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(+18) one more drink [ft. billy]
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Dim 24 Mai - 10:07


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

C’est intéressant ce qu’il te dit à propos de l’infidélité, tu ne manques pas de sourire quand il essaye de se rattraper, mais tu lui fais vite comprendre que toi non plus tu n’es pas pour les relations exclusives. Et tu ne rebondis pas sur ce qu’il t’avoue. Tu le gardes pour plus tard, tu n’hésiteras pas à l’utiliser pour parvenir à tes fins, parce que toi, si c’est ce qu’il cherche tu veux bien lui permettre de trouver ce qu’il n’a pas, ou plutôt ce qu’il n’avait pas avec sa femme. Et tu te montres déjà plus tactile, un brin plus entreprenante, sans pour autant en faire trop, sans pour autant prendre le risque de le voir fuir. Il s’ouvre un peu à toi, il te parle même de son mariage qui ne sera bientôt qu’une histoire ancienne apparemment. Et tu hoches silencieusement la tête quand tu apprends que ça faisait dix ans qu’ils étaient mariés. Tu t’es toujours demandé comment les gens faisaient pour vivre aussi longtemps avec la même personne. Tu te lasses tellement vite toi. Tu ne te vois pas rentrer tous les soirs et voir le même mec, manger avec lui, parler de ta journée et de la sienne… Ça t’ennuie rien que d’y penser. Ta main sur celle de Billy, ton pouce qui caresse sa peau, ton regard qui se perd dans le sien, tu sens les dernières briques de son mur s’effondrer. Mais alors que tu penses que c’est dans la poche, il se lève et il s’enfuit. Il titube un peu et s’éloigne de toi. Mais tu ne le laisses pas partir, tu le rattrapes et tu t’accroches à ton bras. Tu sens les frissons qui le parcourent et t’as envie de sourire tellement ça te fait plaisir. C’est presque gagné, accroche-toi encore un peu.

Tu le suis à l’extérieur, l’air est frais en cette fin de soirée, et toi avec ta petite robe très légère, tu frissonnes un peu. Tu prends ce prétexte pour te coller un peu plus à lui, un de tes seins vient se coller contre le bras auquel tu es accrochée. Tu fais comme si c’était involontaire bien sûr, alors que tout est calculé. Tu montes toujours d’un cran, petit à petit, parce que tu le sens réceptif, tu remarques qu’il te regarde différemment, comme s’il venait de prendre conscience que tu es une femme. De ta main libre tu attrapes une cigarette que tu emprisonnes entre tes lèvres et tu penches ta tête pour te rapprocher de la flamme de son briquet. Tu rejettes la fumée sur le côté et tu progresses à ses côtés, l’excitation qui ne fait que grimper, parce que tu sens que ce soir tu vas vraiment franchir un cap avec lui. Sa question te fait doucement rire. Tu fronces les sourcils et prends un air étonné. « Mais, je ne vous l’ai jamais dit ? C’est mon passe-temps favori ! Je fais ça tous les soirs. J’ai l’impression d’être utile. » que tu lui lances avec un petit sourire et un regard taquins. « Non, j’ai rien de mieux à faire. Et puis même si c’était le cas, je ne serais pas tranquille de vous savoir rentrer seul alors que vous semblez… très fatigué… » Nouveau petit sourire taquin, bien sûr que tu sais qu’il est totalement bourré, mais tu évites d’employer ce terme pour ne pas le mettre plus mal à l’aise qu’il ne l’est déjà. Tu n’oublies pas ton but, qu’il se sente assez bien avec toi pour vouloir prolonger cette soirée à tes côtés.

D’ailleurs tu reviens un peu à l’attaque, toujours accrochée à lui, ta calant à son rythme, parfois tu essayes de lui faire garder l’équilibre quand il chancelle un peu. Toi tu n’as pas trop bu, tu es bien, tu as encore les idées claires. Tu t’arrêtes sur le trottoir, tu lui retiens le bras donc tu l’obliges à s’arrêter aussi. Et là tu entres en scène, c’est ta dernière chance, tu espères qu’il ne va pas t’envoyer voir ailleurs. Tu relâches son bras et tu te postes devant lui. Tu lèves les yeux pour plonger ton regard dans le sien. Dans ce beau regard clair et sombre à la fois. Tu poses tes paumes au niveau de ses clavicules et tu fais glisser tes doigts le long du col de sa chemise. « Vous avez dit qu’avec vos maitresses vous recherchiez ce que votre femme ne vous apporte pas… » Il n’a pas ouvertement dit qu’il avait des maitresses, mais il l’a quand même bien laissé sous-entendre. Tu n’as pas besoin de te hisser sur la pointe des pieds, tes hauts talons te permettent d’être à la bonne hauteur. Tu approches ton visage du sien, tes lèvres effleurent à peine les siennes et tu viens souffler au creux de son oreille. « Dites-moi ce qu’elle ne vous apporte pas et moi je vous le donne… Tout ce que vous voulez… » Ta voix est chaude, sensuelle, alors que tes doigts quittent le col de sa chemise pour se balader sur son cou. Tu te recules en te mordant la lèvre. Tu brises le contact pour ne pas trop prendre de risque, même si là tu tentes le tout pour le tout. Car soit, il est réceptif et il t’emmène chez lui, soit il te demande de partir. Et tu t’empresses de poursuivre pour lui laisser le moins de chances possibles de trouver une excuse pour te repousser. « Je sais très bien que vous ne serez plus mon psy après ce soir. Je comprends, vous vous êtes trop confié à moi et j’accepte. Nous ne sommes plus qu’un homme et une femme lambda. Et enfin je peux alors vous avouer que depuis le premier jour, je vous trouve terriblement sexy… »

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Dim 24 Mai - 11:18


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Tu ne sais pas bien toi même pourquoi tu as parlé aussi ouvertement et naturellement de l'infidélité. Ce n'est pas comme si tu validais complètement la chose. Soit, tu as toi même été infidèle à quelques reprises ces dernières années. Parce que Mandy aurait prit peur si tu avais enroulé tes mains autour de sa gorge ou si tu avais attendu d'elle qu'elle te morde jusqu'au sang en retour. De toute façon, elle te fuyait comme la peste dès lors que tu entrais dans tes mauvaises phases. Dans tes périodes de totale obscurité où tu pouvais rester des jours entiers enfermé dans le noir, à parler seul, à pester et à communiquer avec ces démons qui vivent en toi. Qui surgissent de plus en plus souvent maintenant que tu vis seul et que tu es entré en conflits avec celle qui a partagé ta vie durant douze longues années. Désormais, ils sont là de façon constante et toi tu ne peux plus rien faire pour t'en débarrasser. Potentiellement, il faudrait que tu te fasses suivre comme le font tous tes patients avec toi. Mais tu crains bien trop de perdre tes deux boulots si ça venait à se savoir. Or, tu ne peux te le permettre. Sans eux, tu n'es rien. Sans eux, tu plongeras beaucoup plus profondément et durablement, ça ne fait aucun doute. Et ce n'est pas non plus en nouant un lien quelconque avec l'une de tes patientes, que tu vas t'en sortir. Tu ne sais pas encore grand chose d'elle mais il est évident que Lily n'est pas la personne la plus saine qui soit. Elle qui semble vraiment te tourner autour ce soir. A moins que tu n'interprètes mal les signes, tu n'en sais trop rien.

Vous êtes bras dessus bras dessous alors que vous prenez la direction de ton appartement. Et t'es bien incapable de la repousser alors même que tu n'es que trop conscient de sa poitrine qui se presse contre ton bras. Rejoignez une association en tant que bénévole si vous voulez vous sentir utile. J'suis pas certain que m'aider, moi, joue beaucoup en votre faveur pour regagner des points auprès de Dieu Que tu réponds, toujours sans filtre. De moins en moins au fil des minutes qui passent. L'alcool fait pleinement son oeuvre désormais et tu peines à retenir les mots qui filent aussitôt qu'ils ont atteint tes pensées. Quant à la mention de Dieu, elle n'est faite que parce que c'est ce que ton épouse passe désormais tout son temps à te rabâcher. Plus les années passent et plus elle semble se perdre dans ses croyances. T'es persuadé que sans elles, elle n'aurait jamais demandé le divorce. Alors Dieu et toi, ce n'est pas franchement une grande histoire d'amour. Très fatigué ... Lily, vous faites semblant d'être aussi polie et gentille ? D'autres mots trop sincères que tu ne peux retenir. Une question que tu t'es déjà posé à quelques reprises lors de vos séances. Elle une facilité déconcertante à passer d'un état à un autre, comme semble le lui avoir reproché son ex. Elle semble avoir du mal à jongler entre une politesse presque exagérée et un besoin de balancer tout haut tout ce qu'elle pense tout bas. Et t'as bien du mal à la cerner. A faire la part des choses pour séparer le vrai du faux et savoir qui elle est vraiment.

Ton mégot se retrouve projeté dans le caniveau, quelques secondes avant que la brune ne s'arrête. Tu manques perdre l'équilibre tant t'es surpris par l'arrêt brutal. Mais tu tiens malgré tout relativement bien sur tes jambes. Et tu plantes un regard surpris et toujours aussi embrumé par l'alcool, dans le sien. Tu attends ses mots, qui ne tardent pas tellement. Ses mots trouvent le haut de son corps. Parcours le col parfaitement en placé de ta chemise blanche alors qu'elle mentionne tes maîtresses. Un bref rire sans joie t'échappe et tu détournes le regard. Tu n'es pas bien certain de saisir le jeu auquel elle joue désormais. Mais elle approche son visage du tien, te forçant ainsi presque à retrouver son regard du tien. Tu l'observes en silence. Elle souffle des mots qui se veulent brûlants et provocateurs. Elle frôle tes lèvres des siennes. Provoquant une décharge de désir dans l'ensemble de ton corps. Elle est beaucoup trop jeune et bien trop instable. Tu ne devrais même pas te permettre de la désirer. Elle se recule juste assez pour que toute ton attention demeure portée sur elle. Elle se mordille la lèvre inférieure. Ton regard s'y attarde quelques secondes avant d'aller flirter avec ses courbes parfaitement moulées dans sa petite robe. Vous n'êtes plus que deux personnes lambda. Sauf que tu sais qu'elle est pas mal esquintée et que tu n'as aucun droit de l'abîmer plus encore.Si je vous dis que j'ai besoin de violence ? Tu provoques un peu. Persuadé qu'elle se contentera peut-être de tourner les talons et de rentrer chez elle. Je n'suis pas sûr qu'on soit sur la même longueur d'ondes. Et cette fois, c'est ta main à toi qui vient se perdre sur son corps à elle. Tes doigts qui grimpent au dessus de sa poitrine, pour finalement glisser sur sa gorge délicate. Tes doigts qui s'y enroulent sans chercher à serrer. Parce que le but est uniquement d'illustrer tes propos. Tu ne peux décemment pas te permettre de faire subir ce genre de choses à une gamine qui a été abusée pendant des années.
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Dim 24 Mai - 13:45


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Cette fois tu ne joues pas la comédie quand il te parle de Dieu, tu pouffes de rire, au début tu te dis qu’il plaisante, qu’il te taquine, mais quand tu vois son air sérieux, tu lui lances un regard interrogateur, les sourcils froncés.  « Vous êtes sérieux ?! Vous croyez à ces conneries ? » Tu fermes les yeux en secouant la tête et tu soupires. « Hm, sans vouloir vous offenser hein. Mais moi j’y crois pas. Ou s’il y a bien un dieu, il se fout clairement de notre gueule… » Tu lèves les yeux au ciel, parce que tu n’as jamais compris comment les gens pouvaient vouer un culte à un mec dont l’existence n’a même jamais été prouvée. Tu vois la religion comme une secte. Tu essayes quand même de ne pas trop te moquer ouvertement parce que tu ne voudrais pas tout foutre en l’air juste parce que tu n’as pas respecté ses croyances. « Et puis non, moi j’aime le faire spontanément et pas pour n’importe qui… » que tu souffles presque avec un petit sourire en coin. Il est peut-être ivre, mais il garde un esprit vif, et surtout il te parle plus honnêtement, tu souris en entendant sa question et tu hausses les épaules. Tu décides de jouer la carte de l’honnêteté, toujours en choisissant la vérité que tu vas dire, bien entendu. Tu ne vas pas lui révéler la vraie raison de ta présence dans ce bar ce soir, ni même celle de ton entrée dans sa vie. Tu soupires. « Disons que je sais ce que les gens ont envie d’entendre, et je ne pense pas que vous ayez envie que je vous dise que vous êtes complètement torché… » que tu réponds avec un joli petit sourire.  « A moins que je me trompe sur vous… Peut-être que vous préféreriez que je sois plus honnête et directe avec vous… » Tu l’interroges du regard, tu veux bien être plus directe avec lui, ce serait même plus simple pour toi. Parce que t’as l’habitude de parler sans filtre, tu préfères même parler sans filtre. Mais tu veux surtout t’assurer qu’il ne prenne pas la mouche et qu’il redevienne aussi froid que la mort.

Surtout que tu veux passer à l’étape supérieure. Tu veux le provoquer un peu pour qu’il te laisse entrer chez lui, entrer dans son espace intime. Tu lui fais des avances, ouvertement, sans la moindre ambiguïté. Et puis clairement, ça ne te posera aucun problème de coucher avec lui, physiquement, il est tout à fait ton genre. Seulement, tu ignores encore ses préférences et ses péchés mignons. Tu sais juste que ce n’était pas au goût de sa femme et qu’il se sentait obligé d’aller chercher ça ailleurs. Tu lui promets, toi, de lui donner ce qu’il veut. Même si tu n’as aucune idée de ce que c’est. Parce que toi tu imagines que ce ne sera pas bien méchant.  Tu l’imagines plutôt ordinaire, peut-être que sa femme est juste une coincée et qu’elle refuse qu’il lui donne une bonne fessée de temps en temps. Tu as presque envie de sourire, tu te sens quasiment victorieuse parce que tu vois son regard qui glisse sur toi et qui s’attarde sur ton corps. C’est dans la poche. Tu le sens. Mais tu te demandes si tu as bien entendu quand il te répond. Tu caches ta surprise, tu ne cilles pas. Tu ne vas pas jouer les peureuses, pas maintenant alors que tu es aussi près du but. Au contraire tu le fixes, d’un air très sérieux. Et pour la première fois il ose te toucher. Tu frémis en sentant sa main remonter pour se refermer sur ton cou. Tu ne fais rien pour se dégager de son étreinte, au contraire, tu t’approches un peu plus de lui. « Vous me connaissez très mal Billy… » que tu souffles d’une voix brûlante et tu penches pour venir murmurer au creux de son oreille. « Très très mal…»

Tu sais qu’il te voit comme une victime. Ce que tu as été une bonne partie de ta vie. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Tu ne veux plus subir, tu as pris ta vie en main. Tu ne fuis plus le danger, au contraire, il t’attire. Quand tu sens la peur te gagner, que ton cœur bat tellement que tu as l’impression qu’il va exploser, c’est là que tu te sens vivante, que tu te sens bien. Tu étais très loin d’imaginer que Billy pouvait représenter un quelconque danger. Tu l’imaginais presque barbant dans sa vie de tous les jours. Tu t’étais trompée et tu es agréablement surprise. Tu te remets face à lui, tu poses ta main sur la sienne, celle qui entoure ton cou fin et tu appuies sur ses doigts. Tu te mords la lèvre avant de te pencher vers lui. T’attrapes sa lèvre inférieure entre tes dents et tu tires dessus. Tu la mords juste assez pour faire un peu mal, juste un peu. Pour l’instant. « Ne me vois pas comme une simple victime Billy. Je suis bien plus complexe que ça. » que tu souffles tout contre ses lèvres, un petit sourire sur le visage. En fin de compte tu vas peut-être avoir besoin de faire semblant avec lui. En tout cas, ton intérêt pour lui vient de grimper en flèche. Tu te dis qu’il cache bien son jeu avec ses airs de gentil psy, toujours tiré à quatre épingles. Il est beaucoup plus intéressant que tu le pensais. Et beaucoup plus attirant maintenant. « On se ressemble plus que je l’imaginais en fait… Qu’est-ce que tu attends pour m’emmener chez toi alors ? » que tu demandes en posant ta main sur son ventre, juste au dessus de sa ceinture. Tu comprends maintenant pourquoi sa femme l’a qualifié de taré et de dangereux, elle a dû être surprise s’il a un jour essayé de l’étrangler au pieu…

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Nicholas Crain
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➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
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Nicholas Crain
Dim 24 Mai - 14:14


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Tu ne peux retenir un bref ricanement ironique quand elle semble choquée de t'entendre parler de Dieu.Je suis un homme de sciences Lily. Mandy a fait entrer "Dieu" dans notre vie. C'est pas vraiment mon truc. Que tu lui réponds avec ironie. C'est même loin d'être ton truc. Sans cette histoire que tu penses être inventée de toutes pièces, ton épouse ne te regarderait pas comme si tu étais possédé. Toi tu le sais que ces démons qui vivent en toi, ne sont que le fruit de ton imagination. Tu sais qu'ils se sont installés parce que tu as laissé bien des monstres entrer dans ton esprit. Parce que tu ne t'es que trop souvent mis dans leur tête. Parce que tu es démesurément empathique. Autant dire que tout ça a une explication parfaitement logique et scientifique pour toi. Tu ne t'imagines pas être possédé dans le sens biblique du terme. Quoi qu'en pense et en dise ton épouse. Quant au fait que Lily souhaite ne rendre service qu'aux personnes qu'elle souhaite, tu ne fais aucun commentaire. Tu n'es pas en état de te poser mille questions de toute façon. Et tu n'as, surtout, pas tellement envie de le faire. En règle générale, quand tu quittes le boulot, tu mets tout le reste de côté et tu tâches de te détendre autant que possible pour le reste de la soirée. Ce qui ne fonctionne pas à tous les coups, soit. Mais tu tentes tout de même. Histoire de revenir aussi reposé que possible le lendemain. Et offrir un visage impassible et poli à tes patients.

A sa question, tu hausses les épaules. Dans le fond, tu te fous pas mal qu'elle ait l'envie d'être très honnête avec toi ou pas du tout. Pas de quoi changer complètement votre situation actuelle, c'est une certitude. Et surtout, pas de quoi changer l'état dans lequel tu te trouves actuellement. Peu importe ... Je ne suis pas franchement susceptible. Pour preuve, tu te fais traiter de fou et de psychopathe depuis plusieurs années maintenant, par ta propre épouse. Tu penses que c'est suffisant pour te confirmer le fait que tu ne sois pas franchement susceptible, en effet. Pour autant, tu oses espérer que la jolie brune n'a pas une tonne d'horreurs à t'offrir. Qu'elle n'a pas une soudaine envie de se défouler sur toi pour compenser sa rupture et d'autres conneries du genre. Mais non, ce n'est apparemment pas du tout ce qu'elle a en tête. Elle qui est déjà en train de se rapprocher de toi. Joueuse et séductrice tout à coup, elle a tout l'air de vouloir te faire craquer. Et toi, t'es bien parti pour te laisser tenter. Sauf si son souhait est de partager une étreinte douce et tendre avec toi. Tu ne partages pas cela avec la première femme venue. Tu glisses tes doigts sur sa gorge et la sens ainsi frémir. Si dans un premier temps tu penses que c'est de panique ou de dégoût, très vite elle te rassure. En se rapprochant de toi et en te faisant remarquer que tu la connais très mal. Tes doigts restent en place alors qu'elle vient souffler les derniers mots au creux de ton oreille. Son souffle chaud se faisant caresse provocatrice sur ta peau.

Elle conclut ses mots en posant sa main sur la tienne. T'incitant à presser plus fort tes doigts fins refermés autour d'elle. Elle poursuit en se penchant pour coincer ta lèvre inférieure entre ses dents. Tu te laisses faire. D'autant plus qu'elle se contente pas d'être tendrement taquine. Elle plante assez fort ses dents pour qu'une brève douleur vienne t'électriser plus encore. Et faire gonfler plus encore la boule de tension logée au creux de tes reins. Finalement sa conclusion se veut pleine de promesses. Vous êtes, apparemment, beaucoup plus semblables que tu ne l'imaginais. Et ça fait naître un sourire froid sur tes lèvres. Regard métallique que tu poses une fois de plus sur ses courbes quand elle se recule. Avant de revenir à son visage aux traits fins. Que tu n'imagines que trop bien déformés par un mélange de plaisir et de douleur. A sa question, tu hoches pensivement la tête. En effet, qu'est-ce que tu attends ? Les mots étant bien inutiles, tu n'ouvres pas la bouche pour lui répondre quoi que ce soit. En revanche, tu te remets en route. Direction ton appartement dont vous n'êtes plus très loin. Déjà, tu pousses la porte en verre d'un immeuble de luxe et rejoins l'ascenseur dont les portes coulissent bien assez vite. Tu restes à bonne distance d'elle durant la montée. Pas bien certain de pouvoir te contenir très longtemps si tu poses tes mains sur ses courbes fort alléchantes. Une nuit. Que tu penses utile de préciser. Tu n'es pas du genre à prendre un abonnement avec celles contre lesquelles ton corps échoue. Dans ton esprit, tu es encore marié.
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Dim 24 Mai - 15:08


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu l’écoutes et pour la première fois tu entends le prénom de sa femme. Mandy. C’est donc elle la croyante. Tu hoches la tête. Bon au moins, tu ne vas pas devoir l’entendre parler de Dieu et toutes ces conneries. Tu comprends mieux alors pourquoi il cherche à se perdre dans les bras d’autres femmes. Si sa Mandy est une pure croyante, une vraie, ça ne doit pas être forcément la joie au plumard. Enfin toi, c’est comme ça que tu imagines les croyants, pour toi, ils ne se contentent de la position du missionnaire, ils baisent une fois par mois et voilà. Pas vraiment de folie. Donc ça ne t’étonne qu’à moitié. « Ah, ça me rassure, parce que là, vous baissiez dans mon estime. » Tu le taquines, mais c’est pas totalement faux. Mais en réalité, ça n’aurait pas changé grand-chose, tu ne cherches pas à apprécier Billy, tu ne peux pas apprécier Billy. C’est impossible pour toi. Inconcevable. Alors au fond, qu’il soit croyant, athée, qu’il fasse partie d’une secte… tu t’en fous pas mal. Billy qui n’est plus aussi souriant, aussi doux que lors de vos rendez-vous dans son cabinet. Il est plus sombre, plus froid. Et ça t’intrigue un peu, tu dois l’avouer. Tu hausses les épaules. « Très bien, alors je n’hésiterai pas à user de ma langue de vipère. » que tu souffles toujours avec cette voix et ce ton bourrés de sous-entendus. Parce que tu comptes bien user de ta langue en effet, pour parler, pour parler avec plus de sincérité certes, mais pas que… Parce que tu lui fais du rentre dedans à Billy.

Et il te fait une sacrée révélation. Tu ne t’y attendais pas. Tu ne l’avais vraiment pas vu venir. Tu le vois différemment maintenant. Mais pour toi ce n’est pas péjoratif. Au contraire, ça lui donne plus de charme, tu lui trouves plus d’intérêt. Et tu joues. Tu risques de te brûler à force de jouer avec le feu. Mais t’as trop envie de te laisser tenter. L’excitation t’envahit, elle fait s’emballer ton cœur. T’as un peu peur, oui, parce que tu te rends compte que Billy peut être bien plus dangereux que tu n’aurais pu l’imaginer. Tu prends des risques en le cherchant de la sorte. Il est déséquilibré en fait. Tout comme toi. Et c’est bien ça qui t’attire. Le danger qu’il peut représenter. Tu t’amuses à le provoquer, tu lui mords la lèvre et tu l’allumes ouvertement. Et il semble réagir. Tu vois son regard qui change, qui s’assombrit. Son sourire ne t’échappe pas non plus. Il pourrait presque te donner froid dans le dos. Il ne te répond pas et il reprend la marche. Tu esquisses un petit sourire satisfait. Cette fois c’est bon, tu as réussi. Il n’imagine pas la merde que tu vas mettre dans sa vie. Il t’imagine comme une petite victime, marquée par des mauvais traitements et juste un brin déséquilibrée. Il ne sait pas à quel point tu es timbrée et dangereuse, pour lui du moins. Parce que la vie de Billy va bientôt s’effondrer et ce sera grâce –ou à cause- de toi. Alors tu le suis en silence, ça ne sert à rien de parler juste pour meubler. Vous n’avez envie que d’une chose tous les deux : arriver rapidement chez lui. Tu veux voir la bête, l’animal qui sommeille en lui.

Une fois dans l’ascenseur tu es obligée de remarquer qu’il garde ses distances avec toi. Ça t’amuse.  Tu sens qu’il essaye de se contenir et ça t’intrigue encore plus. Tu te demandes à quel point il peut être brutal, violent et ça t’excite de l’imaginer. T’es pas romantique, t’es pas adepte des caresses et des étreintes douces et tendres, c’est vraiment pas ton truc. Tu préfères quand c’est sauvage, brutal, quand vous pouvez laisser libre court à vos plus bas instincts. Tu aimes quand les étreintes laissent des traces sur la peau. Et tu sens que tu vas en avoir plus d’une et que tu en laisseras plus d’une sur celle de Billy… Tu plonges ton regard dans le sien et tu souris, amusée. Toujours dans la provocation, tu ne peux t’empêcher de répondre. « Ça me va… Mais je te préviens, tu risques d’en redemander avec moi… » Tu ne comptes pas en faire un amant régulier de toute manière, toi tu veux juste l’affaiblir pour pouvoir l’anéantir. Tu ne sais pas encore que tu ne vas pas ressortir indemne de tout ça. T’es beaucoup trop confiante, tu ne te méfies pas une seconde. Grosse erreur. Quand l’ascenseur s’arrête tu le laisses sortir avant toi et tu le suis jusqu’à la porte de son appartement. En effet, c’est très luxueux, apparemment ça gagne bien d’envoyer des criminels à la mort. « Alors me voilà dans l’antre de l’animal féroce ? » que tu lances sur le ton de la provocation. Il t’a mise en garde, tu espères ne pas être déçue… Et ça t’amuse tellement de le pousser à bout, tu veux voir comment il réagira quand il se laissera vraiment aller parce que pour l’instant il est encore bien trop sage à ton goût…

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Nicholas Crain
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Nicholas Crain
Dim 24 Mai - 15:38


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Ça n'a pas grande importance pour toi de savoir l'estime qu'elle a de toi. Tu te fous de savoir si tu es bien placé ou pas du tout. Parce que ton but n'est aucunement de lui plaire d'une façon ou d'une autre. Et à partir de ce soir, l'image qu'elle a de toi en prendra forcément un coup. Aucun doute qu'elle te voyait comme un gentil, innocent et lisse petit psychiatre jusqu'à présent. Mais qu'elle a désormais un certain aperçu sur le genre d'être sombre et un brin monstrueux, que tu peux être. Parce que plus le temps passe, plus tu te confesses et te confies à elle. Plus encore quand il commence à être question de sexe. Tu ne sais pas bien pourquoi mais elle semble soudainement bien désireuse d'être l'une de tes maîtresses. Jusqu'alors, elle prétendait ne pas être intéressée par toi le moins du monde. S'accordant à dire que tu n'étais pas désagréable à regarder mais qu'elle n'avait aucune intention de tenter quoi que ce soit avec toi. Elle a tout l'air d'avoir réellement changé d'avis. Peut-être parce que l'éventualité d'une étreinte pour le moins violente, a fait son petit effet sur elle. Tu ne la pensais pas de ce genre là. Mais tu n'iras pas t'en plaindre alors que désormais, tu louches très clairement sur son corps parfait. Presque trop parfait. Le genre de perfection que tu ne peux que désirer abîmer d'une façon ou d'une autre. Tu as hâte de découvrir si sa peau est aussi parfaite que tu l'imagines. Et si elle marque vite ou non.

Entre autres, tu veux bien qu'elle use de sa langue de vipère sur toi, pour sûr. Et c'est bien la raison pour laquelle tu te remets si vite en marche. Direction ton appartement, qui ne se trouve guère loin. Bientôt, vous êtes tous les deux enfermés dans l'habitacle restreint de l'ascenseur. Tu sens son regard sur toi alors que le tien s'attarde sur l'affiche numérique qui indique les étages que vous passez. Les uns après les autres. Dans le relatif silence, tu précises qu'il ne s'agira que d'une nuit. Mais sa réponse, fait naître un nouveau sourire aussi froid qu'ironique, sur ton visage. Je demande à voir. Que tu te contentes de répondre en laissant une fois de plus tes yeux s'attarder sur ses courbes. Elle porte une robe vraiment sexy ce soir. Qui ne laisse pas beaucoup de place à l'imagination. Ce dont tu te fiches un peu. Tu n'as pas besoin d'imaginer son corps. Tu n'as pas l'envie de perdre du temps à la dévêtir non plus. Enfin vous atteignez ton appartement. T'es trop habitué à être ivre pour dériver en cours de route. Tu vois flou, un peu. T'as la tête qui tourne, pas mal. Mais tu maîtrises suffisamment ton corps et tes gestes. Ainsi, quand tu entres dans ton appartement, tu prends le soin de refermer la porte à clé. Et d'actionner l'un des interrupteurs. Celui qui offre une faible luminosité. Lumière tamisée. Non pas pour offrir un côté romantique à l'endroit. Mais parce que tu ne supportes pas la lumière trop vive quand tu es ivre ou en pleine crise. Tu n'as pas l'intention de lui faire visiter ton appartement. A vrai dire, il ressemble beaucoup à ton bureau. Clair, propre, parfaitement ordonné et décoré de façon à offrir une atmosphère aussi apaisante que possible. Ce qui ne fonctionne pas des masses sur toi pour le coup.

Tu ignores ses mots. Tes yeux sombres sont posés sur elle. Tu t'adosses à la porte quelques secondes, avant de finalement t'approcher d'elle. Tu n'es pas un prédateur fondant sur sa proie. Pour toi, ça ne fait plus de doute qu'elle est tout autant une prédatrice que tu peux l'être. Pour toi, ça ne fait aucun doute que vous allez vous dévorer l'un l'autre. Qu'elle ne se contentera pas de se laisser faire. Et ce n'est vraiment pas fait pour te déplaire. Alors que tes doigts son presque tendres quand ils se faufilent sur les côtés de son visage. Qu'ils ramènent ses cheveux derrière ses oreilles. Qu'ils les réunissent pour en faire une queue de cheval. J'aime les cheveux longs. Que tu susurres en les enroulant ensuite autour de ta main. Ils offrent une prise parfaite. Et tu ne manques pas de lui en faire une petite démonstration quand tu tires brutalement dessus pour lui faire basculer la tête en arrière. Ta main libre s'attarde sur sa gorge et ta langue vient se faufiler le long de cette gorge fragile que tu as envie de marquer autant de tes doigts que de tes dents. Mais pour l'heure, ta bouche vient trouver la sienne. Tu mords à ton tour dans sa lèvre inférieure. Avec moins de douceur encore qu'elle en a elle même mit dans son geste. Tu mords fort et tu tires dessus. Tes deux mains se faisant plus fermes sur elle, chacune de leur côté. Tu sais qu'elle te rendra ces gestes. Tu veux qu'elle le fasse.
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Dim 24 Mai - 16:15


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Sa réponse te fait sourire mais tu ne dis rien de plus. Pas la peine de parler, il verra bien par lui-même. A chaque fois que tu t’es donnée à un homme, il n’a pas voulu se contenter d’une seule fois. C’est toi qui les envoies balader après coup. T’es comme Billy sur ce point, tu ne cherches pas un plan cul régulier. Tu aimes quand c’est sauvage, mais quand ça ne se fait qu’une fois, parce qu’après ça perd de sa magie. Tu te lasses vite. Tu t’ennuies vite et tu n’es pas faite pour t’installer dans une routine. T’as besoin de changement, t’as besoin de voir d’autres choses. Et là tu t’apprêtes à découvrir ce que ça fait de te retrouver prisonnière des griffes de Billy. Tu sens l’excitation et l’impatience te gagner alors qu’à ton tour tu fixes le numéro des étages défiler. Quand la cabine s’immobilise, ton cœur se met à battre un peu plus vite, parce que tu sais que ce n’est plus qu’une question de minutes. Et quand tu mets un pied dans l’appartement de Billy, tu te retiens presque de te jeter sur lui, parce que ses regards dans l’ascenseur t’ont donné beaucoup trop envie de lui. Parce que tu y as lu du désir mais aussi de la bestialité. Tu veux voir, tu veux sentir à quel point il peut être bestial, à quel point il peut te faire gémir de plaisir et de douleur. Tu sens l’adrénaline qui se déverse dans ton corps, parce que ça y est tu es chez lui, dans son appartement. Une pâle copie de son cabinet, tout est parfaitement propre et parfaitement rangé. Mais tu n’es pas là pour inspecter les lieux. Pas pour le moment.

Tu te tournes vers lui pour le voir fermer la porte à clé. Tu ne peux t’empêcher de le taquiner une nouvelle fois.  « T’as peur que je m’enfuie ? » que tu demandes en lui adressant un petit sourire provocateur. Tu imagines que c’est sûrement un tic, une habitude. Et alors que lui s’appuie à la porte, toi tu restes près du mur et tu le regardes en silence. Vos regards vous suffisent pour vous exprimer. Et quand il se redresse et qu’il s’avance vers toi, tu te mords machinalement la lèvre. Ton pouls s’accélère. Tu le suis, non, tu le dévores du regard alors qu’il arrive à ta hauteur. Tu frémis quand tu sens sa main sur ton visage et quand ses doigts se perdent dans tes cheveux. Tu souris parce que tu comprends très bien où il veut en venir, tu penses avoir pourquoi il aime tant les cheveux longs. Et quand tu sens qu’il les enroule autour de sa main t’en es sûre. Ta tête se retrouve vite rejetée en arrière. Tu lâches un petit soupir. Et quand tu sens son autre main contre ta gorge tu fermes les yeux. Nouveaux frémissements, frissons de plaisir quand tu sens le contact chaud et humide de sa langue sur ta peau. Pour l’instant tu te laisses faire, tu es totalement à sa merci. Tu rouvres les yeux pour croiser son regard quand ses lèvres effleurent les tiennes. Mais ce n’est pas un baiser qu’il vient chercher. Il malmène ta lèvre avec ses dents et toi tu geins de douleur mais aussi d’excitation. Tu sens ses dents s’enfoncer dans ta lèvre et enfin tu réagis. Un soupir s’échappe de tes lèvres quand tu sens sa main se refermer autour de ta gorge. Toi tu relèves tes bras pour que tes mains viennent agripper le col de sa chemise, fermement.

Tu avances sans te défaire de son étreinte, surtout pas, tu ne veux pas qu’il arrête de te malmener. Que ce soit en mordant tes lèvres, en tirant sur tes cheveux ou emprisonnant ta gorge. Tu le fais reculer pendant que toi tu avances sans même vraiment savoir où tu vas. Et tu te retrouves dans ce qui semble être le salon. Tu le pousses jusqu’à ce que l’arrière de ses jambes heurte un fauteuil et là seulement tu te dégages de ton étreinte. Tu le pousses brutalement, le fait qu’il soit ivre t’aide beaucoup à le faire basculer en arrière pour qu’il se retrouve assis sur le fauteuil. Tu te penches pour défaire  la boucle de tes escarpins dont tu te débarrasses rapidement. Tu remontes le bas de ta robe avant de venir grimper sur lui. Tu poses un genou de chaque côté de ses cuisses, tu appuies ton bassin contre le sien sans coller le haut de ton corps au sien. Tu te laisses de la place pour saisir les pans de sa chemise et tirer dessus sans aucune délicatesse. Tu fais sauter quelques boutons, mais les autres résistent. Alors tu tires dessus une nouvelle fois, et encore une autre jusqu’à ce que tous les boutons cèdent et se retrouvent propulser. Tu ne prends pas la peine de lui retirer sa chemise entièrement, tu te contentes d’en écarter les pans pour te laisser un libre accès à son torse nu. A ton tour de venir faire glisser sa langue dans son cou mais toi tu ne t’y attardes pas longtemps. Tu descends sur sa clavicule, tu mordilles sa peau à de nombreuses reprises. Tu t’attardes au niveau de son torse, tu viens saisir l’un de ses tétons entre tes dents et tu le malmènes quelques secondes, alternant entre suçons et morsures.  Tu le libères enfin mais pour aller te charger de l’autre, tandis que l’une de tes mains vient se poser contre son autre pectoral pour y enfoncer tes ongles, sans délicatesse aucune.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Dim 24 Mai - 17:09


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Le nouveau sourire que tu affiches, est désormais celui d'un prédateur. Tu ne penses pas souffrir d'une quelconque déviance sexuelle. Mais il est vrai que tu préfères le sexe quand il est brutal. Pas gentiment passionné. Non. Vraiment rageur et bestial. Quand les dents s'entrechoquent et que les mains empoignent trop fort. Quand les peaux sont marqués et les cris étouffés. Tu ne sais pas encore si vous êtes réellement sur la même longueur d'ondes à ce sujet là. Il y a un monde entre en parler et le faire vraiment. Tu ne serais pas la première ... Que tu réponds sans ironie aucune. Tu n'as jamais franchis la limite non plus qui sépare l'étreinte violente mais consentie, du viol. Tu n'es pas ce genre de monstre là. Ce genre de prédateur. Si une femme se prend de panique et veut tout arrêter, tu es encore en mesure d'obéir et de la laisser filer. Et c'est effectivement arrivé. Parfois. Pour l'heure, la brune ne semble pas vouloir revenir sur son envie de rester là chez toi. Avec toi. Elle semble avoir toujours la même envie que toi de plonger dans l'obscurité de cette nuit en ta compagnie. Alors tu t'approches d'elle et permets à tes doigts de trouver ses cheveux pour t'offrir une prise des plus parfaites sur son corps divin. Elle est parfaitement réceptive à tout ça. Désireuse de plus même, tu peux le sentir.  Elle n'a de cesse de frissonner alors que tes mains se posent sur elle puis que ta langue vient taquiner la peau de sa gorge dévoilée. Elle ne frissonne que plus encore, pour ton plus grand plaisir.

En retour, elle s'accroche à ton col et entreprend de te faire reculer. Sans doute ne sait-elle pas elle même la direction qu'elle est en train de prendre. Mais tu ne fais rien pour l'arrêter. D'autant plus que, bientôt, tu butes contre l'un des fauteuils de ton salon. Sur lequel elle te pousse sans la moindre douceur. Apparition d'un nouveau sourire au coin de tes lèvres. Affamé. Comme ton regard qui flirte de nouveau avec son corps qui te surplombe. Tu ne détournes pas la tête quand elle entreprend de se séparer de ses talons hauts. Tu la regardes faire. Tu zieutes surtout sur sa poitrine que le décolleté dévoile en grande partie. Enfin elle vient prendre place sur toi. Son bassin collé au tien. Une pression qui fait plus encore gonfler l'excitation en toi. Et tu ne t'en  caches pas. Tu te laisses également faire quand elle attrape les pans de ta chemise et tire franchement dessus pour faire sauter les boutons. Elle n'abandonne pas lorsque certains lui offrent une certaine résistance. Au lieu de ça, elle insiste plus encore et s'assure de les faire sauter pour de bon. Elle semble plutôt satisfaite d'elle quand elle en a terminé. Et qu'elle peut ainsi accéder à ta peau de sa bouche.  Tu serres les dents quand elle mordille avec plus ou moins de force et qu'elle file s'attarder sur tes tétons. Et soupires lorsqu'elle plante ses ongles dans ta peau. T'es pleinement à l'étroit dans ton pantalon désormais. Alors que tes doigts retrouvent tout naturellement ses cheveux. Juste quelques secondes pour l'inciter à continuer, avant que tes mains ne s'occupent autrement. Pour aller attraper le bas de sa robe que tu fais remonter plus encore. Dévoilant d'abord son postérieur que tu as une hâte certaine de malmener autant de tes mains que de ton bassin. Tu la remontes plus haut encore et l'incites à se redresser sur toi pour l'en débarrasser tout à fait.

Sa poitrine désormais libre de toute prison de tissu, tu ne tardes pas à refermer tes dent autour de l'un de ses seins. Tu les plantes dans la chair sans faire dans la douceur. Alors que tes mains filent plutôt rencontrer ses fesses. Là encore, tu ne fais pas dans la douceur. Tu empoignes avec fermeté et l'attires plus encore à toi pour l'inciter à se frotter à ton bassin. Tes dents coincent une pointe tendue et tirent dessus  tandis que tes mains malaxent fort de leur côté. Empoignent fermement pour la maintenir bien en place contre toi quand tu te lèves du fauteuil. C'est risqué, compte tenu de ton état d'ivresse. Tu prends le risque pourtant. Et profites d'être debout et de l'avoir ainsi enroulée autour de toi, pour lui flanquer une fessée retentissante. Morsure brûlante qui, tu l'espères, laissera quelques marques. Que tu prendras plaisir à malmener plus franchement encore, quand tu viendras te coller à sa croupe pour la prendre avec rage.  D'abord, c'est à son tour de chuter. Lorsque tu la fais tomber sur le canapé pour la surplomber à ton tour. Ton regard parcourt ses courbes le temps que tu te débarrasses de ta veste et de ta chemise, d'un seul mouvement. Et c'est un sourire pour le moins ironique qui vient s'installer sur ton visage, quand tu fais glisser la ceinture de ton pantalon dans ses passants. Tu t'imagines sans mal marquer sa jolie peau avec celle ci. Et aucun doute qu'elle peut lire les pensées qui t'animent. Avant que, finalement, tu ne l'abandonnes à même le sol et n'entreprennent de déboutonner ton pantalon. Juste de quoi soulager un peu la pression avant de la rejoindre sur le canapé. Tu n'as pas l'intention ni l'envie de te perdre en de longues préliminaires. Déjà, tes doigts attrapent son sous vêtement pour le faire disparaître à son tour.
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Dim 24 Mai - 18:16


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@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu penches la tête légèrement sur le côté, l’air intrigué. Il ne cesse d’attiser ta curiosité. Soit certaines femmes qu’il a ramenées ici étaient des fragiles, soit il est encore plus cinglé que tu ne l’imagines. Mais toi tu ne comptes pas fuir. Tu vas rester ici, tu vas te donner à lui, tu vas laisser tes marques sur lui, sur son corps et tu vas laisser une trace de ton passage dans sa vie également. Ah s’il savait, c'est lui qui prendrait la fuite… Et toi, si tu savais ce qui t’attend après cette nuit, tu en ferais de même. Mais au lieu de ça tu l'accueilles déjà quand agrippe tes cheveux, il commence doucement, il t’arrache tout de même quelques plaintes quand il plante ses dents dans ta lèvre. Mais t’en redemandes toi. Parce que tu l’entraines déjà dans le salon. Après l’avoir forcé à s’asseoir tu le débarrasses des boutons de sa chemise. Ton bassin collé au sien tu peux sentir la bosse qui remplit son pantalon. Tu ne peux qu’être impatiente qu’il te possède brutalement. Et rien qu’a cette idée, tu peux sentir la moiteur entre tes cuisses. Le visage enfoui contre son torse, ta langue et tes dents qui malmènent sa peau qui rougit déjà sous tes assauts brutaux, tu ne peux voir son visage, tu ne peux pas voir son expression, son regard que tu imagines brûlant, sombre. Tu es bien obligée de relever la tête quand il fait remonter ta robe le long de ton corps. Tu lèves lentement les bras et enfin ton regard croise le sien. Le tien a pris une teinte plus sombre, plus orageuse, perturbé par le désir. Tu peux voir le sien s’attarder sur tes pointes dressées par l’excitation. Ta poitrine qui se soulève et s’abaisse rapidement alors que dedans ton cœur semble prêt à exploser. Ta poitrine qui semble appeler Billy, réclamer ses mauvais traitements.

Et tu le suis du retard quand il se penche vers tes seins, tu rejettes la tête en arrière en poussant un long gémissement, témoignant de ta douleur et de ton plaisir. Parce que oui, tu adores ça quand fait jouer ses dents sur ta peau, quand il te croque comme il croquerait un fruit. Tu glisses tes doigts fins dans sa chevelure d’ébène, là où il y a assez de longueur pour te permette de tirer un peu dessus, d’un coup sec. Ton bassin remue en sentant la pression exercée par ses mains sur tes fesses. Tu appuies bien ton intimité encore recouverte du fin tissu de ton sous-vêtement contre son d’érection encore emprisonnée. Tu peux en sentir quand même la forme qui appuie sur tes lèvres intimes. Tu en lâches un soupir d’excitation. C’est ça la vraie torture, attendre qu’il te prenne sauvagement, qu’il te possède avec violence. Tu appuies un peu plus ton bassin contre le sien quand il tire sur ta pointe déjà tendue. C’est sensible, très sensible, tu gémis à nouveau, tu tires encore plus fermement sur ses mèches brunes. Ton autre main vient se perdre dans sa nuque que tu malmènes à l’aide de tes ongles. Puis tu le sens remuer sous toi, tu devines assez bien son intention alors tu refermes tes bras autour de son cou et tes jambes sa taille. Son petit manège avec ton téton t’a déjà bien excitée et tu es un brin essoufflée. La pression est tellement forte dans ton corps que tu peux sentir les battements de ton cœur dans tes oreilles. Tu entends le bruit de claquement avant même d’en sentir la sensation. Quand tu sens la chaleur se répandre dans ta fesse tu pousses une nouvelle plainte et tu enfonces à nouveau tes ongles dans sa nuque.

Tu te retrouves bien vite sur le canapé, allongée, totalement à sa merci. Les mais posées de chaque côté de tes épaules. Les genoux légèrement repliés, les cuisses légèrement écartées. Tu l’observes avec envie, avec désir. Tu te redresses un peu sur les coudes quand ses mains s’occupent de défaire la boucle de sa ceinture. En effet, tu lis dans son regard ce qu’il aimerait te faire avec. Et tu te mords la lèvre en observant le long morceau de cuir. Ton regard plongé dans le sien, il peut vraisemblablement lire également tes pensées. Tu n’attends que ça. Ce n’est pas ça qui te fera peur. Au contraire. Tu sais que ça va te faire mal, que ça va chauffer ta peau et y laisser des traces mais tu sais aussi que tu vas ressentir beaucoup de plaisir. Mais il la laisse choir sur le sol. Tu l’observes toujours en silence et avec beaucoup d’intensité alors qu’il déboutonne son pantalon. Tu veux voir ce qui se cache en dessous, l’objet qui va bientôt te faire couiner de plaisir. Mais tu ne vois que la bosse qui déforme son boxer, à peine. Tu te laisses retomber totalement contre le canapé quand il revient vers toi. Tu lèves déjà le bassin pour l’aider à se débarrasser de ton bas de sous-vêtement. Et tu l’attires brutalement contre toi. Ton bras se fraye un chemin entre vos deux corps jusqu’à arriver au niveau de son pantalon ouvert. Tu saisis fermement sa longueur, à travers le tissu de son sous-vêtement et tu resserres tes doigts autour sans douceur. Tu enroules jambes autour de sa taille et exerces une pression contre le creux de ses reine pour le faire tomber sur toi, qu’il te recouvre de tout son poids. Tu remues énergiquement ton bassin nu contre le sien encore emprisonné dans plusieurs couches de tissu. Tes mains se perdent dans son dos, tes paumes caressent sa peau avant que tu enfoncent tes ongles. Dans ses omoplates pour commencer puis tu griffes toute la longueur de son dos jusqu’au creux de ses reins. Tu donnes un coup de langue rapide contre ses lèvres avant de souffler tout contre. « Baise-moi maintenant. » Et pour appuyer ta requête tu donnes un coup de reins sec contre le sien.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
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Nicholas Crain
Dim 24 Mai - 18:47


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Vous ne semblez pas désireux de faire durer trop longtemps l'attente avant que vos corps ne puissent pleinement se rencontrer. Vous êtes tous les deux vibrants du même puissant désir. De la même envie de se dévorer l'un l'autre, sans grande douceur.  Et ce n'est pas fait pour te déplaire. Elle n'a toujours pas l'air décidée à reculer. Et c'est tout juste bon à t'exciter toujours plus de ton côté. T'es déjà tendu à l'extrême dans ta prison de tissu. De son côté, elle exprime son désir avec ses profondes et courtes inspirations. T'es bien conscient de la tension qui l'habite. Conscient du fait qu'elle soit déjà sans dessus dessous. Et ça ne te donne que plus envie encore de la plaquer contre le premier meuble venu pour la prendre avec rage. D'abord, vous vous cherchez. Deux prédateurs qui se tournent autour. A voir lequel des deux refermera le premier ses crocs sur l'autre. Ton regard est déjà en train de la dévorer. Avant que tes dents ne prennent le relais en allant se planter fort dans l'un de ses seins. Elle n'hésite pas à se faire entendre. Dans un long gémissement qui en dit beaucoup sur ce que ça lui fait. Et elle ne se frotte que plus franchement encore à la bosse qui prend plus encore place juste sous ses lèvres intimes. Tu peux sentir à quel point elle est brûlante la jolie brune au corps fin. Sensuelle au possible dans chacun de ses gestes, dans chacun de ses mouvements.  Elle n'est déjà plus que gémissements alors que tu mords ou plantes tes doigts dans sa chair. Et ses doigts à elle attrapent tes mèches brunes pour tirer dessus, sans aucune douceur.

Elle s'exprime encore de cette façon quand, une fois debout, tu en profites pour lui claquer une fesse. Elle a un postérieur des plus parfaits, que tu vas forcément prendre un malin plaisir à malmener de toutes les façons possibles. Que tu fouetterais bien de ta ceinture en cuir d'ailleurs. Ce que ton regard lui dit. Ouais, hein ? Que tu souffles d'une voix chaude, en croisant son regard. Elle n'a peur de rien. Pas même de l'éventualité de se faire ainsi fouetter. Et si tu n'étais pas aussi excité par toutes ces folles éventualités qui se présentent à toi avec elle, tu irais certainement au bout de ce geste. Mais ton regard dérive déjà en direction de son corps de liane. Et le besoin de la posséder vite et fort, fait pulser un peu plus vite encore le sang, dans le sud de ton corps. Tu t'approches bien vite d'elle. Et elle se charge de te ramener plus vite encore contre son corps. Aussitôt son sous vêtement disparu, tu échoues contre elle. Sur elle, contre elle, quand elle te fait basculer plus encore. Qu'elle veille à t'emprisonner de son corps. Tu grondes tout bas quand elle glisse une main dans ton pantalon pour t'empoigner avec fermeté. Elle non plus ne fait pas dans la douceur. Et ça t'arrange pas mal. De quoi t'exciter plus fort encore. Et elle, elle s'excite justement comme une jolie diablesse quand elle remue franchement des hanches pour se frotter à toi. Aucun risque que la tension en toi ne redescende à ce rythme là. Sourire presque soulagé sur tes lèvres gourmandes quand elle plante ses ongles dans ta peau. Elle prend le temps de te griffer sur toute la longueur de ton dos. Ton regard s'enflamme tout à fait.

Et à l'ordre qui claque, tu ne te fais pas prier pour glisser une main entre vous pour baisser davantage ton boxer et ton pantalon. Et pour libérer ton érection. Tu ne cherches pas à t'assurer qu'elle est bien prête pour te recevoir. T'es certain que c'est le cas. Et si ce n'est pas tout à fait le cas ... Ce n'est pas si important non plus. Parce que déjà tu te colles à son bassin et tu t'enfonces en elle d'un coup de reins brusque. Violence non contenue. Tu gardes une main en appuie sur le canapé. L'autre vient déjà s'enrouler autour de sa gorge. Déjà tu cognes durement contre son bas ventre du tien.  Tu vas et vient sans douceur aucune. Tu la baises durement. La prends. La possèdes avec hargne. Animal déchaîné. Orage qui s'abat furieusement sur son corps fragile. C'est coup de reins après coup de reins que tu marques le coeur même de sa féminité, de ta virilité tendue. Et presque sans y penser que tu permets à tes doigts de se crisper plus fort autour de sa gorge. Ton regard planté dans le sien. Animal, provocateur, gourmand, curieux. Curieux de lire l'expression qui s'affichera sur ses traits quand elle manquera de souffle. Panique, excitation malsaine, rage. Tu serres plus fort et entre ses cuisses, tu cognes plus fort aussi. Tu ne libéreras sa gorge que lorsqu'elle te repoussera ou qu'elle manquera de souffle depuis trop longtemps pour que ça ne représente pas un risque. Pour l'heure, tu n'aimes que trop la sensation de puissance que ça t'offre. Et tu sais comme l'extase est grande quand une partie de l'énergie quitte le corps.
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