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(+18) Russian landing {ft Irina}
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Joe Beckford
Joe Beckford
Joe Beckford
Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 12 Juil - 11:25
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355


Russian landing
ft @Irina Moskovskaïa


Tu n'y penses pas encore vraiment ... Mais ça ne fait quand même aucun doute que tu ne vas pas être aussi affirmé une fois que le soleil se sera levé. Certainement que tu ne parviendras pas tout à fait à la regarder droit dans les yeux. Et aucun doute non plus que tu ne feras pas franchement le malin et que tu ne sauras peut-être même pas la prendre avec la rage que tu viens tout juste d'y mettre une fois de plus. Tu n'as aucune idée de ce à quoi elle s'attend de ta part. Sans doute que comme toute personne non timide, elle croit que c'est bon, c'est du passé. Parce que tu as su aller jusque là avec elle, ça devrait signifier que tu vas continuer à ce rythme là. Bien sûr qu'elle ne sait pas. Bien sûr qu'elle n'est pas habituée aux gens comme toi. A vrai dire, personne n'arrive à croire que l'on puisse avoir un physique comme le tien, un style aussi affirmé que le tien et pourtant être à ce point timide. Mais c'est justement tout ça qui te rend aussi hésitant, gêné et qui te fout autant sur la réserve. Pour l'heure, il est bien vrai que l'obscurité te permet de te détendre un tant soit peu. Même s'il ne s'agit encore que d'apparences et que tu te contentes surtout de te laisser faire et de répondre plus que présent. Parce que tout ça est beaucoup trop agréable pour que tu puisses vraiment rester sans la moindre réaction et sans une envie véritable et démesurée.

Alors bien sûr que tu te laisses faire avec grand plaisir quand elle te retrouve pour des échanges aussi tendres que brûlants. Et que tu réponds pleinement présent quand, ensuite, elle s'étend sur le lit et t'invite à l'y rejoindre. Tu as envie de toute cette tendresse. Tu ne pensais même pas qu'elle même pourrait apprécier ce genre là. Pourtant, ça semble bien être le cas. Et tu ne te fais donc pas prier pour recevoir tout ça et offrir tout autant en retour. Autant de baisers très doux, que de caresses très tendres. C'est parfait. C'est incroyable. Et tu continues de répondre présent, bien volontiers. De même lorsqu'elle te fait basculer pour s'installer à califourchon sur toi. Aucun doute que si tu ne venais pas tout juste de jouir et que si ses gestes n'étaient pas aussi innocents et tendres, tu serais déjà en train de t'exciter de nouveau. Au lieu de ça, tu es en mesure de tout simplement profiter de toutes ces marques de pure tendresse. Jusqu'à son regard relativement tendre qu'elle pose sur toi pendant un petit moment. Et jusqu'à la caresse langoureuse de sa langue sur la tienne et autour de la tienne, quand elle vient t'embrasser de nouveau. Tu n'as jamais autant pris le temps d'embrasser une femme. Et pour le coup, tu ne peux qu'admettre que tu aimes franchement ça. Que ça te fait quelque chose, au plus profond de toi.

Tu ne peux que soupirer d'aise quand elle vient même glisser ses lèvres au creux de ton cou. Qu'elle prend tout le temps du monde pour faire naître quelques petites réactions sur ta peau qui se recouvre tout naturellement de chair de poule. Elle fait ça vraiment bien. Et toi, tu continues de te laisser faire. Avec simplement tes mains sur ses hanches pour maintenir autant de contact entre vous, que possible. Il te semble que jamais aucune femme n'a pris autant d'initiatives avec toi. Sans doute parce que tu ne leur en as jamais laissé l'opportunité dans le fond. Mais quoi qu'il en soit, cette fois ci tu te laisses faire et pas qu'un peu.  Tu frissonnes et soupirs de plaisir, quand tu ne laisses pas carrément échapper quelques gémissements à peine audibles mais quand même bien présents. Tu rougis forcément quand elle rit tout contre ton cou. Sans doute très amusée par toutes réactions. Mais même si son rire te gêne un peu, tu ne fais rien pour l'arrêter quand elle entreprend de déposer une pluie de baiser sur le reste de son corps. Au lieu de ça, tu te laisses toujours faire avec grand plaisir. T'as le coeur qui continue de s'emballer comme un fou furieux et le souffle qui se fait irrégulier et court. Sans doute qu'elle peut s'en rendre compte à la façon un peu brouillon qu'a ton torse de monter et descendre quand tu respires. Alors qu'elle est maintenant en train de s'attarder sur cette partie là de ton corps et qu'elle n'hésite pas non plus à taquiner tes tétons de ses dents.

De nouveau tu t'es contenté d'un bref "oui" marmonné du bout de tes lèvres, quand elle t'a demandé si tu en souhaitais davantage. C'est évidemment le cas. Et toi tu continues de frissonner et frémir à mesure qu'elle descend le long de ton corps et embrasse chaque parcelle de peau qu'elle semble vouloir atteindre de ses lèvres très douces et très chaudes. Et ça dure comme ça un petit moment, avant qu'elle ne remonte pour retrouver ta bouche de la sienne. Là encore tu te laisses évidemment faire et lui rend son baiser avec autant de tendresse que de chaleur. Tu n'essaies même pas de te contenir. A quoi bon ? T'en as tout autant envie qu'elle, de toutes ces petites douceurs. Mais cette fois, tu enroules tes bras autour de sa taille et la serres tendrement contre toi, pour l'inciter à rester là. Pour qu'elle arrête de jouer avec le feu en reprenant caresses et baisers sur tout ton corps. Tu as beaucoup trop peur de t'emballer et de finir par avoir une furieuse envie de la prendre comme tu n'as déjà eus de cesse de le faire. Tu espères maintenant profiter de quelques heures de sommeil, en l'ayant ainsi tout contre toi. Que ce soit en l'ayant allongée sur toi, ou installée à tes côtés. Dans un cas comme dans l'autre, ça te convient. Tu veux évidemment profité de tout ce qu'elle peut bien t'offrir. Autant sur le plan sexuel, que sur le reste. La tendresse et la douceur d'une jeune femme qui semble apprécier la chose tout autant que toi. Toi qui n'as pourtant que rarement l'occasion d'avoir droit à tout ça. Pour ne pas dire, tout bonnement jamais même ...
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Mar 14 Juil - 19:35


russian landing

@gaspar moore

◊ ◊ ◊

Après ces multiples parties de baise pour le moins endiablées et bestiales, tu as une soudaine envie de tendresse, de douceur. Tu peux te montrer aussi câline que coquine. Et là, tu as juste envie de profiter de quelques caresses, baisers et gestes pleins de douceur. Alors tu l’attires à toi pour que vos corps se retrouvent, se touchent, se collent. Tu le fais déjà pivoter pour que tu puisses t’installer sur lui. Et tu t’amuses à parcourir tout son corps de tes lèvres, de ta langue. Il réagit au quart de tour le beau Gaspar. Il soupire, il gémit même très discrètement, un joli son qui n’échappe pas à tes oreilles et dont tu raffoles. Tu aimes le sentir aussi réceptif. Tu espères que cette soirée ainsi que cette nuit lui permettront d’être plus à l’aise avec elle. Tu n’imagines pas un seul instant qu’il puisse faire plusieurs pas en arrière pour redevenir aussi timide qu’il l’était en début de soirée. Tu penses que vous avez passé ce stade. C’est que vous avez partagé plein de choses ce soir. Assez pour que tu te sentes très à l’aise avec lui, assez pour que tu te montres aussi douce et câline. Chose que tu ne fais pas avec tout le monde. Mais Gaspar il n’éveille pas que des désirs purement charnels chez toi, il éveille un désir de tendresse, de douceur. Alors tu ne te prives pas pour faire glisser tes lèvres sur son corps parfait. Il a vraiment tout pour lui le beau tatoué, c’est quand même dingue qu’il n’ait pas plus confiance en lui. Tu as toujours autant de mal à y croire. Et surtout tu ne parviens toujours pas à comprendre. S’il était plus sûr de lui, il pourrait avoir toutes les femmes qu’il désire. Il faudrait être aveugle pour ne pas être attirée par lui… En tout cas, en ce qui te concerne, il t’a tapé dans l’œil dès le premier regard que tu as posé sur lui. Et tu n’es pas mécontente qu’il soit timide au fond, si ce n’était pas le cas, tu ne serais peut-être pas dans son lit à l’heure qu’il est, peut-être qu’une autre sublime créature y serait à ta place.

Mais là, c’est bien toi qui profites de tout ce qu’il a à donner. Et tu ne demandes pas en fait, tu te sers. Tu te délectes du goût de sa peau, de sa douceur, de son odeur. Tu profites de chacune de ses réactions quand tu effleures une zone un peu plus sensible. S’il n’était pas aussi tard, et si vous n’aviez pas autant de fois fait l’amour, tu aurais probablement continué ce petit jeu. Tu te serais probablement aventurée plus bas sur son corps. Tu l’aurais certainement pris en bouche pour le mener à la jouissance une fois de plus. Mais au lieu de ça, tu remontes jusqu’à ses lèvres et ça semble lui plaire beaucoup au beau barbu. Parce qu’il enroule ses bras autour de toi, il t’empêche de bouger. Et toi ça te convient. Tu sens la fatigue qui gagne du terrain. Tes paupières deviennent très lourdes et le fait d’avoir son corps tout contre le tien, de sentir les battements de son cœur contre ta main qui est posée sur son torse, t’apaise et te détend. Tu te penches alors vers son visage pour déposer un nouveau baiser sur ses lèvres, un baiser très tendre et très doux. Tu restes confortablement installée sur lui, il ne semble pas émettre le désir que tu t’écartes de lui, alors tu n’en fais rien. Tu poses ta joues contre son torse, tu peux entendre les battements de son cœur qui deviennent de plus en plus lents au fur et à mesure qu’il se détend. Et c’est bercée par ce doux rythme que tu commences à t’endormir. Tu fermes les yeux en soupirant.  « Bonne nuit Gapar. » Tu souffles d’une petite voix douce et à moitié endormie déjà. Et il ne te faut que quelques minutes à peine pour que tu ne finisses par vraiment sombrer dans un sommeil profond et très calme.

Tu ne bouges pratiquement pas de la nuit, tu restes allongée sur Gaspar, tes mains posées sur ses épaules, ta joue appuyée contre son torse. Tu ne fais aucun rêve, il n’y a rien qui te perturbe. Et quand tu ouvres finalement les yeux, tu es toujours dans la même position. Tu clignes plusieurs fois des yeux pour t’habituer à la lumière du soleil. Le jour doit être levé depuis un bon moment maintenant. Tu redresses la tête pour regarder pendant quelques instants le beau tatoué qui dort encore profondément. Tu ne veux pas le réveiller. Tu en profites pour l’observer, un petit sourire aux lèvres. Il a l’air apaisé, très calme et très détendu. Il faut dire que tu l’as bien fatigué la nuit dernière. Tu te penches doucement pour déposer un doux baiser sur ses lèvres et tu te lèves sans faire de bruit et sans trop bouger pour ne pas le réveiller. Tu quittes la chambre et tu te penches au-dessus de ta valise pour en sortir un short et un haut, tu sais que ça risque de le mettre mal à l’aise de te voir entièrement nue dans son appartement au réveil. Alors tu prends quelques précautions, même si maintenant, il connait parfaitement ton corps. Tu prends ta trousse de toilettes pour aller te laver les dents avant de revenir dans le coin cuisine. Tu décides de te lancer dans la préparation d’un petit déjeuner pour lui faire une petite surprise. Tu penses qu’il ne doit pas avoir l’habitude de laisser une femme dormir chez lui, et encore moins à ce que cette dernière lui préparer un bon petit-déjeuner. Alors tu fais comme chez toi. Tu fouilles un peu pour trouver ce dont tu as besoin et tu entames la préparation d’une pâte à pancakes. Tu espères qu’il aime ça, mais bon, tout américain qui se respecte aime les pancakes non ? Tu essayes de faire le moins de bruit possible pour ne pas le réveiller. Tu veux lui laisser le temps de profiter de quelques minutes de sommeil en plus. Tu fredonnes à voix très basse tout en remuant des hanches tandis que tu fais cuire le premier pancake dans la poêle.  

(c) oxymort

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Joe Beckford
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Joe Beckford
Mer 15 Juil - 21:53
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Russian landing
ft @Irina Moskovskaïa


Tu dois quand même bien reconnaître que t'es surpris de la trouver soudainement si câline la jolie blonde. Tu ne pensais pas qu'elle pouvait apprécier et avoir envie de ce genre de geste très tendre. Mais en même temps, ce n'est pas toi qui iras t'en plaindre. Parce que tu adores ça. Tu aimes les tendres baisers, les caresses délicates et tout ce qui s'ensuit. Mais malheureusement, tu n'as que trop rarement l'occasion d'avoir tout ça. Justement parce que tu es si timide, que tu ne parviens jamais à atteindre un tel niveau d'intimité avec une femme.  Et que tu n'es généralement pas assez à l'aise pendant suffisamment longtemps, pour qu'elle même puisse insister et t'offrir ça. Avec Irina la question ne se pose même pas. Pour la simple et bonne raison qu'elle a su s'insinuer juste ce qu'il fallait pour que tu ne te rendes pas vraiment compte des choses. Le temps que tu prennes conscience de ses baisers innocents, elle est déjà sur toi à t'en offrir d'autres, toujours plus tendres et langoureux à la fois. Assez doux pour que le désir ne vous percute pas de plein fouet une fois de plus. Même si ça ne fait aucun  doute que ça pourrait largement vous revenir si vous y mettiez un peu du votre. Mais après une énième étreinte improvisée, vous semblez tous les deux avoir besoin d'autre chose. De tendresse avant de vous endormir l'un contre l'autre, certainement. Un peu de calme après cette folie fougueuse et ardente.  Tu ne sais pas si vous allez avoir une nouvelle occasion de remettre ça. Mais maintenant t'as quand même bien besoin de sommeil.

Tu profites quand même bien de l'obscurité pour te permettre d'enrouler tes bras autour d'elle pour la serrer contre toi, quand elle retrouve ta bouche de la sienne. Elle t'offre un dernier baiser plein de tendresse, avant de s'allonger tout à fait sur toi. Une main sur ton torse. Et t'es bien conscient de tout ça. Jusqu'à la douceur de sa cuisse contre la sienne. Jusqu'à son parfum qui continue de chatouiller tes narines de la plus agréable des façons.  Tu te laisses évidemment aller à tout ça, avec le plus grand plaisir. Tu prends tout ce qu'elle veut bien t'offrir jusqu'au bout. Jusqu'à ce que les bras de Morphée ne vous accueillent l'un comme l'autre. Et pour le coup, le sommeil tu le rencontres de plein fouet cette fois. Tu dors à poings fermés et tu ne bronches pas du tout de la nuit. T'es beaucoup trop bien installé le dos contre ton matelas et le corps féminin étroitement moulé contre le tien. Tu profites sans en être pleinement conscient. Mais tu profites bel et bien. Sans ça, aucun doute que tu ne dormirais pas aussi profondément. Sans qu'aucun rêve ou cauchemar ne vienne te déranger. Sans qu'aucun événement extérieur n'intervienne non plus tout à fait. Ce corps féminin dans ton lit ne te pose pas autant de souci que ce à quoi tu t’attendais un peu dans le fond. Même si tu ne le lui aurais évidemment jamais avoué. Cette crainte de mal dormir, tu l'aurais gardé pour toi pour ne pas risquer de la mettre mal à l'aise.

Quand le soleil se pointe au petit matin, tu ne bronches toujours pas. T'es habitué à dormir avec les volets et rideaux grands ouverts, été comme hiver. Et ce, même quand tu dors le matin plutôt que la nuit. Alors autant dire que ce ne sont pas quelques rayons de soleil qui viendront te déranger. Tu dors beaucoup trop profondément pour ça. Tu profites d'ailleurs de ce sommeil profond et sans rêve. Tu ne réagis pas non plus au baiser volé. Ni quand la jolie russe quitte ton lit. C'est seulement l'absence soudaine dans tes draps, qui finit par te faire bouger un tant soit peu. Simplement quand tu te tournes pour t'allonger sur le ventre, en vraie étoile de mer. Parce que c'est bien dans cette position que tu dors la plupart du temps. C'est l'un des nombreux avantages qu'il y a à dormir seul dans un lit deux places. La seule chose qui parvient finalement à te tirer, lentement mais sûrement, du sommeil, ce sont les odeurs qui viennent jusqu'à toi. Tu ne remues que lorsque tes narines sont doucement chatouillées par des parfums fort alléchants. Tu ne bouges pas encore pour autant. Tu prends le temps de te réveiller tout en douceur, avant de bien assimiler les choses. Quelqu'un qui cuisine chez toi. Il te faut une bonne minute avant de faire le rapprochement avec la russe qui s'est installée chez toi au cours de la soirée et le temps d'une nuit.

Enfin tu daignes te redresser tout à fait. Le visage encore chiffonné par l'oreiller, les cheveux un peu en bataille et rien qu'un oeil entrouvert pour tenter de voir ce qui se passe vraiment. Et assez vite tu peux constater que c'est bien la blonde qui s'est maintenant installée dans ta cuisine. Et presque trop peu vêtue à ton goût. Parce qu'elle porte quand même une tenue ultra courte et peu couvrante. Et assez ample pour te coller une drôle d'envie qui consisterait à glisser une main dans le short ou sous ce petit débardeur pour retrouver cette poitrine divine de laquelle tu n'as que trop profité au cours de la soirée et de la nuit. Forcément, ces images ont vite fait de te faire rougir. De même que le fait que tu ne portes plus rien. Que t'es totalement nu dans ce lit qui est le tien. C'est sans y penser et sans t'en rendre compte, que tu attrapes ton caleçon abandonné dans un coin, pour l'enfiler sans te décoller de ton lit. Pour qu'elle n'ait pas le temps de te (re)voir nu alors que tu quittes ton lit et fonces en direction de ta salle de bain. Où tu prends le temps de prendre une douche, de te laver les dents, de ramener tes cheveux en un bun haut et d'enfiler un jean et un tee shirt, avant de daigner la rejoindre. Toujours aussi peu confiant et toujours trop rougissant. Bonjour. Que tu marmonnes tout bas, en t'arrêtant quand même à quelques pas d'elle. Je pensais pas que tu serais encore là ... Que tu avoues également à voix basse.
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Ven 17 Juil - 20:24


russian landing

@gaspar moore

◊ ◊ ◊

Après cette soirée des plus intenses, tu as envie d’un peu de tendresse. T’en as envie et tu as aussi envie de lui montrer que tu peux être capable de faire preuve d’autant de douceurs. Tu ne sais pas si lui-même est friand de ce genre d’étreintes douces et sages. Mais tu as envie de t’y essayer avec lui. Parce que Gaspar t’inspire beaucoup de douceur, enfin, quand vous n’êtes pas en train de baiser comme des fous. Vous vous êtes donnés à fond ce soir, vos corps sont épuisés, vous aussi, ça se voit. Tes gestes sont lents, doux et tendres. Tu commences à te détendre alors que tu t’allonges sur lui, ton corps plaqué au sien. Tu sens la chaleur de sa peau contre la tienne et tu apprécies beaucoup ce contact. Tu ne pensais quand même pas passer un moment aussi remarquable avec Gaspar quand tu as décidé de t’envoler pour les Etats-Unis. Tu ne t’attendais pas à grand-chose en vrai, tu es partie sur un coup de tête, sans trop réfléchir pour ne pas prendre le risque de changer d’avis. Et tu as tellement bien fait. Tu ne regrettes absolument cette petite folie. Car tu es à présent dans les bras d’un homme que tu as vraiment envie de connaitre. Vous ne savez pas grand-chose l’un de l’autre, pour ne pas dire rien du tout. Vous ne connaissez que vos corps, que ce dont vous êtes capables et que ce que vous appréciez sexuellement parlant. Et pour l’instant toi ça te plait beaucoup. Mais il n’y a pas que ça qui t’intéresse chez Gaspar. Il y a tout cet aspect bien complexe de sa personnalité, le fait qu’il soit aussi réservé, aussi timide et aussi peu sûr de lui. C’est toujours un grand mystère pour toi. Tu n’as pas l’intention de l’embêter avec ça, mais tu espères un jour pouvoir l’aider à se dévergonder un peu et à se lâcher. Tu y es parvenue un peu ce soir, tu ne pensais pas qu’il se lâcherait de cette façon, et bien sûr, ça te donne envie de voir jusqu’où il est prêt à aller.

Mais pour le moment, t’as juste envie de profiter d’un peu de sa tendresse et de t’accorder quelques heures de sommeil. A peine te retrouves-tu allongée sur lui, tu te sens très fatiguée et très détendue. Ta joue posée contre son torse, tu peux entendre les battements de son cœur, ce qui te berce un peu. Et après quelques minutes à peine, tes paupières se ferment lentement et tu t’enfonces dans un profond sommeil. Quand tu ouvres les yeux, il fait déjà jour. Tu as très bien dormi, tu ne te souviens pas d’avoir fait des rêves, quand tu ouvres les yeux, tu te sens totalement reposée. Tu restes un peu allongée sur Gaspar, tu le regardes alors qu’il dort profondément. Et après lui avoir donné un bref baiser, tu te lèves pour aller lui préparer un bon petit déjeuner. C’est qu’il a besoin de reprendre des forces, tu l’as pas mal épuisé hier soir. Et toi, tu as une faim de loup. D’ailleurs l’odeur des pancakes qui sont en train de cuir te met l’eau à la bouche. Entre deux pancakes, tu entends un bruit de porte. Tu tends l’oreille pour entendre l’eau couler dans la salle de bain. Gaspar est levé. Tu espères qu’il sera plus à l’aise qu’hier soir, après les étreintes passionnées que vous avez partagées, il devrait quand même se sentir plus à l’aise avec toi… Enfin, c’est ce que tu espères. Tu ne cherches pas à aller le rejoindre dans la salle de bain, tu restes concentrée à terminer ta fournée de pancakes que tu dresses dans une assiette. A nouveau, tu entends la porte de la salle de bain claquer. Tu te tournes quand tu entends sa voix dans ton dos et tu lui adresses un beau sourire. « Bonjour ! Bien dormi ? » Que tu lui demandes avec beaucoup de bonne humeur.

Tu t’approches de lui pour venir l’embrasser mais il te fait une réflexion quant à sa surprise concernant ta présence ici. Tu pourrais le prendre mal, parce qu’il donne l’impression qu’il n’est pas content que tu sois restée. Mais tu ne penses pas que ça soit le cas. Et puis, il t’en faut bien plus pour te vexer, tu n’es pas du tout susceptible. Tu réalises alors qu’il a l’air aussi coincé que lorsque tu es arrivée hier soir. Peut-être même qu’il regrette un peu ce qui s’est passé hier soir. Tu te hisses quand même sur la pointe des pieds pour déposer un doux baiser sur ses lèvres et tu poses ta main sur sa joue. « Tu aurais préféré que je parte ? Je nous ai préparé un petit déjeuner, tu aimes les pancakes ? » Tu prends le risque de lui donner l’impression que tu es trop envahissante. Tu n’attends pas sa réponse pour tourner les talons afin d’aller chercher l’assiette pleine de pancakes que tu déposes sur la table. Tu fais quelques allers et retours pour récupérer des couverts, ainsi que du sirop d’érable et tu poses le tout sur la table avant de tapoter une des chaises pour l’inviter à venir s’y installer. Tu restes debout le temps qu’il prenne place et tu te mets dans son dos. Tu te penches pour déposer quelques doux baisers sur sa nuque, tes mains posées sur ses épaules. Tu fais remonter tes lèvres jusqu’à son oreille pour y souffler quelques mots. « C’était super hier soir, tu ne trouves pas ? » Tu essayes de prendre la température pour savoir de quelle humeur il est ce matin. S’il regrette ou non ce que vous avez fait hier soir, s’il a envie que tu t’en ailles et que tu disparaisses de sa vie ou non. Tu finis par le laisser tranquille pour aller t’installer à côté de lui. Tu lui tends l’assiette pour qu’il se serve puis tu te sers à ton tour. Tu verses du sirop d’érable par-dessus tes pancakes et tu manges une bouchée avant de reposer tes yeux sur lui. « Je pense rester à Chicago pendant un bon moment, ça te dérangerait de m’héberger le temps que je trouve un endroit où vivre ? » Que tu demandes avec innocence. Rester ici te donnerait l'opportunité de pouvoir le connaitre un peu mieux.

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Sam 18 Juil - 13:15
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Russian landing
ft @Irina Moskovskaïa


Tu ne te rappelles vraiment pas de la dernière fois où tu as eus l'occasion de t'endormir dans ce genre de position et en pareille compagnie. Dans le fond, tu n'es même pas certain que ça te soit déjà arrivé. Parce que tu évites les situations de ce genre qui ont surtout le don de te mettre mal à l'aise. Et ce, pour la simple et bonne raison que tu restes une personne très timide et peu à l'aise en compagnie de qui que ce soit. Tu n'es pas doué pour les relations humaines, parce que tu ne sais pas du tout comment te comporter avec les gens. C'est un fait qui dure depuis de nombreuses années et qui semble bien parti pour durer encore un paquet de temps. Dans le fond, peut-être que tu n'évolueras jamais. Peut-être que tu vas bel et bien rester ce gars timide qui est surtout mal à l'aise en toutes circonstances. Mais plus encre en compagnie d'une aussi jolie fille que peut l'être Irina elle même. Tu n'as jamais su comment te comporter avec les jolies filles. Ne serait-ce que parce qu'elles méritent quand même plus qu'un mec gêné et timide comme tu peux l'être. Alors tu ne sais pas même comment tu vas bien pouvoir te comporter avec celle que tu aperçois dans ta cuisine quand tu te réveilles à ton tour. Tu pensais qu'elle aurait profité de ton sommeil pour se faire discrètement la malle. Parce qu'au départ, elle ne devrait rester qu'une seule nuit. A moins qu'elle n'ait l'envie de s'attarder quelques heures supplémentaires pour se reposer, par exemple. Tu n'y vois pas de problème dans le fond.

Mais elle va forcément s'attendre à ce que tu sois ouvert et prêt aux conversations diverses et variées, contrairement à ce que tu as pu être au cours de la soirée précédente. Parce que vous avez quand même couché ensemble à plusieurs reprises et qu'au cours de ces étreintes, tu t'es montré bien plus ouvert et que tu as également été pas mal expressif dans le genre. Aucun doute, donc, qu'elle préférerait te voir poursuivre de la sorte. Et pourtant, ça n'arrivera pas. Parce que ce n'était pas tout à fait toi tout au long de la soirée et que tu ne saurais pas tout à fait faire semblant non plus. Pas même pour faire plaisir à une aussi jolie fille qu'elle. Ou surtout parce qu'elle est cette fameuse très jolie fille dans le fond ... Tu ne peux pas être pleinement à l'aise, même en te forçant et en faisant tous les efforts du monde. Alors, mine de rien, tu fuis un peu et retarde le moment où il te faudra lui faire face. En allant d'abord te doucher et t'habiller dans la salle de bain. Mais parce que tu ne peux y rester enfermé indéfiniment, arrive évidemment le moment où tu reviens et où tu rejoins la cuisine.  Toujours aussi gêné et hésitant, tu te contentes d'abord de la saluer. Avant d'oser dire tout haut ce que tu pensais tout bas jusque là. A savoir que tu t'attendais à ne pas la retrouver là chez toi, au saut du lit.

Oui ça va. Merci.  Que tu réponds quand même, bien sûr, à sa question. Sans pour autant parvenir à lui offrir le moindre sourire tant tu es tendu et crispé de la tête aux pieds.  Tu es pourtant le seul responsable de ce malaise au fond de toi et tu le sais bien. Ta question / réflexion, ne l'empêche quand même pas de s'approcher plus encore de toi et de se hisser sur la pointe des pieds pour venir t'embrasser du bout des lèvres. Tu dois bien admettre que tu apprécies beaucoup la chose, même si ça te fait aussi et surtout pas mal rougir. De ta part, il ne faut pas s'attendre à quoi que ce soit d'autre. Mais même si tu rougis sous sa main qui se fait caresse sur ta joue, tu as également un léger frisson de pur bien être. Alors qu'elle reprend la parole pour t'interroger de la façon la plus directe qui soit. Non non, tu ne me déranges pas du tout. Tu ne sais pas si tu es vraiment si rassurant que ça ou pas du tout. Mais tu es quand même sincère. Elle ne te dérange pas. Mais elle te met toujours aussi mal à l'aise. Si ce n'est plus encore. Parce qu'il te faut maintenant assumer le fait que tu te sois autant lâché en sa compagnie, des heures durant. Toi même tu ne comprends pas le pourquoi du comment de ta personnalité, parfois ...

A sa seconde question, tu t'es contenté d'un hochement positif de la tête. Avant de la suivre en silence du côté de la petite cuisine où tu prends place à la table, sans attendre.  Tu ne t'attends pas à ce qu'elle vienne se loger dans ton dos, pour se montrer très tendre et très douce avec toi, une fois de plus. Pourtant elle le fait et c'est bien loin d'être un vrai souci. T'es mal à l'aise encore, bien entendu. Mais t'en profites aussi beaucoup de toute cette douceur qu'elle a à t'offrir. Tu continues d'ignorer combien de temps ça va bien pouvoir durer tout ça. Chacun de ses baisers, ainsi que ses mains sur tes épaules, ont le don de te faire frissonner. Et t'es bien incapable de t'en cacher alors que tu fermes également les yeux pour tâcher d'en profiter davantage encore. Bien sûr. Tu ne peux quand même pas nier que c'était franchement bien. Mais tu n'oses pas non plus trop en dire. Parce que tu n'oses jamais grand chose dans le fond. T'es finalement aussi frustré que soulagé quand elle s'éloigne de toi pour aller s'installer de l'autre côté de la table. Tu rougis de nouveau simplement parce qu'elle peut de nouveau poser ses yeux sur toi. Tu te sers à ton tour en pancakes que tu recouvres de sirop d'érable, avant de commencer à manger. Pour mieux t'arrêter quand elle reprend la parole. Chicago ? Tu vas vivre à Chicago ? T'es pas bien certain d'avoir compris,  clairement. Parce que ça t'étonne quand même pas mal. Parce que tu ne comprends pas du tout cette envie, surtout. T'es presque plus choqué par cette annonce que par sa requête finalement.
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Sam 25 Juil - 13:14


russian landing

@gaspar moore

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Cette soirée a été éreintante et cette nuit très reposante. Quand tu ouvres les yeux, tu te sens en pleine forme. Et tu sens le corps puissant et chaud de Gaspar sous le tien. Tu ne peux t’empêcher de te sentir attendrie quand tu poses ton regard sur lui. Il semble détendu, apaisé. Tu n’es pas certaine que ça sera encore le cas quand il ouvrira les yeux et qu’il les posera sur toi. Tu espères quand même qu’il sera un peu plus détendu en ta présence, surtout après la nuit que vous avez passée ensemble. Mais tu ne t’attends pas non plus à ce qu’il soit complètement à l’aise. Il t’a bien montré à quel point il pouvait être timide. Tu sais très bien que cet aspect de sa personnalité ne va pas disparaitre du jour au lendemain. Mais tu sais être très patiente et tu le seras avec Gaspar. Parce que tu sens qu’il est quelqu’un de particulier, il y a quelque chose qui s’est passé entre vous la nuit dernière, tu ne saurais pas vraiment l’expliquer, mais c’est comme ça. Et tu n’as pas envie de tout gâcher à cause de sa timidité. S’il a besoin de temps pour apprendre à se détendre quand il est près de toi, et bien tu attendras. Tu sais que ça en vaut la peine. Et puis, mine de rien, ça te plait pas mal qu’il soit aussi timide et aussi facilement impressionnable le beau tatoué. Surtout que ça ne l’empêche pas de se lâcher et d’être un amant exceptionnel. Alors c’est de bonne humeur et surtout avec la ferme intention de ne pas disparaitre de sa vie, que tu te lèves. Tu as envie de lui faire plaisir, de l’aider à se sentir à l’aise avec toi. Même si tu sais que tu seras incapable de le taquiner un peu et de le chercher. Tu aimes beaucoup trop quand il se met à rougir, ça te fait vraiment craquer. Mais en aucun tu veux le faire fuir. Il faut trouver le juste milieu, le chercher assez pour le faire perdre ses moyens, mais pas trop pour qu’il ne se ferme totalement. Tu commences à savoir un peu comment doser la chose, et tu prends quand même toujours des pincettes avec lui pour ne jamais aller trop loin.

Tu te lances dans la préparation de pancakes pour vous offrir un bon petit-déjeuner. Tu as pas mal réfléchi à ta situation et tu as bien envie de poser tes bagages pendant un petit moment. Tu ne sais pas encore pendant combien de temps tu vas vouloir rester ici à Chicago. Au moins assez pour pouvoir te rapprocher un peu plus de Gaspar. Même si vous avez été très proches cette nuit, tu sais que c’est loin d’être gagné entre vous deux. Et d’ailleurs tu l’entends qui se lève et qui file immédiatement dans la salle de bain. T’en profites pour terminer de préparer le petit-déjeuner et de mettre la table pour l’accueillir avec un grand sourire quand il te rejoint. Lui, il reste très sérieux. Il est même étonné de te voir encore là. Tu ne le prends pas mal du tout. Il devait s’attendre à ce que tu partes de chez lui au petit matin. Tu aurais pu le faire en d’autres circonstances, mais c’est quand même pour le rencontrer que tu as fait autant d’heures d’avion. Si ça ne s’était pas bien passé avec lui hier soir, tu aurais pu partir sans demander ton reste, mais comme ce n’est pas le cas, tu ne comptes pas disparaitre tout de suite. Sauf si bien sûr il t’en fait la demande. Peut-être qu’il n’a pas envie d’apprendre à te connaitre davantage. Tu lui poses d’ailleurs la question. Parce que tu es comme ça, tu es directe, tu n’aimes pas tourner autour du pot et t’imaginer certaines choses. Au moins, s’il n’a pas envie que tu restes là, tu sauras à quoi t’attendre et tu le laisseras tranquille. Mais ça ne semble pas être le cas. Tu penses que malgré sa timidité, il te l’aurait dit s’il n’avait pas eu envie que tu restes ce matin. Et toi, tu craques toujours autant quand tu le vois rougir, d’ailleurs tu laisses tes doigts courir sur ses jolies rougeurs, un petit sourire attendri sur les lèvres.

Tu parles un peu de la soirée et de la nuit que vous avez passées ensemble pour voir s’il ne regrette pas. Tu es satisfaite par sa réponse parce que tu sens qu’il est sincère le beau tatoué, même s’il est toujours très gêné. Tu passes tes doigts dans sa nuque que tu caresses avec douceur avant de finalement t’éloigner pour prendre place en face de lui. Tu le laisses commences à manger et tu prends une première bouchée aussi avant de lancer un sujet assez sérieux. C’est quitte ou double. Soit, il va accepter de t’héberger encore un peu, soit il va refuser catégoriquement et te demander d’aller crécher ailleurs. Tu ne sais pas du tout à quoi t’attendre pour le coup. Tu espères qu’il va accepter. Parce que si tu veux rester à Chicago, c’est en grande partie pour apprendre à le connaitre un peu plus. Alors tu te lances et sa réaction ne se fait pas attendre. Malgré sa grande timidité, Gaspar reste quelqu’un de très naturel et de très spontané, il ne cache pas sa surprise quand tu lui fais part de tes intentions. Tu pourrais mal le prendre, parce que ça n’a pas l’air de lui faire tant plaisir que ça. Il n’a pas non plus l’air de désapprouver,  plutôt de ne pas comprendre ce qui pourrait te motiver à rester ici. Alors tu termines ta bouchée et tu reposes ta fourchette en haussant les épaules. « Oui, c’est mon premier séjour aux Etats-Unis, je pense qu’il y a plein de choses intéressantes à découvrir. Et puis, je me dis que ça pourrait être bien de vivre quelques soirées comme celle d’hier, non ? » Que tu demandes d’une voix chaude tout en posant ta main sur le dos de la sienne. Tu lèves ton regard clair pour le plonger dans le sien, tu guettes sa réaction. Tu prends le risque qu’il prenne la fuite pour de bon.  « Tu accepterais de m’héberger alors ? Je te promets que c’est temporaire, je vais me mettre à chercher un logement dès aujourd’hui. » Et pour le convaincre, tu te lèves et tu le fais s’adosser à sa chaise pour pouvoir venir t’installer sur ses genoux, face à lui. Tu te penches pour souffler au creux de son oreille. « Je te promets que je serais très très gentille… »

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Joe Beckford
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Fonda ▬ Bad and crazy.
➤ LIEU D'HABITATION : Un petit studio minable du côté de Rogers Park.
➤ EMPLOI / ETUDES : Tu sors tout juste de tôle, après une peine de prison de trois ans. Tu cherches un petit boulot parce que t'es sous conditionnel.
➤ HISTOIRES : 430
Joe Beckford
Dim 26 Juil - 22:23
https://c-t-t-e.forumactif.com/t109-lost-boy#1355


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ft @Irina Moskovskaïa


Tu ne veux pas paraître malpoli. Mais quand tu réalises que la belle Irina est encore là, tu ne peux faire autrement que de prendre lâchement la fuite. Soit, ce n'est pas pour aller bien loin ni pour un trop grand laps de temps. Mais tu vas quand même vite t'enfermer dans la salle de bain. Le temps de reprendre une apparence à peu près humaine. Parce que tu as honte de te montrer avec les cheveux en pagaille, les joues marquées par les oreillers et les yeux gonflés par le sommeil, devant elle. Elle qui est certainement magnifique en toutes circonstances. Aucun doute qu'elle n'a pas du tout l'air de sortir tout droit d'un lit après quelques heures de sommeil, contrairement à toi. Tu prends donc le temps de prendre une douche fraîche au cours de laquelle tu te laves les cheveux. Quand tu la quittes, tu prends le temps de bien d'autres choses du même genre encore. Tu tailles ta barbe et ramènes tes cheveux en un bun haut et encore humide. Tu n'as pas du tout l'air de sortir à peine de ton lit, quand tu quittes enfin la salle de bain. Tu te sens relativement près à affronter la superbe blonde qui est encore plus sexy que dans tes souvenirs encore. Sans doute l'effet de sa petite tenue. Ou juste parce que tu as eus le temps de constater qu'elle n'était pas juste sexy. Qu'elle était beaucoup plus que ça. Et que, à la voir de la sorte, tu ne serais pas contre l'idée de recommencer ce que vous avez partagé au cours de la soirée ...

Mais de là à le lui dire de façon claire et nette, il y a un monde. Pour l'heure, tu ne peux rien faire d'autre que de baver sur elle mais d'afficher ta surprise parce qu'elle est justement encore là, chez toi. Tu t'attendais à ce qu'elle parte sans demander son reste. Qu'elle profite de ton sommeil relativement lourd, pour se faire discrètement la malle. Au lieu de ça, elle est là chez toi. En train de vous préparer un sacré petit-déjeuner ... Et elle parle de cette fameuse soirée, sans avoir l'air franchement gênée. Voire, elle ne l'est pas du tout contrairement à toi qui continues bêtement de rougir. Tu lui confirmes, à ta façon, que c'était très bien et que tu ne regrettes pas. Tu regrettes même moins encore alors qu'elle continue de se faire douce et tendre avec toi. De ses doigts qui massent tout en douceur ta nuque. Quand bien même tu te tends un peu à ces contacts auxquels tu n'es pas tant habitué que ça. Ce n'est pourtant pas faute d'adorer la chose et d'avoir, dans le fond, envie qu'elle continue de la sorte. Mais tu n'oses pas lui en faire part. Tu n'oses pas lui avouer l'effet que ça te fait. Peut-être qu'elle s'en rend compte. Qu'elle sent le frisson qui te traverse même, juste avant qu'elle n'ôte ses doigts de ta peau si réceptive.

Elle retrouve finalement sa place à table, en face de toi. Et tu parviens à ne pas la regarder suffisamment longtemps, pour avaler quelques délicieuses bouchées de pancake. C'est vraiment bon. Mais tu n'as pas le temps de lui en faire la remarque, qu'elle aborde un sujet qui te prend de court. C'est surtout son intention finale dont elle te fait part, qui te surprend au plus haut point. Tu poses un regard pour le moins étonné sur elle. Et très spontanément, tu exprimes à voix haute ta surprise. Tu ne veux pas la vexer. Mais tu ne peux faire semblant de ne pas être surpris par son intention qui est de rester dans le coin. A Chicago. Tu ne sais pas le charme que l'on peut bien trouver à cette ville. Tu es à mille lieux de t'imaginer qu'elle espère surtout pouvoir passer un peu plus de temps en ta compagnie. Tu ne comprends pas tout de suite sa dernière phrase. Mais quand elle pose sa main sur la tienne, tu rougis. Elle parle forcément du temps que vous avez passé ensemble. Et au cours duquel vous avez finalement été plus physiques qu'autre chose. Vous n'avez quand même pas beaucoup parlé, c'est un fait. C'était si intéressant que ça ? Ce n'est pas un sous entendu très réussit. Dans le fond, ce n'est pas réellement un sous entendu, tout court. Parce que tu ne sais pas faire et parce que tu es trop gêné pour réellement t'y essayer dans le fond. Si tu tentes, tu te plantes, c'est forcé !

Je ne vais pas te mettre à la porte. Que tu lui offres en guise de réponse, quand elle te demande si tu veux bien l'héberger. Tu illustres tes mots d'un haussement d'épaules qui se veut désinvolte. Dans le fond, t'es quand même relativement content de l'avoir rien qu'à toi au cours des prochains jours. Tu ne t'expliques pas du tout pourquoi et tu sais que tu ne vas pas brusquement cesser d'être gêné en sa compagnie. Mais les faits sont quand même que tu apprécies grandement sa compagnie. Et qu'elle insiste tant pour que tu sois à l'aise avec elle, n'y est pas pour rien non plus. Mais tu vas pas t'sentir à l'étroit ici ? Que tu ne peux t'empêcher de demander quand même dans la foulée. Parce que ton appart est vraiment petit dans le genre. Et parce que tu te doutes qu'elle est habituée à beaucoup mieux. Tu ne la vois pas comme une véritable princesse. Mais pas loin non plus finalement ... De nouveau, tu te tends quand elle remue pour venir prendre place sur toi. Assise à califourchon sur tes cuisses, pour te faire face. Autant dire que l'effet est immédiat et que tu n'es que trop conscient de tout son corps parfait, placé ainsi sur le tien. A son souffle chaud au creux de ton oreille et au frôlement de sa poitrine contre ton torse, tu fermes les yeux et tu prends pleinement conscience de ton coeur qui bat comme un fou furieux. T'as pas besoin de ... Tu me dois rien. Que tu crois bon et utile de préciser. Parce que ta première pensée est forcément qu'elle voit ça comme un bon moyen de te convaincre. De te faire capituler. Comme un moyen de paiement ... Non pas que tu la vois comme une prostituée ou quoi que ce soit du genre. Mais tu crains qu'elle ne se sente obligée ...
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Lun 27 Juil - 9:08


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@gaspar moore

◊ ◊ ◊

Tu te sens de bonne humeur, parfaitement reposée et particulièrement joyeuse ce matin. Cela est probablement dû au fait que tu aies passé une nuit formidable avec un certain beau barbu tatoué. Tu te rends compte que tout est allé très vite entre vous, alors qu’au début, c’était très loin d’être gagné. C’est qu’il est beaucoup plus timide et réservé que tu ne l’avais imaginé. Mais ça ne te fait pas fuir ça, au contraire même, tu trouves que ça lui donne encore plus de charme. Tu ne te lasses vraiment pas de voir ces jolies rougeurs s’installer sur ses joues. Tu aurais pu partir, profiter qu’il soit profondément endormi pour disparaitre. Mais tu n’en as aucune envie. Il se passe un truc entre vous, c’est clairement un peu trop tôt pour le dire, mais tu le ressens. Il n’est pas comme tous les hommes que tu as pu fréquenter Gaspar, il est différent. D’habitude, tu n’as pas besoin de te montrer aussi insistante avec un homme pour qu’il ait envie de coucher avec toi, c’est même le contraire, en général, c’est eux qui viennent à toi. Le fait qu’avec Gaspar ce soit différent, rend les choses encore plus intéressantes, excitantes entre vous. Tu ne dirais pas qu’il représente une sorte de défi pour toi, parce que ça signifierait qu’il n’a pas beaucoup de valeurs à tes yeux, alors que tu sens que tu pourrais vraiment l’apprécier, quand il se sera décidé à s’ouvrir un peu plus à toi. C’est bien pour ça que tu décides de ne pas disparaitre au petit jour et que tu te lances dans la préparation d’un bon et copieux petit-déjeuner. Et aussi parce que tu as eu l’occasion d’y réfléchir depuis que tu es réveillée. Tu veux rester à Chicago pour un petit moment. Tu ne sais pas encore pour combien de temps, mais assez de temps pour apprendre vraiment à connaitre Gaspar, et espérer qu’il te laisse une chance de prendre une petite place dans sa vie.

Et ce n’est pas gagné… Parce que quand il réalise que tu es encore là, il semble aussi surpris que gêné. Tu n’as jamais été de nature susceptible alors tu ne le prends pas mal. Surtout que tu commences à le connaitre le beau tatoué. Tu sais que ça ne veut pas dire qu’il n’est pas ravi de te voir encore ici. C’est juste qu’il n’est vraiment pas doué avec les filles, il te l’a bien fait comprendre la veille. Du moins, c’est à cause de son manque de confiance qu’il pense ne pas être doué, parce qu’il t’a prouvé qu’il pouvait être très très doué, oh ça oui ! Et tu t’amuses déjà à le voir rougir et à provoquer ses rougeurs surtout. Tu le trouves vraiment très beau Gaspar. Et tu ne comprends toujours pas pourquoi il doute autant de lui. Tu as déjà envie de le toucher, de venir te frotter à lui comme une chatte qui veut marquer son territoire. Parce qu’il te plait réellement Gaspar. Et tu ne fais vraiment rien pour le cacher, pourquoi donc tu ferais une telle chose ? Alors tu ne te prives pas de venir l’embrasser ou encore de caresser son dos et sa nuque que tu masses délicatement. Il se tend, tu le sens, mais tu sens aussi qu’il frissonne et ça te fait sourire. Bien sûr que ça te plait de savoir que tu as ce petit pouvoir sur lui, que tu lui fais un certain effet. Tu n’as pas l’habitude de douter de toi, de tes capacités de séductrice. Mais avec Gaspar c’est différent. Parce que tu sais qu’il suffirait d’un seul faux pas pour qu’il se referme totalement. Tu reprends vite ta place en face de lui pour lui offrir un instant de répit. Et surtout pour lui révéler tes intentions. Tu n’es pas étonnée de le voir aussi surpris. Et tu ne caches pas vraiment ce qui te motive à vouloir rester à Chicago. Les sous-entendus sont lourds.  Tu termines ta bouchée et te passes la langue sur les lèvres d’une manière gourmande et sensuelle surtout. « Très intéressant…  »

Tu souris quand il accepte –à sa façon- de t’héberger. Tu sais qu’il ne faut pas se vexer avec Gaspar. Tu as bien compris qu’il n’était pas doué pour parler aux autres. Et tu sais aussi que s’il accepte de ne pas te mettre à la porte c’est parce qu’il a envie que tu restes. Tu ne peux qu’être ravie par la chose, parce que l’idée de passer quelques jours en sa compagnie te séduit beaucoup. Tu vas tenir ta parole et chercher un logement dès aujourd’hui. Tu ne veux pas être trop encombrante et finir par le saouler. Tu hausses les épaules à sa question. Tu es habituée à vivre dans un logement bien plus spacieux que le sien, mais tu as un don d’adaptation impressionnant. Et même si tu as pas mal d’argent, tu peux très bien vivre simplement. Contrairement à ce que peuvent laisser penser les apparences, tu n’es pas du tout quelqu’un de matérialiste ou d’attachée à son confort. Et il y a tout ce qu’il te faut chez Gaspar, par commencer, lui. « Oh non ne t’inquiète pas pour ça. Et c’est bien que ça soit petit ici, ça me donnera de bonnes excuses pour venir me coller à toi… » Que tu souffles d’une voix chaude avec un air joueur. Et parce que tu ne peux plus rester sans venir le toucher plus longtemps, tu te lèves et tu viens t’installer à califourchon sur lui. Il réagit toujours très vivement quand tu le touches. Et ça te fait plaisir que ça n’ait pas changé sous prétexte que vous avez passé une nuit mouvementée tous les deux. Tu déposes un doux baiser sur sa joue en riant doucement à sa réponse. Il est tellement naïf qu’il en est vraiment très attendrissant. Tu recules le haut de ton corps pour que vos regards se croisent à nouveau. « Je ne me force jamais à faire quoi que ce soit. Si je le fais c’est que j’en ai envie… » Que tu réponds avec beaucoup de sérieux mais sans te défaire de ton petit sourire malicieux.

Tu te penches à nouveau, tu exagères dans tout ce que tu fais avec Gaspar pour le chauffer, parce que tu adores le voir dans tous ses états. Ta poitrine s’appuie à son torse, tu remues même un peu le bassin pour qu’il se retrouve plus proche du sien et tu reviens souffler quelques mots brûlants au creux de son oreille. « Et j’ai très envie d’être gentille avec toi… Ou vilaine, ça dépend de ce que tu préfères Gaspar.  » Tu mordilles délicatement le lobe de son oreille avant de finalement t’écarter et de te lever. Tu pourrais lui dire de se lever et lui demander de te faire l’amour tout de suite parce que tu en as très envie. Mais il ne faut pas abuser des bonnes choses. Tu vas avoir tout le temps que tu veux pour t’adonner à des plaisirs charnels avec le beau barbu. Et tu veux surtout l’exciter toujours un peu plus pour que ça soit lui qui craque. Parce qu’il t’a montré ce que ça donnait quand il ne se contrôlait plus et que tu as vraiment adoré ça. Tu n’ajoutes rien et tu t’empresses de débarrasser la table et de nettoyer rapidement la vaisselle. Quand c’est fait, tu te tournes vers lui avec un grand sourire aux lèvres. « Est-ce que tu accepterais de me faire visiter un peu Chicago ? » Tu imagines assez bien que ce n’est pas son truc de sortir, il doit être du genre à rester cloitrer chez lui, devant sa console. Mais tu as envie de lui montrer qu’il y a d’autres choses que les jeux vidéo, même si tu es une vraie geekette toi aussi. Il y a des risques qu’il refuse alors tu fonces vers lui et tu le couvres d’un regard suppliant. « S’il te plait ! J’ai très envie d’aller me balader avec toi. En plus il fait super beau ! »

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Lun 27 Juil - 22:12
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ft @Irina Moskovskaïa


Tu as beaucoup de mal à comprendre la raison pour laquelle Irina est encore là quand tu te réveilles et te lèves à ton tour. Soit, tu as bien saisis qu'elle appréciait ton apparence physique et l'attraction qu'il y a eut entre vous tout au long de la soirée. Mais le fait que tu sois si timide et si peu entreprenant, aurait du avoir raison d'elle.  D'ordinaire ça fait fuir les femmes en tout cas. Parce qu'elles prennent peur quand elles réalisent que tu ne changeras probablement pas. Tu ne veux pas leur mentir en leur offrant de faux espoirs. Tu ne leur permet pas de s'imaginer que tu pourrais rectifier le tir en cours de route. Parce que tu ne fais pas du tout semblant d'être à ce point timide et réservé. Tu l'es réellement et tu ne peux rien faire contre ça. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé d'inverser la tendance. Et pas faute non plus d'avoir eut un peu d'aide extérieure. Surtout de la part de certaines femmes qui se sont persuadées qu'elles pourraient t'aider à "aller mieux" et à évoluer dans le bon sens. Mais tu n'as eus de cesse que de fuir. Jusqu'à ce qu'elles lâchent l'affaire et disparaissent dans la nature. T'es persuadé qu'Irina finira par faire de même. Elle est trop bien pour toi. Trop belle. Trop séduisante. Trop sûre d'elle et même trop intéressante. Elle a tout pour elle et elle le sait forcément. Elle aussi doit s'imaginer que tu peux changer.

Pour autant, tu ne t'expliques pas du tout comment elle fait pour si peu se vexer. Pour ne pas se vexer du tout à vrai dire. Elle ne se ferme pas quand tu sembles presque la repousser. Au contraire. Elle continue de t'offrir des sourires resplendissants, des petites moues relativement adorables et des réponses très douces et très avenantes.  Et toi, forcément, tu te laisses faire sans rechigner. Même si tu continues de la rejeter sans le vouloir réellement. Si ça ne tenait qu'à toi, tu l'aurais invité de toi même à rester chez toi. Au lieu de ça, tu exprimes ta surprise quand elle émet l'idée de s'attarder un peu plus longtemps dans les parages.  Et qu'elle te demande même ouvertement si tu peux et veux bien l'héberger. Dans le fond, la question ne se pose pas vraiment. Bien sûr que tu vas faire ça. T'es beaucoup trop sympa pour la foutre à la porte. Et pas uniquement parce qu'elle est elle. Le fait est que t'es parfois trop gentil et trop généreux, pour ton propre bien. Tu le sais. Mais ça non plus, tu ne peux pas le changer. Tu es ce que tu es. Tout de même, tu t'inquiètes de la taille de ton appartement. Tu crains qu'elle ne se sente à l'étroit ici. C'est ce que tu lui fais remarquer justement. Mais elle trouve réponse à ça également. Et trouve le moyen de t'arracher un bref rire que tu ne peux pas même retenir. Ce n'est pourtant pas faute de le souhaiter dans le fond. T'es gêné de ce rire qui t'échappe.

T'en reviens toujours à ça ... Que tu ne peux t'empêcher de faire remarquer, tout bas. Tu oses évidemment espérer que ça ne va pas la vexer, cette fois non plus. C'est que tu ne t'en plains pas du tout. Tu es juste vraiment surpris par la facilité et le naturel avec lesquels elle en revient effectivement à ces sujets là. Il est toujours question de sexe avec elle, ou presque. A croire que son but ultime est de tester ta résistance. Et autant dire qu'à ce niveau là, tu n'es pas forcément ... Très résistant. Elle est trop sexy pour que tu sois en mesure de te contenir si elle te fait des avances très claires. Et pour l'être, elles le sont !  Mais c'est ce qui fait une partie de son charme ... Et toi, t'es totalement perturbé par tout ça. Par elle toute entière. T'es d'ailleurs en train de rougir une fois de plus, quand elle vient s'installer à califourchon sur tes cuisses, pour se coller à toi. Tout naturellement, tu te laisses faire. Ton regard planté dans le sien et un sourire invisible sur tes lèvres mais bien présent dans tes yeux clairs.  Malgré les rougeurs toujours bien étalées sur ton visage. Qui ne font que s'accentuer plus encore quand elle prend la parole pour t'affirmer qu'elle ne se sent forcée à rien. Qu'elle ne fait même que des choses dont elle a envie.  Des mots qui continuent de te rassurer, bien entendu.

D'accord ... Que tu te forces à lui répondre d'une voix à peine audible. Pour ne pas dire, pas audible du tout. C'est que tu n'as aucune idée de ce que tu peux répondre d'autre. Sans doute rien, justement. Il n'y a rien à dire. Rien à répondre à une femme aussi sûre d'elle qu'elle peut bien l'être.  Et c'est beau cette confiance qu'elle a en elle. Tu l'envies pour ça. Tu aimerais posséder la même. Il semble évident que tu en es loin. C'est très naïvement que tu t'attends à ce qu'elle se détache de toi pour retrouver sa place de l'autre côté de la table. A croire que tu n'as pas encore bien compris sa façon de fonctionner.  Plutôt que de te libérer et de te laisser respirer de nouveau, elle se penche une fois de plus vers toi pour souffler des mots brûlants à ton oreille. Dans la manœuvre, elle presse plus encore sa poitrine parfaite contre ton torse. Et surtout, elle remue son bassin sur le tien. De quoi t'arracher un bref grognement.  Tu tentes de le retenir, en vain. C'est plus fort que toi. Elle te fait beaucoup trop d'effet et de façon beaucoup trop brutale, trop soudaine et trop vive, pour que tu sois en mesure de taire toutes les réactions de ton corps. C'est une vraie diablesse. Une diablesse parfaite et démesurément excitante.  Assez pour te faire réagir, toi qui as toujours l'air de glace.

Vrai...Vraiment... ? Que tu marmonnes et balbuties dans ta barbe, pour ne pas changer de tes bonnes habitudes. T'es toujours aussi gêné, incertain et hésitant. Toujours aussi idiot surtout. T'es persuadé que c'est ainsi qu'elle te voit. Comme un crétin fini vraiment incapable de se comporter en adulte. Ce n'est pourtant pas faute d'en avoir envie. T'aimerais être à la hauteur d'une nana pareille. Mais t'en es bien loin. C'est forcément pour ça que tu te sens presque soulagé quand elle s'éloigne de toi, après quelques autres provocations. Mordillements du lobe d'oreille en guise de conclusion. Forcément, tu restes sagement à ta place pour te permettre de redescendre en tension alors que de son côté, elle range la cuisine. Il te faut au moins ça pour te ressaisir. Alors qu'elle te demande si tu veux bien lui faire visiter Chicago.  Moi en guide ... ? T'es surpris par l'idée et tu ne t'en caches pas du tout. Il y a de quoi. Du peu qu'elle sait à ton sujet, elle se doute forcément du fait que tu ne sois pas bon pour les sorties à l'extérieur.  Mais pour te faire plier, elle t'offre une moue suppliante et les mots qu'il faut. Forcément que tu vas capituler. Mais elle doit bien se douter que t'es incapable de résister à ça. D'accord. Si tu veux. Je verrai ce que je peux faire. Mais on peut dire milieu d'après-midi ? Quand il fera un peu moins chaud ... ? Il y a un tas de raisons pour lesquelles tu n'aimes pas trop sortir. La chaleur en fait partie.
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Jeu 30 Juil - 9:11


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@gaspar moore

◊ ◊ ◊

Avant qu’il ne te rejoigne dans la cuisine, tu n’as aucune idée de la réaction que Gaspar va avoir en te voyant encore dans son appartement. Tu ne sais pas non s’il sera bien plus détendu que la veille en ta présence. La logique voudrait qu’il le soit. Vous vous êtes vraiment rapprochés cette nuit, vous vous êtes lâchés aussi bien l’un comme l’autre. Peut-être même un peu plus Gaspar que toi, car il était très intimidé quand il t’a vu débarquer dans ce bar. Mais malgré ça, tu ne vas pas t’imaginer des choses, tu sais qu’il est bien capable d’être encore sur la réserve, même après la nuit endiablée que vous avez passée ensemble. Et ça ne te dérange pas vraiment. Tu craques réellement quand tu le vois rougir ou quand tu le sens intimidé. Mais tu voudrais quand même réussir à le détendre, l’aider à se sentir plus à l’aise avec toi et pourquoi pas avec les gens en particulier. Tu aimerais lui prouver que ça a du bon de se lier à d’autres personnes, ainsi que de sortir de chez soi un peu plus souvent. Et tu penses à tout ça pendant que tu prépares le petit-déjeuner, une attention qui lui fera plaisir, tu espères. Tu ne fais pas ça pour gagner des points avec lui, pas du tout, mais parce que t’en as envie. Tu ne fais jamais rien par intérêt, t’as toujours été une personne naturelle, malgré ton métier, malgré les pauses que tu prendre sur tes photos. Mais même les vidéos que tu publies sur les réseaux sociaux sont toujours « réelles » et pas mises en scène comme certains influenceurs peuvent le faire. T’as toujours réussi à garder la tête froide, à ne pas prendre le  melon comme on dit. Et même le sourire que tu adresses au beau barbu quand tes yeux clairs se posent sur lui est tout aussi sincère. Tu n’as pas à te forcer avec Gaspar, parce que tu sens qu’il se passe un truc entre vous. Il n’est pas question de sentiments –pas encore, c’est beaucoup trop tôt- mais plus un ressenti. Tu sens qu’il pourrait y avoir un truc bien entre vous deux.

Même si pour ça il faudrait qu’il s’ouvre un peu plus à toi. Parce qu’il est déjà rouge comme une pivoine le beau tatoué, ce qui te fait toujours autant craquer et qui t’amuse quand même pas mal. Et le fait que tu lui avoues vouloir rester à Chicago et que tu lui demandes de t’héberger quelques temps ne l’aide pas à se sentir plus à l’aise. Il t’amuse Gaspar, il a des réactions très franches, et pourtant tu sens qu’il essaye de ne pas te vexer. Tu sens quand même qu’il n’a pas l’habitude d’être en interaction avec d’autres personnes. Mais toi, tu n’es pas du tout susceptible et surtout tu es assez intelligente pour comprendre qu’il est juste maladroit. Et bien sûr, s’il t’avait dit clairement qu’il ne désirait pas que tu restes chez lui, tu n’aurais pas insisté, tu n’es pas du genre à forcer les gens et à t’imposer. Enfin, là tu le fais un petit peu quand même, mais parce que tu sens qu’il pourrait l’accepter. Et c’est le cas. Du moins, il ne te le dit pas clairement, mais quand il te demande si tu ne vas pas te sentir trop à l’étroit ici, ça veut bien dire qu’il accepte. Alors tu lui réponds en faisant de gros sous-entendus. Et sa réaction te fait sourire. Le son de son rire est des plus agréables, dommage qu’il ne rit pas plus souvent, mais tu vas essayer de changer ça durant toute la période que tu passeras chez lui, avec lui. Sa remarque t’arrache un petit rire en retour. Oui, c’est vrai que tu parles très facilement de sexe, mais uniquement parce que c’est naturel, pour toi ce n’est pas un sujet tabou, ça fait partie de la vie. Et pour lui répondre, tu arbores un petit air coquin, malicieux et très taquin surtout.  « Hm, ça n’avait pas l’air de te déranger hier soir… » Et tu sais très bien que ce n’est pas un reproche qu’il te fait en te disant ça, mais juste un constat. Parce que lui, il est différent de toi, très différent, tu as bien vu qu’il avait beaucoup de mal à parler de sexe.

Et bien sûr, tu continues de jouer avec ses nerfs, tu le provoques toujours plus pour l’aider à lâcher prise. Tu as bien vu ce que ça donnait quand il se lâchait complètement, autant dire que tu as vraiment aimé ça. Et puis tu n’es jamais contre le fait de venir chercher un peu de contact avec le beau barbu. Tu aimes sentir son corps contre le sien, le sentir se tendre parce que tu sais que tu l’excites et qu’il a du mal à se retenir avec toi. Et ça te plait tout ça. Pas uniquement parce que ça flatte ton égo, mais aussi parce que tu es dans le même état que lui. Il te plait beaucoup Gaspar pour que tu n’aies pas envie de le toucher sans cesse. Alors tu le rassures en lui affirmant que tu ne te forces à rien, jamais. Que si tu lui proposes de partager des étreintes aussi endiablées que cette nuit, ce n’est pas uniquement pour le convaincre de te laisser rester ici, mais bien parce que tu en as envie. Très envie même. Et tu continues de t’amuser en rajoutant des mots brûlants que tu souffles à son oreille alors que tu remues contre lui. Le petit grognement qu’il ne parvient pas à retenir t’excite beaucoup trop. Tu serais carrément capable de remettre ça tout de suite avec lui, là, ici même sur la table de la cuisine. Au lieu de ça tu continues de le taquiner en soufflant tout contre son oreille. « Bien sûr… Je peux faire absolument tout ce que tu désires, tu n’as qu’à me le demander… » Même si tu sais que pour le moment ça n’arrivera pas, il est encore bien trop intimidé pour oser te demander quoi que ce soit. Mais tu as bon espoir qu’un jour il réussisse à se le permettre, tu n’attends que ça toi. Et après une ultime provocation de ta part, tu décides de le laisser un peu tranquille et tu te lèves pour débarrasser la table et faire la vaisselle.

Tu lui fais une énième requête qui semble le surprendre au plus haut point et d’ailleurs sa réaction ne manque pas de te faire rire doucement. On dirait que tu viens de lui demander un truc de dingue, alors que tu lui as juste demandé de faire visiter quelques lieux emblématiques de Chicago. Tu sais très bien qu’il ne sort pas beaucoup, et tu vois cette visite comme une opportunité pour lui de mettre un peu les pieds dehors, et une opportunité pour toi –pour vous- d’apprendre à mieux vous connaitre. Parce que même si tu fais de lourds sous-entendus à longueur de temps, tu n’as pas envie que votre relation soit uniquement basée sur le sexe. Tu espères qu’elle sera plus complète, plus intense. Tu espères réellement que vous finirez par devenir vraiment complices tous les deux. Alors quand il accepte tu sautilles sur place en souriant de toutes tes dents. Tu t’avances rapidement vers lui pour déposer un baiser sur sa joue. « Merci ! T’es un amour ! » C’est vrai qu’il est gentil Gaspar, peut-être même un peu trop, mais toi tu n’abuseras jamais de sa gentillesse. Il ne prend vraiment aucun risque en te laissant entrer dans sa vie. « Milieu d’après-midi, ça me va ! Je vais aller me préparer ! » T’es vraiment surexcitée, parce que tu n’étais pas sûre qu’il accepte de t’accompagner. Tu files rapidement à la salle de bain pour prendre une douche rapide. Tu ne mets pas beaucoup de temps pour te préparer. Tu optes pour une tenue décontractée qui ne te gênera pas pour votre longue balade. Quand tu ressors de la salle de bain tu vas vite retrouver Gaspar, t’es toujours aussi excitée et impatiente à l’idée de te promener avec lui. Tu passes les bras autour de son cou, toute câline. « On a du temps devant nous. Tu veux qu’on fasse quoi ? » Que tu demandes d’une petite voix, parce que tu en as des idées toi, mais pas sûr que c’est qui veuille faire pour le moment…

(c) oxymort

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