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(+18) trap (ft. yadie)
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Mar 28 Juil - 14:37


trap

@yacine russo

◊ ◊ ◊

En temps normal, en étant sobre du moins, jamais tu ne te comporterais de cette façon. Et encore moins avec Yacine. Il te faut du temps avant de te montrer aussi «  intime » avec quelqu’un. Aussi entreprenante surtout. Tu n'es pas le genre de personne qui baise avec des inconnus, qui écoute juste ses pulsions les plus animales pour satisfaire ses besoins sexuels. Parce que toi, le physique n’est pas vraiment ce qui t’intéresse le plus. Même si comme tout le monde, tu aimes profiter des belles choses, seulement, la beauté est subjective. Et à tes yeux, elle passe surtout par la personnalité de la personne, plus que par le physique. C’est pour ça que tu ne baises jamais avec une personne que tu as juste croisée à une soirée. Tu as besoin de temps, d’apprendre à connaître la personne avant. Et jamais tu n'aurais envisagé même une seule seconde que tu pourrais avoir envie de Yacine. Parce qu’il te tape tellement sur le système que tu n’aurais jamais pensé éprouver la moindre attirance pour lui. Pourtant, à ce moment très précis, tu ne penses à rien d’autre qu’à lui, qu’à son corps, qu’à ses lèvres et à tout ce que ça procure en toi. A aucun moment tu ne te dis que c'est mal, que tu vas le regretter. Tu as beaucoup trop envie de lui pour penser à tout ça. La chute n’en sera que plus dure demain quand tu te réveilleras à ses côté, si tant est que vous passiez la nuit entière ensemble. Quand les effets de l’alcool se seront pour de bon évaporés, là, à ce moment là tu pourras paniquer et regretter. Pour le moment, tu veux juste profiter. Tu veux juste le toucher, l’embrasser et qu’il en fasse de même avec toi. Tu te délectes de ses baisers, des frissons que te procure le contact de ses doigts sur ta peau. Tu as une terrible envie de les sentir glisser partout sur ton corps, tu as terriblement envie que vos corps ne fassent plus qu'un.

Tu ne sais même pas à quand remonte la dernière fois que tu as ressenti un tel désir, une telle envie. A vrai dire, tu ne sais même pas si tu as déjà ressenti ça auparavant. Et c’est certainement l’alcool qui te fait te sentir comme ça. Tu as ce besoin pressant de le toucher, de découvrir son sexe et l’état dans lequel toi tu peux le mettre. Parce que tu n’as clairement pas confiance en toi, contrairement à ce que tu peux laisser paraître. Mais encore une fois l’alcool te désinhibe complètement. Tu laisses de côté tes doutes. Et quand il t’imite Yacine, quand à son tour il glisse sa main dans ton sous-vêtement tu lâches un long soupir de soulagement. Tu es tellement excitée que dès que la pulpe de ses doigts effleure ton bouton de plaisir tu pousses un long gémissement. Tu plaques tes lèvres sur les siennes alors que tu remues le bassin pour te caresser contre ses doigts. Tes baisers se font plus fougueux et plus brûlants alors que tes doigts se resserrent le long de son sexe. T’es sur le point d'exploser quand il enfonce deux doigts en toi. Tu t’agrippes à sa nuque alors que tes caresses se font plus pressantes, plus rapides. L’envie devient de plus en plus envahissante, insupportable. Et quand il remue pour te débarrasser de tes vêtements, tu ne peux que te laisser faire même si tu es frustrée de ne plus pouvoir le toucher et qu’il ne touche plus non plus. Tu restes quelques secondes allongée sur le dos, sous son regard dévorant, brillant de désir. Tu n’es pas très à l’aise avec le fait qu’on te regarde comme ça. Tu n’es pas très à l’aise dans ton corps tout court. Même si tu as perdu beaucoup de poids depuis ton adolescence, tu as beaucoup de mal avec ton corps. Tu n’es jamais satisfaite de ton apparence. Et c'est pour cette raison que tu te sens un peu mal à l’aise quand Yacine te dévore du regard.

Tu te laisses à nouveau faire quand il te fait basculer pour que tu te retrouves installée sur lui. A nouveau son regard s’attarde sur ton corps nu. Tu  le fixes en silence alors qu’il te complimente à sa façon. Et tu préfères te pencher vers lui pour capturer ses lèvres afin qu’il ne puisse plus te contempler de cette façon. Et tout en l’embrassant avec fougue et passion, tu cherches à tâtons le bouton de la lampe de chevet afin de l’éteindre. Tu ne pourras plus le voir non plus, mais au moins dans le noir, tu n’auras plus à « subir » ses regards insistants. A présent que vous êtes dans le noir presque complet, que vous pouvez juste voir vos silhouettes respectives, tu te redresses pour le guider entre tes cuisses. Tu lâches un long soupir alors que sa longueur s’enfonce centimètre par centimètre. Tu poses les paumes de tes mains contre son torse alors que tu commences à faire de lents va et vient. Tu penches la tête en arrière, rejetant ainsi ta longue chevelure enflammée dans ton dos. Tu gémis doucement quand Yacine agrippe fermement l’un de tes seins et ta hanche. Tu resserres tes doigts autour du poignet de sa main posée sur ton sein alors que tu remues le bassin de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ton autre main est toujours posée sur son torse, tu y enfonces délicatement tes ongles alors que vos bassins se heurtent l’un contre l'autre dans un bruit de claquements des plus érotiques. Tu ondules avec de plus en plus frénétiquement. Tu attrapes sa main qui est posée contre ta hanche et tu la poses contre ton autre sein. Tu resserres tes doigts contre le dos de sa main pour le forcer à t’agripper avec force, parce que tu adores ça qu’il te touche de cette façon. « Touche moi. » Que tu souffles d’une voix rauque, haletante tandis que tu continues de sautiller au-dessus de lui pour l’enfoncer encore et encore entre tes cuisses.

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Mar 28 Juil - 21:58



Tu ne sais pas du tout ce qui vous prend à tous les deux. Mais vous semblez tout autant incapables l'un que l'autre, de faire taire cette montée en puissance du désir dans son corps et dans le tien. C'est électrique. Brutal. Violent. T'as la sensation étonnante d'être en train de prendre feu. Tu ne saurais pleinement expliquer pourquoi mais c'est un fait. Tu peux presque sentir les flammes qui te lèchent de l'intérieur. Ce désir que tu ressens pour elle est à peine croyable. Tu ne pensais vraiment pas que c'était possible entre vous ça. Tu ne savais pas que tu étais en mesure de désirer une nana qui passe son temps à te repousser et à te prendre à parti. Qui fait tout son possible pour te foutre en rogne. Et pour le coup, elle y parvient plutôt sans grand mal. T'as beau aimer tout le monde, en toutes circonstances ou presque, elle sait appuyer là où ça fait mal et ainsi te faire réagir au quart de tour. Ce soir encore elle est parvenue à provoquer un sacré bordel entre vous. Mais aucun doute que, tout comme toi, elle ne s'attendait pas à ce que ça se termine de la sorte. Dans le même lit. Vos corps finalement nus qui se pressent l'un contre l'autre, se provoquent et cherchent plus encore de contact. Vous vous embrassez comme des fous furieux. Votre bouche dévorant celle de l'autre avec une passion folle et une gourmandise dingue. Si vous en aviez le temps, tu serais même en train de goûter à l'ensemble de son corps qui ne te tente que trop. Au lieu de ça, tu précipites les choses. Avec la hâte dingue de pouvoir enfin plonger en elle.

Tu profites quand même de sa nudité pour la contempler avec insistance. Elle est tellement belle et incroyablement bien faite, que tu n'as aucune raison de ne pas profiter de la vue. Et l'alcool t'empêche de réaliser que ton regard pourrait la mettre mal à l'aise. Impossible que ce genre de pensée monte jusque dans ton esprit embrumé. Parce qu'elle est sacrément excitante et qu'en cet instant tu ne peux t'imaginer qu'elle doute d'elle au point de ne pas supporter un regard de désir sur elle. Si tu n'avais pas une folle envie d'elle toute entière, tu ne serais pas en train d'échanger de tels baisers avec elle. Et tu ne serais surtout pas sur le point de la prendre, purement et simplement. Or, une fois vos fringues retirées, tu plantes tes doigts dans sa chair ferme pour l'inciter à poursuivre ses mouvements de bassin, quand elle se frotte à ton érection maintenant bien présente. Tu grondes et soupires ouvertement ton envie d'elle qui ne fait que grandir encore et toujours plus.  Mais elle échappe à ton regard quand elle se penche pour t'embrasser et fouiller de nouveau ta bouche de sa langue. Surtout, elle en profite pour éteindre la lumière. Ce que tu ne réalises pas même tout de suite. Toujours aussi assommé par l'alcool que tu peux l'être.

Enfin elle se redresse, monte, te glisse à son entrée et redescend pour te permettre de t'enfoncer en elle. De quoi t'arracher une première plainte de plaisir. Ton envie d'elle trouve encore le moyen de gonfler. Et tu ne pensais vraiment pas ça possible. D'autant plus que vous êtes maintenant plongés dans une obscurité quasi totale. Seulement mise à mal par la lune qui entre à flots par la fenêtre. Tu grondes quand elle referme une main autour de ton poignet à hauteur de son sein. Elle a ne réaction des plus vives et ça te plait. Tout ce qui suit te plait à vrai dire. Sacrément. Et il semble en aller de même pour elle qui ne tarde pas à remuer plus franchement des hanches. Pour s'empaler maintenant de façon sérieuse sur ton sexe. Elle t'arrache un vrai gémissement d'extase maintenant qu'elle fait claquer vos chairs avec une certaine frénésie. Qu'elle se baise furieusement sur toi. Tu ne prends même pas tout de suite conscience de sa main qui attrape la tienne pour te la faire poser sur son sein encore libre. Tu ne te fais pas prier pour planter franchement tes doigts dans sa chair ferme. Sa poitrine est parfaite, comme le reste de ses si jolies courbes. Et toi tu jures. Tu grondes. Tu gémis. Tu supplies surtout pour qu'elle continue. Qu'elle ne s'arrête surtout pas, nom d'un chien. Parce que ça te fait beaucoup trop bien et tu ne peux le lui cacher. Tu ne tentes pas du tout d'ailleurs.

Plus fort. Putain. Plus fort. Que tu grondes et halètes tant bien que mal, entre deux plaintes de plaisir. Parce qu'elle fait ça vraiment bien. Elle qui sautille littéralement sur toi désormais. Faisant claquer toujours plus fort vos peaux qui se heurtent sans une once de douceur. T'es bien partie pour te laisser faire comme ça encore un moment. Mais l'excitation est telle, que tu finis par remuer suffisamment pour la faire de nouveau basculer sur le matelas. Tu as l'intention de rallumer une lampe de chevet. Mais tu n'en trouves ni la force ni le courage finalement. T'es trop excité pour ça. Trop désireux d'elle toute entière. Alors tu te concentres sur ce qui se joue plus au sud de ton corps. De vos corps. Tu ne penses qu'à ton sexe qui coulisse toujours aussi furieusement en elle. Tu n'as en rien ralenti les choses malgré le changement soudain de position. Toutefois, tu ne peux garder tes mains sur ses seins de la sorte. Tu poses tes avant bras sur le matelas pour rester en appuie au dessus d'elle / contre elle. Tu continues ainsi de heurter son bassin du tien, comme un vrai fou furieux. Tu la possèdes toute entière. Tu la prends comme un animal gourmand au possible. Encore et toujours plus. Et ça t'arrache surtout quelques autres plaintes et jurons d'extase. De surprise aussi, un peu. Parce que tu n'envisageais pas de coucher avec elle un jour. Et que t'es le premier à être étonné du plaisir que tu prends à tout ça.
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Ven 31 Juil - 14:58


trap

@yacine russo

◊ ◊ ◊

Pour une fois ce ne sont pas vos esprits qui s’échauffent mais vos corps. Pour une fois, vous ne vous hurlez pas dessus, mais vous vous jetez l’un sur l’autre, vous vous embrassez comme des fous furieux, comme si votre vie en dépendait. Tu n’as jamais vu Yacine comme un amant potentiel, parce que t’es toujours bien trop occupée à le détester. Et probablement que tu n’aurais jamais rien ressenti pour lui si tu n’avais pas bu. Les choses se seraient passées différemment si tu ne t’étais pas laissé aller par ta colère et si tu ne t’étais pas jetée sur cette bouteille. Mais tu ne penses pas à tout ça pour le moment. Tu ne penses qu’à ce corps parfait qui se révèle sous ton regard sombre. Regard dans lequel semblent danser les flammes d’un désir brûlant, ardent. Tu ne peux pas aller contre ton désir, contre ton envie de lui. C’est trop fort, c’est trop brutal pour que tu espères faire quoi que ce soit qui aille à l’encontre de tout ce que ton corps semble désirer. Alors tu ne luttes pas. Tu te délectes du spectacle que son corps t’offre une fois qu’il se retrouve entièrement nu. Un corps parfaitement sculpté sur lequel se dessinent des tatouages parfaitement réalisés. Son corps est une véritable œuvre d’art. Et tu ressens une soudaine envie de prendre quelques clichés de lui. Quelques photos que tu garderais juste pour toi. Mais tu n’as pas ton appareil sous la main, et tu as bien trop envie de lui. Mais tu prends malgré tout le temps de l’observer avec insistance, le temps de te délecter de chaque centimètre carré de sa peau. Une peau que tu rêves de toucher, d’embrasser ou de lécher. Mais l’envie est trop pressante, tu ne peux pas jouer à ce petit jeu, ton corps se consume de plus en plus, à chaque seconde qui passe. Il faut que tu l’accueille en toi et vite !

Et il semble d’être dans le même état que toi Yacine, même si à son tour il prend le temps de te regarder avec beaucoup d’insistance. Tu ne te rends pas compte de la lueur de désir qui brille dans ses yeux. Toi, tu crains qu’il ne finisse par réaliser que tu n’es pas aussi bien faite qu’il l’espérait. Tu ne veux pas lui laisser le temps de regretter, de vouloir faire machine arrière et de te rire au nez. Tu as déjà bien trop souvent l’humiliation que peuvent procurer rires et moqueries concernant ton physique. Tu ne peux plus le supporter. Alors tu préfères éteindre la lumière, même si toi, ça t’empêche de profiter de son corps également. Mais c’est de tes mains que tu vas en profiter, et de tes lèvres si t’en as la possibilité. Lèvres qui ne quittent presque plus les siennes. C’est à peine si tu prends le temps de récupérer ton souffle. Quand tu cesses enfin de l’embrasser c’est uniquement parce que vos positions ne le permettent plus. Et c’est le cas quand il te fait basculer pour que tu te retrouves au-dessus de lui. Tu remédies vite à la chose en te penchant au-dessus de lui tout en frottant ton intimité trempée à son sexe tendu. Tes soupirs d’excitation sont étouffés par vos lèvres qui se cherchent toujours, encore et encore, par vos langues qui s’entrainent dans une danse infernale. Et quand tu n’en peux vraiment plus, tu guides son membre entre tes cuisses, tu abaisses le bassin pour t’empaler sur lui. Centimètre par centimètre, tu y vas doucement pour commencer. Tu rejettes la tête en arrière en poussant un long soupir de satisfaction. Tes mains posées sur son torse, tu entames une danse langoureuse et suave. Ton bassin remue d’avant en arrière avec lenteur. Tu veilles à ce qu’il te remplisse de toute sa longueur. Ses doigts s’enfoncent dans ta chair au point que ça t’en ferait presque mal, mais tu adores ça. Tu agrippes même sa main pour qu’il vienne saisir ton autre sein et quand ses doigts se resserrent autour, tu pousses un long gémissement.

Tu ne te fais pas prier pour répondre à sa requête. Tes mains agrippant ses poignets, le dos légèrement arqué, tu te déchaines. Tu abaisses et relèves le bassin à un rythme effréné. Le bruit de claquement que produisent vos corps qui se heurtent à chaque fois que tu te laisses retomber sur lui, semble inonder la pièce. Tu ne sais pas s’il y a encore du monde dans l’appartement, et pour le coup, tu t’en fous complètement. Tu te fiches de savoir si quelqu’un vous entend, parce que vous n’êtes pas vraiment discret. Tu gémis de plus en plus alors que tu sens ta peau chauffer à force de trop se frotter à la sienne. Tu te mords la lèvre, fort, alors que le plaisir devient de plus en plus intense. Tu laisses échapper un petit jappement de surprise quand il te fait à nouveau basculer. Tu te retrouves allongée sur le lit, sur le dos, à sa merci. Et tu dois admettre que tu aimes ça. Tu relâches ses poignets et tu tends la main vers son visage pour le caresser tandis qu’il se retrouve au-dessus de toi. Tu ne te fais pas prier pour écarter les cuisses afin de lui laisser la place de se glisser entre. Cette fois c’est lui qui mène la danse, c’est lui qui décide du rythme à adopter. Et il ne baisse pas la cadence, à aucun moment. Tu as chaud, terriblement chaud. Tu sens ta longue tignasse qui se colle à ta nuque, quelques gouttes de sueur qui perlent entre tes seins. Tu passes tes bras autour de sa nuque et tu redresses un peu le haut du corps pour venir l’embrasser avec fougue. Pour mettre fin à ce baiser, tu attrapes sa lèvre entre tes dents. Tes doigts remontent dans ses cheveux sur lesquels tu tires doucement tandis que vos bassins continuent de se rencontrer avec fougue, avec ardeur. Tu ne sais pas si tu as déjà ressenti un plaisir aussi intense, si c’est le cas, c’était il y a très longtemps. Tu te rends compte à quel point le sexe t’a manqué. Entre plusieurs longs gémissements, tu parviens à souffler quelques mots de ta voix rauque, entrecoupée par tes halètements. « Oh oui ! Continue ! T’arrête pas Yacine ! » Ton dos se cambre et se décolle légèrement du matelas, ta tête bascule en arrière sur l’oreiller et tu t’agrippes fermement aux draps.

(c) oxymort

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Sam 8 Aoû - 17:20



Tu ne sais pas toi même comment vous avez bien pu en arriver là. Tu sais qu'elle ne te porte pas dans son coeur, la jolie Jodie. Et de ton côté, même si tu ne la détestes pas vraiment, tu ne peux pas non plus affirmer que tu l'adores. Il faut quand même dire qu'elle a tendance à te mener la vie dure. Parce qu'elle te déteste et a besoin de te le faire savoir encore et toujours plus. Et que toi, t'es le genre à ne pas se laisser déprimer pour "si peu". Parfois tu daignes te défendre. Parfois tu te contentes de la laisser faire sans rebondir sur ses mots. Mais ce qui se joue entre vous ce soir, est assurément une grande nouveauté. Tu ne sais pas si ça se reproduira et finalement tu ne te poses pas plus de question que ça. Parce que t'es bien décidé à profiter de l'instant présent comme tu sais si bien le faire. En usant et abusant de ses si parfaites courbes . Même si elle finit par les dissimuler en grande partie quand elle atteint le bouton d'une lampe de chevet, pour éteindre. Et ainsi te priver de la vision enchanteresse de son corps que tu trouves absolument parfait. Plus encore que tu ne pouvais l'imaginer et l'espérer. Elle est diablement parfaite la rouquine mais semble ne pas le savoir elle même. Ce qui explique pourquoi elle a si vite fait de se planquer de la sorte. Fort heureusement pour elle, tu te laisses surtout bien volontiers emporté par le désir qu'elle éveille en toi.

D'autant plus qu'elle ne tarde pas à t'offrir plus encore. Quand elle vient s'installer à califourchon sur toi pour unir vos corps, tu te laisses évidemment faire. Et tu ne retiens pas les premières plaintes de plaisir qui s'échappent tout en douceur de tes lèvres contre lesquelles les siennes n'ont de cesse d'échouer. C'est chaud, c'est doux, c'est aussi tendre que passionné. Et c'est de mieux en mieux alors qu'elle se redresse pour poser ses mains en appuie sur ton torse et ainsi pouvoir faire rouler son bassin, de la façon la plus sensuelle qui soit. Tu continues de te laisser faire sans rechigner. Vibrant d'un désir qui ne fait que gonfler. Et toujours plus encore alors qu'elle récupère ta main qui n'est pas sur sa poitrine, pour l'inciter à s'y loger. Autant dire que tu ne te fais vraiment pas prier pour empoigner pleinement ses seins que tu trouves sacrément parfaits, eux aussi. Et comme le reste de son corps. Elle est bien trop excitante pour son propre bien. Et le plaisir que tu es déjà en train de prendre à tout ça, est là pour le lui confirmer. Et il suffit que tu lui demandes d'y aller plus fort, pour qu'elle obéisse au quart de tour et entame des coups de reins bien plus frénétiques. Fou furieux même. Elle danse sur toi avec une certaine frénésie. Elle monte et descend avec même violence. Faisant ainsi claquer vos chairs qui résonnent purement et simplement dans le silence quasi complet de la nuit.

Tu perds suffisamment pied pour avoir besoin de toute autre chose, très vite. Raison pour laquelle tu la fais soudainement basculer sur le lit pour reprendre le dessus et ainsi pouvoir te charger toi même des coups de reins de plus en plus dingues. Parce que tu ne fais pas dans la dentelle à ton tour. Loin de là. Tu y vas même très vite et très fort. Coup de reins après coup de reins, tu la prends comme un acharné. Comme un véritable affamé. Comme si tu avais attendu cet instant depuis le début ou presque. Ce qui n'est pourtant pas le cas. Tu n'avais jamais pensé à elle sous cet angle là. Pas sûr que tu puisses ignorer ce qui ce sera joué entre vous aujourd'hui, par la suite. Parce que tu te seras pris ce désir en pleine gueule et que tu risques d'avoir envie de recommencer ... Tu gémis ton bonheur quand elle se redresse, un bras autour de ta nuque, pour t'embrasser à pleine bouche. Et surtout, tu te laisses faire sans rechigner. Parce que c'est diablement bon et que tu ne peux pas même essayer de le nier. Vous n'êtes pas en état de vous faire croire quoi que ce soi d'autre de toute façon. Ce désir est évident et vous pousse à aller toujours plus loin, plus vite et plus fort ... Ce que vous faites. Encore. De façon plus claire et plus évidente.

Tu geins encore quand elle plante ses dents dans ta lèvre inférieure. Et lorsqu'elle tire plus ou moins doucement sur tes mèches noires, aussi. Et le gémissement qui t'échappe lorsqu'elle te supplie de sa voix chaude, rauque et caressante, est long et profond. Elle est vraiment en train de te faire perdre la tête et tu n'es pas du tout en mesure de le lui cacher pour le coup. A quoi bon essayer de toute façon ? Vous prenez tous les deux votre pied. Ensemble. Elle bascule vers l'arrière, le dos cambré à l'excès et les doigts qui tirent sur le drap fin. autant dire que cette vision de rêve est en train de t'achever une bonne fois pour toutes. Tu jures et t'emballes davantage encore alors que tu vas et vient en elle comme un vrai fou furieux. Derniers coups de reins que tu offres/infliges avec l'énergie du désespoir. Parce que t'es aux portes de la jouissance et que tu ne cherches pas du tout à la fuir cette fois. Au contraire. Tu vas au bout. Non sans un profond râle de plaisir que tu ne retiens pas non plus, tu te répands en elle. Ultimes coups de reins pour accompagner les spasmes de l'extase qui te parcourent tout entier. Tu ralentis. Cesses même pour de bon après quelques longues secondes de la sorte. Et finalement tu te laisses basculer. Tu ne reposes pas sur elle pour ne pas l'étouffer mais atterris contre elle, sur le lit. La peau moite et luisante de sueur et le souffle court. T'es sonné par l'orgasme. Surtout par le fait que tu l'ais connu avec cette fille là en particulier ...
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