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(+18) one more drink [ft. billy]
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Mar 26 Mai - 22:50


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Il t’a provoquée. Il te cherche et tu le vois. Il cherche à te rendre folle de désir, d’envie pour lui. Il s’amuse à te voir vibrante de désir pour lui. D’un côté, ça pourrait te déranger, parce que là c’est lui qui te manipule un peu en s’amusant à aller et venir en toi avec force, mais sans entamer de vrais va et vient qui pourraient vous amener totalement au septième ciel. Donc, vu ton caractère, tu pourrais mal le prendre, tu pourrais te braquer et tout stopper. Mais tu aimes trop ça en vrai. Tu aimes trop qu’il se joue de toi comme il le fait. Tu aimes qu’il cherche à te rendre encore plus folle. Tu aimes sombrer de plus en plus dans la folie en sa compagnie. Il avait raison en fait, vous allez vous entrainer l’un l’autre si ça continue. Mais pour ça il faudrait que vous remettiez ça, et ça ne se fera pas. Même si clairement tu n’as jamais autant pris ton pied avec aucun autre homme. Tu ne reviendras pas, pas même juste pour un coup comme ça. Pas même juste pour assouvir un désir bestial. Tant pis, il te faudra passer à autre chose. Mais après tout, Billy n’est sûrement pas le seul homme à Chicago qui saura te prendre avec autant de puissance et te propulser aussi loin grâce à ses coups de reins. Il te suffira de sillonner quelques bars et tu devrais devoir trouver un autre Billy, un mec torturé qui ne prend son pied qu’en maltraitant ses maitresses, parce que c’est ce que tu veux clairement. Tu veux qu’on te maltraite. Parce que dans la vie de tous les jours tu refuses que qui que ce soit te regarde de travers, il n’y a qu’au lit que tu acceptes qu’on te malmène comme ça et tu ne sais pas pourquoi tu aimes autant ça. Tu l’as découvert ce soir, sous les mains de Billy.

Alors oui tu réagis vivement à chacun de ses coups de reins, profonds et puissants. C’est divin. Mais ça te frustre aussi, parce que tu voudrais qu’il enchaine, qu’il y aille franchement sans s’arrêter. Au lieu de ça il continue de jouer avec toi et tu perds vite patience. Tu inverses vite les rôles pour cette fois mener la danse. Il n’y a pas de raison que ça soit toujours lui qui prenne le dessus, même si tu adores quand il le fait. Tu as envie de voir aussi ce que ça fait quand toi tu domines. Déjà est-ce qu’il va se laisser faire, est-ce qu’il va aimer ça ? A son sourire, tu en déduis qu’il n’est pas contre cette idée. Ou alors il te provoque en te narguant, en se moquant de toi. Et d’ailleurs il te provoque. C’est sûrement pour te faire réagir et ça marche. Tu réagis au quart de tour, tu veux lui faire réaliser que oui, tu sais t’y prendre et qu’il va jouir comme jamais. Tu grognes doucement, et tu lui adresses un sourire confiant, un sourire brûlant, ton sourire de provocatrice, celui que tous les hommes adorent. « OK… Tu me provoques… Alors accroche-toi… » Que tu souffles sans te défaire de ton petit sourire. Parce que oui t’es confiante. Oui, tu sais que ça va être intense, ça va être violent et brutal. Oui tu vas te démener comme une diablesse pour qu’il prenne un pied d’enfer. Tu veux qu’à la fin de cette partie de baise il se dise que tu as été son meilleur coup. Qu’il en vienne même à avoir envie de te reprendre une autre fois. Mais il sera frustré parce que tu auras disparu de sa vie. Ca t’excite de savoir que tu pourrais avoir ce pouvoir sur lui.

Tu t’empales sur lui et tu soupires en le sentant te remplir. Parce que non seulement Billy est un super amant mais en plus il est bien gâté par la nature. Dommage que tu doives lui dire adieu dès demain matin (enfin sexuellement parlant), parce que tu aurais aimé le garder comme plan cul régulier. Alors tu vas en profiter pleinement cette fois-ci. Tu commences lentement, à remuer ton bassin, à aller et venir sur lui. Et quand tu t’agrippes à son torse, que tu enfonces tes ongles dans sa peau tu accélères un peu. Tu veux le faire languir comme il a osé te le faire, douce punition. Un sourire satisfait déforme tes lèvres quand tu l’entends presque te supplier d’aller plus fort. Tu ne vas pas te faire prier. Cette fois tu le griffes violemment, tu le griffes jusqu’à faire apparaitre tes petites traces rouges sur son torse. Et tout en lui labourant la peau, tu donnes un brutal coup de reins. Ca te fait gémir aussi. Tu poses tes mains au niveau de ses épaules, dans lesquels tu enfonces tes ongles alors que tu te déchaines sur lui, que tu bouges le bassin tellement vite et fort que tu commences à ressentir une brûlure dans le creux de tes reins, mais tu l’ignores. Tu ne penses qu’au plaisir que ça te procure. Et qu’au plaisir que ça lui procure. Parce que tu veux qu’il jouisse tellement fort qu’il se souviendra de toi toute sa misérable vie. Tu rejettes la tête en arrière alors que tu bouges toujours plus fort et plus vite tes hanches. Ton bassin se décolle du sien pour mieux se rabattre dessus dans un bruit de claquement sec. Tu te donnes tellement à fond que tu sens des gouttes de sueur perler dans ton dos et glisser le long de sa colonne vertébrale. Tu jures, les dents serrées alors que tu l’enfonces toujours plus en toi, toujours plus vite, toujours plus fort. Et tes ongles qui restent plantés dans ses épaules, à tel point que tu commences à ressentir une douleur dans tes doigts.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
Nicholas Crain
Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
➤ EMPLOI / ETUDES : Photographe professionnel. Ancien acteur. Très connu dans le milieu de la mode, de l'art et de la photographie.
➤ HISTOIRES : 600
Nicholas Crain
Mer 27 Mai - 0:13


one more drink.
ft @Lily Mayfair


T'es bien certain que ça n'a rien d'une bonne idée ce que vous êtes en train de faire. Vous vous provoquez encore et toujours plus. Vous vous attrapez l'un l'autre pour vous entraîner plus profondément dans la folie la plus pure et la plus intense qui soit. Et ça, tu le sais, vous ne devriez vraiment pas le faire. Surtout pour toi qui es tellement sensible et empathique. Toi qui ne sais pas faire autrement que d'ajouter des morceaux de ces êtres écorchés que tu rencontres, à ta propre personnalité. La logique voudrait que tu fasses plutôt tout ton possible pour te tenir éloigné des personnes comme elle. Mais t'es là, contre elle. Sur le point de permettre une nouvelle étreinte. Sur le point de te perdre une fois de plus tout contre son corps. Parce qu'il est beaucoup trop tentant, certes. Mais aussi et surtout parce que vous vous êtes découvert une vraie entente à ce niveau là. Dommage que, pour tout un tas de raisons, il vous faille vous contenter de ces quelques heures en compagnie l'un de l'autre. Tu dois d'ors et déjà te faire à l'idée qu'il ne s'agira que d'une nuit et que vous ne vous reverrez probablement jamais plus par la suite. Tu n'as pas tellement envie de foutre en l'air pour de bon, ta santé mentale. Et en même temps, tu songes que tu ne peux peut-être rien faire contre ça non plus. Pas autant que tu le souhaiterais tout du moins. Parce que ça finira par arriver. A un moment ou un autre tu seras très officiellement irrécupérable. Tu n'es pas certain de l'être encore à vrai dire. Trop de choses entrent en ligne de compte. Tu penses être plutôt royalement foutu. Et pour de bon. Tu penses plutôt que Lily ne te permet que de confirmer tout ce que tu savais déjà de toi.  Personne ne pourra jamais te sauver, c'est officiel.

Parce que ce soir tu sombres un peu plus. Aidé en ce sens par cette jolie nymphe qui ne se fait pas prier pour prendre place sur toi. Elle se fait soudainement bien dominatrice. Et ça ne te déplaît pas. Tu n'as rien contre l'idée d'une étreinte où deux prédateurs se font la guerre et l'amour en même temps. Tu n'as rien contre les ongles qui viennent se planter dans ta chair sans la moindre douceur. Et dans le fond, tu ne doutes pas qu'elle sera largement à la hauteur de cette position qu'elle vient de prendre. Amazone sauvage qui te surplombe et t'offre des coups d'oeil tous plus provocateurs les uns que les autres. Tu te contentes d'un petit sourire tout aussi provocateur, sans la quitter des yeux. Tu n'attends que ça. Qu'elle te prenne vraiment de court en t'offrant une baise d'anthologie. Qu'elle se donne suffisamment à fond pour que tu sois tout bonnement incapable de l'oublier après cette étreinte, après cette nuit. T'es certain qu'elle sera à la hauteur. Dans le fond, tu ne la provoques que pour lui donner plus encore l'envie de te prouver tout ça. De te prouver qu'elle va être parfaite et te retourner tout à fait le cerveau. Tu sais qu'elle le fera. Et elle ne tarde d'ailleurs pas à remuer, pour votre plus grand plaisir à tous les deux. Elle s'empale. Vite et fort. De quoi t'arracher un grognement. Très bref. A peine audible. Qui se contente tout simplement de t'échapper. D'abord, elle remue lentement. Elle se contente de te faire glisser de toute ta longueur en elle. Assez lentement pour que tu puisses apprécier les contractions de son corps qui palpite tout autour du tien. Assez pour que tu puisses également te concentrer sur la vision de son corps qui se balance ainsi sur le tien.

Mais quand elle se penche pour planter ses ongles dans ton torse, elle entreprend de remuer plus vivement. Ce dont tu ne te plains absolument pas. Tout au contraire. Nouveau grognement quand elle y va réellement plus fort. Mâchoires qui se crispent un peu et mains qui grimpent sur ses cuisses pour aller attraper ses hanches fines. Tes doigts empoignent beaucoup trop fort, c'est évident. Se crispent et se plantent dans sa chair. Là aussi, tu risques de laisser ta trace. Mais l'idée est plus excitante qu'autre chose alors tu ne libères pas son corps. Au contraire. Tu empoignes encore plus fort alors qu'elle même commence à rebondir sur toi avec frénésie. Elle se baise littéralement sur toi. Et pour le coup, elle s'en donne vraiment à coeur joie. Il suffit qu'elle commence à se déchaîner sur toi, pour que tu te remues et lui offres le juste retour des choses. Tes mains toujours sur ses hanches à suivre ses mouvements, tu prends appuie sur le lit pour joindre tes mouvements de bassin aux siens. Le redressant quand elle descend. Et le descendant quand elle remonte. Ses fesses claquent furieusement contre ton corps. Provoquant un son des plus érotiques. Mais surtout, tu imagines comme la sensation de ta longueur qui plonge aussi brutalement en elle, peut être aussi agréable que désagréable. Une idée fort réjouissante. Cette douleur fait partie intégrante de ces étreintes que vous vous offrez le temps de quelques heures. Alors tu n'y vas que plus fort encore. En réponse à ses mouvements. Corps déchaînés. Corps animés d'une force qui arrive de tu ne sais où. Mais elle est bien là et elle te fait vibrer tout entier. Toi qui te déchaînes de plus en plus en elle. Le regard tantôt sur son visage déformé par le plaisir et par la folie, tantôt sur sa poitrine qui rebondie joliment au rythme soutenu que vous maintenez tant bien que mal. Jusqu'à l'extase. Jusqu'à l'explosion des sens, pour être plus exacte. Parce que c'est une véritable déflagration que t'entends exploser dans un coin de ton crâne. Tout en semblant partir du creux de tes reins. D'où part ton désir. Tu ne fais aucun bruit dans la jouissance. Elle est trop brutale, trop violente, trop soudaine. Et elle te retourne beaucoup trop pour ça. C'est toi qui attrapes le drap d'une main cette fois. Qui te tend de la tête aux pieds. Qui te crispes. Toutes veines apparentes. Tu te montres même incapable de respirer le temps que ça dure. Et quand enfin l'apaisement veut bien revenir, tu laisses échapper un long souffle tremblant. Vidant enfin tes poumons en feu. Orgasme aussi brutal et soudain que l'aura été l'ensemble de votre étreinte.
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Mer 27 Mai - 1:47


one more drink

@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu sais que cette nouvelle baise risque d’être aussi intense, voire plus que la précédente. Après sa phase de délire et toi après avoir pris le temps de l’en sortir, vous avez tous les deux besoin de sensations fortes. Et tu l’as senti déjà quand il t’a embrassée comme un dératé, alors que vous n’avez échangé aucun baiser la fois d’avant. Geste que tu juges trop intime mais qui l’a ne te dérange absolument pas au contraire. Parce que t’es même revenue capturer ses lèvres. Mais l’heure n’est plus à la tendresse ni aux caresses. Tu as épuisé ton quota de douceur pour les dix années à venir, si ce n’est pour le restant de ta vie entière même… Tu ne sais pas ce qui t’a pris, mais t’as pas vraiment réfléchi en fait. Et te voilà à présent, prête à le chevaucher. Et boostée par ses petites provocations et par ce sourire qui te donne des frissons d’excitation, tu vas tout donner pour lui faire perdre raison. Il pensait être fou ? Il va voir ce qu’est la vraie folie avec toi. Quand tu te mets sur lui, que tu le mets en toi, tu pousses un long soupir parce que ça t’avait presque manqué qu’il te remplisse de toute sa longueur. Tu le sens même qu’il y est à l’étroit, parce qu’il n’a pas à avoir honte de ce qu’il cache dans son pantalon, oh non pas du tout même. Et toi ça t’arrange bien parce que tu peux le sentir contre tes parois internes, tu peux le sentir serré, devant forcer un peu pour vraiment se glisser entre tes cuisses. Et quand il est totalement en toi tu peux commencer à te mouvoir. Tu prends un peu ton temps parce que tu sais que ce n’est pas son truc à lui. Il t’a bien montré que comme toi, il n’est pas très fan des longs préliminaires interminables. Alors tu te joues un peu de lui alors que tu n’as aucunement l’intention d’adopter un rythme si lent.

Les ongles enfoncés dans sa peau claire, cette peau que tu vas marquer de bien des façons à bien des endroits différents au cours de cette nuit endiablée. Tu trouves un rythme plus rapide mais tu y  vas crescendo, le but étant de ne pas lui donner tout de suite ce qu’il souhaite. Et quand tes yeux croisent ses billes claires tu sais qu’il en a assez, qu’il en veut plus et que tu arrives à le rendre fou. Il n’y a rien de tel pour te faire te sentir bien, voir l’effet que tu produis sur les autres, surtout les hommes. Tu commences à remuer le bassin de plus en plus vite, de plus en plus brutalement. Vos soupirs, tes gémissements et le claquement produit par vos bassins qui se cognent sont les seuls bruits qui inondent la pièce. Tes doigts deviennent douloureux à force de les enfoncer dans sa peau, la peau en haut de tes cuisses jusqu’au bas de tes fesses commence à te chauffer sérieusement. Tu rejettes la tête en arrière pour gémir, la mâchoire crispée, tu te concentres pleinement sur ce que tu fais. Tous les muscles de ton corps sont au travail. Tu pousses un petit gémissement mêlant plaisir et douleur quand ses doigts s’enfoncent dans la chair de tes cuisses. Enfin il te touche, enfin il te malmène un peu. Il en a assez d’être inactif. Et ça fait naitre un sourire sur ton visage parce que tu n’attendais que ça. Quand ses mains remontent le long de tes hanches tu le sens remuer sous toi, en toi. Et ça ne fait que décupler le plaisir qui jaillit entre tes cuisses. Tu t’agrippes à ses avant-bras. Tu enfonces tes ongles dedans si fort que tu peux sentir le liquide chaud qui s’échappe de sa peau. Tu laisses des traces, des petits croissants de lunes sur la peau parfaite de ses bras dont les veines ressortent, ce qui ne fait que t’exciter davantage.

Vous vous déchainez l’un contre l’autre, l’un dans l’autre. A chaque fois que ton bassin se décolle du sien pour revenir s’empaler violemment sur lui, tu grognes, tu soupires ou tu gémis. Tu te débats presque, tu remues violemment, brutalement. Tu te mords la lèvre jusqu’au sang tellement c’est bon. Et quand tu sens le goût métallique dans ta bouche, tu passes ta langue sur ta lèvre meurtrie, tout en soutenant son regard. Très vite tu te retrouves emportée dans une frénésie que tu n’as encore jamais connue. Tout ton corps te fait mal tellement tu fais travailler tous tes muscles. Et soudain, tu sens la décharge, elle se déverse dans tout ton corps. Elle anime ton corps encore quelques secondes, le temps de deux va et vient. Tu refermes tes doigts autour des avant-bras de Billy en criant. Là oui, tu cries. Si lui, il a l’orgasme discret, ce n’est pas ton cas. Tu en fermes les yeux tellement c’est violent. Et quand tu sens que ton corps se détend, tu relâches ses bras. Tu te laisses tomber sur le côté en prenant soin avant de le retirer de toi. Allongée sur le dos, à côté de lui, tu as la tête qui tourne. Tu es incapable de te lever. Sinon tu l’aurais fait, tu aurais récupéré ta culotte et ton drap et tu serais retournée dans ta chambre. Mais t’as peur de t’écrouler si tu te lèves. Ta poitrine se soulève et s’abaisse rapidement. Ton cœur s’emballe à un rythme effréné. Tu as l’impression que tu vas perdre connaissance tellement c’est puissant. T’as jamais connu ça putain. Pas une seule fois. Tu ne comprends pas pourquoi tu connais ça avec lui. Avec Billy. Qu’est-ce qu’il a de plus que les autres ? Sûrement ce brin de folie. Tu ne sais pas. Essoufflée, éreintée, tu restes allongée, la tête tournée vers le plafond. Quand tu parles, tes lèvres remuent à peine, tu as l’impression d’être en plein trip là. « Tu vois, je te l’avais dit… Une fois avec moi et t’en redemanderais… » que tu souffles d’une voix rauque, saccadée par le manque de souffle et par le plaisir intense que tu viens de connaitre. Tu te vantes, petit sourire aux lèvres. Mais toi aussi t’en as demandé du rab. C’est très rare que ce genre de choses t’arrive. Tu ne sais pas ce qu’il t’a fait Billy mais t’as adoré ça. Et t’es déjà en train de te dire que tu voudrais remettre ça. Mais tu sais que c’est impossible. « Faut que j’y aille mais j’arrive pas à me lever… » Que tu rajoutes en souriant.

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Nicholas Crain
Nicholas Crain
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Fonda ▬ Little rich boy.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Dans une maison de type manoir. Imposante et lumineuse.
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Nicholas Crain
Mer 27 Mai - 12:55


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Elle a largement eut le temps de comprendre que tu n'étais pas du genre à faire durer les préliminaires. Que tu préfères largement en arriver très vite au coeur même de l'étreinte. Parce que pour toi il n'y a que ça qui compte. D'autant plus que tu prends énormément de plaisir à être en elle. Tu préfères ne pas trop penser au fait que c'est peut-être parce qu'elle est très jeune que c'est aussi bon. Parce que tu ne pensais pas un jour être attiré par une personne aussi jeune qu'elle. Aussi jeune, par rapport à toi. C'est même une gamine te semble-t-il. Mais tu oublies bien ce genre de détail quand, de nouveau, elle t'enfonce en elle. Tu peines à ne pas t'emballer et à ne pas la retourner une fois de plus pour la prendre vite et fort. Parce qu'elle prend un malin plaisir à prendre son temps. Ce n'est peut-être que pour te permettre de trouver pleinement ta place dans sa moiteur. Ou c'est plutôt pour te torturer de nouveau. C'est même très probablement ça. Elle est soucieuse de te faire sombrer toujours plus profondément dans la folie. Et toi, t'es bien décidé à te laisser faire. Parce que dans le fond, tu ne peux tout à fait t'en plaindre. Tu dois bien admettre que ça t'excite même au possible tout ça. Parce que c'est clairement ce dont tu as envie. Pas vraiment "besoin" parce que le but n'est sans doute pas de te faire sombrer toujours plus. Toujours trop.  Mais à quoi bon lutter quand tout ça vient avec une incroyable dose de plaisir ? Parce que t'es clairement en train de prendre ton pied et que tu ne peux décemment pas t'en cacher. Aucun doute qu'elle en est consciente. Et que ça ne lui donne que plus encore l'envie de te dominer comme elle est merveilleusement en train de le faire.

Parce que plus les minutes passent et plus elle rend les choses intenses et violentes la gamine. Et que t'es tout sauf capable de t'en plaindre. Parce que plus elle y va fort, plus la douleur se mélange au plaisir, pour ton plus grand bonheur. Et il n'y a vraiment que ça qui semble fonctionner sur toi. Tu ne veux surtout pas qu'elle s'arrête en si bon chemin. Toi qui vibres de plus en plus fort et qui laisses échapper quelques soupirs d'aise et quelques plaintes de pur plaisir. Tu n'es pas du genre à être très expressif en pleine étreinte. D'ailleurs, les sons que tu laisses échapper sont à peine audibles. Mais elle te fait un tel effet la jolie brune, que tu ne peux tout simplement pas faire autrement. T'en arriverais presque à la supplier de continuer toujours plus fort, plus violemment. Quand bien même elle est déjà en train d'atteindre son maximum, ça te semble évident. Alors plutôt que de demander l'impossible, tu finis par joindre tes mouvements aux siens. Quand tu empoignes férocement ses hanches pour l'aider dans ses rebondissements frénétiques et que tu ajoutes tes propres coups de reins à la danse. Violents. Rapides. Démesurément brutaux. Tu cognes durement contre son corps. Contre ses fesses que tu imagines être en train de prendre une nouvelle teinte rouge foncé. Elle t'excite beaucoup trop la brune, pour que tu puisses te garder sous contrôle. Et tu vois bien le pied qu'elle prend en retour. Tu ne doutes pas qu'elle adore cette bestialité qui s'est bien installée entre vous. Et ça t'arrange plutôt bien. Tu n'as, ainsi, pas à te poser trop de questions. Tu peux y aller à fond. Plus encore même, qu'elle. Tu peux continuer de prendre un malin plaisir à la faire frénétiquement rebondir sur toi.

Et à l'entendre hurler à s'en briser les cordes vocales, dans l'orgasme. C'est tout bonnement incroyable cette façon qu'elle a de s'exprimer. Tu ne vois pas bien comment tu pourrais ne pas aimer la chose. Elle hurle aussi fort que toi tu te tais. Elle hurle assez pour deux. Elle exprime en surplus. Et toi tu ne te tends que plus encore. Veines apparentes. Muscles bandés. Souffle coupé. Et ses ongles qui ne se plantent que plus fort encore dans ta peau, ne t'aident pas à te calmer. Au contraire, il te semble que l'orgasme est plus puissant que tous les autres que tu as pu avoir au cours de ta vie. Et qu'il dure une poignée de micro secondes de plus. Quand enfin tu parviens à respirer de nouveau, c'est d'abord pour vider tes poumons de tout leur air. T'es sonné mais tu le vis plutôt très bien. Alors qu'elle même bascule pour s'allonger sur le lit, non loin de toi. Le regard rivé sur le plafond, tu te passes une main encore tremblante, dans les cheveux. Je dois reconnaître que je ne m'attendais pas à ... ça ... A la puissance du plaisir. Et la violence de vos étreintes. Tu n'as jamais vu une femme se donner aussi fort et avec aussi peu de limites. Et surtout, tu ignorais qu'une fille aussi jeune pouvait se donner de la sorte. Sans crainte. Sans se poser aucune question. Sans avoir l'air dérangée le moins du monde par l'image qu'elle peut bien donner. Mais comment pourrais-tu te plaindre de tout ça ? A sa nouvelle remarque, tu fermes les yeux. Tu hausserais bien les épaules, mais tu n'as pas même la force de faire un geste aussi basique. T'as qu'à rester là. Dans les faits, tu t'en fous pas mal. Ce n'est pas comme s'il y avait le moindre risque qu'elle soit le genre de nana collante qui tente sa chance en venant s'installer au plus près de toi. C'est évident que vous êtes d'accord sur l'idée de ne pas faire quoi que ce soit d'autre que baiser comme des bêtes enragées et affamées, ensemble.  C'est évident et ça t'arrange bien. Quant à ta crainte qu'elle te surprenne en plein dans tes cauchemars ... De toute évidence c'est déjà fait. Et ça n'a pas suffit à la faire fuir ...
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Mer 27 Mai - 13:34


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@billy reynolds

◊ ◊ ◊

Tu mets ton petit cerveau déjanté en pause le temps de cette étreinte sauvage. Toi t’es l’Amazone, tu le chevauches brutalement, avec hargne presque. Même quand tes muscles te hurlent de t’arrêter parce qu’ils n’en peuvent plus, tu continues. Tu vas au-delà des limites que t’imposent ton propre corps, tu ne l’écoutes pas. Tu n’écoutes pas la douleur qui te lancine dans tes membres, dans ton dos, partout. C’est même cette douleur qui te pousse à y aller encore plus fort. Parce que c’est bon. Tu aimes te sentir comme ça. C’est aussi bon que ça fait mal. Comme lorsqu’il va et vient en toi Billy, ses coups de reins n’ont rien de délicats, c’est même tout le contraire, et tu adores ça. Vos corps qui se chauffent, qui s’entrechoquent. Vos corps animés par un désir violent. C’est différent de votre première étreinte –si on peut appeler ça comme ça- c’est différent mais c’est aussi bon, voire meilleur. Parce que tu peux lire le désir et le plaisir dans son regard. Ce regard dans lequel tu adores te perdre. Il a quelque chose d’hypnotique, océan bleu dans lequel tu pourrais très facilement te noyer. Mais malgré toi tu ne peux pas laisser tes yeux plantés dans les siens, parce que le bonheur est trop intense et que l’orgasme qui ne va pas tarder à arriver est beaucoup trop violent pour que tu puisses garder les yeux ouverts. Il est probable que tu aies réveillé les voisins avec ton cri de plaisir, et déjà ta gorge qui était pas mal esquintée avec l’étranglement que tu as « subi » un peu plus tôt, tu sens presque ta voix se briser. Même tu ne pouvais pas le contenir celui-là, t’es du genre expressive mais jamais à ce point-là, jamais aussi fort. Il faut dire que personne ne t’avait jamais donné une occasion d’avoir envie de t’exprimer ainsi.

Le corps endolori et encore tremblant de plaisir et de fatigue, les muscles en souffrance, tendus, tu te laisses tomber sur le lit, à côté de Billy. Tu poses tes mains sur ton ventre qui se soulève et s’abaisse rapidement. Tu peux sentir les pulsations de ton cœur dans tout ton corps. Après quelques minutes de silence, tu finis par retrouver la force de parler, même si tu es toujours à bout de souffle et que ta voix est toujours rauque. Tu le taquines un peu en lui rappelant ce que tu lui as dit un peu plus tôt. Une fois avec toi, ça ne suffit jamais. Mais tu t’abstiens bien de lui dire, qu’une fois avec lui ça ne te suffit pas non plus. Tu tournes la tête pour le regarder et tu ris doucement. Tu tousses parce que le fait de rire t’as un peu écorché la gorge. « C’est ça quand on baise une folle… » que tu lances presque sur un ton joyeux. Mais tu ne caches pas que tu es très fière d’avoir pu le mettre dans cet état, lui qui avant ce soir, semblait froid et aussi raide que la justice. Tu ne pensais pas pouvoir le faire plier de cette façon, avec cette si grande intensité. Et tu ne pensais pas surtout que tu allais autant prendre ton pied. Parce que tu t’étais fait la remarque, s’il fallait baiser avec lui, t’étais prête à le faire. Parce que tu es prête à tout pour aller jusqu’au bout de ton plan et puis, il est loin de te déplaire physiquement. Si au début, tu lui trouvais juste un peu de charme, là, plus tu le regardes et plus tout son corps, son visage, éveille le désir chez toi. Et tu te dépêches d’ailleurs de détourner la tête pour ne pas le fixer trop longtemps, même si l’imagine de son corps nu transpirant, son corps marqué par tes ongles et tes dents, ne te laisse pas du tout indifférente…

Tu sais qu’il est temps que tu te lèves et que tu retrouves ton lit ou même que tu repartes chez toi. Tu ne sais pas quelle heure il est mais le jour ne s’est pas encore levé. Tu sais que tu ne dois pas rester ici dans son lit, parce que ce n’est pas votre truc à tous les deux. T’es pas une adepte des câlins post-coïts, toi t’es du genre à dire au revoir et à te casser. T’as assouvi ton besoin le plus animal, bestial, et c’est fini. Mais tu n’arrives pas à rassembler assez de force pour te lever. Et Billy t’invite presque à rester dormir là dans son lit, tu fronces les sourcils, étonnée par cette invitation. Mais tu te doutes qu’il a compris qu’il n’avait rien à craindre avec toi. Tu vas pas venir te blottir dans ses bras à la recherche de quelques gestes tendres. Pas du tout. Et ça t’arrange bien que vous soyez sur la même longueur d’ondes là-dessus aussi tous les deux. Tu soupires et tu finis par t’allonger sur le flanc pour le regarder, un coude appuyé sur le matelas, la main retenant ta tête. « OK, tant que tu ne cherches pas à me coller et à me câliner ça me va. » Tu balances ça avec une grimace comme si le fait que quelqu’un te prenne dans ses bras te dégoûte. Et c’est un peu le cas, tu ne supportes pas ça en fait. Parce que ça te rappelle ton enfance, ça te rappelle les nuits dans ta chambre, quand il venait, qu’il prenait ce pour quoi il était venu et qu’après il te serrait fort dans ses bras en te demandant pardon, parce qu’il avait bien conscience que c’était mal ce connard. Tu ne te rends pas compte mais le simple fait d’y repenser, tu te tends et tu serres fort le poing. Voilà que penser à ce fils de put t’a mise de mauvaise humeur. Alors tu te tournes pour être de dos à Billy et tu t’éloignes le plus possible de lui, de sorte à être allongée le plus près possible du bord du lit. Tu n’arrives pas à te détendre. Pourquoi il a fallu que tu y penses alors que tu venais de passer un putain de bon moment ? Idiote. « Bonne nuit. » que tu grognes presque. Même si t’as de sérieux doutes que tu puisses dormir correctement. Surtout que tu as peur de t’engouffrer dans tes cauchemars, tu ne veux pas que lui, il assiste à ça, tu ne veux pas qu’il te voie aussi faible. Malgré tout, tes yeux se ferment, la fatigue est plus forte que ta volonté. Tu sombres de plus en plus.

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Mer 27 Mai - 15:25


one more drink.
ft @Lily Mayfair


Il te semble que son hurlement de plaisir se répercute jusque dans ton propre plaisir, dans ton être tout entier. Toi qui es pleinement, complètement, démesurément concentré sur cette étreinte violente que vous venez de partager et tout le pied qu'elle t'a permit de prendre. Et à cet instant, tu te fous royalement de tes voisins et du risque réel qu'ils aient tout entendu, ou au moins ce cri perçant qu'elle vient de laisser échapper. Tu t'en fous royalement parce qu'il n'y a que ton plaisir insensé qui compte dans tout ça. Elle avait totalement raison quant à la possible addiction susceptible d'apparaître très vite. Le fait est que tu ne t'imaginerais que trop bien remettre ça très rapidement.  Mais tu le sais que ça n'arrivera jamais plus. Tu le sais qu'il te faut déjà faire une croix là dessus. Et il te faudra bien faire avec de toute façon. Il te faudra passer à autre chose aussitôt qu'elle aura passé le pas de la porte de ton appartement. Et dans le fond, ce n'est pas si grave non plus. Après tout, il n'est question que de sexe. Soit, du sexe vraiment très bon et tout bonnement incroyable. Mais rien que du sexe quand même. Tu sais qu'il s'agit là d'une dernière étreinte pour la route. Que vous prenez incroyablement votre pied ensemble, pour la toute dernière fois. Tu le sais et tu ne le vis quand même pas si mal que ça. Comme le fait d'admettre qu'elle ne t'a pas mentit pas quand elle t'a fait remarquer que tu ne pourrais qu'en redemander. Dans le fond, tu regrettes presque un peu déjà, de savoir que ce n'était l'histoire que d'une seule nuit. Vous auriez tout à fait pu remettre la chose, sans faire dans le sentiment. Si vous n'étiez pas tous les deux du genre à ne surtout pas vouloir de relation suivit.  Même sans amour quelconque, c'est trop. D'autant plus pour toi qui es à peine en instance de divorce.

Tu te contentes d'un petit sourire à ses mots. Tu n'es pas du genre à rire aux éclats. Qu'elle s'estime heureuse de déjà parvenir à te faire sourire avec sincérité. Bien loin des sourires forcés et uniquement polis, que tu as l'habitude d'offrir à tes patients. Finalement le mot te correspond assez bien. Mea culpa. Si dans ton cabinet tu refuses d'entendre une personne parler d'elle même en ces termes, en dehors tu peux sans mal faire avec. Parce que tu t'en fous dans le fond. Et parce que Lily n'est plus la victime qu'elle a été quand elle n'était encore qu'une gamine. Elle te semble avoir pas mal inversé la tendance et avoir reprit le dessus. Tant mieux pour elle. Parce que tu ne pourras plus rien faire pour elle à l'avenir. Parce que vous ne vous reverrez plus. Et surtout pas parler pour de la douce folie dans laquelle elle se laisse aller bien volontiers.  Et dans le fond, tout ça c'est son affaire. Ce n'est plus du tout la tienne. Tu acceptes, sans te faire prier, de rester en dehors de tout ça dès aujourd'hui. Elle trouvera bien quelqu'un plus à même que toi de la gérer. Tu sais que tu n'aurais finalement été bon qu'à l'entraîner plus encore dans ta propre obscurité. Parce qu'elle a cette tendance à vouloir en savoir toujours plus sur toi. Toujours trop. Une curiosité que tu penses maintenant être un brin morbide. Elle a sans doute dû sentir que tu étais un être au moins aussi abîmé que peuvent l'être tous tes patients. Et c'est très certainement ce qui a autant capté son attention et qui a fait qu'elle s'est attardée sur la question et sur toi, pendant aussi longtemps. Maintenant trop à ton goût. Dans le fond, il est temps que cette nuit se termine.

Et qu'elle dorme dans le même lit que toi ne changera absolument rien à la donne. Vous n'êtes plus à ça près. Et surtout, aucun doute qu'aucun de vous deux n'ira chercher le moindre contact physique plus tendre auprès de l'autre. C'est la conclusion qui est faite dans ton esprit. Dans le sien semble pourtant subsister un doute. Tu lui offres un regard sombre et peu amène. Tu penses vraiment que j'ai envie de ça ? Et si elle te rappelle que tu ne t'es en tout cas pas fait prier pour accepter son étreinte réconfortante, un peu plus tôt, t'es susceptible de lui en coller une pour lui remettre les idées en place.  Il s'agissait d'un vrai moment d'égarement pour toi.  Tu n'as rien demandé à Lily. Absolument rien. C'est elle qui a eut l'air de prendre très à coeur, l'idée de te faire revenir dans la réalité aussi vite que possible. Dans le fond, tu aurais tout à fait pu te passer de la chose. Quoi qu'elle en pense. Quoi qu'elle en dise. Enfin elle s'éloigne sans un mot de plus pour te tourner le dos. Et tu fais de même, sans te faire prier. Tu te contentes d'un soupir et de retrouver le silence de la nuit. Un peu moins craintif à présent. Tu doutes d'être encore une fois réveillé par ces foutus démons qui te guettent encore et toujours plus. Pas cette nuit. Pas après la violence de ta dernière crise. Tu espères seulement qu'il en ira de même pour elle et que vous atteindrai les premières lueurs du jour, sans être réveillé par les démons de l'un ou de l'autre.  C'est qu'il est quand même temps de dormir un peu. De dormir vraiment.  De trouver un semblant de réconfort dans ce que veut bien vous offrir la nuit, pour une fois. Ce dont te privent trop souvent tes cauchemars. Tu prends quand même le risque de te laisser sombrer dans l'inconscience. Parce que tu en as besoin et qu'il est temps. Parce que lutter et résister de toutes tes forces, ne sert absolument à rien.  Alors tu sombres cette fois dans un sommeil profond. Et sans rêve surtout. Enfin.
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