Tu ne peux t'empêcher d'avoir un petit sourire quand elle affirme qu'elle a de la chance de t'avoir. Tu ne sais pas si c'est réellement vrai ça. Mais tu aimes l'idée qu'elle te souffle quand même des paroles douces de ce genre. Parce que ça te rend heureux. Finalement, tout ce qui vient d'elle semble avoir le pouvoir de te rendre heureux de cette façon. C'est ce que je me répète tous les jours sur le fait de t'avoir, toi. Que tu réponds très sérieusement. Tu ne sais pas prendre ses airs tendres et doux quand tu souffles des mots du genre. Ces expressions là ne sont offertes que quand tu te tais. Parce que tu n'es pas à l'aise avec l'idée de faire tout ça à la fois. D'être tout ça en même temps. Quand bien même elle sait tout ça et qu'elle sait combien tu peux l'aimer. Tu ne le lui dis pas souvent mais tu sais le lui montrer. Du moins tu le penses et l'espères. Comme tu oses espérer qu'elle le voit aussi avec ce week-end que tu es sur le point de lui offrir. Un week-end de deux jours, c'est du grand luxe ça.
Mais elle a beau estimer qu'elle a de la chance de t'avoir, Mia est soudainement persuadée que tu couches avec d'autres qu'elle. Et elle continue sur sa lancée avec ses hésitations dans lesquelles un "oui" traîne. Mais putain Mia ! Que tu grondes, fort, en tapant le volant du plat de tes mains. T'es tenté de descendre de voiture pour prendre l'air et marcher un peu. Ce n'est ni le moment ni l'endroit de vriller. Mais elle te fout en rogne Mia. Parce que ça te touche qu'elle continue de mettre ta parole en doute comme ça. Elle est supposée savoir pourquoi tu évites de lui raconter toute la vérité, rien que la vérité, concernant ton boulot. Depuis le temps que vous vous fréquentez ... Et les choses que toi tu peux m'offrir mais les autres, non. Tu oublies ça ? Parce qu'il y en a des choses que tu n'as pu découvrir qu'avec elle dont tu es tombé amoureux. Dont la tendresse infinie. L'amour dans les regards et les sourire. Les caresses délicates qui font bien plus d'effet que tu n'aurais pu l'imaginer. Tout ça, tu ne connaissais pas avant elle et elle doit bien le savoir depuis le temps. Tu ne t'en caches jamais.
Les choses pourraient sans mal s'arranger alors que t'es amusé bien malgré toi par les mots qu'elle ne sait pas utiliser. Si seulement elle ne s'enfonçait pas aussi vite dans la foulée, avec un mot que tu ne supportes pas. Malgré tout, dernière tentative de ta part. Tes doigts sur son menton pour l'obliger à te regarder. Des mots d'une sincérité totale que tu espères être bien compris par elle. Tu n'as pas envie qu'elle s'enfonce dans ces conneries totalement fausses simplement parce qu'elle vient d'entendre des horreurs de la bouche de nanas qui font le trottoir pour toi. Pas une seule. Pas même quand j'attendais que tu sois prête à passer à l'acte. Que tu insistes toujours avec le même sérieux. Alors qu'elle remue enfin. Retirant ta main de son visage pour entremêler vos doigts. Elle s'adoucit et fait remarquer, à sa façon, qu'elle gâche toujours les bons moments. Un soupir t'échappe. Regard toujours sur elle, tu poses ta tempe contre ton appuie tête. Je ne sais vraiment pas ce que je peux faire de plus pour que tu me fasses confiance ...
Elle est finalement en train de s'apaiser pour de bon. Elle remue même pour enrouler ses bras autour de toi et te serrer très fort contre elle. Au baiser qu'elle dépose sur tes lèvres, tu soupires et glisses une main dans ses cheveux. Histoire de la garder ainsi contre toi quand ta bouche se fait plus pressante et ta langue, plus aventureuse en filant à la conquête de la sienne. C'est le genre de baiser dangereux qui fait vite peser une certaine tension au creux de tes reins. Ainsi, t'es à bout de souffle quand tu recules le visage pour planter de nouveau tes yeux dans les siens. Elles ne m'auront jamais Mia. Toi tu m'as. Tous les jours. Dans ta vie. Dans ton lit. Entre tes cuisses. Que tu souffles en glissant justement une main sous sa jupe pour aller caresser l'intérieur d'une cuisse. Là où la peau est la plus douce. Y'a que toi que j'ai envie de faire couiner de plaisir ...
CODAGE PAR AMIANTE
Invité
Invité
Invité
Invité
Mer 14 Juil - 20:27
Dirty love @Robin Hartwood Elle aime bien quand elle entend ce genre de mots Mia, les mots qui lui embaument le cœur et le corps. Quand il dit qu'il se répète tous les jours à quel point il a de la chance de l'avoir aussi dans sa vie. Ils se complètent bien et de sa vie, jamais elle n'aurait pensé que ce soit possible entre eux. Être doux dans ses paroles, c'est bien quelque chose qui ne colle pas au personnage, mais c'est quelque chose dont elle est la seule à pouvoir en profiter. Il y a tout pleins de choses qu'elle seule peut avoir de lui et que les autres n'ont pas et n'auront jamais, mais ça, elle semble l'oublier lorsqu'elle les croit, elles, ces femmes de joie qui parlent de lui de la sorte.
Le volant qui goûte à la colère de Robin, c'est rare qu'il s'énerve et pourtant quand c'est le cas, c'est toujours à cause de Mia, à cause de ce qu'elle peut bien faire ou dire. Souvent, elle s'en mord les doigts, car elle n'aime pas le voir ainsi, elle n'aime pas le voir s'énerver et elle se rend bien souvent compte que c'est elle qui est en tort, un peu trop tard. Elle ne le regarde même pas, elle n'ose pas vraiment tourner son regard et préfère regarder ces femmes qui elles, semblent profiter pleinement de la vie sans se soucier de petits problèmes sans importance comme l'étudiante. « Non ... J'oublie pas ... » elle ne sait quoi dire de mieux, car il souligne un point important. Elle lui apporte toutes ces autres choses si belles et si douce. Elle lui apporte un équilibre qu'il n'avait pas avant elle. Lui aussi lui apporte bien des choses dont elle ne saurait énumérer, ils se complètent ces deux-là, mais savent aussi très bien se déchirer et heureusement que Mia arrive à se rende compte assez rapidement de ses erreurs, sans quoi le week-end prendrait fin bien trop rapidement. Pour une fois qu'elle peut profite de lui quelques jours, ce serait bête qu'ils fassent semblant de s'ignorer dans leur maison à Chicago.
Elle s'apaise surtout quand il lui dit qu'il n'a pas couché avec une autre femme depuis des mois, des semaines entières à attendre que sa belle soit prête à lui offrir, au début, un peu de sa personne pour ensuite totalement se laisser manger par l'envie qui l'animait depuis des mois. Sa tête entre ses mains et sa main qu'elle finit par enrouler dans la sienne. « Je t'aime tellement que l'idée seule qu'on puisse vouloir t'arracher à moi m'effraye et me fait dire des idioties. Je te le répète, mais je te fais vraiment confiance et j'ai envie que ça continue ainsi. J'imagine que je vis mes premières crises de ... Jalousie ? » elle n'en sait trop rien, mais c'est peut-être le cas. Jalouse que d'autres veillent de son copain, allant même jusqu'à les croire. Elle lui souligne encore une fois qu'elle l'aime, elle n'a pas peur de lui rappeler bien souvent d'ailleurs, même si ce n'est pas tout à fait la même chose pour lui, mais elle le comprend et elle est patiente la belle.
Une étreinte assez forte pour le sentir tout contre elle, un baiser qui se veut tendre pour oublier tout ce qui vient de se passer et il n'est pas en reste lorsqu'il lui rend ce baiser non sans une certaine envie et tension qui se fait sentir aux creux des reins. Langues qui se mélangent, comme elles savent si bien le faire. Elle en perd haleine et son pouls s'accélère, il sait très bien ce qu'il fait et il sait surtout que s'il continue ainsi, ils ne risquent pas d'avancer beaucoup jusqu'au lieu de leur convoitise. « Tu sais que c'est une forme de déclaration d'amour ça ? » en tout cas, c'est ainsi qu'elle le prend quand il dit qu'il ne veut que d'elle et qu'il lui appartient totalement. Et puis cette main qui se faufile sous sa jupe pour se poser sur sa cuisse uniquement. Elle arque un sourcil et le regarde toujours avec appétit. Son visage qu'elle avance vers le creux de l'oreille de Robin « Ça m'excite beaucoup ce que tu me dis » qu'elle susurre sensuellement. Elle revient à sa place, non sans un regard en sa direction qui se veut brûlant, sa main sous sa jupe qu'elle récupère pour y déposer un bisou. « Mais je crois que si on se laisse aller, on ne va jamais la voir cette surprise » qu'elle n'oublie pas, elle veut que ces cinq heures passent vite afin qu'elle puisse voir ce qu'il lui a réservé. « Il va falloir que tu te contiennes, comme au début de notre relation » au cas où il aurait oublié à quel point elle l'a fait languir. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Elle te fait carrément tourner en bourrique Mia. C'est un truc qu'elle fait quand elle s'emporte trop vite et va trop loin. C'est un truc qu'elle fait sans s'en rendre compte aussi, t'en es bien conscient. Et c'est pour ça que tu ne peux finalement pas tant lui en vouloir que ça. Tu ne veux pas rester en colère contre elle. Mais quand elle te confirme qu'elle n'oublie pas ce qu'elle, elle t'apporte de plus que les autres, ça te fait quand même bien râler. Parce qu'elle n'oublie pas mais que ça ne l'empêche pas de se comporter comme ça ... Alors à quoi tu joues, putain ? Que tu continues de pester, toujours plus agacé. Même si tu n'as vraiment pas envie de gâcher le seul week-end que tu es parvenu à libérer entièrement pour le lui consacrer. Tu ne veux pas lui laisser la possibilité de tout foutre en l'air. Finalement elle aussi elle se calme et s'apaise. Elle s'explique un peu en mentionnant le fait que c'est certainement une crise de jalousie. En effet, c'est bien comme ça que ça s'appelle. Tu soupires et hoches la tête de haut en bas pour le lui confirmer. En soit, ce n'est pas comme si toi même tu ne l'étais pas du tout et ne passais pas ton temps à t'imaginer qu'elle finira par t'être volé par un autre ...
Il a fallut plus de trente cinq ans avant que je ne ressente ce genre de chose pour quelqu'un. Tu crois vraiment que je vais soudainement y renoncer ? Question rhétorique que tu poses là tant la réponse est évidente à tes yeux. Tu ne peux et ne veux pas renoncer à elle et à ce que vous partagez tous les deux. Qu'elle se le dise bien surtout ... Finalement vous abandonnez tout à fait la lutte. Elle enroule ses bras autour de toi pour te serrer très fort. Et bientôt, les baisers s'en mêlent. Plus ou moins tendres. Plus ou moins passionnés. Mais assurément emplis de toutes ces belles choses que vous ressentez l'un pour l'autre. Et la peur de se perdre au fond de tout ça, également. Que ce soit au profit d'une autre personne ou pour toute autre raison ... Bien sûr que je sais. Que tu marmonnes dans barbe. Ce n'est pas simple pour toi de dire les fameux trois petits mots. Mais plus le temps passe et plus tu es capable de lui faire des déclarations de façon plus ou moins détournée.
Par contre ce que tu sais faire à merveille, c'est lui montrer l'effet qu'elle te fait. Ainsi tu glisses directement une main sous sa jupe. Et tu sens qu'elle réagit déjà. Elle te confirme tout ça d'une voix chaude, au creux de ton oreille. T'es bien tenté d'aller vérifier son état d'excitation par tes propres moyens, avec tes doigts si proches du but ... Mais elle retire ta main et y dépose un tendre baiser. Fin du jeu, tu le sais. Parce que tu sais qu'elle a raison et que vous feriez mieux de filer tout de suite. Si tu ne veux pas être tenté de la prendre ici et maintenant et ainsi de prendre du retard. Ouais ... Mais alors seulement deux heures trente. Que tu marmonnes en acceptant quand même de te redresser pour retrouver ta place derrière le volant. Contact que tu remets. Voiture que tu relances sur la route. Quelques heures ça va. Mais des semaines entières, maintenant que je t'ai goûté ... Tu poses un regard entendu sur ses cuisses découvertes. Maintenant que tu l'as goûté et plutôt deux fois qu'une, tu ne serais plus du tout capable de t'en passer, c'est évident. Dans deux heures trente je te prends sur le capot de la voiture. Tu n'auras qu'à soulever sa petite jupe pour ça. C'est pour cette raison que tu adores quand elle en porte. Tu peux te glisser dessous sans grand mal.
CODAGE PAR AMIANTE
Invité
Invité
Invité
Invité
Mer 14 Juil - 22:32
Dirty love @Robin Hartwood C'est quand elle le regarde s'énerver qu'elle ne peut s'empêcher de l'imaginer au travail. Ces yeux en feu qui pourraient brûler l'épiderme de n'importe qui d'un seul regard tant il est énervé et encore, elle est persuadée qu'il se retient tout à fait, car il n'y aurait pas lieu de réellement se mettre en rogne de là à imploser. Elle est maladroite Mia et elle peut l'énerver facilement, mais elle ne l'a encore jamais fait sortir de ses gonds et ce n'est pas le but recherché. Elle qui n'a jamais eu à faire à une autre colère que celle éventuelle de son frère lorsqu'elle s'implique un peu trop dans sa vie privée ou qu'elle veut lui faire comprendre les choses à sa manière. Pourtant, la colère que Robin ressent en ce moment, c'est plus une colère saine. Quelque chose pour lequel il a tous les droits de s'énerver et même de dire des mots du genre putain qui ne plaisent pas spécialement à Mia. « Excuse-moi ... Je ne veux pas t'énerver » s'excuser, comme d'habitude, c'est la seule chose qu'elle sait faire face à son blond lorsqu'il est dans cet état. Au moins, elle se rend compte des bêtises qu'elle peut penser. Trop tard, mais elle le sait.
Elle ne peut s'empêcher de sourire en coin quand il lui fait remarquer qu'il lui aura fallu des dizaines et des dizaines d'années avant de pouvoir aimer une femme comme il l'aime elle. Il la rassure autant qu'il le peut ainsi et ça semble évidemment bien fonctionner, car elle sent son palpitant qui s'emballe. Savoir qu'elle est la seule femme qu'il n'ait jamais aimé, allume quelque chose en elle dont elle ne saurait expliquer les effets que ça lui procure, des choses qui chatouillent son corps tout entier, même son cerveau en frissonne, c'est dire. « Non ... Évidemment que non, tu n'es pas du genre à renoncer facilement » car il ne renonce jamais Robin, il ne renonce jamais à ce ou à ceux qu'il tient, toutes ces choses pour lesquelles la bataille en vaut la peine. L'amour de Mia c'est une bataille qui en vaut la peine, même lorsqu'elle se fait gamine capricieuse qui en perd totalement la raison.
Et c'est dans une étreinte physiquement forte et baisers d'amour et d'envies qu'ils font la paix, comme ils savent bien le faire et s'ils n'étaient pas devant le motel et dans un véhicule en face des employées de Robin, c'est certain qu'ils se feraient la paix assez rapidement. Mais ces ardeurs, elle doit les freiner, premièrement car le soleil commence à laisser sa place aux étoiles et à la lune et parce qu'elle veut profiter de chaque moment uniquement avec lui, pas d'yeux curieux autour d'eux pour voir comment ils peuvent bien se faire la paix. Même si l'idée de coucher avec lui dans cette voiture en face de ces filles pour leur montrer qui est la femme de son cœur lui traverse l'esprit, elle n'est pas du genre trop rancunière Mia et elle n'a rien à leur prouver. « Deux heures et trente minutes, pas une de plus » elle lui fait un dernier baiser avant qu'il se redresse, l'air mécontent sur son siège pour enfin démarrer la voiture et partir d'ici. Il ne peut s'empêcher de commenter le fait qu'il ne pourrait pas attendre plus longtemps et qu'il va la prendre sur le capot. Ce n'est pas une demande, mais un ordre. Sa propage en Mia une excitation soudaine. « J'aime bien quand tu te montres décisionnaire » elle grogne un peu, car il pourrait facilement décider de tout, elle ne ferait que le suivre, mais lorsqu'il est aussi sûr de lui et vindicatif, elle en soupire d'envie. Ce serait donc possible qu'il soit comme ça au travail et que c'est pour cette raison que ces garces s'intéressent tant à lui.
Elle récupère une de ses mains libres posée sur l'appuie-coude central de la voiture et elle y enroule ses doigts. « Tu sais, j'ai lu quelque part que si tu crées une tension entre toi et ton partenaire, la chose est plus dingue encore » elle aime bien le piquer, surtout à ce sujet, elle sait bien que cette idée va rentrer par une oreille et sortir de l'autre. Il ne peut pas tenir une minute sans lui sauter dessus, alors elle imagine bien que des heures tout entières dans le même habitacle avec cette tension sexuelle ne serait tout bonnement pas possible. Mais elle soumet juste l'idée. « T'as déjà fais un ... Un de ces trucs là ... Threesome ? » et cette fois elle ne l'écorche pas, car il l'a lui-même dit tout à l'heure et elle l'a bien entendu. Sa curiosité la tuera probablement un jour, mais vu qu'ils sont dans le thème, elle peut bien lui poser la question. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Elle va réellement te rendre dingue Mia. Elle passe son temps à te foutre en rogne pour s'excuser quand il est trop tard et que tu es déjà énervé. A croire qu'elle joue avec le fait qu'elle soit capable de t'énerver puis t'apaiser dans la foulée, sans trop de mal. C'est presque un super pouvoir qu'elle a sur toi. Mais qu'elle utilise quand même souvent à tes dépends. C'est facile à dire, une fois que c'est fait. Que tu grondes, quelque peu agacé. Parce qu'elle fait tout pour te faire monter dans les tours quand même. Ce n'est pas une fois que c'est fait qu'il faut prétendre que ce n'est pas du tout ce qu'elle voulait ... Ce n'est pas que tu la crois pas ... Mais tu vas quand même finir par te poser des questions si elle continue de la sorte. Pour apaiser les choses, tu lui rappelles quand même que tu as mis plus de trente ans avant de tomber amoureux. Et de lui faire comprendre que tu ne risques pas de changer la chose juste comme ça. Au moins elle a pigé ça, que tu n'étais pas du genre à abandonner si facilement que ça. C'est un bon point ...
Vous parvenez finalement à vous apaiser. Plus encore quand vous finissez dans les bras l'un de l'autre. Baisers brûlants et quelques caresses que t'es tenté de faire aller beaucoup plus loin. C'est elle qui se montre très sage. C'est souvent elle la voix de la sagesse d'ailleurs à ce sujet. Et il n'y a rien que tu puisses faire contre ça. Quoi que si tu insistais vraiment, tu n'aurais sans doute pas trop de mal à inverser la tendance. Ca tombe bien ... Parce que dans deux heures et vingt-neuf minutes je t'ordonne de retirer ta petite culotte ... Que tu lui fais remarquer, non sans un petit sourire au coin des lèvres. Ce sera pour gagner du temps bien sûr. A moins qu'elle ne la retire même avant ça, pour pouvoir te narguer tout à fait. Voilà qui ne te dérangerait pas non plus. Et elle est justement en train de parler du fait de laisser la tension s'installer et s'étirer dans le temps pour qu'à la fin, ce soit "encore plus intense". Par réflexe, tes doigts se crispent plus fort autour des siens. C'est pas déjà ce qu'on fait ? C'est toujours chargé en tension sexuelle entre nous. Que tu lui fais quand même remarquer, tout à fait sérieusement.
Et ça relèverait d'une véritable torture si vous vous amusiez à faire plus que ça encore. Ce que tu n'es pas du tout prêt à subir. Tu as déjà été en mesure de tenir pendant des semaines à vos débuts. Toi qui ne t'étais jamais passé de sexe pendant autant de temps, ça a quand même été une vraie torture. Et tu n'es pourtant pas du genre pervers à la base. Mais il faut bien dire qu'avoir une jolie fille comme Mia sous le nez, tous les jours, ça n'a pas complètement aidé non plus ... Mais tu ne te vois réellement pas recommencer cette abstinence aujourd'hui. Mia ... Que tu soupires tout bas quand elle te pose une certaine question. Ne me demande pas des trucs dont les réponses pourraient ne pas te plaire ... Tu ne réponds pas ... Mais en même temps tu réponds. Puisqu'elle va forcément se douter de ta réponse. Comprendre que ça signifie que oui, tu as déjà eus l'occasion de tester ça. Mais tu n'es pas sûr qu'elle veuille vraiment l'entendre de ta bouche. Et moins encore, connaître les détails.
CODAGE PAR AMIANTE
Invité
Invité
Invité
Invité
Ven 16 Juil - 12:14
Dirty love @Robin Hartwood Évidemment qu'il a raison, évidemment que c'est facile à dire une fois que c'est fait. Mais Mia, elle n'a pas de limite, elle ne semble même plus avoir de raison lorsqu'il est question de Robin. Cinq lettres pour former son prénom et une éternité entière pour l'oublier. Elle sait bien que l'amour qu'il y a entre eux peut être aussi magnifique que destructeur et à continuer ainsi, elle risque bien de tout gâcher, elle qui est la reine de l'imaginaire. Elle qui lit trop de livres et qui arrive à faire de sa vie une série. Elle sait que son cerveau ne l'aide pas toujours, surtout quand il est question de lui et elle sait aussi que la jalousie est un vilain défaut. Défaut ou mauvais trait de caractère qu'elle va devoir apprendre à gérer. Contrairement à lui, qui sait très bien se gérer. Elle hoche simplement la tête et fait une moue au coin de la bouche, elle ne peut rien faire de mieux à cet instant précis.
C'est enfin avec des baisers et de la tendresse que tout est oublié, comme par magie. Magie dont elle fait preuve pour le calmer lui après l'avoir mis en rogne. Elle est bien contente d'être capable de faire ça et il faut croire que ça fonctionne avec à peu près tous les gens qui l'entourent. Elle fait pareil avec les membres de sa famille et le constat est le même. Elle se demande si c'est son petit visage d'ange qui l'aide ou simplement sa douceur légendaire lorsqu'elle n'est pas complètement énervée elle aussi. En tout cas, tout ce qu'elle peut mettre en œuvre pour que ce week-end commence mieux qu'il ne semble prendre le chemin, elle va le faire. « Pour ça, il faudrait que j'en porte une » il n'a pas eu l'occasion d'aller plus loin que sa cuisse avec sa main et elle est quasi-persuadée qu'au moment même où ces paroles auront résonné dans ses oreilles puis auront fait le lien dans son cerveau il aura une envie folle d'y glisser sa main. Évidemment, une petite culotte, elle en porte. Elle n'est pas non plus totalement dingue, car ça relèverait de la dinguerie pour elle de ne pas porter de sous-vêtement avec une jupe aussi courte. Mais faire naître l'envie de Robin et l'entendre grogner un peu, c'est bien quelque chose qu'elle aime faire pointer en lui. Raison pour laquelle après avoir dit ceci, elle croise les jambes, comme pour lui en interdire l'accès...Pour l'instant.
Ses doigts qui se mêlent un peu plus fort au siens lorsqu'il répond quelque chose d'assez pertinent, c'est très vrai. Ils sont tendus en permanence et pour l'un au sens propre comme au figuré. Elle laisse échapper un petit rire. « C'est normal ça ? » parce qu'elle n'a aucune idée si c'est normal où non qu'ils aient autant envie l'un de l'autre en permanence dans le genre, mais ce n'est pas pour lui déplaire. « Ou alors on est tellement amoureux l'un de l'autre que juste s'aimer ne suffit plus » et c'est sur cette conclusion assez juste, qu'elle s'arrête. Elle qui aime tant parler d'amour, elle le ferait des heures durant, même si Robin lui, ne le ferait pas une minute. C'est donc bien question d'équilibre qu'il est dans ce couple, c'est une balance qu'ils arrivent toujours à maintenir au même niveau. Sauf quand l'un s'emporte avec ses sentiments, comme la belle tout à l'heure.
Et puis, s'empêcher d'être trop curieuse ou de poser des questions trop indiscrètes, c'est bien quelque chose qu'elle ne peut pas changer, elle a toujours été comme ça et lorsqu'une porte est ouverte, elle s'y engouffre tête la première, sans forcément penser à ce qui est possible de lui créer comment sentiment. Elle se doute donc à sa réponse qu'il s'agit d'un oui qu'il n'a pas envie de prononcer. « C'est vrai que ... ça ne me plaît pas vraiment » car elle s'imagine tout de suite la scène et c'est des hauts le cœur qu'elle à quand elle y pense. Elle lui serre même les doigts encore plus fort sans s'en rendre compte tout à fait. Il a des secrets pour elle à ce sujet et elle n'est pas certaine qu'elle ait réellement envie de tous les connaître. Elle qui adore tout savoir de Robin sans exception, se dit qu'à l'instant même, il ne serait pas bon pour elle de savoir toutes les conquêtes qu'il a bien pu avoir.
Les jambes qui s'endolorissent sans mouvement dans cette voiture et une Mia qui ne sait toujours pas où le mène son cher et tendre. Elle ne sait plus depuis combien de temps ils roulent, mais suffisamment pour qu'elle ait envie de se dégourdir les jambes. « Est-ce qu'on va bientôt s'arrêter ? » le soleil s'est couché sur la route qui les mène vers le lieu de prédilection. Et elle qui a assez soif pour demander une petite pause. Ce qu'elle remarque en tout cas c'est qu'ils semblent se diriger vers la plage, car depuis tout à l'heure c'est les côtes de la ville que Robin sillonne. « Je meurs de soif » et meurt d'envie de l'embrasser, chose pas très évidente lorsqu'il roule. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Ce n'est pas toujours simple pour toi de retrouver ton calme après être monté en pression aussi vite que tu le fais avec Mia. Il faut dire qu'elle a vraiment le don de te foutre en rogne. Et elle fait ça mieux que tout le monde pour le coup. Mais ce qu'elle fait également mieux que tout le monde, c'est se faire pardonner et t'adoucir très vite dans la foulée également. Ce dont tu n'as aucune envie de te plaindre, tout au contraire. Parce que ça fonctionne à tous les coups et parce que ça fait un bien fou au passage. Ce qu'elle sait également faire à merveille, c'est t'exciter au plus haut point. C'est le cas aussi tôt qu'elle sous entend qu'elle ne porte aucune culotte sous sa jupe. Tu peines à l'imaginer capable de faire une chose pareille. Tu n'oserais pas ... Pourtant, dans le ton de ta voix, elle peut deviner sans mal que tu n'es pas bien certain toi même de ce que t'es en train de dire. Parce qu'elle vient quand même de te mettre le doute et que tu ne manques évidemment pas de lancer un coup d'œil en direction de ses cuisses. Qu'elle est en train de serrer l'une contre l'autre, sans doute pour te couper l'envie d'y glisser une main.
Le sexe continue d'être votre sujet préféré apparemment. Puisqu'il est question des tensions constantes entre vous. Du fait que vous sembliez avoir toujours envie l'un de l'autre. C'est un fait contre lequel tu ne peux et ne veux pas lutter. C'est bien vrai que tu as tout le temps envie d'elle. Qu'elle t'excite comme jamais aucune femme n'a su le faire. Je ne sais pas si c'est normal ... Je te rappelle que je ne suis pas plus calé que toi en matière de relation ... Que tu crois quand même bon de lui rappeler alors que tu doutes qu'elle ait oublié cette information. Mais je n'ai jamais eus autant envie d'une femme. Ni aussi fort. Ni aussi souvent. Si aussi longtemps. Que tu prends quand même la peine de lui préciser. Mais de ça aussi, tu es convaincu qu'elle est au courant. Comme du fait que tu as déjà eus des aventures pour le moins épicées. Des choses qu'elle n'ose même pas imaginer, elle qui a été choquée par quelques paroles un peu crûes de la part de prostitués. Si elle connaissait tous les détails, il ne fait aucun doute qu'elle n'oserait plus même te regarder dans les yeux pendant un petit moment.
Tout ce qui compte, c'est qu'avec toi c'est différent. C'est beaucoup mieux. Parce que t'es pas juste une fille de passage. T'es importante. Si tu étais un peu moins pudique sur la question, tu lui ferais carrément remarquer que t'es amoureux d'elle et que c'est ça qui change absolument tout. Mais elle s'en doute. Tu n'as pas forcément besoin de le lui dire aussi clairement que ça, à chaque fois. Tu n'as pas sa faculté à le dire et à le répéter à tout va. Et tu sais que c'est bien dommage. Mais c'est comme ça. Pour lui permettre de penser à autre chose, tu ramènes sa petite main perdue dans la tienne, à ton visage. Pour y déposer quelques tendres baisers. T'es tenté de mordiller aussi, pour la provoquer. Mais tu t'abstiens. Et restes concentré sur la route pour rouler et rouler encore. Les heures passent sans que tu ne t'arrêtes. Enfin les heures, c'est vite dit. Vous n'avez roulé que trois heures. Mais ce sont trois heures que vous n'aurez plus à faire quand vous reprendrez. Puisqu'il semble que Mia a grand besoin de s'arrêter maintenant. On peut s'arrêter pour manger si tu veux. Et certainement faire un peu plus que ça, soit dit en passant. Y'a un sac derrière mon siège si tu veux boire. Que tu lui indiques. Toi même tu restes concentré sur la route pour trouver un endroit où tu peux t'arrêter sans gêner et sans que vous ne risquiez d'être dérangés. Détail important. Et finalement, tu trouves un coin parfait. Vue sur une ville. Avec le ciel coloré au dessus, pour annoncer la nuit qui tombe. Tu prends le temps de te garer et de te défaire de ta ceinture avant de tourner la tête vers elle. Je ne t'ai pas vu retirer de culotte. Est-ce que tu n'en portes vraiment pas ?
CODAGE PAR AMIANTE
Invité
Invité
Invité
Invité
Ven 16 Juil - 23:29
Dirty love @Robin Hartwood À l'instant où il semble douter, car elle l'entend à sa voix qu'il se pose quand même la question, elle se dit que cette foutue culotte, elle aurait dû réellement ne pas la porter, ne serait-ce que pour tester quelque chose de nouveau, quelque chose qu'elle n'a encore jamais fait. Une folie dans le genre ne lui passerait jamais à l'esprit, mais depuis qu'elle est avec Robin et qu'il éveille des choses en elle, aux creux de ses reins et au gré de ses envies, elle se dit qu'elle aurait au final été très capable de le faire et qu'elle aurait même dû. Rien que l'idée qu'il puisse être totalement étonné et excité à a fois lui donne soudainement envie de la retirer, mais ce ne serait plus très glamour. Elle se contente alors de simplement croiser ses petites gambettes et ne pas lui répondre, peut-être que comme ça il aura tout le temps du trajet pour se poser la question si oui ou non elle en porte vraiment une.
Parfois, il lui arrive d'oublier qu'elle est comme lui, qu'ils vivent les deux des sentiments amoureux pour la première fois et une belle histoire d'amour en couple. C'est parce que Robin à déjà tellement vécu de choses dans la vie et eut tellement de femmes pour satisfaire ses envies les plus folles comme elle a pu le comprendre, qu'elle en oublie cette information très basique. Il lui rappelle donc qu'il n'en sait pas plus qu'elle. Mais ce qui suit, fait palpiter le cœur de Mia d'une façon assez dingue. Lorsqu'il fait des déclarations cachées, c'est souvent quand elle s'y attend le moins au milieu de nulle part et dans une situation totalement banale. C'est bien là le charme qu'il dégage, de ne jamais savoir trop quand lui dire qu'il l'aime sans jamais utiliser ces deux mots et sept lettres. Elle ne peut pas s'empêcher de lui glisser un bisou dans le cou rapidement pendant qu'il conduit pour ne pas totalement le déstabiliser au risque qu'il perde le contrôle du véhicule. Mais ce qu'il dit à son propos la touche tellement qu'elle ne peut pas rester simplement assise à l'écouter. « Tu fais vraiment les plus belles déclarations. Shakespeare n'aurait rien à t'envier » qu'elle plaisante un peu pour la forme, même si elle le pense réellement, car il s'en sort très bien et c'est justement en le motivant de la sorte qu'elle est persuadée qu'il arrêtera d'être toujours aussi pudique. « Je tombe encore plus amoureuse de toi chaque seconde. Tout ce que tu dis je le ressens aussi de la même manière si ce n'est plus, t'es vraiment l'homme de ma vie » et ce qu'il dit n'est pas pour étouffer cette flamme qui grandit. Elle aurait horriblement envie de lui dire un je t'aime, mais elle sait qu'il l'entend presque trop souvent et qu'à force ça ne risque de plus faire effet. Elle le regarde malgré tout avec des yeux qui en disent long sur l'amour qu'elle ressent pour lui. Un amour tel qui pourrait la tuer sur place si demain il venait à se terminer ou s'empirer. Le cœur de Mia n'est plus le sien depuis bien longtemps, avant même qu'elle ne s'en soit réellement rendu compte il y a quelques mois de ça.
Les deux heures et trente minutes écoulées depuis longtemps, Mia propose une petite pause, car elle souhaite se dégourdir les jambes et le corps tout entier endolori du voyage qui d'ailleurs n'est pas encore terminé. C'est les lèvres de Robin posé sur sa petite main qu'ils tiennent entres elles depuis tout à l'heure qui lui donne une soudaine envie de s'arrêter, ne serait-ce que pour l'embrasser. Le contact de ses lèvres lui manquant. Elle se retourne d'ailleurs pour récupérer le sac derrière son siège, sans surprise et car il pense toujours à Mia quelle que soit la situation, elle y retrouve sa boisson préférée qu'elle s'empresse d'approcher de ses lèvres pour de délecter de quelques gorgées. « Ce que j'ai envie de manger n'est pas réellement comestible » Robin pour plat principal et avec un peu de chance il risque de s'étouffer à l'écouter parler ainsi. Elle lui tend d'ailleurs la boisson pour qu'il puisse à son tour se rafraîchir un peu avant que la température ne monte. Il trouve enfin un petit endroit paisible, loin de tout et de tous surtout. Vue sur la ville, car il sait à quel point ces petits détails font de Mia une femme heureuse qui se satisfait de peu. À son tour de retirer sa ceinture et de le regarder dans le blanc des yeux. « À toi de venir vérifier cette hypothèse ... » sourire espiègle et paupières qui s'ouvrent et se ferment avec une rapidité folle, l'air aussi angélique qu'elle le peut. Et finalement ses lèvres brulantes qui ne font plus qu'un avec celle du chef de gang qu'elle s'empresse de happer d'un un baiser fougueux, sa main sur sa joue. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu peux bien tenter de te retenir ... Il y a quand même un frisson qui te parcourt et te longe tout entier quand elle vient déposer un tendre baiser au creux de ton cou. C'est bien trop agréable pour que tu puisses faire autrement. Toi qui réagis toujours au quart de tour quand il s'agit d'elle de toute façon. Ce n'est pas aujourd'hui que ça va changer. Tu sais qu'elle est toujours touchée quand tu trouves le moyen de lui faire de tendres déclarations. Sans pour autant être capable de lui dire les fameux trois petits mots. C'est idiot sans doute. C'est plus simple de dire "je t'aime" que de faire des déclarations parfois un peu folles. Mais toi ça te vient plus facilement. Et c'est idiot sans doute mais tu te sens moins niais de cette façon. Te fous pas de moi. Que tu marmonnes quand même dans ta barbe quand elle te compare à Shakespeare. Bien sûr qu'elle est juste en train de se moquer un peu. Et elle sait que si elle se fout trop de toi, elle risque de te vexer à la fin. Et de te couper toute envie de recommencer ce genre de jolis mots.
Enfin soit ... Avec la déclaration qu'elle te fait ensuite, t'as le palpitant qui s'affole. Et t'es bien obligé de tourner la tête pour lui lancer un regard aussi surpris que tendre. Elle est quand même plus douée que toi à ce genre de petits jeux là. L'homme de ta vie ? Tu rebondis seulement sur ces mots tant t'es surpris. Même si elle a déjà parlé de l'idée de vieillir ensemble. L'entendre le présenter sous cette forme là, provoque véritablement quelque chose en toi. Raison pour laquelle tu ne peux te taire et t'abstenir de faire le constat de combien ça te plait. C'est beau. C'est bon. Et tu espères bien qu'elle ne s'arrêtera jamais elle non plus, de te dire des mots pareils. Le silence entre vous finit quand même par retomber pour que tu puisses te concentrer sur la route. Celle que tu as appris par cœur. Tu te rappelles d'un fâcheux épisode au cours duquel tu as compté sur elle pour vous guider. Et on peut clairement dire qu'elle a bien faillit tout gâcher avec ses erreurs d'indication. Cette fois, heureusement, tu ne peux compter que sur toi et sur ton excellente mémoire pour atteindre votre but. Tu sais qu'il n'y aura pas d'erreur.
Vos mains se séparent quand elle se tend pour attraper le sac derrière ton siège. Tu sais qu'elle y trouvera, en plus de votre repas du soir, sa boisson préférée. Tu grondes dans ta barbe quand elle te fait remarquer que ce qu'elle souhaite manger, n'est pas tout à fait comestible. Tu comprends sans mal le sous entendu et c'est ce qui te crispe déjà un peu. Tu n'es pas encore habitué à ce qu'elle souffle des paroles et provocations de ce genre. Et ce n'est certainement pas toi qui iras t'en plaindre. Ah oui ? Dis m'en plus, je suis pas certain d'avoir bien compris ... Bien sûr que toi aussi tu joues pour tester ses limites et voir jusqu'où elle est capable d'aller. Pas bien loin, t'en es bien certain. Bientôt, la voiture est garée, les corps désaltérés et les ceintures détachées. Les regards se rencontrent et la tension monte déjà d'un cran. Tu n'as pas le temps de répondre qu'elle se tend pour t'embrasser avec fougue. Un grognement t'échappe aussitôt et t'es déjà à engouffrer ta langue dans sa bouche. Et tu ne te fais pas prier pour glisser une main sous sa jupe. Tes doigts rencontrent, sans réelle surprise, la dentelle d'une petite culotte. Elle n'a pas encore changé son style vestimentaire Mia. Mais elle accepte de plus en plus souvent de porter de la lingerie fine. Parce qu'elle sait l'effet que ça te fait. T'as bien fait de la porter. Tu sais comme ça m'excite de te voir dans de la dentelle. Que tu souffles contre sa bouche avant de l'embrasser de nouveau. Et de frotter ton index contre son bouton de plaisir. Sors de la voiture Mia. Que tu souffles comme un ordre. Avant de, toi même, te décoller d'elle pour descendre de voiture.
Elle ne peut s'empêcher de toujours le taquiner, le cherche, le tester même parfois, comme par exemple lorsqu'elle le compare à un poète dont la renommé n'est plus à faire. Il n'est jamais bien romantique Robin, mais lorsqu'il s'y tente, il y arrive non sans mal, mais il y arrive et c'est le plus important pour elle. S'il lui laisse tout le temps qu'il lui faut pour qu'elle s'accommode à cette nouvelle vie, elle en fait de même en ce qui concerne ses sentiments. Jamais elle ne l'a brusqué pour lui arracher des mots d'amours ou des actes romantiques. Elle a néanmoins toujours fait en sorte de se faire comprendre pour que ses envies soient entendues et souvent exaucées au final, car quand il est romantique Robin, quand il dit des mots d'amour, il ne lui en faut pas plus pour qu'elle retombe folle amoureuse de lui. Et si bien souvent elle pense qu'il n'est pas possible de l'aimer plus qu'elle ne le fait déjà, elle se surprend à se rendre compte qu'elle peut être capable d'encore plus de sentiments à son égard. « J'me fous pas de toi, j'aime juste quand tu laisses parler ton cœur » son cœur qu'elle aime sentir battre contre son oreille lorsqu'elle s'endort contre lui, contre son torse. Ses sentiments qui grandissent tous les jours un peu plus et qui certifient le fait qu'il est, comme elle lui précise, l'homme de sa vie.
Il retourne la tête vers elle, l'air surpris, elle le voit bien dans ses yeux qu'il aime quand elle lui fait, elle aussi, ce genre de déclaration, contrairement à lui, elle a plus de facilité à le lui avouer sans pudeur. « Pour toujours, je t'aime de tout mon cœur, tout mon être même. Tu me rends heureuse Robin et pleins d'autres trucs encore qui font de toi l'homme de ma vie, oui, j'en suis persuadée » au cas où il pourrait en douter, elle le lui rappelle, sourire et yeux amoureux avant qu'il ne replonge son regard sur la route, leur éviter un accident serait judicieux au vu du beau week-end qui les attend. Leurs mains, restent cependant collées l'une à 'autre, jusqu'à devenir moite s'il le faut, peu importe, ils n'ont pas souvent l'occasion de rester des heures ou des jours durant l'un avec l'autre comme ça, alors elle va en extraire tout ce qu'elle pourra de ce week-end en amoureux.
C'est lorsqu'il fait une halte méritée après trois heures de trajets que Mia vient récupérer de quoi se désaltérer de cette longue route, ils savent tous les deux de quoi il est question durant cette pause, mais ils aiment jouer. Surtout Mia, elle aime le tenter, elle aime le rendre un peu fou, le voir perdre les pédales et elle sait comment s'y prendre, en lui faisant sous-entendre des choses assez explicites. Pourtant, il ne se laisse pas tout à fait faire, il lui demande un peu plus de précision et bien qu'elle ait eu un petit élan de courage ou de folie en disant que ce qu'elle voulait manger n'était pas comestible, il la fait rougir avec sa question. Elle ne peut pas s'aventure au jeu de ces paroles trop longtemps et il le sait, raison pour laquelle il insiste. Elle ne répond pas, c'est son visage rougit qui répondra à sa place et son sourire espiègle, ses petits yeux coquins et sa bouche qui mordille le coin de sa lèvre en regardant Robin s'approcher d'elle pour mélanger sa langue à sa sienne et sceller ses lèvres contre celles de l'étudiante, manquant les deux de souffler un peu. C'est lorsque la main de celui-ci s'aventure entre ses cuisses qu'elle écarte un peu son visage pour respirer. « J'aime bien porter de la dentelle pour toi » qu'elle lui répond alors qu'il s'aventure un peu plus. Elle sait bien qu'il aime ce genre de petits détails et elle y prend tout autant de plaisir que lui à en porter, changer un peu son style vestimentaire qui s'affirme chaque jour de mieux en mieux, mettant son corps en valeurs parfois, elle qui n'était pas habituée à ce genre de choses.
Sa main qui était posée sur sa joue va s'aventurer un peu plus bas elle aussi, elle se pose sagement sur l'entrejambe de Robin « Je constate ça ... » il est autant excité qu'elle peut l'être et elle peut bien la sentir cette excitation qui grandit chez l'un, comme chez l'autre. Baisers qui reprennent et soulagement qui s'exalte de ses lèvres lorsque enfin son index vient rencontrer son intimité. Elle ne se fait pas prier pour sortir de la voiture, surtout lorsqu'il est aussi impressionnant dans sa manière de l'ordonner, elle se fait petite. « Il me semblait que tu avais dit deux heures trente ... » pour souligner que le trajet à durée un peu plus longtemps que prévu. Appuyée contre la portière, elle l'entend se rapprocher, mais ne le voit pas encore tout à fait à cause de la nuit qui tombe. Elle tourne la tête sur sa gauche pour voir l'endroit où il s'est arrêté et c'est une belle vue de la ville qui s'offre à eux. « Tu sais choisir les beaux endroits, c'est beau cette vue » CRIMSON DAY
Accueil
CRIMSON DAY