Tu ne vas pas nier ce genre d'évidence. Avec ou sans bijoux, avec ou sans fringues hors de prix, tu en imposes. C'est naturel. C'est tout ce que tu dégages. Et c'est quelque chose qui te satisfait tout à fait. Parce que tu n'as pas besoin de forcer pour te faire entendre de cette façon. Tu as juste à être toi. Quoi qu'il en soit, tu te contentes d'un haussement d'épaules pour lui répondre. Parce que ça n'a pas tant d'importance que ça. Et tu te fous bien de savoir ce que pensent ou penseront ceux qui vous verront ensemble et comprendront que vous êtes un couple. Parce que malgré tout, tu assumes ton choix. Plus encore maintenant que tu es amoureux d'elle. Et tant pis si les grandes différences entre vous, dont la différence d'âge, semble surprenante ou carrément déplacée. Ce n'est pas comme si tu étais vraiment du genre à t'inquiéter des qu'en dira-t-on. Elle même met le doigt sur le fait que, effectivement, tu n'es pas surpris que vous alliez si bien ensemble, parce que tu l'as choisis de façon consciente et réfléchie.
Et tu n'arrives pas à regretter alors même que vous avez été à deux doigts de la rupture pure et dure. Même si les retrouvailles sont douces et rassurantes, tu n'es toujours pas sûr de savoir de quoi sera fait demain pour le coup. Parce que tu n'es pas sûr d'avoir encore le courage de tenter les pas dans sa direction. Or, tu ne sais pas non plus si elle arrivera à en faire dans ta direction. Parce que ce baiser qu'elle est venue quémander, ce n'était qu'un petit quelque chose. Tu ne sais pas si elle arrivera même à réitérer. Mais le mieux reste sans doute encore de voir comment vous avancez tous les deux. Tu n'as pas envie de te prendre de trop la tête en y réfléchissant à l'excès. D'autant plus que là tu es en train de connaître des vacances forcées en fin de compte. Autant faire en sorte d'en profiter comme il se doit. Et ce, en sa douce compagnie. C'est donc comme ça que tu te retrouves à croquer dans un éclair au chocolat qu'elle t'a offert comme "cadeau".
Je descends dans ton estime si j'avoue que je ne suis pas vraiment expert en pâte à choux ? Tu peux encore apprendre tout à fait et te perfectionner, bien sûr. Mais tu ne sais pas si tu en as réellement envie. Tu pourrais le faire pour lui faire plaisir. Mais tu connais un tas d'autres plats et desserts susceptibles de lui faire plaisir. Alors tu n'es pas sûr que ça ait un grand intérêt de te pencher sur la question. Cependant, ça ne t'empêche évidemment pas de prendre beaucoup de plaisir à manger cet éclair. Un peu moins à devoir lui expliquer la raison pour laquelle tu as pris le soin de préparer le canapé dans lequel tu comptes dormir. Malheureusement, ta tentative pour lui faire oublier ça, se solde par un échec cuisant. Elle insiste. Elle veut une réponse. Pourtant tu prends d'abord le temps de terminer ton éclair, de t'essuyer le coin des lèvres de ton pouce et de te nettoyer les mains avant de répondre quoi que ce soit. Ainsi tu prends le temps de réfléchir à la meilleure réponse à lui fournir. Depuis quand est-ce qu'on dort dans le même lit ? Tu reprends tes bonnes habitudes qui consistent à répondre à une question par une autre question.
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Ven 22 Oct - 14:56
From Paris to my heart @Robin Hartwood Elle n'a jamais réellement fait attention au regard des gens, de ce qu'ils peuvent bien penser de ces deux lorsqu'ils sont en public. Il faut quand même dire qu'ils ne s'attendent pas à des accolades ou ce genre de choses quand ils sortent et même que ces sorties sont rares. Mais, à présent qu'ils sont réellement amoureux l'un de l'autre et par conséquent, un couple. Quand ils vont sortir ensemble, la logique voudrait qu'ils se comportent comme tel. Elle reste néanmoins toujours intimidée lorsqu'elle est avec lui en en sa présence, tant il en impose justement, peu importe ce qu'il peut bien en penser.
Elle hausse alors une nouvelle dois des épaules, sur ce point, ils ne sont pas tout à fait d'accord. Ils ne sont d'ailleurs pas souvent d'accord sur tout ce qui compose leur vie de tous les jours, mais ça semble malgré tout fonctionner et comme il la lui-même signalé. Il savait très bien pour quelle raison il a choisi Mia. Elle était et est toujours la plus douce des Powell, innocente et surtout l'une des beautés les plus naturelles des sœurs. Elle n'a pas besoin d'artifices ou de passage chez le chirurgien pour faire en sorte de gommer ses défauts, qui font justement d'elle, une jeune femme tout à fait mignonne, malgré son apparence très enfantine. Elle évolue avec son temps et n'a pas hâte de vieillir.
Même si à ses côtés, c'est un homme bien plus vieux qu'elle a. Un homme qui lui apporte un peu de son expérience, même si parfois elle ne sait pas la saisir correctement. Lorsqu'elle arrive dans la chambre, c'est avec un empressement presque partagé. Heureuse d'enfin le retrouver. Avec ses éclairs et ses questions intéressantes. Elle sourit, en finissant de manger sa pâtisserie. « Non, ça nous donnera une bonne excuse pour venir jusqu'à Paris pour en manger » parce qu'ils sont assez dingues, autant l'un que l'autre, pour faire ce genre de chose. Prendre un vol uniquement pour se délecter d'un éclair. Mais, c'est vrai qu'il en vaut la peine. Ce qui ne vaut pas la peine pourtant, c'est les réponses-questions de Robin qu'elle commence à détester de plus en plus. Autant dire, que son refus de dormir avec elle, la touche un peu dans son ego. C'est l'air désemparé qu'elle le regarde, interrogée. « Euh … Je … Non » prise de court par cette question. « Tu ne veux pas de moi dans ton lit » Au fond d'elle, réellement vexée. Elle ne revient pas sur la chose, trop peinée de voir qu'il ne veut pas d'elle dans son lit, c'est ainsi qu'elle l'exprime en tout cas. Certes. « Quel est mon cadeau du coup ? » pour changer de discussion, même si au fond, elle bouillonne un peu. Il la déstabilise bien trop. CRIMSON DAY
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Fonda ▬ Dangerous as fuck.
➤ LIEU D'HABITATION : Loop (centre ville). Immense maison face au lac Michigan.
➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Tu ne sais toujours pas comment vous allez avancer tous les deux. Mais au moins maintenant vous savez tous les deux que vous pouvez passer de bons moments ensemble. Que l'entente est bonne. Que les sentiments amoureux, eux mêmes, sont là. Ce qui était inespéré pour toi. Non pas parce qu'elle n'est pas typiquement le genre de personne de qui l'on peut tomber amoureux. Mais bien parce que tu te pensais incapable d'aimer jusque là. C'était idiot. Mais tu ne le réalises que maintenant que tu vis pleinement la chose. Et même si ça te rend relativement dépendant d'une personne, tu n'arrives pas à regretter cet état de fait. Parce que tu es bien avec elle. Parce qu'elle te rend heureux. Parce que tu veux que ça dure. Tu passes quand même de bons moments avec elle alors c'est le contraire qui serait étonnant. Et c'est pour ça que tu es à ce point heureux de la retrouver quand elle te rejoint en fin de journée. Avec un éclair au chocolat qu'elle semble heureuse de t'offrir.
Ca fait un peu loin, juste pour des éclairs au chocolat ... Que tu ne manques pas de lui faire remarquer. Ce n'est pas du tout un souci d'argent à dépenser dans un vol aller retour, qui te dérange. C'est plutôt le fait de passer des heures et des heures dans un avion, juste pour ça. Enfin, vous allez déjà essayer de profiter de ce séjour, vous verrez bien ensuite comment les choses se passent dans votre vie. Que ce soit vie de couple ou vie chacun de votre côté. Le couple ce soir, il a l'air d'être pas mal remué quand elle s'étonne du fait que tu ais préparé un lit pour toi. Et ça te perd un peu ça. Tu as bien saisis qu'elle voulait que vous dormiez dans la même chambre, après son stratagème pour que tu ne puisses en prendre une autre. Mais elle semble ne pas réaliser que partager un lit serait une vraie torture pour toi.
Elle hésite et balbutie un peu. Ce qui, à toi, est déjà en train de te nouer l'estomac. Ca provoque presque de la douleur de la voir dans cet état là. La suite te fait hausser les sourcils. Sa conclusion est douloureuse. Surtout pour elle qui a l'air de s'imaginer que c'est un manque d'envie de ta part. Que tu ne souhaites tout simplement pas dormir avec elle, dans le même lit. Tu la regardes sans rebiffer. Sans répondre à la question qui suit. A ton tour de ne plus t'intéresser au bijou qui attend sagement dans sa boîte recouverte de velours. Mia tu ne comprends pas. Que tu souffles tout bas, en reportant toute ton attention sur elle. Ca devient compliqué pour moi. Physiquement je veux dire ... De te voir, de te toucher, de t'embrasser. Sans pouvoir ... Soupir. Je ne veux pas me rendre la chose encore plus difficile.
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Sam 23 Oct - 13:31
From Paris to my heart @Robin Hartwood Elle affiche un large sourire sur son visage quand elle l'entend rationaliser un peu ses envies folles. Des deux et contre toute attente, c'est bel et bien lui qui est toujours très terre-à-terre et qui réfléchi toujours avant d'agir, comme le fait de venir jusqu'ici pour manger des éclairs ou d'autres pâtisseries françaises. Parce que si ça ne tenait qu'à elle, elle aurait la folie de le faire, en effet. Alors, forcément à l'entendre la raisonner comme ça, ça la fait surtout sourire. « Il n'y a pas que des éclairs au chocolat, il y en a aussi au café » elle s'amuse un peu. Il sait bien que l'humour de la belle n'est pas du goût de tous, mais elle est persuadée qu'il saura sourire à cette remarque. « Il ne te reste plus qu'à apprendre à les faire dans ce cas » ce qui semble être une décision un peu plus sage.
Tout aussi sage que le fait de ne pas dormir avec elle. Elle est déstabilisée et bientôt honteuse de s'être avancée sur le sujet. D'avoir pris pour acquis son nouveau couple et cet amour, alors qu'il y a encore des fêlures à panser. Elle qui a bien souvent les émotions en vrac quand il est question de lui se sent bel et bien perdue en ce moment même. Elle part du principe que, quand bien même c'est un amoureux transit, il n'a pas l'envie de partager son lit avec elle. Ce qui la fait se questionner un peu. Elle aurait envie de plaisanter et de lui demander si ses ronflements le font fuir, bien que ce ne soit pas le cas. Mais l'heure est au sérieux et Robin préfère donc prendre ses distances, parce que pour lui, c'est dur. Aussi dur que ça peut l'être pour elle qui aurait envie de l'avoir dans ses bras et qui ne peut pas. Elle tourne son attention vers lui lorsqu'il lui offre une explication qui tien la route. L'air cette fois rassurée, parce que ce n'est pas un manque d'envie, c'est même tout le contraire.
« Pas besoin de rendre la chose plus difficile, c'est vrai » elle est tout à fait d'accord avec lui. Elle se rapproche alors, pour lui retirer la petite boite en carton de ses mains. Ne le laissant donc visiblement pas tout à fait terminer les dernières bouchées de sa pâtisserie. La posant sur la table de nuit. Elle se laisse guider par ses émotions et c'est son visage qu'elle prend entre ses doigts pour venir rapprocher ses lèvres des siennes. Picotements dans tout le corps, elle l'embrasse. Quand elle repousse son visage, c'est pour planter son regard dans le sien, comme pour lui dire qu'elle sait ce qu'elle fait, cette fois. Son souffle, senteur chocolat, qui se perd contre son visage. Puis, à nouveau, ses lèvres qui viennent se sceller aux siennes et sa langue qui serpente dans sa bouche à la recherche de sa jumelle dont elle veut sentir la chaleur venir lui alourdir les reins. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
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➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Ca te fait sourire qu'elle pense utile de te faire remarquer qu'il existe aussi des éclairs au café. Bien sûr que tu le sais. Mais ça n'enlève rien au fait que tu ne te vois pas faire tout ce trajet juste pour manger des éclairs qui soient bien faits. Et finalement, comme tu t'y attendais, elle te fait même entendre qu'il est temps que tu apprennes à les faire. Ah tiens ... Je m'y attendais à celle là. Et ça te fait doucement rire. Parce qu'elle est toujours aussi fidèle à elle même tiens. Elle part souvent dans des idées un peu folles du genre et ça a toujours autant le don de t'amuser malgré tout. Et pour une raison que tu n'es pas bien sûr de saisir toi même. Et pourquoi, toi, tu n'apprendrais pas ? Ca pourrait être la seule chose que tu maîtriserais en cuisine. Que tu lui fais remarquer dans un rire léger. Si elle se concentre sur l'apprentissage, elle devrait pouvoir apprendre, même en n'étant pas douée en cuisine !
Si l'ambiance reste légère un petit moment, il semble qu'elle veut prendre une toute autre tournure quand il est question de ce foutu lit que tu t'es préparé. Tu ne comprends pas du tout ce à quoi elle s'attendait Mia. Alors qu'il était évident, dans ton esprit, que vous ne pouviez pas dormir dans le même lit. Tu n'as pas non plus envie de souffrir comme un crétin qui se retient très fort de ne pas craquer. La torture ne te botte vraiment pas outre mesure. Et tu ne comprends vraiment pas, en effet, qu'elle ne réalise pas tout ça d'elle même. Elle t'a pourtant vu réagir au quart de tour et la fuir quand elle t'a repoussé, la dernière fois que vous avez été un peu plus loin dans le flirt tous les deux. Alors c'est effectivement surprenant pour toi, qu'elle ne réfléchisse pas davantage à la chose. Malgré tout, tu prends sur toi et lui expliques donc calmement les choses.
Tu ne comprends pas non plus la phrase qui suit. Mais tu n'as pas à attendre bien longtemps. Puisqu'elle se penche vers toi après t'avoir débarrassé de la boîte en carton. Forcément tu ne te fais pas prier pour lui rendre son baiser quand elle vient t'embrasser. Au contraire. Tu te laisses faire, soupires d'aise et lui réponds avec chaleur. Même si la façon qu'a ton palpitant de s'emballer, ne te rassure pas vraiment. Tu ne dois pas. Tu dois à tout prix te maîtriser. Même si le regard qu'elle plante dans le tien, est sans doute là pour te rassurer. Avant que sa langue ne s'enroule de nouveau autour de la tienne. Et qu'une fois de plus, cela t'arrache un soupir. Mia. Que tu finis par souffler en reculant le visage. Tu vas encore changer d'avis ? Bien sûr que tu te méfies. Parce qu'il te semble que la dernière fois elle ne pensait pas changer d'avis et pourtant, elle l'a fait.
Il la connaît assez pour savoir que c'est exactement ce qu'elle allait lui dire, qu'il va donc devoir savoir faire ses pâtisseries qu'elle semble tellement affectionner. Il est même possible que ce soit le seul souvenir qu'elle garde de Paris, entre ses cours et la venue de Robin, qui sait. Elle fait pourtant mine de bouder un peu. « Hé, je maîtrise pleins de trucs en cuisine ! » ce qui, évidemment, n'est absolument pas véridique, mais elle aime bien bouder parfois. Elle aime jouer à la gamine faussement vexée. « Je sais cuire des pâtes, al dente » et c'est bien la seule chose qu'elle sait faire. Elle tourne quand même son visage vers lui, cette fois plus souriante. « On pourra apprendre ensemble alors, sinon je vais mettre le feu à la maison » et ce n'est pas même une blague. Leur premier test en cuisine lui a valu une belle cicatrice qu'elle a encore dans le creux de sa paume.
Ce dessert pourra être le leur. Le souvenir d'un joli voyage en Europe et s'ils continuent ainsi, peut-être que les souvenirs viendront crescendo. Sauf, que pour l'instant, Robin semble vouloir mettre le holà quant au fait de dormir avec la belle. Si dans un premier temps, elle ne comprend pas, se sentant même relativement incomprise et perdue par cette idée de ne pas partager la même couchette. Elle comprend bien vite que ce n'est pas une question d'envie, mais justement tout le contraire. Il veut tellement d'elle, que par respect, il ne veut pas s'aventurer à dormir avec elle. Soupire de satisfaction après compréhension de la chose et finalement, c'est à elle de faire le fameux pas, elle le sait bien.
Elle en a même très envie pour le coup, se sentant bien plus sûre d'elle. Son cœur s'emballe quand elle lui offre le premier baiser, puis le second avec un peu plus de sensualité en venant y mêler les langues. Elle s'attend évidemment à ce qu'il la stoppe à tout moment et c'est ce qu'il fait. Il veut juste être certain qu'elle soit prête cette fois avec sa question. « Fais-moi confiance » parce qu'elle est sûre d'elle. Son regard planté dans le sien quelques secondes pour qu'il puisse lire à quel point, elle a envie de lui pour le coup. Et cette fois, elle en est certaine. Elle ne veut pas reculer. Ce qui n'était pas le cas la première fois. Elle l'embrasse une nouvelle fois et en profite pour bouger un peu dans ce lit, de manière à se coller à lui, pour finalement valser sur ses genoux à califourchon. Une chaleur timide vient s'emparer de tout son corps et le bout de ses doigts la picote, mais elle continue à l'embrasser. « Je suis prête, Robin » et elle espère qu'il sera d'autant plus rassuré, parce qu'elle lui donne le feu vert. Allant carrément jusqu'à enlever son pull, pour se retrouver en soutient-gorge face à lui et venir, encore une fois, l'embrasser avec cette fois une envie non dissimulée et un baiser plus soutenu et sensuel. Ses mains qui se font un chemin sur le torse encore vêtu du beau blond et son cœur qui bat à vive allure. CRIMSON DAY
Robin Hartwood
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➤ EMPLOI / ETUDES : Trafiquant de drogues et de corps. Officiellement, riche propriétaire d'une chaîne de restaurants à travers les Etats-Unis.
Comme tu t'y attendais, elle finit par émettre l'idée que tu apprennes à faire des éclairs au chocolat pour elle qui aime vraiment ça de toute évidence. Mais toi, cette idée te fait presque ronchonner. Parce que c'est quasiment la seule chose que ne maîtrises pas. Déjà que tu t'es concentré davantage sur les pâtisseries depuis qu'elle est dans ta vie, parce que c'est ce qu'elle préfère ... Alors bien sûr que tu émets l'idée que ce soit elle qui apprenne à faire ça. Et sa réaction ne se fait pas attendre. Elle a surtout le don de te faire sourire. Voire rire un peu dans ta barbe. Et tu sais très bien réchauffer un plat que je t'ai préparé, au micro ondes. Que tu ne manques pas de lui rappeler. Forcément pour te foutre un peu d'elle qui se met à bouder plus ou moins, parce que tu lui rappelles qu'elle ne sait pas cuisiner. Elle sait pourtant que tu dis vrai. Tu n'as jamais vu une telle cata en cuisine.
Je ne te laisserai jamais cuisiner toute seule dans ma cuisine, t'inquiètes pas. Que tu surenchéris même, en réponse à sa requête. Avec tout ça, toi tu en as oublié le fait que tu te sois préparé ce fameux canapé pur la nuit. C'est elle qui te le rappelle. Et qui a tout l'air d'être vexée. Avant de comprendre les vraies raisons de ce choix. Et il te semble que la révélation change toute l'atmosphère. A son tour de se dévoiler un peu plus et d'oser faire le premier pas que tu n'aurais pas fait de toi même, de sitôt. Tu te laisses évidemment faire. Le palpitant qui est déjà à faire des siennes. Il se fait fou furieux quand elle t'embrasse comme ça. Parce qu'elle te fait clairement trop d'effet depuis le début, pour qu'il puisse en être autrement. Et tu ne vois pas de raison d'essayer de lutter contre tout ça. Si ce n'est ta peur qu'elle ne change encore d'avis en cours de route. Raison pour laquelle tu l'arrêtes pour en faire la remarque.
Tout de suite, elle te demande de lui faire confiance. Apparemment sûre d'elle. Même si la dernière foi déjà, elle avait l'air tout à fait sûre d'elle. Cette fois elle en rajoute quand même un peu, quand elle vient s'installer à califourchon sur toi. Cette position te fait tout à fait vibrer. Parce que vos corps sont tout à fait proches l'un de l'autre. Parce qu'en même temps, vos baisers se font de plus en plus intenses et passionnées. Elle te souffle qu'elle est prête. Et dans la foulée, elle se débarrasse de son pull. Tu n'as pas vraiment le temps de la contempler, qu'elle s'attaque de nouveau à ta bouche. Cette fois tu remues. Tu la fais basculer en douceur sur le matelas pour l'allonger dessus et te placer au dessus d'elle. Veillant à ne pas lui tomber dessus. Le but n'étant pas de la faire déjà paniquer en l'étouffant de ton poids. Tu restes donc ainsi au dessus d'elle sans jamais cesser de l'embrasser. Et tu glisses une main entre vous pour aller la poser sur un sein encore recouvert de son soutien gorge. J'ai tellement envie de toi Mia. Que tu avoues tout bas. Juste pour vérifier qu'elle en a conscience de ce désir fou.
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Dim 24 Oct - 22:02
From Paris to my heart @Robin Hartwood Elle hoche un peu de la tête, l'air mécontente qu'il souligne à quel point elle sait s'occuper en cuisine. Entre des pâtes à mettre dans l'eau et des plats qu'elle peut réchauffer, ce sont des compétences très basiques, mais qu'elle maîtrise. Alors oui, elle sait y faire, selon elle. Mauvaise foi apparemment. « Je sais aussi faire du thé » autant dire que tous les moyens sont bons pour ne pas complètement avouer qu'elle est réellement nulle en cuisine et puis finalement, elle se met à rigoler. Elle ne rit pas aux éclats, mais c'est très franc et ça vient du cœur. « T'as autant de patience avec les autres aussi ? Ou c'est que avec moi ? » parce que pour la supporter et surtout lui apprendre à faire à manger, il va falloir beaucoup de patience et il le sait pour s'y être tenté une ou deux fois.
La tension remonte quand même ensuite d'un cran, quand ils parlent du fait de dormir ou non ensemble et puis finalement tout s'explique. Elle l'écoute et comprend bien son désarroi. Elle n'est pas stupide au point d'ignorer le besoin irrépressible de Robin en tant qu'homme face au corps d'une femme et encore plus une femme qu'il aime et qu'il apprend à découvrir depuis des mois maintenant. Jamais il n'a été question pour Mia de lui fixer une date limite dans le temps avant de passer à l'acte. Parce qu'il n'y a pas de règle pour ce genre de partage charnel, mais en ce qui concerne une jeune femme vierge, c'est tout de même un peu différent. Elle saisit pourtant bien qu'il arrive aux limites de son abstinence et que si elle le freine encore trop longtemps, il finira par céder d'une manière ou d'une autre, avec ou sans elle.
Et ce n'est pas par obligation qu'elle se saisit de son visage, mais par envie. Sentir ses lèvres venir se perdre contre les siennes et son parfum lui envahir les narines. Son souffle chaud contre son visage et son corps qui s’emboîte parfaitement sur le sien lorsqu'elle se retrouve à califourchon sur lui. Son haut retiré pour venir l'embrasser et lui faire clairement comprendre la suite. Elle sent une chaleur venir l'envahir et le désir qui naît ou reprendre peu à peu de ces cendres laissées à Chicago dans la chambre de Mia. Ainsi retournée sur le lit, Robin au-dessus d'elle qui l'embrasse et enfin ce qu'il ressent et surtout ce qu'il a envie qui s'échappe de ses lèvres. Elle le regarde, avant de glisser ses mains sous son haut pour venir le lui retirer avec son aide. « J'ai aussi très envie de toi Robin et ... J'ai envie que tu m’apprennes » parce que c'est ce qu'il va falloir faire. Il sera -malgré lui ou non- le maître de leurs prochains gestes. Elle est inexpérimentée et la seule chose qu'elle n'a jamais su faire jusqu'à présent, c'est l'embrasser et faire descendre parfois ses lèvres plus bas vers son cou, comme elle semble le faire présentement, quand elle lui embrasse la peau fine à cet endroit et qu'elle mordille du bout des dents. Son cœur bat terriblement fort, car elle est mine de rien très stressée et très amoureuse aussi. CRIMSON DAY
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Tu pinces fort les lèvres pour ne pas rire quand elle te rappelle qu'elle sait également faire du thé. Comme s'il s'agissait d'un véritable miracle. A tel point que même les lèvres pincées, le sourire est apparent au moins dans tes yeux qui brillent d'un certain éclat. Et c'est elle qui rit la première en fin de compte. De quoi faire naître un vrai sourire attendri sur tes lèvres. Je suis naturellement patient. Mais avec toi en cuisine, je dois m'armer d'une dose supplémentaire de patience, c'est vrai. Tu ne peux prétendre le contraire pour le coup. Mais ça arrive toujours autant à t'amuser en fin de compte. Parce qu'elle est adorable, tu ne peux t'empêcher d'être touché en plein cœur pour le coup. Comme tout le temps avec e le en fin de compte. Elle te fait un effet qu'aucune autre femme n'a jamais su et pu te faire. Tu ne t'y es pas autorisé. Et elles n'ont pas été en mesure de t'atteindre non plus. C'est assez clair également.
La suite des évènements est relativement floue et tu ne peux faire autrement que de te laisser emporter par tout ça. C'est en train de provoquer un ras de marée des plus intenses et magiques. Après la tension, la crainte qu'elle ne recule et la panique qu'elle ne soit encore sur le point de changer d'avis, il y a la flamme du désir qui reprend de plus bel. Forcément, en un rien de temps tu es rassuré. Et ça ne fait que grandir plus encore ton désir pour elle. Pour ta parfaite petite amie qui avoue avoir tout autant envie de toi que tu as envie d'elle. C'était presque en train de devenir inespéré. Finalement, elle t'incite même à retirer ton tee shirt. Ce que tu laisses évidemment faire avec plaisir. Le palpitant en déroute et le regard embué de désir que tu gardes rivé sur elle quand tu le peux de nouveau.
Avec douceur et délicatesse, elle ne manque pas de te rappeler qu'elle souhaite que tu lui apprennes. Que tu lui apprennes, finalement, les gestes de l'amour. Même si toi même tu n'es pas bien certain de maîtriser cet aspect là des choses. Tu sais prendre et baiser. Tu sais répondre à un besoin impérieux et animal. Mais te montrer doux et tendre c'est un nouveau challenge. Que tu acceptes sans plus te faire prier pourtant. Parce que tu le savais depuis le début qu'arriverait un moment où il te faudrait prendre ainsi le temps. Et tu te retrouves donc là à l'embrasser avec beaucoup de tendresse et à glisser tes doigts sur les boutons de son pantalon pour l'ouvrir. Tu continues de prendre ton temps. Comme si tu t'attendais à ce qu'elle t'arrête à tout moment. Et parce que ce n'est pas le cas, tu finis par te redresser pour faire glisser le pantalon le long de ses jambes délicieuses. Et pouvoir mieux revenir contre elle pour un nouveau baiser. Et pour perdre ta main dans son dos pour faire sauter l'attache de son soutien gorge. Lui aussi est vite retiré. Et cette fois c'est sur un sein nu que peut s'attarder ta paume chaude.
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Lun 25 Oct - 22:09
From Paris to my heart @Robin Hartwood Mine de rien, elle apprend quand même à connaître Robin et ne peut pas encore se permettre de dire qu'elle l’apprivoise totalement. Ils ne se côtoient que depuis quatre, bientôt cinq mois et même s'ils vivent sous le même toit, ils ne se retrouvent qu'à de rares occasions. Alors, ce soir, elle apprend qu'il a quand même un fort potentiel patience et qu'en la présence de Mia dans la cuisine, il doit redoubler d'effort. Ce qui la fait immédiatement sourire. « Mais, je te le rends bien ... » du moins, elle ose l'espérer. Parce que lorsqu'elle est dans les parages, elle sait comment le faire sourire ou le faire même parfois rire, le son de sa voix qui résonne comme un écho entre les murs de cette cuisine américaine. « Moi, je ne suis pas du tout patiente » et il l'aura certainement remarqué à la manière qu'elle a de bien souvent s'emballer ou de ne pas coordonner même ses propres gestes. Miss catastrophe pour le coup.
Cette même catastrophe naturelle qu'elle peut être parfois lorsqu'il est question de sentiments et si l'excuse du ''c'est nouveau'' pour moi ne fonctionne pas à tous les coups. Ce soir, elle est bien décidée à prendre en considération ses aspects émotionnels qu'elle met sous silence depuis des semaines. L'amour qui grandit et se propage dans son corps rien qu'à la vu ou au son de la voix de Robin, elle ne peut plus le cacher ni même le nier, c'est trop puissant. Comme son envie de lui appartenir pour la toute première fois, ce soir. Le sentiment d'envie est différent de l'autre soir. Elle appréhende évidemment le passage à l'acte, mais avec plus de sérénité et plus de confiance, contrairement à la première fois. Parce qu'elle est sûre de ses sentiments et des siens.
À l'embrasser ainsi, elle en perd donc haleine et son regard qui se perd dans le sien lui fait valser le cœur sur une mélodie qui est rythmée par les gestes de Robin. Ses mains qui viennent effleurer son corps tout entier. S'en est grisant pour la belle. Qui a les reins lourds et le bas ventre faisant naître des papillons qui battent des ailes à l'unisson. Toutes ces émotions mélangées, la mène même jusqu'à l'aider à retirer son haut pour sentir son torse contre le sien, avant qu'il ne vienne retirer son jeans et son soutient-gorge. Sa respiration se fait quelque peu saccadée et le stress est potentiellement palpable. Elle n'y peut rien. C'est aussi effrayant que s'en est délicieux. Elle peut bien le sentir à sa culotte qui se gorge un peu de sa moiteur à mesure qu'il l'embrasse ou qu'il la touche. Elle soupire de plaisire et son écho est à peine audible dans la chambre. À son tour d'imaginer la suite, sans espérer se tromper ou faire faux, parce que c'est surtout ça, sa plus grande peur. Elle glisse ses doigts sur la boucle de sa ceinture et son pantalon pour les défaire et ensuite les glisser plus bas, tout en continuant de l'embrasser. Dans la manœuvre, elle glisse aussi un peu plus bas le caleçon de Robin, sans vraiment le vouloir. « Oh … Euh … Pardon » Avant de déglutir, l'air gêné. Parce qu'elle ne sait pas si c'est à elle de le faire ou non. Et elle ne veut pas qu'il s'imagine qu'elle n'attend plus que ça. Elle veut y aller en douceur, autant que possible. CRIMSON DAY
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