Rose sait ce qu’elle veut et elle n’a jamais fait dans l’incertitude. Peut-être dans ses premières années, mais maintenant, à vingt-neuf ans, elle était expérimentée et savait ce que la plupart des mecs ou des nanas voulaient. Robin ne faisait pas exception à la règle, elle le sentait bien. Après avoir enlever la moitié de leurs vêtements, la jeune femme reprend le dessus, mais pas pour très longtemps. Le jeune homme s’impatiente et il prend vite le dessus sur elle. Il la fait basculer sur les coussins du canapé, se plaçant au dessus d’elle avant de venir lui mordiller la lèvre inférieure avant de descendre doucement vers son cou qu’il explore en l’embrassant et le mordant. Un légèrement gémissement s’échappe de la bouche de la jeune femme lorsqu’il continue vers son épaule puis ses seins. Il lui souffle qu’elle est sexy et qu’il n’avait jamais fait attention.
«Tu n’as jamais demandé à voir jusqu’à maintenant...»
Il revient vers ses lèvres qu’il embrasse et auquel Rose répond avec envie, sentant leurs deux bas ventre en contact. La blondinette glisse ses mains dans le cou de Robin pour le maintenir à lui, bougeant doucement sous lui pour lui montrer qu’elle était impatiente. Impatiente et affamée. Il y avait déjà plusieurs jours qu’elle n’avait rien fait et c’était pire que la drogue qu’elle prenait plus jeune. Peut-être est-ce qu’elle était un peu nymphomane sur les bords ? Ce qui ne serait pas faux d’un coté. Elle entoure alors ses jambes autour des hanches de Robin pour le maintenir contre elle. Son désir va la rendre folle comme à chaque fois, mais elle essaye de se contenir un peu. Le frottement de leurs deux intimités, malgré les barrières de tissus commence à être difficile à gérer. Elle grogne légèrement contre les lèvres du jeune homme, mordilla sa lèvre inférieure pour lui faire comprendre qu’elle allait littéralement péter un câble s’il ne faisait pas autre chose...
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Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu peux sentir que plus les secondes passent, plus elle s'impatiente. Et ça te fait sourire. Elle peut bien te faire remarquer ta propre impatience, si c'est pour finalement se révéler comme étant bien pire encore. Tu lui offres un sourire coquin quand elle te fait remarquer que tu n'as jamais demandé à voir. C'est un fait. Mais c'est chose faite maintenant. Tu es en train d'explorer son corps. Et sur le point d'en découvrir plus encore alors qu'elle semble s'emballer de plus en plus. La tension est grandissante. Rendant les échanges à peine supportables. Tu pourrais mettre fin à ce supplice qui continue de s'installer. Mais tu n'en fais rien. Au lieu de ça, tu échappes une fois de plus à ses lèvres pour laisser les tiennes errer sur ses jolies courbes. De nouveau tu embrasses et mordilles ici et là. T'attardant de nouveau sur sa poitrine, avant de descendre plus bas encore. Tes doigts attrapent le sous vêtement pour le faire glisser au plus vite. Il ne sert plus à rien pour l'heure. Si ce n'est à représenter une barrière insupportable entre vos deux êtres vibrant de désir l'un pour l'autre. Alors tu le lui retires une bonne fois pour toutes.
Et tranquillement tu remontes le long de son corps. Non sans caresser sa peau douce, du bout des doigts. Jusqu'au moment où ceux-ci rencontrent une irrégularité sur une petite surface de peau, à l'intérieur d'une cuisse. Ton regard s'y pose un court instant. Aucun doute que tu te montreras curieux à ce sujet plus tard. Quand tout ton esprit ne sera pas complètement encombré par le désir que tu as d'elle. Pour l'heure, tu préfères te redresser pour ouvrir ton pantalon. Le regard planté dans le sien. Tu n'es pas doté de la moindre pudeur. Tu sais que tu n'es pas moche à regarder. Loin de là. Et surtout, tu fais ce qu'il faut pour rester attirant au possible. C'est que, d'une certaine façon, ça fait également parti de ton boulot. Garder un aspect charmant et effrayant tout à la fois. Assez rapidement, tu es aussi nu qu'elle l'est elle même. Et tu viens retrouver son corps du tien. Entre frôlements et frottements pour exacerber plus encore le désir. Pour la rendre dingue et l'inciter, mine de rien, à te répondre par une provocation plus folle encore. Plus intense.
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Sam 2 Mai - 0:16
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Retrouvailles autour d'un repas quatre étoiles
feat. Robin Hartwood
25 avril 2020
Il n’avait jamais demandé à la voir, mais elle non plus n’avait jamais demandé. Pendant tant d’années à se côtoyer et pourtant, aucun des deux n’avait demandé. Maintenant, c’était chose faite. Le désir se faisait de plus en plus fort à mesure que les minutes passèrent. Les lèvres de Robin quittent de nouveau celles de Rose pour errer sur son corps, la faisant frissonner et légèrement gémir. Sa peau est électrique comme à chaque fois. Réceptive à la moindre caresse, la jeune femme gémit un peu plus jusqu’à ce que les doigts de son ami arrive à son sous vêtement qu’il s’empresse d’enlever. Plus de barrière, plus de retour en arrière, mais qui aurait envie de faire un retour en arrière maintenant ? Les doigts de Robin finissent par remonter son corps, la caressant juste du bout des doigts. Elle sent ses caresses s’arrêter un instant, il a remarqué la cicatrice à l’intérieur de sa cuisse. Oh s’il savait qui la lui a fait... Mais il ne pose pas de questions, comme tous les autres. Les autres, ils posent des questions, elle doit détourner le sujet à chaque fois. S’il lui pose la question, Rose sera presque obligé de lui dire la vérité... Mais est-ce que ça ne mettrait pas Ash dans une situation délicate ? Non, elle pouvait toujours dire que c’était un psychopathe qui l’avait mordu un soir où elle était trop défoncée pour s’en rendre véritablement compte... Ce qui n’était pas un véritable mensonge, juste qu’elle allait taire l’identité de la personne. Elle voit Robin se redresser et elle se pose sur ses coudes un moment, pour regarder ce qu’il fait. Il enlève finalement son pantalon à son tour, son regard dans le sien. Elle se mord doucement la lèvre et lui murmure :
«Tu ne m’avais jamais dis que tu étais aussi bien... foutu»
Elle lui fit un petit sourire narquois avant de le voir revenir vers elle. Chaque frottement, chaque caresse électrise le corps de la jeune femme un peu plus. Il commence à jouer avec ses nerfs doucement. Elle le regarde dans les yeux et finalement, le faire basculer de nouveau sur le dos, au milieu des coussins. Si les voisins regardaient par la fenêtre actuellement, les rideaux ne refléteraient que l’ombre de leurs corps sur le canapé. Et ça laisse place à beaucoup d’imagination. Elle grimpe sur lui doucement, vient l’embrasser sur les lèvres, puis descend dans son cou, son torse, joue avec ses nerfs, descend contre son ventre avant d’arriver vers son intimité qu’elle attrape doucement avec sa main. Elle sait ce qu’il veut, tous les garçons le veulent. Elle approche sa bouche doucement de l’intimité de son ami et commence doucement des caresses entre ses lèvres, jouant avec sa langue, alternant les mouvements, la vitesse. Elle le sent encore plus réceptif et lorsqu’elle sent qu’il est sur le point d’exploser, elle s’arrête, un sourire mauvais sur les lèvres. Elle se redresse légèrement, gardant une main autour de son intimité pour continuer doucement des mouvements attendant de voir la seconde attaque du jeune homme qui clairement semble se retenir de lui sauter dessus...
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Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Vous prenez encore le temps de jouer et de laisser le désir gonfler de plus en plus. Vous vous provoquez chaudement. Sans aller trop loin encore. Le but étant de prendre le temps que vous désirez avoir. En sachant que, dans ton cas, les choses pourraient ensuite aller très vite. Quand le désir devient tout bonnement incontrôlable, tu ne peux rien faire d'autre que le laisser parler. Bientôt, tu fondras sur ta proie comme un véritable prédateur. Sans pour autant aller jusqu'à laisser des marques sur sa peau de porcelaine. Tu n'as rien d'une brute épaisse lorsqu'il s'agit de sexe. Tu affiches un petit sourire ironique lorsqu'elle te fait remarquer que tu es bien foutu. Mentionnant aussi et surtout le fait que tu ne le lui as jamais dit.Tu ne m'as jamais demandé. Que tu rétorques en reprenant le même type de réponse qu'elle même a pu t'offrir. Et ça te fait sourire, plus encore. Tu t'amuses encore de ces petits échanges. De ces jeux qui contribuent à faire gonfler le désir chez l'un et chez l'autre. Et ça fonctionne, pour sûr. Vous vibrez à l'unisson. Mais lorsque tu la rejoins sur le canapé, elle fait en sorte de reprendre le dessus. Dans un bref grognement qui se veut frustré, tu te laisses faire malgré tout.
Et un sourire qui en dit long sur le plaisir que tu prends à ça, tu la laisses porter ses lèvres sur toi. Le parcours de sa bouche sur toi te semble interminable. Pourtant, tu fais preuve d'autant de patience que possible. Pour finalement la voir arriver à son but ultime. La flamme brûle au fond de tes yeux clairs. Aucun doute, elle sait parfaitement ce qu'elle fait. Elle connait les faiblesses et les points forts des mâles, de façon générale. Elle ne manque, d'ailleurs pas, de t'arracher quelques grognements à peine audibles mais bien réels. Provocatrice, elle sait également quand s'arrêter, pour ne pas aller trop loin. Ton regard est plus sombre que jamais. Animal. Félin quand tu te redresses sans la quitter des yeux. Pour inverser une fois de plus la position. La manoeuvre n'est pas aisée avec l'étroitesse du canapé. Vous risquez surtout de finir à même le sol à un moment ou à un autre. Pour l'heure, tu la provoques du passage de ta langue sur ses lèvres qui n'ont de cesse d'esquisser des sourires pas peu fiers. Et l'une de tes mains attrape l'une de ses cuisses pour la lui faire relever et ainsi t'imposer entre elles. T'imposer en elle dans la foulée. D'un mouvement fluide et ferme, tu lies vos corps. Et ramènes ta main sur le coussin du canapé, près de sa tête. En appuie de la sorte, tu peux mettre davantage de fermeté et d'ampleur à tes mouvements de basin. Espacés de quelques secondes pour imposer plus de force encore. Tu ne fais pas même semblant de vouloir te montrer tendre plus longtemps. Tu imposes ta fougue. Ta rage aux reins. Ta cadence aussi.
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Sam 2 Mai - 16:40
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Retrouvailles autour d'un repas quatre étoiles
feat. Robin Hartwood
25 avril 2020
Rose s’amuse avec Robin pendant quelques minutes. Elle l’entend à peine lorsqu’elle est occupée avec son intimité. Est-ce qu’il se retiendrait ? Peut-être, mais ce n’était pas grave. Elle sent qu’il commence à se crisper et elle arrête tout, une lueur d’amusement dans les yeux. Son regard à lui, il est plus sombre, comme tous les mecs lorsqu’on arrête de leur faire plaisir, ils ont se regard qui veut tout dire. Robin la regard tout en inversant de nouveau les rôles. Ils allaient finir par terre à un moment ou un autre, c’était obligé. Il revient vers ses lèvres, brise le passage entre les lèvres de la jeune femme avec sa langue. L’une des mains du jeune homme attrape l’une des cuisses de Rose qui gronde un peu sous l’emprise. Il s’impose à elle et elle n’est pas du tout contre. Il finit par trouver le chemin pour venir en elle et la jeune femme laisse échappé un gémissement un peu plus fort que les autres. Elle se cambre légèrement sous lui, sentant que sa main vient se poser sur le coussin du canapé vers sa tête. Les assauts de Robin commencent, sans pour autre être tendre. Il lui impose son rythme, elle le laisse faire. Elle l’a provoqué quelques minutes plus tôt, elle le sait. Et puis, ce n’était pas comme si elle ne pouvait pas supporter les assauts.
La jeune femme glisse ses mains dans le dos de son ami et chaque coup de rein fait qu’elle enfonce un peu plus ses ongles dans la peau du jeune homme. Elle gémit, se cambre sous lui. Elle voudrait bien prendre le dessus, mais elle ne pourra pas le faire, il a le contrôle. Elle le laisse faire, elle a l’habitude. Elle ferme les yeux et rejete sa tête en arrière, bougeant son bassin pour qu’il s’enfonce encore plus loin en elle. Elle sent son désir monté encore plus, son envie de le provoquer aussi. Elle détache un main de ses épaules et la passe doucement sous le menton du jeune homme pour qu’il puisse la regarder. Elle vient mordiller sa lèvre inférieure, puis glisse le long de sa mâchoire avant d’enfouir son visage dans son coup, laissant sa langue, ses dents joués contre sa peau doucement, sans faire de marque. Elle gronde toujours sous les assauts du jeune homme. Il sait ce qu’il veut et elle aime ça... Totalement. Rien à voir avec ce que Ash lui faisait subir lorsqu’elle était défoncée quelques années plus tôt... Non, c’était féroce, mais plus doux, plus supportable...
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Robin Hartwood
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➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu peux, sans mal, sentir que la blonde est réceptive à chacune de tes approches. Qu'elle apprécie tout autant que toi ce lâcher prise qui vous réunit tous les deux. Qui vous pousse franchement l'un vers l'autre. Alors tu n'as plus aucune raison de te contenir. Tu y vas franchement. Tu glisses en elle à grands renforts de coups de reins francs et fermes. Tu t'imposes pleinement à son corps. La juste dose pour ne pas entrer dans le jeu de la douleur. Mais bien assez pour lui arracher quelques plaintes de plaisir qui font naître un nouveau genre de sourire sur tes lèvres. Toi même tu ne tardes pas à laisser entendre un bref grognement d'aise alors qu'elle te rend la pareille en plantant ses ongles dans la peau de ton dos. Là où les muscles roulent à chacun de tes mouvements. Mouvements auxquels elle joint déjà les siens. Son bassin roule à la même allure pour permettre une meilleure jonction des corps. De quoi t'arracher un juron que tu ne fais pas même mine de vouloir retenir. Il se contente de s'échapper de tes lèvres entrouvertes. Malgré ta position de dominant, tu te laisses faire bien volontiers lorsqu'elle glisse ses doigts sous ton menton pour retrouver ta bouche de la sienne. Et lorsqu'elle disparaît au creux de ton cou.
Après quelques minutes de ce délicieux mauvais traitement, tu pourrais profiter d'une minute ou deux d'accalmie en la laissant aux commandes. C'est même ce que tu as l'intention de faire lorsque tu délies vos corps en te redressant. Et au dernier moment, tu changes d'idée et d'envie. Le retour du sourire carnassier sur tes lèvres lorsque tu l'attrapes par la taille pour la soulever sans grande douceur et la positionner tout autrement. Forcément qu'il arrive le moment où tu la veux à quatre pattes devant toi. Pour te presser contre sa croupe relevée lorsque de nouveau tu t'immisces en elle. Que l'une de tes mains vient empoigner sans douceur l'une de ses hanches et l'autre, autour d'une épaule. De quoi avoir son corps entièrement à ta merci et ne lui laisser que peu de marge de manoeuvre lorsque tu reprends des mouvements de vas et vient. Toujours aussi peu de douceur. Toujours aussi peu de tendresse. Parce que vous semblez être sur la même longueur d'ondes en ce qui concerne vos envies. En tout cas, à aucun moment elle n'a semblé avoir envie d'autre chose.
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Sam 2 Mai - 21:58
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Retrouvailles autour d'un repas quatre étoiles
feat. Robin Hartwood
25 avril 2020
Leurs corps se couvrent déjà de sueurs tous les deux. C’était bestial, sans artifice et Rose ne pouvait pas dire qu’elle n’aimait pas. Elle ose même le provoquer, bouger sous lui et elle entend parfaitement le juron qu’il laisse échapper entre ses lèvres. Elle glisse finalement sa main sous le menton du jeune homme avant de l’embrasser et de se prendre dans son cou, jouant avec ses dents, sa langue, ses lèvres. Pendant plusieurs minutes, elle n’arrête pas. Après plusieurs minutes, Robin se redresse comme s’il avait l’intention de la laisser jouer un peu, mais il change totalement d’avis. Son sourire veut tout dire. Il l’attrape par la taille et la soulève pour la placer à quatre pattes devant lui. La jeune femme n’a même pas le temps de faire quoi que ce soit, qu’il est déjà de nouveau en elle, une main sur sa hanche, une autre sur son épaule. Il la coince comme ça, à sa merci. Les mains de Rose s’agrippe à la première chose qu’elles trouvent, c’est à dire l’un des coussins du canapé et elle laisse échappé un long gémissement lorsqu’il reprend ses assauts. Et bien malgré elle, elle ajuste son bassin, le cambrant pour que l’angle soit parfait. Juste parfait. Elle grogne la tête dans le coussin, gémit. Elle se sent tremblée, mais elle ne veut pas craquer la première. Oh non, il va craquer le premier. Ses doigts sont accrochés au coussin, blancs comme la neige lorsqu’elle les serre. Elle commence à avoir des crampes tellement elle est occupée à serrer ce foutu coussin ! Il peut pas lui laisser prendre le dessus non ? Elle voulait le faire craquer en premier, mais lorsqu’elle essaye de faire un mouvement, il la coince un peu plus. Alors, elle fait la seule chose qu’elle peut faire. Elle détache une de ses mains et la glisse vers sa propre intimité, se caressant au passage. Ses jambes, ses bras, son corps tout entier commencent à trembler. S’il ne voulait pas qu’elle garde un minimum de contrôle, il aurait du s’occuper lui-même de lui faire plaisir. Elle continue de gémir sous les coups de rein de Robin et sous ses propres caresses. La vétérinaire n’allait sans doute pas tenir longtemps à ce rythme, mais c’était juste... parfait. Première fois depuis longtemps qu’elle n’avait pas prit son pied de la sorte. Et dire qu’il était devant ses yeux pendant toutes ses années...
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Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
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➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Parce qu'elle est maintenant beaucoup trop réceptive pour que tu puisses avoir des doutes quelconques sur ce qu'elle pourrait ou non désirer, tu vas maintenant au bout des choses. Tu te permets de prendre ce qui te fait envie. Et en l'occurrence, à l'instant T, c'est cette position là qui te tente. Tu prends un malin plaisir à obtenir les commandes à ce point là. A rappeler à ta façon que tu es le dominant. Le mâle alpha. Et tout ça semble parfaitement lui convenir. En témoignent les plaintes de plaisir qu'elle ne cherche plus à retenir et les vibrations et tremblements de son corps tout contre le tien. Autour du tien. Tu jures dans ta barbe lorsqu'elle se cambre juste assez pour rendre l'angle plus intéressant pour tous les deux. Surtout, la position t'offre une vision parfaite sur sa chute de reins. A quelques reprises, elle tente des mouvements. Sans doute pour se libérer un tant soit peu de ton emprise. Sans doute dans l'espoir de prendre le dessus. Mais à tous les coups et sans pouvoir te retenir de le faire, tu l'en empêches. D'une façon ou d'une autre tu finis par la bloquer pour qu'elle garde cette position. Ou se penche plus encore, tout au plus.
Il y a ses doigts qui s'ajoutent à la partie et qui la rendent plus fébrile encore. Elle tremble davantage et se crispe autour de toi. De quoi te faire réaliser, sans trop de mal, que la jouissance n'est plus très loin. Pas besoin de connaître par coeur son corps et ses réactions, pour le deviner. Les spasmes annonciateurs se mêlent à votre étreinte. Toi même tu te tends de plus en plus. Tu jures une fois de plus dans ta barbe et retires tes mains d'elle. Non pas pour la libérer mais pour les poser sur l'accoudoir juste au dessus de sa tête. Tu prends appuies pour te concentrer sur le bas de ton corps. Ton bassin qui cogne de plus en plus vite. Qui heurte frénétiquement le corps féminin offert à ton bon vouloir. Concentré au possible pour garder un semblant de contrôle jusqu'au bout. Te permettre de tenir le plus longtemps possible pour t'assurer qu'elle décolle avant toi ou, dans le pire des cas, te suive dans la foulée. Parce que tu ne tiens plus. Parce que la décharge électrique fait littéralement tout péter au creux de tes reins. Que le plaisir se propage et se répand dans l'ensemble de ton corps, sans que tu ne puisses rien faire contre. Que tu grondes et fermes les yeux. A l'abandon.
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Sam 2 Mai - 23:02
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Retrouvailles autour d'un repas quatre étoiles
feat. Robin Hartwood
25 avril 2020
La fin est proche, elle le sait. Au moment où il a prit les commandes, au moment où il l'a bloqué dans ses mouvements, elle savait qu'elle n'allait pas tenir longtemps. Et il semblerait que lui non plus. Lorsqu'elle se cambre un peu plus, il semble dire quelque chose, mais elle n'entend rien. Lorsqu'elle glisse ses doigts contre son propre intimité, il ne dit rien. Il ressent les choses comme elle les ressent. Leurs corps s'entendent a la perfection sur l'instant T. Les grands mouvements de Robin se font de plus en plus pressants, Rose ne tiendra clairement pas la cadence. Et lui non plus. Elle commence a se tendre sous lui, elle se crispe, relâche ses doigts de son intimité pour agripper de nouveau le coussin en face d'elle. Robin va craqué, il l'a déjà relâché pour prendre appuie contre l'accoudoir au dessus d'elle.
"oh... Oh...."
Elle ne peut s'empêcher de dire ces mots, ces syllabes. Ses mains retrouvent le coussin qu'elles attrapent avec force au moment même où elle sent Robin explosé en elle... Elle suit le mouvement a peine une seconde plus tard dans un long gémissement, le corps secoué de spasmes. Elle s'écroule sur le canapé, plus de force dans les jambes, entraînant Robin avec elle, sur elle. Sa respiration est saccadée, elle a chaud, elle tremble. Mais elle a prit son pied comme elle ne l'avait pas prit depuis longtemps... Le silence envahi le salon, seul témoin de cette déviance entre eux. Ils le voulaient tous les deux, le contraire était impossible. Rose a fermé les yeux, la tête contre le coussin, reprend doucement ses esprits et murmure :
"Dis moi pourquoi on a attendu tant d'années pour mettre le couvert ? Parce que clairement, j'aurai évité quelques mésaventures..."
Elle pensa Ash et ses pratiques bizarres qu'elle a accepté pendant longtemps, des hommes et des femmes avec des fantasmes un peu déplacés, mais qu'elle avait toujours accepté. Ce n'était que des coups d'un soir après tout... Tout comme allait sans doute l'être Robin. Clairement, ils s'étaient bien amusés, mais ce n'était que par pure chimie : ils avaient besoin tous les deux de s'envoyer en l'air, ils l'avaient fait. Peut être allaient-ils remettre le couvert un jour ? Peut être, mais ce n'était clairement pas dans les projets pour l'instant. Rose bougea doucement pour se libérer de Robin. Elle lui demanda :
"Ça va ?"
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Elle est de plus en plus expressives dans les plaintes de plaisir qu'elle laisse échapper, la jolie Rose. A mesure que l'extase grimpe dans l'ensemble de son corps, à n'en pas douter. Et ce n'est évidemment pas pour te déplaire. De ton côté, tu peux sans mal sentir également que tu ne tiendrais guère plus longtemps. Tu accélères le rythme autant que tu le peux. Autant que ton corps et ton état général te le permet. Et finalement vous décollez l'un après l'autre. Le corps féminin lâche tout à fait et elle bascule en avant, t'entraînant dans sa chute pour permettre à ton corps de reposer sur le sien. Juste quelques secondes. Seulement le temps de retrouver au moins ton souffle et un rythme cardiaque plus régulier. Tu ricanes à sa question. Et avant de lui répondre, tu bascules pour t'étendre sur le dos, à même le tapis qui se trouve au pied du canapé. De la sorte, tu restes dans son champ de vision et inversement. Sans doute parce qu'on était trop proches depuis trop longtemps pour que ça ne semble pas bizarre. Et là, de l'eau est passée sous les ponts. Vous n'avez plus le même genre de relation que vous aviez à l'époque.
Lorsqu'elle te demande si ça va, tu te contentes de hocher positivement la tête. En lui offrant un sourire qui se veut doux. C'est quoi cette cicatrice à l'intérieur de ta cuisse ? Que tu l'interroges soudainement. Tu aimes toujours connaître les histoires qui vont avec les cicatrices des autres. Sans doute parce que tu es relativement surpris de t'en sortir toi même avec peu de marques de ce genre malgré ton parcours qui n'a rien de celui d'un parfait innocent ou d'une personne lambda. La seule que tu portes est logée sur ton flanc et est le résultat d'un coup de couteau que tu n'es pas parvenu à éviter à temps alors que tu provoquais une guerre des gangs pour pouvoir créer le tien dans la foulée. La plus grosse guerre que tu as eus à vivre au cours de ta vie. Depuis, tu t'es entouré d'un paquet de personnes pour veiller à ta sécurité, en plus du fait que tu te sois perfectionné dans les différents arts de combat. En conclusion, personne n'a le droit de t'abîmer. C'est assez simple.
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