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Shut up and Sing #RP1
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Mer 26 Juin - 23:48

Il entre en moi et à cet instant, je me dis que j’aurai dû succomber bien plus tôt. L’excitation était telle que j’avais peur que ça retombe une fois nos pulsions satisfaites. Que nous ne donnions plus autant de spectacle. Qu’il n’y ai plus cette atmosphère sexuelle tendue. Mais plus il entre et sort, plus je me dis que non. Je crois que je vais avoir envie qu’il me possède très souvent. J’aime la hargne qu’il met quand il me prend. Quand il me porte. Quand il me plaque contre ce mur. Ce grognement quasi animal me rend encore plus dingue. Mes soupirs de satisfaction, mes légers gémissements, ma main qui passe dans ses cheveux… j’ai du mal à me retenir. Trop d’attente. Trop envie de lui.

Je gémis. Je cris chaque fois un peu plus fort à chaque coup de rein violent qui me rendent fébrile. Mes ongles se plantent dans sa chair, mes dents rencontrent sa peau tendre. Moi aussi je deviens animale. A croire que je veux le marquer. Lui laisser des marques pour qu’il se souvienne de moi. Je veux le sentir profondément en moi alors je resserre l’étau de mes cuisses avant de le mordre un peu plus fort. Oups J’y suis peut-être allée un peu fort parce qu’il râle plus fort lui aussi avant de me porter pour me poser sur la table.
Il veut les rênes. Il veut gérer ce qui se passe. C’est lui l’homme, le mec alpha, l’animal en rut. Allongée sur le dos, je le laisse guider et m’écarter les cuisses plus largement.

Je le regarde prendre plaisir alors que je me presse mes seins entre mes mains tout en mordant mes lèvres. Je me cambre en criant mon plaisir alors qu’il ne cesse d’entrer et sortir. J’ai chaud. Très chaud. Mes joues rouge, mes cheveux encore mouillés et mon corps moite en témoignent. Je ne peux détacher mes yeux de lui. J’aime le voir prendre son pied, j’aime quand il me regarde prendre le mien. Une de mes mains descend alors vers mon clitoris et je commence à le caresser vivement. Mes seins secoués en tous sens par ses coups de reins sauvages et mon regard chargé de plaisir doivent certainement le conforter dans ce rôle qu’il semble tant aimer.
Il accélère, je fais de même. Jusqu’au moment où je sens la jouissance qui arrive. Mon corps se contracte, je me cambre encore plus, rejetant ma tête en arrière et je crie de plaisir ultime, divin.
Et effectivement, il avait raison. Il fait jouir des gonzesses et c’est plutôt sympa…
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Mer 26 Juin - 23:50
La blonde vient de passer près de deux heures à chauffer le chanteur, plus que de raison. A tortiller et frotter son corps contre le sien. A le tripoter lui en retour, sans aucune retenue. Apparemment satisfaite de se donner ainsi en spectacle et de constater l'effet sur lui. Parce qu'il lui en a fait de l'effet. Et il le prouve à présent. A s'acharner ainsi entre ses cuisses ouvertes. A aller et venir rageusement dans sa fente trempée qui s'ouvre à lui. Il prend un plaisir certain à défoncer ce joli corps. Et elle ne cache pas le plaisir qu'elle prend grâce à lui. Et plus elle exprime le pied qu'elle prend, plus il s'acharne à la satisfaire au même titre qu'il se satisfait de lui même. Il faut dire qu'elle est diablement excitante la blonde. Pas uniquement pour son physique avantageux. Il n'y a que son caractère qui emmerde pas mal. Mais Vice ne la baise pas pour son caractère. Et n'a pas l'intention de se la coltiner plus que ça. A part pour de prochains concerts, certainement.

Il ne peut nier qu'elle a un certain talent pour la musique et le chant. A cet instant, il est "seulement" en train de s'assurer qu'elle suit la route après toutes ses provocations. Il n'est "évidemment" question "que" de ça. Vice, l'homme animal, ne tarde pas à se mettre hors de portée de ses mains et de ses dents. La jolie féline n'ayant pas manqué de marquer sa peau à grands renforts de coups de griffes et de morsures. Elle est bien vite à demi allongée sur le bureau. Ses mains à présent logées sur sa poitrine qu'elle empoigne. Elle est belle cette foutue tentatrice. Elle est en train de le faire vriller pour de bon. Ses coups de reins semblant encore gagner en vigueur et en rapidité. A la limer de plus en plus rageusement, sans quitter son corps parfait du regard. Sans cesser de la dévorer des yeux. A ne rien manquer de sa main qui libère un sein pour venir s'occuper de son clitoris.

Il se charge de la remplacer. Sa main tatouée venant recouvrir son sein fraîchement libéré, pour l'empoigner. Et le malaxer plus ou moins durement. Sein entièrement recouvert par sa paume large. Quand ses doigts ne s'amusent pas à en torturer la pointe avec plus ou moins de délicatesse. Plutôt 'moins' que 'plus', bien entendu. Parce qu'il prend un plaisir certain à provoquer la douleur dans le plaisir. De plus en plus à mesure qu'il la sent elle même perdre la tête et le contrôle de tout. A commencer par son corps qui se tend de plus en plus. De sa fente qui palpite plus fort autour de lui à mesure que l'orgasme grimpe. Jusqu'au moment ultime de la libération. Il râle encore, mâchoires crispées, quand elle jouit en se crispant fort. Ses derniers coups de reins sont plus percutants, plus violents, plus profonds encore semble-t-il. Pour se mener à la jouissance à son tour. Qu'il libère pourtant sur son bas ventre. Provocateur qui salit le corps de la blonde qu'elle vient tout juste de laver. Il ne prend que quelques secondes ensuite, pour retrouver ses esprits et son souffle. T'es plutôt sexy quand tu te fais baiser. Qu'il commente, toujours dans la provocation. Pour finalement déjà s'éloigner d'elle.
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Mer 26 Juin - 23:52

Deux heures à l’exciter. Deux heures à lui donner envie de moi. Et même si au départ, ce n’était que pour lui prouver que j’étais à la hauteur de ses attentes, qu’il pouvait compter sur moi pour faire le show ; je dois avouer que j’y ai pris goût. Peut-être bien plus que ce que j’aurai pensé. Peut-être aussi parce qu’à son tour il a joué avec moi, me chauffant, m’excitant en me touchant un peu partout. Aucun perdant. Aucun gagnant.
Le moment de délivrance approche à grands pas. Nous nous sommes retenus trop longtemps pour ne pas y aller à fond. Plus de perte de temps. Il s’acharne en moi, me pilonnant avec rage et fougue. Je gémis sous ses coups de reins de plus en plus forts. J’aime griffer et mordre mais cela ne semble pas lui convenir, à lui, l’homme animal.

Il reprend les commandes de ce coït délicieux et m’allonge sur cette table installée ici par le plus merveilleux des hasards. Il a une vue dégagée sur son sexe entrant en moi et sur mon corps entier qui réagit à ce qu’il me fait. J’aime l’animal qui est en lui et il me rend dingue, clairement. Je maltraite ma poitrine avant de m’attaquer à mon clitoris plus que gonflé de désir. Et il m’achève, je crois, quand il vient se saisir de mon sein libre en le torturant. Ses doigts jouant avec mon téton qui durcit encore plus et mes lèvres qui laissent échapper un long gémissement de plaisir. Le sexe bestial, c’est définitivement mon truc. Je le savais déjà mais là, j’en ai encore une fois la preuve.
Mon corps se tend, mon dos se cambre et l’étau se resserre autour de sa queue lorsque je jouis enfin. Une libération salvatrice, un cri diablement excitant qui donnerait envie à quiconque de venir voir ce qu’il se passe ici, dans cette pièce. A son tour, il accélère bien plus et se répand sur mon bas ventre. Le liquide chaud coule légèrement alors que je me redresse, tentant de reprendre mon souffle après cette baise sauvage.

Il s’éloigne déjà de moi et je souris en coin à sa remarque. « Et t’es plutôt sexy quand tu me baises. » Vérité pour vérité. Je me relève, pars chercher de quoi m’essuyer le ventre grossièrement et me prépare à retourner sous la douche. Mais juste avant, je lui glisse d’un ton détaché « Ferme la porte quand tu sors s’te plait. » Parce que je pense pas qu’il va faire de vieux os ici. Il a eu ce qu’il voulait, moi aussi. Tout le monde est content.
J’attends pas de réponse de sa part et file direct sous la douche. Je me lave un peu plus rapidement et une fois fait, je ressors et m’habille aussitôt pour m’en aller. Sur le chemin de la sortie, je croise les mecs du groupe auxquels je dis au revoir. Vice arrive à son tour et je griffonne un bout de papier avant de lui tendre. « Tiens. Mon tel et mon adresse si jamais, un jour, t’as envie que je refasse un concert avec vous. Un concert ou autre chose… » Il comprendra parfaitement le message. J’en suis certaine.
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Mer 26 Juin - 23:53
Vice ne fait pas montre de la moindre douceur à l'encontre de cette fille qui est parvenue à l'exciter au delà de toute raison. Il faut dire qu'elle a provoqué tout ça. Et qu'elle a joué à ce petit jeu là, durant des heures. Ce dont il ne se plaint plus, maintenant qu'il a plein accès à son corps et à sa fente trempée qui le reçoit sans mal tant elle est trempée. Il prend son pied Vice. Et il ne cherche vraiment pas à le cacher. C'est même tout le contraire. Il râle et grogne son plaisir. Tâte ce corps offert de sa main qui n'empoigne pas durement l'une de ses cuisses. Bref, il la baise de la façon la plus animal et la plus bestiale qui soit. Rien que du classique de sa part. Et elle, elle encaisse le tout à grands renforts de cris d'extase, de corps qui danse devant et pour le sien. A grands renforts de regards brûlants, de gémissements et d'halètements. Elle n'est pas juste une emmerdeuse finie qu'il ne peut pas se voir en peinture. Fort heureusement, d'une certaine façon.

Vice, il a à peine jouit sur la peau délicate de la blonde, qu'il s'éloigne déjà d'elle. Le plus naturellement du monde. Il l'a baisé, il a connu son orgasme, merci au revoir. Et elle n'a pas l'air de s'en émouvoir de cette soudaine distance. Au contraire. Elle lui retourne le compliment. Peut-être avec une certaine dose de moquerie dans la voix. Ou peut-être pas. Ca n'a pas d'importance. Et de lever les yeux au ciel quand elle le fout plutôt ouvertement à la porte. A son tour de ne pas s'émouvoir pour un sou. Mais ça l'amuse. Et ça lui plait qu'elle ne soit pas du genre à vouloir le retenir d'aucune façon que ce soit. Il vient de la satisfaire et ça lui suffit. Il ne se fait donc pas prier pour quitter la pièce une fois rhabillé de la tête aux pieds. Il n'a pas l'intention de s'attarder auprès d'elle pour discuter de tout et de rien. Clairement pas.

Il rejoint donc sa propre loge pour prendre une douche rapide. Après laquelle il rejoint les autres membres du groupe. Comme après chaque concert, ils ont l'intention de tous aller boire un verre ensemble. Mais en cours de route, la blonde l'arrête pour lui filer ses coordonnées. Il y pose le regard alors qu'elle même s'éloigne déjà. Après une brève hésitation, il décide finalement de glisser le papier dans la poche arrière de son pantalon. En ayant déjà l'envie d'aller frapper à sa porte dans l'heure à venir. Juste pour vérifier si le plaisir qu'ils viennent de prendre ensemble, n'était pas juste un coup de chance. Et si elle est torride comme ça à tous les coups, ou pas. Mais pour l'heure, il se concentre sur ses potes avec lesquels il file dans le premier bar venu pour trinquer à la réussite de ce concert.
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Mer 26 Juin - 23:54

Il y a quelques jours, on ne pouvait pas se blairer. Pas sûr que ça ait vraiment changé ceci dit. Cependant, maintenant que nos deux corps ont fusionnés, je le regarde d'une autre façon. Et ça doit sûrement être la même chose pour lui. Il est toujours aussi exécrable je pense mais putain c'qu'il est sex. J'ai craqué et je craquerai sûrement encore si l'occasion nous permet de remettre ça. Cette baise animale était exquise. IL EST EXQUIS. Mais juste sexuellement parlant. Son corps est une glace que j'aimerai lécher délicatement avant de mordre dans ce cône et de le savourer jusqu'au bout. Jusqu'à plus faim.
Mais tout ça, c'est peut-être juste dû à l'effet du concert. Au plaisir qu'on a pris, ensemble, à se donner en spectacle. A faire le spectacle. Ses râles et grognements m'ont prouvés qu'il prenait autant son pied que moi. Et le sperme qui se répand sur mon ventre en est la preuve également.

Notre affaire est faite. Notre envie réciproque de s'adonner à ce plaisir bestial qui nous tenait en haleine pendant près de deux heures est satisfaite. Il se retire, je me relève. Sans aucune gêne, je repars vers la douche en le "remerciant". On va pas s'taper la discut' pendant 3h. Clairement, ça nous ressemble pas. Lui comme moi. Ou plutôt nous deux ensemble. Baiser ok. Parler ? Hum. Non.
Plusieurs minutes plus tard, je suis prête à partir. Je salue tout le monde, Vice y comprit. Je lui glisse mon num et mon adresse si besoin... Je ne sais pas ce qu'il en fera. On verra bien.
J'entends un de mes membres parler du bar où ils vont aller après mais personne ne m'y invite et je m'en offusque pas. Je ne fais pas vraiment partie de leur groupe. Et je suis la seule fille aussi. C'est donc sans peine aucune, sans vexation, que je quitte la salle de concert pour retourner tranquillement chez moi.

Une fois arrivée, je me prépare deux trois trucs à grignoter devant la télé. Tout ça m'a donné faim. Une petite fin de soirée tranquille avant d'aller dormir. Et ça aussi j'en ai besoin...
Je range tout et je me déshabille pour aller dormir. Il fait doux ce soir et je décide de fumer une dernière clope à ma fenêtre avant que Morphée ne m'accueille.
Et alors que je suis sur le point de regagner ma chambre, j'entends qu'on frappe à ma porte. Merde. J'ai pourtant pas fait autant de bruits !? Ca doit sûrement être un des voisins, je ne vois que ça...
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Mer 26 Juin - 23:54
Ce n'est pas que la gamine le hante et lui manque plus que ça. Mais elle l'a suffisamment excité pour qu'il ait de nouveau envie de se perdre en elle, le tatoué. Raison pour laquelle, à l'instant même où il glisse ses coordonnées sur papier dans sa poche, il décide qu'il ira lui rendre une petite visite dans la nuit. Venir l'emmerder un peu dans son intérieur. Dans sa vie privée qu'elle n'a peut-être pas complètement envie de partager. Ce dont le musicien se fiche pas mal. Puisqu'elle a ouvert une porte, il va y entrer. Et plutôt deux fois qu'une. Mais pour l'heure, il atterrit d'abord dans un bar avec ses potes. Pour se payer quelques verres. quelques vodkas qu'il s'enfile sans grand mal. Qui lui font vaguement tourner la tête, accompagnés de plusieurs clopes qu'il fume coup sur coup. Il consomme le tout avec une grande facilité. Accepte au passage le rapprochement de quelques gonzesses qui espèrent certainement terminer dans ses draps cette nuit. Mais il a déjà des projets le suédois. Et il n'est pas du genre à dériver de ceux là quand il les a bien en tête.

C'est d'ailleurs juste avant le verre de trop qu'il lève le camps. Il prend le volant sans se soucier de la quantité d'alcool qu'il a dans le sang. Conduit beaucoup trop vite pour se diriger tout droit vers l'adresse que la blonde lui a filé. Et quand il arrive, il frappe à la porte comme un bourrin. Ce qui a le don de faire sortir une tête d'une porte. Mais qui disparaît aussi sec. Comme si son physique étouffait tout de suite l'envie des gens de lui râler dessus. De quoi l'amuser pas mal dans le fond. La porte s'ouvre finalement. Et tout de suite, les prunelles bleues descendent sur le corps féminin pour la scanner de la tête aux pieds. Jag drömmer... Qu'il gronde pour lui même dans sa langue maternelle. T'avais tellement l'air d'une gamine innocente et ennuyeuse à crever, jusqu'à récemment ... Qu'il ajoute, relativement moqueur.

Avant d'entrer dans son appartement sans attendre la moindre invitation de sa part. Et de refermer la porte derrière lui dans la foulée. A déjà remplir l'espace de sa haute et large stature. Je m'suis dis que tu devais t'faire chier ... Le prédateur ne tarde pas à fondre sur sa proie. Délicieuse proie à la peau presque entièrement découverte. Du bout des doigts sur ses hanches, comme s'il touchait une chose délicate, il la fait pivoter. Pour qu'elle lui tourne le dos. Sa main descend ensuite pour venir relever le bas du tissu transparent qui recouvre partiellement son derrière. Son index vient longer la ficelle du string qui apparaît au dessus de ses fesses. Et qu'il fallait quelqu'un pour venir s'occuper de ce cul. Et puisqu'ils se sont déjà bien amusé tous les deux, il semble être le candidat parfait. Et s'il ne l'est pas réellement, il décide de l'être ! Aucun doute qu'elle sera d'accord !
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Mer 26 Juin - 23:56

Le 'toc toc toc' habituel n'est pas de mise ce soir à ma porte. C'est plutôt un "Boum boum boum". Et à la façon dont on s'y prend, je me dis qu'on doit être sacrément remonté contre moi. Ok il est tard mais quand même merde ! Si j'ai pu le droit de regarder la télé on va où !? Je n'ai pas peur pour autant et je m'empresse d'aller ouvrir pour découvrir cet emmerdeur de voisin qui frappe comme un dingue à ma porte. Si il continue, il va la fracasser. Je ne fais même pas cas de ma tenue revêtue pour aller dormir. Je n'enfile rien par-dessus d'ailleurs.
Je suis surprise lorsque je découvre que ce n'est pas mon voisin mais Vice. Penchant la tête légèrement sur le côté tout en prenant appui sur ma porte ouverte, j'écarquille un peu les yeux. "Jag... Dro...mmer ?" Je l'interroge silencieusement avant de compléter. "Ca veut dire quoi ?" Je ne connais pas du tout le suédois et je ne sais même pas si ça sonne comme un compliment ou une insulte ce qui vient de sortir de sa bouche.
Mais vu ce qu'il me sort ensuite, je pense pas que c'était une insulte. Quoique... j'en sais foutre rien. Ca me fait légèrement rire ce qu'il me dit. "T'avais tellement l'air d'un connard narcissique trop sûr de lui que j'avais envie de frapper jusqu'à récemment..." Ce qui n'empêche pas qu'il peut encore l'être mais maintenant, il a ce côté tellement sexy... Quand il me regarde, quand je vois dans ses yeux à quel point il a envie de moi, quand j'entends sa voix grave... tout ce qui m'énervait chez lui disparait. Et je n'ai qu'une envie : assouvir mes pulsions sexuelles les plus folles avec lui. Accroc à son corps ? Pas déjà, non. Mais ça peut arriver. Bien plus vite que ce que je pensais. A voir.

Sans attendre d'invitation à entrer, il franchit le pas de la porte avant de refermer derrière lui. Je recule lentement, ne le lâchant pas du regard. De ce regard bleu pénétrant. Profond. "J'pense que c'est toi qui devait te faire chier si t'es là." Je le cherche encore une fois. Je devrai peut-être pas. Je le sais. Mais c'est plus fort que moi. Et quelque chose me dit qu'il aime bien quand je le cherche de cette façon. Vice n'est pas le genre d'hommes à préférer les femmes qui ferment leur gueule. Enfin, je pense.
Je ne lui demande pas pourquoi il est là, je pense le savoir. Et d'ailleurs il m'en donne aussitôt la preuve dès qu'il vient caresser du bout des doigts mes hanches. L'animal n'est plus là. Plus pour le moment en tout cas. Et sa façon d'y aller doucement m'excite tout autant. Je le laisse me pivoter pour me retrouver dos à lui. La vue semble lui plaire. Je sens son regard de prédateur sur moi. Ma respiration se saccade, l'envie revient, lorsque je le sens relever tout en délicatesse ma nuisette transparente. "Et tu es ce quelqu'un je présume ?" Sans me retourner, je dégage mes cheveux blonds sur le côté. "En tout cas, moi, j'veux que tu le sois..." Je suis curieuse de voir comment il va s'y prendre cette fois.
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Mer 26 Juin - 23:57
Il ne saurait dire si elle est surprise de le trouver là ou si, dans le fond, elle s'y attendait. A vrai dire, ça n'a pas grande importance. Ce qui compte, c'est ce qui va encore se passer au cours des prochaines heures. C'est son envie de se perdre de nouveau en elle. De profiter davantage de ce corps qu'il a à peine goûté. Je rêve. Qu'il lui traduit sans grande émotion. Avant de s'inviter chez elle. S'il attend qu'elle l'invite, autant qu'il reste sur le pallier. Il est chez lui de partout le musicien. Ici en Hongrie, comme n'importe où ailleurs. Oh mais ça je l'suis toujours. Qu'il lui confirme avec un sourire de pure satisfaction sur les lèvres. C'est un connard prétentieux. C'est un enfoiré sans coeur. C'est un "beaucoup de choses". Beaucoup trop de choses. Mais il assume. Il est bien comme il est. Ce qui compte, c'est qu'il soit droit dans ses bottes et toujours fidèle à lui même.

Il ricane quand elle affirme que c'est lui qui se faisait chier. Ce n'est clairement pas le cas. Pas le genre de Vice de s'emmerder où que ce soit et avec qui que ce soit. Surtout pas au cours d'une soirée comme celle ci, durant laquelle il boit tout à loisir et a des gonzesses qui viennent se frotter à lui. Jolies chattes en chaleur qui ne demandent qu'à être possédées. Mais ce soir, il a décidé de venir retrouver cette fille là, chez elle. Certainement pas. J'avais juste un goût d'trop peu... Et c'est vrai. Quand il termine sa soirée avec une fille, il n'est pas du genre à se contenter d'une étreinte. A part si vraiment il s'avère que la nénette en question est un mauvais coup. Ou finalement plus si attirante une fois nue. Ce qui arrive un peu trop souvent à son goût. Le prédateur prend le temps d'amadouer sa proie. Il caresse les hanches féminines pour la faire pivoter. Le regard et l'attention portés sur son postérieur qu'il dévoile tout à fait.

Je veux bien me porter volontaire. Il répond en lui accordant un regard provocateur. Il fait un pas de plus dans sa direction pour se rapprocher d'elle. Une main désormais à plat sur l'une de ses fesses. Sa peau fraîche et douce lui colle une envie furieuse de la fesser. Il tâte, malaxe, masse de nouveau le cul ferme. Pour finalement la pousser en avant pour se diriger vers la chambre dont la porte est ouverte. Il la dirige encore une fois à l'intérieur. Utilise son jouet de la façon qui lui plait. En la faisant grimper sur le lit, à quatre pattes. Et la pousse encore pour qu'elle penche le corps en avant. Buste baissé, croupe relevé. Ses larges mains retrouvent ses fesses, caressent, empoignent et ne tardent pas à fesser. Assez fort pour faire rougir la peau. Que ça la brûle assez pour que le passage de sa langue qui suit, soit presque agréable. Il masse encore, plus fort. De ses doigts qui se plantent dans la chair. Quand ce ne sont pas ses dents qui s'en prennent à elle en la mordant. Trop fort. Deux doigts qui viennent décaler la ficelle du string. Sa langue qui vient titiller le clitoris. La douceur laisse déjà place à l'animal. Qui la dévore avec gourmandise. Il lèche, suce, aspire, mordille par endroit. Il baise de sa langue avant de remonter entre ses fesses. Préparer le terrain en la lubrifiant tandis que ses deux doigts reviennent à la charge pour plonger dans la fente trempée. Il branle, furieusement. Courbe les doigts en elle pour provoquer son point g et le frotter avec énergie.
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Jeu 27 Juin - 0:00

Je suis surprise sans l’être réellement. Disons que je suis agréablement surprise. Parce que je sais pourquoi il est devant ma porte, à faire son mâle dominant en ruminant dans sa barbe des mots suédois dont je ne comprends pas le sens – et qui le rendent encore plus sexy.
Non, il ne rêve pas. Il semble être surpris que je puisse dormir avec une tenue pareille. Ca peut se comprendre vu ma « faute de goût » lors de la répétition. Ce jour-là, j’avais pas eu envie de faire d’efforts mais j’en avais payé le prix. Vice reste toujours égal à lui-même et il a bien raison. « Ouais c’est vrai, tu l’es toujours à une différence près : j’te trouve bien plus intéressant maintenant. » Parce qu’il a donné de sa personne – au sens figuré comme au sens propre. Il a une forte personnalité mais tout s’accorde bien. L’ensemble est explosif, intrigant, effrayant et attirant. Mélange détonnant. On a envie de s’approcher. On a envie d’y goûter. Et en même temps, on se dit que ce serait peut-être pas une si bonne idée. Et puis on franchit le cap. On s’approche. On touche. On goûte. Et finalement, on en redemande. Et apparemment, je ne suis pas la seule dans ce cas. Sinon il ne serait pas dans mon appart à cette heure-ci de la nuit.

Non. Evidemment que non, il ne se faisait pas chier. Il n’est ici que parce qu’il a faim. Et je parle pas de nourriture au sens stricte du terme. Il a faim de moi apparemment. De mon corps. Ca me donne une satisfaction que je tente de cacher malgré mon sourire en coin. « Et qui te dit que j’en ai envie aussi ? » Bon, ok, j’en ai envie aussi mais il est pas censé le savoir. Il doit tellement avoir l’habitude qu’on lui cède tout qu’il doit avoir oublié ce qu’est le refus. Aucune fille ne doit lui dire non, j’en mettrai ma main à couper. Par envie ou par peur, j’en sais trop rien. Mais j’ai envie de lui résister, ne serait-ce qu’un peu.
Malheureusement pour moi, je suis faible. Trop face à lui. Mon corps réclame déjà le sien alors qu’il ne fait que m’effleurer pour le moment. Ses mains effleurent mes hanches délicatement. Puis une seule vient caresser ma fesse. Caresser… Tâter… Malaxer… Ma poitrine se lève et s’abaisse fortement, mon envie de lui revient comme un boomerang.

Il me pousse vers ma chambre dont la porte ouverte semble sonner comme un appel pour lui. Même si je sais ce qu’il a en tête, je n’en connais pas encore les détails. Brutalité ou douceur ? Pour l’instant, c’est doux. Mais ça ne dure qu’un instant. Un court instant. L’animal revient dès qu’il me pousse sur le lit pour que je m’y installe à quatre pattes. Il prend le dessus tout de suite, ne me laisse même pas le temps de répliquer quelque chose. Appuyée sur les mains, il me dirige afin que mes appuis soient sur mes coudes. Penchée en avant, le croupe relevée vers lui, je me permets de tourner la tête pour voir son visage. Savoir si la vue lui plait. Et ça m’en a tout l’air. Je vois dans ses yeux clairs le désir sauvage qui revient alors qu’il caresse mes fesses avec envie.
Et puis vient la fessée. Un « HAN ! » sonore se fait entendre en même temps que le bruit de sa main rencontrant mon cul ferme. Je pousse même un grognement, sonnant félin alors que je l’assassine du regard. Un regard à la fois mauvais et signifiant « Continue… »
Les caresses se font plus fortes, plus ‘intenses’. Ses doigts plantés en moi comme s’il voulait que je lui appartienne. Ses dents mordant ma peau tendre, me provoquant de nouveaux cris entre douleur et plaisirs.
Et puis, l’instant de trêve. Ses doigts qui écartent mon string et sa langue qui vient à la rencontre de mon bouton de chair déjà gonflé d’excitation. La douceur ne fait pas partie de son quotidien mais je ne m’en plaindrai pas. Surtout pas en cet instant. Mes mains agrippent ma couette à mesure qu’il me dévore. Je crois mourir d’extase lorsqu’il poursuit en léchant, suçant et aspirant. Divin Je gémis bien plus vite que la première fois. Bien plus fort aussi. Je bouffe ma couette, étouffant mes cris et lorsque je relève la tête pour reprendre un peu d’air, je me contorsionne et vient poser ma main derrière sa tête. Je sais qu’il ne me laissera pas faire longtemps mais peu importe. Je n’y pense pas. De toute façon, ma main n’est déjà plus là lorsque sa langue remonte entre mes fesses. Vice prend le temps. Je sais ce qu’il compte faire et j’en suis encore plus excitée. J’ai envie de lui crier Encule-moi ! mais je ne peux même pas prononcer un seul mot tellement je suis aux portes de l’extase. Au lieu de ça, j’accompagne ses gestes du mieux possible. Je gémis de plus en plus fort aussi. Me contenter de ces deux fois ? Je ne crois pas non…
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Jeu 27 Juin - 17:09
Comme s'il n'était pas suffisamment excité par l'idée de la rejoindre pour la baiser de nouveau, il a fallut qu'elle ouvre la porte presque nue. Voir carrément nue en fait. Parce qu'on ne peut pas dire que le peu de tissu qu'elle porte, cache vraiment grand chose. Même son comportement a le don de l'exciter. Décidément, les nanas en Hongrie lui donnent du fil à retordre. Et ça lui plaît suffisamment pour qu'il continue de s'attarder dans le coin. Il n'a pas besoin de répondre quoi que ce soit quand elle affirme le trouver plus intéressant. Il est inutile d'expliquer pourquoi ça. Le suédois ne fait finalement pas plus de cérémonie et entre tout à fait dans l'appartement. Ferme la porte et fait face à la blondinette qui ne le quitte pas du regard. Qui attend certainement juste le moment où il va la dévorer toute entière. Parce qu'il va le faire, c'est relativement clair. Sa question fait naître un sourire au coin de ses lèvres. De prédateur, toujours. Il est conscient de ce qu'il représente. Il sait qu'il ne laisse pas les femmes indifférentes, de manière générale. Et il sait pour l'avoir déjà baisé une fois, qu'elle ne fait pas exception à la règle. Tout chez toi se charge de me le dire ... Qu'il lui répond, toujours aussi sûr de lui. Il ne doute pas qu'il peut glisser ses doigts sous le triangle de son string, pour constater qu'elle est déjà moite. Déjà prête à le recevoir. Ici et maintenant.

Et il ne tarde pas à fondre sur sa proie. A la goûter à sa façon. De ses mains joueuses qui attrapent, coincent, caressent, empoignent et malaxent. Elle est déjà en train de réagir. Il le devine à son souffle à son souffle plus court. Et ça ne l'excite que plus encore. La queue déjà bien à l'étroit dans le pantalon qui lui semble beaucoup trop moulant tout à coup. Vice prend plus encore les choses en main. Et la gamine termine sa course sur le lit. Genoux et coudes posés en appuis. Croupe relevé. Joli postérieur que Vice prend toujours un malin plaisir à dévorer du regard, des mains et de la bouche. Un grognement animal de pure satisfaction lui échappe quand elle laisse échapper un cri en réponse à la vive fessée. Définitivement, tout ce qu'elle fait l'excite au delà de toute raison. Et le regard qu'elle lui lance par dessus son épaule, ce n'est qu'un nouveau coup de fouet dans l'excitation qui atteint des sommets. Il ne faudrait pas grand chose de plus pour qu'il s'enfonce dans son cul en sautant la phase de préparation. Malgré tout il visite ses fentes de sa langue. Par envie de la dévorer purement et simplement. De la bouffer, littéralement. Sa fente effectivement trempée qu'il goûte du plat de sa langue qui apaise. Ses lèvres qui aspirent le clitoris gonflé, les dents qui taquinent ses lèvres intimes. Rien de ce qu'il fait n'est réalisé avec patience et douceur. Il n'a pas le temps pour tout ça Vice. Et ça ne l'intéresse pas de toute façon. Il peut vite s'ennuyer et voir le désir retomber dans la foulée.

Comme tu mouilles ... Il commente d'une voix chaude et profonde, quand il enfonce deux doigts dans la chatte trempée. Qui vont et qui viennent à une allure déjà infernale. Tandis que sa bouche se charge du reste. De préparer l'autre fente. Qu'il lubrifie suffisamment pour y enfoncer un doigt de son autre main. Qui va et vient à la même cadence que ceux toujours dans sa fente trempée. Bientôt, deux doigts de chaque côté. Qui ne restent en même temps qu'un court instant. Il les retire aussi sec et grimpe sur le lit. Aucune envie de tourner autour du pot plus longtemps. De la préparer davantage alors que ce qu'il veut, c'est clairement du sale, du violent, du douloureux. Sentir l'anus s'ouvrir avec peine sur son passage. Elle est de toute façon beaucoup trop excitée pour trouver quoi que ce soit à y redire et pour peiner à le recevoir. Il ne prend pas la peine de se dévêtir Vice. Il se contente d'ouvrir son pantalon et de libérer sa queue qui trouve tout de suite le chemin jusqu'à ses fesses. Son gland vient titiller avant de s'enfoncer. Si ça ne tenait qu'à lui, il plongerait plus sèchement en elle. Mais son corps fait de la résistance et il doit s'y reprendre à plusieurs fois pour finalement voir les portes s'ouvrir pleinement à lui. Il grogne une injure dans sa langue natale quand finalement son sexe coulisse entièrement en elle. Délicieusement compressé par le fourreau étroit au possible qui le reçoit non sans mal. Qui se retrouve bien vite malmené par la pluie de coups de reins qui pleut sur le postérieur offert. De ses mains, Vice la fait tout à fait captive. Une posée sur le haut de son dos pour l'obliger à rester penchée ainsi. Et l'autre sur une fesse vigoureusement empoignée. Déjà marquée par ses doigts qui ont heurté et qui empoignent maintenant trop fort. Il jure plus fort à mesure qu'il l'encule avec plus de vigueur et une fermeté implacable.
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