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Ven 10 Juil - 23:08


trap

@yacine russo

◊ ◊ ◊

A force, il doit bien comprendre que tu n’es pas du genre à lâcher le morceau facilement. T’as un putain de sale caractère, ça il le sait parfaitement, il en fait même très souvent les frais. Et si, en temps normal, tu fuis les gens autant que possible, quand tu as décidé quelque chose, quand tu es en pleine joute verbale, tu ne laisses jamais tomber jusqu’à avoir le dernier mot. Et c’est donc pour cette raison que tu lui suis de près quand il se lève et qu’il commence à traverser la pièce pour aller certainement vers sa chambre. Tu ne vas pas lui laisser le temps d’aller s’y enfermer et après de te retrouver comme une conne dans son salon avec toutes ces personnes que tu ne connais pas et que tu n’as absolument pas envie de connaitre. Après lui avoir barré la route, avoir fouillé dans ses poches jusqu’à trouver son trousseau de clés, tu te précipites vers la porte de sa chambre. Bien sûr, tu ne sais pas quelle clé tu dois utiliser pour déverrouiller la porte, alors tu galères pas mal. Il faut ajouter à cela l’alcool que tu as consommé, beaucoup trop, beaucoup plus que ce à quoi tu es habituée. Tu n’as jamais été une grande buveuse d’alcool, tu te contentes d’une ou deux bières en soirée et ça te convient parfaitement. Là, tu as pas mal entamé une bouteille d’un alcool fort, sûrement de la vodka ou de la tequila, tu ne sais même pas. T’as juste eu besoin de te donner un peu de courage pour aller réclamer l’aide de Yacine. Et bien sûr, ça n’a servi à rien car il a refusé de t’aider. Au fond, ça ne t’étonnes pas tant que ça. Tu espères pouvoir te venger de s’être comporté comme ça avec toi en réussissant à aller dans sa chambre la première. Tu as la ferme intention de t’y enfermer et d’y passer la nuit. Quitte à ne pas réussir à dormir, parce que tu refuses de te mettre dans des draps dans lesquels il a sûrement sauté quelques poufiasses. Mais bien sûr, tu mets tellement de temps à trouver la bonne clé, qu’il réussit à te rejoindre avant que tu sois parvenue à ouvrir cette foutue porte.

Après avoir retrouvé ton équilibre, tu te précipites derrière lui. Tu ne le laisses pas fermer la porte, tu la bloques de toutes tes forces, à l’aide de tes mains et de ton pied. Tu lui fais bien comprendre que tu n’as aucunement l’intention de le laisser tranquille. Tu comptes sur ta persévérance pour essayer de l’avoir à l’usure. Alors tu grognes tout en continuant de te débattre de toutes tes forces. « Ouais j’suis sérieuse ! » Que tu gueules presque, sans te soucier à présent que les autres ne vous entendent et remarquent que vous êtes encore en train de vous battre. De toute manière, ils sont tous tellement défoncés que vous pourriez être en train de vous entretuer qu’ils ne bougeraient pas le petit doigt. Enfin, tu finis par réussir à entrer dans la chambre et tu te hâtes pour bloquer la porte en t’y adossant. Tu ne vas pas te laisser faire et tu le lui fais savoir. S’il veut que tu sortes de cette chambre, il va falloir qu’il te fasse sortir de force. Alors quand il te pose sa question, tu relèves tes yeux sombres pour le fixer avec un air sérieux et déterminé. Tu ne sais pas s’il pourrait être capable d’user de la force avec toi pour te foutre dehors. En temps normal, peut-être qu’il ne l’aurait pas fait. Mais ce soit, vous vous êtes tellement cherchés, et tu l’as tellement poussé à bout, qu’il y ait de grands risques qu’il finisse par péter un câble et par te choper par les cheveux pour te foutre dehors. Et quand tu le vois qui s’approche lentement de toi, tu sens ton cœur qui s’emballe, parce qu’il va le faire, il va t’agripper par ta tignasse de feu et te jeter hors de la pièce, peut-être même hors de la baraque. Tu serres les poings alors que vos corps se frôlent presque. En temps normal, tu aurais sûrement capitulé, tu te serais barrée et t’aurais attendu sur un banc que le jour se lève. Mais tu as bu ce soir, trop. Et tu ne réfléchis même plus à ce que tu fais. Quitte à faire une énorme connerie.

Tu ne comprends pas ce qui t’arrive, mais tu as, à nouveau, cette folle envie de l’embrasser. Et cette fois, tu le fais. Tu plaques tes lèvres contre les siennes, sans aucune douceur, tu n’es qu’une boule de nerfs. Tu ne trouves que ce moyen pour évacuer ta rage. Alors tu l’embrasses tellement fort et tellement violemment que tes lèvres te font même un peu mal quand vos dents se heurtent. Par contre, à aucun moment, tu ne rends ce baiser encore plus chaud, tu gardes ta langue bien au chaud dans ta bouche à toi. T’es surprise de voir qu’il répond à ce baiser Yacine, qu’il pose même ses mains sur ta taille. D’ailleurs, tu frémis à ce contact et tu soupires contre ses lèvres alors que lui grogne doucement. Tu finis par réagir. Enfin, tu t’écartes. Tu le fixes d’un regard paniqué, étonné. Tu es choquée quand tu réalises ce que tu viens de faire. Alors tu retires vite tes mains de ses cheveux et tu t’écartes autant que possible, jusqu’à ce ton dos heurte la porte. Tu commences à paniquer, et apparemment tu n’es pas la seule. Yacine te fixe sans rien dire, sans rien faire. Puis après quelques secondes d’un long silence bien lourd et bien pesant, il commence à se défendre. Le fait qu’il te demande pourquoi tu as fait ça te met encore plus en colère. Parce que tu ne te vois pas lui répondre que t’en avais envie, que t’en avais même déjà eu envie quand tu t’es retrouvée près de lui pour fouiller dans la poche de son pantalon, et que tu en as toujours terriblement envie maintenant. Le seul moyen pour toi pour passer au-dessus de cette envie, c’est de laisser ta rage et ta haine prendre le dessus. Alors tu fronces les sourcils, tu le couvres d’un regard noir et tu profites de son étonnement pour le repousser et foncer vers son lit. Tu t’assieds sur le bord avant de t’allonger sur le dos, le regard rivé vers le plafond. Tu ne prends même pas la peine de retirer tes chaussures. Tu croises tes mains sous ta tête ce qui fait que ton tee-shirt se soulève et découvre ton ventre plat et ton nombril percé. Tu croises les jambes et tu restes là, à ne rien dire. S’il veut que tu sortes il va déjà falloir qu’il te tire de son lit et tu ne comptes pas le laisser faire. T’as encore plus la rage maintenant que tu t’es laissée aller et que tu l’as embrassé.

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Dim 12 Juil - 10:34



Tu n'as jamais été en mesure de comprendre Jodie. Alors il est évident que tu ne peux pas piger ce qu'elle veut faire. Même si elle a clairement affirmé son intention de dormir dans ton lit. Tu ne comprends toujours pas ce qui lui passe par la tête et pourquoi elle s'imagine autant qu'elle va bel et bien pouvoir aller au bout de cette envie. Elle le sait pourtant, que tu vas tout faire pour la foutre à la porte. Si ce n'est à la porte de ton appartement, ce sera au moins à la porte de ta chambre. Parce qu'elle n'a quand même rien fait du tout pour mériter que tu sois sympa avec elle en lui proposant ton lit, aussi simplement que ça. C'est hors de question et c'est bien la résistance que tu tentes, assez vainement il faut bien le reconnaître, de lui offrir. D'abord, tu as tenté de refermer ta porte avant qu'elle ne soit parvenue à entrer. Mais parce que tu ne veux évidemment pas non plus la blesser dans la manœuvre, tu n'as pas su résister bien longtemps. Et est finalement arrivé le moment où elle est parvenue à entrer. Et pour bien s'assurer que tu ne pourrais la foutre de nouveau dehors, elle a referma la porte et s'y est adossée. Toi tu râles et tentes quand même de la convaincre de s'en aller. Même si tu sais bien que c'est vain. Elle a mauvais caractère elle aussi. Sans doute bien pire que toi encore. Parce que toi, tu finis quand même toujours par lâcher l'affaire ...

Elle insiste tant et si bien Jodie, qu'elle finit quand même par avoir un geste qui vous surprend tout autant l'un que l'autre. Elle se rapproche beaucoup trop de toi et finis par se hisser sur la pointe de ses pieds pour venir t'embrasser. Et même si ça te surprend, et même te choques, tu ne tardes pas à lui répondre. Tu ne saurais expliquer pourquoi toi même. Mais le fait est que tous tes sens semblent s'enflammer et s'exacerber. C'est un baiser violent et pour le moins enflammé lui aussi. Vos dents s'entrechoquent férocement, quand elles ne sont pas trop occupées à mordre les lèvres de l'autre. Vous vous heurtez comme des fous furieux et vous offrez un baiser pour le moins féroce et animal. Vous vous en donnez à coeur joie le temps que ça dure. Et toi, t'as l'esprit vraiment trop embrumé pour réellement réaliser ce que tu es en train de faire. Ou plutôt, avec qui tu es en train de le faire. Ce n'est pas vraiment de ces échanges violents que tu as besoin ce soir. Mais tu ne peux pas non plus nier le fait que ça te fait un bien fou ces sensations qui te prennent et te frappent de plein fouet. Tu ne peux pas faire semblant de ne pas aimer tout ça. De ne pas aimer la sensation de ses lèvres douces sur les tiennes et tout ce qui vient avec.

T'es tellement connecté à elle à cet instant très précis, que tu peux la sentir qui frissonne quand tu poses tes mains sur sa taille fine. Tu ne veux même pas savoir ce qu'elle pense, elle, de tout ça. Parce que toi, dans le fond, t'es déjà en train de paniquer. C'est ce que ton regard exprime quand il croise enfin de nouveau le sien après un pas en arrière de votre part à tous les deux. Et elle aussi, elle a tout l'air d'être totalement en panique. Et sans doute que, tout comme toi, elle se demande pourquoi elle a fait ça. Parce que c'est bel et bien elle qui a initié la chose. C'est elle qui t'a littéralement sauté dessus pour t'offrir un baiser d'anthologie que tu n'aurais sans doute jamais vraiment du accepter. Mais ce qui est fait, est fait. Et clairement, tu ne peux pas nier avoir franchement aimé cette violence là. Et avoir aimé l'embrasser, elle ... Même si c'est autre chose que tu acceptes de lui montrer. A savoir, ta panique à l'idée qu'elle n'aille s'imaginer tu ne sais trop quoi. Surtout, tu ne veux pas qu'elle aille raconter comme quoi tu t'es jeté sur elle. Parce que ce n'est évidemment pas le cas. Mais elle ne te répond rien. Elle ne prend pas la fuite non plus. Au lieu de ça, elle rejoint ton lit comme s'il s'agissait là de son territoire. Elle s'y allonge et s'installe confortablement. Chaussures encore aux pieds et bras repliés sous la nuque.

Non Jodie ! Putain ! Et tes chaussures ! Mais sérieux ... Que tu grognes, grondes, soupires et te lamentes tout à la fois. C'est que tu pourrais presque finir par en chialer tant elle te met les nerfs à rude épreuve. C'est pourquoi tu réagis même sans trop y penser et faire attention à ce que tu fais. Quand tu t'approches d'elle et attrapes ses jambes pour la faire quitter le lit, avant de vouloir faire de même avec ses bras. Mais t'es toujours trop alcoolisé pour avoir des gestes précis et pour pouvoir aller au bout des choses sans mal aucun. Tu ne sais pas si elle joue au poids mort ou si, au contraire, elle se débat. Tout ce qu tu sais, c'est que toi tu finis par basculer et par lui atterrir dessus. De quoi t'arracher un énième juron que tu ne tentes pas même de retenir. A quoi bon ? T'as toujours les nerfs mis à rude épreuve avec elle. Ce n'est donc pas surprenant pour un sou que tu sois dans cet état en cet instant. A tenter de la dégager hors de ton lit alors que l'alcool rend chacun de tes gestes beaucoup trop lourd et trop compliqué.  Alors tu lui tombes dessus comme un sacré lourdos. Et comme si le contact entre vos corps n'était pas suffisamment gênant comme ça, tu commences à remuer avec l'espoir de te relever pour t'en éloigner. De quoi provoquer d'autres contacts, frottements et rapprochements, avant qu'enfin tu ne parviennes à basculer de l'autre côté de ton lit. Tu poses une main sur tes yeux, dépité au possible. Et désireux qu'elle se décide enfin à lâcher l'affaire et à te laisser tranquille. Alors que, soudainement, tout ton corps supplie pour un autre rapprochement avec le sien.
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Lun 13 Juil - 20:43


trap

@yacine russo

◊ ◊ ◊

Tu le savais toi qu’il ne fallait pas que tu viennes à cette soirée. Ça ne pouvait que mal finir. A partir de maintenant tu ne céderas plus aux demandes de Charlie, il aura beau te supplier autant qu'il le veut, tu n’accepterais plus de le suivre à ces soirées merdiques. Tu savais que ça finirait mal mais pas à ce point. Tu ne pensais pas que tu allais devoir dormir chez Yacine. Tu ne savais pas que tu allais avoir de drôles de désirs à son encontre surtout. Ton esprit est trop embrumé par l’alcool pour que tu entendues raison et que tu agisses de manière réfléchie et cohérente. Tu fais n’importe quoi. Si tu avais été sobre, tu serais partie, tu aurais attendu sur un banc le temps que le soleil se lève et tu serais allée chez tes parents. Tu ne serais pas restée ici. Tu n’aurais pas forcé le passage pour aller te coucher dans le lit de Yacine. Tu n’aurais pas jouer de ta force pour l’obliger à te laisser entrer dans sa chambre. Et surtout, tu ne serais pas là, collée à lui, à désirer ses lèvres plus que tout au monde à cet instant précis. Et tu continues les conneries, parce que tu te jettes sur lui. Tu l’embrasses avec force et violence. Tu plaques férocement tes lèvres comme si ta vie en dépendait. Et lui il répond ! Il ne te repousse pas, il ne tente à aucun moment de te faire entendre raison. Vous êtes aussi éméchés l’un que l'autre, aussi idiots l’un que l’autre. Alors après en avoir bien profité, mais pas assez à ton goût, tu t’écartes et tu te recules, très vite imitée par Yacine qui semble paniqué. Toi aussi tu paniques. Tu ne veux pas qu’il se fasse de fausses idées. C’était juste un moment d’égarement de ta part, ça ne se reproduira jamais ce genre de choses. Jamais ! Tu devrais le lui dire, mais t’es trop abasourdie pour prononcer un mot. Tu n’as pas l’intention de te barrer crier sur tous les toits qu’il t’a embrassée. A vrai dire, tu veux que personne ne soit au courant que tu t’es trouvée dans sa chambre à un moment ou un autre de ta vie. Tu ne dis rien, absolument rien, mais tu le couvres de ton regard noir et tu le bouscules avant de t’éloigner vite de lui. Tu ne veux pas rester aussi près de lui, parce que tu sais que tu risques de craquer à nouveau.

Alors tu t’installes sur son lit. Tu prends tes aises. Tu ne veux surtout pas qu’il vienne s’allonger à côté de toi, il est hors de question que vous dormiez dans le même lit. Tu veux qu’il te foute la paix. Et après ce qu’il vient de se passer, tu espères qu’il ne tentera rien. Tu ne veux pas qu’il t’approche, qu’il te touche, ni même qu’il te parle. Tu gardes les yeux rivés vers le plafond, tu repenses à ce baiser, au doux contact de ses lèvres sur les tiennes, à ses mains sur ta taille. T’es littéralement en train de fantasmer sur ce putain de baiser. Et ça te rend dingue au fond, parce que c'est de Yacine dont il s’agit là. Tu ne peux tout simplement pas avoir envie de lui. Jamais. Plus jamais. Pourtant, tu soupires discrètement alors que tu repenses à toutes ces sensations, juste avant d’entendre sa voix. Il t’engueule parce que tu es sur son lit et que tu as gardé tes chaussures. Tu l’ignores royalement, tu gardes ta tête tournée vers le haut, tes mains croisées dessous. Tu te dis que si tu l’ignores, il va peut-être te foutre la paix, mais tu te trompes. Il est tenace Yacine, même bourré. Tu te crispés dès l’instant où tu l’entends bouger parce que tu te doutes bien qu’il va essayer de te virer de son lit et qu’il ça donc te toucher. Cependant, tu n’es pas assez vive pour réagir avant que tu ne sentes ses mains agripper tes chevilles. Tu pousses une petite plainte de surprise et de mécontentement surtout. Et quand il essaye de te virer de son lit pour de bon tu ne te laissés pas faire. Tu relues dans tous les sens, tu bouges comme un vrai asticot. Tu tentes même de lui donner des coups de pieds pour qu’il te relâche. « M'touche pas p’tain ! » Tu gueules et tu relues de plus belle, à tel point qu’il en perd l’équilibre. Du moins tu penses que c’est à cause de toi s'il te tombe dessus. Tu ne l’avais pas vue venir celle-là. Tu lâches un juron de surprise, quasiment au même moment que lui.

Tu veux qu’il se lève vite, parce que, plus vous faites durer ce contact, plus tes envies te reviennent de plein fouet. Il commence à remuer, à se frotter à toi, et tu as très chaud tout à coup. Tu commences à imaginer ce que tu ressentirais si vous continuez mais sans vos vêtements. Et ça t’excite beaucoup trop. Il faut dire que la dernière fois qu’un homme t’a touchée remonte à très très longtemps, le manque commence à se faire ressentir. Mais malgré ton taux d’alcool très élevé, tu parviens à entendre raison et tu te mets à le pousser en gueulant encore plus fort. « Mais arrête d’te frotter à moi sale pervers ! » Tu le pousses alors et il finit par rouler sur le côté pour s’allonger à côté de toi sur le lit. Tu restes quelques secondes comme une conne sans bouger, le regard fixant toujours ce foutu plafond. Ta respiration est rapide, trop rapide. Elle trahit ton excitation et tu n’aimes pas ça. Tu finis par remuer les jambes pour retirer tes chaussures juste à l’aide de tes pieds et tu les laisses tomber par terre. Tu lui fais comprendre que tu n’as pas l’intention de bouger de ce lit. Et là tu commets une nouvelle erreur. A croire que tu les accumules ce soir… Tu tournes la tête pour jeter un coup d’œil vers Yacine. Il a le bras qui recouvre ses yeux, il ne peut pas te voir. Alors tu t’en donnes à cœur joie pour le mater. Tu laisses glisser tes yeux sombres sur son corps. Tu t’attardes sur ses bras tatoués, sur son corps qui semble musclé, puissant. Tu te remets à fantasmer, à imaginer les sensations qu’il pourrait te procurer. Et tu finis par te dire pourquoi pas ? Tu peux te laisser aller pour une fois, rien qu’une fois. Personne n’en saura jamais rien. Et demain vous vous souviendrez peut être même plus de ce qui s’est passé. Tu te mords la lèvre, tu hésites. Tu finis par t’allonger sur le flanc et tu t'approches de lui. Tu saisis son poignet pour retirer son bras de ses yeux et tu le pousses pour t’allonger à moitié sur lui et revenir capturer ses lèvres. Cette fois, tu te montres moins sauvage, tu poses une main sur sa joue tandis que ta langue force la barrière de ses lèvres pour venir caresser la sienne.

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Mar 14 Juil - 12:38



Tu ne doutes pas un seul instant que ce qui a poussé la jolie Jodie à te sauter dessus de cette façon pour t'embrasser à en perdre haleine, c'est l'alcool et uniquement lui. Sans ça, ça ne fait aucun doute dans ton esprit qu'elle n'aurait rien fait de tel. Tout ce que tu espérés dans fond, tout de même, c'est qu'elle en ait vraiment eut l'envie. Qu'elle n'a pas fait ça sans au moins en éprouver le désir. Parce que tu n'es pas un enfoiré toi et tu ne souhaites ça à personne. Pas même à ta pire ennemie. Non pas qu'elle occupe vraiment cette place là dans ta vie ... Mais elle est quand même la seule personne avec laquelle tu te disputes aussi souvent et qui semble te détester à ce point. Pourtant, elle vient quand même de t'embrasser. Et toi, ça t'étonne toujours autant. Même si tu sais qu'il faut mettre ça sur le dos de l'alcool. Comme le fait qu'elle ait l'air prête à se battre avec toi, pour trouver une place dans ton lit cette nuit. Non pas pour que vous couchiez ensemble, bien entendu. Mais pour pouvoir dormi dans un lit relativement confortable. Mais tu n'es pas prêt à laisser passer ça toi. C'est ton lit et il est hors de question qu'elle t'en dépossède, ne serait-ce que pour une nuit. Parce qu'il évident qu'il y a zéro "chance" pour que vous dormiez ensemble dedans ... Elle veut ton lit mais quand même pas au point que vous y dormiez ensemble tous les deux, ça ne fait aucun doute ...

Mais elle est bien décidée à squatter ton lit pour la nuit Jodie. Pour preuve, elle s'y étale de tout son long, chaussures encore aux pieds.E Et ça te fait voir rouge, une fois de plus. Raison pour laquelle tu es forcé d'intervenir. Tu l'attrapes par les jambes pour tenter de la faire basculer de ton lit. A cet instant, tu te fous pas mal du risques que tu prends de la blesser dans la manœuvre. Si elle se casse la figure, ce sera quand même plus de sa faute que de la tienne. Et si toi tu tombes quand elle remue comme une diablesse, ce sera aussi de ta faute. Alors tu pestes, l'insultes copieusement et lui ordonnes d'arrêter ça tout de suite et de quitter ton lit illico presto. Même si tu sais que c'est inutile parce qu'elle ne t'écoutera pas. Tu ne vois pas bien pourquoi elle se mettrait à t'écouter et à t'obéir maintenant alors que ça fat des années que vous vous battez de la sorte. Forcément, avec ta chance, c'est sur elle que tu bascules. Et plus tu tentes de te dégager pour t'éloigner d'elle, plus ton corps se frotte au sien et se retrouve bloqué.  Tu râles d'autant plus qu'elle te traite de pervers. Comme si j'faisais exprès putain ... Mais tu ne peux nier que ça fait naître quelques envies au creux de tes reins et de ton esprit. Le genre que tu as quand même vite fait de  chasser parce que tu n'auras jamais le droit de la toucher de cette façon là la jolie Jodie. Tu le sais depuis le premier jour. Tu n'as jamais pensé autrement. Et surtout, Charlie veille au grain de toute façon.

C'toi qui m'embrasses mais c'est encore moi l'pervers ! Que tu râles encore, avant d'enfin parvenir à te dégager d'elle. Ok, son corps est terriblement tentant. Oui, cfe baiser t'a mis dans tous tes états. Mais non, tu n'iras jamais où que ce soit avec elle. Et surtout, il ne se passera rien de bizarre dans ce lit. Parce que ça ne peut pas arriver. Et parce que sobre, il est évident qu'aucun de vous deux n'aurait tenté quoi que ce soit. Tout ça n'a rien d'un jeu auquel vous pouvez librement jouer. La question ne se pose pas. Alors t'es bien soulagé quand tu parviens enfin à atterrir sur le lit. Soit, encore à côté d'elle. Mais suffisamment décollé de sa petite personne pour être un peu moins oppressé par l'envie qui t'a pris aux tripes. Et qui risque de reprendre de plus bel s'il te prend l'envie de poser les yeux sur elle surtout. C'est qu'elle est quand même vachement jolie et vachement désirable Jodie. Mais tu n'as jamais eus le moindre droit d'exprimer pareilles pensées, à voix haute. Et tu ne peux non plus permettre que ça change maintenant. Même avec tout cet alcool qui vous coule dans les veines à tous les deux. Foutu alcool qui vous aura quand même fait faire n'importe quoi.

Et ce n'est apparemment pas tout à fait terminé puisque tu la sens qui remue à côté de toi. Certes, dans un premier temps tu t'imagines surtout qu'elle bouge enfin pour quitter le lit. Mais très vite, elle te détrompe. C'est sa main sur ton poignet qui te fait réagir. Tu poses un regard surpris sur elle. Mais elle ne te laisse pas même le temps de prendre la parole pour lui demander ce qu'elle fait, qu'elle te répond par les gestes. Sa bouche échoue sur la tienne. Et toi, tu ne peux tout simplement pas faire autrement que de réagir au quart de tour. Un soupir et te voilà à poser une main sur sa nuque pour l’inciter, mine de rien, à poursuivre ce baiser. A y mettre plus de langueur encore, qu'elle n'en met déjà. Un autre soupir t'échappe quand vos langues se rencontrent enfin. Pour la première fois. Et la douce chaleur que ce baiser répand dans l'ensemble de ton corps, n'est évidemment pas faite pour te déplaire. Pour preuve, tu réponds plus que présent, en permettant ainsi à ta langue de faire littéralement l'amour avec la sienne. Et ta main qui se fait caressante également, au creux de sa nuque. Tes doigts qui taquinent tout en douceur la peau fine à la naissance de ses cheveux. Tu n'as aucune idée de ses intentions mais tu ne peux faire autrement que de répondre encore de façon pour le moins positive. Et même, mine de rien, de l'encourager à poursuivre en ce sens. Parce que tu prends conscience comme jamais, de l'envie que tu as parfois pu avoir pour elle. Elle est quand même fort attirante Jodie. Tu l'as quand même toujours su.
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Mer 15 Juil - 16:51


trap

@yacine russo

◊ ◊ ◊

Encore une fois, tu n’es pas prête à te laisser faire, même quand il s’approche de toi pour te tirer de son lit. Tu te débats comme une diablesse, tu remues dans tous les sens, tu balances même des coups de pieds dans le vide. T’es vraiment trop bourrée pour voir clairement ce que tu fais. Et tu t’en fous royalement si tu lui fais mal en lui donnant un coup de pompe dans les jambes ou ailleurs. Quand il essaye d’attraper tes bras tu gesticules comme une poupée de chiffon, tu balances les bras, tes mains fendent l’air alors que t’essayes de le repousser aussi fort que tu le peux. Mais à force de bouger dans tous les sens comme ça, il finit par perdre l’équilibre Yacine et il tombe sur toi. Vos corps se retrouvent à nouveau collés l’un à l’autre et ce que tu redoutais tant arrive, encore. Tu te remets à le désirer, à avoir envie de le toucher, de l’embrasser. Et les images qui défilent dans ta tête te foutent vraiment les nerfs. Et comme si ce n’était pas suffisant, voilà qu’il commence à remuer tout en étant sur toi. Ce qui a le don de t’exciter un peu plus encore. Tu ne peux t’empêcher de te demander ce que tu ressentirais si vous faisiez cette même « danse » sans tous les tissus qui vous recouvrent tous les deux. Un instant tu hésites même à le retenir pour qu’il ne se lève pas, t’es à deux doigts de lui arracher ses fringues et à écarter les cuisses pour qu’il vienne s’y enfoncer. Mais c’est sa remarque qui te fait réagir. Tu fronces les sourcils et prends un air très dur, tu le couvres de ton regard noir et froid et là tu oublies un instant toutes ces images qui te chauffaient il y a quelques secondes à peine. Cette fois, tu poses tes mains sur son torse pour le pousser violemment. Tu ne veux plus qu’il reste collé à toi comme ça, tu ne veux plus éprouver le moindre désir pour lui. « Allez dégage connard ! » Que tu gueules en continuant de le repousser. Et tu soupires d’aise quand il finit par s’écarter de toi.

Tu n’acceptes pas l’idée que ça soit toi qui aies fait le premier pas. Que ça soit toi qui l’aies embrassé. Et tu n’apprécies pas du tout la façon dont il t’en a fait la remarque, comme si tu l’avais forcé à quoi que ce soit. Comme s’il n’en avait pas du tout eu envie lui aussi. Pourtant, il ne s’est pas fait prier pour répondre à ton baiser, ni même pour poser ses mains sur toi. Et à cette idée tu sens à nouveau ton bas-ventre se contracter et une chaleur très agréable se répandre dans tout ton corps. Tu as quand même un peu peur qu’il balance à tout le monde que tu t’es jetée sur lui pour l’embrasser comme la putain de désespérée que tu es. Tu ne veux pas que ça se sache. Tu ne veux surtout pas que Charlie l’apprenne. Parce que si c’est toi qui as fait le premier pas, Yacine pourrait très bien tout balancer à ton frangin, quitte à omettre le fait qu’il ait répondu au baiser. T’es en train de penser à tout ça quand tu restes allongée sur le dos, sur son lit. T’es en train aussi de te demander ce que tu pourrais faire pour le faire dégager une bonne fois pour toute. Tu voudrais qu’il disparaisse de ta vue. Parce qu’il est hors de question que tu dormes dans le même lit que lui. Il est hors de question que tu prennes le risque que vos corps entrent à nouveau en contact. Mais tu fais une connerie, une de plus. Tu tournes la tête vers lui et un flot d’images plus lubriques les unes que les autres te frappe de plein fouet. Tu soupires profondément en le regardant. Tu essayes d’imaginer son corps qui est caché par ses vêtements. Tu peux deviner qu’il a quelques tatouages que tu ne peux pas voir actuellement. Et soudainement, tu as très envie de les voir. Tu as très envie de le toucher surtout. Tu te rends compte qu’au fond, tu l’as toujours trouvé très attirant Yacine, mais que tu étais trop aveuglée par ta rage pour t’en rendre compte.

Alors cette fois tu laisses tout ça de côté. Tu n’écoutes que ton corps. Et quand tu repousses son bras de son visage, tu croises son regard étonné. Mais tu ne lui laisses pas le temps de réagir, tu viens à nouveau poser tes lèvres contre les siennes. Tu t’approches tout en l’embrassant pour que ton corps se retrouve collé au sien, même si lui reste allongé sur le dos. Tu poses une de tes mains sur son visage, tes doigts se perdent dans sa barbe brune alors que vos langues se rencontrent pour la première fois. Quand il pose sa main dans ta nuque, tu frémis, tu frissonnes et tu ne fais rien pour cacher ça. Cette fois, tu lâches prise pour de bon, tu oublies tout, tu arrêtes d’écouter ta petite voix intérieure qui te hurle que c’est une très mauvaise idée. Tu t’en fous. Tu as envie de Yacine, sûrement depuis plus longtemps que tu le crois. Et t’es beaucoup trop excitée maintenant pour faire marche arrière. C’est que la dernière fois qu’un homme t’a touchée remonte à très très loin… Tu te montres langoureuse, ta langue caresse la sienne avec douceur. Tu profites de la chaleur de son corps contre le tien. Et tu veux lui faire comprendre que cette fois, tu ne vas pas faire marche arrière, tu veux même que ça aille plus loin. T’en as trop envie. Tout en continuant de l’embrasser, tu laisses sa joue pour faire glisser ta main de long de son corps. Quand tes doigts heurtent les boutons de son jean, tu les glisses sous son tee-shirt et tu commences à déboutonner son pantalon. T’es trop ivre, alors tu galères un peu pour y arriver, surtout à une main. Mais tu ne veux pas interrompre votre baiser. Tu grognes d’impatience contre sa bouche mais tu parviens à venir à bout de la fermeture de son pantalon. Tu glisses alors ta main dans son boxer, tu ne tournes pas autour du pot, t’as trop envie de lui. Tu appuies ta paume contre son sexe que tu commences à caresser tout en soupirant d’excitation contre sa bouche.

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Jeu 16 Juil - 21:35



Même si elle est loin d'atteindre son but quand elle tente de te filer quelques coups de pieds, elle parvient quand même à te faire perdre l'équilibre. Parce qu'elle se débat tout de même comme une sacré diablesse et que l'alcool ne va certainement pas t'aider à rester debout bien longtemps comme ça. A lutter contre cette façon qu'elle a de remuer comme une vraie sauvage. Une sacrée furie qui veut se dégager de ton semblant de prise et emprise, ça tu l'as bien compris.  Mais quand tu veux t'éloigner enfin, tu lui tombes dessus. Et forcément, elle n'apprécie pas du tout la chose. Quand bien même elle est tout autant responsable de cette chute et du rapprochement qui a suivit, que toi. Mais il n'y a rien que tu puisses faire pour lutter contre la chose. Elle se débat de nouveau très fort et n'hésite pas à t'insulter en te traitant de pervers. Puis de connard, histoire de bien enfoncer le clou et de bien te faire sentir qu'elle te hait au plus haut point. Même si tu n'as évidemment jamais eus le moindre doute à ce sujet. Simplement, tu commences à trouver relativement lassant qu'elle continue de réfléchir à toujours plus de façons de te le faire sentir comme elle te déteste. A croire que tu en as encore besoin de tout ça. Tu te contentes finalement de soupirer après son énième insulte. Maintenant que tu es décollé d'elle, tout va pour le mieux ou presque. T'es soulagé de ne plus ressentir toutes les folles sensations de son corps contre le tien. Sous le tien.  Parce que ça ne t'a quand même pas tant laissé indifférent ...

Tu te demandes si tu ne vas quand même pas faire avec sa présence non loin de toi, pour la nuit à venir. Parce que tu vas bien devoir dormir toi aussi. Et qu'apparemment, tu n'as pas le moyen de la jeter de ton lit comme tu l’espérerais pourtant très fort. Tu te dois de faire avec alors tu prends ton mal en patience. Dans le meilleur des cas, elle va abandonner la chose d'elle même et se tirer sans plus tarder. Tu espères. Tu y crois presque ... Mais quand elle remue, ce n'est pas du tout pour faire ça. Au contraire, elle cherche à retrouver un contact physique avec toi. Et pour le coup, tu ne te fais vraiment pas prier pour répondre plus que présent. T'en as très envie toi aussi. Parce qu'elle réveille de sacrés choses en toi. Parce qu'elle te fait bouillonner de l'intérieur. Parce que ta colère pour elle semble remuer plus encore ce désir que tu ignorais tout à fait jusque là. Jusqu'à ces baisers soudains qu'elle a offert à ta bouche. Et ces contacts offerts à ton corps par dessus le marché. Tu ne peux clairement pas faire autrement que de répondre plus que présent. T'en as envie de tout ça et tu n'as pas le moindre moyen de le lui cacher et de prétendre le contraire. Tu veux de tout ça et tu espères même beaucoup plus encore.

T'es tout à fait inconscient du regard et des pensées de Jodie en cet instant. T'es perdu dans tes propres pensées, à encore te demander si tu vas parvenir à trouver le sommeil de cette façon et malgré la colère qui continue de remuer au creux de tes entrailles.  Tu penses précisément à ça quand elle revient à l'attaque. Et clairement, tu ne t'y attendais pas du tout. Tout au contraire. Malgré la surprise, tu ne te fais pas du tout prier pour lui rendre ce baiser brûlant et dévorant.  Tu n'as aucune idée de où tout ça va vous mener. Mais tu ne te fais quand même pas prier pour le lui rendre avec fougue et ardeur. Plus encore quand vos langues entrent en contact l'une avec l'autre. Elle se rapproche plus encore alors tu glisses une main sur sa nuque. De quoi lui arracher un frisson qui ne passe pas inaperçu et qui t'encourage à poursuivre ce baiser encore et toujours plus, pour sûr. Tu t'attends à ce qu'elle mette brutalement fin à tout ça, jusqu'au moment où elle te détrompe en laissant sa main glisser le long de ton corps. Tu ne penses pas que son but soit de se foutre de toi ou de te provoquer gratuitement. Elle a tout l'air décidée et désireuse de plus. Tu te crispes tout de même un peu quand ses doigts rencontrent le bouton de ton pantalon. T'es surpris par le fait qu'elle aille droit au but de la sorte. Mais tu ne t'en plains pas pour autant. Tu as vraiment très envie d'elle.

Tu grondes en réponse au grognement qu'elle laisse échapper, quand elle s'impatiente en s'acharnant sur le bouton qui fait de la résistance. Vos bouches restent soudées l'une à l'autre. Et tes dents qui heurtent un peu les siennes quand sa main chaude vient se presser sur ton sexe qui a déjà commencé à réagir à tout ça. Tu ne peux très officiellement plus lui cacher ton envie d'elle. Une envie encore grandissante qui fait gonfler ton sexe sous sa main chaude qui caresse et provoque encore et toujours plus. Tu finis même par gémir tant ton désir est grand. Tant ton envie de la posséder, grandit vite et fort. Alors toi même tu te permets de faire courir tes mains curieuses sur son corps. Elles attrapent son haut et entreprennent de le lui retirer. Assez rapidement, parce que tu t'impatientes autant qu'elle. Vos lèvres ne se détachent que le temps de le faire disparaître ce vêtement. Parce que très vite, tu l'embrasses de nouveau. Tu galères autant qu'elle quand vient le moment de faire sauter les boutons de son pantalon. Mais t'en viens à bout et à ton tour, tu fais disparaître une main dans son pantalon. Tes doigts se faufilent jusque dans son sous vêtement pour tout de suite aller taquiner son bouton de plaisir. Toi non plus, tu ne tournes pas autour du pot. Toi aussi, t'as beaucoup trop envie de tout ça pour y mettre fin ou pour chercher à ralentir ces échanges de plus en plus brûlants. Au fond de toi, bien sûr que tu sais que c'est mal ce que vous êtes en train de faire. Mais c'est bon...
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Dim 19 Juil - 10:23


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@yacine russo

◊ ◊ ◊

Tu ne sais pas si c’est ta rage ou simplement l’alcool, ou alors un mixe des deux, mais un désir que tu as certainement profondément enfoui depuis très longtemps semble t’exploser en pleine gueule. Tu abandonnes définitivement l’idée de te barrer une bonne fois pour toute, quitte à aller dormir dans la rue, sur un banc ou sous un pont. Si t’étais sobre, c’est sans doute ce que tu aurais fait. Mais l’alcool ne te réussit vraiment pas. Parce que t’es sur le point de faire une grosse connerie, sûrement la plus grosse que tu aies jamais faite. Pourtant tu ne peux plus aller à l’encontre de ce que ton corps semble désirer. Tu te sens vraiment attirée par Yacine, c’est un fait, tu ne peux pas le nier. Allongée sur le lit, tu le regardes quelques secondes alors qu’il ne peut pas te voir, son bras cachant ses yeux. Tu en profites alors. Tu t’en donnes à cœur joie pour faire glisser tes iris sombres sur son corps. Tu t’attardes sur ses bras tatoués, ses bras qui semblent puissants. Et tu sens alors un frisson d’excitation te parcourir de part en part. Tu as toujours eu un faible pour les hommes bien bâtis, bien musclés, mais pas trop. Assez pour qu’ils te serrent fort dans leurs bras. Tu aimes te sentir toute petite et presque fragile quand un homme te serre fort contre lui, ce qui est en totale contradiction avec l’image de la femme forte que tu essayes de donner de toi. Tes yeux continuent de glisser plus bas sur son corps. Sur son torse qui se soulève et s’abaisse. Tu essayes de l’imaginer sans son tee-shirt, te deviner les tatouages qui doivent orner sa peau qui te semble bien douce d’un seul coup. Tu n’as jamais regardé Yacine de cette manière. Tu l’as toujours vu comme un mec imbuvable, sans aucun intérêt pour toi. A présent, tu te surprends à regretter de ne pas avoir ton appareil photo sous la main pour pouvoir faire quelques clichés de lui. Il t’inspire beaucoup soudainement. Et pas que d’un point de vue artistique…

Il t’inspire beaucoup d’autres choses Yacine. Notamment des envies que tu n’oserais jamais avouer à qui que ce soit. Tu hésites, tu sais que c’est mal ce que tu t’apprêtes à faire. Mais tout ton corps semble te hurler de te jeter sur lui. Le désir est bien présent, il en est presque envahissant, suffoquant. Alors tu cesses une bonne fois pour toute de te retenir. Tu remues sur le matelas pour t’approcher de lui. L’avant-goût que tu as eu de ses lèvres un peu plus tôt te donne une folle envie de recommencer. Alors tu écartes son bras de son visage. Un court instant vos regards se croisent. Il semble très surpris Yacine. Tu ne lui laisses pas le temps de dire quoi que ce soit ou de te repousser. Tu ne sais pas comment il va réagir, tu ne te poses même pas la question si tes désirs pour lui seront réciproques. Tu t’en fous un peu de tout à l’heure actuelle. Tu as juste envie de satisfaire un besoin qui devient presque vital pour toi. Alors tu t’approches de lui pour t’emparer de ses lèvres. Tu poses ta main sur sa joue alors que ta langue vient à la rencontre de la sienne. Et tu soupires immédiatement contre sa bouche quand elles commencent à se faire l’amour d’une façon très sensuelle. Tu ne mets pas la même hargne, la même rage que dans votre précédent baiser. Tu te montres plus langoureuse, plus sensuelle. Tu te délectes de la douceur de sa langue et du goût légèrement alcoolisé qu’elle dépose sur ta propre langue. Il répond au baiser Yacine, et il semble même y prendre beaucoup de plaisir. Sa main qui se pose dans ta nuque te donne des frissons et tu ne fais absolument rien pour les cacher. A quoi bon ? Il le voit bien que tu as envie de lui. Tout ton corps est en émoi, c’est bien un signe. Tu remues à nouveau pour approcher ton corps le plus possible du sien, tu n’interromps à aucun moment le baiser que vous êtes en train d’échanger. C’est terriblement bon, t’es bien obligée de l’admettre, tu ne veux pas que ça s’arrête.

Au contraire, tu veux même aller plus loin. T’as vraiment envie de Yacine. Tu ne peux pas aller contre ce désir qui semble te ronger de l’intérieur. C’est fort. C’est puissant. Alors tout en poursuivant ce baiser des plus incroyable, tu fais glisser ta main sur son corps. Tu ne prends même pas le temps de toucher chaque partie de son corps qui te donne pourtant très envie. Tu vas directement plus au sud de son corps. Tu n’as pas envie de perdre de temps, tu veux le sentir se durcir contre ta main, contre tes doigts. Tu veux prendre le temps de l’exciter un maximum, mais tu veux pouvoir profiter des réactions de son corps. Alors tu t’énerves sur les boutons de son pantalon jusqu’à ce que tu finisses par pouvoir glisser ta main dans son boxer. Le baiser devient plus fougueux alors que tes doigts effleurent sa longueur. Tu peux constater l’excitation qu’il ressent pour toi, ça ne fait que décupler ta propre excitation. Tu mordilles doucement sa lèvre alors que tu appuies un peu plus ta paume sur son sexe. Quand il interrompt le baiser, tu grognes ton mécontentement et tu rouvres les yeux pour croiser son regard. Le tien est plus noir que jamais. Tu es également obligée de retirer ta main de son boxer quand il te faut lever les bras pour l’aider à retirer ton tee-shirt. Vos lèvres se retrouvent rapidement. Et c’est à ton tour d’interrompre ce nouveau baiser pour l’imiter et faire remonter son tee-shirt pour le lui retirer. Tu restes quelques secondes à regarder son torse, à l’admirer plutôt. Et tu sens toujours un peu plus excitée, ça se ressent dans le baiser fougueux que tu lui offres alors que tu remets ta main dans son boxer. Et à son tour, il glisse ses doigts dans ton bas de sous-vêtement. Immédiatement tu te crispes et tu gémis contre sa bouche quand ses doigts effleurent tes lèvres intimes. Ta main libre vient saisir sa nuque alors que tu commences à remuer le bassin, t’as terriblement envie de lui, c’en est presque douloureux tellement c’est fort. Tu resserres tes doigts autour de sa longueur qui semble être à l’étroit dans son pantalon, mais tu ne veux pas le faire se stopper pour pouvoir le lui retirer, pas encore. Tes doigts agrippés à son sexe, tu entames des va et vient assez lents qui s’accélèrent quand ses caresses t’arrachent des gémissements de plaisir.

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Dim 19 Juil - 18:16



Tu n'es pas bien certain de savoir ce que tu cherches toi même, à t'allonger de cette façon et à poser un avant bras sur tes yeux. Sans doute que tu t'imagines encore pouvoir trouver le sommeil malgré la présence pour le moins gênante, de la jeune femme dans ton lit. Tu devrais être en train de te battre encore et toujours plus avec elle, pour la convaincre une bonne fois pour toutes de quitter tes draps. Mais au lieu de ça, tu sembles presque pouvoir faire avec. Tu restes là sans remuer, sans parler davantage non plus. Tu attends. Peut-être que le sommeil te fauche. Ou peut-être qu'elle se décide enfin à s'en aller sans plus faire de chichi. Mais ce n'est finalement rien de tout ça qui arrive. Et pour le coup, t'es tout aussi surpris qu'elle même doit l'être, par la suite des événements. Parce qu'elle vient se coller à toi et qu'elle ne tarde pas à filer à la conquête de tes lèvres. Tu n'es pas certain de vraiment être en train de vivre la chose. Il s'agit peut-être uniquement d'un rêve dans le fond. Ou pas. Tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Mais clairement, le fait est que tu es ravi par les sensations qui te prennent aux tripes. Par le désir qui vient s'installer au creux de tes reins, mine de rien. Tu ne pensais pas la désirer autant la jolie Jodie. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir souvent pensé qu'elle est vraiment très jolie et que son style lui va à ravir et lui offre un charme supplémentaire.

Alors clairement, t'es surpris par tout ce qui te tombe dessus alors que vos langues se font plus ou moins tendrement l'amour. Et que vos corps semblent soudainement bien désireux d'autres choses. De beaucoup plus, plus précisément. Envie et besoin de s'appartenir vite et bien. Vite et fort. Avec rage et passion. Tu ne sais pas du tout si elle a réellement l'intention d'aller au bout Jodie. Mais pour le coup, toi tu fonces tête la première, sans te poser plus de question que ça. Tu t'arrêteras si elle te demande de le faire. Tu iras au bout des choses, si elle te fait sentir qu'elle en a pleinement envie et qu'elle n'y oppose aucune once de résistance. Toi t'es partant pour tout, parce que t'as envie de tout ça, même si tu peines à vraiment l'assimiler tout à fait. Plutôt que de s'arrêter ou de ralentir les choses, elle semble plutôt vouloir les accentuer et les rendre toujours plus sérieuses. C'est en tout cas l'impression qu'elle te donne en venant se coller de façon plus intime encore à toi et en rendant ce baiser toujours plus langoureux. Aucun doute que vous êtes portés par la même envie furieuse de vous offrir une bonne fois pour toutes l'un à l'autre. Sans être bien certains de savoir si, oui ou non, ce sera l'affaire que d'une seule fois. Dans le fond, t'es persuadé que oui. Mais tu as l'esprit trop embrumé pour vraiment te poser ce genre de question pour l'heure. Et ça te semble surtout bien inutile. Et il serait dommage de gâcher l'instant bien assez fragile comme ça.

Tu ne sais trop comment elle y parvient, mais elle finit par glisser une main directement sous tes fringues, pour aller trouver ton sexe qui n'a déjà que trop commencé à se tendre. En réponse à ce désir fou qu'elle continue de réveiller en toi. Tu gémis un peu contre ses lèvres qui semblent se faire de plus en plus fougueuses sur les tiennes. Et mine de rien, tu tends également le bassin pour offrir plus encore ton sexe à sa main qui se fait douce sur ta longueur. Pourtant tu l'éloignes de toi. Même si ce n'est que le temps de faire sauter son haut soudainement bien trop encombrant à ton goût, ça a tout l'air de la foutre en rogne Jodie. Et ça te fait un peu sourire, avant que ta bouche n'épouse une fois de plus la forme de la sienne. Elle te fait sourire parce qu'en toutes circonstances dans son regard, semble danser une flamme que personne ne saurait éteindre. Si tu as initié un nouveau baiser, c'est elle qui y met rapidement fin pour se charger, à son tour, de faire disparaître ton tee shirt. Et tout naturellement, tu te laisses également faire. Ton désir ne fait que décupler encore, quand tu constates la façon qu'elle a de te regarder. Tu n'as jamais imaginé qu'elle pourrait avoir envie de toi Jodie. Mais en cet instant, il n'y a rien dont tu sois plus sûr que ça. Elle a très envie de toi et elle ne manque pas de te le rappeler vivement en t'embrassant avec plus de fougue encore.

Tu lui rends enfin la pareille en glissant à ton tour une main dans son pantalon. Sa vive réaction t'arrache un frisson d'extase. Elle exprime son plaisir à coup de gémissement et ça ne peut décemment pas te laisser indifférent. En plus de cette plainte, elle ne tarde pas à remuer son bassin pour t'inciter à poursuivre et se frotter davantage à tes doigts. En guise de réponse, tu précises assez tes caresses pour qu'elle ne soit que plus moite encore. Mais quand elle raffermit la prise de ses doigts autour de ta longueur et accélère la cadence de ses caresses, de ton côté tu enfonces deux doigts en elle. C'est plus fort que toi. Tu es de nouveau plus excité encore par la chaleur qui se referme autour de tes phalanges. Si ça ne tenait qu'à toi, tu l'aurais déjà étendu sur les draps pour la déshabiller et t'enfoncer entre ses cuisses. Mais ses caresses excitantes au possible, t'en empêchent. Tu serres les dents pour te retenir, ta bouche appuyée contre la sienne et fait aller et venir tes doigts plus vivement en elle. Jusqu'à être pleinement agacé par ses vêtements qui te ralentissent et qui t'obligent donc à agir. Tu te redresses vivement et la fait basculer sur le lit dans la manoeuvre. A genoux devant elle, tu attrapes son pantalon et sa culotte en même temps, pour les lui ôter sans faire preuve de beaucoup de douceur. Ton regard qui se pose sur son intimité, brille d'envies toutes plus lubriques les unes que les autres. Mais tu n'auras pas la patience de jouer le jeu des préliminaires plus longtemps. Alors tu reviens à elle et l'embrasses de nouveau. Roulant dans le lit pour qu'elle se retrouve au dessus de toi et que tu puisses ainsi glisser tes doigts dans son dos pour trouver l'attache de son soutien gorge. Parce qu'il est hors de question que tu te prives de la moindre courbe de ce corps que tu découvres être absolument parfait. Tu l'as connu avec quelques kilos en plus et quelques kilos en moins, Jodie. Tu la préfères comme elle est actuellement. Ou quand elle a un peu plus de chair encore sur les os. Mine de rien, t'es déjà en train d'explorer ses courbes du plat de tes mains, une fois le dernier morceau de tissu retiré.
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Sam 25 Juil - 14:25


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@yacine russo

◊ ◊ ◊

L’heure n’est plus aux disputes, aux insultes ou aux coups bas. Tu as abandonné tout ça pour écouter pleinement ton désir. Ton corps semble réellement attiré par celui de Yacine. Et tu ne peux aller contre cette envie, ce besoin même. C’est beaucoup trop fort pour que tu l’ignores. Et même si tu risques fortement de le regretter au petit jour quand tu auras décuvé, tu ne te poses pas plus de questions. Tu as envie de lui, le reste t’importe peu. Alors tu t’empresses de venir capturer ses lèvres, tu prends le risque qu’il te repousse et qu’il te rit au nez. Tu prends le risque d’être vexée, blessée de la manière la plus brutale qui soit. Tu fais tout ça parce que tu es complètement bourrée, sobre, tu n’aurais jamais osé. Sobre, tu n’aurais jamais écouté les envies, les désirs les plus bestiaux que tu ne t’es pas fait prier d’enfouir depuis très longtemps. Ce n’est pas à cause/grâce à l’alcool que tu as envie de Yacine, cette envie est présente depuis très longtemps, mais tu étais tellement aveuglée par ta rage que tu n’y as même pas fait attention. Maintenant que tu es totalement désinhibée grâce à l’alcool, tu te laisses aller. Tu l’embrasses avec une certaine douceur et beaucoup de passion alors que tu frottes ton corps au sien. A ton grand soulagement, Yacine répond à tes baisers, et ce plutôt deux fois qu’une. Vos langues se rencontrent enfin pour se faire l’amour tandis que ta main se montre de plus en plus baladeuse sur son corps. Tu veux profiter de tout ce qu’il a à offrir Yacine. Vous n’aurez probablement pas l’opportunité de remettre ça un jour, alors tu veux en profiter à fond. Et tu n’es pas assez patiente pour tourner autour du pot trois heures, tu t’intéresses tout de suite à l’objet de tes désirs, à son sexe déjà tendu quand tu glisses ta main dans son boxer. Et sa réaction ne t’excite que davantage. Ta langue continue de caresser la sienne alors que tes doigts vont et viennent lentement sur toute sa longueur.

Et très vite Yacine t’offre quelques caresses à son tour. Quand sa main se faufile dans ton sous-vêtement, tu gémis sur le champ, ça fait tellement longtemps que personne ne t’a touchée que tu es vraiment très sensible. Et tu ne te fais pas prier pour remuer le bassin, pour te frotter contre ses doigts. Après avoir dû stopper vos caresses pour vous débarrasser de vos tee-shirts respectifs, tu te montres plus fougueuse, autant dans tes baisers que dans tes caresses. Tu resserres plus fermement tes doigts autour de sa longueur et son gémissement t’arrache quelques frissons. Tu n’es pas la seule à te montrer plus fougueuse, plus coquine, parce que Yacine n’en a pas fini avec toi. Il ne se contente plus de caresser ton bouton de plaisir, il enfonce deux doigts en toi, et tu gémis contre ses lèvres. Bouche entrouverte, tu fermes les yeux en soupirant d’excitation. Tes doigts se resserrent un peu plus autour de son sexe et tu cesses de les remuer le temps que tu t’habitues à la présence des siens entre tes cuisses. Ta main libre vient empoigner sa nuque alors que tu appuies tes lèvres plus férocement contre les siennes. Ton bassin se met à remuer pour le motiver à continuer d’enfoncer ses doigts en toi. De ton côté, tu vas et tu viens le long de son sexe qui est de plus en plus à l’étroit dans son boxer. Mais tu n’as pas le temps de prendre les devants pour lui retirer ses vêtements. Yacine retire ses doigts d’entre tes cuisses, ce qui t’arrache un nouveau grognement d’insatisfaction. Tu rouvres tes yeux sombres pour les faire glisser sur lui alors qu’il te fait basculer et que tu te retrouves allongée sur le dos. Sans aucune douceur, il te débarrasse de ton pantalon et de ton sous-vêtement. Tu peux le voir qu’il semble te dévorer du regard. Et pendant un instant tu penses qu’il va vraiment te dévorer et ton cœur se met à battre à un rythme effréné.

Mais au lieu de ça, il revient t’embrasser et tu ne te fais pas prier pour répondre à son baiser en passant tes bras autour de son cou. Tu ne sais comment tu te retrouves très vite sur lui, lui allongée sous toi. Tu écartes les cuisses pour placer tes genoux de chaque côté de ses hanches et tu le laisses te débarrasser de ton dernier vêtement. Tu frémis sous ses caresses alors qu’il semble bien décidé à toucher chaque partie de ton corps. Tu ne sais absolument pas ce qu’il pense, ce qu’il se dit en te touchant, s’il est satisfait par ta silhouette, par tes formes. Tu as tellement souffert du regard des autres pendant des années, que tu as toujours cette crainte quand un homme te voit nue. Tu as toujours peur de ne pas être au goût de ton amant. Mais à aucun moment tu ne mets fin à votre baiser, tes mains appuyées sur chacune de ses joues, tu fais danser ta langue contre la sienne pendant quelques bonnes secondes. Tout en continuant de l’embrasser avec passion et fougue, tu fais glisser tes mains sur son torse, un torse que tu as eu le temps d’observer, un torse absolument parfait. Tu es bien obligée d’écarter tes lèvres des siennes pour te redresser alors que tu t’empresses de libérer son sexe de sa prison de tissu. A ton tour, tu le débarrasses de ses vêtements pour qu’il se retrouve totalement nu. Tu ne prends pas vraiment le temps de l’observer, tu as beaucoup trop envie de le sentir contre toi, en toi. Tu te réinstalles sur lui, les cuisses écartées. Vos sexes se rencontrent enfin. Mais pour le moment, tu ne fais rien pour le guider en toi, tu te contentes de remuer le bassin pour que son sexe se glisse entre tes lèvres intimes, qu’il effleure ton bouton de plaisir que ses caresses ont bien gonflé d’excitation. Tu reviens capturer ses lèvres, emprisonnant son visage de tes mains alors que tu continues de danser contre lui. Jusqu’à ce que tu n’en puisses vraiment plus. Tu mets fin au baiser, tu redresses le haut de ton corps et à l’aide de ta main tu le guides en toi. Quand tu abaisses le bassin sur sa longueur, tu pousses un long gémissement et tu rejettes la tête en arrière. Ton regard croise le sien quand tu redresses la tête, tu poses tes mains sur son torse alors que tu te mets à onduler le bassin et que tu entames des va et vient assez lents.  

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Lun 27 Juil - 19:56



TTu n'as aucune foutue idée ni aucune conscience de ce que vous êtes en train de faire. Ou sur le point de faire. Tu n'es porté par rien d'autre que par le désir que tu ressens si subitement pour elle. Cette jeune femme au tempérament de feu qui passe le plus clair de son temps à te foutre en rogne sans raison apparente. En tout cas aucune que tu ne comprennes. Tu es convaincu que c'est tout à fait gratuit. Parce qu'elle n'aime personne et que toi, c'est tout le contraire. Tu aimes tout le monde et si ça ne tenait qu'à toi, ça ne fait aucun doute que tu ferais en sorte que tout le monde soit heureux et que tout le monde s'aime. Avec une personne comme elle, c'est franchement compliqué. Tu doutes pourtant qu'elle soit capable de se rendre heureuse elle même. Et même de savoir ce qu'elle peut et doit faire pour en arriver à ça. Elle s'imagine forcément qu'elle est bien toute seule et que rien ni personne ne saura jamais inverser la tendance pour l'aider d'une quelconque façon que ce soit. Là où toi tu continues de croire qu'il ne faut pas rester seul. Que personne ne peut être bien dans son esprit et dans son corps, en vivant de cette façon. Mais tout ça, tu sais que ce n'est pas vraiment à toi de le lui faire remarquer. Que ce n'est pas ton rôle et que jamais elle n'entendra raison de la part de qui que ce soit. Elle est bien trop sûre d'elle et trop solitaire pour tout ça.

Mais elle est en train de te faire découvrir une toute autre facette de sa personnalité la jolie Jodie. Avec son tempérament de feu, la passion démesurée. Qui a le don de sacrément t'exciter alors que vous vous offrez des baisers de plus en plus brûlants et que sa main se fait provocante à souhait. A caresser ton sexe sur toute sa longueur. Tout naturellement, tu as vite fait de lui rendre la pareille. Quand tu viens caresser son bouton de plaisir de tes doigts avides de toujours plus. Tellement plus, que tu finis même par en enfoncer deux en elle. De quoi lui arracher un gémissement qu'elle peine à étouffer contre ta bouche qu'elle continue de malmener chaudement de la sienne. Tout ça est bien trop bon pour que ut ne répondes pas présent. T'es beaucoup trop excité par l'ensemble surtout. Tu ne l'imaginais pas du tout ainsi pourtant. Tu la pensais plutôt froide et frigide. Mais la surprise est plus que positive. Tu ne te fais pas prier pour l'encourager à poursuivre ses caresses et pour lui faire l'amour de tes doigts en elle en retour. D'autant plus que plus ils vont et viennent, plus elle est trempée Jodie. Diablement réceptive, pour ton plus grand plaisir. Elle ne tarde pas à remuer des hanches pour t'inciter à poursuivre encore et toujours plus. Quand bien même tu n'as pas réellement besoin de ça pour répondre présent. Vos envies s'emmêlent et s'entremêlent pour ne faire qu'une commune.

Et la tension ne fait ainsi que monter crescendo. Jusqu'à se faire tout bonnement insupportable en ce qui te concerne. Tu t'impatientes vite et c'est la raison pour laquelle tu la fais basculer sur le lit et que tu te hâtes de faire sauter les derniers rempares qui se dressent entre vos corps. Qui empêchent à vos peaux de se rencontrer. Tu as une hâte certaine et plus qu'évidente, de poser enfin tes yeux sur son corps que tu devines être parfait. Bien plus encore que ce que tu pourrais t'imaginer avec les fringues parfois informes qu'elle porte pour dissimuler ses courbes. A d'autres reprises, elle sait également comment les mettre en valeur. Quand elle porte des pantalons taille haute fermement resserrée autour de sa taille fine et dévoilant ainsi le parfait arrondi de ses hanches. Et même comme ça, tu étais loin du compte. Elle est absolument parfaite Jodie. En tout cas, elle est carrément à ton goût. Raison pour laquelle tu te perds un court instant dans sa contemplation. Et si tu n'avais pas tant envie d'elle et si tu n'étais pas soudainement si pressé, tu continuerais de la dévorer du regard. Mais l'envie est bien là et te pousse à la faire basculer pour qu'elle retrouve sa place sur toi, une fois entièrement nue. Et là, c'est elle qui ne te laisse pas trop l'opportunité de la dévorer du regard comme tu aimerais le faire. Elle n'a de cesse de venir et revenir à la conquête de ta bouche pour des baisers toujours plus profonds et plus brûlants.

Mais il suffit qu'elle se redresse pour te débarrasser de tes fringues, pour que tu en profites pour poser les yeux sur elle. Encore. Toujours plus. Tu te rinces clairement l'oeil et tu ne t'en caches absolument pas. Elle est magnifique et elle peut voir dans ton regard toute l'envie que tu as d'elle et qui ne fait que grandir au fil des secondes. Et se confirmer encore et toujours plus alors que tes mains attrapent ses hanches. Que tes doigts se plantent dans sa chair en réponse à ses frottements diaboliques et excitants. Putain c'que t'es bonne. Que tu laisses échapper d'une voix à peine audible. Le langage peu réfléchit et peu élaboré tant l'alcool et le désir pour elle sont en train de te sonner. Tu n'y peux rien. Ou tu n'as pas du tout envie de faire le moindre effort. Quoi qu'il en soit, tu te tends quand elle se redresser pour te guider enfin en elle. Et quand elle t'enfonce, centimètre après centimètre, tu observes le tout d'un œil très attentif. Tu te vois ainsi disparaître entre ses lèvres intimes. Et c'est une fois enfoncé en elle jusqu'à la garde, que tu laisses entendre un grognement de soulagement pur. Si tu gardes une main serrée autour de l'une de ses hanches, l'autre remonte pour aller trouver un sein que tu empoignes tout aussi fort. Tu ne peux t'empêcher de l'empoigner de cette façon ferme et insistante, tant l'effet qu'elle a sur toi est saisissant. Et son corps te tente bien trop pour que tu gardes tes mains pour toi.
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