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Test me and taste me... again #RP2
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Mer 26 Juin - 21:06

Connard. Voilà ce que je me dis alors que je regagne la sortie. J'ai trop les nerfs. Ce mec est un bon coup, je dis pas. Mais ça n'excuse pas tout et surtout pas le fait d'être un connard fini. Je marmonne tout en finissant ma clope que je jette alors que je viens d'ouvrir la porte. J'ai bien fait de lui dire ce que je pensais. Je me répète ça. D'un côté ça me fait chier parce que j'aimais vraiment l'ambiance du groupe. Mais d'un autre, je sais que j'ai fait le bon choix.
La porte n'a même pas le temps de se refermer et j'ai à peine le temps de souffler que je sens une main me ramener en arrière et me tourner. Pas le temps de dire quoique ce soit que je me retrouve sur l'épaule de Vice, portée comme un vulgaire sac de patates. "Lâche-moi putain !" Je me débats. Je le frappe de mes petits poings minables dans son dos. Mais rien n'y fait. Il ne bouge pas. Il ne bronche pas. Je continue jusqu'à ce qu'on arrive dans la salle de mixage où là, je baisse les armes et laisse mes bras ballants. Je suis toujours aussi mauvaise, énervée mais j'dis rien. J'attends qu'il daigne enfin me poser. Et cette fois, c'est dans le studio lui-même. Il met une main sur mon thorax et je le regarde en mode vénère. Les sourcils froncés, la mâchoire toujours serrée. Je frappe dans sa main pour qu'il la vire de mon buste et je croise les bras, l'écoutant quand même. On ne sait jamais. Peut-être que pour une fois, ce qui sortira de sa bouche ne sera pas de la merde. Il déblatère. Il a jamais autant parler putain ! Faut mettre une croix dans le calendrier ! J'ai toujours les bras croisés et le regard mauvais. Je prends une grande inspiration et ne dis rien non plus lorsqu'il me pousse de nouveau. Je me contente simplement de l'écouter, encore, avant de poser mon sac au sol. "Bien." dis-je les dents serrées. Il s'approche de moi en se penchant légèrement et je le repousse du bout de mes doigts. "Ok. Bouge et va remettre la bande son maintenant."

Je le quitte pas des yeux. Mais cette fois, mon regard n'a plus rien de désireux envers sa personne. Ou un désir de lui mettre ma main dans la gueule. Même si je sais qu'au fond, il a raison. Mais ça, plutôt crever de le lui dire.
Toujours en le regardant, pour nourrir cette haine, cette colère dont il veut que je me serve, je recommence à chanter. Rien n'est plus pareil. Ma voix est cassée, raillée. C'est peut-être ça qui lui a plu dans mon timbre de voix finalement. Pas le linéaire... Le cassé, l'usé. Mes dents sont serrées au départ, toujours énervée. Et au fur et à mesure des paroles, ma mâchoire se desserre un peu et je comprends la chanson différemment. Ma voix a toujours cette pointe cassée, mon allure indique clairement que je suis énervée contre le reste du monde. Je ne chante plus. Je vis. Possédée par ce que je chante, ce que je dis. Ma main libre agrippe mon haut comme si elle voulait le déchirer avant d'aller dans mes cheveux quand je ne serre pas les poings. Putain... il avait raison... La colère est salvatrice. Chanter est libérateur. Je ne chante pas, je hurle au monde - enfin... à lui - ma colère, ma haine et sans vouloir me vanter, je pense que le rendu est plutôt pas mal.
La chanson est mienne maintenant et il ne pourra plus prétendre le contraire.
Quand elle se termine, je suis à bout de souffle et en sueur. Quelques cheveux sont collés sur mon front, mon buste monte et descend rapidement et je pose mes mains sur mes hanches un instant tout en le regardant. Toujours aucun sourire.
Je ramasse mon sac et je retourne de l'autre côté, dans la salle de mixage. "T'es quand même un gros connard." Ma façon de lui dire merci et il le comprendra.
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Mer 26 Juin - 21:53

Taste me.

Elsa & Vice


Bien sûr qu'elle se débat comme une belle diablesse quand il la flanque sèchement sur son épaule, pour la rattraper au vol et la ramener illico presto dans le studio d'enregistrement. Il s'y attendait et ça ne lui fait ni chaud ni froid. Simplement parce qu'avec la tête en bas et les bras pendants, elle n'est pas en mesure de lui donner des coups vraiment violents. Il demeure donc aussi froid que possible tandis qu'il la porte ainsi sans effort apparent. Quand enfin il la repose à terre, il peut constater dans quel état de nerfs elle se trouve. Mais ça ne lui fait toujours pas le moindre effet. Ou plutôt, ça l'amuse mais certainement rien de plus ! Ou si, potentiellement, ça pourrait finir par vraiment l'exciter. Quand bien même elle a plus l'air d'un petit chaton énervé, que d'une tigresse sur le point de planter ses crocs. Pas impressionné pour un sou, il lui offre son petit speech sans grande émotion. Si ce n'est une colère évidente qu'il dirige actuellement vers elle. Parce qu'elle l'emmerde au plus haut point avec ses différents petits caprices, ses coups d'éclats et ses réactions puériles. A croire qu'il est le premier à oser lui dire clairement les choses.

Elle l'envoie chier sans que ça ne le heurte non plus. Toujours pas. Il en faudrait tellement plus pour lui faire ressentir autre chose que du désir ou une rage incontrôlable. Le blesser, c'est impossible par exemple. Pas émotionnellement parlant tout du moins. Elle peut bien se déchaîner en tournant toute sa rage vers lui. Ce n'est pas ça qui va l'empêcher de trouver le sommeil pour les nuits à venir. Ainsi le regarde-t-elle toujours quand elle commence à cracher sa haine dans la chanson. La voix brisée, le ton vibrant. De quoi plaire davantage au tatoué qui ne la quitte pas davantage des yeux. Qui écoute le rendu en direct sans broncher plus que ça. Signe que ça ne lui déplaît pas. C'est même tout le contraire. Mais il ne va pas exprimer sa joie devant elle. Il ne faut quand même pas exagérer ! Il préfère se taire et prendre sur lui encore un petit moment. Elle est aussi bien dans le rôle de la gonzesse énervée, que dans celui de la nana super excitée qui se frotte à tout le monde comme elle l'a fait sur scène quelques jours plus tôt. Dans les deux cas de figure, Vice est satisfait.

La chanson prend fin et il y a un moment d'accalmie. Durant lequel les regards restent accrochés l'un à l'autre. Quand elle s'en détourne pour revenir de son côté, il se redresse et se concentre sur la table de mixage et l'ordinateur pour tenter de mettre tout ça en ordre. De nouveau, l'insulte ne lui fait aucun effet. Ce n'est pas la première fois qu'il se fait traiter de la sorte. Et ça ne sera pas la dernière ! Ouais. Mais c'est grâce au connard que tu perceras dans la musique kattunge. Qu'il rétorque, moqueur. Et en même temps très sérieux. Parce qu'il pense de plus en plus sérieusement qu'elle peut faire quelque chose de cette voix là et du charisme qui est le sien. Ca fait juste sacrément chier qu'il faille constamment t'secouer pour que tu sortes un truc bien. De sa part, c'est presque un compliment, à bien y regarder ! C'est bon je pense qu'on a tout, tu peux t'en aller. Je te rappellerai s'il faut faire un truc. En vérité, il faudrait peut-être refaire une ou deux prises ou juste, elle pourrait donner son avis dès à présent. Mais il n'est pas certain de pouvoir la supporter dans cette ambiance, encore un moment.
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Mer 26 Juin - 21:59

Evidemment que c'est le premier mec qui ose me dire les choses clairement comme ça au risque de me blesser. Personne avant lui ne l'avait fait. Mon côté enfant gâtée, mes caprices, sont dus en grosse partie parce que jamais personne ne s'est montré aussi cash avec moi. Sûrement pour ça aussi que j'ai du mal à le supporter. Vice est un dominant, c'est évident. Et moi, j'aime qu'on fasse ce que je dis comme j'en ai envie, au moment où j'en ai envie. Ce qui, forcément, ne colle pas. Deux dominants ça ne peut pas fonctionner. Même si l'un l'est plus que l'autre.
Alors, oui, je fais la gueule quand il me force à revenir en me portant de la sorte. Non, je ne lui fais pas mal quand je le frappe de mes petits poings. Oui, j'ai envie de le frapper quand il me fait la morale. Mais... malgré tout ça, je fais l'effort de recommencer. Pas pour lui. Pour moi. Pour tester. Pour voir s'il a raison ou pas.

J'ai toujours la haine alors que je commence à chanter sans le quitter des yeux. Et je ne lui avouerai pas mais putain il avait raison. Je sens que mon second essai est bien meilleur. Et je vois dans ses yeux que c'est davantage ce qu'il voulait. Enfin, je pense. Sa mâchoire n'est pas serrée. Il ne secoue pas la tête. Non. Il plisse légèrement les yeux et je pourrai même apercevoir une esquisse de sourire en coin alors que je performe devant lui.
Ma prestation se termine et nos regards se croisent silencieusement quelques secondes avant que je ne revienne de son côté et que je l'insulte. Oui, c'est un gros connard et oui, il a raison dans ce qu'il me dit. Je prends une inspiration en pinçant les lèvres. "Possible." Je lui avoue à demi-mots que oui, ce sera grâce à lui si j'y arrive un jour. Faut pas non plus abuser. Il me sort toujours autant par les yeux. "Kattunge ?" Va falloir sérieusement que je me mette au suédois parce que si je dois lui demander à chaque fois la traduction, on va pas s'en sortir et ça va le gonfler.
Et il continue... putain sérieusement, je crois qu'il a jamais autant parler... Et je sais pas si c'est bon signe ou pas du coup. De nouveau, je prends une grande inspiration avant de lui répondre. "J'ai toujours fait comme j'voulais. On m'a jamais rien dit sur ma façon de chanter ou quoi. Et j'te rappelle que c'est la première fois que j'chante dans un groupe comme la vôtre. Donc ouais... faut m'secouer." Au dernier mot, je ne peux m'empêcher de sourire. "Ca a pas l'air de te déplaire à chaque fois de m'secouer pourtant..." Et voilà. Comme à chaque fois, je me sens obligée de sortir une connerie.
Il me donne le feu vert pour que je puisse partir mais ... "En une seule prise ?" Ouais, ça m'étonne. Je suis sure qu'il a pas tout ce qu'il veut et je pourrai mettre ma main au feu qu'il a envie que je me barre parce qu'il m'a déjà trop supporté.
"Autant profiter que j'suis là pour continuer non ?" Mais bon, s'il en a pas envie, je vais pas le forcer non plus...
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Mer 26 Juin - 22:14

Taste me.

Elsa & Vice

Vice n'éprouve pas assez de sentiments pour les gens, qui qu'ils soient, pour culpabiliser du fait qu'il soit si direct. Et prenne autant le risque de blesser autrui. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il s'en tape complètement. Et la blonde est comme tout le monde pour lui. Une personne de plus de laquelle il ne se soucie pas plus que ça. La seule chose qui importe pour lui en ce qui la concerne, c'est sa voix. Elle est douée, même s'il ne le lui dira pas aussi simplement et clairement que ça. Elle l'est assez pour qu'il ait envie de continuer la collaboration. Même si elle lui fait perdre son temps à ne pas tout donner du premier coup, à chaque fois. Au moins, elle lui donne raison puisqu'elle en arrive enfin à se libérer en chantant comme il la sait capable de le faire. Avec une certaine rage au ventre qu'elle ne lâche pas assez souvent. Pour ne pas dire jamais, malheureusement. Sauf quand, réellement, Vice la pousse à bout. Il répond par un vague grognement, sans la regarder, quand elle confirme qu'il est "possible" qu'elle perce dans la musique grâce à lui. C'est plutôt une certitude que ce sera grâce à lui !

Chaton. C'est ce à quoi tu me fais penser quand tu t'énerves. Et le ton est bien trop moqueur pour donner l'impression d'un surnom affectueux. Même s'il ne s'agit clairement pas d'une insulte non plus. Pas besoin de l'insulter, elle sait déjà qu'il ne l'apprécie pas des masses. Et il lui laisse sans problème le rôle de la personne qui débite le plus d'insultes. Si ça l'aide de se défouler ainsi ,grand bien lui fasse après tout ! Il écoute à peine ses explications quand elle a l'air de s'imaginer que ça l'intéresse de comprendre pourquoi elle est ce qu'elle est, à l'heure d'aujourd'hui. Mais ça ne l'intéresse pas plus que ça, non. Il se contente seulement de constater qu'il faut toujours la pousser dans ses retranchements pour lui arracher des trucs potables. Et ça suffit à l'emmerder lui, forcément ! Non c'est vrai. J'y prends même un certain plaisir. Qu'il avoue sans l'ombre d'une émotion. Toujours concentré sur sa tâche, plutôt qu'à perdre du temps à la regarder elle. Non pas qu'elle n'attire pas du tout son regard. Mais il refuse de lui offrir plus d'intérêt que ce qu'elle mérite véritablement.

Il s'imagine qu'elle va sauter sur l'occasion pour se tirer, quand il émet l'idée qu'elle s'en aille. Mais au lieu de ça, elle s'étonne et semble presque préférer rester pour bosser encore un peu sur la chanson. Il laisse entendre un soupir et daigne enfin poser à nouveau les yeux sur elle. Concentré sur son visage qui lui semble un peu plus détendu que plus tôt. Il hoche la tête de haut en bas avant de hausser les épaules. Très bien. Dans ce cas je t'invite à recommencer. Je verrai ensuite les parties que je garde ou non. Il ignore si elle a envie de rester jusque là. Jusqu'à le voir bosser sur la finalité de tout ça. Coller sa voix à la sienne. Ensemble ou l'une après l'autre. Et quel morceau donner à qui. Parce qu'il ne faut évidemment pas oublier que cette chanson c'est la sienne et celle de Fakir, dans un premier temps.
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Mer 26 Juin - 22:51

Je crois que le problème avec Vice, c'est que j'adore le détester. Parce que si je le détestais vraiment, mais genre vraiment quoi, je ne pourrai jamais supporter être dans la même pièce que lui plus de cinq minutes ou revenir pour chanter un de leurs morceaux. C'est la déduction la plus plausible qui s'impose à moi. Son charisme doit y être pour beaucoup aussi je pense. Je sais qu'avec leur groupe, avec lui, je peux aller loin. Je sais qu'il peut m'ouvrir des portes que j'ouvrirai jamais seule. J'en ai conscience. Mais je fais style que non. Je fais ma princesse et je sais qu'il déteste ça. Ce qui me donne raison pour poursuivre dans cette voie. Tarée. Oui je le suis probablement pour continuer à le chercher chaque fois que l'on se voit.

Kattunge. Voilà de quoi il me traite. Et si au premier abord, je trouvais que ça sonnait plus comme catin, il s'avère que c'est l'oppose. Chaton... Je lui fais penser à un chaton. Punaise, je pourrai me facepalmer là. "Heyyy ! J'vais venir te griffer et tu verras si j'suis toujours un chaton..." Bon, ok, à côté de lui, c'est clair que je fais plus chaton que tigresse. Mais ça n'a pourtant pas l'air de lui déplaire tant que ça. Et je le prends pas comme une insulte. Pour une fois. Il se moque mais ça reste gentil. Faut croire qu'on progresse... Non, c'est pas possible.
Il faut me secouer, me pousser dans mes retranchements, oui. Tout ça est nouveau pour moi mais il ne semble pas s'en soucier. De quoi se soucie-t-il réellement de toute façon à part de sa personne ? Probablement de rien... Je sais qu'il prend plaisir à me secouer en plus. Dans tous les sens du terme. Et il me le confirme en plus.
Je n'ajoute rien. Et ça aussi, c'est nouveau. Qu'il en profite le temps que ça dure.

C'est l'heure pour moi de quitter le studio. Enfin, c'est ce qu'il émet comme souhait. Mais ce n'est pas le mien. Je suis là, autant que ça serve. Il m'a ramené sur son épaule, m'a secoué, m'a dit mes quatre vérités pour me laisser repartir après un seul essai ? Non. Je veux continuer. Je veux lui prouver que je peux le faire. Encore...
Il ne semble pas s'y opposer. Quand j'vous dis qu'on fait des progrès ! Hum hum.
"Okay !" Je sais que je vais en chier, qu'il va pas me lâcher du coup mais je sais aussi que ce sera pour mon bien. Pour le bien de sa chanson surtout, et de son groupe.
Je retourne côté enregistrement, ferme les yeux pour me concentrer et tenter d'être dans le même état d'esprit que tout à l'heure. Je remets ensuite le casque et une fois que je suis prête, je lui fais un signe de tête.
Les premières notes se font entendre et je recommence. Je sais ce qu'il attend de moi maintenant. Comme pour le concert. Ce n'est qu'un éternel recommencement.
Je ne chante pas. Je vis la chanson comme il le souhaite. Ma voix cassée, éraillée, se mêle aux notes. Mes mains agrippent mon short comme si elles voulaient l'arracher quand elles ne se perdent pas sur mes seins que j'agrippe l'espace d'une seconde. Pendant un moment, j'attrape même mon haut faisant mine de le déchirer et, sans m'en apercevoir, je le relève un peu trop et dévoile un sein nu.
Je croise son regard par moment, ce qui me permet de nourrir cette haine, cette colère que je sors à travers les mots qui franchissent mes lèvres.
La chanson se termine une nouvelle fois, et j'attends son verdict. Encore. Une nouvelle prise sûrement !? Des ajustements, c'est certain...
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Mer 26 Juin - 23:00

Taste me.

Elsa & Vice

Si elle n'était pas aussi bonne pour la musique et n'avait pas un tel charisme, il est certain que Vice se serait débarrassé d'elle depuis longtemps. Mais le fait est qu'elle chante admirablement bien, qu'elle a une voix particulièrement sexy et un physique avantageux qu'elle sait mettre en valeur. Et c'est bien pour toutes ces raisons là qu'elle est là aujourd'hui. Dans ce studio d'enregistrement, en sa compagnie. A tenter d'enregistrer une nouvelle version de l'un de leurs plus grands succès. Quant au mot qu'il utilise pour la nommer en suédois, ça a tout l'air de l'intéresser. Quand bien même, à son regard et au ton de sa voix, il pense qu'elle s'imagine qu'il s'agit d'une insulte. Ce qui ne serait pas bien surprenant de la part du chanteur. Mais non. Ce n'est pas ce dont il s'agit et il ne manque pas de le lui dire. Quand bien même ça peut sonner comme une insulte malgré tout. Il ricane, ouvertement moqueur, quand elle menace de le griffer. C'est là tout à fait le genre de truc qui a le don de l'exciter plus qu'autre chose. Des ongles qui viennent esquinter un peu sa peau recouverte de tatouages. Tu es ... Terrifiante ... Qu'il prétend, toujours ouvertement moqueur. Trop pour avoir l'air sérieux. Même pas un peu.

Après une version de la chanson enfin intéressante de la part de la jeune femme, Vice pense qu'elle ferait mieux de partir. Plus parce qu'il craint de ne pas pouvoir la supporter plus longtemps et inversement, que parce que la chanson est vraiment parfaite du premier coup. Mais elle a l'air plus calme la blonde. Assez pour être prête à rester et à recommencer. Ce dont il ne se plaint pas. C'est effectivement préférable. Pour être sûr que tout soit parfaitement parfait ! Elle retourne donc du côté du petit studio et prend le temps de se préparer pour être pleinement dans la chanson. Avant de se lancer. Et de lui offrir une version aussi virulente que la précédente. Assez peu d'imperfections audibles à l'oreille. Rien qui ne soit pas rattrapable. Entre le mixage et la version précédente, ça devrait parfaitement fonctionner. Et Vice ne manque toujours rien du petit show qu'elle est en train de lui offrir. Loin de là. Il ne manque ainsi pas la vision aussi brève soit-elle, de son sein libéré de toute entrave de dentelle. Ce qu'il avait déjà compris d'ailleurs, avec le tissu fin de son top qui ne cache pas grand chose. Mais bordel cette vision a le don de faire gonfler plus encore la boule de désir au creux des reins. Coup de fouet particulièrement violent. Encore un.

La musique prend finalement fin et la voix de la jeune femme s'éteint. Sans que Vice n'ait la moindre réaction visible. Il se contente de fixer le plus sérieusement du monde, la blonde qui a tout l'air d'attendre son verdict. Mais il est de nouveau figé, tendu, avec les mâchoires serrées à l'excès. Finalement, il appuie sur le bouton pour actionner le petit interphone qui permet de communiquer avec la personne qui se trouve de l'autre côté de la vitre. Et sans la quitter des yeux, il s'adresse à elle. Encore une fois ? Histoire de voir si tu finis par les arracher pour de bon ces fringues ... Ouais parce que sa petite manie de tirer sur ses vêtements avec rage comme si elle s'attendait à les voir s'arracher pour de bon, ça a le don de pas mal émoustiller le Vice. Comme énormément d'autres choses, il est vrai. Par exemple, le regard enflammé qu'elle lui adresse quand elle s'énerve contre lui. Quand elle lui montre toute la haine qu'il lui inspire. Masochiste, sans doute.
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Mer 26 Juin - 23:07

Quand il ne m’agresse pas verbalement, il se moque de moi. Je commence à le cerner petit à petit. Mais je ne doute pas qu’il peut me surprendre à tout moment en adoptant un comportement auquel je ne m’attendais pas. Jusqu’à maintenant en tout cas, rien d’étonnant. Vice ne fait pas dans la demi-mesure. Il dit ce qu’il pense, il fait ce qu’il veut. C’est un homme, un vrai. Un puissant et viril comme j’aime. Il est de ceux qui font fantasmer juste à les regarder. Oui, il est de ceux-là. Mais heureusement pour moi, c’est aussi un gros connard. Ce qui m’empêchera de potentiellement tomber amoureuse. Alors oui, heureusement.
Quand il parle en suédois, je ne sais jamais comment le prendre. Son ton est souvent le même donc il ne m’aide guère. Et à chaque fois, je lui demande une traduction. Comme là, par exemple. Alors que je pensais qu’il m’avait traité de catin ou quelque chose d’approchant. Mais non, c’est tout le contraire. Chaton. Voilà le nom qu’il vient de me donner et ça semble l’amuser. Il me trouve inoffensive et au fond il a sûrement raison. Le griffer. Voilà quelque chose que j’aimerai faire – encore une fois – pour lui prouver que je ne suis pas si inoffensive que ça. Et là encore, il se moque de moi lorsque je lui dis. « Bah oui je sais … Fais gaffe à toi … » lui rétorque-je tout en m’approchant de lui. Et juste avant d’aller de nouveau de l’autre côté, je me poste devant lui et vient le griffer sur le torse de mes deux mains. Mais pas une de ces griffures violente et méchante. Non. Je fais tout le contraire en fait. Je le fais de façon à ce qu’il sente mes ongles sur sa peau à travers son tee-shirt tout en restant en ‘surface’. Féline mais modérée. Un chaton.

Une fois de l’autre côté et après m’être reconcentrée, je refais ma prestation. Je sais que c’est bon. Je le sens. Je l’ai vécue comme il le voulait. Je l’ai chanté comme il l’attendait. Avec la rage et la colère au fond des tripes, agrippant mes vêtements comme si j’allais les déchirer ou dévoilant un sein sans m’en rendre compte.
La chanson se termine et j’attends, les yeux rivés dans les siens à travers la vitre qui nous sépare. Son visage est fermé, inexpressif. Rien ne transparait. Aucune émotion. Je ne sais pas si ça lui a plu ou non. Je penche légèrement la tête sur le côté, attendant toujours sa réaction. Je crois apercevoir sa mâchoire contractée au max et je me dis que c’est pas bon du tout. Putain… Qu’est-ce qu’il va me dire encore ? Je m’attends à tout, au pire surtout.
Et après quelques secondes interminables, il appuie sur le bouton de l’interphone. Enfin. Le suspense est à son comble… Il ne me quitte pas des yeux et ça en serait presque flippant. Cette attente insoutenable va me faire faire un malaise, c’est pas possible.
Les premiers mots tombent et je hoche la tête à sa première question avant de me stopper net pour sourire en coin. Je ne m’y attendais clairement pas. Mais je rebondis aussitôt sur sa demande. Ou plutôt sa suggestion, son envie. « Et pourquoi tu viendrai pas plutôt chanter avec moi et tenter de me les arracher toi-même… ? »
La perche est lancée. De toute façon, il va bien falloir qu’il pose sa voix aussi sur la chanson.
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Mer 26 Juin - 23:13

Taste me.

Elsa & Vice

Il a tout l'air de se fermer quand la jeune femme s'approche de lui et entreprend de le griffer à travers le tissu de son tee shirt. Rien de désagréable. Tout au contraire. Il pince les lèvres et son regard s'assombrit. Rien à voir avec de la désapprobation. C'est même tout le contraire qui se passe dans son esprit. Il est en train de se dire que, bordel, c'est excitant. Pour lui, ça l'est. C'est tout à fait le genre de truc qui lui fait un effet de dingue. Et ce foutu désir qui continue de grandir. Qui semble gonfler au creux de ses reins et lui colle une envie furieuse de la baiser sur place. Heureusement qu'elle ne tarde pas trop avant de filer de nouveau de l'autre côté de la vitre. Pour offrir à Vice une nouvelle fois sa version de la chanson. Qu'elle a tout intérêt à faire aussi bien que la dernière tentative qui collait parfaitement. Qui a, de nouveau, empirer l'état d'excitation du tatoué. Même s'il ne le montre pas particulièrement. Il n'est pas le plus expressif qui soit.

Il continue d'ailleurs sur cette lancée là quand elle lui offre un show à sa façon. Presque hystérique dans sa façon de chanter désormais. Ce qui continue de plaire pas mal au suédois qui ne la quitte pas des yeux. Qui semble plutôt la dévorer du regard. Avec une certaine gourmandise qui fait briller ses prunelles claires. Il ne sait pas si elle réalise à quel point il a envie d'elle en cet instant. Comme la dernière fois qu'ils se sont vu, dans le fond. Quand il l'a rejoint directement chez elle pour la sauter pour la seconde fois de la soirée. Cette fille dégage un truc qui a vaguement le pouvoir de le rendre dingue. Autant de rage que de désir. Parce que les deux sont relativement souvent liés. Ce dont il ne se cache d'ailleurs jamais. Il faut dire que Vice vit avec la rage au coeur, au corps et aux reins. Il ne sait pas être dans ce sentiment profondément ancré en lui. Sans raison particulière, il est vrai. Il a juste toujours été ainsi. C'est vaguement un moteur dans sa vie, tout simplement. La chanson prend fin. Vice s'adresse à elle. Pas vraiment pour commenter ce qu'elle vient de faire. Ou du moins pas la musique.

Parce que j'ai déjà posé ma voix dessus et que je n'ai plus qu'à mixer le tout pour y ajouter ta voix. Qu'il répond dans un premier temps. Toujours avec cet air sérieux sur le visage. Et ce regard rivé sur elle. Sur son visage puis plus bas. Autant qu'il peut voir de là où il se trouve. Il n'a aucun mal à se rappeler comme c'est bon de la baiser. Parce que même ivre, il garde une relative bonne mémoire des événements. Et se rappelle donc très bien de leur seconde "étreinte". Et parce que je ne vais pas me contenter d'essayer de les arracher. Il sera planté en elle bien avant que ses mains ne se chargent d'arracher à sa peau ces vêtements peu couvrants mais qui en font déjà trop. Elle a d'ailleurs bien fait de ne pas enfiler de soutien-gorge. Ces trucs là ne servent à rien. C'truc qui pend sur tes épaules et laisse tes seins apparaître au moindre coup d'vent, tu ferais aussi bien de le retirer. Qu'il se moque à demi, un sourire prenant enfin place sur le coin de ses lèvres.
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Jeu 27 Juin - 10:40

Vice n'aime pas ne pas être maitre de chaque situation. Je l'apprends au fur et à mesure que je suis en sa compagnie. Le déstabiliser est tellement grisant. J'aime ce que je vois dans ses yeux lorsqu'il se demande ce que je vais faire. C'est jouissif. Pas au sens sexuel, vous l'aurez bien compris. C'est tout à fait ce qu'il se passe lorsque je viens le griffer avec légèreté juste avant de (re)passer de l'autre côté. J'aurai pourtant envie de le griffer à mort, d'ancrer mes ongles dans sa chair tatouée. Par plaisir. Par provocation. Pour lui donner envie de moi. Parce que je sais qu'il aime ce genre de choses. Comme les morsures... Mais chaque chose en son temps. Les morsures arriveront bien assez tôt.
Je vois dans ses yeux et dans sa façon de se pincer les lèvres qu'il a envie de moi là. Il a le même regard que l'autre soir. En un peu moins ivre... C'est flatteur et excitant, aussi. Se sentir désirée est toujours flatteur.

Lorsque je retourne de l'autre côté, je sens son regard sur moi. Il ne me quitte pas. Mais il faut que je me concentre. Alors je ferme les yeux et chante jusqu'à ce que la chanson m'imprègne une nouvelle fois. Je suis habitée par la rage et la colère bien qu'un désir monte crescendo dans le creux de mes reins à mesure qu'il me regarde de la sorte. Ce qui doit faire un rendu certainement meilleur encore. Mais je n'en suis pas la juge.
Le regard qu'il pose sur moi, encore, à la fin de la chanson, est différent de celui du début de la séance. Je commence à voir ce changement. Quand il me regarde comme ça, je sens encore plus le désir monter en moi. Mon corps entier l'appelle déjà à venir me prendre avec sauvagerie comme il sait si bien le faire. J'attends son verdict, sans lâcher son regard et en me pinçant légèrement les lèvres. Ne surtout pas lui montrer que j'ai potentiellement envie de lui. Surtout pas.


Le verdict tombe et il veut que je recommence encore une fois. Par contre, je pense que c'est plus pour se rincer l'oeil que pour ma voix en elle-même. Arracher mes vêtements. Voilà ce qu'il veut. Mais je préférerai que ce soit lui qui le fasse. Pourquoi ne viendrait-il pas alors ? Parce qu'il n'a pas besoin de chanter, c'est déjà enregistré. "Dommage..." Oui, vraiment dommage. J'imaginais déjà ses mains puissantes arracher mon top si fin avant qu'elles ne viennent jouer avec mes seins dévoilés à sa vue. Il ne semble pas disposer à venir à moi. Pour l'instant. Il me sous-estime je crois. Je vais tout faire pour qu'il vienne à moi, encore une fois. Le rendre dingue d'envie est désormais mon objectif. En plus, il me confirme qu'il n'aurait pas "que" envie de m'arracher mes vêtements. C'est gagné d'avance. Evidemment que j'ai confiance en moi. Peut-être un peu trop, je sais. "Je demande à voir..." J'en meurs d'envie même. J'ai envie de lui crier de venir me baiser mais ce serait moins drôle si je lui disais ça comme ça. Bien moins drôle. "Retire ton haut, j'retire le mien..." Et il sera gagnant s'il le fait.
Il remet la chanson en route, une dernière fois et de nouveau je me concentre. Mais cette fois, je ne ferme pas les yeux. Je les laisse plantés dans les siens. La rage et la colère m'ont quittés. L'envie, le désir, l'appel du sexe ont pris leur place. La chanson va être légèrement différente, certainement. Même si ma voix reste éraillée, il y a ce ton, cet appel au sexe qui sort de mes lèvres. Mes mouvements se font plus sensuels, plus provocateurs aussi. D'une main je déboutonne mon short en jean mais j'en reste là. Ma main remonte déjà vers ma poitrine que je pince en même temps que mes lèvres au milieu d'une phrase. Mon haut remonte mais ne dévoile que le bas de ma poitrine. Me penchant légèrement sur le côté, je me fesse avant de remonter mon buste en bougeant lascivement mon cul de gauche à droite. Ma main part de ma nuque jusqu'au bas de mon top que je remonte pour dévoiler un sein et titiller rapidement mon téton avant de le laisser retomber et recouvrir ma poitrine.
Petite interlude musicale et pendant ce temps, je le provoque encore. Ondulant mon corps pour lui, mes mains venant se placer entre mes cuisses. Position suggestive mais pas vulgaire.
Le dernier couplet arrive et je recommence. Encore... encore... Sans lâcher ses yeux.
La chanson arrive à son terme. Et alors que la dernière partie musicale commence, je me tourne et lui présente mon cul avant d'ôter mon haut, entièrement. Je reste ainsi deux secondes avant de me retourner, une dernière fois. Les yeux plantés dans les siens, je cache ma poitrine et me mords la lèvre inférieure alors que je commence déjà à me caresser très légèrement en bas. Il va craquer. C'est obligé...
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Jeu 27 Juin - 17:11

Taste me.

Elsa & Vice

La question n'est déjà plus de savoir s'ils vont finir par coucher de nouveau ensemble tous les deux. Mais bien de savoir quand ça arrivera. Parce que le désir est en train de revenir au galop et ce n'est pas pour déplaire à Vice. Ces petits jeux de provocation, il adore. Tant qu'il est certain qu'à la fin, il pourra se perdre dans le corps de l'autre. Et vu le pied qu'ils ont déjà pris ensemble tous les deux, il ne voit pas vraiment de raison pour laquelle ça ne se reproduirait pas. En tout cas, il commence sérieusement à en avoir envie. Et il croit comprendre qu'il en va de même pour elle. Qui prend trop de plaisir à faire mine de lui griffer le torse, pour qu'il s'agisse d'autre chose que d'un désir véritable. Et c'est pleinement partagé alors il n'y a aucune raison pour laquelle ils ne pourraient pas remettre ça tous les deux. A part le fait que Vice soit du genre à passer d'une fille à une autre. Mais s'il n'est pas lassé de se perdre en elle, il ne voit pas de raison d'arrêter de le faire. "Heureusement", elle s'éloigne enfin de lui. Pour aller de l'autre côté de la vitre où elle entreprend de chanter de nouveau la chanson. Elle fait ça très bien. Trop bien. A s'en arracher les fringues, ou presque. Ce que ne manque pas de remarquer le tatoué qui est bien trop concentré sur elle pour faire autrement.

Quand ils se parlent de nouveau, le ton est nettement moins énervé. Beaucoup plus amusé; Un peu moqueur aussi, sans doute. Mais clairement, ils s'amusent plus qu'autre chose. Et Vice se voit très bien aller la retrouver pour lui arracher ses fringues et la baiser illico presto. Pourtant, il prend sur lui. Il a bien envie de la pousser un peu plus pour voir tout ce qu'elle est capable de faire ou de ne pas faire. Elle parvient à lui arracher un bref ricanement quand elle émet l'idée qu'il retire son haut pour qu'elle en fasse de même. Il ne répond rien. Pas tout de suite. En revanche, il n'attend pas plus longtemps pour lancer de nouveau la musique. La façon qu'elle a de la chanter est différente. Mais aussi plaisante. Beaucoup plus excitante sans doute. Si cela est vraiment possible ... Vice aime en tout cas. Clairement, il apprécie le timbre chaud de sa voix. Comme tout de son comportement en cet instant.

Il ne manque rien de ses mains qui se baladent sur son corps. Qui font mine de vouloir retirer le short pour finalement abandonner l'idée. Mais qui ne tardent pas à remonter pour tripoter sa jolie poitrine. Elle danse sensuellement pour lui. La provocation dans chacun de ses gestes, dans chacun de ses mouvements. Il abandonne les commandes aussitôt qu'elle lui fait face, poitrine uniquement revêtue de ses mains. Elle a terminé de chanter après tout. Il peut se permettre d'aller "la déranger" à présent. Il fond sur elle comme un vautour fonce droit sur sa proie. Les yeux rivés aux siens. Qui ne les lâchent pas un seul instant. Et bientôt il est là. Ses larges paumes qui attrapent le corps féminin pour l'attirer au sien et ses lèvres qui heurtent presque férocement les siennes. L'une de ses mains attrape les siennes pour les rabattre dans son dos et les faire prisonnière. Son autre main se glisse directement dans son short. Il la fait reculer tout droit vers la vitre contre laquelle il la plaque, tandis que ses doigts flirtent déjà avec son clitoris qu'il sent palpiter d'excitation. Sa langue pénètre sa bouche en même temps que son majeur et son annulaire s'enfoncent dans sa fente et entreprennent d'aller et venir férocement.
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