Rien n'est jamais préparé, rien n'est gravé dans la roche en ce qui nous concerne tous les deux. On fait à l'instinct. A l'envie du moment. Et les envies sont fortes. De plus en plus fortes à mesure qu'on se voit même je dirai. Et ça n'a rien d'étonnant vu comme on s'entend si bien au pieu. Nous sommes chacun l'exutoire de l'autre. Rageurs, ravageurs. Voilà comment décrire nos ébats. Et même si la douceur s'immisce parfois, la bestialité et la rage qui nous caractérisent reviennent bien vite. Pour notre plus grand bonheur, à tous les deux.
J'aime sentir la chaleur de son corps contre moi comme lorsqu'il m'a pris contre le mur du studio, j'aime beaucoup même... De cette façon, nous sommes magnifiquement encastrés et je sens bien plus à quel point il me possède. Toute entière... Mais ce ne sera pas pour ce soir. Et là, d'ailleurs, je préfère changer de position pour qu'il se retrouve dans mon dos. Position qui nous sied à tous les deux également. Moi qui peut à loisir m'empaler sur sa queue comme j'aime le faire. Et lui qui a la vision qu'il préfère de moi : mon cul.

L'orgasme nous frappe ensuite de plein fouet, ensemble. Comme à chaque fois, il est salvateur et frustrant. Parce que j'aime tellement le sentir en moi que je pourrai le laisser faire ainsi pendant des heures. Encore et encore... Jusqu'à ne plus pouvoir marcher... Jusqu'à avoir des courbatures pendant plusieurs jours. Et je sais qu'il adorera ça aussi.
Il se retire presque aussitôt et se rhabille. De mon côté, je m'assoie et tend les mains vers lui pour qu'il me libère. Son sourire n'annonce rien de bon mais je souris à l'avance de ce qu'il pourrait dire ou faire. De légères marques rouges entourent mes poignets et je vois que la vision me plait. Vision d'une parfaite petite soumise... Je frotte lentement mes poignets légèrement endoloris tout en lui répondant. "Je pourrai encore l'être... La prochaine fois, dans ta chambre d'hôtel..." Je lui ai promis qu'il pourrait faire ce qu'il veut de moi après tout non ?

Je le regarde s'installer à la fenêtre et viens le rejoindre, encore totalement nue. Piquant sa clope pour tirer quelques bouffées dessus, je la lui rend bien vite avant de le laisser. "J'vais me coucher... Si tu veux pas dormir ici, ferme et glisse la clé sous la porte en partant." Nous ne sommes pas un couple. Il est libre de faire ce qu'il veut. Et si jamais l'envie lui prend de recommencer une nouvelle fois avant que Morphée nous appelle, il est fort possible que je ne sois pas contre. En attendant, je me dirige vers ma chambre après avoir bu un grand verre d'eau et je m'affale sur mon lit. Allongée sur le ventre, sur la couette car j'ai bien trop chaud encore pour le moment. Le sommeil me gagne déjà lentement. Autant profiter d'un peu de répit si le coeur lui dit de poursuivre encore toute la nuit...

Taste me.

Elsa & Vice

Ils ne sont pas du genre à demeurer l'un près de l'autre quand les étreintes prennent fin. Et ça ne semble pas être fait pour changer de sitôt. Ca ne changera même jamais, à n'en pas douter. Parce qu'il y a assez peu de chance pour que leur relation elle même connaisse une évolution quelconque. Ils ne se voient que pour la musique et pour le sexe. Et c'est clairement ce qui leur réussit le mieux. A ces sujets là au moins, ils trouvent un terrain d'entente ! Il faut dire qu'au delà de leurs sales caractères qu'ils ont en commun, ils ont les mêmes goûts en matière de sexe. C'est bien ce que je pensais ... Qu'il commente en affichant ce fameux petit sourire de prédateur qui contemple la proie qu'il s'apprête à dévorer. Et pour le coup, Elsa, il a vraiment envie de la dévorer toute entière. Et il ne se prive jamais tout à fait de le faire.

C'est le pantalon de nouveau bien accroché aux hanches, qu'il se lève du canapé pour filer côté fenêtre. Où il a tôt fait de s'allumer une cigarette qu'il porte à ses lèvres dans la foulée. Mais Elsa est rapidement à ses côtés pour la lui chiper. Il ronchonne en lui offrant un regard désapprobateur. Mais laisse faire tout de même. Et se contente d'un "ouais ok" pour lui répondre quand elle lui laisse l'occasion de se défiler et de quitter son appartement. Il pourrait. Il devrait. Mais il a toujours l'envie de se pieuter ici. Et de la prendre, elle, encore une fois ou deux. Ou plus. Au cours de la nuit, avant ou juste après. Il veillera quand même à se tirer de là avant que les choses ne deviennent trop bizarres entre eux. Il ne tient pas du tout à ce que ça devienne gênant ou quoi que ce soit du genre. Et ils n'ont pas besoin de faire semblant de bien s'entendre ou d'apprécier partager d'autres choses tous les deux.

Vice prend davantage le temps. A fumer deux clopes coup par coup devant la fenêtre où il profite de l'air relativement frais de la soirée maintenant plus que bien entamée. Il fait ensuite un tour du côté de la cuisine pour prendre un verre d'eau fraîche qu'il a tôt fait de vider. Ce n'est qu'ensuite qu'il rejoint la chambre de la blonde. Où il la trouve étendue à plat ventre sur son lit. C'est une provocation. Ni plus ni moins. Sa jolie croupe est toujours un appel à la luxure. Et c'est presque sans s'en rendre compte qu'il se retrouve à rôder de son côté du lit. Il n'est pas certain de pouvoir la prendre tout de suite de nouveau. Mais l'envie de la dévorer encore une fois, de la dévorer réellement se fait ressentir au coeur même de ses entrailles. Ca bouillonne déjà. Et ça fait des étincelles quand ses doigts tatoués viennent frôler l'arrondi d'une fesse. Des frôlements qui se font bien vite caresses plus poussées et plus osées. Les doigts qui descendent plus bas pour s'infiltrer entre les cuisses fermes. Qui viennent taquiner son clitoris et sa fente pour tâcher de réveiller aussi bien la jolie Elsa que sa chatte, tranquillement.

Ils ont appris à se cerner l'un l'autre. Plus ou moins. Ils savent très bien qu'il n'y a pas besoin de parler après le sexe. Ils n'attendent rien l'un de l'autre à part des orgasmes et ça semble plutôt bien leur convenir. Ils ne sont pas ensemble. Ils ne forment pas un couple et ce ne sera probablement jamais le cas. Ils aiment s'envoyer en l'air autant qu'ils se détestent. Et encore... Ca va en s'améliorant. Ils arrivent à communiquer et à se parler sans animosité la plupart du temps maintenant. Mais n'allons pas trop vite. Tout peut très vite basculer. Vice aime la dominer. Et Elsa aime autant l'être. Par lui. Et uniquement par lui. Les marques à ses poignets en témoignent d'ailleurs. Et Vice s'en amuse. Sûrement trop fier de lui sur ce coup-là. Et sûrement excité aussi par la vision des rougeurs autant que d'Elsa en parfaite petite soumise. Le regard qu'il pose sur elle alors qu'il défait les liens en dit long d'ailleurs. Il pourrait certainement la baiser encore une fois, là tout de suite.
Mais il est temps de faire une petite pause... De reprendre des forces autant que ses esprits.

Il part fumer une clope. Elle lui pique un instant. Il raloute. Elle en rit, se moquant et s'en fichant. Puis, elle boit un grand verre d'eau avant de se diriger dans sa chambre où Morphée ne tarde à venir la capturer. La journée fut longue... excitante et éprouvante. Elle a tellement chaud qu'elle s'allonge sur la couette, totalement nue. Elsa s'endort paisiblement, pensant que Vice va retourner à son hôtel.
Mais elle se trompe... Encore une fois. Vice l'imprévisible a décidé qu'il resterait chez elle ce soir.
Elle ne l'entend pas quand il s'approche d'elle. Elle dort, vraiment, paisiblement.
Elle ne bouge toujours pas quand il vient frôler l'arrondi de sa fesse. Il peut ainsi se ravir d'avoir son corps offert à lui sans aucune résistance. Même si, il n'y en a jamais eu...
Ce n'est que lorsqu'il commence à caresser, à taquiner son clitoris qu'elle bouge légèrement. Un léger gémissement endormi s'échappe des lèvres closes alors qu'elle bouge lentement - et de façon totalement incontrôlée - son bassin. Les caresses deviennent plus fortes et Elsa bouge un peu plus. L'excitation la gagne lentement, de nouveau et c'est alors qu'elle ouvre les yeux. Plongeant son regard dans celui de Vice, elle sourit mais ne dit rien. Elle remonte légèrement sa croupe et écarte un peu plus les cuisses afin de lui laisser un meilleur accès. Les mains sous l'oreiller, elle ouvre légèrement la bouche, étouffant un gémissement un peu plus fort alors que lui-même ne s'arrête pas de l'exciter.
Etrange mais elle trouve ce moment... presque romantique. Romantique à la Elsa et Vice quoi. Mais c'est uniquement parce qu'il est doux, pour le moment...
Et c'est sûrement pour ça qu'elle se redresse. Qu'elle l'attrape par la nuque et vient l'embrasser. Pour la première fois, c'est un baiser relativement doux. Qui monte malgré tout déjà en puissance alors qu'elle l'attire à elle, le poussant à venir s'allonger sur son corps frêle et déjà excité...

Taste me.

Elsa & Vice

Qu'elle ricane alors qu'il râle, lui fait plus lever les yeux au ciel qu'autre chose. Elle a quand même le culot fou de se foutre de lui quand bon lui semble. Ce qui ne l'agace plus autant qu'au début. Parce qu'il s'est fait à l'idée. C'est de façon instinctive que les gens ont tendance à reculer devant lui pour x raison. Il n'a jamais réellement eut grand chose à faire pour ça. Du moins, pas de façon consciente. Il peut quand même lui arriver d'offrir des regards mauvais ou de faire des commentaires acerbes sur un ton agressif. Elsa a du le subir de cette façon à chaque fois qu'ils se sont vu, depuis le jour même de leur rencontre. Et elle n'y échappe toujours pas aujourd'hui. Il arrive encore parfois à Vice de perdre le contrôle de lui même et de ses mots, très clairement. Mais c'est complètement assumé de sa part. Il n'a jamais prétendu être un adorable et gentil petit suédois.

C'est à la seule lueur de la lune qu'il la retrouve un petit moment plus tard. Allongée sur son lit, la peau hâlée rendue plus pâle par la faible luminosité offerte par la nuit. Et dans le fond, ça ne la rend que beaucoup plus sexy encore. De quoi lui retourner le cerveau à lui qui s'approche à pas de velours. Avec lenteur, il contourne le lit. Les yeux toujours rivé sur ce corps entièrement nu et entièrement à sa merci. Et malgré la montée en puissance soudaine du désir, il demeure lent même lorsqu'il vient caresser une fesse offerte du bout des doigts. Il a soudainement envie d'elle de nouveau. Et ça le pousse à tripoter de façon nettement plus intime encore. Ses doigts qui se faufilent entre les cuisses pour venir s'occuper directement de sa fente et de son clitoris. Le corps réagit au quart de tour et ça lui arrache un semblant de grognement de contentement pur.

Elle laisse entendre un gémissement et commence à remuer des hanches. Pour se frotter plus encore à la main provocatrice. Et sans doute l'inciter à poursuivre de la sorte. Ce qu'il fait, toujours sans se faire prier. Les doigts s'enfoncent sans mal dans la fente désormais trempée. Il lui offre un bref regard quand elle tourne la tête vers lui. En relevant autant que possible sa croupe pour lui offrir un meilleur accès entre ses cuisses. De quoi lui permettre d'enfoncer ses doigts plus vite et plus profondément en elle. Encore et encore. Elle dégouline sur eux. Sur sa main qui vient tapoter contre elle. Doux son de clapotis au moins aussi excitant que celui de ses plaintes de plaisir pur. D'excitation grandissante pour elle aussi. Il n'a pas réellement le temps de comprendre ce qui lui arrive, que la blonde se retourne pour l'attirer à elle. Sa bouche s'empare déjà de la sienne et il lui rend son baiser sans même y penser. Elle l'attire encore un peu plus et il ne tarde pas à échouer sur elle. Les souffles chauds qui se percutent comme les lèvres qui se dévorent. Ses mains qui viennent s'emparer de ses seins pour les malaxer avec une certaine insistance. Les masser encore et encore. Quand sa bouche libère la sienne, c'est pour venir s'occuper de sa poitrine justement. Qu'il embrasse, lèche et mord. Qu'il dévore, littéralement. Encore un peu avant de descendre plus bas. Son besoin, son envie, son désir, de ne faire qu'une bouchée de ce corps excitant à souhait qui n'a de cesse de subir ses assauts parfois violents. Souvent. Toujours. Sa langue se perd déjà dans les plis de son intimité. Disparaît entre les lèvres intimes pour taquiner sa fente. Avant de remonter à son clitoris gonflé qu'elle titille déjà avec frénésie. Tandis que ses doigts reprennent place dans l'orifice trempé et palpitant.

Y'a de l'amélioration entre eux, on ne peut le nier. Il ne l'engueule plus et/ou ne râle plus à chaque mot qu'elle prononce et elle parle un peu moins pour ne rien dire. Donc oui, c'est pas super mais c'est quand même une amélioration. Enfin, bon, faut pas se leurrer, ce n'est que temporaire. Et c'est uniquement parce que leur but commun de ce soir c'est de s'envoyer en l'air le plus possible. Demain, ils se recroiseront et la guerre reprendra, de toute évidence.
Et pour l'heure, Elsa ne sait pas quel sort il lui réserve. La laisser dormir et la rejoindre pour faire pareil ? Partir ? Revenir à la charge ? Aucune idée. Mais elle n'attend pas pour le savoir et pars directement se coucher.

A peine couchée que le sommeil la gagne et ce n'est que quelques minutes plus tard qu'elle est réveillée par des mains viriles et baladeuses... Pour son plus grand plaisir, de toute évidence...
Son corps réagit déjà vivement aux douces caresses qu'il lui prodigue. Elle relève sa croupe et écarte les cuisses tout en soupirant son plaisir qui se fait déjà plus fort alors qu'il s'enfonce avec plus de rapidité en elle. Doigts qui entrent et sortent tout en taquinant son clitoris qui gonfle déjà de l'envie qui renait de ses cendres à peine éteintes.
Leurs regards pervers se croisent et il est, une nouvelle fois, inutile de parler. Leurs gestes parlent pour eux. Leurs corps aussi. Celui d'Elsa surtout, en l'occurrence. Elle ne peut cesser ses gémissements qui se font de plus en plus audibles malgré l'oreiller près de sa bouche.
Et c'est dans un élan impulsif qu'elle se relève pour l'embrasser et l'embarquer avec elle. Allongé sur ce corps qu'il aime malmener, Vice se laisse aller à redonner ce baiser. Leurs langues s'emmêlent déjà tout comme leurs jambes. Ce qu'elle aime le sentir ainsi. Son corps entier de mâle puissant qui l'écrase de tout son désir. La main d'Elsa est restée collée à la nuque de Vice alors que de son côté, il part déjà à la conquête de ses seins qui pointent et ne demandent qu'à être caressés. Soupir de plaisir alors qu'il malaxe avec intensité. Et quand il délaisse ses lèvres pour s'occuper de ses seins, elle se cambre en soupirant plus fort. Les doigts se mêlent dans la chevelure du viking et elle entrelace sa main libre dans la sienne. Serrant fort. Bien plus fort qu'elle ne le voudrait. Mais elle ne contrôle rien. Elle a ce besoin de lui qui parle pour elle.
La main est délaissée lorsqu'il poursuit sa descente vertigineuse. Oui, Elsa en aurait des vertiges tant il lui fait du bien. La langue qui caresse chaque coin de son intimité, ses dents qui mordillent ou ses lèvres qui aspirent. Il fait ça comme un Dieu. Et ça semble même être un euphémisme.
Elsa se cambre toujours plus, soupire et gémit bien plus fort. Elle bouge son bassin en rythme des coups de langues tout en perdant ses doigts une nouvelle fois dans ses cheveux. Elle aimerait qu'il la bouffe entièrement. Qu'il se perde ici, entre ses cuisses... L'orgasme monte. Bien trop vite... Mais tant pis. Elle a envie de crier sa jouissance avant qu'il ne la prenne avec intensité. Que leurs corps collés l'un contre l'autre se perdent et s'emboitent merveilleusement bien. Elle écarte bien plus les cuisses encore, ses mains remontent sur ses seins qu'elle pince en criant encore plus fort et finissent par se loger dans ses cheveux à elle. Elsa est submergée par une vague de plaisir, ne sachant plus où mettre ses mains ou même comment contrôler ses cris. Et le tsunami de plaisir arrive. Grandiose. Enorme. Il l'envahit toute entière alors qu'elle crie à s'en époumoner et qu'elle est prise de spasmes incontrôlés...

Taste me.

Elsa & Vice

Le but de Vice n'est pas forcément d'attendre qu'elle soit endormie pour aller la rejoindre dans sa chambre. Simplement, les minutes filent durant lesquelles il prend du temps presque tout simplement pour lui. Pour se détendre en profitant de l'air presque frais de la nuit tombée. Mais il fini tout de même par la rejoindre. Et par la trouver endormie sur son lit, sans réelle surprise. Très vite, il s'amuse à la provoquer et la taquiner de ses doigts. Qui caressent, qui provoquent, qui s'enfoncent et baisent sa fente de nouveau de plus en plus humide. C'est incroyable comme elle réagit au quart de tour. Et ça l'encourage à y aller toujours plus fort et plus furieusement. Il ne voit aucune raison de s'arrêter. Sauf quand elle le force vaguement à le faire pour se retourner et l'attirer à elle. Il échoue sur son corps sans lui opposer la moindre résistance. Et ils échangent un baiser tout ce qu'il y a de plus passionné. Encore.

Mais il ne reste pas bien longtemps dans cette position. Il est déjà en train de s'en prendre à sa poitrine. D'abord de ses mains. Ensuite de sa bouche elle même qui file dévorer ses seins avec beaucoup d'insistance et une certaine application. Dents qui titillent, langue qui caresse, lèvres qui suçotent plus ou moins fort. Il prend un plaisir certain à la dévorer de la sorte et de toute évidence, elle aime ce qu'il lui fait. Sa bouche ne tarde pas à entamer le même manège entre ses cuisses. Qu'elle lui ouvre plus grand pour lui offrir un meilleur accès à sa chatte qu'il est déjà en train de dévorer à pleine bouche. Il titille le clitoris de la pointe de sa langue, lèche du plat de celle ci. Ou enfonce de nouveau ses doigts en elle. Pour la sentir qui palpite tellement fort autour de ceux ci.

Les mains féminines libèrent les cheveux du blond pour remonter sur sa poitrine qu'elle empoigne. Ce que Vice ne manque pas. Il observe en silence. Tout concentré qu'il est sur sa tâche qui a le don de pas mal l'exciter déjà. Durant laquelle, d'ailleurs, il pense à ouvrir et baisser son pantalon. Rapidement suivit du boxer qu'il porte. De quoi libérer sa queue qui gagne de nouveau en ampleur. Tant elle a le don de l'exciter. De quoi le rendre complètement dingue même. Elle ouvre autant que possible les cuisses et remue du bassin pour se frotter plus encore à la bouche qui ne la quitte plus. Elle ne fait que l'exciter toujours plus. Il prend même un plaisir insensé à la voir et à la sentir jouir sans plus tarder. Il n'attend pas que le cri meurt sur ses lèvres ni que les spasmes de son corps cessent, pour remonter à sa hauteur et se guider en elle. Il se plante en elle jusqu'à la garde alors qu'elle est toujours aussi tremblante de plaisir. Son regard accroché à son visage qui n'exprime rien d'autre que le pied qu'elle est en train de prendre. L'orgasme encore lisible sur ses traits. Une série de coups de reins secs s'ensuit. Sans qu'il ne libère son visage de son regard de prédateur affamé. De spectateur fasciné.

Les rapports sexuels s'enchainent mais ne se ressemblent pas. Oui, c'est toujours aussi passionné. Oui, c'est toujours aussi excitant. Aussi bien pour lui que pour elle. Elsa mouille déjà, gémit faiblement et se tortille sous les premières caresses. Vice grogne, son regard acéré de prédateur sur la croupe avant d'observer le corps entier de la blonde qu'il semble désirer toujours autant. Les caresses s'intensifient autant que le désir qui grimpe en flèche.
Elle l'attire à elle, sentant son torse chaud contre le sien alors que le baiser échangé fait grimper leur température corporelle.
Passion dévorante qui les habite alors qu'il s'en prend déjà à sa poitrine. Et Dieu ce qu'elle aime quand il s'en occupe. Elle gémit déjà plus fort, mouille déjà plus aussi. Son sexe appelle le sien. Son corps appelle le sien. Il la dévore, littéralement. C'est à la fois plus doux et plus bestial. Une bestialité mesurée qui la met dans tous ses états et lorsqu'il échoue entre ses cuisses, elle croit déjà mourir de plaisir.

Elle est déjà ailleurs Elsa. Déjà si excitée qu'elle ne sait plus où mettre ses mains. Elle crie son plaisir, se cambre, empoigne les cheveux du Viking avant d'empoigner ses seins. Mains au-dessus de sa tête, elle pourrait s'arracher les cheveux tant le plaisir qui la gagne est fort, puissant. Elle se redresse un instant, une seconde. "VIIIICE ! HAN ! PUtaiiiiinnnn..." Et elle se laisse choir de tout son poids en arrière en criant encore, son corps parcouru de spasmes qu'elle ne peut décemment pas contrôlés. Elle n'a même pas le temps de remarquer qu'il ne s'occupe plus d'elle par le bas qu'il est déjà à enfoncer sa queue en elle. "Haaaan..." Incroyable... Il est entré si vite et si facilement qu'elle en est surprise. Mais excitée, toujours, encore plus peut-être même. Elle ne pensait pas cela possible mais elle éprouve encore ce désir qui n'est pas tout à fait parti. Qui n'a peut-être pas atteint tout à fait son apogée en fait. Le regard embuée de plaisir plongé dans celui de Vice, elle l'accueille avec délice. Criant à chaque coup de rein donné. Il mord sa lèvre. Elle aime cette vision. Et de ses mains, elle vient appuyer sur ses fesses pour le sentir encore plus fort. Le sentir entier. De tout son poids. De toute sa longueur. De toute sa puissance.

Taste me.

Elsa & Vice

Les deux corps qui commencent à pas mal se connaître à présent, se rencontrent de façon ... Percutante. C'est presque violent la façon qu'ils ont d'échouer l'un contre l'autre. Ou plutôt, Vice sur Elsa. Parce qu'elle l'a fermement attiré à lui et qu'il ne s'est pas fait prier une seule seconde pour suivre le mouvement. Son grand corps étouffe le sien sans que ça ne semble être un problème pour elle. Elle a plutôt l'air de vraiment apprécier la chose. Mais ce n'est évidemment encore rien en comparaison de ce qui suit. Du visage qui s'installe entre ses cuisses. De la bouche qui atterrit directement sur sa fente trempée. Elle réagit au quart de tour et à aucun moment elle ne cherche à cacher le plaisir qu'elle prend à ces embrassades intimes. Quand elle ne tire pas sur les cheveux du suédois pour exprimer son plaisir grandissant, elle malmène ses jolis seins. Se fait du bien autant qu'elle se fait du mal à réagir toujours plus fort et à l'inciter à en faire de même. Lui qui la dévore avec une gourmandise qu'il ne prend pas la peine de lui cacher. Tout au contraire. Il mordille, lèche et suçote tour à tour.

Elle jouit très vite très fort. Mais il ne prend pas le temps d'apprécier la vision d'une Elsa en plein orgasme. Parce que pour le coup, ça vaut vraiment le coup d'oeil. Mais qu'il a beaucoup trop envie d'elle pour perdre du temps. En plus d'éprouver la réelle envie de la faire vriller pour de bon, en la baisant alors qu'elle n'est pas encore redescendue de son orgasme. Elle est même plutôt à son sommet. Et en un rien de temps, il est donc enfoncé en elle jusqu'à la garde. Encore une fois pour son plus grand plaisir vu la plainte qu'elle laisse entendre. Comme s'il cherchait à récolter ses cris de plaisir à la base, il coince sa lèvre inférieure entre ses dents. Il ne bronche pas quand elle pose ses mais directement sur ses fesses pour l'inciter certainement à plonger en elle aussi profondément et aussi fort que possible. Ce qu'il fait sans vraiment se faire prier. La baiser avec cette force et cette bestialité, c'est tout ce dont il a lui même envie. Alors il le fait. A une cadence assez infernale, très vite. Il pose lui même ses mains en appuie sur le lit et se redresse légèrement pour pouvoir donner toute la force nécessaire à ses coups de reins. Il continue de heurter frénétiquement son corps du sien. A le secouer sans merci. Encore. Le but étant de se faire jouir. De l'embarquer elle aussi, avec lui, pour un orgasme plus retentissant encore. Qui semble ne plus vouloir s'arrêter.

A les voir ainsi, on pourrait se dire que c'est la première fois qu'ils couchent ensemble ou bien que ça fait très longtemps qu'ils ne se sont pas vus pour avoir autant envie l'un de l'autre ainsi. Et pourtant, il n'en est rien. Ca fait quoi ...? Genre une petite heure (et encore...) que leurs corps se sont séparés après un orgasme intense et pourtant, il a suffit d'une seule caresse pour que tout redémarre. Elsa vibre déjà sous les doigts habiles et la langue chercheuse. Divin plaisir qui l'envahit de nouveau et dont elle ne veut/peut pas échapper. Chevelure du chanteur malmenée quand ce n'est pas ses seins à elle qu'elle pince à s'en faire mal autant qu'à s'en faire du bien. Vice lui dévore la chatte avec délicatesse et passion et l'embarque encore une fois vers le chemin de l'orgasme explosif. Celui qui prend aux tripes et qu'on ne veut pas qu'il cesse tant il est bon.

D'ailleurs, elle est en train de jouir. Fortement. Puissamment. A s'en époumoner, à en perdre la notion du temps et du lieu. Vice aime la voir jouir. Elle le sait. Vice aime quand elle se tortille et ne se contrôle plus. Elle le sait aussi. Très expressive, Elsa crie mais elle n'est pas au bout de ses surprises... Car le suédois entre en elle alors que l'orgasme atteint son apogée. Putain de bordel de merde ! Elle ne pensait pas cela possible mais il lui fait un bien fou. Plainte jouissive qui s'échappe de ses lèvres alors que, la bouche entrouverte, elle ne le quitte pas des yeux. Il vient mordre sa lèvre inférieure et elle soupire une nouvelle fois avant de redresser légèrement la tête pour l'embrasser avec passion tandis que ses mains se posent sur les fesses musclées. "Hmmmm..."
La cadence devient plus intense encore et elle enfonce ses ongles dans ses fesses quand il vient heurter son antre de ses coups secs. Il se redresse légèrement, ne ralentissant pas pour autant. Gagnant en puissance même. Les mains d'Elsa glissent alors dans son dos pour arriver aux omoplates. Son corps malmené toujours avec autant de hargne, ses seins bougeant en rythme des coups donnés, elle le griffe alors tout le long de son dos. Plantant ses ongles dans la chair masculine en se cambrant toujours plus, en écartant toujours plus et en criant bien trop fort. L'orgasme qu'elle pensait avoir déjà atteint ne semble rien en comparaison de celui qui arrive.

Taste me.

Elsa & Vice

Ils mettent une telle ardeur à chacune de leurs étreintes, qu'ils ont tout l'air de vouloir et de pouvoir se détruire l'un l'autre. Se consumer sur place, sans qu'il n'y ait aucune autre option. Aucune échappatoire possible. Combustion instantanée, bien entendu. Le désir entre eux semble pouvoir renaître constamment de ses cendres. Ce qui n'est pas vraiment bon signe dans l'esprit du tatoué. Parce qu'il n'est pas vraiment du genre à devenir accro au corps d'une personne en particulier. Mais quand même. Il est vrai qu'elle lui fait un effet totalement fou qu'il ne peut pas vraiment nier. Il n'essaie plus tellement. il suffit de ses doigts sur ses jolies courbes féminines, pour éprouver le besoin impérieux de la baiser. Encore.

Le "problème" c'est que plus elle est réceptive, plus il a envie d'elle. Or, plus il a envie d'elle, plus il la baise, plus elle semble réceptive. Certainement parce qu'il commence vraiment à connaître le moindre de ses points faibles. Chaque petite chose qui est susceptible de vraiment la faire réagir. Il n'ira pas jusqu'à prétendre tout savoir et tout connaître d'elle et de ces petites choses qu'elle aime tout particulièrement. Mais ce n'est pas non plus si loin de la vérité que ça. Et il n'a de cesse d'éprouver le besoin et l'envie de tester de nouvelles choses. Parfois assez évidentes quant à la suite possible. Comme de planter sa bite au creux chaud de son ventre alors que son orgasme est toujours bien présent. Et l'effet est saisissant et immédiat.

Les coups de reins sont brefs et secs et elle les encaisse les uns après les autres, sans retenir ses incessantes plaintes de plaisir. Elle plante sans douceur ses ongles dans ses fesses également. Mais ses mains remontent pour se poser sur ses omoplates. Et les ongles viennent lacérer sa peau sans la moindre douceur. Arrachant un grognement animal au mâle qui subit/encaisse la griffure qui serpente le long de son dos. Et c'est le coup de grâce pour lui. Il grogne et jure en suédois pour ne pas changer et jouit en elle sans trop tarder. Se déversant dans son antre chaud et moite, sans pouvoir se contenir plus longtemps. Elle l'excite certainement bien trop pour ça. Et la douleur de ses ongles qui déchirent sa peau tatouée n'aide en rien à calmer ses ardeurs. Tout au contraire. Et la vision d'elle qui prend autant son pied n'est pas non plus faite pour le calmer. Elle a les jambes bien ouvertes, les tétons tendus, le bassin relevé, les cheveux en bataille et le visage tordu par le plaisir. Par l'orgasme en sourdine qui ne tardera pas à la heurter de nouveau de plein fouet.