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Jeu 28 Mai - 15:55


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

En l’espace de quelques jours tu as connu les montagnes russes avec Robin. Vous êtes passés par différents stades. Mais maintenant tout s’est arrangé. Tu as mis de côté tes doutes et tes craintes pour te consacrer entièrement à ce qui compte pour toi, c’est-à-dire votre couple. Tu es de bonne humeur, chaque matin quand tu réveilles, qu’il soit là ou pas, tu es heureuse. S’il est couché près de toi quand tu ouvres les yeux, tu restes de longues minutes à le regarder et parfois tu le réveilles en recouvrant son visage de tendres baisers. Et si tu te réveilles seule, tu sais que la journée va se terminer par vos retrouvailles et que vous allez passer une soirée merveilleuse comme chacun des moments que vous passez en compagnie l’un de l’autre. Tu es heureuse et ça se voit. Tu es souriante, plus que jamais, tu es pétillante, toujours en train de chantonner. Tu as repris le dessin depuis quelques jours, après que vous vous soyez réconciliés après l’épisode « rose » comme tu l’appelles. Tu n’en veux même plus à la blonde, même si tu n’es pas sûre de la revoir un jour. Comment tu pourrais lui en vouloir d’être tombée amoureuse d’un homme aussi merveilleux que Robin ? Ce serait comme reprocher à quelqu’un de regarder avec envie une tablette de chocolat posée sous son nez. Donc tu ne lui en veux pas, contrairement à Robin qui semble bien énervé après elle. Mais tu ne connais pas toute l’histoire, tu ne sais pas ce qu’ils se sont dit quand tu étais dans la salle de bain. Tu doutes que Robin soit autant en colère après elle « juste » parce qu’elle a vendu la mèche et que ça t’a fait perdre un peu la tête. Tu ne sais pas trop, mais tu ne lui en pas parlé, tu te contentes d’essayer de lui changer les idées, ce que t’arrives plutôt bien à faire.

Mais il y a quelques jours, t’as appris que Robin devait partir pour son travail. Tu savais que ça arriverait mais ça t’a quand même pas mal chamboulée. Tu n’as pas voulu l’inquiéter, alors tu ne lui as pas dit que ça te rendait triste. Tu ne voulais pas gâcher toute la bonne humeur que vous partagiez tous les deux. Et puis tu ne t’inquiètes plus à présent. Il t’a rassurée Robin, tu n’as plus peur qu’il voie d’autres femmes, tu es sûre que tu peux lui faire confiance. Le seul truc, c’est qu’il va te manquer. Très fort. Et ça fait déjà trois jours qu’il est parti, et il doit revenir que dans deux jours. Ca aura fait cinq jours sans lui. Cinq jours sans le toucher. Vous vous appelez par téléphone tous les soirs, tu ne vas pas te coucher sans avoir eu son coup de fil pour te souhaiter bonne nuit. Et à chaque fois, tu te couches avec le sourire et le cœur léger, amoureuse comme jamais. Ce matin tu es toujours d’aussi bonne humeur, même si ça commence à faire long d’être sans lui. Ses sourires te manquent, même s’ils sont assez rares, ses caresses, ses baisers, ils te manquent aussi. Mais tu relativises en te disant que tu vas pouvoir bientôt le revoir. Et d’ailleurs pour passer le temps, pour que ça passe plus vite surtout, t’en as profité pour voir un peu plus ta famille que tu avais un peu mise de côté ces derniers jours. Tu as rassuré l’une de tes grandes sœurs en lui disant que tu étais heureuse comme jamais. Ils l’ont bien vu de toute façon, tu rayonnes. Et cette après-midi, après les cours, tu t’allonges sur le canapé, au téléphone avec l’une de tes frangines. Bien sûr, elle est plus libérée que toi, et pas du tout gênée de te poser des questions sur ta vie intime avec Robin. Tu lui avoues alors que vous n’avez pas refait l’amour depuis votre première fois et que ça te manque. Et bien sûr, elle arrive à te mettre une idée dans la tête dont tu n’arrives pas à te défaire.

Tu tournes un peu dans la maison alors que tu repenses à ta conversation avec elle. Elle t’a soufflé l’idée de te faire plaisir en solitaire. Chose que tu n’as jamais faite. Et quand tu le lui as avoué, elle a éclaté de rire. Bébé Mia qu’elle t’a surnommée. Et ça fait une heure maintenant qu’elle a raccroché, et ça fait une heure que tu tournes en rond et que t’y réfléchis de plus en plus. Tu hésites. Mais après tout, tu es toute seule, Robin ne rentre que dans deux jours. Et ça fait presque quatre semaines que vous n’avez pas fait l’amour, il y a bien eu l’épisode de la piscine, mais ça aussi ça date, trois semaines environ. Alors… Tu y songes de plus en plus. Personne n’en saurait jamais rien. Pas même Robin, tu aurais trop honte de lui dire que tu t’es touchée. Pourtant t’es sûre que l’idée le séduirait, mais ça te mettrait trop mal à l’aise. Parce que tu n’es pas encore à l’aise avec tout ça, toutes ces histoires de sexe dont tu ne connais encore rien. Allez, t’es décidée. T’es déjà en train de grimper les escaliers pour rejoindre ta chambre, votre chambre. Tu te déshabilles et tu t’allonges dans ce grand lit. Ce grand lit dans lequel Robin t’a fait l’amour pour la première fois. Une première fois que tu n’oublieras jamais parce que c’était remarquable. Tu fermes les yeux et tu repenses à cette nuit-là. Aux sensations que tu as ressenties quand il t’a embrassée, quand il t’a léchée. Aux sensations quand il t’a pénétrée. Et très vite tu sens la petite boule se former dans ton ventre, ton corps réagit face à ton excitation. Et alors tu te détends tout à fait, tu glisses timidement ta main entre tes cuisses et tu commences à te caresser. Les yeux fermés, tu imagines que ce sont les doigts de Robin qui remuent entre tes cuisses, alors tu soupires et tu te détends de plus en plus, tes doigts remuant de plus en plus vite contre ton bouton de chair qui gonfle de plus en plus. Tu lâches un petit gémissement et ça te sort presque de ton état de transe, mais tu te souviens que tu es toute seule et que tu peux t’en donner à cœur joie et à gorge déployée…


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Robin Hartwood
Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Jeu 28 Mai - 17:08
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Elle te manque. Vraiment fort. C'est idiot sans doute, après seulement quelques jours. Mais c'est surtout un fait. La douceur de sa peau, la caresse de ses lèvres sur les tiennes, la chaleur de ses sourires, l'amour dans son regard qu'elle n'a de cesse de poser sur toi ... Elle te manque comme si tu étais parti depuis des semaines. Il ne s'agit pourtant que de quelques jours. Trois petits jours. Si elle n'avait pas eut des cours, tu lui aurais certainement demandé de te rejoindre à la fin du tout premier jour. Mais elle a cours. Et tu n'as pas la moindre intention de foutre ses études en l'air simplement parce que tu refuses de la garder loin de toi trop longtemps. Alors tu es parti seul. Et tu as fait tout ton possible pour partir le moins longtemps possible. Pour ce faire, tu as dormis le moins possible. Te contentant de siestes de quelques heures par ci par là, pour tenir la route. Des siestes avant d'affronter ta propre vie de brigand. Histoire de ne pas trop te fragiliser et de ne pas prendre de risque inutile. Surtout, tu as toujours pris le soin d'appeler Mia quelques heures avant, histoire de t'assurer que tout allait toujours bien de son côté. Pour ne pas avoir à trop penser à elle quand tu jouais avec le feu. Parce que tu tiens à ta vie. Et parce que, à côté de ça, tu sais maintenant que tu laisserais au moins une personne malheureuse si tu venais à te faire buter. Soit, il y a également toute ta famille. Mais tu ne doutes pas qu'ils sauraient s'en remettre. Or, tu n'as aucun droit de briser le coeur de celle que tu aimes, de cette façon. Tu n'as surtout pas la moindre petite envie de lui faire du mal. Peu importe que tu sois encore là pour la voir souffrir ou non. Tu crèverais en réalisant que tu n'as pas du tout assuré et que tu viens uniquement de foutre en l'air la vie de Mia.

Alors tout ça n'arrivera pas. Jamais. Tu ne permettrais pas une telle chose. Tu veilles juste à ne pas oublier que tu es un être humain comme tous les autres. Et qu'il peut vraiment t'arriver n'importe quoi. Prise de conscience que tu as eus un peu tardivement dans la vie. Mais que tu as finis par avoir. Et c'est tout ce qui importe. Quoi qu'il en soit, arrive le troisième jour. Tu as pris un vol en début d'après-midi et tu vois les heures tourner trop lentement encore. Tu n'as pas prévenu Mia de ton retour plus tôt. Tu tiens à lui faire la surprise. Au fond de toi, il y a une stupide crainte qui te souffle que la surprise ne sera peut-être pas si plaisante que ça. Mais très vite tu te rassures en te disant et te répétant que Mia est amoureuse de toi. Elle n'hésite jamais à le dire alors tu n'as aucune raison de penser autrement. Tu as juste encore un peu de mal à te faire à l'idée qu'une femme aussi merveilleuse puisse à ce point t'aimer. Mais tu ne feras surtout rien pour gâcher la chose. Tu penses même plutôt qu'elle va être heureuse de te voir débarquer comme ça, avec deux jours d'avance. Elle vient de passer trois jours à te répéter par message et au téléphone, à quel point tu lui manquais. Et toi même tu n'as pas hésité à lui rendre ces mots là. A lui répéter ta hâte de pouvoir enfin la retrouver. Pour l'embrasser, pour dormir dans ses bras, pour la câliner, pour lui faire à manger aussi -parce que tu ne pouvais préparer dix repas à l'avance pour t'assurer qu'elle mange bien en ton absence-. Tu oses espérer qu'elle a fait l'effort de s'essayer à un peu de cuisine plutôt que de se préparer du poisson pané et des pattes au beurre. Mais tout ça, tu n'y penses plus vraiment quand tu arrives enfin chez toi. Chez vous.

D'abord parce que tu penses surtout au fait que tu l'auras bientôt entre les bras et que, sincèrement tu ne tiens plus et il va te falloir te perdre enfin entre ses cuisses. Ensuite parce que tu es accueilli d'une bien étonnante façon. Forcément, tu te crispes lorsque tu entends un gémissement soudain alors que tu es en train de grimper les escaliers. Tu t'attendais à la trouver en train d'étudier dans la bibliothèque, potentiellement. Mais certainement pas à l'entendre gémir de plaisir. Une autre plainte te confirme qu'elle se trouve dans votre chambre. Tu as d'abord un élan de panique. Et si elle c'était finalement elle l'infidèle de l'histoire et qu'elle était en train de se faire sauter dans Votre chambre ? Elan de panique que tu as quand même vite fait de chasser. Impossible. Elle est trop innocente pour ça. Et en même temps, tu t'imagines qu'elle est également trop innocente pour se faire du bien toute seule. Pour en avoir le coeur net, tu finis par ouvrir lentement la porte. Et tu te tends. Dans tous les sens du terme. La vision est beaucoup trop sexy pour le bien de ton cerveau, de ta conscience, de toi tout entier. Elle est divine même. Et ça t'arrache un bref grognement tout à fait involontaire. Je savais que c'était une bonne idée de rentrer plus tôt ... Mais à ce point ? Que tu souffles d'une voix chaude. Rauque. Profonde. Grave. Et tu t'approches en te débarrassant de ton sac. De ton tee-shirt ensuite. Et enfin tu entreprends d'ouvrir ton pantalon. Et si on rendait ça plus intéressant encore ? L'attente est terminée. Il est plus que temps. Et Mia est plus que brûlante. Plus que prête à te recevoir en elle surtout. T'as le regard sombre quand tu l'observes. De la tête aux pieds. Sans pouvoir t'en empêcher. Et la langue qui passe lentement sur ta lèvre inférieure. Tu as terriblement envie de perdre ton visage entre tes cuisses. Mais tu n'auras pas la patience. Pas cette fois. Demande moi encore une fois de te faire l'amour Mia ... Requête soufflée d'une voix chaude, encore. Alors que tu achèves de te déshabiller. Disparition de ton pantalon et de ton boxer qui rejoignent les autres vêtements à même le sol. Prédateur qui fond maintenant sur sa proie. Doigts refermés autour de ta longueur pour gonfler plus encore ton excitation.
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Jeu 28 Mai - 17:54


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Sans cette discussion avec ta sœur, tu n’aurais jamais envisagé t’adonner à ce genre de caresses intimes. T’as toujours été trop gênée à l’idée de te faire plaisir toute seule. Il faut dire qu’avant de connaitre Robin, tu ne savais même pas ce que des caresses intimes pouvaient procurer comme sensation. Alors ça ne t’a jamais vraiment manqué. Mais depuis que tu y as goûté avec Robin, tu y penses assez souvent. Tu y as pensé quand tu l’as vu sortir de la salle de sport, torse nu et tout transpirant. Tu y as pensé les nombreuses fois où vous vous êtes perdus dans les bras l’un de l’autre et que ça a failli déraper. Tu y as beaucoup pensé en fait. Mais tu n’avais jamais songé à la masturbation, parce que pour toi c’est un peu un sujet tabou. Tu aurais honte que quelqu’un apprenne que tu t’apprêtes à te toucher pour te faire du bien. Et tu vas le faire parce que tu es sûre que personne ne pourra t’interrompre et que personne ne sera jamais au courant. Tu garderas ce moment d’égarement secret. Alors peut-être que t’en parleras à Robin, le jour où vous aurez une vraie vie sexuelle et que tu seras assez à l’aise pour parler de sexe avec lui. Pour le moment, ce n’est pas encore le cas. Vous n’avez fait l’amour qu’une seule fois, et une fois vous avez craqué et vous êtes touchés jusqu’à la jouissance. Pas de quoi te décoincer tout à fait. Tu sais pourtant qu’il n’y a aucune honte à se faire du bien, tout le monde le fait. Le nombre de fois où tu t’es sauvée en courant parce que tu entendais tes sœurs parler de ça avec leurs copines… Pourtant les ainées de la fratrie ont essayé de t’ouvrir un peu plus là-dessus, de t’en parler pour que ça ne devienne pas un sujet tabou pour toi, parce que le sexe fait partie de la vie. Mais toi t’as toujours été trop coincée pour accepter d’en parler avec qui que ce soit. C’est bien la première fois que tu évoques ce sujet avec ta sœur. Et c’est bien la première fois que tu t’apprêtes à écouter ses conseils.

Et tu n’as pas beaucoup de mal à te retrouver vite excitée. Il te suffit de penser à l’homme que tu désires le plus au monde. Le seul que tu désires en fait. Le seul à qui tu donneras ton corps. Celui à qui tu as déjà donné ton cœur. Tu fermes les yeux pour voir son visage, pour voir sa jolie bouche et essayer de la sentir sur toi, sur ton corps. Tu repenses à cette fois où il les a baladées sur ton corps, quand il s’est arrêté sur ton sein qu’il a pris en bouche. Déjà là, tu sens que tu commences à être excitée, et d’ailleurs ton corps réagit déjà. Petites pointes dressées. Ta main se faufile avec hésitation pour se perdre entre tes cuisses. Et là tu repenses toujours aux lèvres de Robin, à sa langue qui s’est immiscée en toi, entre tes lèvres intimes. Et c’est là que tu commences à vraiment te toucher. Tu te laisses aller, tu tombes tout à fait sur le matelas et tu écartes davantage les jambes. Et quand tes doigts commencent à s’agiter, tu continues de penser à cette nuit d’amour. Tu penses au moment où il est entré en toi, la douleur qui t’a envahie au début, puis le plaisir qui t’a électrisée, tout ton corps. Là tu peux commencer à sentir la moiteur sur tes doigts. Alors tu y vas franchement, agitant les doigts entre tes cuisses. Tu t’agrippes aux draps de ta main libre et tu te cambres en gémissant. Tu l’imagines aller et venir en toi, encore et encore. Et ça te rend folle. Alors tu gémis une nouvelle fois, et encore une fois.

Tu es tellement dans une transe que tu ne remarques pas que la porte s’ouvre. Ce n’est que lorsque tu entends une voix que tu te stoppes. Ton cœur se met à battre follement dans ta poitrine. Prise sur le fait. Tu ne réalises pas tout de suite que c’est Robin qui est là. Tu es trop abasourdie pour même te dire qu’il est rentré, qu’il est  là et qu’il t’a horriblement manquée. Là, tu te dis juste qu’il t’a surprise et un sentiment de honte t’envahit. Tu attrapes le drap et tu le remonte sur ton corps jusqu’au menton. Comme si tu ne voulais pas qu’il te voie nue alors qu’il t’a déjà vu à poil plusieurs fois. Mais c’est un réflexe débile. « Je… Robin ? Mais… ? » T’es incapable de tenir des propos cohérents. Tes joues deviennent rapidement bien rouges, déjà rosies par le plaisir et l’excitation, tu ne sais plus où tu mettre. T’as envie de trouver une excuse, de lui dire que c’était pas ton idée à la base, que toi t’aurais jamais une chose pareille. Mais tu croises enfin son regard et tu comprends que tu n’as pas à te justifier. Parce que ce regard tu l’as déjà vu. Tu l’as déjà vu prendre une teinte orageuse, mais pas à ce point-là. Et ton cœur se met à battre encore plus vite. Et tu le regardes alors jeter son sac puis retirer son tee-shirt. Tu te redresses dans le lit, encore tremblante d’excitation. Et tu n’arrives toujours pas à comprendre ce qu’il compte faire quand tu le vois déboutonner son pantalon. Tu te mordilles la lèvre inférieure alors que ton regard se perd sur son corps parfait. Tu peux même voir la bosse qui déforme son pantalon. Tu viens de comprendre ce qu’il s’apprête à faire, et autant dire que tu adores cette idée. Et tu ne le lâches toujours pas des yeux quand il termine de se déshabiller. Bon sang ce qu’il est sexy quand il est excité comme ça ! Ça ne fait que t’exciter davantage. Tu hésites. Tu as l’impression d’être une biche prise dans les phares d’un chauffeur en pleine nuit. Tu déglutis et tu ouvres les lèvres mais aucun son ne sort. Tu te passes la langue sur les lèvres et tu plonges un regard brillant de désir dans le sien. Alors tu obtempères, parce que c’est ce que tu souhaites. « Robin fais-moi l’amour… » Tu souffles à peine ces mots tout en te rallongeant et en écartant les draps de ton corps nu que tu lui offres, servi sur un plateau d’argent.


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Robin Hartwood
Robin Hartwood
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Robin Hartwood
Jeu 28 Mai - 20:27
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Tu n'imaginais pas trouver, un jour, Mia en train de se faire plaisir. Tu ne pensais pouvoir assister à un spectacle aussi incroyable. Beau. Magique presque. Mais ce n'est clairement pas toi qui iras t'en plaindre. Parce que ça vaut sacrément le coup d'elle. Elle est magnifique. Parce que son joli corps est entièrement nu et offert à ta vie. Mais aussi parce que son joli minois est déformé par le plaisir. Pas étonnant que tu profites durant quelques secondes, de ce spectacle incroyable. Mais surtout, il n'est pas étonnant que tu sois clairement en train de craquer. Tu n'aurais pu en supporter davantage de toute façon. Depuis trop longtemps vous prenez sur vous tous les deux. A vrai dire, tu ne pensais pas qu'un déplacement professionnel s'imposerait au milieu de tout ça. C'est ce qui a retardé le moment fatidique. Mais tu as pris le chemin du retour en sachant que tu ne tiendrais pas une journée de plus. Pourtant, loin de t'imaginer ce qui t'attendait une fois chez toi. Chez vous. Et c'est "simplement" une raison de plus pour toi d'enfin capituler et mettre de côté ton envie de laisser votre vie sexuelle sur pause. C'est maintenant qu'il te faut la posséder. Plus encore parce qu'elle est vibrante, tremblante, bouillante de désir. Tu l'observes suffisamment longtemps pour que ta propre envie commence à se faire évidente. A prendre place au point de rendre ton pantalon bien étroit tout à coup. Furieuse envie de l'ôter pour t'en libérer et pour te coller à ton basin. Pour disparaître en elle. Vite. Fort. Profondément. Enfin tu prends la parole. Quand tu entres tout à fait dans la chambre et abandonnes ton sac d'affaires. Sa réaction de surprise et de légère panique, ne te décourage pas le moins du monde. C'est même le contraire. Elle rougit à vue d'oeil. Et comme toutes les autres fois, ça te fait un effet certain. Tu la trouves tellement craquante Mia, quand elle est gênée au point que des rougeurs s'étalent sur ses jolies joues.

Elle commence par vouloir se planquer, sans surprise là non plus. Avant que son regard ne croise le tiens, orageux. Et qu'elle ne comprenne que loin de la juger ou de te moquer d'elle, tu es plutôt "tendu" par la situation. Du genre à n'avoir envie de rien d'autre que de venir te coller à elle pour enfin réduire la distance entre vos corps. Celle que tu vous impose depuis déjà beaucoup trop longtemps. Fin de la torture. Parce que tu n'en peux vraiment plus et parce que tu vois bien qu'il en va de même pour elle. Tu peux difficilement t'imaginer autre chose alors que tu viens de la surprendre avec une main logée entre ses cuisses, à se faire autant de bien que possible. Tu ne cherches pas à jouer les prolongations dans ce spectacle, aussi intense et incroyable soit-il. Tu t'approches du lit en commençant à te dévêtir. Tu as bien mieux à lui offrir que ses doigts fins et encore inexpérimentés. Tu as surtout beaucoup mieux à lui offrir que des fantasmes perdus dans son esprit et des souvenirs -de toi et de votre unique étreinte, tu l'espères-. Tu es là. En chair, en or et surtout, tout en tension. Tu es là et tu es bien décidé à lui arracher toi même de nombreuses plaintes de plaisir. Et pas juste avec ta bouche et tes doigts cette fois ci. Ce qu'elle pourrait encore "craindre" alors que tu t'approches tranquillement d'elle. Tel un prédateur qui s'apprête à ne faire qu'une bouchée de sa proie fort alléchante. Ta seule requête, c'est qu'elle te demande clairement de lui faire l'amour. Parce que c'est précisément ce dont vous avez tous les deux envie. Mais que tu veux l'entendre te le souffler. Tu veux avoir une preuve supplémentaire du désir qu'elle peut ressentir pour toi. Même si tu n'as pas réellement besoin de ça pour savoir ce qu'il en est.

Il n'empêche qu'elle ne se fait pas prier pour te souffler enfin ces mots. Cette requête qu'elle t'a déjà faite mais que tu as tâché d'ignorer. Quelques jours de plus. Cette fois tu ne repousses pas à plus tard. T'es tout à fait nu quand elle même retire le draps qui la dissimulait à moitié. Et tranquillement, tu t'approches d'elle. Deux petits mètres qui semblent représenter une distance en kilomètres tant ton être entier hurle et supplie que tu veuilles enfin bien unir vos corps. T'es presque à bout de souffle quand tu grimpes sur le lit pour la rejoindre. Que tu attrapes fermement ses cuisses et tires dessus sans réelle douceur pour lui faire quitter les oreillers sur lesquels elle reposait. Tu te places au dessus d'elle, en appuie sur une main. Chacun de tes gestes est empreint d'une certaine tension. Et ton regard est aussi orageux que bestial. De tes doigts, tu te guides déjà à son entrée. De tes reins, tu te glisses en elle. Tu n'y vas pas comme une brute pour ne pas lui faire mal. Mais t'y vas fort quand même. Tu te plonges en elle sans tourner autour du pot bien longtemps. Elle est trempée de toute façon. son corps ne t'offre pas de réelle résistance. Même si elle est étroite au possible et que tu peux sentir ses parois internes se déployer sur ton passage. De quoi t'arracher un "putain" que tu grognes du bout des lèvres. Les mâchoires serrées. Ta seconde main vient se loger sur le matelas, en appuie. Et tu te penches pour lui voler un baiser du bout des lèvres. Salut ... Que tu souffles, mine de rien. Et un petit sourire coquin accroché à la bouche. Alors que tu entreprends déjà d'aller et venir en elle. Ni trop vite. Ni trop fort. Ni trop lentement non plus. Juste le rythme qui permet à son intimité de se détendre plus encore. Et de te permettre de gonfler davantage. De permettre à ton corps d'atteindre le paroxysme du désir. Tu m'as manqué ... Que tu grondes en donnant un coup de reins plus franc. Elle t'a manqué ces derniers jours, certes. Mais son corps a énormément manqué au tiens, aussi. Et tu bascules d'ailleurs plus encore en avant. Que ce soient tes avant bras qui soient en appuis sur le matelas pour permettre à ton bas ventre de frotter contre le sien et à ton torse de se presser contre ta poitrine. Alors que tes reins se font plus impatients. Que tes mouvements se font plus mordants. Plus forts. Plus secs et plus rapides.Vraiment. Beaucoup. Que tu tonnes en parallèle de tes coups de reins plus vifs encore.
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Ven 29 Mai - 0:00


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tu es trop gênée pour réaliser qu’il est bien revenu. Pour te dire que tu es heureuse de le voir. Tu ne t’attendais pas à le voir avant deux jours. S’il ne t’avait pas surprise dans une telle position, tu lui aurais sûrement sauté dessus pour l’embrasser et lui répéter encore et encore à quel point il t’a manquée et à quel point tu l’aimes. Mais au lieu de ça il a fallu qu’il rentre pile au moment où tu as décidé de te laisser un peu aller et de te faire plaisir. Il aurait fallu qu’il arrive un peu plus tôt, tu n’aurais jamais eu cette idée folle et vous vous seriez retrouvés comme vous auriez dû le faire. Toi tu voyais vos retrouvailles encore mieux que dans les films d’amour, tu te voyais déjà lui sauter dans les bras, qu’il te fasse tournoyer en l’air avant de t’embrasser amoureusement. Au lieu de ça, quand il rentre il te voit la main entre les cuisses, tes doigts entre tes lèvres intimes, et toi, brûlante et bouillonnante de désir. Tu as honte ! Terriblement honte. Et tu aimerais pouvoir te glisser dans un trou de souris et disparaitre. Au lieu de ça tu dois affronter le regard de l’homme que tu es et qui vient de te surprendre dans une posture pour le moins gênante. Tu sens tes joues qui deviennent brulantes tellement tu rougis. Tu ne pensais pas un jour te retrouver dans une situation pareille. Tu essayes de trouver une excuse n’importe quoi à lui dire. Mais comment tu peux lui expliquer ça d’une autre façon que lui dire que tu es en train de te faire du bien ? Tu ne peux pas, y a aucune autre excuse qui puisse expliquer que tu te retrouves avec la main entre les cuisses. T’es encore un peu tremblante d’excitation mais tu sens que ça va vite descendre parce que tu es beaucoup trop gênée qu’il te voie comme ça. Et pourtant… quand vos regards se croisent, tu ne lis rien d’autre que de l’excitation. Tu pensais qu’il allait être choqué de te voir, toi, la petite vierge en train de te masturber, mais au lieu de ça, ça semble lui donner des idées et des envies pour le moins lubriques.

Si tu ne le connaissais pas, tu aurais presque pu avoir peur de lui. Parce que son regard, il a quelque chose d’animal, de sauvage. Tu as l’impression d’être sa proie et lui le prédateur. C’est comme s’il allait te foncer dessus et te dévorer. Tu n’arrives pas à savoir si sa façon qu’il a de te regarder t’excite ou t’effraie. Sûrement un mélange des deux en fait. Parce que ça te plait beaucoup de le voir dans cet état, et surtout de te dire que c’est toi qui le met dans cet état. C’est toi la seule fautive. Et ça te plait beaucoup trop… Et ça t’excite beaucoup trop. D’ailleurs quand tu poses ton regard sur lui, sur torse parfait qu’il découvre en retirant son tee-shirt, tu lâches un soupir rêveur. Tu ne te lasseras jamais de le regarder, il est tellement parfait. Et même quand il retire son pantalon ainsi que son boxer. Tu es gênée mais tu ne peux pas t’empêcher de jeter un œil à sa longueur, et c’est comme si tu étais hypnotisée. Tu n’arrives pas à détourner le regard. Pourtant tu devrais te sentir trop gênée pour le regarder de la sorte, mais en fait tu finis par ne rien sentir d’autre qu’une certaine fascination, et beaucoup d’excitation. Beaucoup, beaucoup. Et t’en as même du mal à parler quand tu lui demandes de te faire l’amour. Ta voix est un peu cassée par le désir mais dans ton regard, Robin peut lire ton envie, ton excitation. Et tu le lui montres même en te rallongeant et en dégageant le drap avec lequel tu t’es recouverte quand il t’a surprise. Tu te mords une nouvelle fois la lèvre quand il s’approche du lit. Tu sens ton cœur qui bat de plus en plus vite. Tu t’affoles. Robin t’affole. Il a un regard que tu n’as encore jamais vu, il a une démarche, une façon de se mouvoir que tu ne connaissais pas encore.

Tu laisses échapper un petit cri de surprise quand il te tire par les cuisses pour te tirer vers lui. Ta tête quitte l’oreiller et ta tignasse s’étale autour de ton visage. Tu gardes les deux bras collés au matelas, comme si tu avais trop peur de bouger, de faire quoi que ce soit. Il ne t’a fait l’amour qu’une fois, mais il n’était pas dans cet état-là la fois précédente. Il était plus calme, moins bestial. Tu as un peu peur. Peur que ça te fasse mal. Peur de ne pas supporter ce qu’il s’apprête à te faire « subir ». Parce qu’il n’a pas l’air d’avoir envie de faire preuve de tendresse et de douceur. Alors tu lui lances un regard à demi excité et à demi apeuré. Tu t’apprête à lui demander de ne pas y aller trop fort mais il vient déjà en toi. Tu fermes les yeux et tu gémis. Tu le sens se frayer un chemin en toi, tu sens qu’il y a une résistance, et c’est ce qui fait que ça te fait légèrement mal. Tu te mords la lèvre un peu plus fort pour passer outre cette petite sensation de douleur qui persiste légèrement. Tu t’accroches aux draps avant de rouvrir les yeux et tu plonges ton regard dans le sien. Ton visage se détend quand il vient t’embrasser et tu souris, amusée par sa drôle de manière de te saluer. Au passage tu poses une main sur sa joue et tu réponds d’une toute petite voix. « Salut toi… » Qu’est-ce que tu es heureuse de le voir ! T’en oublies presque qu’il t’a surprise dans une situation très gênante. Mais tu n’as plus le temps d’y penser parce qu’il commence déjà à aller et venir en toi. Ce qui t’arrache un autre gémissement. Mais cette fois la douleur finit par disparaitre totalement pour laisser sa place à un plaisir pur et intense. Tu glisses tes mains dans son dos pour le caresser du bout des doigts alors que tu soupires à chaque fois qu’il remue le bassin. Mais il t’arrache un petit gémissement quand il donne un coup de reins sec, par réflexe tu plantes tes ongles dans sa peau, t’en fermes les yeux une nouvelle fois. Quand tu les ouvres ils ont pris cette teinte plus sombre qu’il a déjà pu voir lors de cette fois où tu as eu du mal à te contrôler. « Oh… Toi aussi… » Que tu murmures presque. Et quand il rapproche le haut de son corps du tien, tu passes une de tes mains derrière sa nuque et tu approches ton visage pour capturer ses lèvres dans un baiser bien trop bref, mais il ne te laisse pas le choix que de te cambrer très fort quand il entame ses puissants va et vient. Tu relâches sa nuque pour t’agripper au drap, ta poitrine se soulève, ton dos se décolle du matelas alors que tu te cambres toujours un peu plus et que tu gémis son prénom. Tu découvres que tu adores quand il se montre aussi puissant. Tu en redemandes et d’ailleurs tu gémis presque d’un ton suppliant. . « Encore. S’il te plait t’arrête pas… » En effet, entre te faire du bien toute seule et te faire prendre comme ça par Robin, il n’y a pas photo. Robin te fait beaucoup plus d’effet…


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Robin Hartwood
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Ven 29 Mai - 0:44
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Elle est incroyablement désirable Mia. Tu ne vois pas bien comment tu pourrais résister à la folle tentation qu'elle représente pour toi à cet instant très précis. Juste là, étendue entièrement nue sur votre lit et occupée à se faire du bien du bout de ses doigts fins. Tu te perds tout naturellement dans ta contemplation. Parce que tu ne peux faire autrement. Et tu ne peux faire autrement, non plus, que de te décider enfin à la rejoindre pour mettre fin à la torture de l'attente que tu vous infliges depuis trop longtemps maintenant. Vite, avant que vos corps et vos êtres tout entiers ne s'enflamment pour de bon. Ton regard est tout bonnement noircit par le désir. Les pupilles dilatées comme jamais. Et il te faut faire preuve d'n grand contrôle sur toi même, pour ne pas lui tomber dessus trop vite. Comme l'affamé que tu admets bien volontiers être tout à coup. Tu te passes la langue entre les lèvres, en l'observant sans ciller. Tu retires tranquillement tes fringues en t'approchant à pas lents, du lit sur lequel elle repose. T'es sacrément excité et tu ne t'en caches pas. Tout comme elle, elle ne peut cacher le mélange d'émotions qui la submerge. Tu peux lire dans son regard qu'elle hésite entre tout autant excitée que toi et être terrifiée par ton comportement de prédateur. Tu as beau avoir très envie d'elle depuis le début, jamais tu n'avais été à ce point affamé. C'est un tout qui s'est assemblé et formé jusqu'à rendre la chose tout bonnement insupportable. Une envie qui perdure depuis un petit moment maintenant.  Un manque insoutenable après trois jours d'éloignement physique. Et le spectacle qu'elle vient involontairement de t'offrir. Autant dire que tout est réunit pour te foutre dans un sacré état.  Et elle va en payer le prix Mia. T'as envie de croire que le plaisir l'emportera sur tout le reste. Qu'elle ne paniquera pas trop devant l'image que tu lui renvoies à cet instant. Parce que ça aussi, ça fait partie intégrante de toi. Tu n'es pas uniquement ce petit ami tendre, doux et délicat que tu sais si bien être avec elle ...

Tu vas au bout de tes envies. Au bout de ton désir absolument insensé. Quand tu la rejoins sur le lit et tires sur ses cuisses pour qu'elle bascule plus encore en quittant la pile d'oreillers sous sa tête. Tu la veux totalement à ta merci, ta jolie, sexy et savoureuse petite proie. Tu la veux sans rempare aucune. Tu veux son corps nu et uniquement ça, tout contre le tien. Que rien ne puisse bloquer ou ralentir le moindre de tes gestes. Et justement, tu te guides déjà en elle. Tu n'y vas pas trop fort pour ne pas l'esquinter. Tu n'oublies pas qu'il ne s'agit que de la seconde fois pour elle. Mais tu n'y vas pas non plus aussi lentement que la première fois. Elle ne sera pas traumatisée Mia. Surprise, peut-être. Gênée, un peu. Mais elle prendra son pied comme la première fois. Tu le sais alors tu passes outre la réaction de son corps qui  veut d'abord te bloquer, t'empêcher de la pénétrer tout à fait, te rejeter. Parce que tu prends de la place en elle. Parce qu'elle n'est pas habituée à ça. Et clairement, ça ne t'aide pas du tout à te calmer de penser une fois de plus au fait que tu es le premier. Et que tu seras le dernier. Tu grondes tout bas quand tu la vois se raccrocher aux draps, tant bien que mal. Et toi tu tâches de te radoucir un peu. Juste de quoi la rassurer et lui rappeler que t'es toujours toi. Que t'es toujours le Robin tendre qu'elle connait et qu'elle aime. Tu te fais taquin alors même que tu continues d'aller et venir en elle. Elle gémit. Elle se détend autour de toi. Tu grondes encore. L'animal a encore sa muselière. Ce qui ne t'empêche pas de venir croquer sa lèvre inférieure avec tendresse.

Elle glisse ses doigts dans ton dos. Caresse délicate qui se transforme en geste plus félin. Quand tu lui offres un coup de reins plus retentissant encore et qu'elle plante ses ongles dans ta peau. Tu soupires de plaisir contre sa bouche que tu ne fais que frôler. Elle réduit temporairement la distance entre vos lèvres quand tu te colles plus encore à elle et qu'elle t'embrasse avec tendresse. Tu jures un peu quand, en réponse à ton accélération de mouvements, elle se cambre fort. Son dos se décolle tout à fait du matelas et ses doigts attrapent les draps et tirent furieusement dessus. Tu peux même la sentir palpiter tout autour de toi. Et te tremper davantage encore. Réflexe du corps en réponse au plaisir et à l'excitation qui continue de grimper en flèche. Tu grognes encore. Tu glisses une main sous le corps féminin pour empoigner fermement l'une de ses fesses et ramener son bassin contre le tien. De sorte à ce qu'elle ne puisse rien faire d'autre que de te recevoir tout entier à chaque fois que tu plonges en elle. J'en serais bien incapable. D'arrêter quoi que ce soit. Ou même de ralentir. T'es plus le surhomme que t'as tenté d'être ces derniers jours en résistant fermement à la tentation et tu ne t'en caches pas du tout. Tout au contraire. Tu le lui montres. Presque fièrement. Si j'craignais pas de t'faire mal, je s'rais même en train de te baiser Mia. Salement. Vraiment. Salement. Que tu ne manques pas de préciser d'une voix chaude. Le ton à la provocation. Avec tes doigts qui se plantent sans douceur aucune dans la chair ferme de sa jolie fesse qui ne t'a que trop fait de l'oeil ces derniers jours. Et tes dents que tu viens planter dans sa jolie gorge. Tu la possèdes toute entière. Tu t'assures qu'elle ait la sensation de ton corps sur l'intégralité du sien. Qu'aucune partie ne se sente lésée et oubliée.
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Ven 29 Mai - 11:28


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tu passes par tous les états possibles. La gêne pour commencer, gênée d’être prise sur le fait, gênée d’oser te faire plaisir toute seule. Puis t’es passée par la peur, la peur de voir la bête que Robin peut être, ce regard brûlant, ces gestes lents, minutieux. Et enfin tu passes par l’excitation. Un degré d’excitation que tu n’as encore jamais atteint. Pourtant ce n’est pas la première que tu te retrouves humide de désir face à Robin. Vous vous êtes déjà perdus l’un dans l’autre, vous vous êtes déjà affligés des caresses les plus intimes, vous vous êtes déjà emballés, à deux doigts de vous perdre une deuxième fois. Mais jamais tu n’as ressenti ça. Ce mélange de peur, d’appréhension et d’excitation et d’impatience. Tu n’as qu’une envie, qu’il vienne en toi, qu’il te prenne toute entière, qu’il te dévore, qu’il te possède. Tu es à sa merci, tu es à lui, totalement à lui. T’es prête à tout lui offrir, tout ce que tu as, tu n’as pas grand-chose, tu as que toi, ton cœur, ton corps et ils sont déjà tout à lui. Alors qu’il s’approche de toi en se passant la langue sur les lèvres, tu te dis que c’est incroyablement à quel point tu l’aimes et le désires. Tu ne pensais vraiment pas pouvoir sentir quelque chose d’aussi fort un jour. Et même s’il a quelque chose de différent aujourd’hui, même s’il semble beaucoup moins doux, beaucoup moins tendre que d’habitude, tu ne peux pas l’empêcher de l’aimer terriblement. Ça t’en fait presque mal dans la poitrine tellement tu sens que ton cœur réagit à sa présence. Sans parler du fait qu’il se met à battre à une cadence folle à cause de l’excitation et de la peur. Qui ne font que grimper en flèche quand Robin te tire sur le matelas sans aucune douceur. T’en viens à te demander même s’il ne va pas te faire mal, s’il n’a pas l’intention de se défouler sur toi après des jours de travail qui se seraient peut-être mal terminés. Il te fait peur oui. Pourtant tu sais qu’il ne te fera jamais du mal, pas volontairement. Mais tu as peur qu’il se laisse un peu trop emballer et qu’il en oublie que tu n’as été pénétrée qu’une seule fois.

Parce que quand il entre en toi, il n’y pas doucement, pas comme la première fois. Tu ne caches pas le fait que ça te fasse mal, tu gémis, tu pousses une petite plaine. Mais il se montre un peu plus doux et il te taquine même. Là tu sais qu’il est là ton Robin, le Robin que tu aimes à en crever. Et tu croises son beau regard animé par le désir. Tu es obligée de t’agripper aux draps tellement c’est intense, tellement c’est bon et douloureux à la fois. Tu sens presque une sensation de brûlure entre tes cuisses, mais tu commences petit à petit à te faire à sa présence en toi. Ton corps va se faire à sa longueur, à sa largeur, il va se modeler pour l’accueillir lui, lui et rien que lui. Parce que tu n’offriras ton cœur à personne d’autre, jamais. Robin sera le premier et le dernier homme à te faire l’amour. C’est une évidence. Et quand tu l’entends grogner tu sens encore l’excitation monter d’un cran, tu adores le voir comme ça, dans cet état. Tu l’as déjà vu excité et ça t’a plu, mais là, jamais comme ça. Et ça te plait encore plus, même s’il t’impressionne beaucoup trop. Quand il vient te mordiller tendrement la lèvre, tu esquisses un petit sourire et tu caresses sa joue avec beaucoup de douceur, et tes mains finissent par glisser dans son dos pour le couvrir de ces mêmes caresses avant d’y planter les ongles quand il se montre un peu plus brutal plus bas. Tu ne réfléchis même pas, c’est un réflexe, et quand tu l’entends  grogner tu te demandes même si tu ne lui as pas fait mal. Mais à voir sa réaction, il semble plutôt avoir apprécié la chose. Tu bouges un peu la tête quand ses lèvres frôlent les tiennes, tu recherches toujours plus de contact, plus de caresses, de baisers. Et c’est toi qui mets fin à cette distance en plaquant tes lèvres contre les siennes, avec douceur. Mais tu es bien obligée de les abandonner quand Robin se met à aller et venir en toi à une cadence très soutenue, rapide et sèche.

Tu t’agrippes à nouveau aux draps, tu tires violemment dessus et tu ne cesses d’exprimer ton plaisir en poussant de longs gémissements, parfois plus sonores quand Robin se montre plus brutal. Tu adores ça, alors tu le supplies de ne pas arrêter, t’en veux encore, encore, encore. Et tu souffles dans un murmure, dans une voix à peine audible. Plusieurs fois ce mot : encore, encore, encore. Tu sens sa main glisser sous tes fesses et tu frémis, tu ne peux que vraiment réagir à chaque fois qu’il pose ses mains sur ton corps. C’est comme si ta peau et la sienne réagissaient dès qu’elles entrent en contact. Le bassin relevé, tu le sens encore plus aller en toi, plus profondément, et ça ne fait que de te rendre davantage folle. Tu sais que cette fois ton orgasme sera bien plus puissant que les deux qu’il t’a déjà offerts. Tu n’as aucun doute là-dessus. Tu te mords la lèvre et tu plonges un regard brûlant, noirci par le désir et le plaisir. Tu le fixes alors que sa voix et ses paroles te donnent des frissons. Frissons d’excitation et d’appréhension. Bizarrement tu aimes quand il emploie des mots crus comme ça. Toi, la petite coincée. Tu aimes ça. Et tu hésites mais tu as envie qu’il le fasse. Tu as envie qu’il se sente libre de faire tout ce qu’il veut de toi. Tu es prête à assouvir tous ses fantasmes, même les plus fous, même les plus effrayants. Parce que tu l’aimes, parce que tu veux le satisfaire pleinement. Parce que toi tu n’y connais rien et tu veux qu’il te forme, à tout. Tu veux tout apprendre avec lui. Tout faire avec lui. Aucune limite. Et ça te fait peur, très peur même. Parce que tu ne sais pas jusqu’où il pourrait aller Robin. Mais tu le fixes toujours et tu lui réponds d’une voix brûlante, un peu tremblante parce que tu es pleine d’appréhension. « Fais-le. Baise-moi. Salement. » Tu n’es vraiment pas sûre de ce que tu fais, mais tu es sûre de vouloir tenter la chose. Et puis tu ne crains rien, au pire, s’il te fait mal, si tu n’es pas à l’aise, tu n’auras qu’à lui dire. Seulement, est-ce que tu serais capable de l’interrompre alors qu’il semble désirer ça, qu’il semble le vouloir plus que tout ?... Tu pousses une nouvelle plainte quand tu sens ses doigts s’enfoncer dans la chair de ta fesses, tu te mords la lèvre un peu plus fort et tu tires encore plus sur les draps. Et quand vient te mordre le cou, tu soupires et tu passes tes doigts fins dans ses mèches blondes. Tu rejettes même un peu la tête en arrière pour l’inviter à recommencer encore et encore. Tu veux qu’il laisse sa marque sur ton corps. Qu’il marque son territoire, parce que tu es sienne, et ça ne te pose aucun problème, bien au contraire.  Parce que tu es à lui…

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Robin Hartwood
Ven 29 Mai - 14:04
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Tu n'as évidemment aucun mal à comprendre les états d'âme dans lesquels passe ta jolie Mia. Parce que tu la connais de mieux en mieux et que tu es en mesure de faire la différence entre les émotions qui la prennent et qui apparaissent de ci et de là. Et que tu adores franchement ça d'ailleurs. Tu ne pensais pas que tu prendrais autant de plaisir à apprendre une personne par coeur. Et à avoir envie qu'elle fasse de même avec toi en retour. Chose qui arrivera beaucoup plus lentement en revanche. Parce que tu ne peux lui balancer toutes les vérités te concernant, d'un seul coup. Tu ne peux prendre le risque de lui faire peur pour de bon et de lui donner l'envie de prendre la fuite. Parce que dans le fond, tu ne peux que t'imaginer que c'est une possibilité. Elle pourrait être prise de panique et ne pouvoir supporter de rester en ta compagnie plus longtemps. Et si ça venait à arriver, tu ne sais vraiment pas comment tu pourrais affronter la chose. Tu ne peux plus vivre sans elle. Et ça te tuerait si elle s'en fuyait justement à cause de ce que tu es vraiment. A cause de qui tu es, une fois ta tendresse, ta douceur et ton amour pour elle mis de côté. Parce que quand tu n'es plus chez vous, c'est ce qui arrive. Tu oublies l'adorable et amoureux Robin, pour le remplacer par le monstre de froideur qui prend son pied à faire du mal.  Tout au plus, Mia elle a droit à l'animal affamé et désireux de son corps. Ce qui semble déjà la faire un peu paniquer. Pas au point de vouloir arrêter les choses pour prendre la fuite. Mais suffisamment pour que ça brille dans son regard qui s'assombrit. Suffisamment pour qu'elle ait l'air un peu incertaine, un peu tremblante, un peu tendue. Mais elle a aussi tout à fait l'air d'avoir très envie que tu viennes enfin unir vos corps.  Alors tu approches. Plus gourmand que jamais.

Et il ne te faut pas même une minute entière pour être contre elle, sur elle, en elle. Tu sens que son corps t'offre une certaine résistance. Tu n'as pas été aussi lent que la première fois, quand bien même tu sais qu'elle ne sera pas beaucoup plus à même de te recevoir tout entier, trop fort. Mais tu ne peux nier que la sensation de ses parois qui ne se déploient que pour mieux se mouler à ton érection, a le don de salement t'exciter. Plus encore que la première fois. Parce que tu sais qu'elle va rapidement se faire à la sensation et prendre son pied. Parce qu'elle n'est, malgré tout, plus vierge. Parce que vous êtes tous les deux excités comme jamais. Je sais. Je sais. Que tu souffles avec douceur quand elle se crispe et laisse échapper une plainte que tu sais être de douleur. Tu sais que ce n'est pas encore tout à fait agréable pour elle. Mais tu sais également que ce n'est qu'une question de secondes. Le temps de quelques vas et vient. Alors tu compenses un peu en te montrant tendre pour qu'elle n'aille pas jusqu'à paniquer à l'idée que tu es totalement perdu et que tu n'es plus que cet animal sauvage bien décidé à la baiser fort. Quitte à lui faire mal. Ce n'est pas tout à fait ça. Tu te soucies beaucoup de son bien être. Tu veux qu'elle prenne autant de plaisir que toi. Et ça semble fonctionner. Elle est toute tendre et toute douce Mia quand elle glisse ses doigts sur ta joue. Caresse délicate et ô combien agréable. Main qui se retrouve bientôt dans ton dos plutôt. Caresse avant que ses ongles ne se plantent en réponse à tes nouveaux coups de reins. Plus vifs et plus forts. Vous vous offres des baisers plus intenses et plus passionnés alors même que tu vas et vient plus fort entre ses cuisses ouvertes. Elle est terriblement sexy Mia, quand elle referme ses doigts fins autour des draps et qu'elle tire fort dessus. Et que ses gémissements durent de plus en plus longtemps. Tu jures. Evidemment que ça te rend fou et que t'as juste envie de la baiser plus fort encore. Plus  violemment même. Et tu ne manques pas de le lui avouer. D'une voix chaude, d'une voix caressante, d'une voix vibrante de désir surtout.

Toi dont les doigts sont crispés sur l'une de ses fesses pour que son bassin n'échappe plus tout à fait au tien. Que tu puisses, surtout, plonger tout entier dans sa moiteur palpitante. Et finalement, elle t'offre une réponse à laquelle tu ne t'attendais pas réellement dans le fond. Elle t'offre son accord. C'est même limite si elle ne te supplie pas de le faire. De le faire vraiment. Tu laisses entendre un long grognement excité. Putain Mia ... Que tu ne manques pas de grogner plus fort encore. Toujours plus excité. Beaucoup trop pour ton propre bien. Et pour le sien. Putain ! Que tu répètes en mordant une fois de plus dans sa gorge. T'es totalement en train de prendre pied. Tu n'as jamais été aussi excité que tu ne l'es actuellement. Tu n'as jamais désiré une femme aussi fort que tu la désires elle. Arrête moi si je te fais mal. Parce que tu veux croire que tu seras capable de tout arrêter si vraiment tu venais à lui faire mal. Si réellement elle se tendait, laissait échapper une vraie plainte de douleur et tentait de te repousser. Non. Aucun doute que tu sauras t'arrêter. Parce que son bien être et son plaisir avant tout. Et surtout, loin de toi la moindre envie de la traumatiser d'une quelconque façon que ce soit. Mine de rien, tu attrapes un coussin pour aller le flanquer sous le bas de son dos. Histoire qu'elle ne puisse plus se reculer et échapper à ton bassin. Tu le sais que ta longueur peut occasionner quelques pointes de douleur. Tu prends le risque pourtant. Parce que tu n'aimes que trop être tout à fait soudé à elle. Tu prends beaucoup trop tôt pied quand tu sens son corps résister pour finalement s'ouvrir tout à fait au tien. L'oreiller en place et après une dernière morsure sur la peau de son cou, tu te redresses. Tes mains se referment autour de ses hanches. L'un de tes pouces trouve ainsi son bouton de plaisir pour le malmener avec douceur. Une étonnante douceur, compte tenu des coups de bassin que tu ne tardes pas à lui offrir / infliger. Tu cognes bien plus vite, bien plus fort. Ton regard animal planté dans le sien quand il ne se perd pas sur son corps secoué sans douceur par le tien qui cogne. De plus en plus durement. L'animal se déchaîne. L'animal pénètre et se fout pas mal des quelques résistances encore en place. Tu ne manques d'ailleurs pas de prendre également bien du plaisir à te regarder disparaître en elle à chaque fois que tu plonges pour ensuite te reculer et plonger de nouveau. Non stop. Sans lui laisser une seconde de répit.
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Ven 29 Mai - 15:04


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tu fais une totale confiance à Robin. Une confiance aveugle. Tu peux lui confier ta vie sans prendre le risque qu’il t’arrive quoi que ce soit. Tu sais que Robin ne fera jamais rien qui pourrait te blesser. Il peut être maladroit parfois, parce qu’il ne te comprend pas encore tout à fait. Mais tu sais que ça viendra, il apprendra à te connaitre par cœur, tout comme tu finiras pas le connaitre par cœur aussi. Parce que ce n’est pas encore le cas, tu ne l’as jamais vu comme ça Robin. Tu ne connais pas cet aspect de sa personnalité. Tu l’as déjà vu un peu dur et mauvais, quand il est venu te chercher à l’hôtel et qu’il était vraiment remonté contre toi. Mais à part ça tu l’as toujours connu doux et adorable, tendre et bienveillant. Tu n’as jamais vu ce regard d’animal. Et oui, il te fait un peu peur, tu dois l’admettre. Tu ne reconnais pas là l’homme que tu aimes. Pourtant tu sais qu’il n’a pas totalement disparu puisqu’il se montre tendre. Puisque quand tu gémis et te plains, il te souffle des mots réconfortants. Il sait que ça te fait mal, il sait que c’est juste un mauvais moment à passer et toi aussi tu le sais. Tu sais qu’il te faut juste t’habituer à sa présence entre tes cuisses, et que tu souffres un peu pour après ressentir encore plus de plaisir. T’es prête à serrer les dents parce que tu sais que ça vaut le coup. Tu t’agrippes aux draps pour éviter de lui labourer le dos et de trop abîmer son corps parfait. Tu te tends et tu te contractes malgré toi, ce qui fait que ça rend les choses encore plus « désagréables » pour le moment. Tu te retiens à plusieurs reprises de le repousser parce que ça te fait vraiment trop mal, tu prends sur toi, tu encaisses. Et tu sais que tu ne vas pas le regretter. De toute façon t’es même prête à subir ça encore pendant longtemps si ça peut lui permettre de vraiment prendre son pied et d’être totalement satisfait. Tu feras passer ton plaisir après le sien. Comme tu feras toujours passer son bonheur avant le tien. Ce sera comme ça toute votre vie.

Alors c’est pour ça que tu es prête à accepter qu’il te baise salement comme il le dit. Parce que tu sens qu’il en meurt d’envie. Et tu ne veux en aucun cas l’empêcher d’assouvir le moindre de ses fantasmes, le moindre de ses désirs. Même si toi, tu as peur, si pour le moment, tu ne le sens pas trop. Tu appréhendes beaucoup. Parce que tu le connais assez pour savoir que quand tu donneras ton feu vert, il risque d’entrer dans une sorte de transe et que tu risques d’un peu morfler. Mais tu prends ce risque. Tu lui souffles ces mots, ceux qu’il veut entendre et ceux que tu veux lui dire surtout. Parce que t’as envie d’essayer, même si tu as peur. Mais tu passes outre tes craintes. Et sa réaction ne se fait pas attendre, elle te fait peur autant qu’elle t’excite. Parce que tu le trouves incroyablement beau et incroyablement sexy quand il est dans un tel état. Ton cœur bat tellement fort que ça t’en fait presque mal dans la poitrine. Et quand Robin vient une nouvelle fois mordre dans ton cou, tu soupires et tu passes à nouveau tes mains dans ses cheveux, tes deux mains qui viennent décoiffer sa tignasse blonde. Tu te demandes s’il peut sentir ton pouls dans ta gorge quand il y plante ses dents. Parce que ça bat si fort que t’as même l’impression d’entendre les battements de ton cœur. « Baise-moi... »  Que tu souffles une nouvelle fois d’une voix à peine audible, parce que tu sais que ça l’excite quand tu parles comme ça, même si ça n’est pas dans tes habitudes. Mais tu peux bien pour une fois, laisser de côté tes principes et ta politesse pour te laisser totalement aller. Alors tu le répètes encore, une troisième fois, d’une voix un peu plus audible. Une voix une peu moins tremblante pour le rassurer, pour lui faire comprendre que tu en as vraiment envie et que tu ne fais pas ça que pour lui faire plaisir. « Baise-moi Robin… »  

Et il ne te rassure pas vraiment quand il te demande de lui dire s’il te fait mal. Mais tu sais que tu vas avoir mal, tu ne peux pas l’éviter franchement. Alors tu hoches doucement la tête et tu déglutis discrètement. Tu te laisses faire quand il te fait soulever un peu plus ton bassin pour pouvoir placer un coussin dans ton dos afin que tu ne lui échappes pas. Tu tentes de calmer les battements de ton cœur qui s’emballe encore beaucoup trop. Tu gémis une nouvelle fois quand il revient te mordre le cou et toi tu fais toujours preuve de beaucoup de douceur quand tu caresses sa nuque, comme si tu essayais d’apaiser la bête qui est totalement réveillée à présent. Tu sais que ça ne sert à rien, tu ne peux pas le calmer, mais tu aimes tellement te montrer douce avec lui que tu ne peux pas t’en empêcher. Tu le regardes dans les yeux alors qu’il se redresse, ton corps fin nu, totalement à sa merci, il peut en user comme bon lui semble, tu lui offres, il est à lui. Tu laisses retomber tes bras de chaque côté de ton corps, bien obligée d’abandonner ses belles mèches blondes. Et tu relèves les bras, posant tes mains de chaque côté de ton visage, les coudes repliés. Tu es obligée de fermer les yeux quand il commence à caresser ton clitoris qui est bien gonflé par l’excitation. Tu es à fleur de peau, et à peine l’effleure-t-il que tu soupires et te crispes un peu. Tu sais que s’il n’y avait pas la douleur, tu aurais déjà probablement atteint l’orgasme depuis un petit moment. Et quand il reprend ses coups de reins, tu lâches un petit cri et tu cherches désespérément quelque chose à laquelle te raccrocher. Une de tes mains rencontre l’avant-bras de Robin qui saisit fermement ta hanche, tu t’y agrippes. Tu saisis son avant-bras fermement et tu serres fort quand il se montre plus brutal. Tu fermes les yeux, tu laisses échapper une nouvelle plainte. Oui ça fait mal, très mal, mais tu ne lui dis pas. Parce que tu restes persuadée que ça va finir par être bon. Et le souffle court, ton corps secoué par ses coups de reins brutaux, tes petits seins vibrant sous ses assauts tu finis par te cambrer un peu. Tu sens que tu t’habitues à lui, à ses va et vient. Tu te détends au fur et à mesure que ton corps s’habitue à la place que prend sa longueur en lui. Et parce que tu manques de son contact, de son corps contre le tien. Tu appuies sur tes mains sur le matelas pour te redresser et tu enroule tes jambes autour de lui. Tes bras autour de son cou, ta poitrine vient se coller à son torse alors que tu te retrouves quasiment assise contre lui. Et tu viens capturer ses lèvres. Un baiser brûlant, un baiser plus sauvage que tous ceux que tu lui as donnés jusqu’ici. Tu souffles contre ses lèvres d’une voix brûlante. « Robin… » Tu frottes tes lèvres contre sa joue, dans sa barbe avant de venir souffler au creux de son oreille. « J’adore ça quand tu me baises… »   Et tu recules assez la tête pour pouvoir plonger ton regard dans le sien toujours accrochée à lui, prête à continuer d’encaisser. Tu remues même un peu timidement ton bassin pour le sentir plus profondément en toi.

(c) oxymort

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Robin Hartwood
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Sam 30 Mai - 11:57
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Tu as beaucoup de mal à te garder sous contrôle alors que, dans le fond, tu ne souhaites rien d'autre que posséder celle qui te fait fantasmer depuis une éternité maintenant. Soit, c'est un brin exagérer que de dire que ça fait si longtemps que ça. Mais le fait est quand même qu'elle te rend dingue et que tu as une envie furieuse de la faire tienne. Comme jamais. Parce que vous n'avez fait l'amour qu'une unique fois tous les deux et que cette fois là tu as été tout en retenu. Tu ne pouvais prendre le risque de lui faire mal et de lui couper toute envie de recommencer. Et dans le même temps, toute la situation se prêtait à cette tendresse dont tu as fait part sans la moindre difficulté. Mais ce soir c'est une toute autre histoire. Après des jours et des jours à vous tourner autour, à vous chauffer comme jamais et à créer sans cesse de nouveaux fantasmes, tu ne peux qu'être vibrant d'un désir mal contenu. Le genre qui menace de t'exploser en pleine figure, à tout instant. Et quand tu la trouves sur votre lit, en train de se faire du bien du bout de ses doigts encore inexpérimentés, tu perds les pédales. Pour de bon. L'animal fond sur sa proie sans parvenir à tourner autour du pot bien longtemps. Tu as faim d'elle. Vraiment très faim. Et ton regard qui la caresse et la dévore, en dit bien assez long sur cette faim. Tu sais que tu risques de la brusquer un peu. Tu sais que la douleur risque d'être de la partie, malgré son état d'excitation évident. Mais tu oses espérer que le plaisir prendra rapidement le pas sur tout le reste et que si ce n'est vraiment pas le cas, elle osera te le dire. Elle doit bien savoir, Mia, que tu es capable de garder un semblant de conscience et de contrôle même quand tu t'emballes de la sorte. Parce que c'est elle. Parce que tu ne veux ni lui faire mal, ni l'effrayer.

Elle te donne finalement l'accord de "la baiser fort". Tu ne sais pas si elle est vraiment très consciente de ses mots et de tout ce que ça peut bien engendrer. Mais tu prends le risque. Non sans prendre le temps de lui préciser qu'elle peut t'arrêter à tout moment. Tu veux qu'elle sache qu'elle peut avoir une confiance aveugle en toi. Tu ne feras rien pour l'effrayer au point de la traumatiser. Ce serait idiot alors que tu as plutôt bon espoir de pouvoir remettre ça encore et encore à l'avenir. Tu grondes en sourdine quand elle te répète de la baiser. Encore. Elle te le demande. Aussi crûment que toi. Elle n'hésite plus. Sans doute bien consciente de l'état dans lequel t'es. Et celui dans lequel ça ne fait que te mettre plus encore quand elle use de ces mots là précisément. Elle ne répond rien quand tu insistes pour qu'elle t'arrête si tu lui fais mal. Elle se contente de hocher positivement la tête. Au fond de toi, t'as un peu la sensation et la crainte qu'elle n'en fera rien. Tu oses quand même espérer. Parce que déjà, tu attrapes un oreiller pour le lui flanquer sous le bas du dos. Histoire de rendre son corps aussi accessible que possible à tes "bons" traitements à venir. L'inconvénient du changement léger de position, c'est que ses mains ont quitté tes cheveux. Or, tu dois bien reconnaître que tu apprécies beaucoup la sensation de ses doigts logés dans tes mèches claires. Une plainte sonore lui échappe aussitôt que tu entames tes coups de reins. Tu serres les dents, tentant tant bien que mal de te contenir. Mais ça te demande des efforts complètement dingues. Elle plante ses ongles dans tes avant bras. C'est tout juste bon à t'exciter plus encore. Toi qui peines à retenir la violence de tes reins affamés. Toi qui cognes plus fort contre son corps fin. Toi qui la secoue sans ménagement en allant et venant d'une façon qui en dit long sur l'étendu de ton désir pour elle.

Après avoir encaissé durant une bonne poignée de minutes, Mia commence à remuer des hanches. A chercher plus de caresses internes, plus de contact brûlant. Avant de se redresser pour venir se coller à toi. Tu lui offres un sourire relativement attendri. Surtout franchement ravi par l'initiative. Et tu ne te fais pas prier pour enrouler tes bras forts autour de son corps fin. Sa poitrine se moule contre ton torse et ses fesses se frottent à tes cuisses. Elle parvient surtout à t'arracher un franc gémissement quand elle vient t'offrir / t'imposer un baiser des plus brûlants. Le genre que tu inities toi même d'ordinaire. Mais tu ne te fais franchement pas prier pour le lui rendre. Chaudement. Passionnément. Amoureusement même alors que vos langues se caressent avec une folle insistance. Baiser beaucoup trop bon pour être prématurément interrompu. Tu le lui rends donc sans te faire prier, jusqu'à ce qu'elle ne s'éloigne pour aller murmurer ton prénom et quelques autres mots, au creux de ton oreille. Tu grondes, tu soupires, tu fermes brièvement les yeux. Et quand elle commence à remuer davantage son bassin, tu loges une main sur l'une de ses fesses. Bouge pour moi Mia. C'est presque une supplique alors que ta main sur sa fesse empoigne assez fort pour la guider. Pour l'inciter à être la sensualité que tu n'es pas. Toi, la bête affamée qui cogne là où elle même caresse. Qui heurte là où elle frotte. T'es bien conscient de l'arrivée imminente de l'extase. Or, tu n'as pas tellement envie de la laisser sur le carreau après avoir pris tout ce qu'elle avait à t'offrir, avec force et rage. Tu veux qu'elle y trouve son compte Mia. Ta douce et innocente Mia qui encaisse toute ta rage passionnée sans broncher. Tu jures de nouveau, tu serres les dents, tu fermes les yeux. Et tu enfouis ton visage au creux de son cou pour embrasser, lécher et mordiller presque tendrement sa peau. Alors même que tes reins se montrent bien incapables de faire autrement que de se déchaîner toujours plus entre ses cuisses. Tes bras et mains empoignent assez fort pour empêcher à son corps de s'éloigner trop loin à chaque nouvelle salve de coups de reins vigoureux. Tu la maintiens en place aussi fort que possible. Tu lui offres et imposes tout à la fois. Et tu jures encore d'une voix brûlante, quand ce n'est pas son prénom qui t'échappe. Aussi longtemps que l'orgasme est repoussé. Tu la maintiens à distance une poignée de minutes supplémentaires, avant de ne plus en pouvoir du tout. Tu perds pieds. Tu sens la boule de tension au creux de tes reins qui implose tout à fait. Et qui se répand en milliers de petites particulières de pur plaisir, dans l'ensemble de ton corps. Dans tes membres crispés, tendus et refermés presque trop fort autour de son corps bien plus fragile. Pu.tain. Que tu souffles tant bien que mal. Tu m'as tellement manqué.
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