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Jeu 25 Juin - 23:11


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Vous faite durer votre douce étreinte autant de temps que possible. Tu pourrais rester des heures comme ça, blottie contre lui, perdue dans ses bras forts et puissants. Tu le couvres de tendres baisers, tu profites de la douceur et du goût de sa peau. Vous êtes encore vibrants plaisir, haletants, et surtout fatigués. Parce que vous vous y êtes donnés à fond. Tu lui fais part du plaisir que tu as éprouvé même lors de cette étreinte très tendre. C’est que vous ne vous êtes fait l’amour qu’une seule fois avec tendresse, et c’était lors de votre première fois ensemble. Tu te contentes de sourire à sa remarque et tu déposes un tendre baiser sur ses lèvres. Bien sûr que ça ne l’étonne pas, tu es de nature très douce, normal que tu aimes ce genre d’étreinte. Mais tu prends tout autant de plaisir lors de vos étreintes endiablées et bestiales. Vous finissez enfin par sortir de la baignoire. Il te demande l’autorisation pour dormir entièrement nu dans votre lit. Bien sûr que tu n’es pas contre cette idée. Tu adores même l’idée qu’il puisse coller son corps nu au tien, pouvoir sentir sa peau douce contre la tienne, t’endormir tout contre lui. Mais tu lui réponds avec cet air taquin que tu adoptes de plus en plus avec lui, au fur et à mesure que votre complicité se renforce. Il y a de fortes chances que tu craques en le sachant totalement nu à côté de toi. Tu n’en es pas encore sûre, mais tu imagines assez bien que tu pourrais être capable de te réveiller en pleine nuit avec l’envie de le toucher et qu’il te touche en retour. Maintenant que tu sais que plus rien ne vous arrêtera de vous perdre dans les bras l’un de l’autre, tu ne sais pas si tu seras capable de te retenir très longtemps avant d’avoir encore envie qu’il te prenne et se perde entre tes cuisses. Alors tu prends un air charmeur pour lui répondre. Tu te mordilles la lèvre et tu hoche doucement la tête. « Y a des risques oui…» Et tu sens bien que ça ne serait pas pour lui déplaire, il est tellement coquin ton Robin. Tu l’imagines assez ravi de te sentir le caresser au beau milieu de la nuit pour l’exciter.

Tu termines de te sécher avant d’accrocher ta serviette et de quitter la salle de bain pour te diriger vers votre chambre. Tu imagines qu’il est en train de te suivre du regard. Tu imagines son regard devenir orageux à la vue de tes fesses qui remuent alors que tu balances délicatement des hanches. Tu aimes savoir que tu fais de l’effet à ton Robin, qu’il prenne beaucoup de plaisir à te regarder et qu’il ait toujours envie de te faire l’amour. Tu ne te retournes pas pour t’assurer s’il te regarde ou pas, mais tu penses que c’est le cas. Tu finis par disparaitre dans sa chambre, votre chambre à présent. Après avoir remis un peu d’ordre dans le lit, tu t’installes confortablement dans le lit, dans les draps frais. Tu t’étires de tout ton long avant de t’installer sur le côté, prête à l’accueillir contre toi, prête à te blottir contre lui. Tu as passé deux nuits loin de lui, ça t’a terriblement manqué de dormir dans ses bras. Tu comptes bien en profiter cette nuit, et toutes les autres à venir. Tu as du mal à t’imaginer que tu auras le droit à ça toutes les nuits –ou presque- de ta vie. Tu te sens terriblement chanceuse. Et tu pousses déjà un soupir de soulagement, de bien-être pur. Tu as une chance inouïe de l’avoir rien que pour toi, de partager ta vie avec cet homme incroyable qu’est Robin. Et tu es tellement perdue dans tes pensées que tu ne l’entends même pas arriver dans la chambre. Ce n’est que lorsque tu le sens se coller à toi que tu sors de tes rêveries. Tu souris et soupires une fois de plus tandis qu’il vient coller son bas-ventre à tes fesses. Tu remues légèrement les épaules et les hanches alors que tu te cales parfaitement contre lui. Vos corps s’épousent parfaitement. Tu poses ta main sur son avant-bras.

Tu te mords la lèvre alors qu’il se colle un peu à toi. Tu peux sentir sa virilité contre tes fesses, même endormie elle est imposante. Tu cales bien ta tête contre son torse et tu relèves le visage pour frôler l’arête de sa mâchoire de tes lèvres. En réponse à sa petite provocation, toi-même tu te mets à remuer lentement  les fesses pour te frotter à lui. Tu relèves ton bras pour passer ta main derrière sa tête et caresser ses cheveux avec tendresse et douceur. « Ah oui ? Fais attention que ça ne soit pas moi qui me réveille en premier… » Que tu soupires d’une voix suave alors que tu continues de te frotter à lui. Tu déposes alors une pluie de baiser le long de sa mâchoire carrée et tu te réinstalles confortablement contre lui, bien blottie contre son corps, ta main toujours posée sur son avant-bras, l’autre calée sous ta tête. Tu sens la fatigue qui te tombe dessus. Tu es parfaitement détendue, et complètement fatiguée. Tu ne te rends compte que maintenant  que tu es fatiguée à ce point-là. Et ce n’est pas étonnant vu la soirée mouvementée que tu viens de vivre. Mais tu sens quand même que c’est une bonne fatigue. Et tu sens surtout que tu vas parfaitement bien dormir dans les bras de celui que tu aimes. D’ailleurs, les paupières à moitié closes, tu souffles d’une voix toute douce. «Bonne nuit Robin. Je t’aime. » Tu caresses son avant-bras du bout des doigts, avec tendresse. Et finalement tu fermes les yeux. Ta respiration ralentit, tout comme ton pouls et les battements de ton cœur. Tu te détends complètement, tu remues doucement contre Robin. La présence de son corps contre le tien te rassure et te détend. Tu ne t’écartes pas de lui une seule fois, même si tu remues un peu, tu restes collée à lui, dos contre son torse. Tu pousses quelques soupirs de bien-être et tu plonges dans un sommeil profond et réparateur. Un sommeil calme.

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Robin Hartwood
Robin Hartwood
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Dim 28 Juin - 10:14
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


Quand vous ne faites pas l'amour, vous passez votre temps à vous taquiner et vous provoquer. Et ce, peu importe que vous veniez tout juste de jouir. C'est ce que vous êtes justement en train de faire. Vous vous provoquez en parlant de cette nuit au cours de laquelle vous allez tous les deux dormir nus. Elle n'est pas contre l'idée. Mais tout comme toi, elle se doute que vous pourriez vouloir remettre ça en pleine nuit. Il suffit que vos corps soient nus et l'un contre l'autre, pour que le désir se réveille de nouveau, c'est évident. Et si ça te convient, il te semble que ça lui convient à elle aussi. Et ça, ça te plaît énormément. Parce que même si elle continue d'être rougissante et adorablement mal à l'aise par moment, elle est également de plus en plus assurée quand il s'agit de sexe. Sûre de ses envies et désireuses de répondre présente à toutes tes sollicitations. Autant dire que tout est réunit pour que ça fonctionne encore un bon bout de temps entre vous. Elle n'hésite vraiment plus à te provoquer. En prenant un air charmeur, en se mordillant la lèvre inférieure et en t'offrant des regards qui en disent long sur son désir pour toi. Et le tien n'est pas en reste non plus il faut dire. Tu la suis des yeux quand elle s'éloigne, totalement nue, pour rejoindre votre chambre. Elle sait comment attirer et maintenir toute ton attention et elle ne s'en prive vraiment plus du tout.

Ce n'est que lorsque tu es seul dans la salle de bain, que tu trouves le courage de te sécher à ton tour. Tu prends le temps parce que tu ne supportes pas d'être encore moite de la douche -ou bain- un fois dans ton lit. C'est donc après ça que tu rejoins ta belle déjà parfaitement installée dans les draps. Tu ne te fais pas prier pour y prendre place à ton tour et pour venir te coller à son corps des plus parfaits. Ils s'épousent à la perfection tous les deux, tu ne peux le nier. Alors que ton bas ventre épouse déjà la forme de son postérieur parfait et que ton torse se colle à son dos fin. Elle même loge une main délicate sur ton avant bras que tu viens d'enrouler autour de sa taille. Tu souris. T'es bien là. T'as rarement été aussi bien de toute ta vie. Et l'idée que tu puisses ressentir ça pour le restant de tes jours, est évidemment tout sauf désagréable. T'en as très envie et tu ne te fais pas prier pour plonger dans cette vie là, tête la première. Et t'as surtout bien l'intention d'y rester. T'y es d'ailleurs si bien, que tu passes ton temps à la taquiner et à la chauffer avec beaucoup de tendresse et d'amour. C'est le cas alors que, très innocemment, tu frottes ton bas ventre tout contre ses fesses.

Elle ne manque évidemment pas de te répondre. Quand elle tourne la tête pour caresser l'arrête de ta mâchoire, de ses lèvres pleines. Elle relève ensuite un bras pour trouver et caresser tes cheveux. T'aimes beaucoup quand elle fait ça. T'aimes aussi  quand elle frotte son postérieur contre ton bas ventre d'ailleurs. Mais ça te fait trop d'effet pour qu'elle puisse se permettre de le faire trop longtemps. Tu ne manques d'ailleurs pas de laisser entendre un bref grognement, avant de poser une main sur sa hanche pour l'inciter à s'arrêter. Histoire qu'elle n'ait pas tout à fait le temps, non plus, de trop te chauffer. Il ne faudrait pas que tu t'emballes déjà et l'allonges sur le ventre tout de suite, pour la prendre comme tu ne sais que trop bien le faire. Ce n'est pas encore le moment pour ça et vous avez bien mérité, au moins quelques heures de sommeil. Avec un peu de chance, vous allez pouvoir vous tenir une nuit entière. Déjà pour ça, faut qu'on s'endorme. Que tu lui souffles d'une voix chaude. T'es tout à fait capable de remettre ça tout de suite si elle ne s'arrête pas. Alors tu l'immobilises de ta main, qui file ensuite se poser sur son bas ventre pour la maintenir ainsi captive tout contre ton corps; Tu ne veux pas qu'elle change de position et s'éloigne de toi et c'est là ta façon de le lui faire comprendre. Finalement elle semble prête à ne plus lutter contre le sommeil, ta douce Mia.

Tu la sens qui s'installe de façon plus confortable et qui semble prête à se laisser aller au sommeil qui doit certainement bien la tenter. Tu souris de la voir ainsi. Tu la trouves toujours tellement belle Mia. Toujours tellement attendrissante aussi. Et surtout. Pas pour rien que t'en es tombé amoureux fou en si peu de temps. Alors même que tu étais totalement persuadé que ça ne t'arriverait jamais un truc pareil. Comment t'aurais pu le deviner ? Comment t'aurais pu te douter que tu allais éprouver des sentiments, aussi vite ? Et que tu allais tout faire pour la garder à tes côtés, autrement que par simple caprice ? Parce qu'au départ il était quand même question de ça. Tu l'as voulu comme on possède un objet. Tu as fait un caprice d'homme riche qui veut une parfaite petite épouse à ses côtés. Aujourd'hui, ça va évidemment bien au delà et tu vas tout faire pour qu'elle ait très envie de rester là, justement. Même si tu n'as pas du tout l'impression qu'elle ait l'intention de faire autrement que ça. Tu doutes qu'elle veuille partir alors qu'elle se blottit chaudement et tendrement tout contre toi. Je t'aime aussi Mia. Que tu lui souffles d'une voix douce, pour la première fois. Juste quelques secondes après elle, parce que conscient qu'elle est en phase d'endormissement. Et qu'elle va ainsi entendre tes mots sans pour autant pouvoir trop y réagir. Qu'ils vont juste l'accompagner dans son sommeil de plus en plus profond. T'es sûr de la profondeur de son sommeil, parce qu'elle a cette façon de se détendre tout à fait contre toi. Et son souffle se fait tout de suite plus profond et plus régulier. Tu as la sensation qu'elle se laisse tout à fait aller ainsi et ça te plait. Assez pour que tu t'endormes à ton tour.
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Dim 28 Juin - 17:08


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

La soirée a été éprouvante. Très éprouvante. Vous vous êtes donnés l’un à l’autre avec une telle force, une telle passion que vos corps ont bien besoin de repos. Un repos bien mérité. Et d’ailleurs dès que tu t’allonges dans ce grand lit, tu ressens tout de suite un bien-être intense. Comme lorsque tu t’allonges après une grosse et dure journée de cours. Tu sens à ce moment-là à quel point tu es fatiguée. Et tu t’étires d’ailleurs, tu soupires, avant de t’installer confortablement et attendre que Robin vienne te rejoindre. Ce qu’il ne tarde pas à faire. Il est bien vite contre toi, dans ton dos. Son bas-ventre qui épouse parfaitement la forme arrondie de tes fesses. Tu sens la chaleur qui se dégage de son corps, tu sens son torse dur et musclé contre ton dos. Et on bras puissant qui vient t’enlacer. Tu es tellement heureuse. Tu ne l’as jamais été autant. Heureuse et sereine. Tu sens que ta vie est parfaite, tu n’as besoin de rien de plus. Absolument rien. Tu le caresses avant tendresse et douceur alors que vous évoquez le fait que vous allez avoir du mal à ne pas vous réveiller au milieu de la nuit à cause de votre désir l’un pour l’autre. Et toi tu commences à gigoter, à le taquiner un peu. Tu te frottes contre lui et tu souris quand tu l’entends grogner. Qu’est-ce que tu adores ça. Mais il pose une main ferme sur toi pour te pousser à arrêter tes mouvements. Tu comprends que si tu continues il risque de ne plus pouvoir se contrôler. Alors tu es bien forcée de rester immobile et  de te calmer un peu. Tu souris quand même, ça te plait de savoir que tu peux l’exciter aussi facilement. De savoir que tu as ce « pouvoir » sur lui. Tu lui réponds d’une petite voix toute innocente. «Oui c’est vrai. Pardon… »

Et tu te détends, tu t’installes confortablement, son bras autour de toi, sa main sur toi. Tu te sens à l’abri dans ses bras, contre lui. Tu sais que rien ne pourrait t’arriver tant que tu seras près de lui. Près de ton Robin. Tu lâches un soupir d’aise avant de vraiment sentir la fatigue qui te tombe dessus. Tu te détends, tu respires plus lentement. Et quand tu sens que tu vas tomber de sommeil tu lui souffles quelques mots d’amour. Tes yeux sont déjà fermés, tu es en pleine phase d’endormissement, entre le sommeil et l’éveil. Tu ne peux plus lutter, le sommeil t’emporte malgré toi. Même alors que tu entends les quelques mots qu’il te souffle. Des mots qui t’auraient sûrement fait sauter de joie. Tu ne sais pas vraiment s’il te les dit ou si tu les rêves. Mais dans tous les cas, tu esquisses un sourire heureux avant de t’endormir complètement. Profondément endormie contre lui, dans ses bras. Tu ne peux que passer une très bonne nuit ainsi. Première nuit que vous allez passer ensemble depuis trois jours. Il t’avait tant manqué ton Robin. Le lendemain il sera là quand tu ouvriras les yeux, la première chose que tu verras ce sera son beau visage et son corps nu absolument parfait. Que rêver de mieux ? Que rêver tout court ? Tu as tout ce dont tu peux espérer, tu n’as même plus de quoi rêver, parce que tu as déjà tout. Et c’est entièrement grâce à lui, grâce à cet homme merveilleux qui finit par te rejoindre dans le monde du sommeil. Toi, tu t’enfonces dans un sommeil lourd, profond et tellement calme… Tu te reposes, t’es apaisée, tu ne bouges presque pas, tu es trop bien collée ainsi à lui.

Ce n’est que plusieurs heures plus tard que tu commences à remuer un peu. Ton sommeil devient un peu plus agité alors que tu es en plein rêve. Un rêve très agréable. Tu soupires même de plaisir, les lèvres entrouvertes. Tu rêves de Robin, de son corps contre le tien, de sa longueur en toi, qui va et vient à un rythme endiablé. Tu rêves de lui, de ce corps parfait, de ses grognements excitants. Tu remues un peu en soupirant, en soufflant son prénom d’une voix à peine audible. Et malheureusement, tu finis par ouvrir les yeux. Tu es haletante, tu as chaud. Tu sens immédiatement tes joues chauffer et rougir alors que tu réalises que tu étais en plein rêve érotique. Tu tournes la tête pour voir que Robin dort toujours paisiblement. Il a remué un peu aussi, il est allongé sur le dos. Le drap le recouvre à moitié, jusqu’à son ventre, juste au-dessus de ce à quoi tu rêvais il y a quelques secondes. Tu te sens excitée, très excitée. Tu peux sentir cette chaleur moite entre tes cuisses. T’as envie de lui. Tu as envie de le sentir se durcir, de l’entendre grogner, gémir. Tu te mordilles la lèvre, hésitante. Tu n’es pas du tout sûre de ce que tu t’apprêtes à faire, mais tu as envie d’essayer. Tu soulèves délicatement le drap pour apercevoir son sexe endormi, et la vue de son ventre qui se lève et se soulève au rythme lent de sa respiration t’excite encore plus. Doucement, en veillant à ne pas faire de gestes brusques pour ne pas le réveiller, tu te glisses sous les draps. Tu disparais totalement pour venir t’installer entre ses jambes. Tu ne sais vraiment pas comment t’y prendre, mais tu vas improviser. Tu as envie de le faire et tu sais que lui aussi, enfin, là il est endormi, mais tu imagines assez qu’il sera content d’être réveillé ainsi, même si le jour est encore loin de se lever. Timidement, avec hésitation, tu déposes quelques baisers le long de son sexe. Tu réfléchis trop et t’es à deux doigts de faire marche arrière. Alors tu te jettes à l’eau une bonne fois pour toute. Tu le prends dans ta bouche, il est encore endormi, tout comme cette partie de son anatomie. Même tu comptes bien le réveiller tout entier. Alors tu commences à aspirer, en douceur, avec tendresse, tu le dégustes. Tu entames de lents va et vient avec ta tête sur sa longueur qui commence à prendre un peu d’ampleur. Tu poses la paume de ta main sur son bas ventre pour le caresser.

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Robin Hartwood
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Dim 28 Juin - 17:58
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Vous venez vraiment pas de partager des heures tout bonnement incroyables tous les deux. Parce qu'enfin vous vous êtes donnés l'un à l'autre et que tu ne le regrettes pas. Et elle non plus te semble-t-il. Même si pour ça, il te faut encore attendre le petit matin. Parce que la dernière fois que vous vous êtes donnés l'un à l'autre, c'est au réveil que tu as eus le choc de ta vie. La chose la plus douloureuse qu'il t'a été donné de vivre. Presque pire, en tout cas,  que la mort de ton père. Ce qui est horrible, t'en es bien conscient. Mais c'est également la vérité pure. Le fait est que tu as ainsi pu réaliser, petit à petit, que tu étais amoureux fou de sa petite et parfaite personne. Et tu es maintenant bien décidé à faire tout ton possible pour la rendre aussi heureuse qu'elle le mérite. Même si tu sais qu'elle ne le sera parfois pas du tout, à tes côtés. Quand elle réalisera qui tu es vraiment et quel genre de monstre tu peux être. Le méchant des pires histoires. Il va bien falloir qu'elle l'apprenne, même si ça ne te plaît pas de prendre le risque de la voir fuir une fois de plus. Tu ne veux pas donner l'impression que tu lui mens depuis le premier jour. Tu ne l'as jamais fait. Tu t'es contenté de taire certains détails, pour votre bien à tous les deux. Pour le bien de votre couple.

Vous êtes tellement heureux tous les deux, qu'il serait vraiment très idiot de ta part de gâcher tout ça. Alors tu te tais bien volontiers, ce soir encore. Quand tu te couches tout contre elle dans le lit. Ton torse contre son dos et ton bras enroulé autour de son corps fin. Tu t'endors peu de temps après avoir trouvé le courage de lui souffler ces quelques mots d'amour qu'elle même n'hésite jamais à te dire. Tu as encore un peu de mal à le faire aussi simplement. Mais ça viendra sans doute tout naturellement avec le temps. Pour l'instant, tu es assez à l'aise pour profiter de toute cette tendresse sans te faire prier. Toi qui n'avais jamais connu ça avec aucune femme parce que tu ne voulais pas même que l'une d'entre elles s'approche ainsi de toi. Cette fois ci tu profites très largement, le sourire aux lèvres et le coeur apaisé comme jamais. Tu retrouves donc enfin ce sommeil bien mérité. Tu l'accueilles même sans te faire prier. Profondément tu sombres. C'est que tu en manquais vraiment de trop et que tu ne peux passer outre le bien être que tu ressens à avoir ta belle endormie entre tes bras. Forcément que tu la câlines avec cette tendresse, sans te faire prier plus que ça. Forcément que tu veux n'as aucun mal à te sentir tout à fait apaisé par sa seule présence. Elle a vraiment un pouvoir dingue sur toi et tu ne fais rien pour arrêter cela. Au contraire, tu veux plutôt le cultiver.

T'es quand même bien trop profondément endormi, pour pouvoir la sentir qui remue tout contre toi. Il semble même que rien ne peut te tirer du sommeil.  Et c'est quand même bien agréable dans le genre. Tu pourrais te contenter d'une poignée d'heures une fois de plus, si elles sont vraiment si reposantes que ça. Et elles le sont. Il faut vraiment plus que quelques mouvements contre toi, pour te réveiller. Et justement, c'est une sensation humide et chaude autour de ton sexe, qui commence à te faire bouger. Tu grondes un peu, sans même t'en rendre compte. La sensation est délicieuse. Tu crois d'ailleurs la rêver dans un premier temps. Mais ça t'excite malgré tout et ton sexe se gorge peu à peu de désir. C'est lorsque ton bras rencontre le vide dans les draps, à côté de toi, que tu réalises qu'elle n'est pas là. C'est donc bien elle qui s'est perdue plus bas sur ton corps. T'es surpris. Mais le plaisir est bien réel quand elle t'aspire comme si elle avait fait ça toute sa vie. Tu sais pourtant que ce n'est pas du tout le cas. Et qu'elle est en train de tenter des choses, ta belle Mia. Et toi tu réagis. Une main refermée autour de l'oreiller sur lequel repose ta tête et ton poings libres que tu mords pour retenir une plainte trop sonore. Tu ne veux pas qu'elle réalise tout de suite que t'es éveillé. De crainte qu'elle ne soit prise de panique et de gêne et qu'elle ne s'arrête.

Mais elle s'y prend beaucoup trop bien Mia. Alors tu réagis de plus en plus vivement. Ton souffle se fait plus court, ton sexe gonfle à vue d'oeil entre ses lèvres et tu poses finalement tes doigts sur sa main qui se fait caressante sur le bas de ton ventre. T'as bien envie de retirer le drap pour la voir faire. Mais là encore, tu te retiens. Tu ne veux pas la mettre mal à l'aise. Tu ne veux vraiment pas qu'elle s’arrête. Oh putain Mia. Que tu ne peux finalement pas retenir. Des mots soufflés d'une voix chaude. Carrément brûlante même.  Tu jures parce que c'est bon. Tu jures parce que ça te fait énormément d'effet. Tu jures parce qu'elle ose et que, tout naturellement, tu ne peux qu'approuver la chose. Tu approuves le fait qu'elle soit assez à l'aise pour ça. Même si elle a choisit de le faire pendant ton sommeil et planquée sous un drap. Sans doute parce qu'elle n'assume pas encore tout à fait. Tu oses espérer que tes réactions qui témoignent d'un plaisir plus qu'évident, suffiront à la mettre assez à l'aise pour qu'elle s'assume tout à fait. Et que, au passage, elle voudra bien t'offrir son regard que tu oses imaginer aussi assombrit par le désir que le tien. T'arrête pas ...  Que tu reprends, presque malgré toi et sans même t'en rendre compte. Tu ne sais pas si elle aura envie d'aller au bout. Elle a certainement envie d'enchaîner en venant te chevaucher. Tu es d'accord pour tout ça. Mais par pitié qu'elle ne s'arrête pas trop rapidement. Même si tu ne le lui as pas dis, tu les as rêvés ces sensations folles ... Et pas qu'un peu finalement.
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Lun 29 Juin - 14:18


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tes nuits sont bien plus calmes et tes heures de sommeil plus reposantes quand il est près de toi. Sentir sa présence près de toi te rassure et te réconforte. Et puis, il faut dire que ce soir particulièrement, tu te sens très fatiguée. Et c’est parce que vous n’avez pas arrêté de faire l’amour tout au long de cette soirée. Une soirée vraiment remarquable. Une soirée riche en émotions aussi. Tu as découvert à quel point le sexe avec Robin était formidable, magique même. Tu es comblée de bonheur quand tu t’installes confortablement dans le lit, tout contre lui et que tu commences à piquer du nez. La fatigue te tombe dessus d’un seul coup. Tu as lutté pendant trop longtemps, tu ne peux plus continuer. T’es épuisée à un tel point que tu ne réagis quasiment pas quand il te dit qu’il t’aime. Tu te contentes de sourire béatement juste avant de sombrer pour de bon dans un sommeil profond et paisible. Et s’il n’y avait pas eu ce rêve, tu aurais sûrement dormi ainsi jusqu’au petit matin. Ou peut-être que Robin se serait réveillé le premier et t’aurais accordé un réveil tout en douceur et tout en chaleur surtout. Mais il faut croire que cette soirée très chaude a de gros effets sur ton inconscient. Car tu rêves de Robin, tu rêves de son corps parfait. Tu rêves qu’il te fait l’amour comme il sait si bien le faire. Tu rêves que tu prends énormément de plaisir. Et d’ailleurs ton corps réagit. Tu remues doucement dans le lit en poussant quelques soupirs d’aise, tes pointes se mettent à durcir légèrement et une chaleur moite se répand entre tes cuisses. Tu souffles même le prénom de Robin dans ton sommeil alors que dans ton rêve il te prend avec fougue et passion. Tu te crispes un peu, tu t’accroches même un peu aux draps et quand tu te réveilles tu sursautes.

Tu es haletante, dans un état d’excitation déjà bien avancé. Tu pourrais très bien essayer de passer au-dessus et tenter de te rendormir. Le jour n’est même pas encore levé, tu n’as aucune idée de l’heure qu’il peut bien être, mais il est très tôt. Tu hésites un peu parce que tu n’as pas envie de réveiller Robin. Il t’a avoué ne presque pas avoir dormi pendant ces quelques jours passés loin de toi pour écouter son voyage et te retrouver aussi vite que possible. Mais tu ne peux pas rester là à rien faire alors que tu as terriblement envie de lui et qu’il est allongé d’une façon très excitante. Tes yeux déjà assombris par le désir glissent le long de son corps à moitié découvert. Tu t’attardes sur son torse et son ventre. Et juste en dessous du drap tu peux deviner la forme de son sexe. C’est cette image qui te pousse à te lancer. Tu ne penses pas que Robin t’en voudras de le réveiller de cette façon, au contraire. C’est qu’il est très coquin ton Robin. Et ça te plait beaucoup. Tu ne sais vraiment pas comment tu vas t’y prendre, tu n’as aucune idée de comment faire. Mais il faut bien que tu te lances et que tu essayes. Tu espères juste ne pas être trop mauvaise et lui donner le plaisir qu’il mérite. Alors tu te glisses timidement sous le drap, tu t’allonges sur le ventre, entre ses jambes. Quand tu te retrouves face à son sexe encore endormi, tu as un moment d’hésitation, tu paniques un peu parce que tu n’es pas du tout sûre de toi. Mais tu prends la décision de ne pas te poser trop de questions et d’agir. Tes lèvres l’effleurent, le caressent, l’embrassent tendrement et délicatement avant de s’ouvrir pour venir l’emprisonner. Pour le moment, tu peux le prendre en entier dans ta bouche. Le temps qu’il se réveille complètement. Tu tâtonnes complètement, tu découvres. Tu dois faire sans ses directives parce qu’il n’est pas encore réveillé ton Robin, tu le sens remuer un peu, mais il dort encore.

Ce n’est que lorsque tu entends sa voix que tu comprends qu’il est réveillé. Son membre lui durcit et se tend de plus en plus. Tu sens le rouge te monter aux joues. Tu te sens un peu gênée d’avoir osé faire une telle chose. Tu ne sais pas s’il va apprécier que tu prennes ce genre d’initiatives ou s’il va trouver que tu vas un peu trop loin. Mais son sexe prend de plus en plus d’ampleur et il grogne de plaisir ton Robin. Surtout, il te supplie de ne pas t’arrêter. Tu en déduis alors qu’il aime ça. Donc tu redoubles d’effort et de concentration pour lui donner le plus de plaisir possible. Tu as envie de l’emmener jusqu’à la jouissance que ce soit comme ça ou en te faisant l’amour. Tu te plieras à ses envies. Le fait que tu sois cachée sous ton drap t’aide à ne pas te sentir trop gênée, mais très vite tu es bien obligée d’admettre qu’il fait beaucoup trop chaud. Tu étouffes là-dessous. Alors tu décides d’attraper le drap et de le faire descendre jusqu’à sa taille pour pouvoir respirer un peu. Tu évites cependant de relever les yeux vers Robin, encore un peu trop intimidée par ce que tu es en train de lui faire. Par contre tu te concentres, tu expérimentes. La pointe de ta langue se montre curieuse et exploratrice ; elle suit quelques veines bien gonflées sur sa longueur et s’attarde un peu sur la peau douce de son gland autour duquel tu poses tes lèvres pour le suçoter avec délicatesse. Il prend de plus en plus de place dans ta bouche Robin, tu ne peux plus le prendre en entier à présent. Tu essayes de le prendre le plus possible, jusqu’à ce que son sexe cogne au fond de ta gorge, mais tu ne peux aller plus loin. Tes doigts fins posés sur son ventre continuent de caresser sa peau quand tes ongles ne s’enfoncent pas doucement dedans. Tu aspires quand tu remontes le long de sa virilité tendue à son maximum à présent. Tu réalises alors que tu préfères l'avoir en bouche quand il est complètement dur et tendu, ça t'excite énormément. Tu entames alors de lents va et vient, encore et encore.

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Robin Hartwood
Lun 29 Juin - 19:43
https://c-t-t-e.forumactif.com/t54-bloody-boy#833 https://c-t-t-e.forumactif.com/t101-bloody-boy-acte-ii


Old sins have long shadows.
ft @Mia Murphy


T'es heureux comme jamais quand tu t'endors avec ta belle entre tes bras. Tu te sens apaisé comme rarement tu l'as été et tu espères bien que ça va continuer ainsi. Que ce n'est que le début d'un incroyable renouveau. La seconde étape dans votre relation qui te faisait déjà énormément de bien avant. Tu n'avais pas besoin de sexe pour être heureux et amoureux. Mais tu dois bien reconnaître que ce petit supplément risque de te rendre encore plus heureux et épanoui que jamais. Et tu ne doutes pas non plus qu'il en va de même pour elle. Depuis le temps qu'elle te provoque de toutes les façons possibles dans l'espoir de te faire craquer, aucun doute qu'elle va être très demandeuse. Elle l'a déjà été tout au long de la soirée. Et ce, malgré la douleur et l'inconfort qui se sont offert à la partie, pour chacune de vos étreintes. Parce qu'elle est encore serrée Mia. Et parce que tu es plutôt conséquent à ce niveau là. Autant dire que tout est réuni pour provoquer une légère gêne quand tu te perds entre ses cuisses.  Et ce, même en t'assurant qu'elle est assez moite pour te permettre de glisser en elle. Et même si tu prends le temps de le faire ensuite pour ne pas la brusquer. Jamais ça n'a été ton souhait. Mais la douleur est là quand même. Parce qu'il faut certainement le temps à son corps de t'habituer à ta présence.  Et c'est évident que ça finira par arriver, parce que vous allez souvent remettre ça tous les deux.

Il y a plein de choses pour lesquelles Mia aura besoin d'un peu de temps pour s'adapter comme il faut. Comme certains points concernant le sexe. C'est pourquoi t'es à ce point surpris quand tu réalises ce qui est en train de te tirer du sommeil. C'est sa bouche refermée autour de ton sexe. Et le temps que tu commences à retrouver conscience, t'es en train de durcir. Sa bouche se fait gourmande et insistante. Elle te suce avec beaucoup d'application. Elle semble même désireuse et soucieuse de te faire le plus de bien possible. De vraiment te découvrir de sa bouche.  Tu ne sais pas si elle aime ce qu'elle est en train de faire, mais elle fait tous les efforts possibles pour tester les différentes réactions sur toi. Parce que pour le coup, t'es déjà en train de réagir. Tu peux difficilement faire autrement tant elle fait ça bien.  Tu ne te vois pas retenir tes plaintes de plaisir alors que sa bouche continue de monter et descendre en t'offrant un étau tout bonnement parfait. En plus de la chaleur trempée de sa bouche. Tu n'as pas la moindre idée de l'heure qu'il peut bien être et ça ne te dérange même pas. Tu te fous que la nuit soit encore là. Tu ne sais même pas si tu es fatigué. Parce que toute ton attention est portée sur ce qui se passe au sud de ton corps. Ce qui t'arrache quelques soupirs et autres plaintes d'extase.

Tu ne fais rien pour retirer le drap la recouvre encore. Tu as envie de la regarder faire, bien sûr. Mais tu ne souhaites pas la mettre mal à l'aise dans cette découverte pour le moins intime. Alors tu la laisses gérer les choses à sa guise. Et bientôt, elle se débarrasse du drap. Certainement parce qu'elle a trop chaud pour rester dessous. Mais le résultat est le même. Tu ne peux que redresser la tête pour la regarder faire. La contempler en pleine action. Et Dieu ce que le spectacle est incroyable. Elle est magnifique ton adorable, douce et innocente petite Mia dont la bouche est déformée par la présence de ton sexe de plus en plus large, long et dur. Ainsi tu peux la voir qui glisse la pointe de sa langue sur les veines gonflées par l’afflux de sang. Tu resserres tes doigts autour de l'oreiller qui va finir en charpies si elle poursuit ainsi. Oh putain ! Que ton grondes presque trop fort, trop soudainement, quand elle vient tout bonnement suçoter ton gland. Comme s'il s'agissait d'une gourmandise et qu'elle prenait vraiment plaisir à faire tout ça. Tu penses que c'est le cas. Tu espères que ça l'est tout du moins. Parce que t'es de plus en plus excité et que tu meurs d'envie qu'elle continue. Tu ne pensais pas qu'elle ferait ça aussi bien dès la première fois. Tu ignores bien comment elle a pu être amenée à le fait ainsi. Mais tu ne t'en plains pas alors que tu prends un pied dingue.

Recommence ! Que tu supplies d'une voix chaud. Alors que sa bouche descend le plus bas possible. Jusqu'à ce que ton gland vienne taper contre le fond de sa gorge. Oh putain ... Et ça aussi ! Que tu grognes de nouveau. T'en tournerais presque de l'oeil tant tu prends plaisir à tout ça et plus encore. Tant t'es sonné par l'intensité de ce réveil.  Impossible que tu lui permettes de s'arrêter avant que tu n'ais atteint l'orgasme.  Et la façon qu'elle a de t'aspirer quand elle remonte sur ta longueur, ne t'aide définitivement pas à retrouver le moindre apaisement.  Si tu ne te retenais pas très fort, aucun doute que tu aurais déjà refermé tes mains autour de son crâne et entrepris de remuer le bassin pour te baiser plus sérieusement avec sa bouche, tant elle te fout dans tous tes états. Au lieu de ça, tu redresses un peu le bassin pour lui permettre de t'enfoncer toujours plus en profondeur au fond de sa gorge et l'inciter, surtout, à poursuivre tout ça. Putain Mia si tu t'arrêtes pas, je vais pas pouvoir me retenir bien longtemps. Que tu surenchéris, toujours d'une voix rauque à l'extrême, toujours à jurer tant tu prends plaisir à cette fellation improvisée qui t'aura réveillé de la façon la plus chaude et la plus intense qui soit.  Et c'est certainement parce que tu dormais à poings fermés qu'elle a osé aller au bout de ce geste là. Et peut-être que ta réaction pour le moins ultra positive, suffira à lui donner l'envie et le courage nécessaire pour recommencer quelques fois à l'avenir. Parce que sa bouche est maintenant devenue ton nouveau fantasme. Que tu voudras encore de ça.
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Mar 30 Juin - 11:24


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tu ne réfléchis pas vraiment à ce que tu t’apprêtes à faire, sinon tu prendrais le risque de revenir arrière. Tu profites qu’il soit encore endormi pour te glisser sous les draps. Au moins, tu ne seras pas gênée en sentant son regard sur toi, ou en t’inquiétant si tu fais les choses bien. Même si tu sais qu’il va finir par se réveiller et qu’il va réagir au traitement que tu lui réserves. Mais t’en as vraiment envie en fait. Tu sais que lui aussi il attend ce moment où tu sauteras le pas. Vous en avez parlé ce soir, il semblait vraiment très emballé par la chose. Et tu n’as pas envie de le décevoir. C’est pourquoi tu penses que c’est le bon moment, il n’a aucune attente là, il dort actuellement. Il va se réveiller surpris, probablement. Et même si tu ne te montres pas très douée, il ne devrait pas être déçu. Tu l’espères en tout cas. Enfin, tu espères surtout que tu vas réussir à lui procurer le plaisir qu’il mérite. Il mérite quand même ce qu’il y a de mieux ton Robin. Tu sais que ce ne sera pas parfait, ça ne peut pas l’être dès la première fois, mais tu as envie d’apprendre, toujours, t’es en pleine phase de découverte en ce qui concerne le sexe. Tu tâtonnes, tu tentes des choses. Il n’y a que comme ça que tu apprendras. Et tu comptes bien évidemment sur Robin pour te guider, pour te former en quelques sortes. Tu veux devenir une femme fatale, rien que pour lui. Tu veux avoir ce pouvoir de séduction sur lui. Tu veux sentir son regard brûlant à chaque fois qu’il posera les yeux sur toi. Tu veux l’entendre grogner d’excitation à chaque fois que tu te feras charmeuse. Tu veux tout faire pour lui plaire et pour lui faire plaisir surtout. Et parce que ça te plait aussi, tu te glisses donc entre tes jambes pour le prendre entre tes lèvres.

Tu es hésitante au début, mais tu finis par prendre un peu plus confiance. Quand tu le sens grandir et grossir entre tes lèvres, tu te dis que tu ne te débrouilles pas trop mal. Alors tu as envie de continuer, tu as envie de tester quelques petites choses qui pourraient peut-être lui plaire. Tu veux découvrir sa virilité toute entière. La déguster dans son intégralité. Lécher, sucer chaque millimètre de sa longueur. Et c’est ce que tu fais, tu te montres gourmande. Tu ne pensais pas que tu aimerais autant ça, mais tu adores l’avoir dans ta bouche. Tu prends vraiment plaisir à l’aspirer tout entier tant que tu le peux. Parce qu’il prend de plus en plus d’ampleur, tu sais que tu ne pourras pas continuer de l’avoir entièrement dans ta bouche. Il finit par réagir, tu l’entends jurer et ça ne fait que te motiver à continuer, encore et encore. Tu es toujours très attentive à ses réactions. Même si là tu es très concentrée sur ce que tu fais et sur ce que tu ressens toi-même. Tu adores faire glisser sa langue le long de son sexe qui est de plus en plus tendu. Ta tête monte et descend à un rythme assez lent pour le moment, le drap se soulève et s’abaisse à chacun de tes va et vient. Jusqu’à ce que tu finisses par avoir trop chaud et que tu le rejettes pour te découvrir, sans jamais ne libérer le sexe de Robin, pris dans l’étau que forment tes lèvres. Tu le sens qui remue légèrement. Tu te doutes qu’il s’est redressé pour te regarder. Et c’est pour cette raison que tu évites de lever les yeux vers lui. Tu ne veux pas être déconcertée et donc déconcentrée dans ce que tu fais. Tu veux que ça soit parfait. D’une main tu ramènes ta tignasse sur une même épaule pour ne pas être gênée par quelques mèches de cheveux rebelles.

Tu expérimentes, tu testes des choses, des techniques, sans savoir si ça va vraiment lui faire le moindre effet. Mais il réagit Robin quand tu suçotes son gland avec un air gourmand. Il te supplie même de recommencer, tout comme il te demande de recommencer à l’enfoncer le plus loin possible au fond de ta gorge. Tu gardes ta main sur son ventre que tu continues de caresser alors que tu remontes lentement le long de son sexe tout en aspirant. Tu sors ta langue de ta bouche pour venir caresser son gland, de la pointe de ta langue pour commencer puis tu le lèches complètement, comme s’il s’agissait d’une sucrerie ou d’une glace. Tu prends beaucoup de plaisir à faire tout ça et ça se voit. Tu t’appliques vraiment. Et tu relèves enfin un regard assombri de désir vers lui alors que tu reprends son gland dans ta bouche pour le suçoter comme il te l’a demandé. Tu as envie de le voir prendre son pied alors tu ne lâches pas du regard tout le long que tu lui offres ce petit plaisir. Tu finis par rebaisser les yeux sur son sexe alors que tu recommences à le prendre entièrement dans ta bouche. Tu entames de lents va et vient. Les grognements de Robin ainsi que les petits bruits de succion brisent le silence de la chambre. Tu ralentis légèrement quand il te prévient qu’il ne va pas pouvoir se retenir longtemps. Tu hésites un peu, tu ne sais pas trop quoi faire. Tu as envie de le faire jouir de cette manière, mais tu redoutes un peu le moment où il va jouir dans ta bouche. Tu as peur de ne pas aimer ça. Mais tu ne veux surtout pas briser ce moment si parfait. Il t’excite tellement quand il est dans cet état… Et tu prends beaucoup trop de plaisir à lui offrir cette fellation. Alors tu caresses son ventre une nouvelle fois et tu relèves les yeux vers lui avant de commencer à le sucer un peu plus fort, tu resserres tes lèvres autour de son membre et tu entames une série de va et vient plus rapides. Tu lui fais ainsi bien comprendre que tu es prête à ce qu’il se déverse dans ta bouche quand il n’en pourra plus. Tu t'appliques, tu aspires bruyamment et goulûment.

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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
➤ HISTOIRES : 4508
Robin Hartwood
Mar 30 Juin - 19:06
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Elle est absolument magnifique ton adorable, ta belle, ta douce, ta délicate petite Mia. Alors qu'elle monte et descend sur toute ta longueur, en évitant évidemment ton regard. Elle continue de te sucer avec une certaine lenteur. Elle s'applique et lorsqu'elle rabat ses cheveux sur l'une de ses épaules pour s'en libérer autant que possible, tu ne retiens pas une nouvelle plainte d'extase. C'est fou l'état dans lequel elle est en train de te mettre. Parce que pour le coup, tu ne t'en caches pas. Et ça ne fait que gonfler encore et toujours plus alors que de son côté elle poursuit. Tu ne pensais pas qu'elle trouverait aussi rapidement le courage de te faire du bien de sa bouche finalement. Mais tu ne vas certainement pas t'en plaindre alors qu'elle t'aspire et te lèche avec une gourmandise assez évidente. C'est que t'en tournerais presque de l'oeil dans tout ça est incroyablement bon. Tu prends vraiment ton pied et tes réactions diverses et variées, sont là pour le lui prouver.  Tu gémis fort, quand tu ne grondes pas carrément son prénom ou ne jures ouvertement. Elle a une façon tout à fait innocente mais carrément délicieuse, de te faire du bien avec sa bouche. Elle prend le temps de te goûter comme s'il s'agissait d'une sucrerie. Et c'est son besoin de prendre le temps d'apprendre et d'expérimenter, qui fait que c'est si bon.  Et c'est bien pour ça que tu continues de geindre ton extase grandissante.  Et de la supplier pour qu'elle ne s'arrête surtout pas.

Tu ne tes crispes que plus encore quand elle lève enfin le regard pour retrouver le tien. Ses yeux sont assombrit par l'excitation qu'elle semble partager avec toi. Et à cette vision s'ajoute celle de sa bouche gourmande refermée autour de ton gland. Autant dire que t'es vraiment sans dessus dessous désormais. Que t'es même carrément assommé par cette montée en puissance du désir. Elle a l'air beaucoup moins innocente ta petite Mia, avec ta queue entre les lèvres. Raison pour laquelle tu grondes encore et que tu abandonnes temporairement l'idée de la regarder faire. Parce que ça te secoue beaucoup trop pour le coup et que tu ne veux pas perdre trop rapidement les pédales. Tu choisis donc de te laisser retomber en arrière. Tête qui bascule pour permettre à ton crâne de retrouver les oreillers et à ton regard, de renouer avec le plafond blanc. Le silence de la nuit a laissé place à une mélodie des plus érotiques. Un mélange de plaintes de plaisir de ta part et de bruits de succions de la sienne alors qu'elle s'applique à te faire autant de bien que possible de sa bouche. Elle continue de monter et descendre. Et de t'aspirer quand elle remonte sur toute ta longueur. Quand, au contraire, elle te propulse pas aussi loin que possible au fond de sa gorge. Autant dire que t'es en train de grimper les étages à une vitesse fulgurante et que tu ne vas pas pouvoir te retenir de jouir bien longtemps.

Tu ne manques évidemment pas de la prévenir. Tu ne veux pas la prendre de court et ainsi la forcé à te garder en bouche quand tu jouiras. Tu veux qu'elle ait le temps de se reculer ou même de se redresser pour venir s'empaler sur toi ou t'inciter à la prendre. Tu lui laisses le choix concernant la suite des événements. Tu ne fais rien pour l'orienter vers une décision ou une autre. Et tu prends sur toi pour ne vraiment pas lui dire de façon très claire, que tu meurs d'envie qu'elle te fasse jouir ainsi. Tu refuses de souffler mot à ce sujet. Alors que tu ne fais que grogner de plus en plus en réponse à cette montée fulgurante du plaisir. Quand tu ne jures pas carrément.  En guise de réponse, elle entreprend finalement de te sucer encore plus fort, plus vite, plus fermement aussi. Elle resserre l'étau de ses lèvres autour de toi, elle monte et descend toujours plus rapidement  et elle s'en donne vraiment à coeur joie pour le coup. Dans la foulée, tu poses ta main sur la sienne qui caresse tendrement ton ventre. T'es à bout de souffle, t'as le coeur qui bat comme un fou furieux et t'as surtout maintenant le feu aux reins. Tu grondes d'une voix à peine audible un "oh putain oui Mia" qui se perd dans les bruits de la fellation elle même. Qui se font de plus en plus sonores à mesure qu'elle même accélère la cadence et la rend tout bonnement infernale.

Et arrive finalement le moment de l'implosion. Tu ne peux vraiment plus rien faire pour retenir la jouissance qui t'explose littéralement à la gueule. Tu n'as pas même le temps ou la force d'attraper un mouchoir sur la table de nuit, pour l'inviter à ne pas avaler ta jouissance au moment où elle t'échappera pour de bon. T'es trop surpris par son regard qui retrouve le tien, par ce que tu y lis et par le plaisir qui te ravage avec cette force nouvelle. Elle parviendra donc toujours à te surprendre Mia. De toutes les façons possibles et, encore une fois, pour ton plus grand plaisir. C'est même sans t'en rendre compte que tu perdes tes doigts à l'arrière de son crâne. Qu'ils se faufilent dans ses chevuex clairs pour appuyer un peu sur sa tête et ainsi l'inciter à te garder en bouche quand tu finis par te répandre sur sa langue, sur son palais, au fond de sa gorge.  C'est un réflexe contre lequel tu ne peux rien, puisqu'il est totalement hors de ton contrôle et  que lorsque tu jouis, tu ne penses pas à grand chose d'autre qu'au plaisir lui même qui te ravage si fort.  Même si tout de suite derrière, tu la libères en rendant ta main plus caressante. Le bout de tes doigts se faufilent sur sa joue pour une caresse bien plus tendre. Ta tête retombe une ultime fois sur l'oreiller. Le souffle te manque. La conscience aussi, un peu.  T'es totalement sonné. Encore sous le choc. C'était pas un rêve ... ? Que tu interroges, réellement surpris. C'est qu'il pourrait bien s'agir d'un rêve tant c'était incroyable, beau, bon, intense. Des rêves très réalistes, ça arrive à tout le monde d'en faire.
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Mar 30 Juin - 21:47


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@robin hartwood

◊ ◊ ◊

Tu prends beaucoup de plaisir à le sucer. Tu ne pensais pas que tu aimerais autant. Tu pensais même qu’au début tu serais gênée, un peu dégoûtée même. Mais c’est tout le contraire. Tu le dégustes, tu le savoures. Tu aimes sentir sa longueur remplir ta bouche. Et plus il se tend et se durcit, plus tu apprécies. Tu te montres gourmande au possible, tes lèvres l’encerclent, l’emprisonnent alors que tu entames de lents va et vient. Tu te montres douce, lente, langoureuse au départ. Parce que tu n’es absolument pas sûre de ce que tu es en train de faire. Tu expérimentes, tu y vas à l’aveugle. Tu te jettes à l’eau. Tu espères quand même qu’il ne sera pas déçu Robin. Tu ne voudrais pas le sortir de son sommeil pour lui offrir une piètre fellation. Tu veux lui offrir ce qu’il y a de mieux à ton Robin. Parce que c’est tout ce qu’il mérite. Il fait tellement tout pour que tu te sentes bien, il fait tout pour te faire du bien, tu peux bien faire ça pour lui. Et tu le fais pour toi aussi. Tu en as envie. Même si au départ, ce qui te motive vraiment c’est ton désir de lui faire plaisir. Mais tu réalises vite que tu prends toi-même beaucoup de plaisir à ce que tu fais. Tu t’appliques, tu tentes des choses. Au pire si ça ne lui plait pas, tu sais qu’il te le dira. Mais il semble vraiment aimer ça Robin. En témoignent ses grognements et ses quelques gémissements. Et toi ça t’excite toujours plus de l’entendre réagir. De savoir qu’il réagit comme ça parce que toi tu lui fais du bien. Toi, la gamine inexpérimentée. Tu es capable de satisfaire l’homme que tu aimes de bien des façons, et ça te plait beaucoup. Alors tu continues de t’appliquer, même si tu restes planquée sous ton drap pendant encore de longues minutes. Tu montes et tu descends le long de son sexe que tu ne vas pas tarder à connaitre par cœur. Tu sais que vous n’allez plus vous arrêter tous les deux. Et que ça va devenir un vrai calvaire d’être séparés ou d’être en présence d’autres personnes quand vous sortirez ou quand vous recevrez du monde. Parce que vous ne pouvez pas vous passer de vous toucher et de vous sauter dessus.

Tu ne tiens même pas une nuit complète sans avoir envie de lui. Tu penses que ça sera comme ça presque toutes les nuits, tu l’imagines en tout cas. Il occupe toutes tes pensées Robin, même quand tu es endormie. T’es excitée, tu aurais pu te mettre sur lui, le réveiller en te frottant à lui par exemple pour qu’une fois complètement réveillé, tu puisses le glisser entre tes cuisses. Mais tu préfères lui réserver un autre sort, tu veux tenter quelque chose que tu n’as encore jamais fait. Tu lui avais dit que tu le préviendrais quand tu serais prête pour qu’il ait le temps de se préparer. Il t’a bien fait comprendre qu’il aimerait beaucoup que tu lui fasses plaisir avec ta bouche, mais il ne t’a pas mis la pression, parce qu’il sait que c’est nouveau pour toi, que tu es novice en la matière. Tu as envie de lui faire cette belle surprise. C’est bien pour ça que tu choisis de lui offrir une fellation plutôt que de venir t’empaler sur lui. Au final tu n’auras pas d’orgasme cette fois-ci mais ça ne te dérange pas. Tu prends déjà énormément de plaisir à lui faire du bien. Et tu l’entends qui geint quand tu dégages tes cheveux sur les côtés. Tu te sens plus à l’aise, parce que tu sais qu’il aime ce que tu lui fais et te voir le faire aussi. A aucun moment tu ne ralentis, au contraire, tu gardes le rythme, tu tentes de nouvelles choses. Tu joues avec ton regard quand tu le suçotes goulûment comme il semble tellement l’aimer. Tu as presque envie de sourire quand tu le vois laisser retomber sa tête sur son oreiller. Comme s’il n’en peut plus. Et tu penses que c’est le cas. Toi tu continues, toujours, tu gardes le rythme, tu caresses même son ventre musclé. Tu remues doucement les doigts quand tu sens sa main se poser sur la tienne pour lui faire signe que tu aimes.

Tu ne peux pas lui parler actuellement, alors tu communiques avec tes regards. Comme lorsqu’il te prévient qu’il ne va pas pouvoir se retenir encore très longtemps. T’es prête à le laisser déverser son plaisir dans ta bouche, même si tu as quelques appréhensions. Alors tu redoubles d’effort, tu accélères la cadence, tu resserres même plus fort tes lèvres autour de son sexe. Tu fais monter et descendre ta tête le long de son sexe à un rythme soutenu. Tu aspires, tu suces. Très vite tu le sens se tendre, et tu sens sa main se poser derrière ta tête. Il n’y a pas de retour en arrière possible. Tu finis par sentir quelques petits jets d’un liquide chaud et épais te tapisser l’intérieur de ta bouche. Même quand il commence à éjaculer tu continues de le sucer. Tu aspires tout son membre dans un bruit de succion très érotique. Tu n’en perds pas une goutte même si le goût ne te plait que moyennement. Tu grimaces d’ailleurs un peu et ton corps est recouvert d’une fine chair de poule. Tu finiras sûrement par t’y habituer. Parce qu’il est évident que tu remettras ça. Tu relèves les yeux alors que tu libères son sexe de tes lèvres et qu’il te caresse la joue avec beaucoup de tendresse. T’es essoufflée, haletante. Tu t’es vraiment donnée à fond pour lui faire du bien. Tu penses que tu as réussi. Il a l’air comblé ton Robin. Tu te passes la langue sur les lèvres et tu reviens t’allonger à côté de lui, adossée sur un coude, tu le regardes, un petit sourire aux lèvres. Tu caresses son front du bout des doigts. Tu dégages quelques mèches qui se sont collées à sa peau. « Non, c’était bien vrai. » Que tu souffles d’une voix douce. Tu continues de caresser son visage avec beaucoup de douceur et de le couvrir d’un regard plein d’amour. « Ça t’a plu ? »

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Mer 1 Juil - 18:53
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Tu ne devrais pas être en train d'appuyer sur l'arrière de son crâne comme t'es pourtant bel et bien en train de le faire. Il y a une nette différence entre ce qui te fait vraiment très envie et ce que tu devrais lui proposer pour ne pas oublier le fait qu'elle est encore innocente et novice en matière de sexe. Mauvais réflexe donc, quand tu perds ta main dans ses cheveux  au lieu de lui tendre un mouchoir pour lui permettre de cracher dedans. Ce qui n'a rien de glamour, bien entendu. Mais qui te semble quand même être le plus normal, le plus sain et le plus honnête. Mais tu ne t'en rends pas même compte finalement. Parce que t'es en plein orgasme et que t'es quand même salement excité par cette fellation incroyable qu'elle vient de t'offrir. Comment tu aurais pu deviner, toi, qu'elle allait te réveiller de cette façon ? Forcément que tu n'es pas du tout en pleine possession de tes moyens. Et que, tout au contraire, t'es en total perte de contrôle. Ce dont tu ne te plains pas, vu le plaisir que tu prends à tout ça. Tu ne comprends d'ailleurs vraiment pas comment elle peut être à ce point douée. Sans doute aidée,  finalement, par son innocence. Parce qu'elle veut à tout prix bien faire Mia. Et surtout, elle veut bien faire pour toi. Pour te faire autant de bien que possible. Et clairement, ça joue en ta faveur. Parce qu'elle est effectivement parfaite jusque dans les détails. Jusque dans cette bouche des plus gourmandes qui suçote fort et qui aspire de façon très gourmande.

Tu ne pensais pas qu'elle serait aussi rapidement à l'aise avec l'idée. Même s'il est vrai qu'elle attendu que tu sois profondément endormi, pour t'offrir cette gâterie pour le moins incroyable. Et ce, en plus de se planquer sous le drap dans un premier temps. Sans doute pas encore sûre d'elle à ce moment. Mais qu'elle est bien consciente du fait qu'elle fait ça merveilleusement bien, maintenant que tu enchaînes les plaintes de plaisir. Les soupirs et les gémissements qui viennent se mêler aux sons de succions qu'elle n'empêche pas. Peut-être, là aussi, consciente de l'état dans lequel ça contribue à te mettre. C'est qu'il n'y a rien dans tout ce qu'elle fait, qui te déplaît. Tout au contraire. Et franchement, si tu avais su qu'elle serait aussi parfaite et douée avec sa bouche, sans doute que tu l'aurais supplié pour qu'elle te fasse ça, bien avant. Maintenant, tu serais quand même curieux de savoir si elle va oser t'offrir encore ça à l'avenir ou si, au contraire, elle aura besoin d'un peu de temps pour être assez à l'aise avec l'idée de recommencer. Mais tu risques de lui en demander plus. Mine de rien. Avec l'une de ces petites moues adorables que tu adores lui piquer.  Avec un peu de chance, ça fonctionnera sur elle, comme ça peut fonctionner sur toi. Parce que pour le coup, tu ne peux nier que ça fonctionne du tonnerre. Quand elle veut te faire craquer, elle n'a vraiment pas grand chose à faire pour ça.

Arrive donc le moment où la fellation porte clairement ses fruits. Trop tôt à ton goût, c'est certain. Mais tu ne peux vraiment rien faire pour te retenir plus longtemps alors tu jouis dans sa bouche.  Spasmes puissants qui accompagnent les vagues de l'orgasme et tes grognements qui rejoignent le reste. Tu n'essaies même plus de retenir quoi que ce soit. Parce que tu sais que ça lui plaira de constater à quel point elle t'a retourné le cerveau, le corps, l'esprit, le coeur même au passage. Parce qu'elle t'a pour de bon Mia. Elle t'a eut. Tu ne manqueras jamais de rien avec elle à tes côtés, dans ta vie, dans tes bras, dans ton lit. Elle est encore mieux que tout ce à quoi tu pensais avoir droit de base. Et tu ne peux évidemment qu'espérer pouvoir être à la hauteur encore longtemps. Pour ne pas dire pour toujours. Même si ça reste là ton souhait le plus profond. Parce qu'elle est ton âme soeur et que tu es le premier à être surpris du fait que tu finisses par y croire ça ces histoires d'âmes soeurs.  Tu jures plus fort encore quand, en guise de conclusion, elle t'aspire une dernière fois. Pour te libérer dans un énième bruit de succion qui t'arrache un profond frisson et qui achève de te foutre sans dessus dessous. T'es à bout de souffle et t'as le coeur qui bat aussi fort que si tu venais de faire un effort. Alors même que tu t'es "contenté" de te laisser faire pour le coup.

Tu évites de la regarder, de peur de sa réaction au goût de ton plaisir que tu as l'impression de lui avoir imposé. Tu lui laisses quelques secondes, avant de redresser la tête et de venir caresser sa joue du bout de tes doigts. Elle est tellement belle Mia. Même quand elle est échevelée et a les joues rouges. Ou surtout dans ces moments là, tu ne saurais le dire toi même.  Mine de rien, elle se nettoie les lèvres de la pointe de sa langue, avant de remonter sur le lit pour venir prendre place tout contre toi. T'es toujours dans le même état insensé alors que tu la regardes faire. Que tu plantes même ton regard dans le sien quand elle se trouve enfin à ta hauteur. Tu frissonnes encore quand elle fait glisser ses doigts sur ton front en retour. T'as vraiment besoin de me poser la question ? Que tu l'interroges, un petit sourire taquin sur les lèvres. C'était carrément dingue Mia. T'es tellement parfaite ... Que tu lui confirmes quand même, avec douceur. Et avant de retrouver son visage du bout de tes doigts. Tu le caresses avec beaucoup de tendresse. Mais c'était en quel honneur ? Que tu l'interroges quand même, sourire taquin toujours bien présent sur les lèvres. Parce que t'es curieux de savoir pourquoi et comment tu as eus droit à ça de façon aussi soudaine. Et alors qu'elle t'a quand même fait comprendre, il y a peu, qu'elle n'était pas du tout prête pour ce genre d'acte là.  Selon toute vraisemblance, elle a changé d'avis. Et tu ne t'en plains pas ...
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