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Il meglio deve ancora venire (Giada et Zachary)
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Sam 9 Oct - 19:41
Il meglio deve ancora venire
@Zachary Thompson  

Ce qui est certain, c'est que la plupart des journées de la mère de famille sont toujours bien remplies, entre le foyer qu'elle tient d'une main de maître et de sa jeune adolescente avec laquelle elle a des altercations parfois. Elle trouve encore le temps de consacrer quelques heures pour son travail et les copies de ses étudiants qu'elle doit corriger, bien souvent en dehors de ses heures de travail, mais c'est toujours avec plaisir qu'elle le fait. Elle qui aime partager et apprendre, le métier de professeur s'est donc imposé comme le choix parfait pour elle. Pour couper aussi avec cette vie de juste femme au foyer dont elle ne veut pas.

Elle aime évidemment s'occuper des siens, elle aime s'occuper de son mari et de ses enfants, même s'il faut dire, que le plus âgé aurait passé l'âge de rendre visite à maman pour qu'elle règle ses problèmes. C'est pourtant ce qui c'est passé il y a quelques jours de ça. Son fils est un adulte d'une trentaine d'année, mais il est de loin le genre d'adulte modèle qui a réussi sa vie. Enfant turbulent, adolescent à problème et aujourd’hui adulte perdu. Certainement que le fait de ne pas connaître son père et ne pas considérer Mario comme son véritable père n'a pas aidé à forgé son histoire. Aujourd'hui, il est dans une merde sans nom. Et c'est Giada qui prend la relève pour pouvoir lui assurer une vie encore suffisamment longue pour ne pas le voir mourir avant elle. Comme à son habitude, c'est elle qui règle ses problèmes. Elle n'a pas tout compris de ce qu'il est venu lui raconter l'air paniqué. C'est donc avec une simple adresse en poche qu'elle se rend au centre-ville.

Lorsqu'elle arrive à l'adresse, c'est dans un bar qu'elle atterri. Elle qui aime toujours être coquette, contraste dans ce bar avec tous ces hommes qui ne cessent de poser leurs yeux de manière indécente sur cette robe qui lui galbe le corps et ce manteau qui leur cache un peu la vue. Talons qui claquent le sol, elle va au bar, ne montrant pas un seul instant qu'elle est mal à l'aise. S'y assied. Le serveur lui demande si elle préfère une tisane ou un sirop. Ce à quoi elle ne peut s'empêcher de rigoler et de demander avec son accent chantant. « Amaretto sour » son cocktail préféré. Après tout, elle a plus l'allure d'une bourge que d'une femme qui à affaires dans ce bar. « Excusez-moi jeune homme, je souhaiterais parler à un certain Zac » qu'elle demande d'un air approximatif au serveur derrière le comptoir, si ses souvenirs sont bons, c'est ainsi que le problème de son fils se nomme.
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Zachary Thompson
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➤ HISTOIRES : 49
Zachary Thompson
Sam 9 Oct - 20:17
TW : vulgarité.
Il meglio deve ancora venire
Entre tes doigts glissent les billets que tu comptes les uns après les autres. La recette des derniers paris. Un crétin a manqué d'y perdre la vie et pourtant, tu te réjouis du fric que tu t'es fais sur son dos. Il faut dire que tu ne les obliges à rien toi. Et si certains se lancent à leur tour dans les combats du genre parce qu'ils ont de gros problèmes d'argent, ce n'est pas ton souci non plus. Tu te contentes d'organiser le tout dans l'arrière cours de ton bar. Se présente qui en a envie. En revanche, toi tu fais la guerre à ceux qui tentent de te voler. Parce qu'il y en a bien quelques uns qui s'y essaient. Mais ça ne dure jamais bien longtemps. C'est que tu n'es pas seul à être impliqué dans tout ça. Et si ce n'est pas toi qui trouve le mauvais payeur en question, c'est l'un des gars qui sont là à te rendre service et à t'aider en toutes circonstances et toutes situations.

Boss, y'a une gonzesse qui d'mande à vous voir. Tu ne prends pas la peine de t'arrêter dans tes comptes pour répondre par un simple "ouais" au serveur qui referme tout de suite la porte. Tu prends le temps de terminer ce que tu étais en train de faire, avant de ranger les billets dans une boîte. Elle même rangée dans un coffre fort planqué derrière un lourd fauteuil. Tu n'as pas pris le temps de te demander qui était la gonzesse en question et s'il fallait ou non t'en inquiéter. Ce n'est pas ton week-end de garde de la petite alors tu doutes qu'il s'agisse de ton ex. Future ex femme. Tu n'as donc pas vraiment le temps de t'inquiéter à l'idée que tu ais pu zapper le jour, que tu arrives déjà du côté du bar. Où patiente effectivement une gonzesse. Son apparence t'arrache tout de suite un bref ricanement. Bah dites donc ma petite dame, vous vous êtes paumée ? Que tu ne peux que demander, un brin ironique.

Tu te glisses derrière le bar pour t'approcher d'elle. Elle m'a demandé un truc mais j'sais pas c'que c'est. Un Amaretto j'sais pas quoi ... Ton regard va du jeune serveur à la brune. Définitivement, elle n'est pas où elle devrait être. Tu ne prends pas la peine de répondre à ton employé. Tu te contentes de lui faire signe de dégager. D'aller s'occuper des tables sur lesquelles les verres se vident. A moins que vous ne soyez là pour vous faire ravager l'cul par tous les chacals du coin, vous feriez mieux de lever le camp. Tu te trouves plutôt sympa de la prévenir qu'elle risque de mal finir si elle traîne de trop dans les environs. Après un verre ou deux de trop, certains oublient ce qui se fait de ce qui ne se fait pas. Surtout quand il est question d'une nana.

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Dim 10 Oct - 16:57
Il meglio deve ancora venire
@Zachary Thompson  

Elle sait qu'elle ne peut jamais résister trop longtemps à vouloir venir en aide à son fils, après tout, elle est mère de famille et c'est son rôle qu'elle le veuille ou non. Elle le fait toujours sans rechigner, mais quelque chose lui souffle que cette fois, elle aura un peu plus de fil à retordre. Si en règle générale, c'est l'affaire de quelques centaines de dollars ou une caution de quelques milliers de dollars, cette fois, ça à l'air plus grave. Si grave que son fils n'a pas même été en mesure de lui en dire plus. Si ce n'est qu'il s'est prit au jeu et que s'il ne veut pas mourir avant ses quarante ans, il aurait besoin de l'aide de Giada. Elle lui fait toujours ces faveurs et le sort de ses embrouilles, car elle a comme une dette envers lui, la dette de ne pas divulguer le nom de son véritable père, qu'elle connaît pourtant bien.

Alors, elle se dirige vers la gueule du loup, elle sait bien qu'elle ne devrait pas être dans ce coin de la ville, encore moins ainsi vêtue, mais que voulez-vous, le charme italien avant tout. C'est une femme de classe, de parole aussi, ce qui va tout à fait avec ce qu'elle dégage. Alors, quand ces sales hommes la regardent avec des yeux lubriques, elle tient tête haute et se dirige simplement vers le bar. Commander un cocktail et demander à voir le problème en question. Elle ne se doute pas qu'elle n'est pas dans un bar standard et que le serveur. À part servir des bières et des whiskys on the rocks, ne doit pas bien connaître les mélanges d'alcool qu'on peut y faire. Elle le regarde, il a l'air perdu, mais il se fait très vite dégager par le fameux Zachary. Elle ne l'aurait pas imaginé ainsi. Elle s'imaginait un homme de deux mètres, battis comme une armoire à glace. Pourtant, il a l'air tout à fait sympathique, même si ces tatouages n'ont pas de sens. « Je pense être au bon endroit, si vous êtes bien Zac » son fils ne lui ayant pas donné de description ou plus d'informations.

Il a l'air tout à fait étonnée de voir une femme de son genre ici et elle-même l'est un peu. Elle l'épie alors, analyse son style, sa façon de parler va bien avec la personnalité qu'il dégage, l'air si sûr de lui. « Merci de vous inquiéter pour moi, mais est-ce que je peux enfin avoir mon Amaretto sour ? » elle peut bien lui tenir tête un peu, même si elle n'est pas certaine de qui se trouve en face d'elle. Big boss ? Ou simple pion dans l'échiquier des bandits ? Qu'importe, elle est là pour mettre au clair ces histoires et demander d'épargner son fils. Elle regarde autour d'elle, en effet il y a des chacals en rûtes à en perdre la tête ici. Elle repose son regard sur le brun. « Je suis là pour Lorenzo, visiblement il a des problèmes avec vous et … J'aimerais qu'on puisse en discuter » elle ne se rend pas tout à fait compte, que dans ce milieu, les problèmes ne se règlent jamais vraiment.
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Zachary Thompson
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➤ HISTOIRES : 49
Zachary Thompson
Dim 10 Oct - 18:20
TW : vulgarité.
Il meglio deve ancora venire
Elle pourrait bien être la femme d'un mafieux la brunette qui se tient devant toi, tête haute et l'air grave et bravache. Elle a un charme à l'italienne. Le physique des top model des années 90 qui ont aujourd'hui la cinquantaine. Elle est séduisante. Et tu n'es pas le seul à l'avoir remarqué, compte tenu des regards lubriques que posent sur elle tous les hommes présents. Pour la plupart, des clients habitués à ce bar dans lequel ils peuvent quasiment boire à l'œil. Il faut dire que c'est surtout le petit business qui se déroule dans l'arrière cours, qui fait vivre l'endroit. Tu te montres presque avenant avec elle, quand tu débarques enfin. Quand tu te montres presque prêt à l'aider, peu importe la raison pour laquelle elle est venue. Sauf si son but est vraiment de boire un simple cocktail. Et dans ce cas là, tu vas te contenter de gentiment lui montrer la porte. Avant qu'il ne lui arrive malheur. Parce que tu n'as pas envie de t'attirer des ennuis à cause d'une petite bourge qui se serait faite agresser ici.

C'est apparemment vraiment à toi qu'elle souhaite parler, puisqu'elle connaît ton prénom. Ou du moins ton surnom, que tout le monde utilise. Tu ne réponds pas. Tu te contentes de la regarder avec insistance. Le regard qui ne manque pas d'aller flirter avec la jolie poitrine qu'elle a mis en valeur sous ce manteau épais. Y'a pas d'ça ici. J'peux vous proposer un soda avec une rondelle de citron si vous voulez. Que tu ironises, sourire goguenard sur les lèvres. Il y a bien quelques cocktails que vous pouvez faire. Mais pour celui là, il te manque la moitié des ingrédients. Pour la simple et bonne raison qu'on ne vient pas dans ce genre d'endroit pour s'offrir un truc aussi chic. On n'est pas dans un bar huppé comme vous d'vez en avoir l'habitude vous savez. C'est visible au premier coup d'œil ça. Mais elle a apparemment besoin que quelqu'un le lui fasse tout à fait remarquer. Alors pourquoi pas ?

Ton expression  change tout à fait quand elle mentionne un certain Lorenzo. Tu as une excellente mémoire quand il s'agit de se rappeler de ceux qui te la font ou qui tentent de te la faire à l'envers. Et ce Lorenzo, c'est une sacré petite enflure qui te doit un paquet de pognon. Bien. Le ton es plus tranchant. On ferait mieux d'aller se mettre au calme pour "discuter". S'il ne vient pas en personne régler ses dettes, tu le feras sans doute par le biais de cette femme qui semble liée à lui. Sa tante, sa soeur, sa femme, sa mère, tu n'en sais foutrement rien et tu t'en fous pas mal. Tout ce que tu vois pour l'heure, c'est l'argent que tu attends de récupérer. Et si tu le pouvais, récupérer le temps qu'il t'a fait perdre. Mais pour l'heure, tu guides tranquillement la femme jusque dans ton bureau. Dont tu fermes la porte une fois que vous êtes tous les deux entrés. Alors ? J'écoute. Tu attends qu'elle se lance d'elle même, prenant place dans le siège devant ton bureau.

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Lun 11 Oct - 18:27
Il meglio deve ancora venire
@Zachary Thompson  

Pour son fils, elle se met bien souvent dans de sales histoires elle-même, mais de là à se retrouver dans un bar tout ce qu'il y a des moins charmant, elle ne l'aurait jamais cru. Il faut croire que l'instinct maternel est plus fort que tout et pour protéger sa progéniture, bien que plus que majeure, elle serait réellement prête à se mettre en danger comme cela semble être le cas à l'heure actuelle. Assise à ce bar, seule et sans protection aucune, si ce n'est sa manière de se comporte qui fait penser qu'elle est sûre d'elle et n'a peur de rien. Elle a vécu bien pire dans la vie après tout, c'est une femme forte.

Elle regarde le jeune homme qui se poste devant elle, il doit avoir le même âge que son fils, ce qui ne l'étonne pas plus que ça, certainement un petit merdeux qui se prend pour dieu. Elle ne sait pas qu'elle a affaire à un véritable homme d'affaire malin et astucieux. « Proposez-moi plutôt un Whisky on the rocks dans ce cas » elle n'est pas de ces femmes qui ne supportent pas l'alcool. Elle aime les liqueurs et si son cocktail préféré est indisponible, il doit bien avoir au moins ça derrière ce semblant de bar. Le sourire du jeune homme l’insupporte déjà. Plus encore lorsqu'il pense qu'elle est le genre de femme qui ne traîne que dans des bars huppés ou autre. « Sommes-nous réellement dans un bar ? » non, parce que la question se pose. Elle lève un sourcil et regarde autour d'elle. Ça ressemble plus à un bordel qu'à autre chose. Puisqu'il veut jouer à ce jeu, il pourra se frotter à elle.

Personne ne peut lui faire réellement peur, si ce n'est la perte de sa famille, raison pour laquelle elle se trouve ici, face à cet individu dont elle ne cerne pas encore le rôle ici. Quand elle parle de Lorenzo, elle voit bien que le regard de Zac change en quelque chose de plus fort. Elle le suit alors simplement dans ce qui semble être son bureau. Elle hésite néanmoins un instant, après tout, il pourrait très bien lui vouloir du mal, mais elle saura crier si tel est le cas. Quand il prend place derrière le bureau, elle ne peut s'empêcher de le narguer, comme lui tout à l'heure. « Votre boss vous laisse vous asseoir derrière le bureau ? » non, parce qu'il a tout sauf l'air d'un mafieux. Elle ricane et prend place face à lui. Son accent italien qui chante dans la pièce. « Je sais que mon fils vous doit une certaine somme d'argent et je suis ici pour régler ses dettes. Je ne sais pas exactement ce qu'il vous doit, mais on doit pouvoir s'arranger » elle espère qu'il n'est pas inconscient au point de lui devoir des dizaines de milliers de dollars, sans quoi, elle ne pourra le rembourser.
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Zachary Thompson
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➤ HISTOIRES : 49
Zachary Thompson
Lun 11 Oct - 20:11
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Il meglio deve ancora venire
Un lent sourire vient étirer tes lèvres. Il prend son temps pour apparaître. Comme une jolie fleur qui éclot. Quand bien même ce sourire, il est plus ironique qu'autre chose. Plus provocateur que vraiment amusé. Malgré tout, tu te détournes pour attraper un verre et une bouteille de Whiskey. L'une des meilleures. Parce qu'elle n'est certainement pas du genre à se contenter du plus bas prix. Une vraie poule de luxe. Tu fais tomber quelques glaçons au fond du verre avant d'y verser quelques gouttes d'alcool. Verre que tu déposes ensuite devant elle. Regard insistant toujours sur son visage. Comme si tu la mettais au défis de réellement boire ça. Tu ne l'imagines pas du genre à pouvoir supporter un alcool fort. Ou un alcool de bas étage comme peut l'être la bière aux yeux de certains. A votre avis ? Si ce n'est pas un bar, qu'est-ce que c'est ? Ce n'est pas parce que vous ne servez pas de ces cocktails chichiteux, que vous n'êtes pas un bar.

Quand tu comprends enfin la raison de sa présence, tu ne tournes pas plus autour du pot et l'entraînes déjà en direction de ton petit bureau. En bordel. Mais relativement propre. A l'image de ton appartement tiens.  Au son de ses pas, tu remarques bien qu'elle a un bref moment d'hésitation. Pourtant elle finit par te rejoindre et entrer à son tour. Porte close, tu prends place devant ton bureau. Tu la regardes sans réagir quand elle te provoque. Parce que c'est de la provocation que d'émettre l'idée que tu ne sois pas le boss. A moins que ça ne soit vraiment ce qu'elle s'imagine ? Vous essayez de m'énerver ? Essayer seulement. Parce qu'il en faudra plus. Il faudrait, par exemple, que ce con de Lorenzo ne te rembourse pas. Là, ça pourrait effectivement te foutre en rogne. Parce qu'il y a bien un domaine dans lequel il ne faut surtout pas essayer de jouer avec toi. Et c'est celui ci. Celui qui concerne le fric qui est supposé entrer dans tes poches et/ou ton compte en banque.

Et le Lorenzo en question s'avère donc être son fils. Peu surprenant, compte tenu de l'âge qu'il a l'air d'avoir. Pas loin du tien. Eh bien ... Avec une mère aussi sexy, pas étonnant qu'il le soit lui même. Que tu commentes, sourire de retour sur le coin de tes lèvres. Dommage que ce soit un petit enfoiré de voleur. Tu te détournes enfin d'elle pour te pencher derrière ton bureau. Tu ouvres un tiroir duquel tu extirpes une feuille de papier. Avec un stylo rouge, tu entoures la somme finale qui y est notée et tu tends le papier vers elle. C'est ce qu'il me doit, avec les intérêts. Dans une semaine s'il ne m'a pas remboursé, on atteint la dizaine de milliers supplémentaire. Tu laisses le papier devant elle et te recules de nouveau pour te tasser contre le fond de ton siège. Vous réglez comment ? Chèque ou espèces ? Je prends pas le paiement en nature, désolé.

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Mer 13 Oct - 14:14
Il meglio deve ancora venire
@Zachary Thompson  

Elle ne sait pas si c'est l'alcool qu'elle semble ingurgiter qui lui brûle l’œsophage ou la question de Zac. Il faut dire que son regard qui semble la mettre au défi de consumer ce malt la pousse plus encore à lui prouver le contraire, c'est bien la première fois qu'elle a envie de prouver qu'elle est une femme forte. Une femme sûre d'elle. À croire que c'est elle qui a une dette envers lui. Elle se soumet donc à l'ingestion de cet alcool sans ciller, son visage ne rougit même pas. Elle n'est pas fine consommatrice d'alcool, mais en tant qu'italienne qui se respecte et descendante d'un arbre généalogique comptant des vignerons italiens, elle reconnaît là qu'il ne lui sert pas de la merde. « Une cour d'école » remplis de jeune gens intrépides et profondément idiots pour venir s'amuser à placer leur argent et le perdre par la même occasion.

C'est l'air tout à fait donc sérieuse qu'elle le suit dans son bureau, après tout, il ne pourra rien lui faire, elle agite simplement le drapeau blanc, elle n'est pas là pour chercher la guerre ou mettre de l'huile sur le feu, bien qu'avec sa remarque, c'est ce qui risque d'arriver. « Vous paraissez simplement être relativement jeune pour être à la tête d'un … business » loin d'elle l'idée de le mettre en rogne. Elle comprend donc qu'il est en effet en haut de l'échelle. Le pion à abattre, avant qu'il n’abatte son fils par exemple. Assise, jambe croisées face à lui, elle demande l'ardoise.

L'ardoise de cet imbécile de Lorenzo qu'est son fils. Trop pourri gâté ou simplement idiot, elle ne sait pas encore, mais en tant que mère, c'est à elle d'épancher ses pleurs à défaut d'épancher le sang si elle ne fait rien. « Il paraît que les enfoirés ont toujours une belle gueule et un beau corps » comme celui qui se trouve en face d'elle, mais elle n'en dira pas plus. Elle ne peut s'empêcher de sourire tout de même bêtement, elle n'a jamais parlé de copains ou copines avec son fils et l'espace d'une seconde, elle se demande si ces deux ont étés amants. Mais si c'était réellement le cas, pourquoi lui demanderait-il un remboursement ? Lorsqu'elle voit la somme, elle suffoque un peu, mais garde la face. « Pouvez-vous me dire dans quel genre d'affaire ou de jeu s'est-il aventuré avec vous ? » son fils n'ayant pas eu les couilles nécessaires pour lui en parler. Quand elle voit le montant, elle ose tout imaginer, même le pire. À sa remarque cela dit, un petit rire s'échappe et ses commissures forme un sourire bientôt narquois. « Je vous règle en espèce, mais il est évident que je n'ai pas une telle somme dans l'immédiat » elle se rabat sur son siège, soupire d'aise. « Je devrais pouvoir vous fournir une certaine somme de manière mensuelle durant les six prochains mois et nous seront quittes » preuve irréfutable qu'elle ne connaît rien de ce milieu de malfrat. Six mois pour un remboursement ?
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Zachary Thompson
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➤ HISTOIRES : 49
Zachary Thompson
Mer 13 Oct - 20:59
TW : vulgarité.
Il meglio deve ancora venire
Sa réponse a au moins le mérite d'être spontanée et de dévoiler donc tout le fond de sa pensée. Parce que tu ne doutes pas que c'est véritablement ce qu'elle pense. Et ça te fait sourire. Pas rire aux éclats, parce qu'elle n'est quand même pas marrante à ce point. Mais sourire quand même sur tes lèvres de petit con dans sa cour d'école. Quant à elle, elle est à porter son verre à ses lèvres pour en boire quelques gorgées, sans même ciller. Aucun doute qu'elle est tout simplement en train d'entrer dans ton petit jeu qui consiste à provoquer l'autre. Tu te fous d'elle mais elle ne se laisse pas faire. Tu apprécies le fait qu'elle ait ce genre de courage là. Qu'elle ne craigne pas de jouer avec un type comme toi. Soit, tu n'es pas le plus effrayant des hommes. Mais tu n'es pas non plus le type qui a l'air tout à fait sympa, par excellence. Sans parler du lieu dans lequel vous vous trouvez. Qui ne joue pas en ta faveur non plus pour cette fameuse image de toi même.

Quant au fait que tu ais l'air trop jeune pour être à la tête de pareille business, de son point de vue, tu te contentes de hausser les épaules. Parce que ce n'est pas non plus comme si son avis sur ta personne avait la moindre importance. De toute façon, tu préfères parler de ton argent. Plus précisément, de celui que ce petit enfoiré de Lorenzo te doit. Elle a quand même une petite réaction quand elle voit le chiffre que tu lui annonces à l'écrit. Et tout naturellement, elle s'inquiète de ce dans quoi s'est embarqué son fils pour en arriver là. Disons … Des paris sportifs ... C'est totalement ça. Elle n'a pas besoin de savoir de quel genre de sport il s'agit. Mais tu n'as pas envie de mettre entre toutes les mains les détails de cette vie que tu mènes, avec tout l'illégalité qui vient avec.

Bien vite, elle est obligée de reconnaître qu'elle ne peut pas te rembourser d'un seul coup. Mais que ça viendra, somme par somme, au cours des prochains mois. Ce qui a au moins le mérite de t'arracher un rire. Fort, franc, spontané. Vous êtes vraiment à ce point naïve ? Que tu l'interroges, le sourire toujours sur les lèvres et dans les yeux. Vous savez pour quelle raison il est venu pleurer dans les jupes de sa chère mère ? C'est que ça fait déjà six mois qu'il me fait courir. Si je n'ai pas mon argent d'ici une semaine, il perdra … Quelques parties de son anatomie, disons. C'était ça ou rendre une petite visite à sa tendre famille. Sourire, toujours. Comme si tu étais en train de parler de la pluie ou du beau temps. Est-ce que votre fille est aussi jolie que vous ? J'aurais bien quelques projets pour elle. Qui devraient pouvoir éponger les dettes de son frère. Tu bluffes. Tu ne t'en prendrais pas à une gamine innocente. Mais ça, elle n'a pas besoin de le savoir.

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Jeu 14 Oct - 12:05
Il meglio deve ancora venire
@Zachary Thompson  


Elle ne sait pas encore dans quel genre de bourbier elle s'est mise, mais elle est persuadée que ça n'a rien de bien sympathique. Le fait que son fils lui ai demandé de l'aide, prouve bien qu'il est bien dans la merde. Généralement il se contente de ne rien dire et c'est elle qui découvre qu'elle doit aller le récupérer au poste de police où chez des amis qui décident de le foutre à la porte. Mais là, il est question d'argent et pour avoir vu Lorenzo dans un état absolument désemparé, elle n'a pas demandé plus de détails et a accouru vers son problème. « Je ne sais pas encore lequel des deux ment, mais je finirais par le découvrir » paris sportifs, la blague. Elle voudrait en rigoler si la situation n'était pas aussi sérieuse. Elle doute que ce soit réellement de ça qu'il est question. Lorenzo n'est pas assez intelligent pour investir dans des choses légales, il est plutôt un cancre.

Comme le grand cancre qui se trouve en face d'elle. Elle le mitraille du regard, mais ça ne semble pas lui faire quelconque effet. Quand il rigole franchement, elle plisse un peu les yeux, ne comprenant pas sa réaction. Naïve, elle l'est. « Je ne baigne pas dans votre milieu de malfrat » qu'elle confirme donc quant à sa potentielle naïveté. La suite du récit lui glace le sang néanmoins. Elle bronche dans sa barbe et soupire de désespoir, son fils est un véritable cancer pour la famille, mais c'est son fils … « Écoutez Zac, mon fils est perturbé depuis sa plus tendre enfance, ce qui le pousse à faire des conneries, comme le fait de parier avec vous » elle ne le quitte pas des yeux « Je ne peux pas vous offrir cette somme dans une semaine, mais je peux vous la fournir, là est le plus important, non ? Je pense qu'on peut s'arranger, si vous m'accordez du temps » et si ce n'est pas le cas, elle n’aura d'autre choix que de se débrouiller ou offrir ses services, à savoir encore lesquels.

Ceci dit, lorsqu'il commence à parler de sa famille, du fait qu'il pourrait être capable de toucher à Lorenzo et lui retirer quelques membres de son anatomie, elle ne bronche pas vraiment, elle serait du même avis que lui, mais lorsqu'il est question de Chiara, elle qui n'a rien demandé, elle voit noir. Elle se lève alors et frappe son poing contre la table. Parler de sa famille de cette manière la met dans une colère noire, elle en oublie qu'elle a en face d'elle, certainement un assassin. Elle se penche vers lui, de façon à ce qu'il la comprenne bien, elle et son accent chantant qui se fait encore plus tranchant. « Vous touchez à un cheveu de Chiara et je vous jure que vous aurez toute l'Italie à dos » elle se demande d'où il peut bien obtenir toutes ces informations, mais il faut croire qu'il est bien informé. Son regard noir toujours vers lui. « Vous n’êtes pas le seul petit bandit véreux dans cette pièce » elle a des contacts dans son pays d'origine, pas vraiment des bandits comme lui, mais il va falloir bluffer avec cet individu qui la met hors d'elle.
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Zachary Thompson
Zachary Thompson
Zachary Thompson
➤ HISTOIRES : 49
Zachary Thompson
Jeu 14 Oct - 19:08
TW : vulgarité.
Il meglio deve ancora venire
Elle n'a vraiment pas l'air d'aimer ton humour la jolie maman. A moins qu'elle n'ait tout simplement pas d'humour, tout court. C'est une éventualité. Une vraie. Et à toi, ça t'arrache bel et bien un rire. C'est plus fort que toi. Je ne sais pas ce qu'il vous a raconté ... Mais moi je vous dis la vérité. Elle est seulement un peu détournée et transformée selon tes propres envies et ton propre petit plaisir. Parce que tu ne vas évidemment pas tout lui balancer d'une traite, comme ça. Tu ne sais pas du tout qui elle est après tout. Et rien que pour ça, tu ne peux pas prendre de risque disproportionné.  Et de toute façon, elle n'a pas besoin d'en savoir plus. Alors tu n'en rajoutes pas et te contentes d'afficher encore et toujours cet air de parfait petit con. Parce que dans le fond ça t'amuse. Elle est tout à fait marrante avec cette touche de naïveté qui ne colle pas avec l'âge qui semble être le sien. Même si tu comprends bien qu'elle ne vient pas de ce milieu.

Si jusque là elle t'amusait pas mal, c'est différent maintenant qu'elle tente de te faire entendre raison. Pour le coup, ça t'arrache surtout un soupir agacé. Et tu te tasses contre le dossier de ta chaise. La tête qui bascule vers l'arrière pour caler ton crâne contre le dossier. Paupières closes. Le temps qu'elle termine de parler et que toi, tu analyses l'ensemble. Il est évident que tu ne vas pas lui offrir la même possibilité qu'à son fils, de te faire tourner en bourrique six mois. Tu sais que laisser du sursis a parfois pour conséquence de faire que tu ne revois jamais tes billets. Alors non, il n'est pas question que tu entendes raison aussi facilement. Ca va être à elle de se démerder pour te rembourser. Et vite. Quand finalement tu te redresses, c'est pour offrir quelques menaces qui ont au moins le mérite d'être claires. Suffisamment claires pour qu'elle réagisse en un rien de temps. Debout derrière le bureau, l'air tout à fait menaçante avec son poing qui heurte la table. Ce qui, pour le coup, te fait surtout sourire de toutes tes dents.

Et qui comptez-vous alerter en Italie ? Que tu l'interroges dans un italien absolument parfait et sans une once d'accent. Probablement la langue que tu maîtrises le mieux après l'anglais. Pour le coup, tu ne connais pas les organisations italiennes. Ni même les américaines en vérité. Mais elle n'a pas besoin de le savoir. Elle qui est certainement tout autant en train de bluffer que toi. Si ce n'était pas le cas, ça fait bien longtemps que son fils aurait trouvé une porte de sortie. C'est bon détendez-vous, j'en ai rien à foutre de votre gamine. Que tu soupires encore, yeux levés au ciel. Vous En revanche, vous, si vous souhaitez diminuer la dette de votre fils, on devrait pouvoir trouver un truc ... Tu réfléchis à voix haute, le regard songeur posé sur elle.

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