Tu te retrouves bien vite entrainée dans une étreinte folle. Tu ne vas clairement pas t’en plaindre. Tu as attendu bien assez longtemps, vous avez attendu bien assez longtemps, avant de vous perdre totalement l’un contre l’autre. Tu te rends compte que tu lui infliger une vraie torture quand tu t’es amusée à le provoquer pour lui donner envie de te prendre. Parce que tu craignais trop de ne pas lui donner envie de te faire l’amour. Parce que tu craignais qu’il n’aille se satisfaire ailleurs. En le voyant tel qu’il est là, tu te rends compte qu’il a vraiment dû prendre sur lui, faire de gros efforts, pour ne pas craquer et te faire l’amour. Tu regrettes presque de lui avoir infligé un tel traitement, alors qu’il ne le méritait pas, parce qu’il t’a promis, il t’a juré qu’il n’avait désiré aucune autre femme que toi depuis que tu étais entrée dans sa vie. Et à présent tu veux bien le croire. Parce que ce n’est pas juste une petite envie que tu peux lire dans son regard. Il est transformé ton Robin. Il a laissé l’homme doux, tendre et patient que tu as côtoyé pendant plusieurs jours et que tu as laissé partir il y a trois jours, pour devenir cet homme bestial, féroce, brutal. Et même si tu l’adores ton Robin tendre, tu sens que tu vas beaucoup apprécier le Robin sauvage. Même si ça va certainement te demander un petit temps d’adaptation. Parce qu’il ne t’a pas habituée à ça, il t’a habituée aux caresses et aux baisers tendres, aux étreintes douces. Et lorsqu’il t’a fait l’amour, la seule fois, il a été très doux et très attentif à ce que tu ressentais. Tu t’en rends plus compte que jamais, mais tu as énormément de chance d’avoir cet homme dans ta vie.
Alors tu veux le combler de bonheur, autant que lui-même te comble de bonheur. Alors tu es prête à accepter de jouer le jeu, le laisser te prendre de manière plus bestiale. Tu ne sais pas si tu vas aimer, mais si tu n’essayes pas, tu ne le sauras jamais. Et puis tu veux tout tester avec lui, absolument tout. Alors tu lui souffles quelques mots qui ne font normalement pas partie de ton vocabulaire et tu t’offres entièrement à lui. Tu sens qu’il est un peu inquiet de ce qu’il pourrait te faire subir en laissant aller pleinement à ses envies les plus sauvages, et toi aussi tu es inquiète. Mais tu sais surtout que tu n’as rien à craindre avec lui, jamais Robin ne fera quoi que ce soit qui puisse te faire du mal. Alors t’es confiante. Prête à endurer un peu parce que tu sais que le jeu en vaut la chandelle. Tu gémis, tu soupires, tu cries même un peu quand il y va franchement et durement. Tu le sens qui te remplit totalement et tu commences à t’y habituer, et même à y prendre beaucoup de plaisir. Alors tu as envie de plus, plus de contact, plus de caresses, plus de baisers. Mais tout ça ne vous est pas possible tant vous serez dans cette position. Il est trop éloigné de toi, la seule chose que tu puisses faire est de t’agripper à son bras. Mais tu meurs d’envie de l’embrasser, de sentir ses main sur ton corps, ses lèvres contre les tiennes. Tu veux partager une étreinte aussi douce que ses coups de reins sont brutaux. Alors tu prends appui sur tes mains pour t’aider à te redresser. A l’oblige à arrêter ses caresses intimes alors que tu bascule le bassin pour qu’il se retrouve collé au sien. Très vite, tu passes tes bras autour de son cou pour te retenir à lui en même temps que tes jambes se resserrent autour de sa taille.
Vos regards se croisent un instant et tu veux voir son doux sourire, là tu le reconnais ton Robin tendre. Et tu te rends compte à quel point il t’a manquée durant ces trois jours. A quel point ses sourires t’ont manquée. Toi aussi tu lui souris, avec douceur, avec amour. Dans ton regard, c’est l’amour qu’on peut lire, tes yeux pétillent, brillent d’une lueur vive. Tes doigts caressent sa nuque alors que tu viens capturer ses lèvres pour échanger un baiser des plus brûlants, comme jamais vous n’en avez partagé encore. Toi aussi tu gémis contre ses lèvres alors que ses bras entourent ton corps. Tu te colles de manière encore plus appuyée contre son torse. Tu veux sentir la chaleur de son corps parcourir la tienne. Vos langues s’entrainent rapidement à un rythme endiablé, tes doigts se perdent derrière sa tête, dans sa chevelure blonde. Et tu es bien obligée de rompre ce baiser merveilleux pour pouvoir reprendre ton souffle. Et t’en profites pour venir glisser quelques mots à son oreille. A nouveau tu entends ce grondement que tu adores tant, que tu ne connais que trop bien à présent. Tu sais que quand il grogne comme ça c’est parce que tu l’excites. Et tu ne te lasseras jamais d’entendre cette douce mélodie. Tu relèves tes yeux pour croiser son regard quand il agrippe une de tes fesses et qu’il te supplie presque de bouger pour lui. Bien sûr, tout ce qu’il veut. Il peut absolument tout te demander, tu n’hésiteras jamais, pas une seconde, pour faire ce dont il a envie. Alors tu resserres ton étreinte autour de lui et tu commences à remuer le bassin, tu l’ondules à un rythme langoureux, plus lent que celui de ces coups de reins, plus doux mais bien appuyé aussi. Et très vite tu pousses un nouveau gémissement et tu laisses échapper son prénom. Tu rejettes la tête en arrière quand tu le vois plonger son visage dans ton cou. Tes mains caressent toujours avec beaucoup de tendresse ses cheveux alors que tu soupires en sentant ses lèvres et ses dents malmener la peau de ton cou. Tu te décides d’accélérer un peu le rythme alors que tu sens que tu ne vas pas tenir bien longtemps avant de jouir. A mesure que tu sens que ça monte, que le plaisir est prêt à exploser, tu ondules beaucoup plus rapidement et fermement ton bassin contre le sien. Tu gémis son prénom, très fort. Et tu rejettes la tête en arrière, violemment quand ton corps est secoué par l’extase, l’orgasme. Mais tu ne t’arrêtes pas pour autant parce que Robin n’en a pas encore terminé, tu plonges ton visage dans son cou et tu couvres sa peau de baiser extrêmement tendres par rapport à ses coups de rein. Tu t’agrippes fermement à lui et quand tu le sens se tendre, tu caresses son dos et sa nuque avec tendresse, comme le calmer, le détendre. A bout de souffle, les joues roses, le regard brillant, tu restes tout contre lui, lui toujours en toi. « Oh tu m’as manquée aussi… Enormément… » Et parce que tu n’as pas assez de souffle pour l’embrasser, tu frottes ton nez contre sa joue et tu esquisses un petit sourire. « Bon sang, j’adore te voir dans cet état… » Que tu avoues avant d’enfouir ton visage dans son cou comme pour te cacher, un peu honteuse de cette petite confession.
(c) oxymort
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu sais que Mia prend beaucoup sur elle pour retenir quelques plaintes de douleur. Il est évident que la largeur de ta virilité enfoncée en elle, n'est pas ce qu'il y a de plus agréable pour elle. Tu te doutes que la sensation de ses chairs qui s'écartent de force sur ton passage répété et relativement brutale, n'est pas si plaisante que ça. Tu as pourtant bon espoir qu'au fil des minutes et malgré la force dont tu continues de faire preuve, la sensation s'apaise peu à peu jusqu'à se faire nettement plus supportable. Et que bientôt, elle ne ressentira plus que du plaisir et uniquement ça. Au point de rapidement en redemander, si tout se passe bien. Parce que toi, tu sais déjà que tu ne pourras pas te contenter d'une étreint en guise de retrouvailles. Et que tu ne te contenteras pas non plus d'une étreinte de temps en temps juste comme ça. Il te la faut toute entière. Vite. Fort. Et surtout, encore. Et encore. Tu vas virer accro, pour toi ça ne fait aucun doute. Depuis le temps que t'as envie d'elle. Depuis le temps que tu serres les dents et te retiens de toutes tes forces pour ne pas la brusquer et pour ne pas abîmer votre relation. Tu craignais de ne pas prendre le temps de nouer de vrais sentiments pour elle, si vous aviez passé tout votre temps à coucher ensemble. Tu craignais de ne pas apprendre à la connaître autrement qu'en la sautant à tout va et de toutes les façons possibles. Mais désormais, ces questions ne se posent plus du tout. Vous pouvez vous offrir l'un à l'autre, aussi librement que possible. Et très honnêtement, tu sens que tu ne vas pas pouvoir te passer de son corps de sitôt. Et l'avantage d'être rentré deux jours plus tôt, c'est que vous allez avoir ces deux jours rien que pour vous.
Mia est déjà en train d'oser prendre des initiatives. Quand elle se redresse pour venir coller sa poitrine à ton torse, tu lui offres un petit sourire presque involontaire. T'es heureux et ravi de la voir si à l'aise avec toi. Et si désireuse de toujours plus malgré la douleur occasionnée par ton sexe toujours profondément fiché en elle. Et qui continue d'aller et venir sans lui laisser une seule second de répit, surtout. Elle te souffle encore, chaudement, quelques mots provocateurs au creux de ton oreille. Et toi, ça n'a de cesse que de te faire frissonner toujours plus. Trembler d'extase, même. Vous échangez un baiser profond et passionné à souhait. Quand vous n'échangez pas des regards assombris par l'excitation la plus folle qui soit. Tu lui offres une supplique du bout des lèvres. T'en veux plus encore. Toujours plus. Et elle ne se fait pas prier pour t'offrir ça, sans hésitation aucune. Elle raffermit la prise de ses bras fins autour de toi et entreprend de remuer des hanches pour te permettre de glisser toujours plus fort en elle. Parce qu'elle a beau mettre énormément de sensualité dans ses mouvements, la force que tu y mets continue de faire se heurter furieusement vos deux corps tremblant de plaisir. Tu grondes en sourdine. Tu cognes toujours plus. Tu la baises fort. A faire sauter son corps sur le tien. A faire rebondir et claquer ses jolies fesses contre tes cuisses. Tu plantes tes dents dans son cou, elle caresse tes cheveux avec tendresse en retour. Tu grognes, elle gémit. Tu gémis même en retour quand elle commence à accélérer sur toi. L'effet qu'elle te fait est de plus en plus évident et à aucun moment tu ne tentes de le lui cacher. Au contraire.
Et finalement, elle est la première à craquer. De quoi te surprendre un peu sur le coup. Tu craignais qu'elle ne soit que trop bloquée par la douleur. Le fait qu'elle ne soit pas et sa façon de jouir en criant ton prénom et en basculant sa tête en arrière, achève de te propulser plus loi encore dans l'extase. Ultime salve de pénétrations vigoureuses et tu te déverses en elle. Une fois de plus, tu es brièvement frappé par la prise de conscience. Pas de préservatif. Pas de pilule. Il va vraiment te falloir y repenser en dehors de vos étreintes. Parce qu'il est toujours trop tard, une fois que tu t'es répandu en elle en marquant, mine de rien, ton territoire. T'es tendu dans la jouissance et un grognement s'échappe une ultime fois. Tant bien que mal, tu entreprends de renouer avec la liberté. Assez pour réaliser que ses mains caressent avec tendresse tes cheveux et la peau moite de ton dos. T'es à bout de souffle, t'as le coeur qui bat frénétiquement dans ta cage thoracique et t'es sacrément en sueur pour le coup. Mais t'as cru comprendre que tout ça avait le don d'exciter ta jolie Mia. Elle n'est pas dans un bien meilleur état de son côté. Elle a les cheveux fous et le regard qui brille. Tellement jolie, craquante, adorable et sexy à la fois. T'es ravi quand elle te souffle que toi aussi tu lui as manqué. Ton regard se fait aussi tendre que coquin. Ça je l'ai assez vite compris ... Que tu lui fais remarquer, mine de rien. Faisant évidemment référence à la position dans laquelle tu as eus l'occasion de la trouver. Une vision enchanteresse, si l'on te demande ton avis.
Et tu grondes tout bas à sa confession ultime, avant qu'elle ne fasse disparaître son visage au creux de ton cou. Heureusement, parce que je risque de souvent être comme ça à l'avenir ... Que tu fais remarquer d'une voix chaude et brûlante à la fois. C'est évident. Aussi évident que le fait que vous allez passer le plus clair de votre temps à baiser comme ça. De vrais lapins. Quand tu remues, c'est pour changer de position. Tu bascules sur le lit pour que vous vous retrouviez allongés sur le côté tous les deux. Ton bras logé sous sa nuque. Et ta main libre qui ramène son bassin contre le tien. Tu t'es retiré d'elle mais ce n'est pas une raison pour t'éloigner tout à fait de son bassin. Tes doigts glissent pour attraper sa cuisse et la rabattre sur ta hanche. De sorte à garder vos jambes entremêlées. Et ton torse contre sa poitrine. Maintenant, tes doigts trouvent son visage et offrent à sa peau douce, une caresse tout en délicatesse. Je suis tellement amoureux de toi ... Que tu balances tout bas. Voix à peine audible. Mots lâchés comme ça. Comme s'il s'agissait là d'une évidence pour elle aussi. Comme si tu ne risquais pas de la prendre de court. Alors que tu continues de frôler son visage du bout des doigts et de la dévorer du regard. Pour toi, c'est une évidence. Même s'il t'a fallut te foutre un coup de pied au cul mental, pour trouver le courage de le lui souffler. Ce qui t'a clairement aidé, c'est cet éloignement. Tu le savais que t'étais amoureux d'elle, avant de partir. En lui répétant tous les jours qu'elle te manquait, ces trois derniers jours, tu as eus l'espoir qu'elle le sentirait venir. Que tu finirais par les lui cracher ces mots qui mettent mal à l'aise. Tu n'as ainsi qu'à les souffler avec naturel.
Tu as déjà eu l’occasion de connaitre l’extase, la jouissance, l’orgasme avec Robin, deux fois. Et si déjà tu t’étais fait la remarque que le sexe avec lui était quelque chose d’extraordinaire, de sensationnel, là, c’est au-delà de tout ce que tu aurais pu imaginer. Jamais tu n’aurais pu penser atteindre un tel degré de bonheur, de plaisir. Et pourtant. Quand tu sens l’orgasme arriver, quand tu sens ton corps se tendre, tes membres se mettre à trembler, tu as l’impression de t’envoler, c’est violent, c’est brutal. T’en as la tête qui tourne, le cœur qui s’emballe encore plus. Tu es bouleversée par ce qui t’arrive, tu ne pensais même pas possible. Alors tu t’agrippes à Robin, à cet homme qui a le don de te mettre dans tous tes états. Il te faut quelques secondes pour sortir de ton état de transe, pour calmer ton corps qui tremble légèrement. Et tu n’y penses plus quand tu le vois lui, lui encore en toi, en train de donner des coups de reins toujours aussi vifs. Alors toi tu ne t’arrêtes pas, tu continues d’onduler sur sa longueur, tes doigts qui se font câlins, joueurs avec ses mèches blondes. Tu le regardes intensément alors qu’à son tour il atteint l’orgasme. Il est beau quand il jouit. Il est beau tout le temps de toute façon. Tu pousses un léger soupir parce que ça ne te laisse clairement pas indifférente de le voir comme ça. Et tout de suite tu couvres son visage de tendres caresses. Vous restez enlacés, blottis l’un contre l’autre, lui toujours en toi. Tu ne veux pas te défaire de cette étreinte, tu veux le garder contre toi, dans tes bras. Tu veux pouvoir continuer de le toucher et de le regarder pendant des heures encore et encore. Tu veux pouvoir partager des moments comme celui-ci tous les jours, tout le temps, jusqu’à la fin de ta vie, parce que tu sais que tu resterais avec Robin, pour toujours.
Et tu ne t’es pas encore remise de tes émotions qu’il te souffle déjà des mots doux. Et toi ça te fait craquer. Tu aimes savoir que tu lui as manqué. Tu aimes savoir que tu es importante pour lui. Parce que lui il t’a manqué et qu’il compte plus que tout à présent. Tes doigts ne cessent de remuer contre ses cheveux, sa nuque, tu ne t’arrêtes plus de le toucher alors que tu lui avoues qu’il t’a beaucoup manquée aussi. Il le sait très bien de toute façon, tu n’as pas arrêté de le lui dire par téléphone, dès le premier jour. Parce que c’est comme ça, dès qu’il s’en va, qu’il te quitte, tu ressens un manque. Et il te taquine Robin, et toi tu adores ça. Tes joues deviennent encore plus roses. Parce qu’il te rappelle, pas directement, qu’il t’a trouvée dans une position très délicate. Alors tu baisses les yeux en riant doucement. « Je voulais essayer de compenser, mais c’est bien mieux quand c’est toi qui t’en charges. » Que tu avoues en te mordillant la lèvre d’un air mi-coquin, mi-innocent. Ce n’est pas comparable, quand toi tu te touches de tes gestes maladroits, toi qui ne connais pas encore totalement ton corps, qui ne sais pas quoi ni comment te toucher. Alors que Robin il semble expert en la matière, il n’a juste qu’à t’effleurer pour que ça t’emporte dans un tourbillon de plaisir. Et encore plus quand il se montre aussi excité qu’il ne l’a été quand il t’a surprise. C’est sûrement la principale raison pour laquelle tu ne regrettes pas du tout de t’être laissée aller à quelques caresses intimes. Et tu lui avoues que tu as adoré le voir ainsi, tu ne lui dis pas à quel point ça t’a excitée mais tu le sous-entends et tu penses qu’il s’en est bien rendu compte. Tu caches tout de même ton visage dans son cou, parce que t’es toujours aussi intimidée et gênée quand vous parlez de sexe. Et tu souris dans son cou. « Et bien je risque de souvent avoir très envie que tu me fasses l’amour comme ça… » Que tu avoues en rougissant un peu plus bien que tu n’aies pas à croiser son regard quand tu te confies.
Tu te laisses attirer contre le lit pour te retrouver allongée face à lui, sur le côté, ta tête posée sur son bras. Tu ne le lâches plus du regard, tu observes le moindre trait de son beau visage. Il t’a tellement manquée, c’en est presque douloureux d’y repenser. Mais tu sauras à l’avenir que lorsque vous vous quitterez ce ne sera que pour mieux vous retrouver par la suite. Et si vous vous offrez ce genre de retrouvailles à chaque fois, tu risques d’y prendre vraiment goût. Tu fermes les yeux en soupirant quand tu sens ses doigts sur ton visage et tu te laisses aller contre lui quand il te fait relever la jambe contre sa hanche. Tu penches la tête sur le côté, toujours les yeux fermés, pour appuyer un peu plus sur sa caresse. Tu finis par rouvrir les yeux, parce que tu ne peux plus t’empêcher de le regarder, parce que quand il n’est plus dans ton champ de vision, il te manque. Et il est tellement beau Robin, c’est un plaisir de l’avoir sous les yeux. Tu es en plein extase, tu redescends un peu, mais tu restes toujours sur ton petit nuage. Parce que ce sera ton quotidien à présent. Tu te sentiras bien tout le temps. Tout le temps que tout ira bien entre vous, tu seras la femme la plus heureuse du monde. Et il n’y a aucun risque pour que tout ne se passe pas toujours bien. Parce que tu feras toujours tout pour que vous restiez aussi complices, aussi tendres, taquins l’un envers l’autre, mais aussi physiquement attirés. Parce que maintenant tu n’as plus de doute sur l’effet que tu lui fais. Il aime ta plastique, tu en as la certitude, alors tu sais que tu pourras te permettre quelques petites folies en t’habillant de manière plus féminine. Tu laisseras petit à petit tes tenues d’adolescente pour t’habiller comme une femme, parce que tu voudras toujours entretenir cette flamme, pour que jamais elle ne s’éteigne.
A ton tour de lever ta main pour venir le caresser tendrement, tu touches son épaule du bout des doigts, d’un air rêveur, presque distrait. Tu ne t’attends pas à ce qu’il s’apprête à te dire. Tu penses que vous allez passer un moment en silence avant de vous raconter ce que vous avez fait ces quelques jours passés loin l’un de l’autre et ensuite préparer votre programme pour la soirée et les jours à venir. Une chose est sûre, tu veux rester près de lui, collée à lui. Et quand il prend la parole tu plonges ton regard dans le sien. Ton visage devient tout à coup très sérieux. Ton cœur se met à battre tellement fort après avoir manqué un battement. Tu sens ta gorge se serrer parce que tu es émue. Tu ne t’attendais pas à entendre ces mots un jour de sa part. Tu ne les attendais même plus en fait. Tu n’espérais plus qu’il te les dise, parce que tu pensais que ça n’arriverait jamais. Et parce que tu n’as pas envie de le mettre mal à l’aise et de le bloquer, de lui couper l’envie de te le redire encore, tu évites de réagir de manière disproportionnée. Pourtant il y a une petite voix qui hurle dans ta tête, qui hurle de joie. En guise de réponse, tu remontes ta main dans son cou, le bout de tes doigts caressent sa nuque et tu t’approches un peu plus pour venir l’embrasser tendrement. Tu saisis son visage de tes deux mains et tu prolonges le baiser longuement, un baiser tendre mais bien appuyé. Tu en trembles presque tellement tu es émue. Et quand tu t’écartes pour reprendre ton souffle, tes yeux brillent. Tu frottes le bout de ton nez contre le sien. « Je crois que je suis folle de vous Monsieur Hartwood. » Que tu souffles en souriant légèrement. Tu couvres ses douces lèvres d’une multitude de baisers. « Je. T’aime. Plus. Que. Tout. » Tu déposes un baiser sur sa bouche entre chaque mot. « Et je t’aimerais toujours autant, si ce n’est plus, quand on sera des vieux croutons. » Que tu lances en souriant d’un air amusé. Parce que tu passeras ta vie entière avec lui. Tu n’aimerais aucun autre homme que lui.
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Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
T'es pour le moins surpris, pour ne pas dire carrément choqué, par la violence et la beauté du plaisir que tu viens de connaître. Et qui continue de faire fourmiller tes membres et trembler tes muscles, te semble-t-il. Tu serais bien tenté de dire que tu ne comprends pas du tout pourquoi une telle extase. Mais dans le fond, tu sais très bien ce qu'il en est. Tu piges tout à fait la raison pour laquelle tu es dans cet état même après redescendu de l'orgasme. Le fait est que t'es amoureux fou de Mia et que c'est ça qui change absolument tout. Ça et le fait qu'elle soit elle, tout simplement. Parfaite. Un doux mélange entre être sexy et adorable. Innocente et provocante. Elle est absolument parfaite et plus les jours passent, plus tu es amoureux d'elle. Même sa façon de se donner à toi et de remuer des hanches pour te permettre de glisser toujours plus vite et plus fort en elle, sa perfection te frappe aux yeux. Comment t'as pu attendre autant de temps pour être bien certain de tes sentiments ? C'est évident et ça aurait du te sauter aux yeux beaucoup plus tôt que ça. Et en même temps, qu'importe. Le plus important, c'est bien le fait que vous vous soyez enfin retrouvés et que vous puissiez vous aimer librement. Un peu rageusement aussi, au passage. Parce que tu n'y es pas franchement allé en douceur, entre ses cuisses fermes et fines. T'y es même plutôt allé fort. Très fort. Tu l'as prise sans aucune douceur. Tu l'as baisé salement, comme tu rêvais de le faire et comme elle t'y a autorisé. Tu sais qu'elle a encaissé le tout sans rechigner, malgré une certaine douleur. T'as envie de croire qu'elle n'a pas eus si mal que ça non plus ...
Parce que même si elle est encore partante pour des baises de ce genre à l'avenir, tu ne pourras te lâcher autant si tu crains trop de lui faire mal. Je dois encore t'apprendre à faire ça ... Que tu susurres d'une voix douce et caressante. Un petit sourire toujours bien présent sur les lèvres. On aura bien l'occasion de voir ça ensemble ... Et tu n'as surtout rien du tout contre l'idée de ces quelques jeux sexuels. Parce que même si elle est encore un peu gênée par tout ça pour l'instant, elle ne le sera pas toujours. Elle finira même par prendre plaisir à se trimbaler totalement nue sous ton regard brûlant de désir, justement pour te taquiner. Et toi, t'es plus que partant. Tu as hâte qu'elle recommence à tout faire pour te rendre dingue et te coller la furieuse envie de lui fondre droit dessus pour la prendre vite et fort. Tu souris tout à fait quand elle te fait une petite confession hésitante et clairement gênée. Parce qu'elle l'est encore quand vous parlez de sexe mais que c'est, évidemment, bien loin de te déranger. Même sa façon d'être gênée et timide comme ça, a le don de t'exciter au possible. Il n'y a donc rien chez elle qui te dégoûte ou te coupe l'envie. Aucun tue-l'amour. Alors je risque très souvent de te faire l'amour de cette façon. Ou de te demander de me faire l'amour comme ça ... Parce que tu comptes bien l'entraîner de sorte à ce qu'elle se retrouve à te chevaucher. Même si, même ainsi, tu risques fort de participer très activement à l'étreinte. Mais ça, c'est une autre histoire. Et pour l'heure, tu veux bien te contenter d'apprécier de toute cette tendresse retrouvée entre vous. Et qui a largement eut le temps de te manquer ces derniers jours, sans surprise aucune.
Vous finissez par échouer tranquillement sur le matelas. Allongés sur le flanc, en face à face. De la sorte, vos corps restent relativement soudés l'un à l'autre et tu as sous les yeux, son visage parfait. Tes yeux n'ont plus rien d'orageux désormais. Ils ont retrouvé leur teinte habituelle. Et n'affichent rien d'autre qu'énormément de tendresse. Et une sacré dose d'amour. Ce que Mia ne réalise sans doute pas encore assez. T'as eus beau lui dire et lui répéter à quel point elle te manquait et à quel point tu peux être bien avec elle, tu sais qu'elle a encore quelques doutes concernant tes sentiments. Parce qu'elle s'est mise en tête que tu ne pourrais jamais tomber amoureux. Il faut dire que c'est ce que tu as prétendu toi même. Tu étais persuadé que ça ne t'arriverait jamais. Simplement parce que tu te pensais insensible au possible toi. Parce que tu étais persuadé que la pierre autour de ton coeur, ne s’effriterait jamais. Mais tout ça, c'était évidemment de faire la connaissance de Mia et de lui permettre de s'approcher de toi avec douceur et tendresse. C'était avant de l'entendre te souffler des mots d'amour. Avant de profiter de ses gestes et regards amoureux. Avant elle tu ne croyais plus tellement en l'amour. Maintenant, c'est une toute autre chanson que tu chantes. Pourvu que rien ne puisse jamais plus vous séparer. T'es prêt à te battre pour elle, pur votre couple et pour ce bonheur que vous découvrez et avez franchement bien mérité. Et ça te semble finalement être le bon moment pour enfin lui souffler ces quelques mots qu'elle ne s'attend sans doute pas à entendre de ta part.
Tu les souffles alors qu'elle est là, tout contre toi. Et qu'elle prend un plaisir évident à te caresser avec beaucoup de tendresse, comme toujours. Son expression change à peine. Mais tu sais qu'elle est en train d'assimiler les mots que tu viens de lui souffler. Et sans doute même qu'elle se retient de s'emballer et de hurler un peu bêtement de joie. Elle sait que ce serait tout juste bon à te mettre mal à l'aise et à te couper toute envie de les lui dire de nouveau à l'avenir. Alors tu ne paniques pas sous prétexte qu'elle garde le silence. Toutefois, tu continues de la regarder. Alors qu'enfin elle glisse ses doigts à l'arrière de ton crâne pour attirer ton visage au sien et que vos lèvres se retrouvent enfin. T'as l'impression de ne l'avoir pas embrassé depuis des heures alors qu'il n'est question que d'une poignée de minutes. Tu gémis tout à fait quand elle prend ton visage à deux mains pour t'embrasser plus encore. Baiser que tu lui rends avec la même tendresse et la même langueur. Vos langues se trouvent, se caressent, entament un ballet des plus sensuels qui fait battre ton coeur toujours plus vite et plus fort. Lorsque vos bouches se séparent, tu vois que ses yeux brillent. Et finalement, tu souris avec tendresse. Alors qu'elle te rend tes mots d'amour. Des mots qui ont toujours autant le don de faire s'emballer ton palpitant. Tu crois ? Que tu fais quand même mine de ronchonner alors que dans le fond, peu importe les mots qu'elle met avant ou après ses déclarations. Elle t'aime et ça te suffit largement. Et tu hésites en grogner de bien être et rire de bon coeur quand elle rajoute des mots à sa déclaration, tout en déposant des baisers insistants sur tes lèvres. Vraiment ? Même quand ce corps commencera à perdre de son tonus ? Que tu fais mine de l'interroger en attrapant l'une de ses mains pour la lui faire glisser sur ton torse. Même quand j'aurais les cheveux tout blancs ? Parce qu'en tant que blond, je n'aurais pas la chance de les avoir poivre et sel. Tu pourrais citer bien des choses beaucoup plus effrayantes et plus sombres. Parce que tu ne sais pas si tu ne vas pas te faire buter bien avant. Ou si tu ne vas pas crever d'un cancer des poumons à l'âge de cinquante ans à peine. Tu fais l'effort de ne pas te montrer trop sombre et trop pessimiste. Elle est tellement innocente et douce ta Mia ... On s’achètera une maison planquée dans une forêt et on y vivra ensemble nos derniers jours. Certainement qu'on baisera comme des fous jusqu'à la fin.
Tu es toujours un peu gênée lorsque vous parlez de sexe, tu finiras sûrement par te sentir un peu plus ç l’aise quand vous aurez fait l’amour ensemble plusieurs fois. Mais t’es surtout très gênée de parler de ta petite séance de caresses intimes. Et Robin ne se gêne pas pour te taquiner un peu en te rappelant qu’il faut qu’il t’apprenne à faire ça. Mais t’as envie de jouer, peut-être parce que t’es encore sous l’effet de ton orgasme, que t’étais encore palpitante et un peu excitée. « Moi je voudrais surtout que tu m’apprennes à te faire du bien à toi.. » Parce que tu peux clairement te passer de te procurer toi-même du bien, tu préfères largement que ce soit lui qui s’en charge. Sauf à la rigueur s’il doit s’absenter pendant assez longtemps. Tu espères que ça n’arrivera pas trop souvent, mais tu sais qu’avec son travail ce sera inévitable. Tu ne sais pas combien de temps tu pourras tenir sans sexe une fois que tu seras bien habituée à t’adonner à ce genre de plaisirs charnels. Et vu la tournure que prend votre conversation, il est fort probable que vous fassiez l’amour très souvent, tout le temps même. Robin t’avait prévenue, il t’a bien dit que dès lors que vous referiez l’amour, vous n’arrêteriez plus. Et ce n’est clairement pas pour te déplaire, parce que si c’est aussi bon, aussi merveilleux que ce que tu viens de vivre là, si c’est comme ça à chaque fois, tu es prête à remettre le couvert très rapidement. Tu te mordilles la lèvre quand vous parlez de vos prochains ébats, et tu trépignes déjà presque, tu sais que les prochaines fois seront au moins aussi fantastiques que celle que vous venez de terminer. Tu sais que tu n’as pas fini de prendre ton pied avec lui. Et toi t’as toujours envie d’en découvrir plus, d’en apprendre plus. Et rien que d’en parler là, alors que vous venez tout juste de terminer, que vous êtes encore en sueur et que vous êtes essoufflés, tu as déjà hâte de le revoir dans cet état-là, de revoir cette teinte orageuse dans son regard. Mais tu es quand même toujours très soucieuse de bien faire, de faire ce qu’il faut. « Ça t’a plu ? Que je vienne contre toi ? Que je change de position ? » Que tu demandes d’une petite voix. Parce que si ce n’est pas le cas, tu veux qu’il te le dise, et la prochaine fois tu agiras différemment.
Et parce que vous vous calmez, que vous reprenez petit à petit votre souffle, allongés l’un contre l’autre, ton corps contre le sien, vos propos deviennent plus tendres, tout comme vos caresses. Tu ne peux cesser de le regarder, de l’admirer. Et encore moins quand il t’avoue être amoureux de toi. Tu ne t’attendais pas à une telle déclaration. Et c’est la plus belle chose que quelqu’un t’ait jamais dite. Cette déclaration elle n’a rien à envier de celles des plus grands films romantiques. A présent, c’est tout juste s’ils te font rêver, parce que toi, ce que tu vis avec Robin c’est bien plus beau. Et c’est réel. Tu vis un véritable conte de fée. Tu ne savais pas comment tu pouvais être encore plus heureuse. Maintenant tu le sais. Robin t’aime. Ce même Robin qui t’a dit il y a quelques semaines que jamais il ne serait capable d’aimer qui que ce soit. Pas même toi. Ce même Robin qui a payé ton père pour pouvoir t’épouser, juste parce que tu étais calme et douce, juste parce que tu correspondais à l’image qu’il se faisait de la femme qui lui fallait. Et parce que tu sais aussi à quel point c’est difficile pour lui de parler de ses sentiments, que ces quelques mots te touchent encore plus. Mais tu retiens ta joie, tu évites de l’exprimer totalement comme tu serais tentée de le faire. Tu as envie de te jeter à son cou, de le couvrir entièrement de baisers et de lui répéter encore et encore à quel point tu l’aimes et à quel point tu es heureuse que ça soit réciproque. Mais tu ne fais rien de tout ça, parce que tu n’as pas envie de le mettre mal à l’aise. Tu veux lui laisser le temps, peut-être qu’un jour il sera plus à l’aise avec ça et il t’en parlera de manière plus ouverte et plus naturelle. Mais au fond, tu t’en fiches. Tu sais qu’il t’aime et c’est tout ce qui t’importe. Tu préfères largement qu’il te prouve son amour avec des gestes tendres, des petites attentions ou des étreintes enivrantes, plutôt qu’avec de simples mots. Même si tu sais qu’à chaque fois qu’il les prononcera, ton cœur se mettra à battre la chamade.
Alors tu te contentes de caresses, de baisers tendres, de regards amoureux. Tu te laisses totalement aller contre lui et tu viens retrouver ses lèvres qui t’ont tant manquée. Tu ne vas plus pouvoir le lâcher, tu le sais. Il va falloir qu’il s’y fasse, tu vas devenir une vraie sangsue. Parce que tu te sens vraiment bien que quand tu es près de lui. Et là, tu ne t’es jamais sentie aussi bien que maintenant. Tu ne sais pas si c’est dû à vos retrouvailles, ou à votre partie de jambes en l’air totalement folle, ou encore au fait qu’il t’ait avoué qu’il t’aimait, ou tout simplement un mélange de tout ça. Mais tu n’as jamais été aussi heureuse. Et tu voudrais que ce moment ne se termine jamais. T’es émue et ça se voit, tes yeux brillent, pétillent. Et tu lui souffles tout un tas de mots doux. Et tu aimes encore plus quand il se montre taquin et joueur et qu’il entre dans ton jeu. Vous êtes faits l’un pour l’autre, c’est une évidence. Tu fais une petite moue alors que tu réfléchis. « Hm, tu as raison, je ne crois pas, j’en suis sûre. Le simple fait de penser à toi ça me rend folle. » Parce que dès que tes pensées divaguent et dès que tu penses à lui –c’est-à-dire quasiment toute le temps- tu sens ton cœur qui s’emballe, ton pouls qui s’accélère. Tu n’as encore jamais ressenti ça pour personne. Et tu sais, tu en es sûre, on ne peut ressentir ça que pour une seule personne. Alors après avoir échangé un baiser des plus passionnés et tendres, après que vos langues se soient entrainées dans une danse langoureuse et sensuelle, tu ne cesses de le caresser et de le regarder. Et tu continues de lui exprimer ton amour. Ton regard se pose sur ta main qu’il saisit et qu’il fait glisser sur son torse, son torse parfait. Tu pousses même un petit soupir rêveur comme à chaque fois que tu le regardes avec un peu d’insistance. Comme si tu le découvrais à chaque fois. « Oui, parce que ce corps il sera toujours parfait à mes yeux. » Que tu souffles sans aucune hésitation. Parce que t’en as la certitude, Robin sera toujours merveilleux à tes yeux, toujours. Tu plonges tes mains dans sa tignasse blonde et tu souris encore plus. «Bien sûr. Je suis sûre que ça t’ira à merveilles. » Il peut t’interroger sur tous les détails qui pourraient te rebuter un jour ou l’autre, tu auras toujours une réponse à lui donner. Tu ris doucement quand il parle d’une maison et surtout quand il précise que votre vie sexuelle sera toujours très active. Tu ne peux que hocher la tête. « Oh oui ! On ne s’arrêtera jamais. Et c’est peut-être ce qui aura notre peau. » Tu souffles toujours avec ce sourire amusé aux lèvres. Ça te fait du bien de parler de l’avenir avec lui, de voir que vous êtes sur la même longueur d’ondes, que vous vous voyez tous les deux vieillir ensemble. « D’ailleurs, on va tellement pas s’arrêter qu’on aura une ribambelle d’enfants, on pourra même faire une équipe de foot avec je suis sûre. » Que tu rajoutes, toujours sur le ton de la plaisanterie, même si tu sais que tu auras des enfants avec lui, et tu es même sûre qu’il ferait un père formidable. Mais c’est encore beaucoup trop tôt pour l’envisager. Tu te blottis contre lui, parfaitement installée dans ses bras, ta tête posée contre son torse. « Ton voyage s’est bien passé ? »
(c) oxymort
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu sais qu'elle est encore relativement mal à l'aise quand il est question de sexe. Mais c'est une raison supplémentaire de vouloir en parler justement. Un peu pour la faire rougir et l'entendre balbutier ou même carrément tenter de changer de sujet. Parce que tu sais que tout ça c'est temporaire et qu'arrivera un jour où elle sera nettement plus à l'aise pour en parler. Et à toi, ça te convient. Tu sais que tu aimeras sans aucun mal, chaque nouvelle étape et nouvelle avancée dans votre relation. Même quand elle cessera de rougir. Parce qu'avec un peu de chance, ça voudra dire qu'elle ose beaucoup plus de choses. Et que ce sera donc une énième nouveauté pour toi, pour elle, pour vous. Bref, tout sera incroyable à vivre, ça ne fait aucun doute. Et tu es pourtant tout à fait novice dans les histoires d'amour. Tu découvres avec elle et tu ne pouvais pas rêver mieux ... Elle est la partenaire rêvée, c'est évident. Et plus encore quand elle te fait part de ses envies. Elle espère surtout que tu lui apprendras à te faire du bien. Cette femme n'est-elle pas incroyable ? Pour sûr ! Et tu ne peux d'ailleurs retenir un bref grognement ravi à sa remarque. Avec tes mains ? Que tu demandes tout à fait innocemment. Elle aura sans doute besoin d'un laps de temps supplémentaire pour éprouver l'envie de glisser sa bouche sur cette partie là de ton corps. T'en es tout à fait conscient et donc, pas particulièrement frustré. Tu peux attendre et faire preuve d'autant de patience que possible. La montée en puissance de vos étreintes va être aussi incroyable et délicieuse que l'arrivée finale. Cette époque future quand vous serez passés experts dans l'art de vous faire du bien, sans réelle limite.
A la question qu'elle finit par te poser, tu affiches un petit sourire mi-tendre mi-coquin et tu laisses échapper un très léger grognement. Tu hoches la tête de haut en bas dans un premier temps. Avant de répondre plus clairement, par des mots. T'as pas idée à quel point ... Que tu réponds d'abord. Tu lui voles un baiser claquant avant de reprendre. J'aime ce que tu peux entreprendre et j'aime que tu n'hésites pas vraiment. Que tu réponds maintenant d'une voix chaude. T'as de sacrés images en tête, que tu n'es pas encore prêt à lui partager. Ou plutôt, elle n'est pas prête à les entendre. Tu m'excites quand tu oses. Quand t'es gênéee et que tu hésites. Quand tu n'oses pas du tout même. Tu me plais dans toutes les situations ... Et ça c'était bon ... Vraiment bon ... Que tu n'hésites d'ailleurs pas à lui souffler d'une voix chaude. Insistant, joueur, provocateur ... Peu à peu, vous retrouvez tout votre calme et toute votre tendresse. Vous vous offrez des gestes qui se veulent amoureux au possible. Caresses délicates et sourires tendres. Jusqu'à ce que tu ne sois suffisamment à l'aise pour lui souffler ces quelques mots d'amour qui, tu n'en doutes pas, lui feront le plus grand bien et le plus grand plaisir. Tu ne sais pas si au fond d'elle elle ne se doutait pas déjà du fait que tu es amoureux d'elle. Mais tu sais que t'entendre le dire de façon claire, suffira au moins à la surprendre. Après toutes ces fois où tu as insisté sur le fait que tu ne pourrais jamais tomber amoureux, il y a de quoi être surpris par le fait que tu lui chantes une toute autre chanson aujourd'hui.
Si tu étais tendu à l'idée de lui souffler ces quelques mots, sa réaction et ses propres paroles parviennent sans trop de mal à te détendre tout à fait. Tu souris de toutes tes dents, tu frissonnes d'aises et tu te montres taquin. De plus en plus avec elle. Dans le fond, tu manquais peut-être juste d'aise et de sentiments pour être assez à l'aise pour des taquineries et plaisanteries en tous genres. Tu n'en sais trop rien. Ta seule certitude, c'est que tu es fou d'elle et que ce n'est vraiment que le début de votre relation. Tu ne parviens même pas à éprouver la moindre peur à l'idée de t'attacher de plus en plus au fil du temps. Parce que t'es heureux de tout ça et que tu ne demandes rien de mieux. Rien de moins non plus. Tu te contentes quand même d'un nouveau sourire quand elle affirme que le simple fait de penser à toi, suffit à la rendre folle. T'es heureux d'entendre ça. Parce que tu n'es pas loin d'être dans le même état. Ou tu l'es déjà tout à fait, tu ne saurais trop le dire. Tout ce que tu sais sans l'ombre d'un doute, c'est justement le fait que tu sois totalement et éperdument amoureux d'elle. Si ce n'était pas le cas, la peur de la perdre qui t'a frappé il y a quelques jours à peine, ne t'aurait pas fait autant de mal. Et ne t'aurait pas tant fait peur non plus. Est-ce que tu saurais encore vivre sans elle ? Rien n'est moins sûr ... Alors non, ça ne te fait pas peur du tout de penser au fait que vous pourriez rester ensemble pour le restant de vos jours. Et dans le meilleur des cas, des jours de vie il vous en reste encore pas mal. A elle plus qu'à toi d'ailleurs. Mais tu ne tiens pas à tenir un discours trop déprimant alors tu gardes pour toi ce genre de remarque.
Tu préfères plaisanter sur tout ça. Non sans faire glisser sa main sur ton torse. De quoi lui arracher un soupir. Tu l'as entendu ! Tu les entends tous. Quand elle ne peut les retenir et qu'elle n'essaie même pas vraiment. Et toi ça te fait sourire. Encore. Toujours. Sourire qui s'accentue au fil de ses mots. De ses confessions. Hm ... Les mots d'une femme amoureuse. Que tu fais doucement remarquer. Il est toujours plus simple pour toi de parler de ses sentiments à elle, que des tiens. Tu viens de les lui dire, tu n'es pas encore assez à l'aise pour les lui répéter. Pas tout de suite. Mais tu sais que ça viendra. De façon tout aussi naturelle, normalement. Tu ricanes quand elle confirme que vous pourriez bien mourir en vous faisant l'amour aussi passionnément que vous venez tout juste de le faire. Aucun doute que vous allez passer les trente ou quarante prochaines années à baiser comme des lapins. Fauchés en plein orgasme. Ce serait digne de nous ! Et c'est presque un sourire de fierté pure que tu affiches en soufflant ces quelques mots. Fier de penser à cet avenir brûlant au possible, teinté d'un amour presque indécent. J'ai de drôles d'images en tête quand tu parles d'une ribambelle d'enfants. Relativement amusantes dans le genre. Très "cartoon". Mais tu oses espérer que vous n'aurez pas tant d'enfants que ça non plus. Deux ou trois te suffiraient. Quatre peut-être. Dans les faits tu n'en sais rien. Vous venez tous les deux de familles nombreuses. Tu ne sais pas si de son côté ça lui donne l'envie de reproduire le même schéma ou non. Et de toute façon, vous avez largement le temps pour y penser. Mia est très jeune encore. Et tu as bien l'intention de profiter de votre couple rien qu'à deux, pendant plusieurs années. Alors qu'au départ, tu ne voulais finalement qu'une présence douce chez toi pour t'offrir quelques enfants. Il est maintenant question d'amour et de bonheur ... Tu la serres un peu plus fort encore tout contre toi, quand elle vient se blottir contre ton torse. Avec ta main libre logée dans ses cheveux qui caresse avec beaucoup de tendresse. Oui. J'ai énormément bossé et très peu dormis pour rentrer le plus tôt possible. Que tu confies avec douceur. J'espère pouvoir t'emmener avec moi de temps en temps. Histoire de la garder loin de toi, le moins possible ...
Robin est parfaitement conscient de ta gêne lorsque vous parlez de sexe. Mais tu le sais aussi très taquin avec toi. Alors ça ne t’étonne pas vraiment qu’il fasse durer cette conversation. Et même si toi t’es toute intimidée, que tes joues sont toute roses, tu ne t’en plains pas. Parce que tu es toujours très désireuse d’en découvrir plus, d’en apprendre plus, avec lui, pour lui, pour vous. Et aussi parce que tu sais que le sexe va devenir très important dans votre couple. Même si sans vous êtes quand même très heureux. Mais maintenant que vous vous êtes laissés aller de la sorte, vous n’allez pas vous priver de remettre ça. Encore. Encore. Et encore. Alors il faut bien que vous en parliez. De plus tu lui as fait la promesse que tu serais transparente avec lui. Plus de cachotteries, plus de non-dit. Alors tu lui fais part de ton désir d’apprendre à la satisfaire. Et il joue les innocents Robin. Et tu adores ça toi. Parce que tu le trouves incroyablement adorable quand il prend ce petit air là. Mais tu rougis encore un peu plus. Parce que tu ne pensais pas vraiment à ça, du moins tu ne pensais pas qu’à ça. Une fois tu l’as caressé jusqu’à la jouissance, et tu as adoré ça. Mais tu sais aussi que les hommes sont friands d’un tout autre genre de caresse et même si tu ne sens pas encore vraiment prête à franchir cd cap tu y penses. Parce que tu sais qu’un jour tu voudras essayer. Et peut-être que tu aimeras. Même si pour l’instant ça te paraît lointain parce que tu ne sais absolument pas comment t’y prendre. Mais tu souffles d’une voix à peine audible, le visage enfoui dans son cou pour qu’il ne voie pas ton regard. « Oui, mais pas que… Je me disais que peut-être, que tu aimerais que je te fasse du bien avec… ma bouche aussi… » Tu sens que t’es joues s’enflamment. Tu n’en reviens pas de parler de fellation là comme ça, alors que tu sais à peine ce que c’est, que tu ne sais absolument pas comment tu seras censée procéder. Mais tu fais confiance à Robin pour te l’apprendre. Il te dira quoi faire et comment le faire.
Et justement, parce que t’es soucieuse de toujours bien faire tu lui demandes s’il a apprécié ton initiative. Parce que parfois tu n’y réfléchis pas vraiment. Tu agis, comme si tu suivais simplement ce que ton corps te dicte de faire. Et parce que tu commences à suivre ton instinct aussi. Il viendra certainement un jour où tu te sentiras assez à l’aise avec lui pour te permettre plein de choses. Des choses un peu plus folles que juste changer de position. Et tu as un peu hâte que ce moment arrive. Tu as hâte de savoir ce qu’il faut faire pour lui faire du bien et même lui réserver quelques petites surprises. Mais Robin semble apprécier toutes tes réactions, qu’elles soient timides, hésitantes ou plus assurées. Tu souris, rassurée de savoir que tu peux te permettre un peu de tout sans vraiment prendre le risque de le décevoir. Ça te donne un peu plus de courage, de confiance. Parce que tu hésiteras moins dorénavant. Tu réfléchiras moins avant d’agir à partir de maintenant. Tu te montreras plus spontanée. Tu relèves alors ton visage pour enfin croiser son regard, parce que tu sens que tu n’as plus à avoir honte ou à être gênée. Et ça te touche énormément tout ce qu’il te dit. Toi qui, il y a peu encore, craignait de ne pas assez l’attirer, de ne pas lui donner assez envie de toi, te voilà bien rassurée d’apprendre que tu as ce don de l’exciter de bien des manières. « Ça veut dire que peu importe ce que je fais, tu auras toujours envie de me faire l’amour ? » C’est à ton tour de poser cette petite question avec beaucoup d’innocence, comme tu sais si bien le faire. Tu souris toujours un peu plus. Et tu caresses son beau visage avant de déposer un doux baiser furtif sur ses lèvres. « Ça tombe bien parce qu'il me suffit de poser les yeux sur toi pour avoir envie de toi… » Que tu avoues très sérieusement avec un petit regard malicieux. Parce que dès qu’il entre dans ton champ de vision, tu craques, tu as envie de le toucher, de le caresser, de l’embrasser, de lui offrir des gestes tendres amoureux, doux. Mais aussi plus que ça. A partir de maintenant tu sais que souvent, quand tu le regarderas tu penseras au moment que vous venez de partager. A cette étreinte brûlante et animale. Tu sais que tu vas devenir de plus en plus friande et demandeuse de ce genre d’étreinte.
Et même de tout ce qui s’en suit. Parce que si le sexe en lui-même est parfait, le moment que vous partagez juste après l’est tout autant. Ces moments où vous vous laissez aller dans les bras l’un de l'autre, où vous vous abandonnez à des caresses et à des mots tendres, des regards et des sourires complices. C’est dans des moments comme ça que tu réalises à quel point tu es amoureuse de lui. Que tes sentiments pour lui sont très forts, puissants, et que jamais rien ni personne ne pourrait ne serait-ce faire en sorte que tu l’aimes un peu moins. Tu sais que les sentiments que tu ressens pour lui sont plus forts que tout. Mais t’ignorais par contre qu’ils étaient tout à fait réciproques. Enfin, tu savais qu’il tenait à toi, qu’il s’était attaché à toi. Mais tu ignorais qu’il était amoureux de toi. Et là tu sens une joie inonder ton cœur, tu pensais que tu ne pourrais pas être plus heureuse, la preuve que si. Et toi tu t’emballes un peu en parlant de votre avenir, parce que ta vie, tu ne l’imagines qu’avec lui. Tu ne te dis pas une seule seconde que ça pourrait un peu l’effrayer que tu parles déjà d’enfants, parce que, à la base, c’est bien lui qui t’en a parlé en premier, et ce dès ton premier jour ici. Mais les choses ont bien changé, évolué, vous n’aurez pas d’enfants parce qu’il le faut mais parce que vous en voulez, et ce n’est pas encore à l’ordre du jour. Parce que tu ne te vois pas encore fonder une famille et parce que tu veux surtout profiter de Robin, rien que vous deux. Tu veux l’avoir que pour toi encore un petit moment. Tu lèves les yeux au ciel alors que tu fais courir tes doigts sur son torse. « Ah mais je l’assume totalement. » Tu assumes d’être amoureuse et tu assumes également de ne pas être objective lorsqu’il s’agit de Robin. Pour toi tu sais qu’il sera toujours l’homme le plus beau du monde. Et tu ris alors que vous évoquez même une potentielle mort due à votre trop grand appétit sexuel. C’est clair que vous ne ferez que ça, tout le temps, parce que tu sais que dès que vous allez avoir envie l’un de l’autre tout le temps, quand tu le verras sortir de la salle de sport, ou quand toi tu vas jardiner ou porter des vêtements un peu plus courts… Et ça, ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres. « Sur notre épitaphe on aura le sexe a eu leur peau .» Que tu réponds en lâchant un rire franc et joyeux.
« Je te rassure c’est une façon de parler, on en aura pas une ribambelle. » Parce que tu sais ce que ça peut impliquer d’avoir une famille nombreuse, tu préfères te contenter de deux ou trois enfants. Mais pour ça, vous aurez largement le temps d’en parler ensemble, quand le moment sera venu. Pour le moment tu t’intéresses un peu à ce qu’il a fait pendant son absence, à son travail, parce qu’il n’en parle pas beaucoup et que tu aimerais en savoir davantage, pour te sentir encore plus proche de lui, plus impliquée dans sa vie. Même si tu sais que son travail peut avoir une facette un peu plus sombre. Et sa réponse te touche énormément, tu esquisses d’ailleurs un doux sourire alors que tu te rapproches un peu plus pour déposer un doux baiser sur ses lèvres. « Tu l'as fait pour être plus vite avec moi ? » Oui ça te touche beaucoup, parce que tu ne pensais pas que tu pourrais autant lui manquer, au point qu’il travaille beaucoup plus pour pouvoir te revoir plus tôt. Mais tu fais une petite moue de désapprobation, les sourcils légèrement froncés. « Mais tu dois être épuisé ! » Tu ne veux pas qu’il fasse passer sa santé après toi. Mais comment tu pourrais lui en vouloir ? Parce qu’il t’a tellement manqué… Et l’idée de venir avec lui de temps en temps t’emballe beaucoup, alors tu hoches vivement la tête. « Oh oui j’aimerais beaucoup venir avec toi. Je t’attendrais sagement à l’hôtel et je te ferais un massage tous les soirs. » Que tu souffles d’une voix presque rêveuse. « Alors, pour ce soir, je veux que tu me laisses m’occuper de tout, on a qu’à commander quelque chose à manger si tu as trop peur que je mette le feu à la maison. Et je pourrais enfin t’offrir ce massage que je t’ai promis… » Que tu proposes tout en déposant des doux baisers sur ses lèvres.
(c) oxymort
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu la taquines énormément dès qu'il est question de sexe. Parce que tu as quand même bon espoir que ça finira par l'aider à se détendre un peu quand il sera question de ça à l'avenir. Tu veux dédramatiser les choses parce que le sexe fait partie intégrante d'une relation de couple. Et que dans votre cas, ça va sans doute même prendre une place très importante. Tu as bon espoir tout du moins. Parce que tu es beaucoup trop attiré et excité par elle, pour pouvoir te contenter d'une étreinte à la semaine. Aucun doute que tu vas être très demandeur. Que tu vas avoir très souvent envie d'elle et que tu résisteras très difficilement à la tentation. Et elle ne t'aide vraiment pas quand elle te fait part, d'une façon ou d'une autre, de son envie de te faire plaisir. C'est le cas quand elle te souffle qu'elle aimerait apprendre à te faire du bien. Les images que tu as alors en tête sont beaucoup trop excitantes pour ton propre bien. Et elle ne t'aide pas tellement quand elle te confirme qu'elle espère le faire avec sa bouche. Oh bon sang ... Tu feras mine de tomber à la renverse si tu n'avais pas tant envie de garder cette position aussi longtemps que possible. Faudra me prévenir vingt-quatre heures à l'avance quand tu voudras t'y essayer. Je ne suis pas certain de pouvoir y survivre sinon ... Encore une fois, tu taquines. Mais mine de rien, tu en profites ainsi pour lui confirmer que tu adorerais -évidemment- ça. A vrai dire, toutes les initiatives qui seront les siennes, auront le don de te plaire vraiment très fort. C'est aussi là ce que tu tentes de lui faire remarquer en lui répondant le plus franchement du monde.
Oui, son initiative au cours de votre étreinte t'a réellement plu. Et oui, tu adorerais ça qu'elle se permette ce genre de chose plus souvent encore. Autant qu'elle le voudra. Tout le temps même. De toute façon, tout ce qu'elle voudra, tu le voudras aussi. D'autant plus que tu doutes qu'elle finisse par avoir de folles et étranges envies Mia. Normalement, tout ce qu'elle apprendra viendra directement de toi. Ce qui t'arrange pas mal. Mine de rien, tu pourras ainsi la façonner pour qu'elle soit parfaite pour toi. Parce qu'en ce qui te concerne, tu continues d'apprendre par coeur son corps et toutes ses petites faiblesses pour en user et en abuser sur elle. Histoire de lui faire toujours le plus de bien possible. Peu importe ce que tu feras, j'aurais toujours envie de toi ... Même ta petite moue boudeuse me colle une de ces envies ... Que tu grondes, presque menaçant dans le ton que tu emploies pour lui souffler ces quelques mots. C'est que quand elle fait cette fameuse petite moue, tu as une furieuse envie de coller ta bouche à la sienne pour la lui dévorer, purement et simplement. Et très clairement, si tu lui dévores la bouche, tu as envie de la dévorer, elle, toute entière. Et il n'est pas question que de ta langue ou tes lèvres sur ses courbes. Il est question de ton corps sur le sien. De ton sexe dans le sien. De vos corps soudés à la perfection et de vos membres entremêlés. Rien qu'à y penser, tu finis d'ailleurs par laisser entendre un bref grognement. Accentué par sa confession. Surtout quand je sors, en sueur, de la salle de sport ... Tu n'as pas oublié. Tu ne risques absolument pas d'oublier.
C'est finalement de façon tout à fait naturelle que vous en arrivez à parler de votre avenir ensemble. Parce que tu as finis par lui confier tes sentiments et qu'en retour, elle ne peut que penser à ces prochaines années au cours desquelles vous allez forcément être ensemble. Heureux et amoureux comme au premier jour. Et surtout, à passer énormément de temps à coucher ensemble tous les deux. Tu ne demandes rien de mieux en ce qui te concerne. Tu dirais même que tu as hâte de vire plusieurs années avec elle pour pouvoir regarder tout ça et te dire que ouais, vous vous êtes merveilleusement bien trouvés tous les deux. Sa nouvelle remarque t'arrache un rire court mais sincère. Le genre que tu retiens de moins en moins. Parce qu'elle a vraiment le don de t'amuser. Voire, de vraiment te faire rire. Et que tu ne t'en plains pour ainsi dire pas du tout. Tout au contraire. Je valide. Que tu réponds en hochant positivement la tête. Et avant de venir déposer un baiser sur ses lèvres quand elle précise que vous n'aurez pas une ribambelle d'enfants contrairement à ce qu'elle vient de dire sur le ton de la plaisanterie. Déjà on va attendre que tu sois une adulte. Encore une fois et pour ne pas changer, tu ne fais que la provoquer. Parce que tu adores ça la voir réagir au quart de tour. Jamais en s'agaçant ou en s'énervant. Toujours en souriant, en riant ou, dans le pire des cas, en affichant sa petite moue boudeuse. La fameuse. Celle qui te rend de plus en plus gaga. Tu sais que t'as de plus en plus l'air d'un idiot quand t'es avec elle. Mais tu ne contrôles pas grand chose. C'est peut-être à ça que ressemble un homme amoureux en fin de compte ...
Un homme amoureux qui a bossé jour et nuit pour lui revenir deux jours plus tôt. Quand elle te demande confirmation de la chose d'ailleurs, tu ne peux que hocher positivement la tête. Presque gêné maintenant que t'y penses. Tu te comportes réellement en homme amoureux. Et même si tu l'assumes tout à fait parce que tu viens quand même de lui faire part de tes sentiments, en même temps tu n'es pas habitué. Dans le fond, tu es en train de te découvrir dans le même temps que tu la découvres elle et que tu découvres le plaisir que ça peut être d'être vraiment en couple et heureux avec quelqu'un. Mine de rien, ça fait un lot de nouveautés pour toi aussi. Même si Mia ne l'a pas toujours saisit ça. Tu te contentes d'un sourire presque innocent quand elle mentionne ta fatigue. A vrai dire, tu ne l'es pas plus que lorsque vous étiez en guerre froide et que tu n'étais presque jamais chez toi pour l'éviter. Tu préfères enchaîner et parler des prochaines fois. Quand elle sera libre et pourra t'accompagner. Hm t'auras le droit de te promener tu sais ... J'espère seulement que tu accepteras la présence d'un chauffeur, voire d'un membre de mon équipe. Parce que bientôt, il faudra que tu renforces la sécurité autour d'elle. Tes ennemis de l'ombre finiront bien par entendre parler d'elle et il est hors de question qu'il lui arrive le moindre malheur. Tu gémis tout en douceur quand elle propose un programme pour le reste de la soirée, tout en déposant quelques tendres baisers sur tes lèvres. Tu ne réponds pas tout de suite. D'abord, tu glisses un bras sous sa cuisse logée sur toi, pour la faire remonter davantage et pour aller loger ta large main sur sa fesse. Alors dans l'ordre je propose qu'on passe commande. En attendant le livreur je te fais l'amour. Ensuite on mange dans le jardin devant le coucher du soleil. On fait l'amour sur le canapé du salon de jardin. Ensuite on rentre, on prend un bain ensemble. On fait encore une fois l'amour. Ensuite tu pourras m'offrir ce fameux massage. On fera une dernière fois l'amour pour aujourd'hui et on pourra dormir jusqu'à demain matin. Sauf si au cours de la nuit j'ai encore envie de te faire l'amour ... Petit sourire coquin à l'appui pour illustrer tes dires ...
Sa réaction ne se fait pas attendre quand tu lui souffles l’idée d’un jour user de ta bouche pour lui faire plaisir. Ton visage est toujours caché dans son cou et tu ris doucement en l’entendant. Et rien qu’en voyant à quel point cette idée semble le séduire, tu as encore plus envie de t’y essayer. Même si tu veux attendre encore un peu, parce que tu ne te sens pas du tout prête pour ça. Parce que tu veux prendre encore le temps de le découvrir un peu plus et de te découvrir également. Parce que tout ça c’est tout nouveau pour toi, tu commences à peine à découvrir les plaisirs charnels, à découvrir ce qui plait à ton corps, ce qui le fait réagir. Et tu sais que tu as encore beaucoup de choses à découvrir, presque tout en fait. Tu déposes un doux baiser dans le creux de son cou. « Promis, je te préviendrai un peu en avance… » Petit mensonge de ta part, parce que tu sais pertinemment que tu voudras lui faire une petite surprise. Juste pour le plaisir de le voir réagir très vivement quand tu te décideras, quand tu te sentiras prête. Et tu as vraiment hâte de pouvoir lui donner ce plaisir. En attendant tu te contenteras de ce que tu fais déjà, et de petites autres initiatives, ce qui semble beaucoup lui plaire. Et toi tu es ravie d’apprendre que tu peux te permettre à peu près tout, que quoi que tu fasses, il aura envie de toi. Tu n’as plus le moindre doute concernant tes capacités à lui donner envie de toi, tu n’as plus aucun doute sur sa fidélité. En fait tu n’as plus le moindre doute, tu es parfaitement sereine dans votre couple et ça te fait un bien fou. Et le voilà qui te taquine une nouvelle fois en te rappelant la fois où tu as complètement perdu la tête quand tu l’as surpris en sueur, torse nu. Tu ris doucement et tu hoches vivement la tête. . « Oh oui j’ai vraiment craqué quand je t’ai vu comme ça ! En même temps j’étais pas prête… Je ne savais même pas que tu étais à la maison. La prochaine fois préviens-moi, envoie-moi un texto pour me dire que tu te trimballes presque nu et incroyablement sexy dans la maison. »
Parce que ça va certainement se reproduire, à de nombreuses reprises. Et le connaissant, il risque probablement de jouer là-dessus pour te provoquer un peu et te faire craquer. D’ailleurs tu espères bien qu’il le fasse, parce que tu te souviens ce que tu avais ressenti cette fois-là et c’était complètement dingue. Alors oui tu n'as aucun doute, vous allez être très demandeurs l’un avec l’autre, toujours à vous tourner autour, à vous chercher. Et cette idée te plait beaucoup. Tu en viens même à plaisanter avec lui sur votre avenir, et sur votre future descendance. Mais alors que tu plaisantes et que tu ris franchement, voilà que Robin te taquine une nouvelle fois. Cette fois, tu prends un air faussement blessé et tu fais ta moue boudeuse. Les sourcils froncés, tu grognes d’un air boudeur. . « J’suis une adulte d’abord… » Que tu grognes. Et si tu n’étais pas si ben collée à lui, tu croiserais certainement les bras sur ta poitrine pour accentuer encore plus ton air boudeur. Mais tu ne peux pas, parce que tes bras sont enroulés autour de son cou et que tu ne comptes te défaire de cette étreinte, parce que tu te sens parfaitement bien là contre lui, à sentir la chaleur que dégage son corps nu. . « Et puis si je suis pas une adulte, je te rappelle que ça fait de toi un pédophile… » Que tu grognes toujours plus. Bien sûr, tu ne le prends pas mal du tout, tu sais que tu es très jeune, beaucoup trop jeune pour parler d’enfant, même de mariage. Mais tu es bien obligée d’admettre que tu vas devoir grandir plus vite, d’un coup, parce que tu ne vis plus une vie d’adolescente à présent, tu vis une vie de jeune femme, une jeune femme amoureuse qui vit avec l’homme qu’elle aime, son futur fiancé, son futur mari et le futur père de ses enfants. Il a fallu que tu deviennes vite une adulte et que tu oublies tes petits soucis de jeune fille. Mais tu ne le regrettes pas du tout, parce que ça vaut le coup, certes, ta vie a été chamboulée mais en bien, tu es heureuse, plus que tu ne l’as jamais été.
Et tu l’es encore un peu plus encore quand tu apprends qu’il s’est dépêché de rentrer pour vite te retrouver. Même si tu n’aimes pas trop qu’il bosse aussi dur sans se reposer pour pouvoir écourter son séjour. Mais c’est une attention qui te touche vraiment beaucoup. Et tu te sens obligée de l’embrasser comme pour l’en remercier, un énième doux baiser. Ça te fait plaisir de savoir qu’il est prêt à t’emmener de temps en temps avec lui, pour que vous ne soyez pas trop souvent séparés. Tu n’as jamais voyagé, donc bien sûr que cette idée te séduit, surtout si c’est avec lui que tu voyages. Tu irais n’importe où tant que tu es avec lui. Alors tu l’attendras sagement dans la chambre d’hôtel pour lui permettre de passer une soirée calme et le détendre. Tu hoches la tête à sa réponse, bien sûr que tu accepteras tout ce qu’il te dira, même si toi tu ne ressens pas le besoin d’avoir un chauffeur ou quelqu’un pour t’accompagner. Tu aimerais d’ailleurs savoir pourquoi il y tient tant mais tu n’as pas envie de lui poser de questions maintenant, pas alors que tu sais qu’il a à peine dormir pendant plusieurs jours et qu’il a fait ça pour toi. Tu gardes tes questions pour une prochaine fois. Tu veux juste passer une soirée tranquille avec lui, une soirée calme. C’est pourquoi tu proposes de commander à manger et de lui faire un petit massage. Mais Robin semble avoir un planning bien en tête. Un planning qui t’étonne, te fait sourire et qui te plait vraiment beaucoup. Même si tu as du mal à croire que vous allez pouvoir faire l’amour autant de fois en si peu de temps. Tu n’es pas au bout de tes surprises… Avec la nouvelle position qu’il te fait prendre tu te retrouves encore plus contre lui, ton bassin retrouve le sien et rien que ce nouveau contact te donne un petit coup de chaud. « En voilà un joli programme… Il me plait beaucoup. » Que tu souffles en suivant le contour de sa bouche avec ton index. Tu approches ton visage du sien pour capturer ses lèvres et tu lui demandes tout en gardant tes lèvres tout près des siennes. . « Donc ça veut dire que si là je vais commander à manger, quand je reviens tu me fais l’amour ? » Tu caresses son visage avant de t’écarter de lui, à contrecoeur mais tu sais que vous allez vite vous retrouvez l’un près de l’autre. Tu te lèves du lit et tu t’étires en soupirant avant d’aller chercher le téléphone. . « Qu’est-ce que vous voulez manger à part moi Monsieur Hartwood ? » Que tu demandes d’une petite voix taquine en remuant légèrement les hanches pour le provoquer toujours un peu.
(c) oxymort
Robin Hartwood
Robin Hartwood
Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Son rire, aussi léger et discret soit-il, te fait toujours le même effet. Tu ne peux t'empêcher d'afficher un grand sourire, quand bien même son visage est toujours planqué au creux de ton cou. Tu sais qu'elle restera là le temps que la gêne redescende. Parce que parler sexe ne la met toujours pas à l'aise. Et moins encore quand il est carrément question d'une nouveauté à laquelle elle n'ose sans doute pas encore vraiment penser. Ce n'est pas pour un futur très proche tout du moins. Et ça ne te pose aucun problème. Tu ne sais pas si tu auras tout de suite la patience de lui apprendre ça. Alors que t'as surtout l'envie aux reins, de la posséder. De la dévorer toute entière et de marquer aussi fort que possible son corps, de ton passage fougueux, ardent, répété. C'est fort aimable de ta part ! Que tu affirmes, tendrement taquin encore. Toujours. Et si c'est toi qui viens tout juste de la faire rire, elle ne tarde pas à te rendre la pareille. Ses mots te font rire alors que tu la serres plus fort encore contre toi. Comme un réflexe. Comme une réponse à toutes ces émotions qu'elle ne sait que trop bien susciter chez toi. Et tu adores ça. Tu aimes vraiment ressentir autant de choses alors même que tu n'es pas un habitué de la chose. Tout semble être nouveau pour toi. Et tu adores clairement ça. Tu adores te sentir vivant comme jamais tu ne l'as été. Et tu as bon espoir que ça se poursuive ainsi. Que tu continues de découvrir tout un tas de choses et de sensations en tous genres. Non ... C'était quand même agréable l'effet de surprise ... Surtout pour toi sur qui elle a littéralement sauté. Pour ton plus grand plaisir.
Tu le sais qu'à l'avenir vous n'aurez plus du tout à vous retenir, ni l'un ni l'autre. Vous allez même clairement vous en donner à coeur joie. Vous êtes déjà plus ou moins en train de le faire, maintenant que vous pouvez profiter de la tendresse de l'autre après une étreinte pour le moins passionnée. Tendresse enrobée d'une sacrée dose de plaisanteries et taquineries en tous genres, soit. Parce que comme toujours, tu n'y vas pas de main morte. Et ça lui arrache quelques plaintes et moues boudeuses. Celles qui te font tant craquer. Si tu ris encore quand elle ronchonne, tu le fais beaucoup moins dès l'instant où elle te fait remarquer que ça fait de toi un pédophile. Tu n'as pas tellement envie d'entendre ça finalement ... L'idée est déplaisante. D'autant plus qu'elle était encore mineure quand tu as porté ton choix sur elle. Soit, tu ne la désirais pas encore, physiquement. Mais la totalité de la situation est peu commune. Je retire ce que je viens de dire. C'est horrible ! Que tu ronchonnes dans la foulée. Elle s'est bien vengée. Si c'était là son but ultime. Tu préfères enchaîner sur un tout autre sujet, puisque tu mentionnes le fait que tu ais bossé d'arrache pied pour lui revenir le plus vite possible. Tu te doutes que c'est le genre de confession qui ne peut que lui plaire au possible. Alors tu n'hésites pas. Tu lui avoues la chose et ça lui fait un effet certain et évident. C'est presque une récompense qu'elle t'offre lorsqu'elle tend le visage vers toi pour te voler un nouveau baiser des plus tendres. Tu n'aimes que trop ce genre de petits gestes adorables qu'elle peut avoir de façon constante pour toi. D'ailleurs, tu en profites toute la poignée de secondes que ça dure, sourire bienheureux aux lèvres et paupières baissées.
Mais plus tu passes de temps contre elle de cette façon, plus tu as des envies qui renaissent et prennent tout à fait place au creux de tes reins. C'est pourquoi dans le planning que tu dresses de la soirée à venir, tu flanques un tas d'étreintes qui, tu le sais, seront toutes plus torrides les unes que les autres. Mais c'est bien ce que j'ose espérer ... Mon Dieu mais que serais-je devenu si tu n'avais pas été tentée ? Que tu ronronnes presque de plaisir, déjà. Alors qu'elle vient glisser la pulpe de son doigt sur le contour de tes lèvres. La seconde d'après à peine, ce sont ses lèvres qui trouvent les tiennes pour un baiser qui t'arrache un grognement immédiat. Parce que tu as tout de suite envie de plus. Parce que vous êtes en train de parler sexe de façon plus ou moins évidente et claire. Parce que vous vous projetez et que ça ne te fait déjà que trop vibrer. Ca veut clairement dire que tu auras tout juste le temps de t'approcher du lit, que je serai déjà en train de te prendre. Que tu lui réponds le plus naturellement du monde. Non sans un petit sourire coquin, pour ne pas changer. Et sous ton regard justement déjà bien affamé, elle s'éloigne de toi. Tu roules sur le dos et te redresses, en appuie sur tes coudes. Pour la suivre du regard quand elle s'éloigne. Là que son corps s'affiche de nouveau sous tes yeux, tu ne rêves que du moment où tu pourras vraiment te perdre de nouveau entre ses cuisses. Ce qui te semble déjà être dans bien trop longtemps ...
C'est un ricanement étranglé dans ta gorge que tu laisses entendre, quand elle te pose une question presque sérieuse, tout en remuant des hanches pour te provoquer. Et si on commandait des pizzas ? Ça fait une éternité que je n'en n'ai pas commandé. Et ce n'est pas forcément une spécialité que tu proposes dans beaucoup de tes restaurants. En ce qui concerne tes petits bistros et fast food, tu proposes davantage des hamburgers que les américains aiment à proclamer comme étant de leur invention. Et c'est ce qui fonctionne le mieux. Passe par une appli pour qu'on paye en ligne. J'irai les récupérer au portail. Histoire de ne pas traîner trop longtemps dehors, pour tout un tas de raisons. Et dépêche-toi de faire ton choix. Je m'impatiente déjà. Tu exagères, bien sûr. Un peu. Juste un peu ... Quoi que plus tes yeux s'attardent sur ses jolies courbes, plus l'envie de la ramener tout contre toi pour lui faire tout un tas de trucs, est grande et sérieuse. Or, si vous souhaitez contenter rapidement vos estomacs, il est préférable que tu lui laisses le temps de passer cette commande. Vous êtes tellement sexy Miss Murphy ... Que tu ne manques pas de grogner, sans la quitter de ton regard qui commence déjà à s'assombrir. A prendre cette fameuse teinte orageuse que tu ne peux tout à fait contrôler.
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