et que parfois même elle se sentait sexy… Elle savait aussi qu’elle n’était pas forcément très atypique, pas blonde comme les hommes les aimait souvent, pas roulée comme une déesse grecque avec tellement de monde au balcon qu’elle n’en verrait plus ses pieds. Mais être presque « ordinaire » et pourtant importante pour Stan, ce soir c’était un très joli compliment.

Et puis ça ne s’arrête pas là parce que le bédéiste joue le jeu lorsque sur le trajet du bar ils retrouvent la fille qu’il avait sûrement essayé de lever. Cette fille sans « rien de mémorable » et qui pourtant rentrait dans plusieurs des clichés de la bimbo de soirée pas mal pimpée de partout, glissée au chausse-pied dans une robe qui lui faisait comme une seconde peau.

Lola se repose contre le torse de Stan, la tête contre une de ses épaules alors qu’elle se retrouve plus ou moins littéralement dans ses bras. Ca lui fait quelque chose d’insoupçonné. Ou plutôt non : elle soupçonnait déjà. Mais disons que ça faisait quand même un truc en plus. La tatoueuse tend presque la joue pour ce déposer que l’artiste dépose dessus et la nana en face a le mérite de n’avoir visiblement pas tellement envie de rentrer dans une bataille de chiffonnière. Si elle avait essayé, son orgueil aurait sûrement pris cher parce que Stan et elles semblaient être incroyablement sur la même longueur d’onde ce soir.

Lola ne bouge pas de l’endroit où elle s’est posée, ne répond pas tout de suite à propos de la boisson, jusqu’à ce que la fille ai disparu dans la foule. Elle a mille fois trop chaud mais pas l’envie de quitter immédiatement la chaleur du corps derrière le sien. C’était quasi stupide à dire mais elle avait oublié ce que ça pouvait faire, de frissonner au contact de la peau de quelqu’un d’autre. Et même si Stan et elle était loin d’un peau à peau, elle avait frissonné.

« J’en sais rien. Un truc bien rafraîchissant. »

Elle en avait besoin. Lola avait l’impression de se consumer de l’intérieur. Mais c’était pas désagréable, plutôt un peu euphorisant.

« Et pas trop chargé, sinon je trouverais même pas le chemin du taxi. »

Lola a un nouveau petit rire, se détachant un peu à contrecœur de Stan. Elle se retourne néanmoins, pose une main sur sa joue et après s’être brièvement hissé sur la pointe des pieds, elle profite un peu de la situation, de son allusion à l’alcool, de leur petite euphorie liée à la piste… Pour déposer un baiser très chaste sur les lèvres du dessinateur. Elle n’y reste pas… Et si ses joues n’avaient pas déjà été rouge de chaleur, elles auraient probablement rosies un peu sous l’audace. Mais sans regrets.

« Allons-y. Je vais peut-être juste demander un truc sans alcool. »

Elle reprend comme si de rien n’était, pour qu’il y ait pas de malaise après son geste et pour ne pas avoir envie que le sol s’ouvre sous elle pour l’engloutir dans ce même malaise.

« Si je vais chercher Miguel chez maman demain matin en ayant mal aux cheveux, je vais en entendre parler pendant huit mois sinon… ! »

Elle exagérait un peu. Encore que…

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Dim 8 Aoû - 11:42
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C'est peut-être la petite dose d'alcool qui coule dans ton sang qui te fait parler de cette façon. Sans vrai filtre pour s'interposer entre ce que te souffle ton cerveau et ce que dit vraiment ta bouche. Encore un peu et tu vas bêtement lui dire que tu as des sentiments pour elle depuis toujours, que c'est pour ça que tu as été si con autrefois et que c'est également la raison pour laquelle depuis quelques temps tu tentes par tous les moyens de te faire tout petit devant elle. C'est plutôt très maladroit et tu ne le sais que trop bien. Mais il te semble que c'est en train de porter ses fruits. Elle semble s'apaiser en ta compagnie. Ce soir, elle a même l'air désireuse de passer un peu de temps en ta compagnie. Ce dont tu ne risques certainement pas de te plaindre. Tu en es si heureux à vrai dire, que tu ne te fais pas prier pour mettre tout de suite fin aux espoirs de la jeune femme qui tentait de te récupérer. Préférant nettement profiter de la rouquine aussi longtemps qu'elle en aura elle même envie. Pour que le message soit tout à fait clair, tu n'hésites pas à la garder serrée contre toi. Et à enrouler un bras autour de sa taille. Le second s'en mêle quand elle même semble se blottir plus encore contre ton corps. De quoi faire s'emballer sérieusement ton palpitant. Tu n'es pas habitué à ce qu'elle se laisse ainsi aller et ça te fait un effet plus que certain ...

Même après que la blonde ait fait demi tour, elle reste contre toi. Et tu ne peux t'empêcher de venir déposer un baiser sur sa tempe et de t'y attarder. La chaleur de son corps contre le tien, n'est pas sans te faire un effet plus que certain. Qui continue de faire sévèrement palpiter ton coeur. Si y'a que ça, je t'aiderai à le trouver. Que tu réponds avec un petit sourire. Peut-être même que vous en partagerez un. Elle vit plus près, vous la déposerez et tu continueras ton trajet jusque chez toi. Tu t'apprêtes à te reculer pour la libérer tout à fait, quand elle pivote. Mais elle ne t'en laisse pas vraiment le choix puisqu'elle glisse une main sur ta joue, se dresse sur la pointe de ses pieds et vient te voler un bref mais délicieux baiser. Tu en fermes les yeux de surprise et de plaisir. Tu ne devrais pas te mettre dans un tel état pour un baiser aussi chaste que celui là. Mais l'effet est certain, tu ne peux pas le nier. Et tu es même très tenté de lui en voler un en retour. De tenter un plus encore. Mais elle reprend la parole et tu t'efforces de revenir à toi. De ne pas perdre le fil de tout ça, de cette soirée, de cette ébauche de conversation. Tu hoches positivement la tête. Et un bras toujours fermement enroulé autour de sa taille, tu reprends ton avancée en direction du bar.

Alors ne prenons pas ce risque. Que tu confirmes, vaguement amusé. Et toi aussi tu vas certainement te contenter d'un truc sans alcool. Histoire de ne pas perdre le fil de cette soirée et de ne pas faire de connerie avec la jolie Lola contre laquelle ton corps semble vouloir demeurer, envers et contre tout. T'étais pas venue avec des amies toi ? Que tu demandes une fois les commandes passées. Qu'importe qu'elle soit venue ou non avec des gens. Ce qui compte pour l'heure, c'est bien le fait qu'elle ait l'air de vouloir demeurer en ta compagnie. Et toi tu ne vas pas te faire prier pour la garder un peu plus longtemps avec toi. C'est d'ailleurs de façon presque inconsciente que tu la ramènes contre toi en attendant vos verres. Que tes lèvres volent de nouveau sur son visage. Sa tempe et sa joue. Contrairement à elle tu n'as pas le culot de les déposer sur les sienne. Ce n'est pourtant pas l'envie qui manque. Mais la crainte qu'elle ne réalise son erreur et ne te repousse, est trop présente. Tu t'efforces même de te décoller un peu d'elle quand les verres sans alcool arrivent et que tu portes le tien à tes lèvres. Tu n'avais pas réalisé que, toi aussi, tu avais soif.

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Lun 9 Aoû - 14:45


Stan est d’humeur câline. Dans l’ambiance, dans la chaleur ambiante, la légère euphorie… C’est agréable. Lola a l’impression, depuis la première fois depuis longtemps de n’être pas qu’une maman solo mais « aussi » une femme à part entière. Elle ne s’attarde néanmoins pas sur ce sentiment parce qu’il n’était pas question qu’elle se mette à culpabiliser pour ça non plus. Elle sourit, voir rit à voix basse à propos d’une aide quelconque à trouver le taxi. D’ailleurs, même si elle avait déjà fait chou blanc avec ce genre de plaisanterie elle insiste :

« Tu continues de faire ton chevalier. »

Chevalier pas décidé à la laisser réellement décoller de ses attentions plus tactiles qu’à l’ordinaire mais Lola ne s’en défend pas vraiment. Si elle se permettait le droit d’en profiter un peu, elle ne pouvait pas reprocher à Stan de le faire et en fait, c’était plutôt flatteur toujours.

A demi penchée sur le bar, Lola commande et laisse à Stan l’occasion de prendre ce qu’il veut. Mais quand il la questionne sur ses amies, Lola acquiesce.

« Une seule en fait. »

Mais bon, dans les faits il avait raison pareil. Sauf que du coup, un peu curieuse :

« Comment tu le sais ? Tu nous as vu ? Pourquoi tu n’es pas venu me voir ? »

Il l’avait évité volontairement ? Pourquoi jusque là le bédéiste avait plutôt semblé chercher sa compagnie. Ou alors elle avait mal saisi les signes qu’il lui envoyait, un truc comme ça… Son regard en revient au bel homme à ses côtés dans l’attente de sa réponse mais en tout cas :

« On est venue ensemble dans le mood « si on est séparée, chacune pour soit ». »

Encore quelle vient montrer son cellulaire, coincée dans une pochette :

« Mais on s’envoi un message pour dire qu’on part quoi… »

Pour que l’autre ne s’inquiète pas. Parfois elles étaient dans le mood de ne pas se lâcher de la soirée mais sa camarade était en chasse, pour reprendre l’analogie d’un peu plus tôt. Et Lola ne faisait pas partie de ses projets à long terme pour la nuit… !

« Tu es venu tout seul toi ? »

Il n’était pas venu avec Juan, il le lui avait déjà dit. Mais ça ne voulait pas dire pour autant qu’il était venu seul. Lola s’interrompt, victime de ces baisers papillons que Stan dépose sur sa peau. Et c’est son propre cœur qui s’emballe un peu tandis que Lola se retient contre une de ses épaules, son autre main contre son torse. Elle est plus bouleversée qu’elle ne voudrait l’admettre de ce rapprochement soudain dont elle avait l’initiative, elle en était consciente. Pas un mauvais bouleversement mais si on regard où ils en étaient quelques semaines plus tôt, c’était quand même un sacré revirement. D’ailleurs, sous l’impulsion du moment :

« Tu devrais me parler de toi. »

Elle accroche son regard, encadrant son visage de ses mains alors qu’il se redressait d’un énième petit baiser brûlant contre une de ses tempes.

« Tu as dit que je ne te connaissais pas. Ou plus. Alors tu devrais m’apprendre à nouveau. »

Lola voulait tout retrouver de Stan et profiter de ces petits baisers presque adolescents mais qui faisaient indéniablement vibrer la femme qu’elle était devenue. Ses mains toujours autours du visage de Stan, Lola vient glisser son pouce sur la petite croix sous un de ses beaux yeux noirs… Puis il s’aventure sur les lèvres qui un instant plus tôt s’égaraient sur sa peau.

« Tu en as envie ? »

De lui parler de lui. Mais le double sens lié à la légère tension entre eux était plus ou moins assumés même si ça ne dépasserait probablement pas ce stade. Jouer sur les mots, sur la situation… C’était vieux comme le monde. Mais de le savoir ne faisait pas battre son cœur moins vite.

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Lun 9 Aoû - 20:53
Dance with me.
Cette fois elle n'a peut-être pas tout à fait tort. Elle a sans doute même carrément raison quant au fait que tu fais ton chevalier. En tout cas il est vrai que tu montres beaucoup d'intérêt pour son bien être et tout ce qui s'ensuit. Que tu veux réellement t'assurer qu'elle rentre chez elle dans les meilleures conditions possibles. Cette fois ci t'as peut-être pas tort. Que tu es obligé de reconnaître à voix haute. C'est trop ? Inquiétude réelle que tu exprimes tout de suite dans la foulée. Il ne faudrait pas que ça la lasse et l'agace quand même.  Entre vous c'est encore beaucoup trop fragile pour que tu prennes pareil risque. Toutefois, tu ne vas pas non plus lui mentir et prétendre que tu ne l'as pas vu entrer en compagnie d'au moins une jeune femme, quand elles sont arrivées. Oui je vous ais vus. Mais je ne voulais pas vous déranger. Et l'espace d'un instant, tu as crains qu'elle ne soit venue pour retrouver quelqu'un. Ou qu'elle n'est l'intention de repartir en charmante compagnie. Tu sais qu'elle n'est pas du genre à flirter et à coucher à tout va. Mais ça ne signifie pas que ça demeurera toujours ainsi.

Ah ... Eh bien j'ai l'impression qu'elle est occupée de son côté alors. Tout comme l'est Lola par toi, dans le fond. Mais certainement pas de la même façon. Parce que même si elle vient tout juste de te voler un délicat baiser, pour elle il ne signifiait sans doute rien du tout. Non je suis venu avec deux trois potes. Mais pareil, on ne reste pas ensemble toute la soirée. Surtout parce que vous avez toujours clairement l'intention de repartir chacun en charmante compagnie. Mais il n'est pas utile de le lui préciser ça. T'es à déposer de tendres baisers sur la peau du visage de Lola, sans réellement t'en rendre compte, quand elle t'interrompt. Non pas pour t'éloigner d'elle. Mais pour encadrer ton visage de ses mains et te faire une requête qui te pousse à afficher tout de suite une petite moue. Elle veut apprendre à nouveau qui tu es. Qui tu es devenu, plus précisément. Mais toi, tu es soudainement trop occupé à l'observer en silence. A dévorer du regard son joli visage tout proche du sien. A t'extasier devant sa beauté évidente.

Maintenant ? Que tu parviens tout juste à marmonner tout bas, le regard rivé sur elle. Tu es tout à fait captivé par sa personne. Quant à la question qui est posée en finalité, achève de te troubler tout à fait. Est-ce qu'elle parle du fait de discuter ensemble et de lui apprendre qui tu es ? Ou est-ce qu'il est question d'elle, de son visage tout proche du tien et des envies qui pourraient être les tiennes la concernant elle directement ? A l'occasion pourquoi pas ... Discuter et te raconter. Parce que c'est certainement de ça dont il est question. Même si tu viens doucement frotter ton nez contre le sien. Résistant tant bien que mal à la tentation que représentent ses lèvres pour les tiennes, pour toi. Tu as terriblement envie de l'embrasser. Pour de vrai cette fois. De prendre le temps de goûter à cette bouche toujours peinte de couleurs mates. Rassure moi, j'suis pas le seul à sentir cette tension, hein ? Autant le lui demander de façon directe. Plutôt que d'aller jusqu'à commettre une erreur impardonnable.

CODAGE PAR AMIANTE
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