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(+18) the storm [Robia]
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Lun 11 Mai - 19:59


the storm

oublie le prince charmant, va pour le loup ! Le loup il te voit mieux, il t’entend mieux et surtout, il te mangera mieux.

◊ ◊ ◊

Depuis quelques jours l'ambiance s'est un peu tendue à la maison. Depuis ce fameux soir où tu as un peu trop bu et que tu t'as un peu trop fait marcher ton imagination. Heureusement, Robin n'a pas été très présent depuis. Il s'est beaucoup absenté pour son travail, du moins, tu penses que c'est pour ça. Peut-être qu'il a cherché à t'éviter lui aussi, même si tu ne vois pas pourquoi il ferait une telle chose. Enfin, peut-être que tu as été trop familière avec lui. Peut-être que le fait que tu te sois montrée aussi tactile ne lui a pas vraiment plu. T'es un peu perdue depuis cette fameuse soirée. Tes pensées se bousculent, t'essayes de retourner le problème encore et encore dans ta tête. Qu'est-ce que tu ressens pour Robin au juste ? Tu l'apprécies oui, t'aimes bien être avec lui. Mais tu t'es rendue compte que c'était plus complexe que ça, il t'attire Robin. Physiquement tu te sens attirée par lui. Si t'avais su que ça t'aurait mis dans un telle position, tu ne lui aurais jamais proposé de faire ce test, du moins tu n'y aurais pas participé. Et tu as essayé de te convaincre que c'était à cause de l'alcool tout ça, mais tu y as pensé plusieurs fois depuis. Tu t'es même surprise à en rêver. Plusieurs fois tu t'es réveillée un peu bouleversée par quelques rêves brûlants, pas érotiques mais juste dans lesquels tu revivais cette fameuse scène que tu t'étais mise en tête ce soir-là. Alors quand tu te levais après un tel rêve, tu priais intérieurement pour ne pas croiser Robin, parce que t'avais peur que ça se lise sur ton visage. T'avais peur qu'en te regardant il verrait dans ton regard que tu avais rêvé de lui. Jamais encore tu ne t'étais retrouvée dans pareille situation. Et tu ne sais toujours pas comment y faire face. Surtout que tu ne peux pas demander conseil à tes sœurs, elles voient tellement cette relation d'un mauvais œil.

T'essayes donc de te concentrer sur tes études, tu bosses, tu n'arrêtes pas une minute. Tu fais des pauses le temps de manger, et encore tu grignotes toujours un petit truc sur le pouce. Au fond, elles te manquent ces soirées avec Robin. Mais tu ne sais pas quand tu seras prête à remettre ça. Il te faut un peu de temps. Mais ça t'embête parce que tu te doutes qu'il ne doit pas comprendre pourquoi tu es devenue aussi distante du jour au lendemain... Et tu ne pourras jamais lui révéler la vraie raison de ton soudain changement de comportement à son égard. T'as veillé tard la nuit dernière, t'as relu tes cours et tu t'es avancée sur tes devoirs, les pauvres ne vous épargnent pas, tu as des tonnes de dossiers à rendre. Mais ça t'arrange, ça te permet de ne pas trop penser à autre chose. Quand tu t'es levée ce matin, Robin était déjà parti. Tu t'es sentie à la fois soulagée mais aussi déçue de ne pas le voir, de ne pas entendre sa voix. Tu as eu un peu plus de mal à rester concentrée toute la journée, à cause de la fatigue, du manque de sommeil que tu as accumulé à trop vouloir travailler. Et puis ce ciel gris n'a rien arrangé à ton humeur déjà bien maussade. En rentrant, la maison était vide. Tu t'es octroyée une petite pause, tu as passé près d'une heure avec ton frère au téléphone. Il t'a changé les idées, il t'a arraché quelques sourires, même des rires. Ça t'a fait un bien fou et ça t'a remontée à bloc pour le reste de la soirée. Tu as pu te plonger totalement dans tes cours jusqu'à ce que tes yeux se ferment tout seuls.Quand tu as décidé d'aller te coucher, Robin n'était toujours pas rentré. C'est bizarre mais il te manque... Mais tu es bien trop fatiguée ce soir pour penser. Alors tu t'es laissée aller rapidement dans les bras de Morphée.

Tu ne sais pas quelle heure il est quand tu es arrachée de ton sommeil par un grondement puissant. Tu te redresses rapidement dans ton lit, apeurée. Tu as toujours eu une peur panique de l'orage. A travers les lattes du volet tu peux voir les éclairs fendre le ciel. Tu replies tes genoux contre ta poitrine et tu les entoures de tes bras. Quand tu étais petite, Amy t'a appris une technique pour te rassurer. Elle te disait de compter à partir du moment où tu voyais les éclairs et plus tu devais compter, plus l'orage était loin. Alors tout en te balançant d'avant en arrière tu te mets à compter à voix basse. « Un, deux, trois... » Un nouveau grondement qui te fait sursauter. Ton palpitant s'emballe, tu te mets à trembler. Tu n'as jamais réussi à t'expliquer cette peur que l'orage fait naitre chez toi. Nouvel éclair. « Un, d... » Le bruit assourdissant du tonnerre t'arrache un petit cri de surprise. Il est juste au-dessus de la maison. Tu repousses les draps et tu te lèves. Tu ne sais pas si Robin est rentré, tu pries pour que ce soit le cas, parce que t'es morte de trouille et que tu as besoin d'être rassurée, de savoir qu'il est près de toi. Tu te précipites vers sa chambre, tu n'y es encore jamais entrée. Doucement tu saisis la poignée et tu pousses la porte pour entrer dans la chambre. Tu peux voir une silhouette soulever le drap. Tu pousses un soupir de soulagement. Tu t'avances sur la pointe des pieds, tu essayes de faire le moins de bruit possible. Peut-être que l'orage ne l'a pas réveillé. Tu te glisses sous les draps et tu t'allonges à côté de lui. Tu vas rester là le temps que ça passe, quand tu seras plus rassurée tu retourneras dans ton lit et Robin n'en saura jamais rien. Nouvel éclair et tu te mets à compter dans ta tête en fermant les yeux, très fort. Tu trembles de peur mais aussi de froid, tu n'as pas pris le temps d'enfiler quelque chose de plus chaud que ta petite nuisette. Tu pries pour que ça passe rapidement. Mais l'orage est encore juste au-dessus de la maison.

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Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Lun 11 Mai - 21:52
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Tu sais que ton comportement est un peu celui d'un lâche depuis cette fameuse soirée au cours de laquelle vous vous êtes grandement rapprochés l'un de l'autre. Ce n'est pas que tu n'assumes pas du tout ce qui s'est passé durant ces heures, parfaites de ton point de vue. C'est simplement que tu n'as aucune idée du comportement que tu es supposé adopter depuis. D'autant plus que de son côté elle semble tout faire pour t'éviter autant que possible. Rares sont les fois où vos chemins se croisent. Et quand ça arrive, vous vous contentez de sourires polis et d'échanges banals en tous points. Tu es pourtant ravi de pouvoir poser tes yeux sur elle, le peu de fois où ça arrive. Mais c'est toujours trop rapidement que tu n'assumes plus du tout et que tu n'as pas la moindre idée de ce que tu dois faire. Du coup tu t'enfuis. Et elle en fait de même. Au moins vous êtes d'accord là dessus. C'est que de toute évidence elle se rappelle très bien des scènes qui se sont jouées entre vous au cours de cette soirée mais qu'elle le regrette. Tu le savais que l'alcool n'était pas une si bonne idée que ça. Et encore, tu peux te remercier d'avoir eus l'intelligence de garder un semblant de distances entre vous. En ne cherchant surtout pas à l'embraser par exemple. Tu ne t'es permis que des étreintes tout à fait innocentes. Justement pour éviter des situations gênantes par la suite. Qui, de toute évidence, sont quand même arrivées.

Mais vous avez beau passer votre temps à vous fuir tous les deux, tu veux croire que c'est juste temporaire. Qu'il faudra juste un peu de courage de ta part. Tu vas surtout devoir prendre un peu de temps pour ça. Pour elle. Tu ne veux pas juste une heure à la volée autour d'un repas pour aborder le sujet avant de devoir filer pour le boulot ou une autre mission. Tu veux avoir le temps pour faire les choses bien. C'est aussi pour ça que tu ne cherches pas à rompre le silence quand vous vous êtes en compagnie l'un de l'autre, plus qu'une simple poignée de secondes. Et les jours passent comme ça. Tu pars très tôt le matin, pour ne pas dire dans la nuit, et ne reviens que tard le soir, la plupart du temps. Ce soir encore, tu es rentré tard. Ou tôt, tu ne sais plus trop. Tu n'as pas dormis depuis près de vingt-quatre heures. T'as quitté la maison sur les coups de trois heures pour gérer une affaire avec tes gars. T'es rentré à près d'une heure du matin alors que l'air au dehors, se chargeait lentement mais sûrement en électricité. Et tu t'es endormis avant même de toucher ton matelas de ton corps et ton oreiller de ton visage. Sommeil profond qu'aucun éclair et qu'aucun coup de tonnerre ne pourrait te réveiller. Pas même la porte qui s'ouvre et se referme doucement. Ni les petits pas discrets de la personne qui s'approche de ton lit. C'est finalement le matelas qui s'affaisse, qui te fait réagir.

Tu ne fais d'abord qu'ouvrir les yeux. Un court instant de panique interne. Ton corps ne suit pas. Trop crevé qu'il est. Tu restes immobile et te contentes de voir que c'est elle qui vient de te rejoindre dans ton lit. Tu refermes les yeux. Le temps d'assimiler la chose. De la comprendre aussi. C'est évident qu'elle ne te rejoint pas avec une petite idée derrière la tête. Tu n'es pas naïf au point de croire qu'elle a soudainement décidé de faire le premier pas. Surtout pas aussi franchement. Tout au plus, elle aurait fini par déposer un rapide, chaste et innocent baiser sur ta joue à un moment ou à un autre. Mais te rejoindre dans ton lit ? Non. Et elle est là. Immobile. Figée. Et plus les secondes passent, plus tu sens les tremblements de son corps. L'orage ? Que tu interroges d'une voix endormie. Tu comprends sans trop de mal parce que ça colle très largement à l'image que tu te fais d'elle. Elle est un peu peureuse Mia. Très craintive. Tu ne trouves pas ça ridicule. Tu trouves ça adorable au possible. Et tu mets de côté sa pudeur quand tu remues pour passer un bras en travers de sa taille. Tu l'attrapes et l'attires fermement à toi. Tu oses espérer qu'elle te fait suffisamment confiance depuis le temps, pour se douter que tu ne vas pas profiter de toute cette situation. Soit, au passage tu réalises quand même qu'elle ne porte qu'une petite nuisette. Je t'imaginais dormir dans un pyjama en pilou-pilou. Que tu grommelles dans ta barbe en logeant ton menton sur son crâne pour qu'elle se blottisse tout contre toi. De ton côté tu ne portes qu'un boxer. Et c'est déjà beaucoup de ta part. Tu n'en portes pour dormir que depuis qu'elle vit chez toi. Au cas où il te prendrait l'envie de quitter ton lit en pleine nuit. Il ne faudrait pas la traumatiser n'est-ce pas ?
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Lun 11 Mai - 22:36


the storm

oublie le prince charmant, va pour le loup ! Le loup il te voit mieux, il t’entend mieux et surtout, il te mangera mieux.

◊ ◊ ◊

Tu n'as pas réfléchi quand tu es venue te glisser dans les draps de Robin. Trop obnubilée par ta peur tu ne t'es pas dit une seule minute que ça pourrait paraitre déplacé, que Robin pourrait mal l'interpréter. Qu'il pourrait prendre ça comme une invitation, comme un premier pas pour aller plus loin. Mais t'es à mille lieux de penser à ça. Toute innocente, tu penses juste à chercher un peu de réconfort, comme Robin te l'a fait comprendre, tu peux compter sur lui pour te protéger. Tu te souviens de ses mots, tu ne risques rien tant qu'il est près de toi. T'essayes d'être la plus discrète possible quand tu te glisses dans ses draps. Tu sais qu'il travaille beaucoup, il passe beaucoup de temps en dehors de la maison, tu ne veux pas le réveiller alors qu'il semble dormir paisiblement. Toi de ton côté tu trembles, tu comptes dans ta tête pour tenter de te rassurer, en vain parce que l'orage est toujours très proche. Plusieurs fois tu sursautes et tu prends sur toi pour ne pas crier quand un grondement déchire le silence. Tu gardes les yeux fermés, tu tentes de contrôler ta respiration pour ne pas paniquer pour de bon. Tu essayes de penser à des choses positives, à des choses qui te font rêver. Et bien sûr c'est cette fameuse scène qui se déroule sous tes yeux. L'espace d'une seconde ça t’apaise mais à nouveau l'orage éclate. Nouveau sursaut. Ton cœur s'emballe une fois pour toute. Palpitant qui mente un battement quand la voix endormie de Robin s'élève dans la pièce. Tu cesses de bouger. Tu te sens soudainement gênée, c'était peut-être une mauvaise idée de venir dans sa chambre au beau milieu de la nuit. « Oui... » réponds-tu d'une petite voix plaintive.

Tu t'apprêtes à lui dire que tu ne voulais pas le réveiller, que tu vas t'en aller et retourner dans ton lit, que c'était une mauvaise idée. Mais alors que ça tourne rapidement dans ta tête tu le sens remuer à côté de toi. Toi tu es raide comme un piquet, couchée sur le dos, tu fixes le plafond. Tu ne t'attends pas à ce qui va suivre. Ce bras qui passe au travers de ta taille, ce bras qui t'attire fermement. Tu lâche un oh de surprise, il t'échappe. Et alors tu te retrouves contre lui, tu ne réagis pas, trop ébahie, trop étonnée. Mais finalement tu te détends, ton corps se détend, ton visage se retrouve près de son torse nu. Tu gardes un instant tes bras repliés contre toi, tes bras qui se retrouvent entre ton corps et le sien. Tu fermes les yeux. Tu soupires d'aise. Tu te laisses aller. Timidement tu cales ta tête dans son cou, tu respires son doux parfum. Ton nez frôle sa peau, ton souffle vient s'écraser dans son cou. Tu es tellement bien dans ses bras. Tu ne t'es probablement jamais sentie aussi bien. Tu remues un peu pour bien t'installer, ton genou effleure sa cuisse. Vous n'avez jamais été aussi proches, jamais personne n'a été aussi proche de toi à vrai dire.

Puis sa voix se fait à nouveau entendre. Sa remarque sur ta tenue te fait monter le rose aux joues. Heureusement il ne peut pas le voir. Et toi tu réalises enfin que tu n'es pas du tout dans une tenue adéquate. Jamais tu ne te serais permise de te trimballer ainsi peu vêtue devant lui. Tu réalises que toi t'es en nuisette, très courte, très légère et que lui il est seulement en boxer. Tu te mords la lèvre, gênée. « Je... J'avais un peu chaud avec mon gros pyjama... » C'est un mensonge. Ce que tu n'oses pas lui dire c'est que tu as acheté quelques nuisettes avec l'idée qu'un jour tu pourrais avoir à partager le lit de Robin. Plusieurs fois tu as discuté avec l'une de tes grandes sœurs, l'ainée, plus d'une fois elle a essayé de te faire acheter des tenues plus sexy, plus attrayantes. Alors tu as suivi ses conseils, enfin, et c'est pour Robin que tu as fait ça. Pour lui plaire. Parce que oui, Mia, tu veux lui plaire. Tu cherches à lui plaire. Tu te voiles la face depuis quelques jours, depuis l'autre soir. Un nouvel éclair s'abat tout proche de la maison. Tu sursaute et tu passes un bras autour de son cou pour t'agripper à lui. Tu relèves le visage de sorte qu'il se retrouve à la même hauteur que le sien. Tu restes comme ça quelques secondes, le souffle court, le palpitant qui s'emballe. Est-ce que c'est la peur qui te fait faire ça ? Ou est-ce juste cette envie que tu n'arrives plus à retenir ? Tu ne sais pas. Et tu balances tes questions quand timidement, délicatement, tu viens poser tes lèvres sur les siennes. Un baiser, bref, chaste, doux. Et tu recules, paniquée parce que tu réalises ce que tu viens de faire. « Pardon. Je sais pas ce qui m'a pris...»

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Robin Hartwood
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Lun 11 Mai - 23:02
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Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Tu n'as rien fait pour précipiter un rapprochement entre la jolie Mia et toi, parce que tu sais qu'elle n'est pas encore prête pour ça. Alors soit, tu ne sais pas quand elle le sera. Ni si elle finira vraiment par l'être. Parce qu'elle est tout ce qu'il y a de plus innocente. Du genre, à l'extrême. Et tu ne sais pas du tout comment il faut gérer la chose. Tu ne sais pas comment voir si elle a envie de plus et si elle est prête à plus surtout. Tu n'as jamais connu de jeune femme comme elle. Et d'une certain façon, tu t'en réjouis quand même un peu. Parce que c'est elle que tu as choisis pour devenir ta future épouse. Et que par conséquent, faire des découvertes en sa compagnie, ça ne peut qu'être incroyablement bon et plaisant. Avec un peu de chance, c'est loin d'être terminé. Avec un peu de chance, elle va te laisser découvrir encore et toujours plus de choses. Il suffit qu'elle en ait réellement l'envie, elle aussi. Qu'elle soit prête à s'ouvrir toujours un peu plus à toi. Tu ne te décourages pas. Quand bien même ça fait déjà quelques jours qu'elle semble te fuir, tu veux croire que c'est seulement temporaire. Que c'est uniquement parce qu'elle ne sait pas gérer l'immense pas en avant que vous avez fait ensemble. Elle n'a aucune idée du comportement qu'elle doit adopter en ta compagnie.  Et toi tu n'en sais pas plus dans le fond alors tu ne fais rien non plus. Tu te contentes d'attendre que l'orage passe.

Sans savoir que c'est justement un orage qui va la faire revenir au pas de course. C'est l'affaissement du matelas qui te réveille. Et ses tremblements qui te font réaliser la raison de sa présence. Que tu acceptes sans te faire prier, c'est le moins que tu puisses en dire. Alors tu fais ce que t'as à faire. T'as promis qu'elle était en sécurité avec toi. Et tu veux faire en sorte de toujours tenir tes promesses. Alors tu l'attires à toi. Tout de suite. Faut dire que tu ne te fais pas prier non plus. T'aimes bien trop le contact de son corps contre le tien. Même quand ça reste absolument adorable et innocent entre vous. C'est le contact en lui même qui suffit. Alors c'est en toute innocence que tu la serres ainsi tout contre toi. Tu ne t'attendais pas vraiment à ce que de son côté, elle en profite également. Parce c'est ce qu'elle fait. Quand elle se blottit aussi étroitement que possible contre toi. Son visage perdu au creux de ton cou et ses bras repliés contre ton torse. T'as envie de croire que ça lui permet au moins d'oublier l'orage qui gronde toujours. Que ça l'aide à se détendre et à être un peu mieux. Parce que c'était le but premier de ce rapprochement, tu le sais. Qu'elle ne s'inquiète pas, tu ne vas pas en profiter pour lui sauter dessus. Mais ça ne fait aucun doute qu'elle le sait. Elle te connait maintenant. Elle sait que tu n'es pas du genre à profiter de sa faiblesse. De toute façon, t'es bien trop sonné pour faire quoi que ce soit. A part marmonner dans ta barbe, quelques mots que tu lâches juste comme ça. Tu ne taquines pas vraiment. C'est le réel constat de ta surprise quand tu sens sous tes doigts, qu'elle ne porte qu'une fine nuisette.

Tu ne la remets pas en question sa réponse. Quand bien même tu la pensais frileuse. Tu peux mettre la clim dans ta chambre s'tu préfères ton gros pyjama.  Que tu lui fais remarquer le plus sérieusement du monde. L'orage gronde plus fort encore. Incitant Mia à s'accrocher plus encore à toi. A ton cou, plus précisément. Tu rouvres les yeux quand tu prends conscience qu'elle a attiré ton visage tout près du sien. Et à la lueur de la lune, tu peux voir qu'elle te regarde. L'obscurité n'empêche pas l'échange silencieux. Mais tu n'as pas vraiment le temps de réaliser qu'elle tend le visage dans ta direction.  Tu réalises à peine que son souffle caresse ton visage, que sa bouche vient doucement se presser contre la tienne. De façon trop brève pour que tu ais le temps de réaliser et de réagir. Alors déjà elle se recule et s'excuse. Toi tu réponds en te redressant pour retrouver sa bouche de la tienne. Tu lui voles un baiser tout aussi innocent. Presque chaste. Et puis un autre. Et un autre encore. Tes doigts frôlent sa joue. Caressent avec douceur et vont se perdre dans ses cheveux désordonnés. Pas pardon.  Que tu souffles entre deux baisers, de nouveau taquin. Pas pardon.  Que tu répètes entre deux autres baisers. Le sourire au coin des lèvres. Et ta bouche se fait plus langoureuse. Ta langue, aventureuse quand elle vient frôler ses lèvres pulpeuses. Tu tentes ta chance. Tu demandes un baiser moins innocent, plus langoureux. Encore tendre et doux malgré tout. Coûte que coûte. Comme tes doigts qui caressent ses cheveux clairs. Comme ton corps qui se redresse pour surplomber à demi le sien. Ton visage au dessus du sien. Ton torse basculé vers elle.
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Mar 12 Mai - 1:12


the storm

oublie le prince charmant, va pour le loup ! Le loup il te voit mieux, il t’entend mieux et surtout, il te mangera mieux.

◊ ◊ ◊

Tu as déjà goûté au plaisir que te procuraient les étreintes de Robin. T'as déjà pu sentir sa peau contre la tienne. Mais de façon très limitée. Vous vous étiez contentés de vous prendre la main, et tu avais même osé venir te blottir contre lui. Mais ça s'était arrêté là. Parce que tu as joué avec le feu, parce que tu as senti que tu risquais d'atteindre le point de non retour. L'alcool t'avait aidée à être plus confiante, plus entreprenante. Mais le lendemain, tu y as repensé à cette étreinte et tu as réalisé que tu avais vraiment aimé ça. Ce n'était pas juste à cause de l'alcool, au fond t'en mourais d'envie. Et voilà que quelques jours plus tard tu files en douce au beau milieu de la nuit pour venir le rejoindre. Cet orage, il te permet en quelque sorte de trouver le courage qui te manquait pour sauter le pas. Même si au départ tu n'y vas pas dans l'optique de tenter quoi que ce soit mais plutôt de trouver le réconfort dont tu as besoin. Et si t'es surprise quand il t'attire à lui, tu ne peux pas le nier, tu es surtout soulagée. Soulagée de pouvoir à nouveau le sentir contre toi. Sentir le contact de sa peau, si douce, sentir ses bras puissants autour de ta taille. Tu as l'impression d'être minuscule dans ses bras, avec sa carrure impressionnante. Oh oui Mia, tu t'es voilée la face depuis cette dernière soirée mais ce moment tu l'as attendu avec impatience... T'as envie de le toucher encore plus. Et le fait qu'il soit si peu vêtu ne t'aide pas à te contrôler. C'est dur mais tu te retiens de poser tes doigts sur lui, de le toucher, de le caresser. Tu gardes tes bras près de ton corps pour t'empêcher de craquer complètement.

Tu parviens à sortir de tes rêveries pour hausser les épaules quand il te signale que tu aurais pu allumer la climatisation dans ta chambre. Tu n'as pas été honnête sur ce coup-là, c'est vrai que tu lui as promis de ne jamais lui mentir, mais tu te voyais mal lui avouer que cette nuisette c'était pour lui. Que tu la lui réservais pour quand tu te sentirais prête. Et peut-être que ce jour est arrivé plus vite que tu ne le pensais. « Ça va, j'aime bien la nuisette... » souffles-tu dans l'obscurité. Tu espères surtout qu'elle lui plaise à lui. Qu'il aime te voir dans cette tenue. Tu ne sais pas ce qui te prend mais t'as envie d'être belle pour lui. Tu te soucies soudainement de ce que quelqu'un peut ressentir quand il pose ses yeux sur toi. D'habitude t'en as rien à faire, c'est pour ça que tu ne prêtes pas trop d'attention à ta façon de te vêtir ou de te coiffer. C'est pour ça que tu ne portes quasiment aucun maquillage. Tu te sens bien au naturel. Mais pour Robin, tu veux être plus que jolie. Tu veux être belle, voire sexy. Et rien que d'y penser ça te fait rougir, parce que t'as aucune idée de comment tu pourrais être sexy. Tu as peur d'être ridicule si tu t'y essayes... Robin, tu ne le connais que depuis quelques semaines et t'es déjà tellement soucieuse de ce qu'il pense de toi... C'est dingue le pouvoir qu'il a sur toi.

Dingue au point que tu balayes tous tes principes, toutes tes craintes. Tu sautes le pas. Tes lèvres charnues viennent se poser sur les siennes. Elles sont douces. Tu n'es pas sûre de toi ça se sent. Ta main tremblante vient se poser contre sa nuque alors que vos lèvres se rencontrent. Mais tu t'écartes rapidement. Pas parce que tu n'as pas envie de l'embrasser. Pas parce que tu n'as pas aimé l'embrasser. Parce que tu as peur. Tu as peur qu'il te repousse. Tu as peur de mal t'y prendre. Tu n'as aucune expérience contrairement à lui. Tu ne sais pas ce qu'il faut faire pour faire plaisir à un homme comme Robin. Et tu t'excuses. Tu es à deux doigts de retourner dans ta chambre, de t'enfuir comme l'autre soir. T'en as presque oublié l'orage qui t'a tellement terrorisée. Tu t'es légèrement reculée. Et tu sens le matelas bouger alors que Robin se redresse. Tu ne sais pas à quoi t'attendre. Tu le contemples dans la pénombre, avec pour seul éclairage la Lune ou encore les éclairs zébrant le ciel. Et ça ne te suffit pas pour le voir se pencher vers toi à son tour. A nouveau ses lèvres rencontrent les tiennes. Tu fermes les yeux. A chaque fois qu'elles s'écartent tu ressens un pincement au cœur, une frustration. T'en veux encore, t'en veux plus. Tu deviens insatiable.

Tu te laisses tomber sur le matelas en même temps que Robin se penche au-dessus de toi. Timidement tu viens poser une main sur sa joue, tes doigts effleurent sa barbe. Ses doigts à lui se perdent dans tes cheveux et c'est fou ce que tu adores ça. Tu en soupires de bien être. Tu as envie que ce moment ne s'arrête jamais. Tu veux qu'il continue de t'embrasser encore et encore. D'ailleurs à chaque fois qu'il te souffle quelques mots contre tes lèvres, tu réponds, le souffle court. « Oui... » Un oui qui veut dire d'accord mais aussi, un oui qui exclame ce que tu ressens à ce moment précis. Tu es bien Mia et tu ne veux pas que ça s'arrête. La surprise t'envahit quand il te réclame plus, quand il t'envoie des signes avec sa langue qui caresse tes lèvres. Immédiatement tu entrouvres les lèvres pour lui laisser le passage. Hésitante, ta langue vient caresser la sienne. Ça vient assez naturellement, tu essayes de ne pas réfléchir, c'est ton corps qui prend le relai. Vos langues s'unissent pour s'entrainer dans un doux ballet, langoureux et suave, mais tellement doux. Tu finis par passer tes bras autour de son cou, tu l'attires contre toi, tu veux à nouveau le sentir contre toi. Sentir sa peau contre la tienne. Tu ne réfléchis pas à tes gestes, ton instinct parle pour toi. Malgré le peu de tissu qui recouvre ton corps, tu sens la chaleur t'irradier. L'excitation monte en toi, elle inonde ton ventre, lâche une armée de papillons qui battent des ailes à l'unisson. Tu viens de céder Mia, pour de bon. Toutes tes barrières viennent de s'effondrer les unes après les autres pour laisser Robin s'emparer de toi.

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Robin Hartwood
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Mar 12 Mai - 17:32
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Tu n'as aucun doute quant aux raisons de sa présence dans ton lit. Et tu ne t'en plains pour ainsi dire pas du tout. Elle peut bien venir juste pour être plus confort même, que ça te va. Parce que c'est agréable cette compagnie toute en tendresse. Parce que si ça ne tenait qu'à toi, elle dormirait toujours là à tes côtés, dans le fond. Mais tu ne sais que trop bien également, qu'elle n'est pas tout à fait prête pour tout ça. Alors tu fais avec et prends ton mal en patience autant que possible. Tu ne veux pas lui forcer la main. Surtout pas. Simplement parce que tu espères encore pouvoir construire un truc sur des bases aussi saines que possible. Et ce, malgré ce démarrage atypique. Tu sais que ça peut fonctionner. Ou tout du moins, tu veux y croire. Et il te semble ce soir / cette nuit, que tu ne te trompes pas tant que ça en ce qui vous concerne. Si elle est là dans ton lit, c'est au moins parce qu'elle n'a plus peur de toi du tout, comme ça pouvait être le cas au départ. Tu t'en réjouis, pour sûr. Alors qu'elle se blottie au plus près de toi et que son souffle chaud se fait caresse au creux de ton cou. Dieu que c'est agréable…  Et tu crois que les choses vont simplement s'arrêter là pour ce soir. Finalement, il y a peut-être bien un brin de naïveté chez toi. Tu ne peux que le constater ce soir alors que tu t'attends à la voir s'en aller sans demander son reste. Mais qu'au lieu de ça, elle trouve tes lèvres des siennes. Autant dire que tu as vite fait de capituler. Cette douceur est tout ce qu'il y a de plus agréable. Et un baiser en amenant un autre, tu ne peux qu’initier les suivants. Qui restent encore aussi chastes que le sien. Pour y aller en douceur. Pour l’amadouer à ta façon. Tu penses que ça marche plutôt bien, compte tenu des petites plaintes qu'elle échappe à chacun de tes tendres baisers. Et toi tu souris. Un peu idiot. Beaucoup fier de toi. Elle est trop douce Mia. Tu ne feras qu'une bouchée d'elle. C'est une certitude. Mais avec tendresse pour ne pas lui faire peur, coûte que coûte. Elle ne mérite que douceur et tendresse, ça ne fait aucun doute.

Et parce qu'elle est réceptive à tout ce que tu inities, tu te redresses un peu pour placer ton visage au dessus du sien et ainsi pouvoir accentuer ce baiser. Y mettre plus de sensualité encore. Sans la moindre précipitation. Juste de quoi voir ce qu'elle en pense un peu. Et bon sang ce qu'elle est réceptive. Encore et toujours plus. Elle permet à sa langue de trouver la tienne et le contact te fait frissonner. T’electrise tout à fait. T'en as même le cœur qui s'emballe comme jamais. A un point tel, que t'es presque surpris qu'elle ne semble pas l'entendre. Il fait pourtant un boucan de tous les diables, non ? Et tu soupires ton bien être alors que vos langues dansent ensemble. A un rythme pour le moins langoureux. Tu veux croire qu'elle est assez réceptive pour te permettre de faire tout ça sans avoir l'air de paniquer le moins du monde. Alors toi  tu perds un peu le fil. Tu t'emballes parce que c'est fou, simplement. Tu ne pensais pas que les choses iraient aussi rapidement en fin de compte. Et tu ne pensais pas que ce serait elle qui démarrerait ces jeux d'adultes. Et tu ne tardes pas à profiter d'être ainsi placé au dessus d'elle pour tendre le bras et trouver l'interrupteur de la petite lampe posée là pour la mettre en route. Elle est bien trop jolie et trop sexy, pour que tu n'en profites pas. T'as le cœur qui bat beaucoup trop vite. Et qui trouve encore le moyen de s’emballer plus encore quand tes yeux rencontrent les siens. Tu ne lui laisses pas le temps de paniquer ceci dit. Tes lèvres retrouvent les siennes. Et ta main se faufile sous la couverture. Se pose gentiment sur son flanc. Moi aussi je l'aime bien la nuisette... Que tu fais le constat, sans réelle surprise.

Elle te semble bien sexy là dedans. Tu regrettes juste de ne pas avoir eus la possibilité de la voir en plein jour. Ce sera peut-être le cas quand le soleil se lèvera. Avec un peu de chance elle ne prendra pas la fuite pour échapper à tes yeux d'homme et aller enfiler le gros pyjama dont elle a fait mention. Parce que tu manques de souffle à t'être tant emballé dans ce baiser qui dure, tu enfouies ton visage au creux de son cou pour y déposer de tendres baisers. Qui se font mordillements de temps à autre. Tu joues à la provoquer encore et encore. Soucieux de ne pas la perdre en cours de route en lui donnant envie de fuir. Mais tes doigts remuent de nouveau. Pour descendre lentement mais sûrement. Ils passent sur l'arrondi de sa hanche et descendent encore. Descendent assez pour arriver à sa peau et là, ta main se pose à plat. C'est de ta paume que tu caresses désormais. Remontant lentement pour finalement s'arrêter sur sa hanche. L'envie de la perdre entre ses cuisses te tiraille furieusement. Mais tu veux être bien certain que ce soit là son souhait également. Qu'elle ne préfère pas s'arrêter avant que ça ne dérape pour de bon. Et pour t'en assurer, tu redresses le visage pour retrouver son regard du tien et l'interroger en silence. De tes yeux assombris par un désir plus que certain. Tu ne veux pas mentir. J'ai envie de toi. et tu ne peux être plus honnête que ça.
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Mar 12 Mai - 18:18


the storm

oublie le prince charmant, va pour le loup ! Le loup il te voit mieux, il t’entend mieux et surtout, il te mangera mieux.

◊ ◊ ◊

Alors c'est donc à ça que ressemblent le désir et l'attirance ? C'est à côté de ça que tu es passée en évitant de trop te rapprocher de jeunes hommes ? Tu ne regrettes pas, ah ça non. Tu ne regrettes pas, parce que tu as bien d'attendre. Tu t'es toujours dit que tu te réserverais pour le bon, l'homme avec qui tu partagerais ta vie. Tu as bien fait, car tu sais que Robin sera cet homme. Tu le sais depuis le début en fait, il est venu te chercher pour t'épouser et fonder une famille. Mais tu ignorais que tu allais craquer pour lui. Aussi vite et aussi facilement du moins. Tu ne réfléchis plus à tes gestes, tu essayes de ne pas y penser, de ne pas te laisser influencer par ta petite voix intérieure qui te dit que ce n'est pas bien. Parce qu'elle est toujours là, la petite voix de ta conscience, qui te souffle que Robin est plus âgé que toi, trop, que tu ne pourras pas espérer vivre une histoire d'amour avec lui, que tout ça n'est pas sain. Mais t'as envie de lui flanquer une claque à ce petit ange qui se trouve sur ton épaule. T'as envie d'écouter le petit diable qui se trouve sur l'autre. Celui qui te hurle de te laisser aller, de l'embrasser, alors que tu es blottie contre Robin. Tout ça se passe très vite. Ta décision est prise. Tu te lances, timidement, mais tu oses. C'est trop bref pour que tu apprécies réellement le baiser que tu lui as volé. Et c'est à ce moment là que ta bonne conscience te fait douter, t'es prête à te sauver et à retourner dans ton lit. Mais Robin en a décidé autrement.

Et bon sang ce que c'est bon ! Jamais tu n'aurais pu imaginer la sensation que ça te procure. Ses lèvres sont douces, elles ont un goût délicieux. A chaque fois qu'il les décolle des tiennes, tu ressens la frustration. Déjà accro la gamine. T'as envie de plus. T'as envie de plus, alors que t'y connais absolument rien. Tu ne sais pas vers quoi tu te diriges. Tu lui montres que t'en veux plus en te laissant tomber sur le matelas sans pour autant interrompre votre pluie de baisers. Tu le laisses aller plus loin. Tu n'aurais pas osé prendre les devants, déjà que tu t'étonnes d'avoir osé lancer les hostilités... Mais tu le repousses pas quand sa langue passe la barrière de tes lèvres. Au contraire, tu l'accueilles chaleureusement. Tes doigts se glissent sur son visage, se perdent dans ses cheveux, derrière sa tête. Tu te laisses emporter dans cette danse langoureuse et brûlante. Tu ne penses plus à rien à part vous deux. A part aux lèvres de Robin qui te font chavirer, à sa langue qui te procure des frissons de bonheur. Quand la lumière de la lampe de chevet éclaire le visage de Robin qui se trouve au-dessus du tien, tu n'as pas le temps de penser, ni de protester. Protester de quoi toute façon ? T'as envie d'être là, t'as envie de rester là. Il est hors de question que tu t'échappes. Tu n'as plus envie de fuir tes désirs. Tu laisses échapper un nouveau soupir mêlant surprise et surtout satisfaction quand il revient capturer tes lèvres. Et cette main qui se glisse sur le tissu de ta nuisette elle te fait frémir. T'es pire qu'une bombe à retardement Mia, à peine il t'effleure que tu as envie de le supplier de te toucher encore plus. C'est tellement nouveau pour toi que ça en est presque effrayant. Tu ne te reconnais plus. La petite fille innocente vient de s'enfuir pour aller se cacher les yeux et se boucher les oreilles. Tu laisses s'échapper un petit rire nerveux quand il complimente ta nuisette. Tu te mords la lèvre et tu lui avoues enfin. « En fait, c'est pour toi que je l'ai achetée... » Le souffle court, les joues roses, les yeux brillants d'excitation.

Mais ses lèvres te manquent, tu veux encore sentir leur goût, t'es à deux doigts de le supplier de revenir t'embrasser quand tu le vois pencher son visage vers ton cou. Tu l'étires, tu relèves la tête et tu laisses sortir un profond soupir. Tu as chaud, terriblement chaud. C'est doux. C'est délicieux. Au moins aussi délicieux que ses baisers. Tu fermes les yeux, tu as l'impression que tu vas flancher. Tes doigts fins viennent se perdre dans ses cheveux blonds. Tu pousses un oh de surprise quand ses dents entre en contact avec la peau de ton cou. Mais tu t'en mords les lèvres tant ça te plait. Tu sens ton corps qui réagit. Tu ne comprends pas trop ce qui se passe, c'est tout nouveau. C'est un ensemble de sensations inédites pour toi. Mais tu aimes ça. Tu adore ça. Tu ne t'es jamais sentie aussi bien. Tu remues légèrement quand tu sens la main de Robin contre ta cuisse. Naturellement, ton bassin remue légèrement, sans que tu n'en ais réellement conscience. Et cette main qui se faufile sous le tissu fin de ta nuisette elle te donne des frissons. C'est tout ton corps qui en est parcouru. Et quand la voix de Robin brise le silence tu sens que ton cœur rate un battement, peut-être même deux. Tu sens une contraction dans ton bas-ventre. Tu ne sais pas ce que tu dois faire, tu ne sais pas ce que tu dois lui dire. Tu sens que tu commences à réfléchir un peu trop alors que tes yeux se perdent dans les siens. Tu vois une lueur que tu ne leur connaissais pas. Ton palpitant se met à battre encore plus vite, plus fort. Et les mots qui s'échappent de ta bouche, tu ne sembles pas les contrôler. « Je suis à toi... » que tu souffles sans même réaliser ce que tu viens de dire. Au fond, c'est vrai tu es à lui depuis qu'il a donné de l'argent à ton père. Mais tu es réellement à lui depuis que tu as pris la décision que tu t'offrirait à lui. Tu hoches brièvement la tête pour lui faire comprendre que oui, t'as envie de lui. T'es prête Mia. T'es un fruit mûr près à être cueilli et dévoré. Et tu veux que ce soit Robin qui s'en charge. Alors tu poses ta main sur sa joue et tu viens capturer à nouveau ses lèvres avant de souffler tout près de son visage. « J'ai envie de toi aussi... »

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Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
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Mar 12 Mai - 18:58
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Tu ne pensais pas toi même qu'un baiser pouvait à ce point être intense et bon. Depuis le début de ta vie sexuelle, tu n'as pas embrassé toutes les femmes avec lesquelles tu as couché. Pour la simple et bonne raison qu'il faut tout de même un semblant d'intimité avec la personne pour avoir des échanges de ce genre. Que tu trouves presque plus intimes encore que le sexe en lui même. Avec Mia, la question ne se pose pas. Tu n'oublies pas qu'elle est, normalement, ta future femme. En plus de ça, tu as une envie féroce de ses lèvres depuis des jours déjà. T'en as rêvé de l'embrasser, depuis qu'elle a commencé à t'offrir des sourires toujours plus sincères et plus tendres les uns que les autres. Rien de surprenant donc, dans le fait que vous vous embrassiez avec un tel empressement tous les deux. Finalement, Mia elle a fait le seul pas que tu ne pouvais pas faire toi même. Tu veux bien la guider ensuite, lui montrer le chemin à emprunter. Maintenant qu'elle t'a montré qu'elle avait envie de plus et était prête pour ça. Tu ne te fais pas prier. Tout au contraire. Parce que c'est parfait. Parce qu'elle est parfaite. Elle provoque des émotions chez toi que tu ne pensais pas ressentir un jour. Tu n'as jamais eus à attendre aussi longtemps pour envisager d'aller plus loin avec une nana. A vrai dire, jamais tu n'as tourné aussi longtemps autour d'une jeune femme. Et pour couronner le tout, elle est incroyablement désirable Mia. Autant dire que ça relevait d'une véritable torture.

Tu ne peux bientôt plus résister à la tentation d'allumer la lumière. Parce qu'il te faut la voir. T'as besoin de ça. De profiter aussi fort que possible de ces échanges. Les premiers de ce genre. Qui ne seront certainement pas les derniers. Il suffit de voir avec quelle force tu la désires pour deviner que vous n'allez pas vous arrêter à une étreinte, à une nuit. Tu l'embrasses de nouveau. Incapable de rester trop longtemps loin de ces lèvres si tentantes. Et tes doigts se logent sur son corps. Tu caresses à travers le tissu fin de la nuisette qu'elle porte. Ce qui n'a pas l'air de lui déplaire, là encore. Tu la sens qui frissonne. Et toi ça te fait sourire un peu. C'est tout juste bon à t'exciter toujours plus. Tu souffles ta joie de découvrir sa petite nuisette, tout contre ses lèvres. A sa confidence, tu souris. Très bon choix. Que tu commentes d'une voix chaude. T'es pas contre l'idée qu'elle fasse tout son possible pour être sexy pour toi. Parce que ça fonctionne. Et parce qu'elle est trop sexy pour se dissimuler sous des vêtements amples comme ceux qu'elle portait quand tu es allé la récupérer chez elle. Finalement, tu as très bien fait de lui offrir une garde robe complète. Tu fuis ses lèvres des tiennes pur perdre ta bouche au creux de son cou. Tu embrasses sa peau. Mais c'est surtout lorsque tes dents se joignent à la partie, qu'elle réagit. Presque à l'excès même.

Oh ? Que tu répètes, tendrement taquin. Chaudement. Tu pousses les choses un peu plus loin encore quand tu loges tes doigts sur sa peau pour la caresser tendrement. Doigts qui grimpent sur sa cuisse pour se loger finalement sur la hanche. C'est instinctivement que son bassin remue doucement. T'en es certain qu'elle est animée par exactement les mêmes envies que toi. Un besoin de vous découvrir plus intimement encore. Le besoin de vous perdre l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Si ça ne tenait qu'à toi, tu serais déjà en train de passer à l'étape supérieure. Parce qu'elle est assez réceptive pour que tu saches qu'elle veut de cette étape. Pourtant, tu passes par un petit détour. Tu souffles tout haut ton envie d'elle. Façon d'obtenir son approbation. Ou sa fuite, si elle n'est finalement pas prête pour ça. Ton regard rivé au sien, tu patientes. Tu lui laisses le temps d'y penser plus sérieusement. De peser le pour et le contre peut-être. Et finalement, elle te répond. Elle te confirme la chose. Elle est à toi. Ton coeur loupe un battement avant de s'emballer et de partir au triple galop. Le désir fourmille désormais dans l'ensemble de ton corps. Tu boues, littéralement. Au creux de tes reins, la tension gonfle plus sérieusement. Plus fort que jamais. Tu grondes doucement contre ses lèvres qui viennent de nouveau capturer les tiennes. Nouveau baiser brûlant. Echanges langoureux.

Enfin tu abandonnes la lutte. Ta main glisse de nouveau sur sa peau pour aller se loger entre ses cuisses. Tes doigts se faufilent entre ses lèvres intimes. Leur pulpe caresse avec tendresse. Parcourt tout en douceur pour finalement s'attarder sur son bouton de plaisir gonflé par l'excitation. Tu ne peux que le constater son désir. Et ce constat est un véritable coup de fouet dans ton désir. Tu grondes encore et tu remues pour te placer au dessus d'elle. En appuie sur ton avant bras libre. Ton érection qui frôle sa cuisse dans le mouvement. Tes doigts toujours en place. Qui caressent pour provoquer les décharges de plaisir en attendant le plus. Un plus qui ne saurait tarder. Elle est jolie cette nuisette... Tu te redresses et la libères un peu. Temporairement. Mais tu serais mieux sans ... Tu restes au dessus d'elle quand tu attrapes l'ourlet de la nuisette pour la faire remonter sur son corps et ainsi l'inciter à s'en débarrasser. Tes prunelles claires découvrent la peau au fur et à mesure qu'elle se dévoile. Dévorent ses courbes alléchantes. T'es tellement belle Mia. Le ton est profond. La voix est chaude. Les mâchoires crispées par un mélange d'envie brute et animal et d'émotion sincère.
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Mar 12 Mai - 19:41


the storm

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◊ ◊ ◊

Tu ne peux rien faire contre cette envie. Cette envie irrépressible de le toucher, qu'il te touche. Et ses baisers, mais, comment tu pourrais ne pas y devenir accro ? Tu ne pensais pas capable de ressentir ça. Pas comme ça. Pas aussi violemment. Parce que la vague d'excitation et de désir qui t'envahit, oh oui elle est très violente. Tu pensais que bien sûr, un jour tu allais éprouver du désir pour un homme, mais tu ne pensais pas que ça te mettrait dans un tel état. Parce que t'es déjà en train de remuer sous lui. T'es déjà en train de l'imaginer te toucher, faire glisser ses lèvres sur chaque parcelle de ton corps. Et tu t'imagines aussi goûter à sa peau, le toucher, ne faire qu'un avec lui. Ces simples pensées pourraient te faire rougir. Mes tes joues sont déjà bien assez roses à cause de la chaleur qui semble irradier ton corps. A cause de l'excitation et du désir qu'il fait naitre chez toi. Bon sang mais t'as rien vu venir en fait. Jamais tu n'aurais imaginé pouvoir être autant attirée par lui. Et pourtant tu n'as plus qu'une chose en tête à ce moment précis, lui, son corps, ses caresses, ses baisers. Son sourire, son regard. La lumière allumée, tu peux profiter de la vue qu'il a à t'offrir. Tu ne peux voir que le haut de son corps mais ça suffit à te faire perdre la tête. Ton regard brûlant se perd sur son torse nu, musclé, sur ses bras puissants et sur son visage que tu n'as jamais trouvé aussi beau qu'à présent. Pourtant tu t'es déjà fait plusieurs fois la réflexion, tu te l'es toujours dit que Robin était un très bel homme. Mais il dégage quelque chose à présent, quelque chose de presque animal qui t'émoustille beaucoup. Vraiment beaucoup.

Et chose encore plus étonnante, tu te trouves désirable sous son regard. Tu esquisses un petit sourire quand il complimente ta nuisette. Tu es soulagée de voir que tu peux avoir cet effet sur un homme, et pas sur n'importe lequel, sur Robin. Et pourtant ce qui t'effraye c'est ton inexpérience, t'as peur de ne pas savoir t'y prendre, de ne pas réussir à être aussi désirable que toutes les femmes qu'il a côtoyées. De ne pas faire les bons gestes quand il te réclamera des caresses et bien plus encore. T'es morte de trouille Mia. Mais t'essayes de ne pas y penser parce que tu veux savourer chaque seconde, chaque baiser échangé, chaque caresse. Et t'es en train de perdre pied, tes yeux se ferment et tu t'exprimes sans même t'en rendre compte quand ses dents viennent titiller la peau fine de ton cou. Tu rouvres les yeux quand il te taquine gentiment. Et tu souris franchement en posant le dos de ta main sur ta bouche, un peu honteuse. Tu sais que ce n'est pas moqueur de sa part. Tu vois à son regard brillant qu'il est satisfait, tu le sens. Et toi t'es plus que satisfaite du sort qu'il te réserve. Et tu le lui fais avoir en lui soufflant que t'es à lui. Tu lui appartiens oui. T'es prête à te donner entièrement à lui. Tu veux t'offrir à lui. Et c'est avec le plus grand sérieux que tu le lui dis.

Ton regard reste plongé dans le sien avant que tu ne te décides de l'attirer à toi pour l'embrasser. Première fois que tu engages un baiser de ce genre. Première fois que tu fais le premier pas pour aller chercher sa langue de la tienne. Elles se caressent langoureusement, tendrement. Ton coeur se met à battre violemment dans ta poitrine quand tu sens sa main se glisser entre tes cuisses. Ses doigts se frayent un chemin là où encore personne n'est venu. Tu écartes instinctivement les cuisses en repliant un peu les genoux. Si déjà tu pensais défaillir, là, tu plonges. Tu ne saurais même pas décrire ce que tu ressens quand les doigts de Robin s'exécutent, quand ils exercent une légère pression sur ton bouton de plaisir. Tu ne savais pas que c'était possible de ressentir un bonheur aussi intense. Et pourtant tu n'as encore rien vu. Tes lèvres contre les siennes tu laisses échapper un profond soupir de plaisir. Ta main glisse dans son cou, l'agrippe doucement, tendrement. T'as l'impression que tu vas tomber, t'as besoin de t'accrocher à lui. C'est tout ton corps qui est en émoi, t'as l'impression que tu es fragile, à fleur de peau, que le moindre effleurement de sa part va te faire perdre le contrôle. C'est tellement nouveau pour toi et c'est tellement bon !

Il remue  au-dessus de toi, un instant tu crains qu'il ne s'arrête, tu ne veux pas qu'il s'arrête. Tu peux la sentir contre ta cuisse, sa virilité tendue. Ce contact il te donne encore plus envie d'aller plus loin avec lui, il te donne envie de le toucher, de le caresser, de le mener à l'extase. Et ses doigts qui continuent leur danse endiablée t'arrache un faible gémissement. T'as presque honte l'espace d'une seconde de l'avoir laissé s'échapper celui-là. Et puis il s'arrête, tu fronces légèrement les sourcils, désireuse de plus, d'encore plus. Tu poses ton regard fiévreux sur lui. Et tu comprends qu'il veut en voir plus lui aussi. Tu te mords la lèvre alors qu'il fait remonter la nuisette. Ta poitrine se soulève et s'abaisse rapidement, la pointe de tes dômes durcies par l'excitation se retrouvent à découvert. Tu te redresses pour qu'il puisse te débarrasser de cette nuisette qui se retrouve vite sur le sol. A nouveau tes joues s'empourprent alors que tu te retrouves nue sous ses yeux qui semblent animés d'un désir presque bestial. Tes lèvres s'étirent timidement en un joli sourire. Oui, t'es ravie de lui plaire. Tu ne réponds pas à son compliment, tu ne le remercies pas, ce n'est pas la peine. T'as pas besoin de mots pour ça. Parce que tu te redresses légèrement et tu passes tes bras autour de son cou pour venir t'emparer une fois de plus de ses lèvres. Le baiser est fougueux, encore plus que tous ceux que vous avez échangés jusque là. Tu le fais durer un peu, tu le savoures. Et enfin tu t'écartes, essoufflée. Et à nouveau tu plonges un regard sérieux dans le sien, un regard brûlant de désir et d'excitation pendant que ta main vient timidement se poser contre la bosse qui déforme son boxer. « Je veux que tu m'apprennes Robin. Apprends moi à te faire plaisir... »

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Robin Hartwood
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Mar 12 Mai - 20:55
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Old sins have long shadows.
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Elle est réceptive et réactive au possible Mia. Elle te rend dingue simplement à te rendre tes baisers aussi chaudement qu'elle est en train de le faire. C'est à croire qu'elle sait précisément ce qu'elle fait. Pourtant, tu le sais qu'elle n'a aucune idée. Qu'elle se "contente" de répondre à ses envies. De répondre à tes baisers enflammés. C'est suffisant pour que tu tentes d'aller plus loin. Avec beaucoup de patience et de lenteur pour le cas où elle souhaiterait finalement faire marche arrière. Elle le peut encore. Tu ne veux pas précipiter les choses ni lui donner l'impression qu'elle n'a d'autre choix que d'accepter, sous prétexte qu'elle a accepté jusque là. Mais plus tu te permets de choses, plus elle semble désireuse que tu poursuives à ce rythme là. Alors tu le fais. Sans franchement te faire prier pour le coup. Tu l'embrasses tantôt tendrement, tantôt fougueusement. Et surtout, tu glisses tes doigts entre ses cuisses. Façon de prendre la température. De constater sa moiteur bien avancée. De sentir les palpitations de désir qu'elle ne peut contrôler. Tu doutes qu'elle cherche à le faire d'ailleurs. Elle est certainement dans le même état que toi. Parce que malgré toute l'expérience que tu peux bien avoir dans le domaine, tu ne penses pas avoir déjà ressentis un désir aussi puissant. Tu doutes d'avoir déjà à ce point perdu le contrôle. Et si d'ordinaire tu supportes très peu le fait de perdre le contrôle, tu dois bien admettre que cette fois tu te laisses porter sans te faire prier.

T'es presque sonné par l'étendu de ton désir il faut dire. Surpris de constater à quel point tu as envie d'elle. Alors même que tu ne peux t'empêcher de lui souffler ces quelques mots brûlants qui la font sourire. Elle ne cherche pas à se dissimuler à ta vue et ça te plait. Au contraire. Elle a acheté cette nuisette pour toi. Pour te faire plaisir. Pour être désirable à tes yeux. Elle n'avait pas même besoin de tant. Mais le geste prouve son envie. Et tu ne peux que l'exprimer en retour, sans te faire prier. Pour lui montrer que ça fonctionne. Pour qu'elle réalise l'état dans lequel elle te met. Tu souris à la vue du joli sourire qu'elle t'offre. En faisant mine de se dissimuler derrière sa main pour se cacher faussement. Elle se joue de toi. Et bon sang ce que t'aimes ça. Tour à tour gamine innocente puis femme fatale en devenir. Quand elle glisse une main sur ta nuque pour t'attirer fermement à elle. Grognement que tu déposes tout contre ses lèvres quand elle initie elle même un nouveau baiser plein de passion. De quoi provoquer une nouvelle vague de désir qui te percute de plein fouet. Tu vas perdre les pédales si tu ne retrouves pas un semblant de contrôle sur la situation, ça ne fait pas le moindre doute. Et pourtant, tu ne t'en plains pas et tu ne fais rien pour calmer les choses. Tout au contraire.

Tu pousses toujours plus loin. Au point d'enfin découvrir tout entier son corps que tu juges absolument parfait. Sous tes yeux, ses courbes délicates se dévoilent. T'as le coeur qui s'emballe désormais et la tension qui se fait plus intense au creux de tes reins. Les pointes tendues de ses petits seins sont appel à la gourmandise et sa respiration irrégulière et profonde ne fait que les mettre plus encore en valeur. Sa nuisette n'aura pas fait long feu mais tu as vraiment bien de l'en débarrasser. Tu jures presque de surprise et de l'excès de sensations que ça te procure, quand elle t'impose presque un baiser des plus passionnés. Tu peux presque sentir les battements frénétiques de ton coeur jusque dans ton sexe tendu. si tu ne te souciais pas tant du fait de bien faire les choses, tu serais déjà en train d'unir vos deux corps qui tremblent à l'unisson. Tu n'en fais rien. Tu lui rends son baiser avec la même ardeur qu'elle même y met. Vos langues bataillant et se faisant l'amour tout à la fois. Les étincelles que ces échanges créent, sont réelles. Tes dents se font provocatrices quand elles écorchent un peu ses lèvres pulpeuses. T'as une envie furieuse de la dévorer toute entière. Alors qu'elle même loge une main sur ton boxer tendu. C'est que t'en ronronnerais presque de bonheur alors qu'elle t'enveloppe chaudement. Mais timidement. Et ça ne fait aucun doute qu'elle te fera perdre la tête avec ses hésitations et gestes timides. Sans doute autant que si elle était déjà passée experte dans l'art de te faire sexuellement plaisir.

Moi d'abord ... Que tu souffles tout bas, en posant ta paume sur sa main. Pour autant, plutôt que de l'enlever, tu appuies dessus pour qu'elle se presse plus encore contre ta longueur. Sinon j'vais devenir dingue ... Que t'ajoutes dans un grognement des plus rauques. Et tu déplaces sa main. T'attrapes l'autre au passage et tu les lui plaques juste au dessus de la tête, sur l'oreiller sur lequel elle repose. Ton regard assombri par le désir, se plonge une fois de plus dans le sien. Tu te penches pour déposer un baiser étonnamment tendre sur ses lèvres. Un autre sur sa joue. Un sur sa mâchoire. Un au creux de son cou. Sur l'épaule. Sur la clavicule. Au dessus de sa poitrine. Et ta langue qui vient taquiner une pointe tendue, enfin. Et tes mains qui libèrent les siennes. L'une, pour aller se perdre sur son sein à découvert. Tes lèvres attrapent et emprisonnent quand tes dents ne viennent pas une fois de plus provoquer. Ta main empoigne plus fort. Tu t'accroches à elle. Littéralement. Tu tentes de garder un semblant de pied dans la réalité pour ne pas devenir fou. Tu libères sa pointe fragile pour mordre à pleines dents dans le ferme arrondi de son sein. Et tu grognes comme l'animal que tu n'es que trop quand vient le moment de satisfaire tes plus bas instincts. Sa poitrine subit tes bons/mauvais traitements quelques secondes plus. Avant que ta main ne quitte son sein pour revenir entre ses cuisses. Ce sont tes lèvres qui prennent ensuite ce chemin. Pluie de baisers que tu parsèmes sur son ventre plat. Tu passes sur le mont de Vénus. Lèvres tendres, langue gourmande, dents taquines. Tu ne lui laisses pas réellement le temps de tout assimiler. Tu poses une main sur l'intérieur de l'une de ses cuisses pour lui couper toute envie de les refermer autour de ta tête à l'instant même où c'est ta langue qui prend le relais entre ses lèvres intimes. Tu la goûtes tendrement. Tu la savoures lentement. Avant de la dévorer pour de bon. Danse précise de ta langue sur elle. En elle. Ta main libre de retour sur son sein pour empoigner de nouveau.
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