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Shut up and Sing #RP1
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Jeu 27 Juin - 17:50

J’étais sur le point d’aller me coucher. Vannée par la journée, le concert et la baise torride. Difficile de dire laquelle de ces trois choses m’a le plus fatiguée… Ceci dit, une autre petite partie de jambes en l’air sauvage n’aurait pas été de trop…
Et il faut croire qu’on m’a entendu car Vice apparait sur le pas de ma porte, bien décidé à remettre ça. Enfin je pense… aucune chance qu’il soit là pour voir ma déco intérieure ou pour jouer aux cartes. J’en suis déjà toute excitée. Mais j’ai envie de lui faire croire le contraire. Mais il n’est pas dupe. Il sait parfaitement que je suis déjà humide en bas. Rien que de l’avoir vu dans l’encolure de ma porte. Il aurait pu me prendre direct sur le sol. Ou sur ma table. Ou contre le mur. Ou… ou… Partout en fait. Quand il pose ses yeux là sur moi, je crois que je ne réponds plus de rien. Oui, déjà… La baise faite quelques heures plus tôt m’a transporté littéralement. Et même si j’ai du mal à le supporter… je ne peux nier qu’il est doué ce p’tit con. Effectivement, tout chez moi se charge de lui dire que oui, j’ai encore envie de lui. Et une preuve supplémentaire s’ajoute lorsque je me mordille la lèvre tout en caressant le haut de ma poitrine et ça, sans le quitter des yeux alors qu’il entre déjà chez moi.

Il joue avec moi. Il regarde, mate à outrance, caresse du bout des doigts… Il me rend déjà dingue. Mon souffle est déjà court. Je suis déjà fébrile, attendant sans grande impatience qu’il passe à la suite. L’attente est de courte durée puisqu’il me conduit déjà dans ma chambre. Sur mon lit plus précisément. Ce soir, je suis son jouet. Ca ne me ressemble pas pourtant. J’aime bien faire ma petite dominatrice la plupart du temps mais là, je ne peux aller contre sa personnalité. C’est lui le dominant. Lui, le prédateur. L’animal. Animal qui grogne à ma plainte audible lorsqu’il me fesse. Animal en rut lorsque je le regarde par-dessus mon épaule.
Il joue avec moi, mon désir qui prend possession de mon corps. Mes mains qui se crispent dans ma couette alors qu’il joue avec mes fentes humides, mon clitoris gonflé. Je gémis… Pousse des petits cris étouffés. J’accompagne ce qu’il fait, je m’enfonce encore plus dans le lit, relevant davantage ma croupe.

« Je ne mouille comme ça que quand on m’excite beaucoup… » Donc, oui, il m’excite beaucoup. Ce n’est même plus mouillée que je suis, c’est trempée. Et ça ne s’arrange pas lorsqu’il enfonce ses doigts dans mon trou le plus serré. D’avant en arrière, j’accompagne ce qu’il me fait en gémissant bien plus fort. J’ai chaud… Très chaud… De plus en plus chaud… « HAAAN ! HUMMM ! » Cri en réponse à ses deux doigts de chaque côté. Oui, ça m’excite bien plus. Ca me fait jouir bien plus fort aussi… Vraiment plus fort. Mais ça il va le découvrir bien assez tôt car il est déjà grimpé sur mon lit, queue à l’air, prêt à venir en moi de la façon la plus bestiale possible.
Petit moment de répit lorsqu’il vient titiller mon anus de son gland. Je le laisse faire. Je ne bouge pas. Et une fois le passage fait, une fois qu’il commence à aller et venir ; je l’accompagne en venant claquer ma croupe contre sa hampe. En gémissant fort, en criant. J’agrippe bien plus la couette mais une de mes mains vient titiller mon clito. Et là, c’est le summum du plaisir. Une extase indéfinissable. Je ne gémis plus. Je crie. FORT. Je claque mon cul contre lui. FORT AUSSI Mon corps est en transe, littéralement. J’ai rarement eu aussi chaud. La jouissance arrive. Bien trop vite. Je suis trop excitée. Et là, je crie… « HAAAAAAAAAAN !!! OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! » alors que mon corps entier se met à trembler sans que je ne puisse le contrôler…
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Jeu 27 Juin - 19:51
Qu'elle en soit consciente ou non, Elsa est déjà dans la phase de séduction. Couplée à ce moment où elle perd le contrôle et laisse apparaître son désir déjà bien présent. Et Vice est loin de s'en plaindre. Même s'il n'a pas constamment et vraiment besoin de preuves supplémentaires du fait qu'il plaise. Bien sûr qu'il plait. Bien sûr qu'il parvient à exciter les nanas juste par sa carrure et son style. Il le sait. Il en joue. Souvent. C'est un peu pour ça que le groupe a autant de fans dans le fond. Grâce aux mecs qui forment les Fakir. Des "fans". Des groupies plutôt. Toutes plus hystériques les unes que les autres. Mais c'est d'autant plus kiffant durant les concerts, toutes ces nénettes en chaleur. Surexcitées au possible. Et ça le fait jubiler de constater qu'Elsa n'est pas insensible non plus. C'était pourtant très mal parti au départ. Et ils se détestent sans doute toujours autant aujourd'hui. Peu importe. C'est le sexe qui compte. Et ils ont déjà pu constater tous les deux, que ça fonctionnait. Que ça laissait même vite un goût de trop peu. Raison de la présence du musicien chez elle d'ailleurs. La gamine s'excite davantage encore quand il se fait mâle à la conquête de son corps. Qu'il manipule comme un jouet. Qu'il s'en prend finalement à ses fentes qui s'offrent pleinement à sa vue. Difficile de ne pas être douloureusement excité à la vision d'une jeune femme pareille, ainsi offerte. Cul relevé qui lui fait de l'oeil. Qui le fait carrément bander plus fort.

S'il la trouvait mouillée jusque là, il la trouve carrément trempée à partir du moment où il enfonce deux doigts entre ses fesses. Qui vont et viennent à la même cadence que ceux enfoncés dans l'autre faute. Clapotis érotique de la cyprine qui coule sur les phalanges qui continuent de la baiser. Inutile de se poser la question de savoir s'il a le droit de visiter son cul. Son corps répond pour elle. Ses plaintes de plaisir presque excessives, également. Et ça l'arrange pas mal le chanteur. Qui a donc une raison de plus de ne pas tourner autour du pot. De rejoindre directement son postérieur de sa queue gorgée de désir. De s'enfoncer en elle avec l'insistance et la brutalité qui le caractérise. Si le corps fait de la résistance, la conscience de la gamine n'en fait rien. Au contraire. Elle ne tarde pas à l'aider en remuant son joli corps pour s'empaler d'elle même sur le sexe qui s'enfonce fermement en elle. Les pénétrations sont vives et puissantes. Violentes. Baise frénétique. Sodomie sauvage. Elle remue des hanches avec bien plus de vigueur encore que lorsqu'il l'a baisé dans la loge. Clairement, ils sont sur la même longueur d'ondes. Elle n'a pas froid aux yeux. Ce qui ne peut que convenir à un mâle dominant dans son genre. Qui continue d'aller et venir avec toujours plus de violence et de rapidité en elle. Les mouvements qu'elle coordonne aux siens, rendant les pénétrations toujours plus puissantes et plus profondes.

Il peut à peine apprécier le son érotique du claquement des peaux qui se percutent sans douceur, avec les cris féminins de plus en plus sonores. Mais peut clairement apprécier la vision de sa queue qui va et vient en elle. Merveilleusement à l'étroit en elle. Qui continue de la perforer avec hargne. Nouveau terrain conquit sur ce corps féminin. Et Elsa est bien vite frappée par un orgasme. Qui apparaît bien plus puissant que le précédent. Elle se serre autour de lui et tremble. Fort. Spasmes libérateurs qui traversent le corps féminin. Qui arrachent un bref ricanement à la bouche de Vice qui la fait presque aussitôt basculer davantage sur le lit. Pour l'allonger sur le ventre. Et passer ses jambes de part et d'autre des siennes pour qu'elle les serre. Rendant ainsi le passage plus étroit et compliqué. Et permettant à sa queue d'être plus comprimée encore par le fesses. Jolies fesses bien rondes qu'il n'a pas encore l'intention de libérer. On dirait que quelqu'un aime se faire enculer ... Qu'il gronde, presque moqueur. S'il a brièvement cessé ses vas et vient en elle, ce n'est que pour pouvoir lui flanquer des coups de reins plus secs encore. Rares mais violents. A cogner durement contre ses fesses et à presser davantage encore comme s'il tentait de gagner quelques millimètres supplémentaires, bien au chaud dans son corps étroit. Ainsi positionné au dessus d'elle qui n'a pas grande marge de manoeuvre pour bouger, il se penche pour venir lécher et mordre la peau à portée de sa bouche. Cou, épaules et haut du dos.
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Ven 28 Juin - 11:15

Le sexe est parfois libérateur de certains maux. Vice et moi en sommes la preuve ce soir. On ne peut pas se saquer et pourtant, sur le plan sexuel, on s’accorde à merveille. On en redemande même. Il a suffi d’une fois. D’un contact. D’un coït bestial. Et maintenant, nous avons ce goût de « reviens-y » qui nous possède. Sentir le contact de sa peau contre la mienne. La poigne ferme de ses mains sur mes fesses ou mes seins qui pointent d’excitation. La chaleur de son souffle dans mon cou. Son regard de prédateur posé sur mon corps entier. Sa queue en moi, gonflée de désir, qui me pilonne sauvagement, férocement et qui me fait gémir chaque fois plus fort.
Tout en lui m’excite. Je n’arrive pas à lui résister la moindre seconde même si, pourtant, j’en aurai envie. Juste pour lui prouver que tout le monde n’est pas à ses ordres. Ou pour qu’il me punisse ensuite. J’ai du caractère, je le sais. J’ouvre un peu trop ma gueule, je le sais aussi. Sexuellement, j’aime qu’on soit doux parfois mais j’aime aussi la bestialité. Tout dépend du moment, tout dépend du partenaire. Vice, lui, dégage une bestialité si enivrante que je ne peux que me résoudre à être son jouet. Du moins, ce soir. Peut-être qu’un jour j’arriverai à prendre le dessus. Peut-être… Au moins quelques secondes. Mais pas ce soir. Non. Je me surprends à aimer me laisser dominer de la sorte.

Le cul relevé vers lui, ses doigts jouant avec mes deux fentes et moi qui mouille comme rarement tant que je suis excitée. Mes soupirs de plaisirs accompagnent ce qu’il me fait et je le supplie silencieusement de venir en moi. De m’enculer. Il parait que c’est rare les filles aimant la sodomie… Eh bien, je suis donc une rareté. J’adore ça. Clairement. Je jouis bien plus fort de cette façon, au grand étonnement de mes partenaires la plupart du temps d’ailleurs. Même si rares sont ceux ayant le droit de toucher au côté obscur.
Vice fait partie de l’élite. Mais quand on le voit, ça semble logique. Il dégage tellement de sex-appeal. Tout en lui appelle au sexe, à la démesure, à la luxure. Quand il a posé ses yeux sur moi devant la porte de mon appart, j’avais envie de lui sauter dessus, qu’il me baise contre la porte, devant mes voisins trop coincés. Juste par un simple échange de regards. Finalement, baiser à l’entracte n’aurait rien fait perdre de notre envie. Au contraire. Je crois qu’elle grandit encore plus à chaque qu’on se croise.

Sa queue est enfin en moi. Dans mon petit trou serré qu’il semble apprécier vu les grognements que j’entends. Mon cul toujours relevé, je viens le claquer contre lui. J’aime sentir sa queue aller et venir, j’aime sentir sa poigne sur mes hanches. La sodomie est sauvage. Nous sommes des animaux en rut, cédant à leurs pulsions primaires par des mouvements brutaux et puissants.
Baise sauvage qui m’emporte bien trop vite dans ce monde merveilleux des orgasmes puissants. Mon corps se contracte autour de sa queue toujours gonflée et je me mets à trembler alors que des cris très sonores se dispersent dans ma chambre. Vice n’a pas joui lui. Pas encore.
Il me pousse en avant. Ecroulée sur mon lit, il resserre mes jambes afin que sa queue soit encore plus à l’étroit. Mon souffle est court. Je suis essoufflée. « T’as même pas idée… » Bah si justement, je pense qu’il l’a deviné vu comment j’ai crié.
Il n’en a pas fini avec moi et même si je viens de jouir, je ne m’en plains pas. J’aime le sentir en moi, contre moi. A chaque coup de rein puissant, je pousse un soupir plaintif de plaisir. Encore… Il est maintenant sur moi, je sens la chaleur de son corps qui se rapproche. Je crois mourir de nouveau lorsqu’il vient me lécher. Mais ce n’est rien en comparaison de ce que je ressens lorsqu’il me mord le cou, les épaules et le haut de mon dos. Des frissons parcourent mon corps tout entier. Et mon corps réagit de nouveau. Lentement. Comme si un second orgasme pouvait presque arriver dans quelques minutes. Mes plaintes sont plus excitantes, comme si j’en redemandais encore et encore et encore…
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Ven 28 Juin - 15:28
Vice n'a pas besoin de connaître les gonzesses qu'il se tape. Il suffit qu'elles soient bonnes, qu'elles se laissent dominer mais participent quand même un minimum, pour être à son goût. Une nana trop bavarde, ça l'emmerde pas mal. Une nana qui se la joue trop dominatrice, également. Une étoile de mer, ça le fait chier. Dans le fond, il est compliqué mais sans trop l'être non plus. C'est pour ça qu'Elsa semble bien lui convenir. Pour la soirée en tout cas. Il ne se projette pas du tout sur la suite et n'a donc aucune idée de si, oui ou non, ils connaîtront de nouveau ce genre d'instant tous les deux. Et il s'en tape. Complètement. Alors qu'actuellement il est parfaitement planté dans son cul qu'elle lui offre avec un plaisir assez dingue. Elle prend son pied d'une façon qui achève pour de bon toute potentielle retenue de la part de Vice. Qui, en effet, n'avait aucune retenue jusque là. C'est dire où il en est à présent. Et pour couronner le tout, elle s'empale d'elle même sur sa queue tendue. Fait en sorte de rendre les pénétrations toujours plus violentes et vigoureuses, en remuant des hanches devant lui et contre lui. Elle a une façon de se mouvoir qui est complètement dingue.

Il ricane quand elle jouit à grands renforts de cris. Sons à la mélodie toute particulière pour lui. Qui se nourrit de tout ça. De la pornographie qui se dégage de tous ces instants, de tous ces détails. Les cris qui ricochent sur les murs. Les claquements des peaux qui se rencontrent trop violemment. Celle de ses fesses qui a d'ailleurs prit une teinte toute particulière. D'un rouge foncé qui témoigne de la brutalité de leurs échanges. Des coups de reins sans fin qu'il lui flanque. Lui inflige encore et encore. Il continue de gérer le corps féminin comme bon lui semble. En lui faisant légèrement changer de position pour être plus que jamais à sa merci. Elle n'a pas grande marge de manoeuvre ainsi allongée sur le ventre. Son cul à peine relevé pour continuer de l'accueillir comme ça. Il laisse de nouveau entendre un vague ricanement quand elle lui offre une réponse presque stupide. Entre deux halètements. Deux inspirations qui semblent difficiles dans elle a le souffle court. Retournée encore qu'elle est par l'orgasme qui vient de la faucher. Particulièrement intense. Plus encore que le premier.

Je crois que je viens d'avoir un petit aperçu quand même ... Qu'il lui fait remarquer non sans une certaine ironie dans la voix. Il étend ses jambes à son tour, de part et d'autre des siennes. En équilibre au dessus d'elle, à l'aide de ses mains en appuie de part et d'autre de son crâne. Presque allongé sur elle quand il s'enfonce aussi profondément que possible entre ses deux jolies fesses. Contre lesquelles il prend un certain plaisir à se presser aussi fort que possible. Se frotter contre sa chair ferme. Alors qu'il gagne des millimètres superflus en elle. L'animal grogne de nouveau quand il la sent réagir tellement vivement, au passage de sa langue sur sa peau. Puis à la morsure qui suit. Il mord plus fort, assez soudainement, en même temps qu'il lui inflige un coup de reins violent qui fait claquer les peaux et rebondir son corps sur le matelas. Cette sensation qu'il a de pouvoir la briser à tout moment rien qu'à l'aide de son corps trop large et trop lourd pour le sien, ajoute de l'excitation au tatoué qui prend beaucoup trop de plaisir à tout ça. A l'idée qu'elle n'est pas grand chose face à lui/contre lui. Il continue son petit manège. Entre vives morsures offertes en même temps que des coups de boutoir violents et langue qui apaise en même temps que des mouvements de bassin plus tranquilles. Certainement pas lents. Mais plus apaisés, d'une certaine façon. Il fait en sorte de retarder le plaisir. De le repousser encore un peu.
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Ven 28 Juin - 15:49

L’acte sexuel est à la fois simple et compliqué. Tout dépend du partenaire la plupart du temps. Si l’alchimie se fait ou pas. Avec certains c’est simple, avec d’autres un peu moins.
Pour ma part, je ne peux pas dire que je suis dominatrice comme je ne peux pas dire que je suis soumise. Je suis un peu des deux. Selon mon envie, selon mon (ou mes) partenaire(s).
Avec Vice, je suis partagée. J’ai envie de prendre le dessus. De mener la danse. De le mordre, de le griffer, de le chevaucher. De malmener son corps comme il malmène le mien. Mais Vice n’est pas un homme soumis. Bien au contraire même. Et je me laisse porter par sa domination enivrante. A peine m’a-t-il effleuré que je suis déjà fébrile. Ma respiration est déjà courte et je brûle d’impatience de voir ce qu’il va me faire.
La suite est bestiale. Animal. Féroce. Brutale.
Je crois que je n’ai jamais baiser de cette façon et je suis la première surprise d’aimer autant cela. De l’animosité dans mes rapports, j’en ai déjà eu. Mais pas à ce point. Il m’excite d’une façon tellement… primaire que je me lâche totalement. M’empalant sur sa queue qui entre et sort dans des cris de plus en plus bruyants. Mes cheveux qui se collent sur mon visage ou dans ma nuque, ma gorge qui s’assèche, je bouge mon bassin, claque mon cul violemment contre lui. Je suis comme possédée et la jouissance arrive trop vite à mon goût.

Celle de Vice par contre, ne vient pas. Il prend son temps, il semble vouloir savourer cet instant. Me posséder lentement, jusqu’au bout des choses, comme si c’était la dernière fois.
Désormais à plat ventre – ou presque, je reprends mon souffle petit à petit suite à cet orgasme indescriptible. Mon corps semble encore trembler mais impossible de savoir si c’est suite à l’orgasme ou parce que je sens le souffle de Vice dans ma nuque que je dégage. Mes cheveux sont collés, j’ai chaud…
Il se moque de moi, de ce que je lui réponds. Entre deux halètements, je souris à sa réponse avant de relever légèrement ma croupe contre lui. « Léger ? » Je me moque de moi-même. Autodérision. Je sais que j’ai été tout sauf discrète dans ma jouissance.

Vice change de position. Je sens encore plus le poids de son corps sur moi. La chaleur de ses bras qui semblent m’entourer. Il y va plus lentement. Mais cela n’a rien de moins sauvage. Diablement excitant. Je relève mon cul pour accompagner ses coups de reins et glisse ma main du mieux que je peux sous moi pour me caresser le clito.
Sa langue vient lécher ma peau et, de nouveau, mon corps s’électrise. Une petite complainte de plaisir avant de sortir un « HM ! » , la bouche fermée, alors qu’il vient me mordre férocement. « Tu veux m’marquer ? » Faire comme une empreinte de son passage. Je ne dis pas que ça me déplait, bien au contraire même. Ca m’excite.
Sa barbe chatouille ma peau quand il me frôle, me fait frissonner. Les mouvements sont plus mesurés on va dire et je mouve mon bassin en suivant la même cadence tandis que mes doigts s’amusent eux aussi à me procurer du plaisir. L’excitation revient doucement. Lentement… Un second orgasme ? Non. Je pense pas. Il aura joui avant moi.
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Ven 28 Juin - 15:52
Vice, implacable dans sa façon de baiser la jeune femme. A la plaquer sur le lit sans la moindre douceur, à mordre sa peau comme pour lui rappeler qu'elle est totalement à sa merci et à la dominer de sa carrure imposante. Il alterne la cadence des coups de reins. Mais ne fait preuve d'aucune douceur. Tout au contraire. Plus ça va et plus il est violent dans sa façon de la posséder toute entière. De lui rappeler qu'en cet instant, elle n'est rien d'autre qu'un jouet pour lui. Qu'une foutue poupée gonflable tout juste bonne à être baisée ainsi. Qu'il baise avec une certaine frénésie dans les reins. Très léger. Ca se remarque à peine ... Qu'il prétend, évidemment ironique au possible. Parce qu'elle est du genre à exprimer tout le plaisir qu'elle prend. Et autant dire qu'elle a eut tout l'air d'en prendre vraiment beaucoup. Plus encore depuis que c'est de son cul que s'occupe le musicien. Vice qui la domine de plus en plus au fil des minutes qui passent. Tout ce qui a vraiment de l'importance pour l'instant, c'est le fait d'être ainsi enfoncé bien au chaud et à l'étroit en elle.

Elle qui réagit vivement même quand il se "contente" de mordre sa peau. Fort. De la marquer de ses dents de la même façon qu'il est en train de marquer son postérieur, de son bassin qui n'a de cesse de la heurter violemment. Elle ne se fait pas prier pour relever autant que possible son cul bien rond. Lui permettant ainsi de plonger aussi profondément que possible en elle. Et à chaque pénétration, c'est un pas de plus tout droit vers l'orgasme qu'il ne saurait retenir éternellement. On dirait bien ! Il répond dans un grognement animal. Avant de glisser sa main sous son corps, pour remplacer la sienne. Même s'il commence par enfoncer deux doigts dans sa chatte. Tellement trempée, qu'il en laisse échapper un bref ricanement. Ca ne l'excite que plus encore de constater l'état dans lequel elle est. De pouvoir vérifier encore et encore, de la sorte. Ses doigts qui vont et viennent en elle et sa paume qui heurte son clitoris pour continuer de le titiller. De le caresser à un rythme soutenu. Celui qu'il ne tarde pas à imposer de nouveau à son cul qu'elle lui offre toujours sans la moindre limite.

De nouveau, sodomie presque rageuse. En tout cas violente et à un rythme soutenu. De nouveau à cogner durement contre ses fesses. De nouveau à écarteler l'anus étroit, de l'épaisseur de sa queue. Et cette fois ci il ne cherche pas à retenir la montée en puissance de l'orgasme. Qui le heurte de plein fouet entre deux coups de boutoir violent et le fait venir dans son cul. Il pourrait encore une fois s'amuser à salir sa peau de son sperme. Mais il n'en fait rien. Il préfère s'enfoncer d'un dernier coup de reins aussi profondément que possible en elle, pour se déverser dans cette place de choix, confortable juste comme il faut. L'instant d'après il bascule pour que son dos rencontre le matelas. Dans un soupir apaisé et soulagé, il porte une main à son front brillant de sueur. Et jure dans sa langue natale comme à peu près à chaque fois qu'il vient de prendre son pied. Comme c'est le cas ce soir pour la seconde fois.
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Ven 28 Juin - 16:42

Chacun prend son pied dans cette baise animale. Moi, par ses coups de rein violents dans mon cul. Lui, parce qu'il aime cette domination et faire de moi son jouet en cet instant. La bête me possède, encore et encore. Râles de plaisir, grognements de satisfaction, Vice cède à ses pulsions animales en me pilonnant de toute sa rage. L'orgasme m'a envahit une fois mais il n'est pas impossible qu'il revienne pour un second round. Ses morsures me rendent de nouveau dingue, prête à m'offrir à lui aussi longtemps qu'il le souhaitera. Il me marque et assume de le me dire. Hmm... Marque-moi de tout ton être... ai-je envie de lui dire mais je ne peux déjà plus parler.
Mon cul relevé, ma main prise sur mon clito, je sens l'excitation revenir alors qu'il m'encule toujours aussi férocement. Mais l'homme est joueur et il remplace ma main par la sienne. Deux doigts dans ma chatte, sa queue dans mon cul. Il me baise encore plus fort. Soupirs qui reviennent alors qu'il accélère toujours plus. Sodomie rageuse, sodomie profonde qui l'emporte finalement vers les portes de la jouissance comme ce fut mon cas quelques minutes avant.

Mon cul lui a été offert et il s'est déversé à l'intérieur sans aucune retenue.
Désormais sur le dos près de moi, essoufflé et en sueur, Vice semble satisfait et repus. Je ne doute pas qu'il puisse faire plus que deux baises dans la soirée, dans la nuit. Mais là, je ne suis pas certaine qu'il soit capable d'autre chose que de dormir.
Sur le ventre, encore un peu essoufflée, je relève la tête et la pose dans la paume de ma main en le regardant en souriant en coin. Nul doute qu'il a apprécié cette sodomie improvisée et qu'il en redemandera.
Voici maintenant le moment que je déteste. Autant tout à l'heure c'était simple, autant là je ne sais pas comment réagir et quoi faire. Me coller à lui ? Non. L'embrasser ? Non plus. Me lever pour aller manger ? Possible.
Quelques secondes d'hésitation et je décide finalement de mordre légèrement son épaule qui est à la portée de mes lèvres avant de me lever pour aller me chercher une clope.
Il est dans la chambre, moi dans ma cuisine. J'ouvre le frigo et me prend une bière avant d'allumer ma clope. Avec un peu de chance, il va s'être endormi quand je reviendrai et je me poserai pu mille question sur l'attitude à adopter ou savoir quoi lui dire...
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Ven 28 Juin - 16:48
C'est évident qu'ils prennent tous les deux leur pied dans cette baise magistrale et animale. Qu'aucun ne se plaint de toute cette violence. Pas même elle qui subit tout ça. Surtout pas elle, même. Elle en a plutôt redemandé tout au long de l'acte plein de rage. Et Vice ne s'est pas fait prier un seul instant pour obéir et aller "au fond" des choses. Dans tous les sens du terme, bien entendu. Et quand l'orgasme fauche le musicien, c'est forcément avec la même violence que la baise en elle même, dans son entièreté. Mais quand bien même le tout l'aura achevé pour au moins quelques heures, il prend la peine de basculer sur le côté pour s'étendre sur le lit et non pas sur elle. Non pas par crainte de l'écraser et de lui faire mal -il n'est pas attentionné à ce point-. Mais bien parce qu'il pense justement à lui et à son petit confort personnel. L'après sexe est violent lui aussi. Pour cette fois ci en tout cas. Parce que l'alcool coule en trop grande quantité dans son sang désormais. Il a le coeur qui tambourine furieusement dans sa cage thoracique et le souffle encore court.

Malgré ses paupières closes, il sent parfaitement le regard de la blonde toujours installée sur le ventre à côté de lui. Il ne réagit pas, pour autant. Il ne fait aucun commentaire ni ne cherche à l'observer en retour. Il est soudainement trop amorphe pour ça. Il affiche quand même un semblant de sourire quand elle se penche vers lui pour lui mordre l'épaule. Mais ne prend pas la peine de s'interroger sur ce geste. A savoir s'il a ou non une signification. Dans le fond, ça n'a pas la moindre importance ! Et il est encore trop occupé à tenter de se remettre de ses émotions. Quand elle quitte finalement la chambre, une brève question s'impose à lui. Pour savoir s'il doit quitter l'appartement ou pas. En toute logique, c'est ce qu'il devrait faire. Mais Vice se fout de s'imposer chez les gonzesses qu'il se tape. Surtout quand, comme ce soir, il évolue dans un brouillard trop opaque pour qu'il puisse réfléchir sérieusement à tout ça. Et pour qu'il parvienne à regagner sa chambre d'hôtel qui lui paraît soudainement beaucoup trop loin !

Ca ne tourne donc pas bien longtemps en rond dans son esprit. Il est déjà à se redresser pour retirer son tee shirt qui colle à sa peau moite. Il n'a pas le courage de faire de même avec son pantalon alors il se concentre de ranger sa queue dans son habitat habituel. Pour ensuite échouer de nouveau sur le lit. Etendu sur le côté, dos à la porte. Installé comme s'il était chez lui. Même s'il n'a, justement, pas de "chez lui" très officiel. Il possède un appartement en Suède mais pour le peu de temps qu'il s'y trouve et qu'il y met les pieds ... Alors il un peu comme chez lui, de partout, le suédois. Même chez cette fille qu'il ne connaissait pas réellement quelques jours plus tôt. Qu'il ne connait d'ailleurs toujours pas. Ce n'est pas parce qu'il vient de la sauter deux fois, qu'il la connait. Ce qui ne l'empêche pas de sombrer profondément dans le sommeil, sur son lit.
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Ven 28 Juin - 17:49
Je commence à cerner Vice. Légèrement. Je sais (ou plutôt je pense) qu'il n'est pas du genre à papoter après le sexe. Et c'est peut-être pas plus mal. Il est alcoolisé aussi. Je l'ai senti. Donc raison de plus pour ne pas parler. De toute façon, on a rien à se dire. Baiser ensemble, c'est tout ce qu'on sait faire. Et faire le show sur scène aussi. Ce qui est déjà pas mal quand on y réfléchit.
Il est maintenant allongé sur le dos et je l'observe rapidement avant de lui mordre l'épaule. Ce que ça signifie ? J'en sais trop rien moi-même. Impulsion. Envie du moment. Clôturer cette baise animale par un acte animal. La boucle est bouclée.
Je lui laisse le choix de partir ou rester. Dans son état, je parie sur le deuxième choix.

En attendant, je me lève et pars boire une bière avant de fumer une clope. Je n'entends rien. Aucun bruit. Aucun pas. Je ne repasse pas dans ma chambre pour le moment, je suis certaine qu'il s'est endormi. Et je le comprends. Moi aussi je suis K.O. Je passe par la salle de bain et je vais me brosser les dents. La douche attendra demain matin. Là, j'en peux clairement plus. J'ai juste envie de dormir.
Quand j'arrive dans ma chambre de nouveau, je le vois effectivement étalé dans mon pieu. A moitié habillé. Je lève les yeux au ciel et hausse les épaules. Seulement pour moi-même bien sûr. Qu'il dorme ici, je m'en fous. Ca m'empêchera pas de dormir.
Vu comment il se met à ronfler, je suis persuadée que rien ne pourra le réveiller. Certainement trop alcoolisé et fatigué pour se déshabiller, il a encore son jean sur lui. Je fais le tour du lit pour être à sa portée et je le pousse pour qu'il se mette sur le dos. Il grogne. J'attends. Rien. Il se remet à ronfler. Alors, avec un peu beaucoup de mal, je lui enlève son jean. Je galère à mort. Ca lui colle à la peau ce truc ! Putain ! Au bout de plusieurs minutes, j'arrive à lui enlever et je mets le jean au sol, près de lui. De nouveau, il grogne mais ne se réveille pas. Je tire un coup sec sur la couette pour pouvoir lui mettre sur le dos. Non, je ne suis pas attentionnée. J'ai juste envie d'avoir accès à ma couette moi aussi. Grognements, encore.
Je refais le tour du lit et me couche. Trop fatiguée, le sommeil me gagne rapidement malgré ses ronflements. Je le pousse pour qu'il se remette sur le côté et atténuer ses ronflements. Et je m'endors...

Le lendemain arrive bien vite. J'ai l'impression d'avoir dormi trois minutes alors qu'il est déjà 13h. Vice est encore là. Il dort encore sinon il se serait barré depuis longtemps. En faisant le moins de bruit possible, je me lève et vais me faire chauffer un café. Café clope. Voilà mon p'tit déj. Et vu qu'il fait beau ce matin, je décide de prendre mon petit déj sur mon (petit) balcon. Quelques minutes plus tard, je repasse par ma chambre et... oui, il dort encore.
Bon bah, je vais aller me laver. Avec un peu de chance, quand je serai sortie, il se sera réveillé et se sera barré. Nul doute qu'il ne voudra pas rester une minute de plus ici. Surtout s'il est à jeun...
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Ven 28 Juin - 18:12
Vice ne se pose pour ainsi dire jamais la question de dormir ou non chez la gonzesse qu'il se tape. S'il est ivre mort, il reste. S'il est parfaitement en état de reprendre la route, il se tire. C'est aussi simple et basique que ça. Pas besoin de se prendre le chou à se poser mille questions pendant mille ans ! Ce n'est certainement pas le genre de Vice. C'est donc sans grand mal qu'il trouve le sommeil sur le lit d'Elsa. Le genre de sommeil profond dont il a grand besoin. Son genre de sommeil, tout court. Parce qu'il dort toujours très bien. Rien ni personne ne saurait l'empêcher de s'endormir comme une masse. Même quand on vient le 'tripoter' dans son sommeil, il ne réagit pas le moins du monde. Il ne bronche donc à peine quand Elsa lui retire son jean et s'attelle ensuite à tirer la couette pour la flanquer sur son corps plutôt qu'en dessous. Il ne réagit pas davantage quand elle le pousse pour le faire rouler et atterrir sur le flan plutôt que sur le dos. Une bombe pourrait exploser à côté de lui, qu'il ne réagirait pas plus que ça, très certainement.

Ainsi, quand il rouvre les yeux, il a l'impression qu'il vient à peine de les fermer, tout en se sentant pas mal reposé. Effets contradictoires qui ne sont clairement pas pour lui déplaire ! Il ronchonne quand même un peu quand il bascule sur le lit pour se rallonger sur le dos. Regard perdu du côté du plafond tandis que les cases sont en train de se remettre en place dans son esprit. Il se souvient de sa soirée par bribes. Mais dans l'ensemble, il croit bien se souvenir qu'il est chez Elsa elle même. Qu'il s'est invité chez elle après sa petite soirée au bar, à moitié ivre pour ne pas dire complètement. Encore quelques grommellements quand il constate l'heure tardive. L'après-midi est déjà entamé. Raison pour laquelle il se décide à quitter le lit. Il est surpris de réaliser qu'il ne porte que son boxer. Mais ne se pose pas plus de question que ça. Parce que ça ne l'intéresse pas du tout et parce qu'il s'est peut-être déshabillé avant de s'endormir. Pour ce dont il se souvient de sa soirée, franchement, tout est possible ...

Il reste assit sur le bord du lit le temps de se rhabiller. C'est qu'avec la gueule de bois, c'est compliqué de garder la tête claire et un certain équilibre en plus de ça. Cette petite tâche lui demande donc énormément de concentration et de force physique. Mais il ne tarde pas trop à y parvenir. Pantalon, tee shirt et chaussures et le voilà prêt à partir. Il vérifie que toutes ses affaires sont bien dans les poches de son jean et quitte la chambre. Sans faire de tour par la case chiottes et surtout pas par la case salle de bain où il entend parfaitement l'eau couler. Autant éviter un tête à tête avec elle. Et plutôt rentrer à son hôtel tout de suite pour prendre une douche bien méritée et gagner quelques heures supplémentaires de repos.
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